Le fantasme du maître
Récit érotique écrit par Nymphea6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le fantasme du maître
Il me donna rendez-vous dès le lendemain soir dans une chambre d'hôtel qu'il avait réservée pour la nuit. C'était un petit hôtel un peu lugubre qui aurait très bien pu être un hôtel de passe mais la chambre était propre.
Quand il m'accueillit dans la chambre, il me serra contre lui et m'embrassa longuement. Il me dit qu'il savait que j'avais aimé qu'il me souille la bouche et qu'il allait me soumettre encore davantage la nuit prochaine. Il me dit d'être reconnaissante que pour notre première nuit, l'hôtel soit aussi luxueux, que nos prochains rendez-vous pourraient avoir lieu dans des endroits plus glauques.
Il m'expliqua qu'il allait m'apprendre à être docile et qu'après quelques nuits, je serai prête à être partagée. Que voulez-dire être partagée ?
Lorsque je lui posai la question, il me répondit que je n'étais pas autorisée à l'interroger, « oui, monsieur, pardon monsieur ». Il me regarda de la tête aux pieds en se passant la langue sur les lèvres. « Tu t'es habillée comme la petite pute que tu es ». J'étais vêtue d'une robe près du corps, d'un collant fendu et d'un soutien-gorge ouvert, comme il l'avait exigé. Je ne portais pas de culotte. Lui portait un simple peignoir. Avec une cravache, il souleva doucement ma robe et paru extrêmement satisfait que j'ai suivi ses consignes. Ma chatte lisse reçut alors la caresse froide de son instrument. Il me demanda de me tourner et m'asséna de petits coups de cravache sur les fesses. Il était fou de désir que je me cambre et gémisse.
« Tu vas maintenant te mettre à genoux, petite garce ». Je m'exécutai et il entrouvrit son peignoir pour m'offrir son énorme membre déjà fièrement gonflé. Il passa son gland sur mes lèvres à peine ouvertes puis sur mes joues. Il semblait vouloir prendre tout son temps. Doucement, il introduisit sa queue dans ma bouche et me demanda de la sucer sans attendre. Je m'exécutai, pressée de satisfaire mon maître. Je le branlais en faisant courir ma langue le long de sa hampe. Je caressais ses boules en léchant son gros gland. Durant de longues minutes, il gémit et prononça des mots obscènes qui me firent mouiller. « Arrête, lève-toi et enlève ta robe ».
Il m'ordonna de me mettre à quatre pattes sur le lit. Il avait alors une vue privilégiée sur mon cul et ma fente humide. Il commença à lécher ma chatte avec application pendant qu'il malaxait mes fesses. Toutes mes tensions s'envolèrent et mes hanches se coordonnèrent à ses coups de langue.
Alors il s'autorisa à introduire deux doigts dans mon petit trou. Surprise, je me reculai, ce que je regrettai à l'instant compte tenu des jurons qui sortirent de sa bouche.
Il m'attrapa alors fermement par les hanches pour me ramener vers lui. Une déferlante de fessées me frappa au point que mon cul devint cramoisi. « Tu dois obéir à ton maître, petite pute ». Il continuait de me fesser en cadence pour que je me soumette. Il pénétra alors ma chatte avec sa queue et fit des va-et-vient brutaux pour me montrer que je lui appartenais. Il enfonça ensuite deux doigts dans mon cul pour que je commence à imaginer les gang-bangs auxquels je ne manquerai pas de participer à l'avenir.
Je criai car sa queue était énorme et ma chatte encore si étroite. Je criai surtout car il me préparait à accueillir une autre queue en me doigtant le petit trou. Bientôt ses doigts laissèrent la place à un plug anal qu'il enfonça avec délectation. En prévention et pour m'entendre crier, il m'asséna plusieurs frappes sur les fesses. Il fut satisfait de me voir me cambrer et le laisser me baiser ainsi.
Il s'appliqua alors dans ses coups de boutoir qui bien que violents me procuraient un plaisir et une excitation sans pareil. Ses couilles claquaient contre ma chatte en même temps qu'il râlait et m'insultait.
« C'est ça que tu cherchais sale chienne, te faire souiller par la bite d'un inconnu ». Je compris à ses coups de butoir que je devais m'exprimer alors je lui répondis : « oui monsieur, je suis une chienne qui aime se faire souiller par des inconnus ». « Tu vas être servie, je vais te besogner et je ne serai pas le seul ».
Il continua à me baiser en levrette en me caressant les seins et les tétons. Quand il fut prêt à jouir, il se retira et me fit m'allonger sur les dos, les jambes placées sur ses épaules. Il frotta alors mon clitoris de sa queue et titilla le plug qui écartelait mon cul avec délice.
Il reprit ensuite son va-et-vient, scrutant mes expressions et se délectant de mes gémissements. J'avais la sensation d'être double pénétrée, plus soumise que je ne l'avais jamais été.
« Je vais te remplir la chatte, tu baises avec un inconnu sans capote, sale pute », « demande-moi de jouir dans ta chatte ». « Monsieur, s'il vous plaît, donnez-moi votre foutre s'il vous plaît, souillez-moi comme je le mérite ».
Sa queue grossit encore en moi et il gicla dans un râle. J'étais emplie de sa semence. Il me caressa alors le clitoris et me lécha les seins pour que je le rejoigne.
« J'espère que tu n'es pas fatiguée car je vais te besogner toute la nuit ».
Quand il m'accueillit dans la chambre, il me serra contre lui et m'embrassa longuement. Il me dit qu'il savait que j'avais aimé qu'il me souille la bouche et qu'il allait me soumettre encore davantage la nuit prochaine. Il me dit d'être reconnaissante que pour notre première nuit, l'hôtel soit aussi luxueux, que nos prochains rendez-vous pourraient avoir lieu dans des endroits plus glauques.
Il m'expliqua qu'il allait m'apprendre à être docile et qu'après quelques nuits, je serai prête à être partagée. Que voulez-dire être partagée ?
Lorsque je lui posai la question, il me répondit que je n'étais pas autorisée à l'interroger, « oui, monsieur, pardon monsieur ». Il me regarda de la tête aux pieds en se passant la langue sur les lèvres. « Tu t'es habillée comme la petite pute que tu es ». J'étais vêtue d'une robe près du corps, d'un collant fendu et d'un soutien-gorge ouvert, comme il l'avait exigé. Je ne portais pas de culotte. Lui portait un simple peignoir. Avec une cravache, il souleva doucement ma robe et paru extrêmement satisfait que j'ai suivi ses consignes. Ma chatte lisse reçut alors la caresse froide de son instrument. Il me demanda de me tourner et m'asséna de petits coups de cravache sur les fesses. Il était fou de désir que je me cambre et gémisse.
« Tu vas maintenant te mettre à genoux, petite garce ». Je m'exécutai et il entrouvrit son peignoir pour m'offrir son énorme membre déjà fièrement gonflé. Il passa son gland sur mes lèvres à peine ouvertes puis sur mes joues. Il semblait vouloir prendre tout son temps. Doucement, il introduisit sa queue dans ma bouche et me demanda de la sucer sans attendre. Je m'exécutai, pressée de satisfaire mon maître. Je le branlais en faisant courir ma langue le long de sa hampe. Je caressais ses boules en léchant son gros gland. Durant de longues minutes, il gémit et prononça des mots obscènes qui me firent mouiller. « Arrête, lève-toi et enlève ta robe ».
Il m'ordonna de me mettre à quatre pattes sur le lit. Il avait alors une vue privilégiée sur mon cul et ma fente humide. Il commença à lécher ma chatte avec application pendant qu'il malaxait mes fesses. Toutes mes tensions s'envolèrent et mes hanches se coordonnèrent à ses coups de langue.
Alors il s'autorisa à introduire deux doigts dans mon petit trou. Surprise, je me reculai, ce que je regrettai à l'instant compte tenu des jurons qui sortirent de sa bouche.
Il m'attrapa alors fermement par les hanches pour me ramener vers lui. Une déferlante de fessées me frappa au point que mon cul devint cramoisi. « Tu dois obéir à ton maître, petite pute ». Il continuait de me fesser en cadence pour que je me soumette. Il pénétra alors ma chatte avec sa queue et fit des va-et-vient brutaux pour me montrer que je lui appartenais. Il enfonça ensuite deux doigts dans mon cul pour que je commence à imaginer les gang-bangs auxquels je ne manquerai pas de participer à l'avenir.
Je criai car sa queue était énorme et ma chatte encore si étroite. Je criai surtout car il me préparait à accueillir une autre queue en me doigtant le petit trou. Bientôt ses doigts laissèrent la place à un plug anal qu'il enfonça avec délectation. En prévention et pour m'entendre crier, il m'asséna plusieurs frappes sur les fesses. Il fut satisfait de me voir me cambrer et le laisser me baiser ainsi.
Il s'appliqua alors dans ses coups de boutoir qui bien que violents me procuraient un plaisir et une excitation sans pareil. Ses couilles claquaient contre ma chatte en même temps qu'il râlait et m'insultait.
« C'est ça que tu cherchais sale chienne, te faire souiller par la bite d'un inconnu ». Je compris à ses coups de butoir que je devais m'exprimer alors je lui répondis : « oui monsieur, je suis une chienne qui aime se faire souiller par des inconnus ». « Tu vas être servie, je vais te besogner et je ne serai pas le seul ».
Il continua à me baiser en levrette en me caressant les seins et les tétons. Quand il fut prêt à jouir, il se retira et me fit m'allonger sur les dos, les jambes placées sur ses épaules. Il frotta alors mon clitoris de sa queue et titilla le plug qui écartelait mon cul avec délice.
Il reprit ensuite son va-et-vient, scrutant mes expressions et se délectant de mes gémissements. J'avais la sensation d'être double pénétrée, plus soumise que je ne l'avais jamais été.
« Je vais te remplir la chatte, tu baises avec un inconnu sans capote, sale pute », « demande-moi de jouir dans ta chatte ». « Monsieur, s'il vous plaît, donnez-moi votre foutre s'il vous plaît, souillez-moi comme je le mérite ».
Sa queue grossit encore en moi et il gicla dans un râle. J'étais emplie de sa semence. Il me caressa alors le clitoris et me lécha les seins pour que je le rejoigne.
« J'espère que tu n'es pas fatiguée car je vais te besogner toute la nuit ».
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