Le garagiste
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le garagiste
Je revenais de chez des amis en Sologne où l'on avait fêté dignement un anniversaire. Je roulais tranquille sur les petites routes ensoleillées, quand soudain ma voiture s'est mise à faire des hoquets et finir par s'arrêter sur le bord de la route.
Si vous vous y connaissez autant que moi en mécanique, alors vous me comprendrez.
J'ai ouvert le capot, pour voir que le moteur était toujours là, ça ne fumait pas de partout, mais elle refusait obstinément de redémarrer.
J'en étais là de mes réflexions, cherchant dans mon téléphone qui appeler, quand le miracle s'est produit.
Une dépanneuse s'arrête devant mon véhicule, un jeune mec d'une trentaine d'années en sort, ça devait être mon ange gardien! lol
Mon sauveur arrivait, m'expliquant qu'il revenait de chez un client et qu'il rentrait au garage. Il a mis son nez dans le moteur, et d'un ton catégorique, m'a dit :
-oh rien de grave ! je peux vous réparer ça ce soir, je vais vous remorquer jusqu'au garage et je m'occupe de vous de suite.
Ces mots m'ont fait sourire intérieurement. C'est vrai qu'il valait mieux qu'il s'occupe de ma voiture, mais si l'envie le prenait de vouloir s'occuper de moi également, j'aurais pas dit non!
La trentaine, brun comme moi je suis blond, athlétique, une belle gueule souriante, quelques marques de cambouis ou autres sur son visage. Son corps remplissait bien sa tenue d'une pièce, son bleu de travail.
Une petite demie heure après on était au garage.
Durant le trajet on avait papoté, j'évitais de trop le regarder car il m'excitait quand même ce beau garagiste.
-vous fermez à quelle heure ?
-vous en faites pas dit-il vous repartirez ce soir, je vais tout faire pour, allez faire un tour dans le patelin j'en ai pour une heure ou deux.
Je l'ai laissé en compagnie de ma voiture et je suis allé dans le patelin, et j'ai vite fait le tour, à part des maisons, quelques magasins de bouche, il n'y avait rien d'autres! si, j'étais très observé par tous ceux que je rencontrais.
Alors je suis revenu au garage, autant attendre là-bas en matant le beau garagiste..
Il avait sa tête dans le moteur lorsque je suis revenu.
-déjà ? m'a t-il dit , alors vous n'avez pas tout visité!!
Je le regardais un peu effaré et il s'est mis à rire.
-je sais, y'a qu'un bistrot et il est fermé aujourd'hui.
Il replonge dans le moteur. Je m'approche et mes yeux passent sur son dos, descendent sur ses fesses, le vêtement est tiré, la couture lui passe dans la raie des fesses et les sépare bien, deux belles demies lunes dont je ne peux retirer mes yeux.
Quand il bouge je vois les muscles de ses fesses bouger également.
Se sont vraiment de très belles fesses, on a envie de les caresser, de les écarter encore plus et, dans un premier temps les honorer de sa langue! Oh putain que ça doit être bon d'être entre ses belles fesses.
Je m'excite tout seul…
Mes yeux descendent sur ses jambes. Les jambières sont remontées et j'aperçois les chevilles poilues, il n'a pas de chaussettes, je mate bien ses belles chevilles. Il se met sur la pointe des pieds, son cul bouge, les jambières remontent jusqu'à mi- mollets.
Qu'est ce qu'on est con de s'exciter comme ça devant un peu de peau et de formes.
Et ma queue commençait à faire des siennes, je la sentais palpiter dans mon boxer.
Et ce mécanicien qui faisait bouger son petit cul devant mes yeux!
Soudain j'ai entendu le bruit d'un rideau métallique qui descendait et j'ai vu à l'entrée du garage un mec de loin, fermer la porte.
-j'y vais Fabien! dit le mec que je n'ai pas tellement le temps de voir.
-ok crie le prénommé Fabien la tête toujours dans le moteur..
Je savais son prénom, on devait être seul apparemment.
J'avais les sens qui commençaient à entrer en ébullition, alors j'ai maté son cul sans vergogne, m'approchant le plus près possible pour marquer tous les détails dans ma mémoire. J'avais mis les mains dans mes poches et comme un collégien puceau, je me caressais la queue devant le tableau.
J'en aurais presque pousser des gémissements tellement j'étais excité.
Je ne regardais plus que son cul, les yeux commençaient à me faire mal et que dire de ma queue.
Mais j'ai fait un bond, en criant quand une main s'est posée sur mon cul et qu'une voix a dit :
-alors il te plait le cul de mon mec!
Je me suis retourné pour voir un jeune rebeu de 25-30 ans, cheveux frisés, sourire hilarant aux lèvres qui me toisait.
Je l'ai fixé sans répondre, ne sachant que dire.
Fabien a relevé la tête, m'a regardé en souriant.
-désolé mais Karim voit tout ce qui se passe dans le garage et faut toujours qu'il fasse son jaloux.
Il rigole en replongeant dans le moteur.
-alors ? tu m'as pas répondu monsieur le client ? je te regarde depuis que j'ai fermé le rideau et tes yeux n'ont pas quitté le cul de Fabien.
-y'avait que ça à regarder! dis je même pas convaincu moi-même.
Il s'approche de moi, passe sa main sur mes fesses en se collant à moi.
-et si tu le voyais à poil mec! il ferait bander des eunuques..! son cul est dur, ferme, mais c'est un plaisir de glisser sa langue dans la raie, de trouver le petit trou pour le forer et l'inonder et, déjà il gueule, alors t'imagine quand je le cartonne avec mon gros zob de rebeu, il hurle de bonheur.
Sa main me caressait les fesses avec insistance, sa main bien que douce était ferme, ses doigts passaient dans ma raie, remontent au dessus du pantalon et glisse sa main à l'intérieur. Je le laisse faire, ses doigts glissent sur mes fesses, partent dans la raie et un doigt appuie sur l'anus, cherchant à le pénétrer, je tends mon cul au doigt inquisiteur.
-t'aime ça te faire baiser mec ?
-oui mais j'aime aussi baiser un bon cul tu sais.
-alors je t'offre le cul de Fabien si tu m'offres le tien ?
-pourquoi pas le tien ? dis-je en me tournant un peu et saisissant sa queue par dessus son bleu de travail. Il bande comme un jeune cerf le mécanicien.
-parce que le mien est réservé à Fabien mec!
Son doigt était maintenant entré dans mon cul qui s'ouvrait, c'est vrai assez facilement.
Il me fixait, ses yeux marrons foncés avaient toute la malice du monde. J'ai approché ma tête, mes lèvres ont effleurées les siennes, son souffle était chaud, sa main dans mon cul m'a serré contre lui, les lèvres se sont épousées et les langues se sont rencontrées.
J'avais fermé les yeux pour déguster ce beau rebeu que je n'aurais jamais imaginé rencontrer dans un patelin si perdu.
J'ai aimé sa salive, son goût, sa langue qui bougeait à merveille dans ma bouche, s'enfonçant au plus loin qu'elle pouvait, pendant que son doigt bougeait en moi.
Je le serrais contre moi, caressant sa nuque, son dos à travers sa tenue.
-allez donc à l'appart les mecs dit Fabien en nous regardant, on aura l'air fin si quelqu'un arrive! j'en ai encore pour une demie heure environ.
Karim a retiré son doigt, m'a pris par la main.
-viens avec moi beau blond que je commence à te déguster!
Leur appartement était attenant au garage.
Il m'a emmené dans le salon et a enlevé direct sa combinaison, ses chaussures, chaussettes et j'avais devant les yeux un beau rebeu musclé, imberbe de partout, un boxer qui allait explosé avec ce que je voyais et que je n'avais fait que tâter.
J'en suis resté bouche bée devant ce mec.
Il est venu vers moi et m'as déshabillé, m'observant, me reluquant de près.
Ses mains douces m'ont caressé le visage, passant son pouce sur mes lèvres, revenant m'embrasser. Mon tee-shirt a volé, il s'est attaqué à mon pantalon, m'ai aidé à l'enlever, chaussures, chaussettes et on était à égalité, en boxer débordant d'énergies.
J'avais envie de le voir nu, je me suis mis à genoux devant lui, caressant sa queue à travers le boxer, lui me caressait mes cheveux blonds.
J'ai baissé son boxer d'un coup, libérant un monstre circoncis qui m'est tombé sur le nez et j'ai eu l'odeur de rebeu qui pénétrait mes narines, cette odeur que j'aime tant. J'ai pris sa queue à deux mains, le gland dépassait encore un peu, juste le méat ouvert qui laissait goutter des perles translucides. J'ai donné de petits coups de langue, il tendait sa queue vers ma bouche, mais mes deux mains l'empêchaient qu'elle entre.. je me suis amusé avec le gland, le lécher, l'aspirer, le sucer et l'entendre grogner le rebeu!
J'ai tenu sa queue d'une seule main, pendant que l'autre allait lui prendre ses belles couilles poilues.
J'ai passé ma langue sur la tige apparente et j'ai recommencé à m'amuser avec le gland entier, ce beau gland plus gros que la tige, bien renflé, circoncis. Je l'ai léché, inondé de salive pour le lécher encore plus et l'entendre gémir.
Son zob, son sgeg était dur comme de l'acier, il me regardait faire et je voyais bien qu'il était très fier de son engin.
J'ai commencé à l'avaler, lui faisant visiter ma bouche, racler mon palais, foncer vers la luette, vers ma gorge, mais ma main empêchait qu'il aille plus loin.
Je l'ai pipé comme ça, il ne cherchait pas à m'enlever la main pour aller plus loin.
Mais quand c'est moi qui l'ai enlevé, il a poussé un grand soupir, ses mains m'ont prises aux tempes et sa belle queue s'est enfoncée dans ma bouche.
-Fabien peut tout avaler me dit-il d'un air de défi.
Moi aussi mon pote, t'en fais pas! on va y arriver j'ai pensé.
Mais c'était vraiment un gros boudin son engin, j'ai toussé, craché, j'ai eu des hauts le cœur, mes yeux étaient pleins de larmes mais son gland a bouché l'entrée de ma gorge. Il tenait bien ma tête en arrière, ses couilles sur mon menton et sa queue, son zob, bougeait tout doucement en moi.
En fin de compte, c'était un doux Karim, un tendre.
Il a fait bouger sa queue quelques temps dans ma bouche, l'a sortie doucement, passant son gland sur mon visage, me le faisant respirer puis il m'a relevé et s'est mis à genoux devant moi.
J'ai été un peu étonné, je le pensais être un rebeu macho dominant.
Sans façon il m'a enlevé mon boxer, libérant mon monstre, certes moins long que le sien, mais assez épais quand même et il a sifflé d'admiration.
-putain mec t'as du beau matos!
Comme beaucoup de rebeu, il a joué avec le prépuce, avant d'avaler ma queue jusqu'à ce que ses lèvres touchent ma toison pubienne et m'a sucé comme un malade, serrant mes couilles pendantes.
-elle est bonne ta queue mec! t'as le même goût que Fabien et pratiquement la même queue!
Il est reparti à me lécher, sucer la queue et quel coup de langue il avait ce rebeu! je sentais déjà le plaisir arriver, quand il s'est arrêté, et m'a fait lui tourner le dos, appuyant sur mon dos.
Ses mains chaudes m'ont caressé le dos, pour prendre chacune une fesse, il m'a fait des bisous sur les fesses, les caressant, les embrassant.
Je me suis bien penché, écartant les jambes et il a eu ma raie de blond devant le nez. Je sais l'effet qu'elle fait aux rebeux en général ils deviennent fous et se ruent dessus.
Mais Karim a pris son temps, écartant bien mes fesses, je suis venu l'aider, et ses doigts ont parcouru ma raie, doucement tout en caresse, touchant mon anus souple qu'il avait déjà investi.
Mais c'est sa langue que j'ai eu en premier, je me suis bien penché en avant et sa bonne langue s'est glissée dans ma raie, léchant, inondant l'anus qui n'en demandait pas tant. C'est un vrai gourmand Karim comme bouffeur de cul, on sentait bien qu'il aimait ça, il mordillait mes fesses et revenait avec sa langue puis ses doigts sont entrés en action, sa joue collée sur une fesse, il devait regarder ses doigts entrer en moi. Je râlais et lui gémissait.
Il m'a doigté avec tact, préparant bien mon petit cul et il s'est relevé, j'ai senti son gros gland passer dans ma raie plusieurs fois, sa mouille se répandait partout. Il s'est arrêté devant l'entrée, m'a pris aux hanches et a forcé doucement.
Je sentais son gros gland m'ouvrir lentement, mon cul l'envelopper et ça glissait lentement en moi, j'avais un peu mal mais c'était grandement supportable. Il a donné un petit coup de reins et son gland est entré, là je n'ai pu m'empêcher de gueuler, il s'est arrêté en même temps que l'on entendait une voix.
-fais pas ton bourrin Karim, va doucement! c'est pas la salope de ta cité!!
Fabien entrait dans la pièce en se déshabillant. L'odeur du garage arrivait dans la pièce, il sentait la sueur, le mâle. J'avais la queue de son pote dans le cul et lui se déshabillait devant moi. Voir son corps magnifique, une belle queue coincée dans un boxer bien rempli qu'il enlève, se retourne pour me montrer son cul.
Tout à fait ce que j'avais imaginé tout à l'heure! quel cul ce mec! putain c'était pas possible! tu parles que Karim devait être heureux avec un tel mec!
Fabien est venu me présenter sa belle queue, sans chercher plus loin je l'ai avalée et le gros zob de Karim a continué son chemin, je me suis cramponné aux belles cuisses de Fabien.
Je ne pouvais émettre beaucoup de bruits, mais putain qu'est ce que j'ai été bien baisé! avoir ce gros machin en moi qui coulissait comme s'il m'avait déjà visité et la queue de Fabien qui me remplissait bien la gorge, j'étais comblé!
Le pubis de Karim claquait de plus en plus vite contre mes fesses, je me donnais, je m'offrais, la queue de Fabien devenait de plus en plus dur dans ma bouche.
Ils ont joui ensemble, j'ai été rempli des deux côtés, leurs jus ressortait tant par ma bouche que par mon cul, c'est eux qui ont fait le plus de bruit en jouissant!!
Fabien s'est retrouvé à genoux devant moi pour me lécher le visage et récupérer son jus qui s'était sauvé, pendant que Karim me léchait encore le cul en faisant du bruit, comme un chiot lèche sa gamelle.
Ils m'ont mis tous les deux devant eux et se sont amusés avec ma queue, me léchant en s'embrassant dessus, jouant avec leur langue, l'avalant chacun leur tour, me branlant et j'ai joui dans la bouche de Fabien qui a quand même partagé avec Karim. J'ai eu droit à un nettoyage à deux langues.
Ils se sont relevés tous les deux pour m'embrasser ensemble.
-tu restes dîner avec nous ? demande Fabien, car il faut que tu goûtes à toutes les spécialités de la maison quand même!
-oui il le mérite bien ce mec, c'est un bon! il te ressemble beaucoup dans certains côtés Fabien, mais c'est toi que j'aime! dit un Karim tout sourire, mais il s'appelle comment notre client au fait ?
-Fabrice dit Fabien avant que j'ouvre la bouche, j'ai vu ça sur la carte grise tout à l'heure et, en plus il n'habite pas si loin que ça, ce beau blond.
Ils viennent se recoller contre moi, les mains s'égarent.
-alors Fabien ? tu crois qu'on aura l'occasion de le revoir ?
-si tu sais te tenir, je pense dit Fabien en riant.
-comment ça ? dit Karim.
-ben il t'as demandé quelque chose tout à l'heure, c'est pas parce que j'avais la tête dans le moteur tout à l'heure que j'ai pas entendu.
-oui dit Karim en riant, mais je lui ai répondu.
-oui, j'ai entendu aussi, mais t'as pas dit toute la vérité mon chéri!
-j'allais quand même pas dévoiler tous nos secrets quand même, un inconnu!!
Ils rigolent tous les deux en me regardant.
-t'en fais pas Fabrice, faut toujours qu'il fasse son rebeu macho devant les beaux mecs mais, tu vois ce rebeu là, que j'aime à la folie, c'est un doux, un tendre, un amoureux qui aime fourrer son zob partout où il peut, mais je peux t'assurer que lorsqu'il trouve une queue qu'il lui plait, il ne la prend pas uniquement dans la bouche.
-oh oh dit Karim n'en rajoute pas trop quand même.
J'ai passé une soirée et une nuit magnifique avec ces deux beaux mecs, certes je me suis fait encore baiser tant par Karim que par Fabien, mais j'ai eu aussi les deux culs et avoir Karim entre Fabien et moi fût vraiment un plaisir divin.
J'étais sur les genoux quand je suis reparti le lendemain… heureux!
Et, maintenant je sais où emmener ma voiture au moindre bruit suspect et en plus c'est bientôt la prochaine vidange...
Si vous vous y connaissez autant que moi en mécanique, alors vous me comprendrez.
J'ai ouvert le capot, pour voir que le moteur était toujours là, ça ne fumait pas de partout, mais elle refusait obstinément de redémarrer.
J'en étais là de mes réflexions, cherchant dans mon téléphone qui appeler, quand le miracle s'est produit.
Une dépanneuse s'arrête devant mon véhicule, un jeune mec d'une trentaine d'années en sort, ça devait être mon ange gardien! lol
Mon sauveur arrivait, m'expliquant qu'il revenait de chez un client et qu'il rentrait au garage. Il a mis son nez dans le moteur, et d'un ton catégorique, m'a dit :
-oh rien de grave ! je peux vous réparer ça ce soir, je vais vous remorquer jusqu'au garage et je m'occupe de vous de suite.
Ces mots m'ont fait sourire intérieurement. C'est vrai qu'il valait mieux qu'il s'occupe de ma voiture, mais si l'envie le prenait de vouloir s'occuper de moi également, j'aurais pas dit non!
La trentaine, brun comme moi je suis blond, athlétique, une belle gueule souriante, quelques marques de cambouis ou autres sur son visage. Son corps remplissait bien sa tenue d'une pièce, son bleu de travail.
Une petite demie heure après on était au garage.
Durant le trajet on avait papoté, j'évitais de trop le regarder car il m'excitait quand même ce beau garagiste.
-vous fermez à quelle heure ?
-vous en faites pas dit-il vous repartirez ce soir, je vais tout faire pour, allez faire un tour dans le patelin j'en ai pour une heure ou deux.
Je l'ai laissé en compagnie de ma voiture et je suis allé dans le patelin, et j'ai vite fait le tour, à part des maisons, quelques magasins de bouche, il n'y avait rien d'autres! si, j'étais très observé par tous ceux que je rencontrais.
Alors je suis revenu au garage, autant attendre là-bas en matant le beau garagiste..
Il avait sa tête dans le moteur lorsque je suis revenu.
-déjà ? m'a t-il dit , alors vous n'avez pas tout visité!!
Je le regardais un peu effaré et il s'est mis à rire.
-je sais, y'a qu'un bistrot et il est fermé aujourd'hui.
Il replonge dans le moteur. Je m'approche et mes yeux passent sur son dos, descendent sur ses fesses, le vêtement est tiré, la couture lui passe dans la raie des fesses et les sépare bien, deux belles demies lunes dont je ne peux retirer mes yeux.
Quand il bouge je vois les muscles de ses fesses bouger également.
Se sont vraiment de très belles fesses, on a envie de les caresser, de les écarter encore plus et, dans un premier temps les honorer de sa langue! Oh putain que ça doit être bon d'être entre ses belles fesses.
Je m'excite tout seul…
Mes yeux descendent sur ses jambes. Les jambières sont remontées et j'aperçois les chevilles poilues, il n'a pas de chaussettes, je mate bien ses belles chevilles. Il se met sur la pointe des pieds, son cul bouge, les jambières remontent jusqu'à mi- mollets.
Qu'est ce qu'on est con de s'exciter comme ça devant un peu de peau et de formes.
Et ma queue commençait à faire des siennes, je la sentais palpiter dans mon boxer.
Et ce mécanicien qui faisait bouger son petit cul devant mes yeux!
Soudain j'ai entendu le bruit d'un rideau métallique qui descendait et j'ai vu à l'entrée du garage un mec de loin, fermer la porte.
-j'y vais Fabien! dit le mec que je n'ai pas tellement le temps de voir.
-ok crie le prénommé Fabien la tête toujours dans le moteur..
Je savais son prénom, on devait être seul apparemment.
J'avais les sens qui commençaient à entrer en ébullition, alors j'ai maté son cul sans vergogne, m'approchant le plus près possible pour marquer tous les détails dans ma mémoire. J'avais mis les mains dans mes poches et comme un collégien puceau, je me caressais la queue devant le tableau.
J'en aurais presque pousser des gémissements tellement j'étais excité.
Je ne regardais plus que son cul, les yeux commençaient à me faire mal et que dire de ma queue.
Mais j'ai fait un bond, en criant quand une main s'est posée sur mon cul et qu'une voix a dit :
-alors il te plait le cul de mon mec!
Je me suis retourné pour voir un jeune rebeu de 25-30 ans, cheveux frisés, sourire hilarant aux lèvres qui me toisait.
Je l'ai fixé sans répondre, ne sachant que dire.
Fabien a relevé la tête, m'a regardé en souriant.
-désolé mais Karim voit tout ce qui se passe dans le garage et faut toujours qu'il fasse son jaloux.
Il rigole en replongeant dans le moteur.
-alors ? tu m'as pas répondu monsieur le client ? je te regarde depuis que j'ai fermé le rideau et tes yeux n'ont pas quitté le cul de Fabien.
-y'avait que ça à regarder! dis je même pas convaincu moi-même.
Il s'approche de moi, passe sa main sur mes fesses en se collant à moi.
-et si tu le voyais à poil mec! il ferait bander des eunuques..! son cul est dur, ferme, mais c'est un plaisir de glisser sa langue dans la raie, de trouver le petit trou pour le forer et l'inonder et, déjà il gueule, alors t'imagine quand je le cartonne avec mon gros zob de rebeu, il hurle de bonheur.
Sa main me caressait les fesses avec insistance, sa main bien que douce était ferme, ses doigts passaient dans ma raie, remontent au dessus du pantalon et glisse sa main à l'intérieur. Je le laisse faire, ses doigts glissent sur mes fesses, partent dans la raie et un doigt appuie sur l'anus, cherchant à le pénétrer, je tends mon cul au doigt inquisiteur.
-t'aime ça te faire baiser mec ?
-oui mais j'aime aussi baiser un bon cul tu sais.
-alors je t'offre le cul de Fabien si tu m'offres le tien ?
-pourquoi pas le tien ? dis-je en me tournant un peu et saisissant sa queue par dessus son bleu de travail. Il bande comme un jeune cerf le mécanicien.
-parce que le mien est réservé à Fabien mec!
Son doigt était maintenant entré dans mon cul qui s'ouvrait, c'est vrai assez facilement.
Il me fixait, ses yeux marrons foncés avaient toute la malice du monde. J'ai approché ma tête, mes lèvres ont effleurées les siennes, son souffle était chaud, sa main dans mon cul m'a serré contre lui, les lèvres se sont épousées et les langues se sont rencontrées.
J'avais fermé les yeux pour déguster ce beau rebeu que je n'aurais jamais imaginé rencontrer dans un patelin si perdu.
J'ai aimé sa salive, son goût, sa langue qui bougeait à merveille dans ma bouche, s'enfonçant au plus loin qu'elle pouvait, pendant que son doigt bougeait en moi.
Je le serrais contre moi, caressant sa nuque, son dos à travers sa tenue.
-allez donc à l'appart les mecs dit Fabien en nous regardant, on aura l'air fin si quelqu'un arrive! j'en ai encore pour une demie heure environ.
Karim a retiré son doigt, m'a pris par la main.
-viens avec moi beau blond que je commence à te déguster!
Leur appartement était attenant au garage.
Il m'a emmené dans le salon et a enlevé direct sa combinaison, ses chaussures, chaussettes et j'avais devant les yeux un beau rebeu musclé, imberbe de partout, un boxer qui allait explosé avec ce que je voyais et que je n'avais fait que tâter.
J'en suis resté bouche bée devant ce mec.
Il est venu vers moi et m'as déshabillé, m'observant, me reluquant de près.
Ses mains douces m'ont caressé le visage, passant son pouce sur mes lèvres, revenant m'embrasser. Mon tee-shirt a volé, il s'est attaqué à mon pantalon, m'ai aidé à l'enlever, chaussures, chaussettes et on était à égalité, en boxer débordant d'énergies.
J'avais envie de le voir nu, je me suis mis à genoux devant lui, caressant sa queue à travers le boxer, lui me caressait mes cheveux blonds.
J'ai baissé son boxer d'un coup, libérant un monstre circoncis qui m'est tombé sur le nez et j'ai eu l'odeur de rebeu qui pénétrait mes narines, cette odeur que j'aime tant. J'ai pris sa queue à deux mains, le gland dépassait encore un peu, juste le méat ouvert qui laissait goutter des perles translucides. J'ai donné de petits coups de langue, il tendait sa queue vers ma bouche, mais mes deux mains l'empêchaient qu'elle entre.. je me suis amusé avec le gland, le lécher, l'aspirer, le sucer et l'entendre grogner le rebeu!
J'ai tenu sa queue d'une seule main, pendant que l'autre allait lui prendre ses belles couilles poilues.
J'ai passé ma langue sur la tige apparente et j'ai recommencé à m'amuser avec le gland entier, ce beau gland plus gros que la tige, bien renflé, circoncis. Je l'ai léché, inondé de salive pour le lécher encore plus et l'entendre gémir.
Son zob, son sgeg était dur comme de l'acier, il me regardait faire et je voyais bien qu'il était très fier de son engin.
J'ai commencé à l'avaler, lui faisant visiter ma bouche, racler mon palais, foncer vers la luette, vers ma gorge, mais ma main empêchait qu'il aille plus loin.
Je l'ai pipé comme ça, il ne cherchait pas à m'enlever la main pour aller plus loin.
Mais quand c'est moi qui l'ai enlevé, il a poussé un grand soupir, ses mains m'ont prises aux tempes et sa belle queue s'est enfoncée dans ma bouche.
-Fabien peut tout avaler me dit-il d'un air de défi.
Moi aussi mon pote, t'en fais pas! on va y arriver j'ai pensé.
Mais c'était vraiment un gros boudin son engin, j'ai toussé, craché, j'ai eu des hauts le cœur, mes yeux étaient pleins de larmes mais son gland a bouché l'entrée de ma gorge. Il tenait bien ma tête en arrière, ses couilles sur mon menton et sa queue, son zob, bougeait tout doucement en moi.
En fin de compte, c'était un doux Karim, un tendre.
Il a fait bouger sa queue quelques temps dans ma bouche, l'a sortie doucement, passant son gland sur mon visage, me le faisant respirer puis il m'a relevé et s'est mis à genoux devant moi.
J'ai été un peu étonné, je le pensais être un rebeu macho dominant.
Sans façon il m'a enlevé mon boxer, libérant mon monstre, certes moins long que le sien, mais assez épais quand même et il a sifflé d'admiration.
-putain mec t'as du beau matos!
Comme beaucoup de rebeu, il a joué avec le prépuce, avant d'avaler ma queue jusqu'à ce que ses lèvres touchent ma toison pubienne et m'a sucé comme un malade, serrant mes couilles pendantes.
-elle est bonne ta queue mec! t'as le même goût que Fabien et pratiquement la même queue!
Il est reparti à me lécher, sucer la queue et quel coup de langue il avait ce rebeu! je sentais déjà le plaisir arriver, quand il s'est arrêté, et m'a fait lui tourner le dos, appuyant sur mon dos.
Ses mains chaudes m'ont caressé le dos, pour prendre chacune une fesse, il m'a fait des bisous sur les fesses, les caressant, les embrassant.
Je me suis bien penché, écartant les jambes et il a eu ma raie de blond devant le nez. Je sais l'effet qu'elle fait aux rebeux en général ils deviennent fous et se ruent dessus.
Mais Karim a pris son temps, écartant bien mes fesses, je suis venu l'aider, et ses doigts ont parcouru ma raie, doucement tout en caresse, touchant mon anus souple qu'il avait déjà investi.
Mais c'est sa langue que j'ai eu en premier, je me suis bien penché en avant et sa bonne langue s'est glissée dans ma raie, léchant, inondant l'anus qui n'en demandait pas tant. C'est un vrai gourmand Karim comme bouffeur de cul, on sentait bien qu'il aimait ça, il mordillait mes fesses et revenait avec sa langue puis ses doigts sont entrés en action, sa joue collée sur une fesse, il devait regarder ses doigts entrer en moi. Je râlais et lui gémissait.
Il m'a doigté avec tact, préparant bien mon petit cul et il s'est relevé, j'ai senti son gros gland passer dans ma raie plusieurs fois, sa mouille se répandait partout. Il s'est arrêté devant l'entrée, m'a pris aux hanches et a forcé doucement.
Je sentais son gros gland m'ouvrir lentement, mon cul l'envelopper et ça glissait lentement en moi, j'avais un peu mal mais c'était grandement supportable. Il a donné un petit coup de reins et son gland est entré, là je n'ai pu m'empêcher de gueuler, il s'est arrêté en même temps que l'on entendait une voix.
-fais pas ton bourrin Karim, va doucement! c'est pas la salope de ta cité!!
Fabien entrait dans la pièce en se déshabillant. L'odeur du garage arrivait dans la pièce, il sentait la sueur, le mâle. J'avais la queue de son pote dans le cul et lui se déshabillait devant moi. Voir son corps magnifique, une belle queue coincée dans un boxer bien rempli qu'il enlève, se retourne pour me montrer son cul.
Tout à fait ce que j'avais imaginé tout à l'heure! quel cul ce mec! putain c'était pas possible! tu parles que Karim devait être heureux avec un tel mec!
Fabien est venu me présenter sa belle queue, sans chercher plus loin je l'ai avalée et le gros zob de Karim a continué son chemin, je me suis cramponné aux belles cuisses de Fabien.
Je ne pouvais émettre beaucoup de bruits, mais putain qu'est ce que j'ai été bien baisé! avoir ce gros machin en moi qui coulissait comme s'il m'avait déjà visité et la queue de Fabien qui me remplissait bien la gorge, j'étais comblé!
Le pubis de Karim claquait de plus en plus vite contre mes fesses, je me donnais, je m'offrais, la queue de Fabien devenait de plus en plus dur dans ma bouche.
Ils ont joui ensemble, j'ai été rempli des deux côtés, leurs jus ressortait tant par ma bouche que par mon cul, c'est eux qui ont fait le plus de bruit en jouissant!!
Fabien s'est retrouvé à genoux devant moi pour me lécher le visage et récupérer son jus qui s'était sauvé, pendant que Karim me léchait encore le cul en faisant du bruit, comme un chiot lèche sa gamelle.
Ils m'ont mis tous les deux devant eux et se sont amusés avec ma queue, me léchant en s'embrassant dessus, jouant avec leur langue, l'avalant chacun leur tour, me branlant et j'ai joui dans la bouche de Fabien qui a quand même partagé avec Karim. J'ai eu droit à un nettoyage à deux langues.
Ils se sont relevés tous les deux pour m'embrasser ensemble.
-tu restes dîner avec nous ? demande Fabien, car il faut que tu goûtes à toutes les spécialités de la maison quand même!
-oui il le mérite bien ce mec, c'est un bon! il te ressemble beaucoup dans certains côtés Fabien, mais c'est toi que j'aime! dit un Karim tout sourire, mais il s'appelle comment notre client au fait ?
-Fabrice dit Fabien avant que j'ouvre la bouche, j'ai vu ça sur la carte grise tout à l'heure et, en plus il n'habite pas si loin que ça, ce beau blond.
Ils viennent se recoller contre moi, les mains s'égarent.
-alors Fabien ? tu crois qu'on aura l'occasion de le revoir ?
-si tu sais te tenir, je pense dit Fabien en riant.
-comment ça ? dit Karim.
-ben il t'as demandé quelque chose tout à l'heure, c'est pas parce que j'avais la tête dans le moteur tout à l'heure que j'ai pas entendu.
-oui dit Karim en riant, mais je lui ai répondu.
-oui, j'ai entendu aussi, mais t'as pas dit toute la vérité mon chéri!
-j'allais quand même pas dévoiler tous nos secrets quand même, un inconnu!!
Ils rigolent tous les deux en me regardant.
-t'en fais pas Fabrice, faut toujours qu'il fasse son rebeu macho devant les beaux mecs mais, tu vois ce rebeu là, que j'aime à la folie, c'est un doux, un tendre, un amoureux qui aime fourrer son zob partout où il peut, mais je peux t'assurer que lorsqu'il trouve une queue qu'il lui plait, il ne la prend pas uniquement dans la bouche.
-oh oh dit Karim n'en rajoute pas trop quand même.
J'ai passé une soirée et une nuit magnifique avec ces deux beaux mecs, certes je me suis fait encore baiser tant par Karim que par Fabien, mais j'ai eu aussi les deux culs et avoir Karim entre Fabien et moi fût vraiment un plaisir divin.
J'étais sur les genoux quand je suis reparti le lendemain… heureux!
Et, maintenant je sais où emmener ma voiture au moindre bruit suspect et en plus c'est bientôt la prochaine vidange...
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