le déménagement
Récit érotique écrit par Pontus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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le déménagement
Je venais tout juste d'avoir 20 ans. J'avais à ce moment-là une relative expérience en matière de sexe. En effet, je n'avais jamais eu que 3 partenaires, toutes aussi inexpérimentées les unes que les autres et finalement peu aventureuses. Cela dit, je ne cherchais pas non plus à forcer leurs tempérament, ou ne savais tout simplement pas comment les stimuler plus que ce qu'elles n'étaient. J'avais une petite amie, Virginie, depuis quelques mois, rencontrée à la fac, que j'avais abandonné depuis(la fac pas la petite amie), et je dois bien avouer que nos étreintes étaient pour le moins frustrantes : toujours les mêmes positions, peu de caresses, de jeux et surtout toujours dans le noir. A contrario, sa mère, Chantal, belle femme divorcée d'une cinquantaine d'années, semblait être tout l'opposé de sa fille : elle multipliait les rencontres, les aventures, les partenaires. Il m'est même arrivé plusieurs fois, alors que je dormais chez Virginie de l'entendre hurler de plaisir, le mot n'est pas trop fort, alors qu'elle recevait un bon ami. Dès que j'ai commencé à fréquenter sa fille, Chantal s'est montrée trés libre avec moi, me racontant ses coups, les bons et les mauvais amants, se baladant nue dans son appartement malgré ma présence, mais toujours de manière naturelle, sans volonté de me séduire apparente, ce qui me faisait bander au plus haut point!
Un jour, Virginie me demanda de la part de sa mère si je pouvais aider cette dernière à déménager son cabinet professionnel de Bayonne vers un coin paumé de la Creuse(j'ai oublié le nom, c'est dire si c'est paumé). Elle me demandait mon aide car elle n'avait pas assez d'argent pour embaucher de vrais déménageurs et j'étais la seule de ses connaissances à être disponible pour l'aider : son ami était en déplacement, sa fille préparait ses exams. N'ayant rien d'autre à faire, j'acceptais, en plus je ne connaissais pas la Creuse! Nous voici donc, quelques jours plus tard, chantal et moi en train de charger un camion qu'elle avait loué pour l'occasion. Enfin, nous prîmes la route vers son nouveau chez elle. Chemin faisant, nous échangions des banalités, quand la conversation dériva sur le sexe. Voici donc ma belle-mère me racontant ses expériences d'échangisme, de partouzes, de plans plus ou moins glauques et surtout de son amant actuel : "un trés mauvais coup que j'encourage en simulant". J'étais troublé et même trés excité par la conversation, j'étais plongé dans la vie sexuelle trépidante de cette merveilleuse femme! Remarquant mon trouble, elle me demanda de lui raconter mes aventures, ce que je fis en éludant toute fois la question de ma relation avec sa fille. Curieuse, elle me posait des questions voulant savoir comment était Virginie, mais je tins bon et ne lui dis rien, à son grand regret. Quand nous fûmes arrivés à destination, nous étions trop fourbus et il était trop tard pour décharger le camion. Nous partîmes à son appartement et aprés une collation frugale, la question du repos se posa : elle n'avait qu'un seul lit, pas de canapé, ni de chauffeuse, ni même de matelas. Nous devions donc pour la durée du déménagement partager la même couche : soit! Je dormais en caleçon, t-shirt, Chantal portait une chemise de nuit lambda.
A mon réveil, elle dormait toujours, mais elle était collée contre moi et sa chemise de nuit était remontée sur son corps de sorte que je sentait la peau de ses cuisses et les poils de son sexe contre mes propres cuisses : je bandais comme jamais, ne sachant trop comment faire pour éviter qu'elle ne se réveille trop tôt et n'aperçoive ma bite durcie à me faire mal de désir pour elle! J'en étais là de mes réflexions lorsqu'elle ouvrit elle aussi les yeux. Passé un léger instant pour reprendre ses esprits, elle me dit bonjour avec un sourire et repoussa les draps vers le pieds du lit pour se lever, là tout s'enchaîna comme une évidence. Mon sexe, toujours au garde-à-vous, dépassait de mon caleçon.elle le vit et une expression vicieuse éclaira son regard : "-Mais on dirait que je te fais de l'effet, petit salaud! Tu bandes pour ta belle-mère, tu n'as pas honte?!"J'essayais de présenter mes excuses mais avant même qu'un seul mot n'est franchi mes lèvres elle était déjà en train de me faire la plus belle felletion que l'on ne m'avait jamais fait. Elle m'avalait littéralement! Il ne fallu pas plus de 3 ou 4 minutes avant que je n'éjacule dans sa bouche pour son plus grand plaisir et surtout le mien! Une fois fini, elle me demanda en souriant si Virginie suçait aussi bien qu'elle et je reconnu que non, dévoilant par-là même une partie de notre relation. Après une douche commune et un rapide petit-déjeuner, nous étions à nouveau sur le lit à baiser comme des bêtes. Elle me fit découvrir ce qu'était vraiment le plaisir charnel : chaque position qu'elle prenait, chaque mouvement qu'elle faisait, chaque vulgarité qu'elle prononçait était un plaisir à chaque fois renouvelé. Elle m'apprit à donner du plaisir avec ma langue, elle me fit découvrir son cul et les joies de la sodomie : j'étais son élève, elle était ma maîtresse. Au retour du déménagement elle me posa des questions sur sa fille auxquelles je répondis sans hésiter et là, elle déclara que tant que je ne rencontrerai pas une fille ou une femme qui me satisfasse comme je le souhaitais, son lit me serait toujours ouvert, du moment que Virginie ne l'apprenait pas. J'ai aujourd'hui 27 ans, je ne sors plus avec Virginie, mais il m'arrive régulièrement d'aller où se trouve Chantal car elle bouge beaucoup pour mon plus grand plaisir.
Un jour, Virginie me demanda de la part de sa mère si je pouvais aider cette dernière à déménager son cabinet professionnel de Bayonne vers un coin paumé de la Creuse(j'ai oublié le nom, c'est dire si c'est paumé). Elle me demandait mon aide car elle n'avait pas assez d'argent pour embaucher de vrais déménageurs et j'étais la seule de ses connaissances à être disponible pour l'aider : son ami était en déplacement, sa fille préparait ses exams. N'ayant rien d'autre à faire, j'acceptais, en plus je ne connaissais pas la Creuse! Nous voici donc, quelques jours plus tard, chantal et moi en train de charger un camion qu'elle avait loué pour l'occasion. Enfin, nous prîmes la route vers son nouveau chez elle. Chemin faisant, nous échangions des banalités, quand la conversation dériva sur le sexe. Voici donc ma belle-mère me racontant ses expériences d'échangisme, de partouzes, de plans plus ou moins glauques et surtout de son amant actuel : "un trés mauvais coup que j'encourage en simulant". J'étais troublé et même trés excité par la conversation, j'étais plongé dans la vie sexuelle trépidante de cette merveilleuse femme! Remarquant mon trouble, elle me demanda de lui raconter mes aventures, ce que je fis en éludant toute fois la question de ma relation avec sa fille. Curieuse, elle me posait des questions voulant savoir comment était Virginie, mais je tins bon et ne lui dis rien, à son grand regret. Quand nous fûmes arrivés à destination, nous étions trop fourbus et il était trop tard pour décharger le camion. Nous partîmes à son appartement et aprés une collation frugale, la question du repos se posa : elle n'avait qu'un seul lit, pas de canapé, ni de chauffeuse, ni même de matelas. Nous devions donc pour la durée du déménagement partager la même couche : soit! Je dormais en caleçon, t-shirt, Chantal portait une chemise de nuit lambda.
A mon réveil, elle dormait toujours, mais elle était collée contre moi et sa chemise de nuit était remontée sur son corps de sorte que je sentait la peau de ses cuisses et les poils de son sexe contre mes propres cuisses : je bandais comme jamais, ne sachant trop comment faire pour éviter qu'elle ne se réveille trop tôt et n'aperçoive ma bite durcie à me faire mal de désir pour elle! J'en étais là de mes réflexions lorsqu'elle ouvrit elle aussi les yeux. Passé un léger instant pour reprendre ses esprits, elle me dit bonjour avec un sourire et repoussa les draps vers le pieds du lit pour se lever, là tout s'enchaîna comme une évidence. Mon sexe, toujours au garde-à-vous, dépassait de mon caleçon.elle le vit et une expression vicieuse éclaira son regard : "-Mais on dirait que je te fais de l'effet, petit salaud! Tu bandes pour ta belle-mère, tu n'as pas honte?!"J'essayais de présenter mes excuses mais avant même qu'un seul mot n'est franchi mes lèvres elle était déjà en train de me faire la plus belle felletion que l'on ne m'avait jamais fait. Elle m'avalait littéralement! Il ne fallu pas plus de 3 ou 4 minutes avant que je n'éjacule dans sa bouche pour son plus grand plaisir et surtout le mien! Une fois fini, elle me demanda en souriant si Virginie suçait aussi bien qu'elle et je reconnu que non, dévoilant par-là même une partie de notre relation. Après une douche commune et un rapide petit-déjeuner, nous étions à nouveau sur le lit à baiser comme des bêtes. Elle me fit découvrir ce qu'était vraiment le plaisir charnel : chaque position qu'elle prenait, chaque mouvement qu'elle faisait, chaque vulgarité qu'elle prononçait était un plaisir à chaque fois renouvelé. Elle m'apprit à donner du plaisir avec ma langue, elle me fit découvrir son cul et les joies de la sodomie : j'étais son élève, elle était ma maîtresse. Au retour du déménagement elle me posa des questions sur sa fille auxquelles je répondis sans hésiter et là, elle déclara que tant que je ne rencontrerai pas une fille ou une femme qui me satisfasse comme je le souhaitais, son lit me serait toujours ouvert, du moment que Virginie ne l'apprenait pas. J'ai aujourd'hui 27 ans, je ne sors plus avec Virginie, mais il m'arrive régulièrement d'aller où se trouve Chantal car elle bouge beaucoup pour mon plus grand plaisir.
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