Le gitan.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le gitan.
J'aime trainer dans la forêt solognote, on y voit toutes espèces de phénomènes.
Notre forêt est très belle, l'été il y fait relativement frais à l'ombre des grands chênes et les balades sont très intéressantes. L'hiver a son genre, faut aimer braver le froid, la neige de temps en temps et on y fait de belles rencontres avec les animaux surtout et avec le genre humain également.
Le moment où il y a le plus de monde c'est la saison des champignons. On a de tout, moi je préfère les giroles. Une bonne omelette en rentrant, c'est magnifique. Mais vous pouvez trouver également des cèpes, des trompettes de la mort, des coulemelles, ah! un délice!
Ce jour là j'étais parti chercher quelques giroles pour cuisiner enfin quand je dis quelques, c'est quelques kilos!
En ce début d'automne la forêt commençait à changer de couleurs. Les feuilles n'étaient pas encore tombées et on voyait bien les champignons.
Mes collègues de boulot m'avaient dit qu'ils en avaient trouvé, donc me voilà parti mon panier à la main, je vais dans mon coin préféré au fin fond de la forêt.
J'en avais trouvé quelques unes mais juste pour faire une omelette, lorsque j'entends siffloter. Je m'arrête pour regarder aux alentours cherchant de quel côté le son provient, lorsqu'au loin j'aperçois une silhouette qui semble appuyée sur un arbre. J'étais un peu mécontent de ne plus être le seul à connaitre ce coin à champignons. Je m'avance doucement en direction de l'intrus en essayant de ne pas faire de bruit. Je suis arrivé à presque dix mètres que le mec continue de siffloter, appuyer sur le chêne. Je m'arrête et l'observe.
Il a la tête baissée, des cheveux frisés avec de belles boucles noires tombent sur ses yeux, on dirait qu'il a une barbe et j'aperçois une grosse boucle d'oreille dorée à son oreille. C'est un mec d'une trentaine d'année d'allure. Je ne vois pas bien son visage, il sifflote en bougeant son pied dans les feuilles, les mains dans ses poches. Il semble plongé dans ses pensées.
Je ne bouge plus.
Il relève la tête. Je reconnais immédiatement un gitan. On en a pas mal dans la région, un beau mec, une barbe lui enveloppe les joues et le dessus des lèvres qui sont apparentes, de belles lèvres qu'on a envie de mordre. Il redresse la tête, ses yeux semblent me passer dessus sans me voir, ses cheveux bouclés tombent sur le haut de ses yeux… bandant à mort le mec!
Je ne bouge plus et j'observe… en fait je le mate.
Pour voir le mec, sortir une main d'une poche et se caresser l'entrejambe, lentement, semblant remettre son sexe en place. Se caresse, il lève la tête. Il descend la braguette, passe sa main et je vois ses doigts bouger sur sa queue.
Sors la! ta queue pensais je. Ca doit être beau à regarder, mais il se caresse sans la sortir, sa respiration a accéléré quand soudain on entend une voix.
-Giovanni t'es où ?
Le mec retire sa main, remonte la braguette et s'en va en direction de la voix et je vois arriver un autre mec avec un petit panier.
-j'ai rien trouvé dit Giovanni et toi ?
L'autre lui montre son panier.
-bon ça ira.
Ils partent dans la forêt, non sans que le prénommé Giovanni se retourne en regardant la forêt dans ma direction comme s'il me cherchait des yeux. Je ne bouge pas à moitié caché derrière mon petit chêne.
Je les entraperçois s'éloignant. Je reprends mon chemin pour trouver quelques autres champignons tout en repensant à mon beau gitan! putain pourquoi l'autre est arrivé si tôt, il allait se branler le Giovanni, là! devant moi! à 10 mètres.
Giovanni est effacé de mon cerveau par l'apparition d'un beau cerf majestueux qui me regarde, lui au moins m'a vu, comme s'il me disait que je n'étais pas chez moi, on s'est observé un moment et il est parti tranquillement.
J'ai continué ma recherche. Je n'ai pas trouvé grand chose et j'avais pris le parti de rentrer quand en arrivant près de l'allée qui mène à ma voiture je tombe nez à nez avec mon Giovanni toujours appuyé à un arbre. Il me regarde, un petit sourire en coin, les mains dans les poches.
-la cueillette a été bonne ? demande t-il.
-oh pas terrible dis je en m'approchant de lui.
Deux beaux yeux noirs me fixent, des yeux coquins qui semblent me déshabiller complètement. Il me déstabilise ce mec, un petit sourire en coin il me laisse approcher de lui pour lui montrer l'intérieur de mon panier.
-oh t'as de quoi faire une ou deux omelettes quand même dit Giovanni en rigolant, enfin faudra pas être nombreux à manger.
On est à un mètre l'un de l'autre, si l'un de nous on étend son bras on se touche. Il n'y a que le panier qui nous sépare.
-t'es tout seul ?
-oui, j'aime bien venir seul aux champignons.
-t'as pas peur de faire de mauvaises rencontres ?
-ici ? oh y'a jamais bien grand monde et on se connait tous tu sais… sauf toi! dis je en souriant.
-moi je suis juste de passage, on campe un peu plus loin.
-ah d'accord, t'es… gitan ?
-oui et fier de l'être, mais on s'est vu il y a une heure ? non ?
Je me sens devenir rouge, il m'avait vu le gitan!
-oui j'ai aperçu du monde tout à l'heure mais il y avait deux personnes il me semble.
-oui c'est mon frère… non mais je voulais dire avant qu'il arrive. Je t'ai vu en train de m'observer.
Je devais rougir de partout mais je le regardais quand même.
-tu avais l'air intéressé par ce que je faisais mec… t'es pédé ?
J'aimais pas trop la tournure que prenait la conversation avec ce gitan, perdus au milieu de la forêt mais je le regardais encore sans répondre.
-t'inquiète mec! j'aime bien les mecs aussi et en plus quand ils sont jeunes comme toi, t'es mon genre de mec préféré!
Il s'était approché de moi, m'a pris le panier des mains, l'a posé doucement à terre, a fait encore un pas. Il me dominait, il avait une tête de plus que moi. Je voyais ses beaux yeux noirs qui souriaient en me fixant, ses mains se sont posées sur mes épaules et il m'a attiré à lui. Ma tête posée sur son tee-shirt, sur sa poitrine qui semblait bien dure, ses mains ont glissé et m'ont entouré en me serrant contre lui.
Je respirais son odeur. Il m'embrassait la tête, je le serrais très fort dans mes bras. J'ai relevé la tête, il a penché la sienne, on se fixait. Ses belles lèvres sont venues se poser sur les miennes, j'ai senti un long frisson parcourir mon corps. Une main est venue se positionner sur ma nuque me bloquant la tête.
Il a reculé la tête, m'a regardé, souriant et ses lèvres sont venues manger les miennes. Je n'avais jamais eu la bouche mangée comme ça. Sa barbe en fait coupée courte, me caressait les joues, me piquant légèrement les lèvres et sa langue m'a léché les lèvres, léché les joues, le nez en l'enveloppant dans sa grand langue. Il l'a parcouru partout sur mon visage, je me laissais faire, j'étais bien dans ses bras costauds et tendres.
Il s'est séparé de moi pour enlever son tee-shirt me laissant admirer et passer ma main sur ce torse bronzé, la peau était douce et chaude, les tétons sortaient à peine au milieu des quelques poils autour.
Il m'a enlevé le haut et nos torses se sont collés en même temps qu'il reprenait mes lèvres. Je fermais les yeux et dégustait la salive de ce beau mec, ça pour aimer embrasser il aimait embrasser le garçon. Ses mains parcouraient mon dos, passant sur mes fesses.
Nos bassins collés l'un à l'autre ondulaient. On sentait bien les bites bien raides.
-t'es beau mec! me dit-il en me serrant encore plus fort dans ses bras, j'ai envie de toi, t'aime quoi ?
-tout ce que tu veux Giovanni.
Il m'a regardé faisant l'étonné.
-c'est pas beau de faire l'espion.
-je ne pensais pas te revoir si vite.
-profite car je pars bientôt.
-alors j'aimerais bien voir ce que tu m'as caché tout à l'heure.
En même temps je défais son jean, et le fait tomber à ses chevilles, mes lèvres mordillent son torse en descendant rapidement sur son ventre, de beaux abdos bien durs et j'ai devant les yeux un boxer noir qui semble bien rempli. Je caresse la longue tige et la mordille lui arrachant un petit cri de surprise. Je libère la bête qui me saute sur le visage.
Ma première queue gitane. Une belle queue bien bronzée, bien raide, bien droite. Je la prends dans ma main, en fait le tour, c'est chaud, c'est dur. Je la caresse lentement, décalottant le gland qui apparait sortant doucement du prépuce, du méat sort la mouille, abondante. Je la touche d'un doigt en faisant un filet que j'amène à mes lèvres. Mes lèvres s'approchent, de la pointe de la langue je titille le frein, faisant couler encore plus de mouille. Je l'entends gémir, mes lèvres touchent à peine le gland, juste la pointe de la langue excite le frein, faisant encore plus durcir le gland qui coule encore et encore. Je sens sa main me caresser les cheveux.
J'approche mes lèvres, et d'un coup de langue enlève la mouille et enveloppe le gland tant avec ma langue qu'avec mes lèvres. Je goûte cette bonne queue, mes lèvres l'enserrent, ma main descend sur les couilles, de belles couilles qui pendent, je les soupèse, les caresse, les triture. Il grogne, râle en s'appuyant sur ma tête.
Je m'installe à genoux devant lui, je m'appuie sur ses cuisses et m'enfonce sa queue dans la bouche. Le gland coule toujours, il arrive au fond du palais quand mes lèvres tombent dans la toison pubienne. Le gland titille juste un peu ma luette me faisant pleurer et je joue avec cette belle queue, la suçant, l'aspirant, la caressant. Ses cuisses poilues sont fermes. Mes mains vont visiter son petit cul pour trouver deux fesses dures, contractées, s'ouvrant se fermant au fur et à mesure de ses petits coups de reins dans ma bouche.
Il était endurant mon beau gitan. J'avais sorti ma queue pour qu'elle se sente à l'aise.
Je le pipais comme un fou et j'ai eu ma récompense. Ses deux mains ont bloqué ma tête, sa queue au fond de ma bouche et d'un dernier coup de reins, la première giclée est arrivée sur la luette, me faisant tousser. Un bon jus chaud et épais m'a coulé dans la gorge. Les giclées se sont suivies m'arrosant copieusement, quand j'ai senti son étreinte se desserrer autour de ma tête j'ai continué à bien lécher cette belle queue pour enlever toute trace.
Il m'a relevé pour me prendre dans ses bras et revenir me manger la bouche, léchant ma langue, lui extirpant la salive pour l'avaler. Il me suçait la langue comme j'aurais aimé qu'il me suce la bite.
D'un seul coup il s'est mis à genoux devant moi finissant de baisser mon jean et mon boxer, libérant complètement mon service trois pièces qu'il a examiné, tâté, caressé dans tous les sens, s'amusant avec mon prépuce, mon gland. Et, quand enfin, sa langue, ses lèvres, sa bouche se sont emparées de ma belle queue bien raide et qu'elle s'est retrouvée au chaud, sa langue agile et habile semblait se trouver partout, sa main caressait mes couilles et allait entre mes cuisses toucher mon anus, qu'il caresse.
Mais sa langue sur ma queue, ses lèvres qui m'aspirent, son doigt qui force mon petit trou. Je pose mes mains sur sa tête, caressant ses belles boucles noires. C'était doux et ma queue s'est fait sucer, aspirer, lécher. J'avais un Dieu à mes pieds, un Dieu a qui j'ai donné sa récompense dans un grand râle je me suis vidé dans sa bouche. Ses lèvres s'étaient refermées sur ma bite et sa langue récupérait toutes les giclées de mon jus. Il a fini de bien lécher ma queue, m'a regardé en souriant et s'est mis à l'embrasser partout en riant.
Il s'est relevé, m'a pris dans ses bras et sa bouche, ses lèvres humides sont revenues prendre possession des miennes. Ses mains semblaient être partout sur mon corps.
-j'aimerais bien explorer plus que ça ton beau corps dit Giovanni.
-moi aussi, ça semble costaud ça! dis-je en lui claquant une fesse.
-ah tu voudrais bien y goûter ?
-si monsieur veut bien.
-si je goûte aux tiennes bien sûr.
-bien sûr.
Je n'ai pas eu le temps de rajouter quelque choses qu'il m'embrassait encore, un vrai plaisir.
Mais tout a une fin, on a entendu des gens parler. On s'est rhabillé correctement vite fait, que trois personnes arrivaient dans l'allée.
On s'est salué, dit quelques paroles sur les champignons et nous sommes partis.
-on se fait une omelette ?
-où ? demande-t-il.
-ben chez moi, on sera plus tranquille mon beau gitan.
Il m'a repris dans ses bras pour m'embrasser.
Durant le retour à mon domicile, il n'a pas enlevé sa main qui caressait mon entrejambe.
En arrivant on n'a pas commencé par l'omelette.
Je l'ai emmené dans ma chambre où très très rapidement on s'est foutu à poils. Les queues bandées se sont frottées. Il m'a caressé le corps, me touchant les tétons, les pinçant en me fixant, il riait. Il les a tourné entre ses doigts. Je voyais sa langue caresser ses lèvres, ses mains ont quitté mes tétons, pour s'emparer de mes petites fesses fermes, m'a attiré à lui et reprendre ses baisers. Il m'a fait coucher sur le lit, son corps s'est mis sur le mien, ses lèvres ne quittaient pas les miennes, sa langue non plus .
-Je vais te faire l'amour mais je veux te regarder, voir un beau mec qui prend ma queue ça me fait bander encore plus. Alors tu la veux ma queue ? tu la veux dans ton beau petit cul.
-alors bouffe moi le cul comme tu le fais avec ma bouche, je veux sentir ta langue en moi, vas-y beau mec.
Sa tête est descendue sur mon corps, a donné quelques coups de langues à ma queue raide. Il a léché mes couilles, m'a relevé les jambes les repliant sur mon torse, dégageant bien mon petit cul qui s'ouvrait. La raie imberbe dégagée, j'ai senti ses lèvres se poser sur mes fesses, les embrasser, les lécher. Ses mains écartaient bien mes fesses et, quand sa belle langue est passée dans la raie touchant mon anus palpitant je n'ai pu m'empêcher de gémir, de gémir de plus en plus fort au fur et à mesure de ses coups de langues qui ouvraient bien mon petit cul.
La pointe dure me forait et il arrivait à la faire entrer. Je voyais ses boucles noires bouger en caressant mes couilles et sa langue qui s'enfonçait en moi. Un doigt est venu en renfort de la langue. Son doigt s'est enfoncé, caressant juste le tour intérieur du sphincter et deux doigts sont venus caresser plus profond. Je forçais pour bien m'ouvrir. J'aimais sa bouche, sa langue, sa salive. Il me chauffait grave le gitan et, quand j'ai vu revenir sa tête vers moi, écrasant mes cuisses sur mon torse, j'ai senti son gland décalotté se poser sur l'entrée de mon cul.
Il était pratiquement au dessus de moi, me fixait de ses beaux yeux noirs, sa grosse boucle d'oreille bougeait toute seule au milieu de ses frisettes noires quand j'ai vu sortir le bout de sa langue. J'ai senti son gland forcer l'entrée, écartant le sphincter. Sa langue forçait doucement mes lèvres serrées, son gland poursuivait son chemin en écartant le sphincter, glissant et quand il s'est refermé sur le gland, le bout rose de sa langue venait vers ma bouche, juste le bout sortant entre ses belles lèvres qu'il pose sur les miennes.
En même temps que sa langue visitait ma bouche, sa queue glissait dans mon conduit que je sentais s'ouvrir et l'enserrer. Il gémissait, moi je râlais. J'ai entouré mes bras autour de son cou, sa langue fouillait ma bouche et sa queue était bien en moi au plus profond.
-je suis bien comme ça dit Giovanni en renfonçant sa langue dans ma bouche.
Et, là il m'a baisé le beau gitan, faisant coulisser sa belle queue en moi, la sortant pratiquement de son fourreau pour la rentrer d'un seul coup. Il allait de plus en plus vite, jamais sa langue n'a quitté ma bouche, je sentais son souffle sur mon visage et d'un seul coup il s'est bloqué dans un grognement de sauvage il s'est vidé dans mon conduit de nombreuses salves de bon jus chaud qui m'a inondé partout. Il continuait ses giclées tout en bougeant sa queue en moi et quand ce fût fini il s'est écroulé dans mes bras, léchant mon cou, mon visage, me faisant plein de bisous. J'adore ces mecs tendres et virils.
On a repris nos souffles, nos esprits. On est resté allongé l'un contre l'autre.
J'avais la queue raide qui coulait.
Sa main est venu me caresser le visage.
-maintenant c'est à toi de faire connaissance avec mon cul! vas-y mec! fais toi plaise et n'aie pas peur de me baiser! moi ce que je préfère c'est la levrette, ça te va ?
Il n'avait pas fini de parler qu'il était déjà en position. Il touche ma queue.
-pfft même pas besoin de préparation, ça va glisser tout seul! vas-y mec!
J'ai quand même pris mon temps avec ce beau cul qu'il me tendait. Le caresser, l'embrasser, écarter les belles fesses fermes, découvrir un petit anus brun, déjà ouvert un peu. Je l'ai léché, inondé, doigté. Il gémissait mon beau gitan, il aimait ça qu'on s'occupe de son cul alors je l'ai fait languir. J'ai joué avec, de la langue, de mes doigts, l'ouvrant le plus possible, le caressant au plus profond que je pouvais tout ça pour l'entendre, gémir, râler.
Mais quand j'ai posé ma queue sur l'entrée, que j'ai saisi fermement ses hanches et que j'ai commencé à l'enfoncer, sentir mon gland écarteler le sphincter souple qui se laissait faire et, entendre Giovanni gueuler "encore! vas-y!", voyant que ma queue coulissait bien, j'ai donné un grand coup de reins et ma queue s'est toute enfoncée d'un seul coup. Ah il en voulait! et bien fallait l'entendre gueuler, mordre les draps, gémir mais tendre son cul, s'offrant!
Et je l'ai baisé, baisé longuement. C'est bizarre, son cul m'excitait et en même temps je n'avais pas envie de le quitter, j'étais bien, ma queue serrée dans son conduit bien chaud et humide, coulissant facilement alors je me suis fais plaise comme il avait dit et il ne s'est pas plaint. Ce n'est pas lui qui a demandé à ce que je jouisse seule ma queue a décidé quand elle a voulu. Je crois que je n'avais jamais tant joui dans un beau cul comme ça. J'ai cru que jamais j'allais m'arrêter, y'en avait toujours qui arrivait pour mon plaisir et le sien.
Je suis sorti en observant ce beau cul, voir l'anus ouvert, apercevoir son jus, voir cet anus se refermer lentement gardant la semence.
On s'est retrouvé à s'embrasser, se dire plein de choses tendres.
-dis donc t'avais pas parlé d'omelette ?
On s'est tapé l'omelette aux girolles, une bonne salade, fromage, fruits, à poils tous les deux sans se toucher, les bites ont repris de la vigueur. On s'est regardé, on a ri et on est retourné sur le lit pour encore de bonnes baises.
Il m'a demandé de le ramener près de son campement, ce que j'ai fait bien sûr et la question me brûlait les lèvres.
-on se revoit quand Giovanni ?
-j'ai bien peur que se soit jamais beau mec!
-pourquoi ?
Il a mis son index sur mes lèvres comme pour me faire taire.
-chut beau mec, je suis un itinérant. Je pars demain matin et je ne repasserai peut être jamais dans ton coin alors faut pas que je m'attache, même quand j'en ai envie. Mais sache que je garderais un très bon souvenir de notre rencontre.
-on peut se donner nos téléphones et se parler de temps en temps.
-beau mec! je ne t'ai pas demandé ton nom, pas que je veux t'oublier mais comme ça je penserais à toi comme le beau mec et je ne m'attacherais pas! alors fais en autant. Tout ce qui compte c'est le bon temps que nous avons passé ensemble aujourd'hui grâce aux champignons.
Il rigole, je le suis mais je riais jaune comme on dit, il me plaisait ce mec quand même.
Il a du voir mon désarroi.
-t'en fais pas beau mec, tu vas en trouvé un autre et de toute façon qui sait qu'on se reverra pas ?
Il m'a fait un rapide bisou sur les lèvres, juste le temps de sentir la chaleur, la tendresse de ses lèvres. Il est sorti de la voiture pour regagner son campement que j'apercevais un peu plus loin.
A ce jour, je ne l'ai pas revu.
Notre forêt est très belle, l'été il y fait relativement frais à l'ombre des grands chênes et les balades sont très intéressantes. L'hiver a son genre, faut aimer braver le froid, la neige de temps en temps et on y fait de belles rencontres avec les animaux surtout et avec le genre humain également.
Le moment où il y a le plus de monde c'est la saison des champignons. On a de tout, moi je préfère les giroles. Une bonne omelette en rentrant, c'est magnifique. Mais vous pouvez trouver également des cèpes, des trompettes de la mort, des coulemelles, ah! un délice!
Ce jour là j'étais parti chercher quelques giroles pour cuisiner enfin quand je dis quelques, c'est quelques kilos!
En ce début d'automne la forêt commençait à changer de couleurs. Les feuilles n'étaient pas encore tombées et on voyait bien les champignons.
Mes collègues de boulot m'avaient dit qu'ils en avaient trouvé, donc me voilà parti mon panier à la main, je vais dans mon coin préféré au fin fond de la forêt.
J'en avais trouvé quelques unes mais juste pour faire une omelette, lorsque j'entends siffloter. Je m'arrête pour regarder aux alentours cherchant de quel côté le son provient, lorsqu'au loin j'aperçois une silhouette qui semble appuyée sur un arbre. J'étais un peu mécontent de ne plus être le seul à connaitre ce coin à champignons. Je m'avance doucement en direction de l'intrus en essayant de ne pas faire de bruit. Je suis arrivé à presque dix mètres que le mec continue de siffloter, appuyer sur le chêne. Je m'arrête et l'observe.
Il a la tête baissée, des cheveux frisés avec de belles boucles noires tombent sur ses yeux, on dirait qu'il a une barbe et j'aperçois une grosse boucle d'oreille dorée à son oreille. C'est un mec d'une trentaine d'année d'allure. Je ne vois pas bien son visage, il sifflote en bougeant son pied dans les feuilles, les mains dans ses poches. Il semble plongé dans ses pensées.
Je ne bouge plus.
Il relève la tête. Je reconnais immédiatement un gitan. On en a pas mal dans la région, un beau mec, une barbe lui enveloppe les joues et le dessus des lèvres qui sont apparentes, de belles lèvres qu'on a envie de mordre. Il redresse la tête, ses yeux semblent me passer dessus sans me voir, ses cheveux bouclés tombent sur le haut de ses yeux… bandant à mort le mec!
Je ne bouge plus et j'observe… en fait je le mate.
Pour voir le mec, sortir une main d'une poche et se caresser l'entrejambe, lentement, semblant remettre son sexe en place. Se caresse, il lève la tête. Il descend la braguette, passe sa main et je vois ses doigts bouger sur sa queue.
Sors la! ta queue pensais je. Ca doit être beau à regarder, mais il se caresse sans la sortir, sa respiration a accéléré quand soudain on entend une voix.
-Giovanni t'es où ?
Le mec retire sa main, remonte la braguette et s'en va en direction de la voix et je vois arriver un autre mec avec un petit panier.
-j'ai rien trouvé dit Giovanni et toi ?
L'autre lui montre son panier.
-bon ça ira.
Ils partent dans la forêt, non sans que le prénommé Giovanni se retourne en regardant la forêt dans ma direction comme s'il me cherchait des yeux. Je ne bouge pas à moitié caché derrière mon petit chêne.
Je les entraperçois s'éloignant. Je reprends mon chemin pour trouver quelques autres champignons tout en repensant à mon beau gitan! putain pourquoi l'autre est arrivé si tôt, il allait se branler le Giovanni, là! devant moi! à 10 mètres.
Giovanni est effacé de mon cerveau par l'apparition d'un beau cerf majestueux qui me regarde, lui au moins m'a vu, comme s'il me disait que je n'étais pas chez moi, on s'est observé un moment et il est parti tranquillement.
J'ai continué ma recherche. Je n'ai pas trouvé grand chose et j'avais pris le parti de rentrer quand en arrivant près de l'allée qui mène à ma voiture je tombe nez à nez avec mon Giovanni toujours appuyé à un arbre. Il me regarde, un petit sourire en coin, les mains dans les poches.
-la cueillette a été bonne ? demande t-il.
-oh pas terrible dis je en m'approchant de lui.
Deux beaux yeux noirs me fixent, des yeux coquins qui semblent me déshabiller complètement. Il me déstabilise ce mec, un petit sourire en coin il me laisse approcher de lui pour lui montrer l'intérieur de mon panier.
-oh t'as de quoi faire une ou deux omelettes quand même dit Giovanni en rigolant, enfin faudra pas être nombreux à manger.
On est à un mètre l'un de l'autre, si l'un de nous on étend son bras on se touche. Il n'y a que le panier qui nous sépare.
-t'es tout seul ?
-oui, j'aime bien venir seul aux champignons.
-t'as pas peur de faire de mauvaises rencontres ?
-ici ? oh y'a jamais bien grand monde et on se connait tous tu sais… sauf toi! dis je en souriant.
-moi je suis juste de passage, on campe un peu plus loin.
-ah d'accord, t'es… gitan ?
-oui et fier de l'être, mais on s'est vu il y a une heure ? non ?
Je me sens devenir rouge, il m'avait vu le gitan!
-oui j'ai aperçu du monde tout à l'heure mais il y avait deux personnes il me semble.
-oui c'est mon frère… non mais je voulais dire avant qu'il arrive. Je t'ai vu en train de m'observer.
Je devais rougir de partout mais je le regardais quand même.
-tu avais l'air intéressé par ce que je faisais mec… t'es pédé ?
J'aimais pas trop la tournure que prenait la conversation avec ce gitan, perdus au milieu de la forêt mais je le regardais encore sans répondre.
-t'inquiète mec! j'aime bien les mecs aussi et en plus quand ils sont jeunes comme toi, t'es mon genre de mec préféré!
Il s'était approché de moi, m'a pris le panier des mains, l'a posé doucement à terre, a fait encore un pas. Il me dominait, il avait une tête de plus que moi. Je voyais ses beaux yeux noirs qui souriaient en me fixant, ses mains se sont posées sur mes épaules et il m'a attiré à lui. Ma tête posée sur son tee-shirt, sur sa poitrine qui semblait bien dure, ses mains ont glissé et m'ont entouré en me serrant contre lui.
Je respirais son odeur. Il m'embrassait la tête, je le serrais très fort dans mes bras. J'ai relevé la tête, il a penché la sienne, on se fixait. Ses belles lèvres sont venues se poser sur les miennes, j'ai senti un long frisson parcourir mon corps. Une main est venue se positionner sur ma nuque me bloquant la tête.
Il a reculé la tête, m'a regardé, souriant et ses lèvres sont venues manger les miennes. Je n'avais jamais eu la bouche mangée comme ça. Sa barbe en fait coupée courte, me caressait les joues, me piquant légèrement les lèvres et sa langue m'a léché les lèvres, léché les joues, le nez en l'enveloppant dans sa grand langue. Il l'a parcouru partout sur mon visage, je me laissais faire, j'étais bien dans ses bras costauds et tendres.
Il s'est séparé de moi pour enlever son tee-shirt me laissant admirer et passer ma main sur ce torse bronzé, la peau était douce et chaude, les tétons sortaient à peine au milieu des quelques poils autour.
Il m'a enlevé le haut et nos torses se sont collés en même temps qu'il reprenait mes lèvres. Je fermais les yeux et dégustait la salive de ce beau mec, ça pour aimer embrasser il aimait embrasser le garçon. Ses mains parcouraient mon dos, passant sur mes fesses.
Nos bassins collés l'un à l'autre ondulaient. On sentait bien les bites bien raides.
-t'es beau mec! me dit-il en me serrant encore plus fort dans ses bras, j'ai envie de toi, t'aime quoi ?
-tout ce que tu veux Giovanni.
Il m'a regardé faisant l'étonné.
-c'est pas beau de faire l'espion.
-je ne pensais pas te revoir si vite.
-profite car je pars bientôt.
-alors j'aimerais bien voir ce que tu m'as caché tout à l'heure.
En même temps je défais son jean, et le fait tomber à ses chevilles, mes lèvres mordillent son torse en descendant rapidement sur son ventre, de beaux abdos bien durs et j'ai devant les yeux un boxer noir qui semble bien rempli. Je caresse la longue tige et la mordille lui arrachant un petit cri de surprise. Je libère la bête qui me saute sur le visage.
Ma première queue gitane. Une belle queue bien bronzée, bien raide, bien droite. Je la prends dans ma main, en fait le tour, c'est chaud, c'est dur. Je la caresse lentement, décalottant le gland qui apparait sortant doucement du prépuce, du méat sort la mouille, abondante. Je la touche d'un doigt en faisant un filet que j'amène à mes lèvres. Mes lèvres s'approchent, de la pointe de la langue je titille le frein, faisant couler encore plus de mouille. Je l'entends gémir, mes lèvres touchent à peine le gland, juste la pointe de la langue excite le frein, faisant encore plus durcir le gland qui coule encore et encore. Je sens sa main me caresser les cheveux.
J'approche mes lèvres, et d'un coup de langue enlève la mouille et enveloppe le gland tant avec ma langue qu'avec mes lèvres. Je goûte cette bonne queue, mes lèvres l'enserrent, ma main descend sur les couilles, de belles couilles qui pendent, je les soupèse, les caresse, les triture. Il grogne, râle en s'appuyant sur ma tête.
Je m'installe à genoux devant lui, je m'appuie sur ses cuisses et m'enfonce sa queue dans la bouche. Le gland coule toujours, il arrive au fond du palais quand mes lèvres tombent dans la toison pubienne. Le gland titille juste un peu ma luette me faisant pleurer et je joue avec cette belle queue, la suçant, l'aspirant, la caressant. Ses cuisses poilues sont fermes. Mes mains vont visiter son petit cul pour trouver deux fesses dures, contractées, s'ouvrant se fermant au fur et à mesure de ses petits coups de reins dans ma bouche.
Il était endurant mon beau gitan. J'avais sorti ma queue pour qu'elle se sente à l'aise.
Je le pipais comme un fou et j'ai eu ma récompense. Ses deux mains ont bloqué ma tête, sa queue au fond de ma bouche et d'un dernier coup de reins, la première giclée est arrivée sur la luette, me faisant tousser. Un bon jus chaud et épais m'a coulé dans la gorge. Les giclées se sont suivies m'arrosant copieusement, quand j'ai senti son étreinte se desserrer autour de ma tête j'ai continué à bien lécher cette belle queue pour enlever toute trace.
Il m'a relevé pour me prendre dans ses bras et revenir me manger la bouche, léchant ma langue, lui extirpant la salive pour l'avaler. Il me suçait la langue comme j'aurais aimé qu'il me suce la bite.
D'un seul coup il s'est mis à genoux devant moi finissant de baisser mon jean et mon boxer, libérant complètement mon service trois pièces qu'il a examiné, tâté, caressé dans tous les sens, s'amusant avec mon prépuce, mon gland. Et, quand enfin, sa langue, ses lèvres, sa bouche se sont emparées de ma belle queue bien raide et qu'elle s'est retrouvée au chaud, sa langue agile et habile semblait se trouver partout, sa main caressait mes couilles et allait entre mes cuisses toucher mon anus, qu'il caresse.
Mais sa langue sur ma queue, ses lèvres qui m'aspirent, son doigt qui force mon petit trou. Je pose mes mains sur sa tête, caressant ses belles boucles noires. C'était doux et ma queue s'est fait sucer, aspirer, lécher. J'avais un Dieu à mes pieds, un Dieu a qui j'ai donné sa récompense dans un grand râle je me suis vidé dans sa bouche. Ses lèvres s'étaient refermées sur ma bite et sa langue récupérait toutes les giclées de mon jus. Il a fini de bien lécher ma queue, m'a regardé en souriant et s'est mis à l'embrasser partout en riant.
Il s'est relevé, m'a pris dans ses bras et sa bouche, ses lèvres humides sont revenues prendre possession des miennes. Ses mains semblaient être partout sur mon corps.
-j'aimerais bien explorer plus que ça ton beau corps dit Giovanni.
-moi aussi, ça semble costaud ça! dis-je en lui claquant une fesse.
-ah tu voudrais bien y goûter ?
-si monsieur veut bien.
-si je goûte aux tiennes bien sûr.
-bien sûr.
Je n'ai pas eu le temps de rajouter quelque choses qu'il m'embrassait encore, un vrai plaisir.
Mais tout a une fin, on a entendu des gens parler. On s'est rhabillé correctement vite fait, que trois personnes arrivaient dans l'allée.
On s'est salué, dit quelques paroles sur les champignons et nous sommes partis.
-on se fait une omelette ?
-où ? demande-t-il.
-ben chez moi, on sera plus tranquille mon beau gitan.
Il m'a repris dans ses bras pour m'embrasser.
Durant le retour à mon domicile, il n'a pas enlevé sa main qui caressait mon entrejambe.
En arrivant on n'a pas commencé par l'omelette.
Je l'ai emmené dans ma chambre où très très rapidement on s'est foutu à poils. Les queues bandées se sont frottées. Il m'a caressé le corps, me touchant les tétons, les pinçant en me fixant, il riait. Il les a tourné entre ses doigts. Je voyais sa langue caresser ses lèvres, ses mains ont quitté mes tétons, pour s'emparer de mes petites fesses fermes, m'a attiré à lui et reprendre ses baisers. Il m'a fait coucher sur le lit, son corps s'est mis sur le mien, ses lèvres ne quittaient pas les miennes, sa langue non plus .
-Je vais te faire l'amour mais je veux te regarder, voir un beau mec qui prend ma queue ça me fait bander encore plus. Alors tu la veux ma queue ? tu la veux dans ton beau petit cul.
-alors bouffe moi le cul comme tu le fais avec ma bouche, je veux sentir ta langue en moi, vas-y beau mec.
Sa tête est descendue sur mon corps, a donné quelques coups de langues à ma queue raide. Il a léché mes couilles, m'a relevé les jambes les repliant sur mon torse, dégageant bien mon petit cul qui s'ouvrait. La raie imberbe dégagée, j'ai senti ses lèvres se poser sur mes fesses, les embrasser, les lécher. Ses mains écartaient bien mes fesses et, quand sa belle langue est passée dans la raie touchant mon anus palpitant je n'ai pu m'empêcher de gémir, de gémir de plus en plus fort au fur et à mesure de ses coups de langues qui ouvraient bien mon petit cul.
La pointe dure me forait et il arrivait à la faire entrer. Je voyais ses boucles noires bouger en caressant mes couilles et sa langue qui s'enfonçait en moi. Un doigt est venu en renfort de la langue. Son doigt s'est enfoncé, caressant juste le tour intérieur du sphincter et deux doigts sont venus caresser plus profond. Je forçais pour bien m'ouvrir. J'aimais sa bouche, sa langue, sa salive. Il me chauffait grave le gitan et, quand j'ai vu revenir sa tête vers moi, écrasant mes cuisses sur mon torse, j'ai senti son gland décalotté se poser sur l'entrée de mon cul.
Il était pratiquement au dessus de moi, me fixait de ses beaux yeux noirs, sa grosse boucle d'oreille bougeait toute seule au milieu de ses frisettes noires quand j'ai vu sortir le bout de sa langue. J'ai senti son gland forcer l'entrée, écartant le sphincter. Sa langue forçait doucement mes lèvres serrées, son gland poursuivait son chemin en écartant le sphincter, glissant et quand il s'est refermé sur le gland, le bout rose de sa langue venait vers ma bouche, juste le bout sortant entre ses belles lèvres qu'il pose sur les miennes.
En même temps que sa langue visitait ma bouche, sa queue glissait dans mon conduit que je sentais s'ouvrir et l'enserrer. Il gémissait, moi je râlais. J'ai entouré mes bras autour de son cou, sa langue fouillait ma bouche et sa queue était bien en moi au plus profond.
-je suis bien comme ça dit Giovanni en renfonçant sa langue dans ma bouche.
Et, là il m'a baisé le beau gitan, faisant coulisser sa belle queue en moi, la sortant pratiquement de son fourreau pour la rentrer d'un seul coup. Il allait de plus en plus vite, jamais sa langue n'a quitté ma bouche, je sentais son souffle sur mon visage et d'un seul coup il s'est bloqué dans un grognement de sauvage il s'est vidé dans mon conduit de nombreuses salves de bon jus chaud qui m'a inondé partout. Il continuait ses giclées tout en bougeant sa queue en moi et quand ce fût fini il s'est écroulé dans mes bras, léchant mon cou, mon visage, me faisant plein de bisous. J'adore ces mecs tendres et virils.
On a repris nos souffles, nos esprits. On est resté allongé l'un contre l'autre.
J'avais la queue raide qui coulait.
Sa main est venu me caresser le visage.
-maintenant c'est à toi de faire connaissance avec mon cul! vas-y mec! fais toi plaise et n'aie pas peur de me baiser! moi ce que je préfère c'est la levrette, ça te va ?
Il n'avait pas fini de parler qu'il était déjà en position. Il touche ma queue.
-pfft même pas besoin de préparation, ça va glisser tout seul! vas-y mec!
J'ai quand même pris mon temps avec ce beau cul qu'il me tendait. Le caresser, l'embrasser, écarter les belles fesses fermes, découvrir un petit anus brun, déjà ouvert un peu. Je l'ai léché, inondé, doigté. Il gémissait mon beau gitan, il aimait ça qu'on s'occupe de son cul alors je l'ai fait languir. J'ai joué avec, de la langue, de mes doigts, l'ouvrant le plus possible, le caressant au plus profond que je pouvais tout ça pour l'entendre, gémir, râler.
Mais quand j'ai posé ma queue sur l'entrée, que j'ai saisi fermement ses hanches et que j'ai commencé à l'enfoncer, sentir mon gland écarteler le sphincter souple qui se laissait faire et, entendre Giovanni gueuler "encore! vas-y!", voyant que ma queue coulissait bien, j'ai donné un grand coup de reins et ma queue s'est toute enfoncée d'un seul coup. Ah il en voulait! et bien fallait l'entendre gueuler, mordre les draps, gémir mais tendre son cul, s'offrant!
Et je l'ai baisé, baisé longuement. C'est bizarre, son cul m'excitait et en même temps je n'avais pas envie de le quitter, j'étais bien, ma queue serrée dans son conduit bien chaud et humide, coulissant facilement alors je me suis fais plaise comme il avait dit et il ne s'est pas plaint. Ce n'est pas lui qui a demandé à ce que je jouisse seule ma queue a décidé quand elle a voulu. Je crois que je n'avais jamais tant joui dans un beau cul comme ça. J'ai cru que jamais j'allais m'arrêter, y'en avait toujours qui arrivait pour mon plaisir et le sien.
Je suis sorti en observant ce beau cul, voir l'anus ouvert, apercevoir son jus, voir cet anus se refermer lentement gardant la semence.
On s'est retrouvé à s'embrasser, se dire plein de choses tendres.
-dis donc t'avais pas parlé d'omelette ?
On s'est tapé l'omelette aux girolles, une bonne salade, fromage, fruits, à poils tous les deux sans se toucher, les bites ont repris de la vigueur. On s'est regardé, on a ri et on est retourné sur le lit pour encore de bonnes baises.
Il m'a demandé de le ramener près de son campement, ce que j'ai fait bien sûr et la question me brûlait les lèvres.
-on se revoit quand Giovanni ?
-j'ai bien peur que se soit jamais beau mec!
-pourquoi ?
Il a mis son index sur mes lèvres comme pour me faire taire.
-chut beau mec, je suis un itinérant. Je pars demain matin et je ne repasserai peut être jamais dans ton coin alors faut pas que je m'attache, même quand j'en ai envie. Mais sache que je garderais un très bon souvenir de notre rencontre.
-on peut se donner nos téléphones et se parler de temps en temps.
-beau mec! je ne t'ai pas demandé ton nom, pas que je veux t'oublier mais comme ça je penserais à toi comme le beau mec et je ne m'attacherais pas! alors fais en autant. Tout ce qui compte c'est le bon temps que nous avons passé ensemble aujourd'hui grâce aux champignons.
Il rigole, je le suis mais je riais jaune comme on dit, il me plaisait ce mec quand même.
Il a du voir mon désarroi.
-t'en fais pas beau mec, tu vas en trouvé un autre et de toute façon qui sait qu'on se reverra pas ?
Il m'a fait un rapide bisou sur les lèvres, juste le temps de sentir la chaleur, la tendresse de ses lèvres. Il est sorti de la voiture pour regagner son campement que j'apercevais un peu plus loin.
A ce jour, je ne l'ai pas revu.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci à tous
Trop tendre, les petits bisous, les mots doux, le partage du plaisir mutuel avec l'attention à celui de l'autre, jusqu'à la fin trop souvent inévitable car évidente, c'était juste un truc comme ça, un moment dans le temps, dont il faut se persuader de ne pas être triste que ça ne dure pas, mais heureux que ce soit arrivé ¯\_(ツ)_/¯
Encore!!!!