Le dîner

- Par l'auteur HDS SoOriginalRing -
Auteur .
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de SoOriginalRing ont reçu un total de 2 764 visites.
Récit libertin : Le dîner Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 764 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le dîner
1.Le dîner

Marine arriva tard sous une pluie battante. Sa vieille voiture habituée aux petits sentiers de campagne avait encore fait une fois des siennes sur le trajet. En prime, Marine s’était perdue à l’occasion d’un détour, espérant esquiver la circulation encombrée du vendredi soir. A nouveau, elle se jura de concéder à payer l’autoroute la prochaine fois.
Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas vu Martin. Depuis si loin qu’elle s’en rappelle, leur relation avait toujours été un peu spéciale, mêlant amitié, chamaillerie et séduction plus ou moins avouée. Une relation adolescente en quelque sorte.

Bien qu’étant en couple depuis de nombreuses années, Martin avait toujours une une attirance pour Marine. Il le lui avait évoqué à l’occasion d’une discussion où il lui eu avoué sa bisexualité libérée, qu’il menait ouvertement avec sa compagne Gladys. Lors de cette révélation, sous prétexte de solliciter des conseils et de partager quelques secrets de couple, Martin avait, de manière assez maladroite, tendu une perche à Marine afin de lui suggérer qu’elle pourrait participer à l’une de leur soirée libertine si elle le souhaitait.

Mais Marine était à mille lieues de ces préoccupations. Seule depuis à peu près toujours, elle appréciait la compagnie amicale de Martin, bien qu’au plus profond d’elle même elle avait toujours été, en ayant le plus grand mal à se l’avouer, secrètement jalouse de Gladys.

Après avoir toqué, Marine ouvrit la porte d’entrée de la maison et Martin s’empressait de venir à sa rencontre :
« Sacrée Marine !! Toujours à la bourre, et de mauvaise humeur avec ça !! » l’accueillit Martin avec une bonne tape sur l’épaule, lisant sur son visage le mauvais trajet qu’elle venait de subir, avant de l’embrasser en l’enlaçant chaleureusement.

Marine lui lança : « He bien si tu n’habitais pas aussi loin et que je n’étais pas obligée de prendre la nationale avec toute cette circulation, je serai peut être plus détendue !! Et merci l’accueil, je repars maintenant ou je t’en colle une avant !!? »

« Et voila, toujours aussi agressive ; allez vas donc déposer tes affaires dans ta chambre, détends toi avec une bonne douche avant de venir diner, j’ai passé la fin de journée à te préparer un bon petit plat comme tu les adores » lui répliqua Martin, entretenant ainsi et comme toujours leur relation chien & chat.

Marine avait l’habitude que Martin soit assez directif avec elle. Elle appréciait même cela. Sous son caractère apparent de force brute, qui n’était en réalité qu’une carapace pour l’aider à évoluer dans son milieu professionnel très masculin, Marine se sentait rassurée lorsque quelqu’un prenait les devants sur ses intentions.

Alors qu’il s’affairait à la préparation de la chambre d’ami, Martin entendit l’eau s’arrêter de couler et en déduisit que Marine terminait sa douche et serait bientôt prête pour les rejoindre dîner. Tandis qu’il se dirigeait vers le salon en passant devant la salle de bain, son petit chien, qu’il avait totalement ignoré depuis le début de la soirée, décida à ce moment précis de patrouiller dans la salle de bain, et entreprit de donner quelques coups de patte sur la porte pour y entrer.

« Miiiiiiiince, au pied Mimiche !! » s’étrangla Martin, tandis que son chien pénétrait furtivement dans la salle de bain en laissant la porte entre-ouverte. « Marie n’a pas du bien flanquer le pêne de la porte! »

La vue qui s’offrait à Martin l’immobilisa subitement. Il vit Marine nue, la tête dans sa serviette tandis qu’elle s’affairait à sécher ses longs cheveux. La position qu’elle prenait exhibait totalement sa poitrine et Martin ne pouvait s’empêcher d’écarquiller les yeux devant cette scène tout à fait inédite. Il jeta un coup d’oeil rapide vers Gladys qui terminait tranquillement le montage de la table du dîner dans la pièce d’à côté. Elle était bien trop occupée pour s’apercevoir que Martin portait toute son attention sur l’entrebâillement de la porte de la salle de bain.

Martin sentait l’excitation gagner son entre jambe. Sa tension augmentait au fur et à mesure qu’il dévorait la scène du regard, enregistrant les moindres détails du joli galbe des petits seins de Marine. Son érection devenait extrême, son sexe désormais parfaitement dur ne demandait qu’à être masturbé vigoureusement. A cet instant il eu voulu entrer dans la salle de bain et la pénétrer intensément, son esprit était embrumé de pensées lubriques où Marine criait et jouissait de plaisir en écartant ses jambes afin d’offrir à Martin la meilleure position qui lui permettrait de la baiser le plus sauvagement possible. Martin sentait son sous-vêtement devenir humide. Marine termina son séchage de cheveux et, dans un dernier geste, saisie totalement la serviette pour s’en faire un chignon. Martin manqua de peu d’éjaculer accidentellement en apercevant furtivement la vulve de Marine. Obnubilé par cette chatte qu’il aperçu à peine, il ne vit pas tout de suite que Marine s’était figée, le dévisageant avec une expression de stupeur. Quand Martin s’en rendit compte, il bafouilla quelque chose d’intelligible pour tenter de se justifier. Marine ne manifestait aucune réaction à ses propos, elle maintenait une expression indéchiffrable. Etait-ce de la colère, de la déception ? Martin s’éloigna piteusement de l’entrebâillement de la porte pour rejoindre le salon, il avait désormais peur que Marine lui fasse une scène devant Gladys. Il eut l’impression que la scène s’était éternisée alors qu’elle dura probablement moins d’une minute.

Les minutes s’égrenèrent, horriblement longues, et Martin appréhendait l’arrivée de Marine dans le salon.
« Mmm ça sent vraiment bon, j’ai hâte de goûter ça » lança Marine à l’attention de Gladys en sortant de sa chambre d’ami.

Sa fraîcheur embauma la pièce, le gel douche qu’elle avait utilisé diffusait un léger parfum de vanille et de passion. Elle portait une courte robe cintrée blanche, agrémentée de motifs fleuris roses et rouge. Elle était magnifique, et déambulait pieds-nus ; c’était une habitude chez elle. Martin esquivait soigneusement son regard, mais ne pouvait s’empêcher de jeter quelques coups d’oeils lubriques vers ses fesses et ses petits seins, joliment moulés par la pièce de tissu. Il devinait aux reliefs minutieusement scrutés qu’elle portait un petit string, mais aucun soutien-gorge.

Martin retomba en pression alors que Marine enchaînait les politesses et les banalités avec Gladys. Elle ne sembla visiblement pas plus troublée que ça par l’épisode qui se déroula quelques minutes plus tôt. Le repas se passa comme si de rien n’était, Gladys se chargeant de recharger régulièrement et copieusement Marine en bon vin rouge. Si il y a bien une chose que partagent Gladys et Marine, c’est l’amour de la « bonne bouffe ». Elles allaient régulièrement visiter les établissements viticoles afin de découvrir de nouvelles cuvées, tantôt ronde et fruitée, tantôt complexe et charpentée. Elles ne manquaient jamais de revenir de leurs sorties enivrantes avec un carton de bouteilles sous le coude. Et c’était pour le plus grand plaisir de Martin qui en profitait aux repas d’amis.

Soudain Gladys reçu un appel en mode sonnerie. C’était inhabituel car aux repas elle coupait systématiquement sa sonnerie, sauf pour les appels d’urgence.

« Allo Gladys ? Oui c’est le CHU. Je suis sincèrement navrée de t’appeler si tardivement mais j’ai deux infirmières en arrêt maladie de dernière minute pour cette nuit, et 3 entrées de patients prévues dans le service! Je ne sais pas comment on va s’en sortir, pourrais-tu revenir en urgence ? ».

Gladys avait toujours été une infirmière très dévouée et professionnelle. Si par malheur ses collègues se retrouvent en sous effectif, elles savent qu’elles peuvent compter sur son renfort. Gladys ne réfléchit pas longtemps : le repas étant presque terminé, la soirée jeux de sociétés à trois pouvait très bien être reportée au lendemain soir. Elle acquiesça au téléphone puis s’empressa de s’excuser auprès de Marine et de Martin, parti préparer son sac avant de sauter dans sa voiture en moins de deux pour filer en trombe.

La rapidité de cet évènement surprise avait laissé les deux amis un peu coi. Un silence gêné s’installa. Marine se leva et commença à ranger deux ou trois affaires de la tablée, tandis que Martin alla aux toilettes sans en avoir envie pour tenter de casser ce moment d’embarras.

«  Bon sang, elle va sûrement me reparler de la douche » se mit-il a penser, s’emmêlant les idées en essayant de trouver la meilleure justification qui soit. Assez lucide, il avait bien conscience que l’explication du ‘chien qui ouvre accidentellement la porte’ n’avait aucune chance de recueillir la moindre crédibilité auprès de Marine. N’ayant aucune autre solution en tête, il sorti des toilettes avec la ferme intention de lui expliquer la vérité.

Martin se dirigea vers le salon, mais Marine n’y était pas.

« Marine ? » lança-t-il. Le grincement d’un matelas s’échappa de la chambre d’amie, et Martin tourna aussitôt les talons afin d’aller y rejoindre Marine qui devait préparer ses affaires pour la nuit.

Martin se figea bouche bée devant la porte.

Marine était sur le lit, en position de levrette. Elle avait relevée sa robe de telle sorte que son mince string était exposé au regard du premier venu.

« Monsieur le voyeur pervers est de retour ! » dit-elle d’une voix inhabituelle, emplie d’un mélange de stress et de fébrilité.

Martin ne bougeait plus. En réalité, il était complètement figé par le stress et l’excitation de ce qu’il voyait. Son rythme cardiaque venait de doubler, il sentait des bouffées de chaleur monter.

« C’est ma petite chatte que tu regardais tout à l’heure ? Tu ne t’es pas assez rincé l’oeil ? ». La voix de Marine semblait complètement enivrée et Martin sentait une érection extrêmement dure s’installer. Il ne reconnaissait pas du tout le comportement habituellement si prude de son amie. Il fit mécaniquement un pas en avant, et Marine lâcha soudainement un énorme rot bruyant. Dans un éclair de lucidité, Martin retourna dans le salon pour vérifier une chose. La bouteille de vin. Gladys et Marine avaient sifflé la quasi totalité du Bourgogne.

Tandis que ses yeux restaient fixés sur l’étiquette de la bouteille qu’il portait à bout de bras, les pensées de Martin défilaient comme un TGV lancé à pleine vitesse. « Que se passera-t-il si Gladys rentre finalement tout à l’heure, on ne sait jamais il est déjà arrivé que son rappel soit annulé en cours de route ! Et si Marine est ivre, comment va-t-elle considérer toute cette histoire demain lorsqu’elle sera sobre, va-t-elle même se rappeler de ce qu’elle fait…? »
Sous l’emprise de son stress qu’il n’arrivait pas du tout à gérer, il décida de retourner dans la chambre d’amie pour calmer le jeu avec Marine, malgré l’envie qui ne lui manquait pas d’aller réaliser tout les fantasmes qui le travaillaient depuis des années.

Il n’en revenait pas. Marine s’était endormie piteusement sur le lit. Elle avait conservée la même position, sur le ventre avec les James écartées, hormis son fessier retombé sur le matelas. Sa courte robe était toujours relevée.
Martin senti son excitation repartir de plus belle. Marine était là, offerte, endormie. Il s’approcha à pas de loup et la contempla. Elle avait de beaux pieds, qui terminaient des jambes au moins aussi belles. Ses fesses sur lesquelles il s’était tant masturbé étaient devant lui, désormais à quelques centimètres de lui. Il s’agenouilla à proximité du lit pour mieux enregistrer mentalement chaque détail du tableau vivant qui était exposé.

Son sexe se gonfla d’un coup et expulsa une petite quantité de liquide préséminal lorsqu’il réalisa que la mince ficelle de son string ne cachait absolument rien de son intimité. Les grandes lèvres charnues et crénelées de la petite chatte de Marine débordaient de part et d’autre du bout de tissu. Son anus était complètement visible. Martin saisi immédiatement son sexe et commença à se masturber devant cette vision complètement irréelle. Il senti le flux de sperme monter très rapidement depuis ses testicules, sa prostate lui lançait des décharges électriques intenses, il décida de stopper ses gestes afin de rallonger le plaisir. Son stress montait à un niveau extrême alors que le démon qui était en lui lui suggéra de caresser Marine. Il brûlait d’envie de poser ses mains sur ces fesse exhibées, de glisser son doigt sur cet anus et de goûter du bout de la langue les lèvres de Marine, humidifiées d’une fine couche de mouille qu’elle avait du sécrété avant de s’endormir.

Sa raison lui fit dire que c’était une limite à ne pas franchir. Après tout, Marine avait décidée elle même d’être ainsi affichée à la vue du premier venu ; mais la toucher sans son consentement était une autre affaire. « Et si elle se réveille pil à ce moment là ?! ». Il eut alors l’idée de se rapprocher au plus près d’elle afin de lui renifler les parties intimes. Martin voulait solliciter tout ses sens afin de ne rien gâcher de ce moment. Il reprit sa masturbation en approchant son nez de son anus, puis de sa chatte, et il se surprit à éjaculer précocement et abondamment à même le sol de la chambre. II n’en pouvait plus. Le désir lui brûlait les doigts, et le démon revint bientôt lui suggérer qu’il lui était tout à fait possible de la prendre en photo ainsi, sans la toucher. Il entreprit aussitôt d’immortaliser cette scène, certain qu’elle stimulerait sa libido pour les mois et années à venir.

Son smartphone à la main, Martin déclenchait autant qu’il le pouvait, multipliant les angles de vue. Une nouvelle érection monta rapidement, il se sentait encore plus dur que la première fois, c’était presque douloureux. Il se masturba à nouveau, son sexe sécrétait une quantité impressionnante de liquide préséminal. Alors qu’il léchait deux de ses doigts souillés pour épargner son smartphone et reprendre au plus vite sa séance de photos, il enfreint LA règle qu’il s’était édicté et juré de respecté quelques minutes plus tôt. Il pinça légèrement le string de Marine afin de le décaler vers la gauche, révélant l’entièreté de sa chatte. Des fils de mouille s’étiraient entre le string déplacé et l’entrée rosée de son vagin. Ses petites lèvres étaient superbes, son clitoris était à peine visible, il eu fallut que Marine reprenne d’elle même sa position de levrette.

Une violente pulsion parcouru le corps de Martin. Il fallait qu’il lèche, là, maintenant, cette vulve si innocemment exhibée. Martin tacha de s’approcher de la chatte de Marine en prenant mille précautions afin de ne pas la réveiller, et sorti le bout de sa langue afin d’en dessiner le tour. La mouille que Marine avait laissée sur ses lèvres était comme un nectar qu’il dégustait. La position de Marine obligeait Martin à la lécher en ayant le nez à quelques centimètres seulement de son anus. Il commençait à ressentir des étourdissements, il sentait que son excitation était extrême. Il brûlait désormais de lui goûter le cul. Sans attendre, il plongea quelques centimètres de sa langue dans son anus. Il mourait d’envie d’y glisser sa langue entière, puis sa queue. Il déclencha chez Marine une réaction presque mécanique de petites contractions en saccades, qu’il accueilli comme une invitation à continuer. Au moment où l’anus de Marine se contracta autour du bout de sa langue enfouie, Martin se senti éjaculer une seconde fois abondamment sans même avoir eu besoin de se masturber.

Cette seconde éjaculation le fit descendre en pression, il réalisa qu’il avait franchi une limite qui pouvait tout changer, que Marine ne devait surtout pas se réveiller à cet instant précis. Il essuya rapidement l'éjaculation qu’il avait salement déposé sur le matelas, puis déposa un grand plaid duveteux sur Marine avant de gagner sa chambre.
Il tremblait de tout son corps, il passa en revue rapidement les photos collectées, et senti qu’il aurait pu repartir pour une troisième masturbation. Martin alla dans la salle de bain avec l’idée de prendre une douche pour évacuer toute la sueur qu’il venait de sécréter. Sa chienne était couchée dans un tas d’affaires à même le sol, près du panier à linge sale.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle opportunité ;-)

Histoire Libertine
Elle l’a invité mais s’est endormie entre temps ça s’appelle 1 viol.



Texte coquin : Le dîner
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par SoOriginalRing

Le dîner - Récit érotique publié le 28-09-2023