Le déménagement.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le déménagement.
Je ne sais pas vous, mais j'ai j'ai déménagé plusieurs fois jusqu'à présent. Bon on dirait que je ne vais plus bouger, mais on ne sait jamais.
Je me suis souvenu de l'avant dernier déménagement.
Comme tout le monde, au fur et à mesure des années on entasse plus de choses si bien que j'ai préféré prendre une société de déménagement.
Comme il y avait pas mal de kilomètres ils sont venus la veille pour emballer tout ce qu'il y avait à emballer, préparer le tout et dès le lendemain matin, ils étaient là pour enlever.
Trois mecs, deux armoires à glace et un baraqué! le baraqué était le chef. Un mec d'une trentaine d'années qui m'a fait fantasmer tout de suite quand je l'ai vu. Ses deux compères plus âgés bossaient comme des fous, fallait voir les monstres que j'avais à la maison.
Le chef, Stéphane était un mec chaleureux, qui semblait bien connaître son boulot, ils ont tout emballé en un temps record et moi je matais les bosseurs.
Quand Stéphane s'est mis en tee-shirt, la sueur perlait sur son front, ses cheveux étaient humides et frisottaient. Il avait de beaux yeux noirs profonds et une façon de fixer les gens, moi ça me faisait fondre. Il m'aurait ouvert les bras devant ses mecs je n'aurais pas hésité!
Le lendemain matin, ils étaient là de bonne heure pour charger leur camion et l'on devait se retrouver dans mon nouveau domicile dans le milieu de l'après-midi.
Vers 15 heures j'ai reçu un appel disant qu'ils étaient en panne et qu'ils arriveraient plus tard que prévu, si bien qu'ils sont arrivés vers 18 heures.
Stéphane avait l'air malheureux de ne pas avoir respecté ses horaires.
Ils se sont mis rapidement au boulot, deux heures après les meubles étaient remontés. Il ne restait plus, si je puis dire à ouvrir les paquets pour ranger.
Je voyais bien que les deux armoires à glace regardaient souvent leur montre.
Stéphane est venu me voir.
-pour me faire pardonner mon retard je vais ramener mes gars pour qu'ils rentrent chez eux et je reviens vous aider pour finir le rangement si vous voulez bien.
Tu parles que j'étais d'accord avec son plan, mais j'ai fait comme si il n'était pas obligé de le faire.
-oh je vais bien y arriver vous en faites pas.
-oui mais cela me permettra de voir s'il y a de la casse ou pas, comme ça y'aura pas de problème.
-d'accord j'ai répondu.
-vous pouvez commencer à ranger les colis de linge là ça craint rien et je reviens dans une petite heure.
J'avais faim moi! et je n'avais que des conserves, j'ai regardé mes boites et je me suis lancé dans le rangement.
Même pas une heure après il était de retour, une baguette de pain sous le bras, une bouteille de vin et un paquet le sourire aux lèvres.
-j'ai eu une petite faim et le super marché était encore ouvert alors j'ai pris de la charcuterie, histoire de se caler l'estomac.
Alors on s'est attablé face à face et je pouvais l'observer à ma guise, vraiment un beau mec! en tout cas il me plaisait.
Il avait tout le temps le sourire aux lèvres et, souvent mes yeux s'égaraient dessus, j'avais envie de les mordre.
Il parlait pratiquement tout seul de son métier, de ses rencontres avec des gens pas agréables, de sa vie, qu'il était célibataire et que cela lui permettait de faire pas mal de rencontres.
J'avais l'impression qu'il me chauffait, avec ses sourires, ses regards en coin, sa manière de me regarder quand je me relevais je sentais son regard sur moi.
-bon allez! au boulot dit il en se relevant, sinon on va faire nocturne.
Il a ouvert les paquets restants et c'est vrai qu'à deux, ce fût plus vite rangé.
Plusieurs fois nos mains se sont touchées, moi ça me mettait dans tous mes états, et, plus l'heure avançait, plus je bandais, plus j'avais chaud alors qu'on était tous les deux en tee-shirt.
On s'est retrouvé côte à côte pour le dernier colis. Il m'a donné un petit coup d'épaule.
-allez mec! dernière ligne droite et après on boit un coup! tu l'as bien mérité! t'as bossé comme un vrai déménageur dit il en riant.
C'était la première fois qu'il me tutoyait et d'avoir senti sa peau contre la mienne n'a pas arrangé Popaul dans le caleçon qui restait en position haute.
Je n'osais pas trop regarder son entrejambe de peur de me faire griller.
Il a ouvert le dernier paquet et me passait les objets pour que je les range.
Tout fut plié rapidement.
Tout allait s'arrêter.
On transpirait tous les deux quand on s'est regardé, les bras ballants.
C'est lui qui a fait un pas vers moi.
-ça va plus vite à deux et je te devais bien ça avec le retard.
-c'est toujours mieux à deux, j'ai dit en le fixant.
Il souriait en me prenant le menton.
-et il pense à quoi mon client ? demande t-il en me fixant.
-j'espère à la même chose que toi monsieur le chef déménageur.
-mais c'est un coquin monsieur le client, ça serait pas toi qui aurait trafiqué le camion pour que je revienne te voir ce soir ?
-je suis démasqué monsieur le chef déménageur dis je en baissant les yeux.
Ses deux doigts me serrent le menton en le tirant vers lui.
J'ai ses yeux noirs qui me fixent.
-mais alors il va falloir que je sévisse monsieur le client.
-tu ne vas pas me battre monsieur le chef déménageur.
-j'hésite dit il, j'hésite entre plusieurs choses, t'as de beaux yeux monsieur le client, noisettes comme ça j'adore et je me demande si ce ne sont pas des yeux de coquin, de gros coquin voir de salope.
Il me tenait toujours le menton fermement mais quand il parlait je sentais son souffle sur mon visage, ses lèvres touchaient presque les miennes, nos nez se frottaient, ses yeux noirs avaient durcis mais cela semblait faux, comme s'il se forçait.
-alors monsieur le client ? salope ou pas salope ?
Ses yeux étaient redevenus tendres, il jouait.
-si tu savais dis je tout bas.
Mes mains se sont posées sur ses hanches, l'attirant à moi, le collant à mon bassin, il s'est laissé faire, j'ai caressé le dos, sentir ses muscles durs, passer mes mains sous le tee-shirt et toucher la peau douce et chaude, encore humide de sueur. Sa main a quitté mon menton et ses lèvres se sont emparées des miennes. Il a fermé les yeux et j'ai senti sa langue s'aventurer dans ma bouche, me fouiller partout où elle pouvait, et rencontrer la mienne qui n'est pas restée inactive, si bien qu'on a gémi ensemble.
Il bougeait son bassin contre le mien, je sentais une belle barre se frotter contre la mienne.
Ses mains se baladaient sur mon corps, mon beau corps!! et le baiser continuait, il m'inondait de salive qui coulait dans ma gorge aspirant ma langue.
On s'est enlevé nos tee-shirt en même temps, pas le temps de voir son corps, qu'il collait son torse au mien et reprenait son baiser.
Mais avoir ses mains usées par les cartons me caresser la peau, me donnaient des frissons.
J'avais envie de le voir nu, d'admirer cette bête!
Mais c'est lui qui m'a déshabillé en disant.
-j'ai l'habitude défaire les colis, laisse moi faire monsieur le client.
Je me suis retrouvé nu devant lui. Son pantalon, à l'entrejambe avait doublé de volume.. il est resté à un mètre de moi pour m'observer, je sentais son regard passer partout, regarder ma belle queue qui indiquait midi toute heureuse, le gland pas encore tout découvert mais la rosée sortait déjà. Je me suis retourné pour lui montrer l'arrière et il a sifflé.
-alors c'est pour moi tout ça ?
J'ai rigolé en le regardant..
-oui mais on est pas à égalité.
Il a enlevé ses grosses chaussures, un léger fumet s'est dégagé, il a rougi le beau mec!
-désolé dit il après une journée de travail, je sens un peu des pieds.
J'ai haussé les épaules lui faisant comprendre que je m'en foutais royalement. Il a retiré ses chaussettes, l'odeur s'est accentuée. Il a ouvert son pantalon qui est tombé à terre, il a sorti ses jambes, putain de cuisses! et mes yeux ont regardé le boxer qui lui collait à la peau, dessinant une queue! mazette y'avait à bouffer! mon dessert était avancé! je m'en pourléchais déjà les lèvres tout comme j'avais imaginé depuis la veille.
Il a baissé et enlevé rapidement son boxer libérant une queue magnifique. Le gland déjà décalotté, un gland bien dessiné, qui semblait dur comme du roc, une hampe large qui arrivait dans une forêt de poils noirs comme l'ébène et une paire de couille pendait. J'ai eu envie de suite de me mettre à genoux devant lui mais je l'ai laissé faire car il s'approchait déjà de moi, collant sa queue sur la mienne, m'approchant de lui.
-mes mecs ont bien monté le lit ?
-oui
-alors on va aller voir si tout est en ordre.
-y'a pas de drap ni de couverture, je n'ai pas fait le lit encore.
Il me regarde d'un petit sourire, air de dire "c'est pas important", me soulève dans ses bras puissants et prend la direction de la chambre pour me déposer sur le lit et s'allonge sur moi reprenant son baiser.
De tendre, doux, caressant il est passé directif et j'ai obéi en tout ce qu'il demandait.
Il m'a soulé de bisous, de caresses, tant sur mon corps, ma queue, mon cul, mes pieds comme s'il me montrait ce que j'allais devoir lui faire.
J'ai joui une première fois quand il a pris ma queue en main, sa main chaude l'enveloppait, la serrait fortement. Il l'a branlé en deux coups et j'ai hurlé en jutant sur lui.
-voilà maintenant tu vas pouvoir t'occuper de mon plaisir ma belle petite salope, hein que t'es une belle salope ?
Je souriais en le regardant.
-tu vas me lécher des pieds à la tête ma belle petite salope et pas de la léchouille hein, tu vas user ta langue sur ma peau et après je te donnerais ta récompense.
Il s'est allongé sur le lit, sur le dos, les bras repliés sous sa tête, me montrant des aisselles poilues comme son torse, ses abdos, son sexe, ses cuisses, ses pieds jusqu'aux orteils qui avaient tous une petite touffe de poils.
Il m'a tendu un pied et j'ai léché, léché comme j'aime le faire à un beau mec qui me plait. J'aime qu'on me dirige, qu'on "m'oblige" à faire quelque chose et je peux vous dire que lécher, bouffer ce mec fut un réel plaisir.
Certes ses pieds sentaient bien les pieds mais ce n'est que de la sueur et ils étaient bons ses pieds à Stéphane, je me suis régalé. Il m'a laissé faire comme j'avais envie, n'a pas cherché comme certains à t'engouffrer tout le pied dans la gueule à t'étouffer!
Je suis remonté sur ses jambes, ses cuisses. Je les ai caressé, léché, embrassé pour arriver à mettre mon nez sur ses couilles, humer son odeur de sexe, de mâle, de vrai mâle en rut. Il a écarté les jambes, les couilles sont remontées et se sont placées de chaque côté de sa verge. Je voyais son poil noir descendre dans le début de sa raie quand je me suis penché sur les couilles, son cul s'est relevé et j'ai vu la raie ouverte, couverte de poils noirs drus j'ai passé mes mains sous les fesses pour les soulever. Ses jambes se sont écartées encore plus, j'ai passé la langue dans la raie poilue, cherchant le petit trou, le découvrir avec ma langue, écarter les poils, les coller sur les côtés, sentir la peau de l'anus du bout de la langue, l'inonder, lécher et l'entendre pousser un long gémissement.
Le mâle m'offrait son cul.
Après avoir bouffé ses pieds, j'ai bouffé son cul.
Voir l'anus apparaitre dans la toison, le voir palpiter, l'inonder, le forcer, le voir s'ouvrir un peu. Je n'y ai pas touché avec mon doigt, uniquement avec ma langue car il gémissait mon déménageur avec une langue au cul! alors je l'ai fait gémir avant de le délaisser pour que ma langue poursuive son chemin, revenant aux couilles, léchant la hampe douce, chaude, soulevant cette belle tige, observant ce gland, ce gros gland au méat ouvert, appréciant la dureté, la grosseur.
Putain j'allais la sentir passer celle là! j'ai pensé en déposant mes lèvres, enveloppant le gland coulant et l'entendre encore pousser de petits gémissements.
J'ai réussi à tout avaler, à m'en déboiter la mâchoire et m'étouffer quand le gland à pousser ma luette mais j'avais les lèvres dans ses poils et il me tenait la tête! quand il m'a lâché, j'avais les yeux en larmes et je peinais à respirer.
Il me regardait en souriant.
Il m'a pris par les oreilles pour m'attirer à lui, sur lui.
-quand je t'ai vu la première fois dit il, j'ai eu envie de toi de suite, je t'ai observé mine de rien, et plus je te regardais plus j'avais envie. Alors il est temps que je te goûte mec! t'es d'accord pour me donner ton cul ? que je te ramone comme tu le mérites. Ma queue et mon cul ont grandement aimé ta bouche et ta langue, si t'es sage je t'offrirais mon cul après si t'en veux bien sûr! hein ma belle petite salope ?
-je l'ai senti ton regard qui matait mon cul. Moi aussi j'ai eu envie de toi, bien sûr que tu peux faire tout ce que tu veux, t'es long d'ailleurs pour un chef déménageur!
Il rigole en me poussant de lui, me fait mettre à quatre pattes.
-ouvre moi bien ce petit cul de salope que je vois où je vais fourrer ma queue.
Je lui ai montré ce qu'il voulait voir. J'ai senti son doigt passer dans ma raie imberbe de blond, toucher l'anus, appuyer dessus, comme s'il essayait l'élasticité. Ses mains m'ont écarté les fesses durement et j'ai senti son souffle sur l'anus, il soufflait, avant de cracher, lécher, forer. Sa langue était dure et entrait facilement dans mon cul, l'inondant et mon cul s'est ouvert. Il a mis deux doigts direct s'enfonçant en moi, tournant, et moi je râlais, je gémissais comme vraiment la salope qui sommeille en moi.
Le doigté a duré un moment, j'étais bien ouvert quand son gland est venu se poser sur l'entrée, ses mains en haut des fesses.
J'ai senti qu'il forçait, mon anus s'ouvrait, le sphincter commençait à envelopper le gros gland, ça entrait doucement quand il m'a mis deux claques sur les fesses, me faisant sursauter au moment où le gland glissait en moi me faisant hurler.
-respire fort dit il doucement, le plus gros est entré maintenant c'est le plus long qui va suivre!
Ca pour être envahi j'ai été envahi. Sentir ce gros morceau coulisser dans mon conduit, ses mains qui me serraient et d'un seul coup, ses couilles se frotter aux miennes et ses poils caresser mes fesses.
Il m'a fait plein de caresses sur les fesses, le dos, je sentais son gros morceau bouger en moi, comme s'il s'installait!
Et le ramonage de printemps est arrivé. Quel plaisir de sentir coulisser ce gros machin lentement. Mais quand il a pris de la vitesse, de la force, que mon cul était bien ouvert et s'offrait, ce salaud! je n'ai pas cessé de gueuler, de crier, de geindre mais de bien tendre mon cul.
Quand il s'est bloqué au fond de moi, ses mains m'ont enveloppé, me redressant contre lui et j'ai senti l'inondation telle un tsunami brûlant se répandre en moi. Il gémissait à mon oreille, comme moi je grognais. Sa main a pris ma queue, sa bouche sur mon cou, ses dents m'ont mordu assez fort et il finissait de se vider en moi.
Il m'a repoussé en avant, sortant lentement laissant au sphincter le temps de se refermer, m'a fait mettre sur le dos et s'est jeté sur ma queue pour me bouffer les couilles, tirant dessus avec sa bouche, les noyant, les faisant rouler dans sa salive. J'étais chaud comme la braise quand sa bouche s'est emparée de ma queue. J'ai bien senti qu'il peinait quand même à tout avaler mais mon gland s'est réfugié au fond de sa gorge et il s'est mis à me piper comme le chef déménageur qu'il est.
Quand je me mettais à gueuler trop fort, il ralentissait, arrêtait, serrant ma tige dans sa main et reprenait sa pipe jusqu'à ce que je le désaltère de ma liqueur du soir et il a tout avalé ce gourmand.
Il est venu me prendre dans ses bras, et reprendre ses baisers, me faire goûter sa langue, ses yeux brillaient. Il avait l'air heureux mon chef déménageur.
-tu m'as crevé monsieur le client!
-ah ah et c'est chef déménageur!! un coup de bite et t'es fatigué!!
Il rigole en me serrant contre lui.
-toi t'en veux encore me chuchote t-il à l'oreille.
-pas toi ?
-je te propose de reprendre des forces après je t'offre mon cul, tu le remplis, tu bois mon jus, on refait une pose et on recommence jusqu'au matin, t'en penses quoi ?
-chiche!
Et on l'a fait. Heureusement il ne travaillait pas le lendemain car on s'est réveillé il était près de midi.
On avait des têtes de déterrés, des cernes partout. Quand on s'est regardé on a éclaté de rire.
-c'est ta faute m'a t-il dit, toi et tes paris!
-tu regrettes ? parce que moi non.
-non mais la prochaine fois, tu promets qu'on ne fait pas ça toute la nuit.
Je rigole.
-alors on commencera un samedi pour finir le dimanche soir.
Et on s'est revu plusieurs fois. J'ai toujours adoré ce mec, pas de chichis, pas d'amour, mais du sexe! de la baise certes avec de la tendresse. On s'est dit qu'on s'aimait mais comme il disait c'est dans le feu de l'action..!
Et, depuis mon nouveau déménagement je ne l'ai pas revu.
Je me suis souvenu de l'avant dernier déménagement.
Comme tout le monde, au fur et à mesure des années on entasse plus de choses si bien que j'ai préféré prendre une société de déménagement.
Comme il y avait pas mal de kilomètres ils sont venus la veille pour emballer tout ce qu'il y avait à emballer, préparer le tout et dès le lendemain matin, ils étaient là pour enlever.
Trois mecs, deux armoires à glace et un baraqué! le baraqué était le chef. Un mec d'une trentaine d'années qui m'a fait fantasmer tout de suite quand je l'ai vu. Ses deux compères plus âgés bossaient comme des fous, fallait voir les monstres que j'avais à la maison.
Le chef, Stéphane était un mec chaleureux, qui semblait bien connaître son boulot, ils ont tout emballé en un temps record et moi je matais les bosseurs.
Quand Stéphane s'est mis en tee-shirt, la sueur perlait sur son front, ses cheveux étaient humides et frisottaient. Il avait de beaux yeux noirs profonds et une façon de fixer les gens, moi ça me faisait fondre. Il m'aurait ouvert les bras devant ses mecs je n'aurais pas hésité!
Le lendemain matin, ils étaient là de bonne heure pour charger leur camion et l'on devait se retrouver dans mon nouveau domicile dans le milieu de l'après-midi.
Vers 15 heures j'ai reçu un appel disant qu'ils étaient en panne et qu'ils arriveraient plus tard que prévu, si bien qu'ils sont arrivés vers 18 heures.
Stéphane avait l'air malheureux de ne pas avoir respecté ses horaires.
Ils se sont mis rapidement au boulot, deux heures après les meubles étaient remontés. Il ne restait plus, si je puis dire à ouvrir les paquets pour ranger.
Je voyais bien que les deux armoires à glace regardaient souvent leur montre.
Stéphane est venu me voir.
-pour me faire pardonner mon retard je vais ramener mes gars pour qu'ils rentrent chez eux et je reviens vous aider pour finir le rangement si vous voulez bien.
Tu parles que j'étais d'accord avec son plan, mais j'ai fait comme si il n'était pas obligé de le faire.
-oh je vais bien y arriver vous en faites pas.
-oui mais cela me permettra de voir s'il y a de la casse ou pas, comme ça y'aura pas de problème.
-d'accord j'ai répondu.
-vous pouvez commencer à ranger les colis de linge là ça craint rien et je reviens dans une petite heure.
J'avais faim moi! et je n'avais que des conserves, j'ai regardé mes boites et je me suis lancé dans le rangement.
Même pas une heure après il était de retour, une baguette de pain sous le bras, une bouteille de vin et un paquet le sourire aux lèvres.
-j'ai eu une petite faim et le super marché était encore ouvert alors j'ai pris de la charcuterie, histoire de se caler l'estomac.
Alors on s'est attablé face à face et je pouvais l'observer à ma guise, vraiment un beau mec! en tout cas il me plaisait.
Il avait tout le temps le sourire aux lèvres et, souvent mes yeux s'égaraient dessus, j'avais envie de les mordre.
Il parlait pratiquement tout seul de son métier, de ses rencontres avec des gens pas agréables, de sa vie, qu'il était célibataire et que cela lui permettait de faire pas mal de rencontres.
J'avais l'impression qu'il me chauffait, avec ses sourires, ses regards en coin, sa manière de me regarder quand je me relevais je sentais son regard sur moi.
-bon allez! au boulot dit il en se relevant, sinon on va faire nocturne.
Il a ouvert les paquets restants et c'est vrai qu'à deux, ce fût plus vite rangé.
Plusieurs fois nos mains se sont touchées, moi ça me mettait dans tous mes états, et, plus l'heure avançait, plus je bandais, plus j'avais chaud alors qu'on était tous les deux en tee-shirt.
On s'est retrouvé côte à côte pour le dernier colis. Il m'a donné un petit coup d'épaule.
-allez mec! dernière ligne droite et après on boit un coup! tu l'as bien mérité! t'as bossé comme un vrai déménageur dit il en riant.
C'était la première fois qu'il me tutoyait et d'avoir senti sa peau contre la mienne n'a pas arrangé Popaul dans le caleçon qui restait en position haute.
Je n'osais pas trop regarder son entrejambe de peur de me faire griller.
Il a ouvert le dernier paquet et me passait les objets pour que je les range.
Tout fut plié rapidement.
Tout allait s'arrêter.
On transpirait tous les deux quand on s'est regardé, les bras ballants.
C'est lui qui a fait un pas vers moi.
-ça va plus vite à deux et je te devais bien ça avec le retard.
-c'est toujours mieux à deux, j'ai dit en le fixant.
Il souriait en me prenant le menton.
-et il pense à quoi mon client ? demande t-il en me fixant.
-j'espère à la même chose que toi monsieur le chef déménageur.
-mais c'est un coquin monsieur le client, ça serait pas toi qui aurait trafiqué le camion pour que je revienne te voir ce soir ?
-je suis démasqué monsieur le chef déménageur dis je en baissant les yeux.
Ses deux doigts me serrent le menton en le tirant vers lui.
J'ai ses yeux noirs qui me fixent.
-mais alors il va falloir que je sévisse monsieur le client.
-tu ne vas pas me battre monsieur le chef déménageur.
-j'hésite dit il, j'hésite entre plusieurs choses, t'as de beaux yeux monsieur le client, noisettes comme ça j'adore et je me demande si ce ne sont pas des yeux de coquin, de gros coquin voir de salope.
Il me tenait toujours le menton fermement mais quand il parlait je sentais son souffle sur mon visage, ses lèvres touchaient presque les miennes, nos nez se frottaient, ses yeux noirs avaient durcis mais cela semblait faux, comme s'il se forçait.
-alors monsieur le client ? salope ou pas salope ?
Ses yeux étaient redevenus tendres, il jouait.
-si tu savais dis je tout bas.
Mes mains se sont posées sur ses hanches, l'attirant à moi, le collant à mon bassin, il s'est laissé faire, j'ai caressé le dos, sentir ses muscles durs, passer mes mains sous le tee-shirt et toucher la peau douce et chaude, encore humide de sueur. Sa main a quitté mon menton et ses lèvres se sont emparées des miennes. Il a fermé les yeux et j'ai senti sa langue s'aventurer dans ma bouche, me fouiller partout où elle pouvait, et rencontrer la mienne qui n'est pas restée inactive, si bien qu'on a gémi ensemble.
Il bougeait son bassin contre le mien, je sentais une belle barre se frotter contre la mienne.
Ses mains se baladaient sur mon corps, mon beau corps!! et le baiser continuait, il m'inondait de salive qui coulait dans ma gorge aspirant ma langue.
On s'est enlevé nos tee-shirt en même temps, pas le temps de voir son corps, qu'il collait son torse au mien et reprenait son baiser.
Mais avoir ses mains usées par les cartons me caresser la peau, me donnaient des frissons.
J'avais envie de le voir nu, d'admirer cette bête!
Mais c'est lui qui m'a déshabillé en disant.
-j'ai l'habitude défaire les colis, laisse moi faire monsieur le client.
Je me suis retrouvé nu devant lui. Son pantalon, à l'entrejambe avait doublé de volume.. il est resté à un mètre de moi pour m'observer, je sentais son regard passer partout, regarder ma belle queue qui indiquait midi toute heureuse, le gland pas encore tout découvert mais la rosée sortait déjà. Je me suis retourné pour lui montrer l'arrière et il a sifflé.
-alors c'est pour moi tout ça ?
J'ai rigolé en le regardant..
-oui mais on est pas à égalité.
Il a enlevé ses grosses chaussures, un léger fumet s'est dégagé, il a rougi le beau mec!
-désolé dit il après une journée de travail, je sens un peu des pieds.
J'ai haussé les épaules lui faisant comprendre que je m'en foutais royalement. Il a retiré ses chaussettes, l'odeur s'est accentuée. Il a ouvert son pantalon qui est tombé à terre, il a sorti ses jambes, putain de cuisses! et mes yeux ont regardé le boxer qui lui collait à la peau, dessinant une queue! mazette y'avait à bouffer! mon dessert était avancé! je m'en pourléchais déjà les lèvres tout comme j'avais imaginé depuis la veille.
Il a baissé et enlevé rapidement son boxer libérant une queue magnifique. Le gland déjà décalotté, un gland bien dessiné, qui semblait dur comme du roc, une hampe large qui arrivait dans une forêt de poils noirs comme l'ébène et une paire de couille pendait. J'ai eu envie de suite de me mettre à genoux devant lui mais je l'ai laissé faire car il s'approchait déjà de moi, collant sa queue sur la mienne, m'approchant de lui.
-mes mecs ont bien monté le lit ?
-oui
-alors on va aller voir si tout est en ordre.
-y'a pas de drap ni de couverture, je n'ai pas fait le lit encore.
Il me regarde d'un petit sourire, air de dire "c'est pas important", me soulève dans ses bras puissants et prend la direction de la chambre pour me déposer sur le lit et s'allonge sur moi reprenant son baiser.
De tendre, doux, caressant il est passé directif et j'ai obéi en tout ce qu'il demandait.
Il m'a soulé de bisous, de caresses, tant sur mon corps, ma queue, mon cul, mes pieds comme s'il me montrait ce que j'allais devoir lui faire.
J'ai joui une première fois quand il a pris ma queue en main, sa main chaude l'enveloppait, la serrait fortement. Il l'a branlé en deux coups et j'ai hurlé en jutant sur lui.
-voilà maintenant tu vas pouvoir t'occuper de mon plaisir ma belle petite salope, hein que t'es une belle salope ?
Je souriais en le regardant.
-tu vas me lécher des pieds à la tête ma belle petite salope et pas de la léchouille hein, tu vas user ta langue sur ma peau et après je te donnerais ta récompense.
Il s'est allongé sur le lit, sur le dos, les bras repliés sous sa tête, me montrant des aisselles poilues comme son torse, ses abdos, son sexe, ses cuisses, ses pieds jusqu'aux orteils qui avaient tous une petite touffe de poils.
Il m'a tendu un pied et j'ai léché, léché comme j'aime le faire à un beau mec qui me plait. J'aime qu'on me dirige, qu'on "m'oblige" à faire quelque chose et je peux vous dire que lécher, bouffer ce mec fut un réel plaisir.
Certes ses pieds sentaient bien les pieds mais ce n'est que de la sueur et ils étaient bons ses pieds à Stéphane, je me suis régalé. Il m'a laissé faire comme j'avais envie, n'a pas cherché comme certains à t'engouffrer tout le pied dans la gueule à t'étouffer!
Je suis remonté sur ses jambes, ses cuisses. Je les ai caressé, léché, embrassé pour arriver à mettre mon nez sur ses couilles, humer son odeur de sexe, de mâle, de vrai mâle en rut. Il a écarté les jambes, les couilles sont remontées et se sont placées de chaque côté de sa verge. Je voyais son poil noir descendre dans le début de sa raie quand je me suis penché sur les couilles, son cul s'est relevé et j'ai vu la raie ouverte, couverte de poils noirs drus j'ai passé mes mains sous les fesses pour les soulever. Ses jambes se sont écartées encore plus, j'ai passé la langue dans la raie poilue, cherchant le petit trou, le découvrir avec ma langue, écarter les poils, les coller sur les côtés, sentir la peau de l'anus du bout de la langue, l'inonder, lécher et l'entendre pousser un long gémissement.
Le mâle m'offrait son cul.
Après avoir bouffé ses pieds, j'ai bouffé son cul.
Voir l'anus apparaitre dans la toison, le voir palpiter, l'inonder, le forcer, le voir s'ouvrir un peu. Je n'y ai pas touché avec mon doigt, uniquement avec ma langue car il gémissait mon déménageur avec une langue au cul! alors je l'ai fait gémir avant de le délaisser pour que ma langue poursuive son chemin, revenant aux couilles, léchant la hampe douce, chaude, soulevant cette belle tige, observant ce gland, ce gros gland au méat ouvert, appréciant la dureté, la grosseur.
Putain j'allais la sentir passer celle là! j'ai pensé en déposant mes lèvres, enveloppant le gland coulant et l'entendre encore pousser de petits gémissements.
J'ai réussi à tout avaler, à m'en déboiter la mâchoire et m'étouffer quand le gland à pousser ma luette mais j'avais les lèvres dans ses poils et il me tenait la tête! quand il m'a lâché, j'avais les yeux en larmes et je peinais à respirer.
Il me regardait en souriant.
Il m'a pris par les oreilles pour m'attirer à lui, sur lui.
-quand je t'ai vu la première fois dit il, j'ai eu envie de toi de suite, je t'ai observé mine de rien, et plus je te regardais plus j'avais envie. Alors il est temps que je te goûte mec! t'es d'accord pour me donner ton cul ? que je te ramone comme tu le mérites. Ma queue et mon cul ont grandement aimé ta bouche et ta langue, si t'es sage je t'offrirais mon cul après si t'en veux bien sûr! hein ma belle petite salope ?
-je l'ai senti ton regard qui matait mon cul. Moi aussi j'ai eu envie de toi, bien sûr que tu peux faire tout ce que tu veux, t'es long d'ailleurs pour un chef déménageur!
Il rigole en me poussant de lui, me fait mettre à quatre pattes.
-ouvre moi bien ce petit cul de salope que je vois où je vais fourrer ma queue.
Je lui ai montré ce qu'il voulait voir. J'ai senti son doigt passer dans ma raie imberbe de blond, toucher l'anus, appuyer dessus, comme s'il essayait l'élasticité. Ses mains m'ont écarté les fesses durement et j'ai senti son souffle sur l'anus, il soufflait, avant de cracher, lécher, forer. Sa langue était dure et entrait facilement dans mon cul, l'inondant et mon cul s'est ouvert. Il a mis deux doigts direct s'enfonçant en moi, tournant, et moi je râlais, je gémissais comme vraiment la salope qui sommeille en moi.
Le doigté a duré un moment, j'étais bien ouvert quand son gland est venu se poser sur l'entrée, ses mains en haut des fesses.
J'ai senti qu'il forçait, mon anus s'ouvrait, le sphincter commençait à envelopper le gros gland, ça entrait doucement quand il m'a mis deux claques sur les fesses, me faisant sursauter au moment où le gland glissait en moi me faisant hurler.
-respire fort dit il doucement, le plus gros est entré maintenant c'est le plus long qui va suivre!
Ca pour être envahi j'ai été envahi. Sentir ce gros morceau coulisser dans mon conduit, ses mains qui me serraient et d'un seul coup, ses couilles se frotter aux miennes et ses poils caresser mes fesses.
Il m'a fait plein de caresses sur les fesses, le dos, je sentais son gros morceau bouger en moi, comme s'il s'installait!
Et le ramonage de printemps est arrivé. Quel plaisir de sentir coulisser ce gros machin lentement. Mais quand il a pris de la vitesse, de la force, que mon cul était bien ouvert et s'offrait, ce salaud! je n'ai pas cessé de gueuler, de crier, de geindre mais de bien tendre mon cul.
Quand il s'est bloqué au fond de moi, ses mains m'ont enveloppé, me redressant contre lui et j'ai senti l'inondation telle un tsunami brûlant se répandre en moi. Il gémissait à mon oreille, comme moi je grognais. Sa main a pris ma queue, sa bouche sur mon cou, ses dents m'ont mordu assez fort et il finissait de se vider en moi.
Il m'a repoussé en avant, sortant lentement laissant au sphincter le temps de se refermer, m'a fait mettre sur le dos et s'est jeté sur ma queue pour me bouffer les couilles, tirant dessus avec sa bouche, les noyant, les faisant rouler dans sa salive. J'étais chaud comme la braise quand sa bouche s'est emparée de ma queue. J'ai bien senti qu'il peinait quand même à tout avaler mais mon gland s'est réfugié au fond de sa gorge et il s'est mis à me piper comme le chef déménageur qu'il est.
Quand je me mettais à gueuler trop fort, il ralentissait, arrêtait, serrant ma tige dans sa main et reprenait sa pipe jusqu'à ce que je le désaltère de ma liqueur du soir et il a tout avalé ce gourmand.
Il est venu me prendre dans ses bras, et reprendre ses baisers, me faire goûter sa langue, ses yeux brillaient. Il avait l'air heureux mon chef déménageur.
-tu m'as crevé monsieur le client!
-ah ah et c'est chef déménageur!! un coup de bite et t'es fatigué!!
Il rigole en me serrant contre lui.
-toi t'en veux encore me chuchote t-il à l'oreille.
-pas toi ?
-je te propose de reprendre des forces après je t'offre mon cul, tu le remplis, tu bois mon jus, on refait une pose et on recommence jusqu'au matin, t'en penses quoi ?
-chiche!
Et on l'a fait. Heureusement il ne travaillait pas le lendemain car on s'est réveillé il était près de midi.
On avait des têtes de déterrés, des cernes partout. Quand on s'est regardé on a éclaté de rire.
-c'est ta faute m'a t-il dit, toi et tes paris!
-tu regrettes ? parce que moi non.
-non mais la prochaine fois, tu promets qu'on ne fait pas ça toute la nuit.
Je rigole.
-alors on commencera un samedi pour finir le dimanche soir.
Et on s'est revu plusieurs fois. J'ai toujours adoré ce mec, pas de chichis, pas d'amour, mais du sexe! de la baise certes avec de la tendresse. On s'est dit qu'on s'aimait mais comme il disait c'est dans le feu de l'action..!
Et, depuis mon nouveau déménagement je ne l'ai pas revu.
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