Le divorce de Caro, les amis de mon fils
Récit érotique écrit par Caro83 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le divorce de Caro, les amis de mon fils
Bonjour, moi c'est Caroline 45 ans divorcée avec 3 enfants en garde alternée. J'habite le sud de la France. J'ai divorcée il y a 5 ans.
Je suis blonde aux yeux verts, cheveux courts, grande, mince, 1m75 pour 62kgs un petit fessier légèrement rebondi qui fait toujours son petit effet, par contre une poitrine assez petite qui moi me convient tout à fait.
Mon divorce a été un déclic, une libération dans ma vie sexuelle, moi qui détachée de tout ça voire même frigide par moment je me découvre de plus en plus excitée et plus salope à chaque nouvelle rencontre.
Alors que je me préparais pour ma petite sortie du soir je reçois un message de mon fils.
- Salut mam' finalement changement de programme je rentre dormir chez toi après le tournoi et Julien et Kévin dormiront sur le canapé, t'inquiète je m'occupe de tout en rentrant, on fera pas de bruit si tu rentres pas seule LOL
Oui c'est vrai ce changement de programme me contrariait un peu, mes copines m'avaient convaincu de m'inscrire sur des sites de rencontres vu mon nouvel appétit sexuel grandissant.
J'avais donc un date et vu sa photo je comptais effectivement ne pas rentrer seule cette nuit mais là c'était loupé, impossible que mon fils entende maman s'envoyer en l'air dans la chambre d'à côté.
On va passer rapidement sur le rencard, le fiasco du siècle, le mec n'avait rien à voir avec la photo, un gros lourdeau, à l'humour bien gras bref hors de question que ce beauf pose ses mains sur moi.
Et pour couronner cette soirée pourri, quand il a compris qu'il ne se passerait rien ce soir il a fait mine d'aller aux toilettes et s'est barré me laissant du coup payer la note !!
Après avoir bu deux cocktails de plus pour m'aider à oublier ce merveilleux rencard, je rentrais un peu avant minuit, à peine la porte ouverte je vois le canapé ouvert avec Kévin et Julien en train de dormir, vu la chaleur de l'été ils portent juste un boxer pour Kévin et un caleçon pour Julien, c'est quand j'ouvre le frigo pour prendre de l'eau fraîche que la lumière du frigo éclaire les garçons.
Mon attention est attirée par Julien et plus précisément son caleçon, je m'approche pour regarder de plus près et là mes yeux se figent sur la queue de Julien, qui bien qu'elle soit au repos il y avait bien 10cm qui dépassait de son caleçon et pendait le long de sa cuisse.
Des frissons me parcouraient le ventre et le vagin.
Je refermais le frigo et me dirigeait directement dans ma chambre contrairiée par ma réaction car bien qu'il ait 19 ans, il restait un enfant à mes yeux, un des meilleurs amis de mon fils depuis qu'il a 6 ans.
La chaleur et les mauvaises pensées aidant je n'arrivais pas à trouver le sommeil et je décidais d'aller prendre une douche froide pour faire tomber la température.
Me voilà donc dans la salle de bain et passe sous la douche, l'eau fraîche me fait un bien fou mais dès que je ferme les yeux j'ai l'image de la bite de Julien qui apparaît et je finis par commencer à me caresser et me masturber et peu avant de jouir j'entends un bruit et quand je tourne la tête je m'aperçois que j'avais mal fermé la porte et qu'une ombre au sol s'éloigne.
Je sors de la douche en attrapant mon peignoir au vol et je sors pour en avoir le cœur net mais évidement personne.
Je vais donc me coucher et chose que je ne fais jamais quand mes enfants sont là je laisse ma porte entrouverte et me couche entièrement nue et remonte le drap jusqu'à mi cuisses.
Quelques minutes passent et je sens que quelqu'un marche dans le couloir, bien qu'il fasse noir j'ai la certitude d'être épiée, par contre impossible de dire si c'est Julien ou Kévin qui joue au voyeur à 01h00 du matin.
Je sens que je commence à mouiller, mon cerveau mouline à 200 et ma main commence à descendre entre mes seins, mon ventre et arrive au niveau de ma chatte et je commence à me caresser doucement au début et de plus en plus vite et intensément avec toujours la bite de Julien en tête je rêve de la prendre dans les mains pour la faire grossir et de la prendre bien profond dans ma chatte.
Je sens que ça bouge derrière la porte et qu'il n'en perd pas une miette, à la seule pensée qu'il puisse se branler en me regardant je vire le drap et écarte au maximum mes jambes et me branle avec 4 doigts, la lumière ambiante extérieure éclairant la chambre.
Je me mis à 4 pattes et me cambrais maintenant le cul bien tendu vers la porte et je repris ma masturbation avec 2, 3 ou 4 jusqu'à me faire jouir en étouffant mes cris dans mon oreiller.
A ce moment là j'entendis cette fois sans l'ombre d'un doute des pas rapide dans le couloir et quelques secondes plus tard la chasse d'eau des toilettes.
Mon petit voyeur s'était donc bien branlé en me regardant et il était allé éjaculer dans les toilettes pour laisser aucune trace de sa visite perverse.
Cette fois ci je m'endormis au bout de 5 min.
9h00 je m'étire et je m'aperçois que je me suis endormie à poil et que ma porte est restée entrouverte, est il revenu dans la nuit, sont ils revenus m'épier à deux ?
Autant de questions qui ont le don de m'exciter dès le reveil.
Un SMS vient d'arriver, mon fils qui me dit qu'il a du aller rejoindre sa copine à l'hosto après qu'elle soit tombée chez elle se cassant le poignet d'après les pompiers et qu'il ne rentrera pas avant le début d'après midi et que je n'hésite pas à dégager ses potes dès qu'ils seraient réveillés.
J'enfile un tee shirt ample qui m'arrive quelques centimètres sous les fesses je prends une grosse respiration et je me dirige vers le salon, les garçons sont toujours couchés mais ils sont réveillés et sont sur leurs téléphones.
- Salut les garçons, bien dormi ?
- Hey Caro oui ça va me répondit Kévin
- Parle pour toi t'as pas arrêté de te lever toute la nuit je suis fracassé moi, dit Julien.
Mon regard croisa alors celui de Kévin qui baissa aussitôt les yeux et devint rouge écarlate.
J'étais presque déçue que ce soit pas Julien qui soit venue m'espionner.
- T'étais malade Kévin pour te lever toute la nuit, vous aviez trop forcé sur la picole ou quelque chose te dérangeait ?
- Non non rien ça va t'inquiète.
- Qu'est ce qui t'arrive t'es tout rouge tu t'étouffes poto lui dis Julien
- Mais non c'est rien c'est bon.
J'ouvris un placard de la cuisine et je demandais à Julien de venir m'aider, il se leva du canapé en réajustant son caleçon et quand il arriva à côté de moi je me plaçais devant lui et je désignais un paquet de céréales sur la dernière étagère et me mettant sur la pointe des pieds ce qui fit remonter mon tee shirt et laissa mes fesses nues au regard de Julien, en redescendant je pris soin de faire un petit pas en arrière et colla mes fesses sur la verge du pauvre Julien qui n'osait plus ni bouger ni parler.
- Oh pardon Julien excuse moi, jouant les fausses ingénues.
- Euh non c'est rien c'est moi qui me suis mis là comme un idiot bafouilla-t-il.
.
- C'est moi qui te fait cet effet là mon cochon, en posant mon index sur l'énorme bosse qui déformait son caleçon.
Aucun son n'arrivait plus à sortir de la bouche du malheureux Julien.
Je lui fis une bise sur la joue en passant ma main dans ses cheveux comme je l'ai fait 100 fois quand il était gamin pour le consoler.
- Est ce que ça te dirait de venir dans ma chambre ?
- Qu'est ce qui te prends Caro, t'es la mère de mon pote et Kévin qu'est ce qu'il va dire.
- Kévin ne dira rien car il a passé la nuit à m'espionner sous la douche et dans mon lit pendant que je me faisais du bien, pas vrai Kévin ?
Il ne broncha pas et ne répondit pas.
J'embrassais Julien sur la bouche et il fini par me rendre ce baiser en mettant la langue, je tirais sur l'élastique de son caleçon et en regardant dedans je vis un sexe énorme, un anaconda, je l'entraînais dans ma chambre, Kévin ne bougeait pas du canapé mais nous suivait du regard.
Dans la chambre je m'assois sur le bord du lit Julien est debout devant moi et je lui baisse son caleçon jusqu'aux chevilles et relevant la tête mon crâne heure sa bite.
Elle paraît encore plus grosse en longue que dans le caleçon, j'en reviens toujours pas c'est certainement la plus grosse bite que j'ai jamais vu je la prend dans les deux mains et il en reste presque 1/3 dehors elle doit faire plus de 20 cm c'est pas un sexe c'est une batte de base ball.
- Purée Julien tes petites copines doivent être folle avec un engin pareil.
- Ouais ben pas trop en fait elles ont plutôt peur quand elles la voient, me dit il tout penaud.
- Viens par là tata Caro va bien s'en occuper.
- T'es sure que c'est bien de faire ça ?
- Non je suis juste sûre que j'ai envie de goûter à ton énorme queue.
J'enlevais mon tee shirt et me voici nue moi aussi, le sexe de Julien grossit encore un peu et était sur le point d'exploser.
Je commençais à lui faire des baisers sur le sexe et continuais en le lechant de la base des couilles jusqu'à son gland que je suçais et aspirais goulument, Julien émettait des râles de plaisir mais n'osait pas bouger ni me regarder.
- Ça te plaît Julien ?
Il baissa la tête et j'en profitais pour planter mes yeux dans les siens, je lui fis mon regard de grosse salope en accélérant la cadence et en avalant au maximum sa bite mais celle là impossible de la prendre totalement en bouche, le pauvre ne résista pas plus de 20 secondes avant que je sente les 1er spasmes arriver, le 1er jet de sperme épais et chaud arriva dans ma bouche et pour le reste je l'ai branlé pendant plus de 30 secondes ça ne s'arrêtait jamais ma poitrine dégoulinait de sperme.
- Waouh ça c'est de l'éjac de compétition mon salaud, son sexe ne débandait même pas de moitié.
- Désolé d'avoir été si rapide d'habitude je me retiens beaucoup longtemps, là c'était pas pareil.
- C'est te taper une vieille qui t'a excité autant ?
- Non pas une vieille, c'est parce que c'est toi Caro, j'ai toujours fantasmé sur toi, t'es trop belle, chaque fois que je te voyais à la piscine ou à la mer en maillot ça me rendait fou, tu peux pas imaginer le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi.
- Ah ouais quand même, dis je en rougissant à mon tour.
Le fantasme de la mère du meilleur pote, on est en plein dans le cliché, un vrai scénario de film porno avec la milf et l'ado puceau, sauf que là c'était la vraie vie et pas un porno.
Je m'essuyais le sperme avec mon tee shirt, Julien attrapa son caleçon pour le remettre.
- Qu'est ce que tu fais ?
- Ben c'est fini non je me rhabille.
- Qui a dit que c'était fini, en lui arrachant son caleçon des mains.
- Tu crois pas qu'avec une queue pareille je vais me contenter de la sucer
A ces mots Julien se remit à bander comme un âne.
- Tu vois ta bite elle est d'accord avec moi, je voulais juste te faire relâcher la pression avant de passer aux choses sérieuses, maintenant va falloir me baiser bien comme il faut mon garçon.
Il se jetta alors sur moi et se mit à me lécher la chatte comme un mort de faim, il savait pas trop comment s'y prendre mais c'était pas désagréable non plus et ça avait le mérite de me lubrifier avant de me faire écarteler par son engin.
J'étais à la fois excitée mais aussi un peu craintive devant la taille de sa queue j'en avais jamais reçu une aussi grosse.
J'avais le feu entre les cuisses il me fallait cette bonne grosse queue maintenant, saisissant sa tête je lui indiquais de remonter, ce qu'il fit tout en continuant à me lécher et m'embrasser sur tout le corps en s'attardent au niveau de la poitrine et surtout de mes seins et des tétons qu'il suçait et pinçait à m'en faire mal, plus par inexpérience que par sadisme. Je tirais sa tête jusqu'à la mienne pour qu'on s'embrasse et surtout qu'il se calme un peu, je voulais profiter de sa bite qui n'envoie pas la purée en 2 minutes.
- Calme toi mon chéri, faut y aller doucement au début surtout avec l'engin que tu trimballes.
- Excuse moi Caro mais tu me rends fou jamais j'aurai cru que ça puisse arriver
- Je te rassure moi non plus je n'y aurais cru c'est peu grâce à Kévin et à son cirque cette nuit ça a eu le don de m'exciter son petit manège à venir jouer les voyeurs.
- C'est vrai Kev je l'avais oublié ce con, t'as pas peur qu'il raconte tout du coup ?
- Non il dira rien fais moi confiance je veux d'abord profiter de toi et de ta queue et après je l'appellerai pour qu'il nous rejoigne.
- Hein tous les deux ensemble ? Jamais j'aurai pensé que tu sois aussi salope.
- Hey comment tu me parles on t'a jamais appris à respecter les femmes ?
- Excuse moi Caro c'est pas ce que je voulais dire.
Il était tout rouge le pauvre.
- Mais viens par là gros nigaud je plaisante on est à poil dans un lit prêt à baiser tu peux te lâcher et mal parler si ça t'excite quelques encouragements ça aide.
Je le ramenais par les fesses vers moi, j'écartais bien les cuisses et je prenais son gros chibre bien dur que je dirigeais jusqu'à l'entrée de ma grotte d'amour.
- Voilà on y est vas y rentre doucement, là c'est bien comme ça.
Il poussait délicatement cm par cm et il remplissait et écartait mes parois vaginales, arrivé à la moitié de longueur de sa bite ça me faisait mal et il fallait que ma chatte prenne la mesure de cet engin.
Je tendis le bras jusqu'au tiroir de mon chevet et en trifouillant j'attrapais le flacon de lubrifiant, Julien jeta un coup d'œil dans le tiroir et vit 2 ou 3 de mes sex toys.
- Eh ben c'est qu'elle doit pas s'ennuyer la mère Caro avec tout ça.
- Ouais mais comme tu vois y en a pas un du gabarit de ta queue.
Je faisais couler une bonne dose de lubrifiant sur sa queue qu'il prit grand soin d'étaler et moi j'en mettais sur 3 doigts et je m'astiquais aussi loin que je le pouvais ce qui me faisait mouiller de plus belle.
Je fis allonger Julien sur le dos et je me mis à califourchon sur lui, je guidais une nouvelle fois sa queue vers la terre promise.
Bien qu'elle n'ait pas rétrécie sa bite glissait cette fois ci sans encombre jusqu'à la garde, je restais immobile quelques secondes pour profiter de cet instant, le monstre était rentré tout entier.
- Caro t'as avalé toute ma bite c'est la 1ère fois que ça m'arrive, c'est chaud doux, je veux que ça s'arrête jamais.
Toujours pénétrée au plus profond je me penchais sur Julien et on s'est galoché comme 2 ados, bon lui est ado c'est vrai, et j'ai commencé à faire des mouvements de va et vient et putain que c'était bon et plus j'accélerais plus c'était bon, des bouffées de chaleur m'envahissaient, je m'empalais littéralement sur cette trompe d'éléphant je remontais jusqu'au gland et me laisser retomber jusqu'à ce que mes fesses claquent sur ses couilles, je perdais tout contrôle.
- Vas y mon chéri défonce moi je suis ta petite salope, fais moi crier.
- T'en veux plus tu vas en avoir plus, mets toi à quatre pattes je vais te baiser comme une chienne et tu vas manger sévère.
Je l'ai peut être un peu trop chauffé, lui si renfermé et timide, là il avait les yeux à moitié exhorbités mais moi ça mexcitait encore plus et je me mis à 4 pattes bien cambré et le cul bien haut il me lécha 3-4 fois en passant sa langue bien baveuse de ma chatte jusqu'au sommet de mes fesses j'étais en transe.
Il tapota son gland sur mon anus puis à l'entrée de ma chatte et il me pénétra d'un coup sec en tapant bien dans le fond c'était si violent que je fus projeté en avant me retrouvant à plat , il passa ses mains sous mon ventre et me releva comme un fétu de paille et me replaça dans ma position de chienne soumise.
Chaque coup de bite m'arrachait un cri de plaisir et de jouissance melés.
Son rythme ne faiblissait pas, il me tirait par les cheveux la tête en arrière pour m'embrasser sur la bouche.
Il laissa couler de la bave dans ma raie et commença à me titiller l'anus, il n'allait tout de même pas essayer de me sodomiser l'animal ça ne rentrera jamais sinon bonjour la déchirure anale.
- Tu voudrais pas appeler Kev ? Y a une petite place pour lui non ? Me dit il
- Dans ma bouche oui y a de place.
Moi je pensais plutôt par là, dit il en enfonçant un doigt dans mon anus.
- Hey petit obsédé tu voudrais que ton pote vienne m'enculer ?
- Bah oui comme ça il me prépare le passage je suis sur que t'as jamais pris une bite aussi grosse dans ton petit.
- Moi je suis surtout sûre que ta bite ne rentrera jamais dans mon cul.
- C'est ce qu'on verra. Kev viens là gros arrête de te branler derrière la porte je te vois depuis tout à l'heure. Caro a besoin d'une autre bite pour jouir.
- Oui allez viens voir tata Caro viens me baiser toi aussi.
Il déboula à poil comme une tornade et vint se place devant mon visage, pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il m'avait attrapé par les cheveux et collé sa bite au fond de la gorge, il rattrapait le temps perdu et évacuait sa frustration le cochon, il cherchait pas à me ménager il me baisait la bouche comme si c'était la chatte de sa petite copine.
Il voulait clairement se venger de sa mise à l'écart.
J'arrêtais pas de baver et de déglutir à chaque coup de queue et lui prenait un malin plaisir à étaler ton ça sur mon visage avec sa bite, qui même si elle était de taille tout à fait respectable, faisait petite forcément à côté de celle de Julien.
- Allez Kev viens par là viens la baiser par derrière, une salope pareille aussi bonne on en verra plus, profite frérot.
Quand il se retira je sentais bien que ma chatte restait grande ouverte, ce que Kévin constata également.
- Ju tu lui as défoncé la chatte si je mets ma bite je vais même pas toucher les bords.
- Toujours aussi con le Kev, monte d'un étage patate je t'ai préparé la suite royale.
- Quoi c'est vrai, Caro je peux t'en... euh te so... enfin...
- T'étais pas si timide quand tu me baisais la bouche y a 2 minutes, et oui tu peux m'enculer me sodomiser me faire le petit bref fourre moi ta bite dans le cul avant que je te renvoie sur le canapé.
Il cracha sur mon petit trou et m'encula d'un coup sec et s'amusait à me claquer le cul chaque fois que je gémissais.
Julien s'allongeait a côté de moi et me tire par le bas pour que je grimpe sur lui. Me voilà installée sur Julien pendant que Kévin est toujours planté dans mon cul en s'activant comme un chien en chaleur.
Julien enfonce encore une fois son énorme queue au plus profond de ma chatte pendant que Kévin s'active de plus en plus vite.
Les voilà maintenant qui me baisent en double.
- Putain ce qu'on lui met à cette salope, dit Kévin.
- Au lieu de te croire dans un porno essaye de la faire jouir, lui réponds sèchement Julien !
A ces mots je collais ma langue dans la bouche de Julien et Kévin s'agrippa à mes épaules et se déversa dans mon cul.
- Ahhhh que c'est bon je viens dans ton cul, je vais t'inonder de sperme sale pute.
- Oui vide toi bien les couilles dans mon cul.
Kévin finit par se retirer et se coucha sur le côté épuisé, sa bite était pleine de sperme, des coulées de sperme sortaient aussi de mon cul et allaient mourir sur les couilles de Julien.
- Caro laisse moi t'enculer bébé au moins essayer si ça te fait mal je te promets que si ça veut pas rentrer ou que ça te fait mal j'arrête tout de suite.
- OK mon chéri mais va doucement et si je dis stop je compte sur toi pour arrêter tout de suite.
- Oh merci je te jure c'est toi qui décide quand on arrête.
Julien se plaça donc derrière moi et quand son gland commençait à m'écarter l'anus je reçus une décharge électrique dans les reins.
Le travail et le sperme de Kévin permettait à la bite de cheval de Julien de se frayer un chemin dans mes entrailles.
D'un côté j'avais l'impression qu'il allait me déchirer les chairs tellement c'était serré mais d'un autre je prenais mon pied comme jamais ma chatte dégoulinait de plaisir j'inondais mes draps.
Et dire qu'il y a même pas un an j'étais vierge du cul et là je me prends une bite à la rocco qui me fait grimper aux rideaux.
Julien commençait à avoir quelques spasmes annonciateurs de sa jouissance imminente, il se retira de mon cul et épuisée et vaincue je m'allongeais jambes écartées et bras en croix à la merci du torrent de sperme qui allait me souiller encore une fois.
Lui restait à genou dans la même position et se branle frénétiquement jusqu'à ce que des jets surpuissants de sperme viennent s'abattre sur tout mon corps j'en avais partout il y en avait 2 fois plus que lorsque je l'avais sucé un peu plus tôt.
Une fois terminé je le prenais en bouche pour bien le nettoyer et profiter une dernière fois du goût de sa semence.
- Mais t'es une vrai pro tu avales et tu nettoies en plus y a pas à dire l'expérience ça paye. Du coup tu vas me la nettoyer la mienne aussi me dit Kévin en mettant sa bite ramollie et frippée sous mon nez.
Ne voulant pas le contrarier encore une fois et lui donner un prétexte de raconter ce qu'il venait de se passer, un peu à contre cœur je pris son sexe entre les doigts et en quelques coups de langue je nettoyais les traces de sperme.
Voilà mes ptits cocon allez prendre une douche maintenant et filez.
Kévin entra dans la douche et je pris Julien dans les bras.
- Merci mon grand tu m'as fait prendre mon pied comme rarement je compte sur toi pour que Kévin ne parle pas et si un jour tu veux passer à l'improviste pour me faire un coucou surtout tu viens seul.
- Oh Caro tu pouvais pas me rendre plus heureux et t'inquiète personne ne saura jamais rien.
A leur départ je pris une douche et je m'endormis jusqu'au retour de mon fils.
- Suis de retour Mam, j'espère que les 2 zigotos n'ont pas été trop pénible ou lourdeau.
- Mais non t'inquiète mon chéri ça a été des amours comme d'habitude.
- Ils avaient intérêt.
Mon pauvre chéri si tu savais.
À suivre....
Je suis blonde aux yeux verts, cheveux courts, grande, mince, 1m75 pour 62kgs un petit fessier légèrement rebondi qui fait toujours son petit effet, par contre une poitrine assez petite qui moi me convient tout à fait.
Mon divorce a été un déclic, une libération dans ma vie sexuelle, moi qui détachée de tout ça voire même frigide par moment je me découvre de plus en plus excitée et plus salope à chaque nouvelle rencontre.
Alors que je me préparais pour ma petite sortie du soir je reçois un message de mon fils.
- Salut mam' finalement changement de programme je rentre dormir chez toi après le tournoi et Julien et Kévin dormiront sur le canapé, t'inquiète je m'occupe de tout en rentrant, on fera pas de bruit si tu rentres pas seule LOL
Oui c'est vrai ce changement de programme me contrariait un peu, mes copines m'avaient convaincu de m'inscrire sur des sites de rencontres vu mon nouvel appétit sexuel grandissant.
J'avais donc un date et vu sa photo je comptais effectivement ne pas rentrer seule cette nuit mais là c'était loupé, impossible que mon fils entende maman s'envoyer en l'air dans la chambre d'à côté.
On va passer rapidement sur le rencard, le fiasco du siècle, le mec n'avait rien à voir avec la photo, un gros lourdeau, à l'humour bien gras bref hors de question que ce beauf pose ses mains sur moi.
Et pour couronner cette soirée pourri, quand il a compris qu'il ne se passerait rien ce soir il a fait mine d'aller aux toilettes et s'est barré me laissant du coup payer la note !!
Après avoir bu deux cocktails de plus pour m'aider à oublier ce merveilleux rencard, je rentrais un peu avant minuit, à peine la porte ouverte je vois le canapé ouvert avec Kévin et Julien en train de dormir, vu la chaleur de l'été ils portent juste un boxer pour Kévin et un caleçon pour Julien, c'est quand j'ouvre le frigo pour prendre de l'eau fraîche que la lumière du frigo éclaire les garçons.
Mon attention est attirée par Julien et plus précisément son caleçon, je m'approche pour regarder de plus près et là mes yeux se figent sur la queue de Julien, qui bien qu'elle soit au repos il y avait bien 10cm qui dépassait de son caleçon et pendait le long de sa cuisse.
Des frissons me parcouraient le ventre et le vagin.
Je refermais le frigo et me dirigeait directement dans ma chambre contrairiée par ma réaction car bien qu'il ait 19 ans, il restait un enfant à mes yeux, un des meilleurs amis de mon fils depuis qu'il a 6 ans.
La chaleur et les mauvaises pensées aidant je n'arrivais pas à trouver le sommeil et je décidais d'aller prendre une douche froide pour faire tomber la température.
Me voilà donc dans la salle de bain et passe sous la douche, l'eau fraîche me fait un bien fou mais dès que je ferme les yeux j'ai l'image de la bite de Julien qui apparaît et je finis par commencer à me caresser et me masturber et peu avant de jouir j'entends un bruit et quand je tourne la tête je m'aperçois que j'avais mal fermé la porte et qu'une ombre au sol s'éloigne.
Je sors de la douche en attrapant mon peignoir au vol et je sors pour en avoir le cœur net mais évidement personne.
Je vais donc me coucher et chose que je ne fais jamais quand mes enfants sont là je laisse ma porte entrouverte et me couche entièrement nue et remonte le drap jusqu'à mi cuisses.
Quelques minutes passent et je sens que quelqu'un marche dans le couloir, bien qu'il fasse noir j'ai la certitude d'être épiée, par contre impossible de dire si c'est Julien ou Kévin qui joue au voyeur à 01h00 du matin.
Je sens que je commence à mouiller, mon cerveau mouline à 200 et ma main commence à descendre entre mes seins, mon ventre et arrive au niveau de ma chatte et je commence à me caresser doucement au début et de plus en plus vite et intensément avec toujours la bite de Julien en tête je rêve de la prendre dans les mains pour la faire grossir et de la prendre bien profond dans ma chatte.
Je sens que ça bouge derrière la porte et qu'il n'en perd pas une miette, à la seule pensée qu'il puisse se branler en me regardant je vire le drap et écarte au maximum mes jambes et me branle avec 4 doigts, la lumière ambiante extérieure éclairant la chambre.
Je me mis à 4 pattes et me cambrais maintenant le cul bien tendu vers la porte et je repris ma masturbation avec 2, 3 ou 4 jusqu'à me faire jouir en étouffant mes cris dans mon oreiller.
A ce moment là j'entendis cette fois sans l'ombre d'un doute des pas rapide dans le couloir et quelques secondes plus tard la chasse d'eau des toilettes.
Mon petit voyeur s'était donc bien branlé en me regardant et il était allé éjaculer dans les toilettes pour laisser aucune trace de sa visite perverse.
Cette fois ci je m'endormis au bout de 5 min.
9h00 je m'étire et je m'aperçois que je me suis endormie à poil et que ma porte est restée entrouverte, est il revenu dans la nuit, sont ils revenus m'épier à deux ?
Autant de questions qui ont le don de m'exciter dès le reveil.
Un SMS vient d'arriver, mon fils qui me dit qu'il a du aller rejoindre sa copine à l'hosto après qu'elle soit tombée chez elle se cassant le poignet d'après les pompiers et qu'il ne rentrera pas avant le début d'après midi et que je n'hésite pas à dégager ses potes dès qu'ils seraient réveillés.
J'enfile un tee shirt ample qui m'arrive quelques centimètres sous les fesses je prends une grosse respiration et je me dirige vers le salon, les garçons sont toujours couchés mais ils sont réveillés et sont sur leurs téléphones.
- Salut les garçons, bien dormi ?
- Hey Caro oui ça va me répondit Kévin
- Parle pour toi t'as pas arrêté de te lever toute la nuit je suis fracassé moi, dit Julien.
Mon regard croisa alors celui de Kévin qui baissa aussitôt les yeux et devint rouge écarlate.
J'étais presque déçue que ce soit pas Julien qui soit venue m'espionner.
- T'étais malade Kévin pour te lever toute la nuit, vous aviez trop forcé sur la picole ou quelque chose te dérangeait ?
- Non non rien ça va t'inquiète.
- Qu'est ce qui t'arrive t'es tout rouge tu t'étouffes poto lui dis Julien
- Mais non c'est rien c'est bon.
J'ouvris un placard de la cuisine et je demandais à Julien de venir m'aider, il se leva du canapé en réajustant son caleçon et quand il arriva à côté de moi je me plaçais devant lui et je désignais un paquet de céréales sur la dernière étagère et me mettant sur la pointe des pieds ce qui fit remonter mon tee shirt et laissa mes fesses nues au regard de Julien, en redescendant je pris soin de faire un petit pas en arrière et colla mes fesses sur la verge du pauvre Julien qui n'osait plus ni bouger ni parler.
- Oh pardon Julien excuse moi, jouant les fausses ingénues.
- Euh non c'est rien c'est moi qui me suis mis là comme un idiot bafouilla-t-il.
.
- C'est moi qui te fait cet effet là mon cochon, en posant mon index sur l'énorme bosse qui déformait son caleçon.
Aucun son n'arrivait plus à sortir de la bouche du malheureux Julien.
Je lui fis une bise sur la joue en passant ma main dans ses cheveux comme je l'ai fait 100 fois quand il était gamin pour le consoler.
- Est ce que ça te dirait de venir dans ma chambre ?
- Qu'est ce qui te prends Caro, t'es la mère de mon pote et Kévin qu'est ce qu'il va dire.
- Kévin ne dira rien car il a passé la nuit à m'espionner sous la douche et dans mon lit pendant que je me faisais du bien, pas vrai Kévin ?
Il ne broncha pas et ne répondit pas.
J'embrassais Julien sur la bouche et il fini par me rendre ce baiser en mettant la langue, je tirais sur l'élastique de son caleçon et en regardant dedans je vis un sexe énorme, un anaconda, je l'entraînais dans ma chambre, Kévin ne bougeait pas du canapé mais nous suivait du regard.
Dans la chambre je m'assois sur le bord du lit Julien est debout devant moi et je lui baisse son caleçon jusqu'aux chevilles et relevant la tête mon crâne heure sa bite.
Elle paraît encore plus grosse en longue que dans le caleçon, j'en reviens toujours pas c'est certainement la plus grosse bite que j'ai jamais vu je la prend dans les deux mains et il en reste presque 1/3 dehors elle doit faire plus de 20 cm c'est pas un sexe c'est une batte de base ball.
- Purée Julien tes petites copines doivent être folle avec un engin pareil.
- Ouais ben pas trop en fait elles ont plutôt peur quand elles la voient, me dit il tout penaud.
- Viens par là tata Caro va bien s'en occuper.
- T'es sure que c'est bien de faire ça ?
- Non je suis juste sûre que j'ai envie de goûter à ton énorme queue.
J'enlevais mon tee shirt et me voici nue moi aussi, le sexe de Julien grossit encore un peu et était sur le point d'exploser.
Je commençais à lui faire des baisers sur le sexe et continuais en le lechant de la base des couilles jusqu'à son gland que je suçais et aspirais goulument, Julien émettait des râles de plaisir mais n'osait pas bouger ni me regarder.
- Ça te plaît Julien ?
Il baissa la tête et j'en profitais pour planter mes yeux dans les siens, je lui fis mon regard de grosse salope en accélérant la cadence et en avalant au maximum sa bite mais celle là impossible de la prendre totalement en bouche, le pauvre ne résista pas plus de 20 secondes avant que je sente les 1er spasmes arriver, le 1er jet de sperme épais et chaud arriva dans ma bouche et pour le reste je l'ai branlé pendant plus de 30 secondes ça ne s'arrêtait jamais ma poitrine dégoulinait de sperme.
- Waouh ça c'est de l'éjac de compétition mon salaud, son sexe ne débandait même pas de moitié.
- Désolé d'avoir été si rapide d'habitude je me retiens beaucoup longtemps, là c'était pas pareil.
- C'est te taper une vieille qui t'a excité autant ?
- Non pas une vieille, c'est parce que c'est toi Caro, j'ai toujours fantasmé sur toi, t'es trop belle, chaque fois que je te voyais à la piscine ou à la mer en maillot ça me rendait fou, tu peux pas imaginer le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi.
- Ah ouais quand même, dis je en rougissant à mon tour.
Le fantasme de la mère du meilleur pote, on est en plein dans le cliché, un vrai scénario de film porno avec la milf et l'ado puceau, sauf que là c'était la vraie vie et pas un porno.
Je m'essuyais le sperme avec mon tee shirt, Julien attrapa son caleçon pour le remettre.
- Qu'est ce que tu fais ?
- Ben c'est fini non je me rhabille.
- Qui a dit que c'était fini, en lui arrachant son caleçon des mains.
- Tu crois pas qu'avec une queue pareille je vais me contenter de la sucer
A ces mots Julien se remit à bander comme un âne.
- Tu vois ta bite elle est d'accord avec moi, je voulais juste te faire relâcher la pression avant de passer aux choses sérieuses, maintenant va falloir me baiser bien comme il faut mon garçon.
Il se jetta alors sur moi et se mit à me lécher la chatte comme un mort de faim, il savait pas trop comment s'y prendre mais c'était pas désagréable non plus et ça avait le mérite de me lubrifier avant de me faire écarteler par son engin.
J'étais à la fois excitée mais aussi un peu craintive devant la taille de sa queue j'en avais jamais reçu une aussi grosse.
J'avais le feu entre les cuisses il me fallait cette bonne grosse queue maintenant, saisissant sa tête je lui indiquais de remonter, ce qu'il fit tout en continuant à me lécher et m'embrasser sur tout le corps en s'attardent au niveau de la poitrine et surtout de mes seins et des tétons qu'il suçait et pinçait à m'en faire mal, plus par inexpérience que par sadisme. Je tirais sa tête jusqu'à la mienne pour qu'on s'embrasse et surtout qu'il se calme un peu, je voulais profiter de sa bite qui n'envoie pas la purée en 2 minutes.
- Calme toi mon chéri, faut y aller doucement au début surtout avec l'engin que tu trimballes.
- Excuse moi Caro mais tu me rends fou jamais j'aurai cru que ça puisse arriver
- Je te rassure moi non plus je n'y aurais cru c'est peu grâce à Kévin et à son cirque cette nuit ça a eu le don de m'exciter son petit manège à venir jouer les voyeurs.
- C'est vrai Kev je l'avais oublié ce con, t'as pas peur qu'il raconte tout du coup ?
- Non il dira rien fais moi confiance je veux d'abord profiter de toi et de ta queue et après je l'appellerai pour qu'il nous rejoigne.
- Hein tous les deux ensemble ? Jamais j'aurai pensé que tu sois aussi salope.
- Hey comment tu me parles on t'a jamais appris à respecter les femmes ?
- Excuse moi Caro c'est pas ce que je voulais dire.
Il était tout rouge le pauvre.
- Mais viens par là gros nigaud je plaisante on est à poil dans un lit prêt à baiser tu peux te lâcher et mal parler si ça t'excite quelques encouragements ça aide.
Je le ramenais par les fesses vers moi, j'écartais bien les cuisses et je prenais son gros chibre bien dur que je dirigeais jusqu'à l'entrée de ma grotte d'amour.
- Voilà on y est vas y rentre doucement, là c'est bien comme ça.
Il poussait délicatement cm par cm et il remplissait et écartait mes parois vaginales, arrivé à la moitié de longueur de sa bite ça me faisait mal et il fallait que ma chatte prenne la mesure de cet engin.
Je tendis le bras jusqu'au tiroir de mon chevet et en trifouillant j'attrapais le flacon de lubrifiant, Julien jeta un coup d'œil dans le tiroir et vit 2 ou 3 de mes sex toys.
- Eh ben c'est qu'elle doit pas s'ennuyer la mère Caro avec tout ça.
- Ouais mais comme tu vois y en a pas un du gabarit de ta queue.
Je faisais couler une bonne dose de lubrifiant sur sa queue qu'il prit grand soin d'étaler et moi j'en mettais sur 3 doigts et je m'astiquais aussi loin que je le pouvais ce qui me faisait mouiller de plus belle.
Je fis allonger Julien sur le dos et je me mis à califourchon sur lui, je guidais une nouvelle fois sa queue vers la terre promise.
Bien qu'elle n'ait pas rétrécie sa bite glissait cette fois ci sans encombre jusqu'à la garde, je restais immobile quelques secondes pour profiter de cet instant, le monstre était rentré tout entier.
- Caro t'as avalé toute ma bite c'est la 1ère fois que ça m'arrive, c'est chaud doux, je veux que ça s'arrête jamais.
Toujours pénétrée au plus profond je me penchais sur Julien et on s'est galoché comme 2 ados, bon lui est ado c'est vrai, et j'ai commencé à faire des mouvements de va et vient et putain que c'était bon et plus j'accélerais plus c'était bon, des bouffées de chaleur m'envahissaient, je m'empalais littéralement sur cette trompe d'éléphant je remontais jusqu'au gland et me laisser retomber jusqu'à ce que mes fesses claquent sur ses couilles, je perdais tout contrôle.
- Vas y mon chéri défonce moi je suis ta petite salope, fais moi crier.
- T'en veux plus tu vas en avoir plus, mets toi à quatre pattes je vais te baiser comme une chienne et tu vas manger sévère.
Je l'ai peut être un peu trop chauffé, lui si renfermé et timide, là il avait les yeux à moitié exhorbités mais moi ça mexcitait encore plus et je me mis à 4 pattes bien cambré et le cul bien haut il me lécha 3-4 fois en passant sa langue bien baveuse de ma chatte jusqu'au sommet de mes fesses j'étais en transe.
Il tapota son gland sur mon anus puis à l'entrée de ma chatte et il me pénétra d'un coup sec en tapant bien dans le fond c'était si violent que je fus projeté en avant me retrouvant à plat , il passa ses mains sous mon ventre et me releva comme un fétu de paille et me replaça dans ma position de chienne soumise.
Chaque coup de bite m'arrachait un cri de plaisir et de jouissance melés.
Son rythme ne faiblissait pas, il me tirait par les cheveux la tête en arrière pour m'embrasser sur la bouche.
Il laissa couler de la bave dans ma raie et commença à me titiller l'anus, il n'allait tout de même pas essayer de me sodomiser l'animal ça ne rentrera jamais sinon bonjour la déchirure anale.
- Tu voudrais pas appeler Kev ? Y a une petite place pour lui non ? Me dit il
- Dans ma bouche oui y a de place.
Moi je pensais plutôt par là, dit il en enfonçant un doigt dans mon anus.
- Hey petit obsédé tu voudrais que ton pote vienne m'enculer ?
- Bah oui comme ça il me prépare le passage je suis sur que t'as jamais pris une bite aussi grosse dans ton petit.
- Moi je suis surtout sûre que ta bite ne rentrera jamais dans mon cul.
- C'est ce qu'on verra. Kev viens là gros arrête de te branler derrière la porte je te vois depuis tout à l'heure. Caro a besoin d'une autre bite pour jouir.
- Oui allez viens voir tata Caro viens me baiser toi aussi.
Il déboula à poil comme une tornade et vint se place devant mon visage, pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il m'avait attrapé par les cheveux et collé sa bite au fond de la gorge, il rattrapait le temps perdu et évacuait sa frustration le cochon, il cherchait pas à me ménager il me baisait la bouche comme si c'était la chatte de sa petite copine.
Il voulait clairement se venger de sa mise à l'écart.
J'arrêtais pas de baver et de déglutir à chaque coup de queue et lui prenait un malin plaisir à étaler ton ça sur mon visage avec sa bite, qui même si elle était de taille tout à fait respectable, faisait petite forcément à côté de celle de Julien.
- Allez Kev viens par là viens la baiser par derrière, une salope pareille aussi bonne on en verra plus, profite frérot.
Quand il se retira je sentais bien que ma chatte restait grande ouverte, ce que Kévin constata également.
- Ju tu lui as défoncé la chatte si je mets ma bite je vais même pas toucher les bords.
- Toujours aussi con le Kev, monte d'un étage patate je t'ai préparé la suite royale.
- Quoi c'est vrai, Caro je peux t'en... euh te so... enfin...
- T'étais pas si timide quand tu me baisais la bouche y a 2 minutes, et oui tu peux m'enculer me sodomiser me faire le petit bref fourre moi ta bite dans le cul avant que je te renvoie sur le canapé.
Il cracha sur mon petit trou et m'encula d'un coup sec et s'amusait à me claquer le cul chaque fois que je gémissais.
Julien s'allongeait a côté de moi et me tire par le bas pour que je grimpe sur lui. Me voilà installée sur Julien pendant que Kévin est toujours planté dans mon cul en s'activant comme un chien en chaleur.
Julien enfonce encore une fois son énorme queue au plus profond de ma chatte pendant que Kévin s'active de plus en plus vite.
Les voilà maintenant qui me baisent en double.
- Putain ce qu'on lui met à cette salope, dit Kévin.
- Au lieu de te croire dans un porno essaye de la faire jouir, lui réponds sèchement Julien !
A ces mots je collais ma langue dans la bouche de Julien et Kévin s'agrippa à mes épaules et se déversa dans mon cul.
- Ahhhh que c'est bon je viens dans ton cul, je vais t'inonder de sperme sale pute.
- Oui vide toi bien les couilles dans mon cul.
Kévin finit par se retirer et se coucha sur le côté épuisé, sa bite était pleine de sperme, des coulées de sperme sortaient aussi de mon cul et allaient mourir sur les couilles de Julien.
- Caro laisse moi t'enculer bébé au moins essayer si ça te fait mal je te promets que si ça veut pas rentrer ou que ça te fait mal j'arrête tout de suite.
- OK mon chéri mais va doucement et si je dis stop je compte sur toi pour arrêter tout de suite.
- Oh merci je te jure c'est toi qui décide quand on arrête.
Julien se plaça donc derrière moi et quand son gland commençait à m'écarter l'anus je reçus une décharge électrique dans les reins.
Le travail et le sperme de Kévin permettait à la bite de cheval de Julien de se frayer un chemin dans mes entrailles.
D'un côté j'avais l'impression qu'il allait me déchirer les chairs tellement c'était serré mais d'un autre je prenais mon pied comme jamais ma chatte dégoulinait de plaisir j'inondais mes draps.
Et dire qu'il y a même pas un an j'étais vierge du cul et là je me prends une bite à la rocco qui me fait grimper aux rideaux.
Julien commençait à avoir quelques spasmes annonciateurs de sa jouissance imminente, il se retira de mon cul et épuisée et vaincue je m'allongeais jambes écartées et bras en croix à la merci du torrent de sperme qui allait me souiller encore une fois.
Lui restait à genou dans la même position et se branle frénétiquement jusqu'à ce que des jets surpuissants de sperme viennent s'abattre sur tout mon corps j'en avais partout il y en avait 2 fois plus que lorsque je l'avais sucé un peu plus tôt.
Une fois terminé je le prenais en bouche pour bien le nettoyer et profiter une dernière fois du goût de sa semence.
- Mais t'es une vrai pro tu avales et tu nettoies en plus y a pas à dire l'expérience ça paye. Du coup tu vas me la nettoyer la mienne aussi me dit Kévin en mettant sa bite ramollie et frippée sous mon nez.
Ne voulant pas le contrarier encore une fois et lui donner un prétexte de raconter ce qu'il venait de se passer, un peu à contre cœur je pris son sexe entre les doigts et en quelques coups de langue je nettoyais les traces de sperme.
Voilà mes ptits cocon allez prendre une douche maintenant et filez.
Kévin entra dans la douche et je pris Julien dans les bras.
- Merci mon grand tu m'as fait prendre mon pied comme rarement je compte sur toi pour que Kévin ne parle pas et si un jour tu veux passer à l'improviste pour me faire un coucou surtout tu viens seul.
- Oh Caro tu pouvais pas me rendre plus heureux et t'inquiète personne ne saura jamais rien.
A leur départ je pris une douche et je m'endormis jusqu'au retour de mon fils.
- Suis de retour Mam, j'espère que les 2 zigotos n'ont pas été trop pénible ou lourdeau.
- Mais non t'inquiète mon chéri ça a été des amours comme d'habitude.
- Ils avaient intérêt.
Mon pauvre chéri si tu savais.
À suivre....
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré !!!
Huuummm j'adore. Tellement excitant
Bonjour Caro,
Histoire très excitante
surtout avec de jeunes hommes
Vite la suite
Bises
Histoire très excitante
surtout avec de jeunes hommes
Vite la suite
Bises
Magnifique histoire comme toujours nous avons pris beaucoup de plaisir à vous lire. continuez ainsi.
Très belle histoire
A suivre ?
A suivre ?
J’adore ! Excellent ! :-p
Superbe et excitante histoire...
Histoire vécue ???
Vivement une suite, avec un couple d'amis et leur(s) fils ?
Histoire vécue ???
Vivement une suite, avec un couple d'amis et leur(s) fils ?