Le cycliste 2

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le cycliste 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cycliste 2
Je le trouvais vraiment sympa ce Timéo qui s'offrait comme ça et j'avais l'air de lui plaire aussi.
En plus d'être beau mec, c'est un bon cuisinier. Je ne veux pas vous mettre l'eau à la bouche mais une bonne omelette aux girolles de Sologne avec une salade, fromage et dessert, agrémentés d'une bouteille de rosé.
On avait repris des forces. Il parlait sans arrêt, racontant des anecdotes sur le vélo qu'il pratiquait apparemment à haute dose que c'était vraiment la première fois qu'il faisait une chute pareille et qu'il était heureux d'avoir eu un sauveur comme moi.
Il me faisait du charme, des compliments, me draguait comme si on ne s'était pas sucé il y avait deux heures oubliant que je l'avais vu nu.
-je ne sais pas pourquoi mais mon cul attire les mecs et quand ils y ont touché alors là je suis obligé de passer à la casserole mec!
-obligé ?
-enfin... disons que j'aime bien me laisser faire! dit il en riant.

On était face à face dans la cuisine, il a fait le tour de la table pour venir s'asseoir à califourchon sur mes genoux, passer ses bras autour de moi coller son nez contre le mien. Mes mains lui ont caressé le dos sur son tee-shirt.
-tu sais beau gosse que j'ai envie de te connaître plus.
-ah dis je faisant l'innocent, et tu comptes t'y prendre comment ?
Ses yeux étaient plongés dans les miens quand il parlait ses lèvres touchaient les miennes et son souffle chaud sentant le rosé, se répandait sur mon visage.
-tu m'as déjà vu tout nu monsieur l'infirmier paysagiste alors je ne peux plus te proposer de me découvrir, voir mes trésors que tu as déjà tâté, caressé, massé.
-oh pas tous.
-mais moi j'ai envie de te découvrir lentement, tu sais comme quand on reçoit un cadeau auquel on tient et qu'on ouvre avec précaution, faisant attention de ne rien abîmer, de le mettre à nu et l'admirer, toucher doucement, le caresser et le voir frémir.
-je suis à toi Timéo tu peux faire tout ce que tu veux de ton infirmier par intérim.
-qui a des mains douces et une bouche savoureuse.

Ses lèvres se posent sur les miennes, juste les effleurer, sans fermer les yeux, nos souffles se mélangent, je bande, lui aussi je le sens. Ses yeux se ferment et ses lèvres écrasent les miennes et sa langue vient jouer avec la mienne.
On se serre l'un contre l'autre, en gémissant.
Il me retire mon tee-shirt.
J'enlève le sien, poursuivant mes caresses sur son dos, mais quand mes mains touchent le haut de ses fesses il se redresse en poussant un petit cri.
-désolé dis je.
-c'est rien, mais j'ai été surpris qu'il y ait une douleur.

Il se relève, défait son jean, et me montre ses fesses.
Les nouvelles couleurs sont déjà là. Du marron clair au marron foncé faisant des dessins dans la chair.
-oh ben t'en as des couleurs! dis je en riant ça te fait mal ?
Je frôle de mes doigts les endroits colorés, il ne bouge pas. Je caresse les fesses car au centre de chaque fesse on voit bien l'hématome qui s'est formé, d'ailleurs quand je touche il gémit plus fort.
-monsieur le cycliste a je crois, ce soir, les fesses fragiles.
Il se retourne, me prend dans ses bras.
-même si j'ai mal je veux que tu me prennes, je veux te sentir en moi, je veux sentir ton bon jus chaud se répandre dans mon cul monsieur l'infirmier paysagiste. Je suis sûr que t'es un mec doux, qui fera attention à moi.
-c'est bien la première fois que je suis obligé de m'occuper d'un handicapé du cul dis je en rigolant, le soulevant dans mes bras.
Il s'accroche à mon cou me fait un bisou sur la joue.
-tu veux m'emmener où ?
-ben si t'as une chambre on serait peut être mieux enfin toi tu seras mieux.

Il m'indique le chemin. Je le dépose doucement sur le lit et je me mets à le déshabiller, virer les pantoufles, caresser ses beaux pieds, virer le jean, le boxer et voilà mon cycliste à poil sur son lit. Mes yeux le parcourent, il est vraiment magnifique ce petit blond.
J'allais me déshabiller, quand il s'est relevé d'un bond, me poussant sur le lit et c'est lui qui m'a mis nu.
-j'avais dit que j'aimais déballer mes cadeaux me dit il d'un air coquin.

Et le beau blond cycliste c'est occupé de moi des pieds à la tête.
Quel plaisir de le voir, de le sentir me caresser les pieds, les lécher dans tous les coins, sucer mes orteils comme il suçait ma queue il n'y a pas si longtemps. Il avait posé un pied sur son torse, sur un téton alors je me suis amusé à le gratouiller avec le gros orteil. Il souriait en me suçant l'autre gros orteil.
Puis ses belles lèvres et sa langue sont remontées sur mes jambes pour venir s'accaparer de mes couilles me faire des bisous à ma queue bien raide, lécher mes couilles, les avaler, les gober ensemble et les faire rouler dans sa bouche.
Je gémissais en continue et, quand sa main a pris ma queue, la décalottant complètement pour que ses lèvres entourent le gland j'ai bien cru que j'allais jouir de suite.
Mais il a tout lâché et sa bouche est remontée sur mon torse me léchant mes abdos apparents semblant y prendre du plaisir pour arriver à mes tétons et les sucer en les martyrisant doucement et revenir sur mes lèvres pour m'embrasser tendrement, collant son corps contre le mien.

Gémissements et caresses.
-tu me prépares mon beau petit cul ? demande t-il.
-écoute si tu as trop mal on peut voir ça une autre fois.
-non mais! ça va pas! y va pas tomber en morceaux mon cul. Mais il faut bien le préparer car monsieur l'infirmier paysagiste a quand même un gros manche je trouve.
-oui c'est pas une seringue.
Il rigole, se retourne et me présente son cul, sa bouche sur ma queue, il me lèche doucement.
On allait bien voir ce que ça donnerait.
Moi qui aime bien donner de petites claques sur de belles fesses, je me suis abstenu. J'ai donné que des caresses, les ouvrant pour voir la raie aux petits poils blonds comme garniture et anus rose au centre. Un beau petit trou fermé.
J'étais obligé de prendre les fesses à pleines mains pour les écarter et je l'ai entendu grogner.

Mais les grognements se sont changés en gémissements quand ma langue est passée dans la raie, touchant l'anus que j'ai vu bouger.
Il a encore approché ses fesses de ma bouche et j'ai pu noyer de salive ce beau trou qui s'ouvrait sans trop de problème d'autant que Timéo devait pousser également et quand ma langue touchait l'entrée de l'anus, fallait entendre les longs gémissements émis par Timéo.
Je l'ai doigté doucement, enfonçant d'abord mon index que je regardais disparaître dans l'antre chaude et humide pendant que je sentais sa langue passer sur ma queue, léchant la mouille au fur et à mesure qu'elle sortait.

J'ai caressé le conduit appréciant la chaleur et la douceur. Je me suis enfoncé le plus possible pour ressortir et revenir avec deux doigts arrachant un petit cri à Timéo qui tendait bien son petit cul malade.
J'ai vrillé dans ce petit cul mes deux doigts, puis trois doigts jusqu'à ce que le petit trou reste ouvert.
J'aimais le caresser ainsi quel douceur ce cul!
Il a dû sentir qu'il était prêt. Il s'est relevé sur le lit, s'est retourné pour être face à moi, voir sa queue raide de chez raide, le gland bien décalotté et couler lentement. Il s'est accroupi sur moi, j'ai relevé ma queue, il a trouvé l'entrée.

Et il a pris un siège.
Il a tendu les bras vers moi, je le tenais par les mains et il s'est enfoncé sur ma queue à la vitesse qu'il voulait. Moi j'avais la sensation, mon gland se faire envelopper par du velours chaud et humide. Le sphincter qui serrait et l'entendre gémir les yeux fermés.
Quand mon gland est entré il a poussé un petit cri en me regardant.
Mes yeux demandaient si ça allait.
-ça va dit il dans un souffle avant de s'asseoir complètement sur moi, ma queue bien au chaud.

Ma queue palpitait toute seule dans sa prison au chaud. J'étais bien. J'avais jamais réalisé comment ma queue était bien dans un cul, les pulsions du sang qui arrivaient la faisaient bouger.
-tes fesses vont bien ? dis je en riant.
-pas des masses, ça me tire mais c'est rien avec le morceau que mon cul vient d'avaler.
-et le morceau ne peut pas bouger dis je.
-ouais dit il c'est pas la bonne position dit il en riant alors si tu veux changer même si je gueule fais le! ne t'arrête pas et baise moi bien à fond.

Il m'avait dit ça en me fixant de ses beaux yeux.
Sans sortir ma queue, j'ai glissé hors du lit, le tenant dans mes bras, pour le reposer sur le dos, le cul en dehors du lit, juste au bord.
Il ne souriait plus, mais grimaçait.
Je l'avais positionné de manière que ses fesses et le haut ne touchent pas le lit si bien qu'il était à moitié dans le vide.
Mais ma queue le maintenait lol et, quand j'ai commencé à bouger en lui il gueulait de plus en plus fort. Ses yeux me disaient de ne pas arrêter si bien que mon pubis s'est mis à claquer sur ses fesses et pour gueuler il hurlait car je pense qu'il avait mal. Mais il a bien encaissé tous mes coups de reins, son petit trou était bien ouvert et ma queue coulissait en lui comme si elle était chez elle.
Je voyais sa queue raide au milieu de ses jambes, bien raide qui coulait en permanence.

Et le plaisir est arrivé d'un coup dans un ultime coup de reins qui l'a cloué sur le lit. Ma sève chaude et abondante s'est répandue dans son conduit j'ai crié, il hurlait tout le temps de mes décharges. Quand mes yeux sont revenus à sa queue, c'est pour voir qu'il avait juté lui aussi en abondance sur son ventre, il en avait mis partout le cochon.
On a repris notre souffle en se souriant, lui grimaçait plus quand même.
Je me suis retiré de lui, il s'est vite relevé et est venu m'embrasser.
-j'ai mal jusqu'au milieu du dos Fabrice.
Il avait l'air malheureux en disant cela..
-et les fesses ?
-j'ai l'impression qu'elles sont ankylosées dit il en souriant.
-pourtant je les ai secoué quand même!
Il rigole quand même.
-viens on va voir dans ma pharmacie, je dois avoir une pommade pour relaxer les muscles, tu m'en mettras.

On est allé fouiner dans la salle de bains et, effectivement il avait ça.
-Je vais m'allonger à plat ventre sur le lit et tu vas me mettre ça partout où je te dirais que cela me fait mal dit il avec un grand sourire.
Il s'installe et je le tâte partout sur le dos pour délimiter les endroits, quand je pose la pommade, penché sur lui:
-dis... Fabrice, viens t'allonger près de moi et donne moi ta queue à lécher ça va me faire patienter dit il en riant.
J'ai pris la position demandée et ma queue s'est remise à bander dans la bouche experte de Timéo. Putain de coups de langue sur le gland, sa langue l'enveloppait en le caressant, c'est vraiment un gourmand ce mec!

Et moi j'étalais la pommade de mi dos au bas des fesses et ce n'était pas une corvée. J'ai pris mon temps, appréciant la peau douce et chaude j'étalais la pommade et je faisais des bisous sur les fesses qui le faisaient rire, alors j'insistais juste pour l'entendre rire.
Je crois que j'avais jamais caressé des fesses aussi longtemps mais quand on se fait sucer et lécher en même temps. Quand il a senti que j'étais encore excité.. il s'est mis à avaler ma queue toute entière, la serrant bien entre ses lèvres, me piper rapidement et quand elle a sursauté dans sa bouche, durcissant encore plus je l'ai senti aspirer le gland au même moment que la sauce giclait dans sa bouche. Quelle sensation! et à chaque giclée il aspirait comme pour bien être sûr de tout récupérer.
Puis de lécher, lécher encore et souffler dessus j'avais l'impression d'être dans une station service de lavage!!

-maintenant j'ai envie de dormir dit Timéo en baillant, viens dans mes bras Fabrice.
Comment refuser une si belle invitation.
On s'est installé, tous les deux sur le côté, les jambes emmêlées.
-j'aime bien avoir un nain nain quand je dors dit il en me souriant.
-alors dors bien mon beau cycliste!
-pour un jardinier paysagiste tu te débrouilles bien en sauvetage quand même!
-j'adore sauver les beaux gosses! dis je en lui faisant un bisou. Mais toi ? tu fais quoi comme boulot ?
-je travaille comme libraire à la Grande Librairie du centre ville.
-ben! je t'ai jamais vu j'y vais de temps en temps et je n'ai vu que des filles.
-pourtant je suis là également dit il, et moi non plus je ne t'ai jamais vu.
-dors maintenant mon bel handicapé, demain c'est dimanche !

Comme on s'est endormi, on s'est réveillé, on avait pas bougé d'un poil.
Au réveil on bandait. Mais il n'y avait pas que nos queues qui étaient raides. Le dos et les fesses de Timéo avaient encore changé de couleurs et il était impossible de le toucher.
J'ai de nouveau étaler de la pommade. L'effleurant, il criait et ses yeux pleuraient malgré lui.
Lorsqu'il a voulu marcher on aurait un petit vieux de 80 ans plié en deux.

On en a rigolé mais je voyais bien qu'il avait mal.
-je vais aller à la pharmacie de garde leur demander un truc plus fort mais pour bien leur faire comprendre je vais prendre en photo ton dos et tes fesses.
Il riait quand même.
-y va aller montrer mon cul à la pharmacie maintenant!!
Mais il s'est laissé faire et je suis allé à cette pharmacie.
J'avoue, et je ne lui ai dit que quelques temps après, que l'on a bien rigolé à la pharmacie avec la femme présente mais qui m'a donné la crème et des médicaments qui une fois pris lui ont fait un bien fou.
Mais j'ai passé un dimanche à faire le garde malade. Bon c'est vrai qu'il m'a sucé plusieurs fois disant que c'est la seule chose qu'il pouvait faire.
Si je lui touchais sa queue bandante, quand il se contractait cela lui faisait mal dans le dos.

Mais on est devenu amis, de grands amis, on se voit encore souvent!
Quand je reçois un message disant " le dos me fera mal ce soir" je sais qu'on va passer une bonne nuit!

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