Le jardinier
Récit érotique écrit par Hornypussy [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Le jardinier
Elle prenait le soleil, allongée sur le transat de la terrasse, nue. Le maillot de bain qu’elle avait porté les jours précédents avait laissé une trace blanche en forme de poire sur ses seins, qui contrastait avec son teint hâlé.
Il y avait du vent ce jour-là et chaque souffle hérissait ses tétons un peu plus. Elle caressa doucement ses seins et joua légèrement avec ses tétons durcis puis fit descendre sa main jusqu’à son entrejambe.
Elle pensait à son jardinier, qui serait là quelques heures plus tard. Il venait une fois par mois et, à chaque fois, elle le désirait un peu plus.
Elle rentra un doigt, puis un second et un troisième dans sa chatte déjà trempée. Elle imaginait des scénarios à chaque fois qu’elle se touchait en pensant à lui.
Elle sortit ses doigts pour remonter vers son clitoris, déjà bien gonflé. Elle accentua la vitesse et atteint l’orgasme lorsque, dans sa tête, le jardinier la prenait en levrette sur la table de jardin.
Sourire aux lèvres, elle rentra prendre une douche. Alors qu’elle se regardait dans le miroir, elle décida qu’aujourd’hui serait le jour. Son fantasme allait prendre réalité.
A cet effet, elle enfila uniquement un court peignoir en soie. Il lui arrivait à peine en-dessous des fesses et laissait deviner sans peine qu’elle était nue.
Lorsqu’il sonna à la porte, elle le laissa entrer et vit tout de suite le regard intrigué du jardinier sur sa tenue.
Il ne fit cependant pas de commentaires et gagna le jardin pour commencer son travail.
Elle décida de le rejoindre et s’installa à nouveau sur son transat.
- J’étais en train de bronzer. Ça ne vous dérange pas si je poursuis pendant que vous travaillez ? demanda-t-elle en laissant tomber son peignoir.
- Pas le moins du monde, répondit-il après avoir laissé ses yeux se promener sur son corps.
Elle se rallongea, fit semblant de dormir et l’observa à travers ses paupières à peine ouvertes. Il lui lançait des petits coups d’oeil de temps à autre et s’arrangeait pour qu’elle reste toujours dans son champ de vision.
Après quelques instants, elle se tourna sur le ventre afin qu’il puisse admirer ses fesses. Elle ne le voyait plus, mais elle entendait la lame du sécateur à intervalles réguliers.
Elle commençait à trouver le temps long, et surtout, son bas-ventre lui semblait horriblement vide.
Elle se redressa alors à quatre pattes et tendit son cul vers lui, l’invitant à venir la remplir.
Quelques secondes après, elle sentit sa main caresser ses fesses puis remonter sur son dos tandis qu’il arrivait au niveau de son visage.
- Je me doutais que tu étais une petite chienne, dit-il, l’air satisfait.
- Baise-moi, répondit-elle simplement.
Son visage se ferma et il lui attrapa les cheveux pour lui tirer la tête en arrière.
- Ecoute moi bien, petite chienne : si tu veux que je te baise, c’est moi qui vais décider où, quand et comment je te baiserai. Tu veux agir comme une chienne, je dois agir comme un maître, alors suce-moi.
Il avait déboutonné son pantalon en parlant et lui présentait son membre, déjà dressé.
Elle commença par le lécher des couilles au gland, lentement, puis pris son gland entre ses lèvres et avala sa colonne de chair petit à petit, jusqu’à toucher le fond de sa gorge. Elle resta ainsi quelques secondes, faisant tourner sa langue puis le libéra et récupéra sa salive avec sa main.
Alors qu’elle s’apprêtait à se toucher en même temps, il arrêta son geste :
- Est-ce que je t’ai dis de te toucher, petite chienne ? Je t’ai dis de me sucer, alors concentre-toi.
Elle s’exécuta, ravie. Ce scénario faisait partie de son top 3. Elle ravala le membre et accéléra ses va-et-vient alors qu’il la saisissait par l’arrière de la tête pour imposer le rythme.
Après quelques instants, il se retira et éjacula sur son visage. Elle sentait le sperme chaud couler sur ses yeux et sa bouche. Elle sortit sa langue pour en récupérer et l’avala goulûment.
- Tu es très belle ainsi, dit-il, un sourire aux lèvres. Va te nettoyer, et rhabille-toi. Je ne te baiserai pas aujourd’hui.
- Oui, maître.
La réplique lui vint naturellement. Son bas-ventre protesta mais elle le fit taire pour l’instant. Elle regagna sa chambre et enfila une longue robe fendue dont le tissu légèrement transparent laissait deviner ses formes.
Lorsqu’elle redescendit, il l’attendait devant la porte.
- Je reviendrai. Touche-toi ce soir en pensant à moi petite chienne.
Elle lui obéit au doigt et à l’oeil et passa la soirée à se faire jouir, passant et repassant la scène du jardin dans sa tête.
Elle avait hâte qu’il revienne.
A suivre
Il y avait du vent ce jour-là et chaque souffle hérissait ses tétons un peu plus. Elle caressa doucement ses seins et joua légèrement avec ses tétons durcis puis fit descendre sa main jusqu’à son entrejambe.
Elle pensait à son jardinier, qui serait là quelques heures plus tard. Il venait une fois par mois et, à chaque fois, elle le désirait un peu plus.
Elle rentra un doigt, puis un second et un troisième dans sa chatte déjà trempée. Elle imaginait des scénarios à chaque fois qu’elle se touchait en pensant à lui.
Elle sortit ses doigts pour remonter vers son clitoris, déjà bien gonflé. Elle accentua la vitesse et atteint l’orgasme lorsque, dans sa tête, le jardinier la prenait en levrette sur la table de jardin.
Sourire aux lèvres, elle rentra prendre une douche. Alors qu’elle se regardait dans le miroir, elle décida qu’aujourd’hui serait le jour. Son fantasme allait prendre réalité.
A cet effet, elle enfila uniquement un court peignoir en soie. Il lui arrivait à peine en-dessous des fesses et laissait deviner sans peine qu’elle était nue.
Lorsqu’il sonna à la porte, elle le laissa entrer et vit tout de suite le regard intrigué du jardinier sur sa tenue.
Il ne fit cependant pas de commentaires et gagna le jardin pour commencer son travail.
Elle décida de le rejoindre et s’installa à nouveau sur son transat.
- J’étais en train de bronzer. Ça ne vous dérange pas si je poursuis pendant que vous travaillez ? demanda-t-elle en laissant tomber son peignoir.
- Pas le moins du monde, répondit-il après avoir laissé ses yeux se promener sur son corps.
Elle se rallongea, fit semblant de dormir et l’observa à travers ses paupières à peine ouvertes. Il lui lançait des petits coups d’oeil de temps à autre et s’arrangeait pour qu’elle reste toujours dans son champ de vision.
Après quelques instants, elle se tourna sur le ventre afin qu’il puisse admirer ses fesses. Elle ne le voyait plus, mais elle entendait la lame du sécateur à intervalles réguliers.
Elle commençait à trouver le temps long, et surtout, son bas-ventre lui semblait horriblement vide.
Elle se redressa alors à quatre pattes et tendit son cul vers lui, l’invitant à venir la remplir.
Quelques secondes après, elle sentit sa main caresser ses fesses puis remonter sur son dos tandis qu’il arrivait au niveau de son visage.
- Je me doutais que tu étais une petite chienne, dit-il, l’air satisfait.
- Baise-moi, répondit-elle simplement.
Son visage se ferma et il lui attrapa les cheveux pour lui tirer la tête en arrière.
- Ecoute moi bien, petite chienne : si tu veux que je te baise, c’est moi qui vais décider où, quand et comment je te baiserai. Tu veux agir comme une chienne, je dois agir comme un maître, alors suce-moi.
Il avait déboutonné son pantalon en parlant et lui présentait son membre, déjà dressé.
Elle commença par le lécher des couilles au gland, lentement, puis pris son gland entre ses lèvres et avala sa colonne de chair petit à petit, jusqu’à toucher le fond de sa gorge. Elle resta ainsi quelques secondes, faisant tourner sa langue puis le libéra et récupéra sa salive avec sa main.
Alors qu’elle s’apprêtait à se toucher en même temps, il arrêta son geste :
- Est-ce que je t’ai dis de te toucher, petite chienne ? Je t’ai dis de me sucer, alors concentre-toi.
Elle s’exécuta, ravie. Ce scénario faisait partie de son top 3. Elle ravala le membre et accéléra ses va-et-vient alors qu’il la saisissait par l’arrière de la tête pour imposer le rythme.
Après quelques instants, il se retira et éjacula sur son visage. Elle sentait le sperme chaud couler sur ses yeux et sa bouche. Elle sortit sa langue pour en récupérer et l’avala goulûment.
- Tu es très belle ainsi, dit-il, un sourire aux lèvres. Va te nettoyer, et rhabille-toi. Je ne te baiserai pas aujourd’hui.
- Oui, maître.
La réplique lui vint naturellement. Son bas-ventre protesta mais elle le fit taire pour l’instant. Elle regagna sa chambre et enfila une longue robe fendue dont le tissu légèrement transparent laissait deviner ses formes.
Lorsqu’elle redescendit, il l’attendait devant la porte.
- Je reviendrai. Touche-toi ce soir en pensant à moi petite chienne.
Elle lui obéit au doigt et à l’oeil et passa la soirée à se faire jouir, passant et repassant la scène du jardin dans sa tête.
Elle avait hâte qu’il revienne.
A suivre
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Vivement la suite
Superbe !!! Vivement qu'il revienne ...