le jeu des fraises rougies

Récit érotique écrit par Christ36132 [→ Accès à sa fiche auteur]
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le jeu des fraises rougies
Après avoir eu 2 aventures candaulistes, Stéphanie et moi avions envie de rencontrer un dominateur limite SM. Nous ne voulions pas aller trop loin mais un jeu de soumission nous attirait tous les deux. Sur un site, on a discuté avec plusieurs hommes qui nous proposaient de nous soumettre mais on avait du mal à se projeter jusqu’à ce que l’on se mette à discuter avec Jean-Luc, celui que l’on rencontrera en réel.
Au début, c’est moi qui discutais pour voir ce qui était possible, les limites que l’on se fixait, les exigences du dominateur puis Stéphanie a pris le relai en osant se lâcher un peu. Elle a séduit Jean-Luc qui nous a proposé de nous rencontrer dans un café et si feeling, entamer un week-end avant d’imaginer une semaine de vacances chez lui avec sa soumise Ingrid.
On avait quelques craintes et étions excités en même temps. Puis, bien évidemment dans notre deal avec Jean-Luc, on avait la possibilité de se retirer et arrêter le jeu à tout moment.
Stéphanie devra répondre aux attentes sexuelles de Jean-Luc à toute heure, elle a émis une réserve pour la sodomie. Nous pourrons être fessés par Jean-Luc ou Ingrid. Pour ma part, quelques sévices sexuelles soft peuvent être programmées (nettoyer avec la langue Stéphanie après un rapport, ou autres punitions sans aucun danger pour moi ni traces sur le corps). Un test sera fait en laboratoire pour être sécurisés, dans la semaine qui précède la rencontre aux protagonistes.
On garde contact maintenant par téléphone. Le week-end approche et Stéphanie est hyper excitée à l’idée d’obéir, d’être punie et me voir soumis moi aussi.
Le jour J arrive, on a rendez-vous dans un bar à 14h pour boire un café. Avec les téléphones, il est facile de se repérer. On s’assoit autour de la table, Ingrid est présente mais n’est pas autorisée à participer à la conversation. Jean-Luc et nous revenons sur nos fantasmes, nos limites et rapidement Jean-Luc se montre le maître du jeu et mène la conversation. Le récit de ses aventures qu’il nous décrit à titre d’exemple et l’imagination qu’il laisse aller pour Stéphanie nous incitent bien à le suivre chez lui et à rentrer dans le jeu pour le week-end.
Arrivés chez lui, il ordonne que tout le monde soit nu. Je découvre Ingrid, en léger surpoids mais avec de beaux seins et un beau cul. Je sais que j’aurai peut-être droit à une récompense (une pipe de sa part).
Ingrid est chargée de nous faire visiter les lieux, chambre avec un grand lit muni de menottes, des martinets, cravaches, godes, masque, collier et laisse sur une commode ainsi qu’un canapé, une douche à l’italienne dans le coin opposé au lit avec une vitre sur le long côté et ouverte sur le petit, cuisine, salon, deuxième chambre plus classique. L’extérieur est composé d’une piscine, d’un espace d’une centaine de mètres carrés avec pelouse et sans aucun vis-à-vis.
Jean-Luc demande à Stéphanie de confirmer son accord pour entrer dans le jeu, Stéphanie confirme. Il la prend alors par les cheveux, la force à s’agenouiller devant lui et lui dit :
- Faisons connaissance, goûte ma bite
Stéphanie s’exécute devant Ingrid et moi-même.
Jean-Luc l’invite à s’arrêter, lui indique de se lever et l’embrasse tout en laissant balader ses mains sur son corps. Il lui claque les fesses en passant, lui caresse les seins, le dos, le ventre, descend jusqu’à sa chatte pour lui titiller le clitoris et s’assurer que cela lui plait avec un bon doigtage.
J’observe et je bande.
On est conduits vers la grande chambre pour faire le premier jeu de fruits comme il dit. Assise dans le canapé, Stéphanie « subit » (si je puis dire) un cunnilingus, elle a l’air d’en profiter car elle gémit pas mal.
Puis ils permutent, c’est lui qui s’assoit en position pacha sur le canapé et dit « on va commencer le jeu, cela consiste à rougir tes fraises, c’est Ingrid qui va s’en occuper et toi Stéphanie tu vas flamber la banane en me suçant ». Je pose la question « que signifie rougir mes fraises ? ». « tais-toi et vas dans la douche avec Ingrid , si tu n’obéis pas, c’est Stéphanie qui aura 15 coups de cravache». Stéphanie rétorque « ah mon chéri, obéis, je ne suis pas venue ici pour prendre des coups de cravache »
Stéphanie s’agenouille devant Jean-Luc et moi je rentre dans la douche. Je suis debout, Ingrid me fait écarter les jambes, ouvre le robinet d’eau, monte l’eau chaude et me place le pommeau de la douche sous les couilles, prostate et cul. La sensation aurait été bonne mais l’eau est très chaude. Je demande à Ingrid de baisser la température de l’eau mais elle me dit qu’elle n’a pas le droit et que si je la baisse moi-même, Stéphanie aura une quinzaine de coups de cravache. Je commence à avoir les couilles bien chaudes et un peu brulantes ou brulées. Ma « torture » doit durer le temps de la pipe « complète » que Stéphanie prodigue à Jean Luc. Je les vois à travers la vitre de la douche. Je demande à Stéphanie de faire vite pour raccourcir mon supplice mais Jean-Luc me répond « laisse-la profiter, on a le temps » et Ingrid fait remarquer que ma queue gonfle et que si je bande, c’est que je prends du plaisir ». J’ai les couilles en feu mais le jet d’eau qui sort du pommeau de douche continue d’arroser mes couilles. Jean-Luc gicle enfin sur la gueule de ma femme ainsi que sur sa poitrine et mon supplice s’arrête. « Tes fraises ont bien rougies » lance Jean-Luc, « ma banane a bien flambé » surenchérit-il. Ce jeu va recommencer plusieurs fois et les échanges étaient à peu près cela :
Moi : j’ai les fraises bien rouges, on peut arrêter,
JL : non, on profite en même temps, ta femme n’a pas fini de me sucer, alors profite des câlins de ma soumise sur tes fraises
MOI : C’EST CHAUD, ON PEUT BAISSER ?
Ingrid : sa bite gonfle, il doit aimer, continuez tranquille
JL : s’il baisse la température, Stéphanie prend la cravache
Moi : non, vas y chérie, suce le bien et fais jouir Jean-Luc rapidement
JL : tu veux que je gicle vite dans sa gueule de salope soumise ?
Moi : oui, il faut en finir, ça me brule trop les couilles
Moi : c’est la troisième fois aujourd’hui que tu me rougis les fraises Ingrid
Ingrid : Jean-Luc aime faire faire une cure de pipes aux soumises qu’il reçoit
Moi : et moi je vais faire de la compote de fraises si on continue
Stéphanie ne parle pas la bouche pleine
Après la séance :
Jean-Luc : fais-nous voir tes fraises rouges, super, Ingrid, tâte-les, sont-elles bien chaudes ?
Ingrid : Oui, bien chaudes et ramollies mais la bite est encore gonflée
Stéphanie : Tu vois chéri, tu as pris ton pied, je ne voulais pas la cravache, je préfère profiter de la trique de Jean-Luc, on est là que pour le WE !
Après le repas qu’Ingrid et moi-même avons confectionné et servi aux amants, on organisait la nuit. Une cage m’est mise par Ingrid car on va passer la nuit dans le canapé déplié en face du lit. Les lumières sont éteintes pour donner plus de valeur aux bruits et aux mots qu’échangent Jean-Luc et Stéphanie dans le lit à quelques mètres de nous.
- Allez vas-y suce
- - oh, là, c’est bon
- Gémissements
- Tu aimes le doigt dans le cul !
- Oh, tu me remplis bien la chatte
- Je vais jouir
- Vas-y salope, lâche-toi, je viens aussi
J’en passe et des meilleures.
Le lendemain matin, libéré de ma cage, JL me demande de passer la tondeuse électrique sur la pelouse. Pendant ce temps, les 2 amants se pelotent au bord de la piscine, se baignent, font un 69 et bien sur concluent avec une levrette. Je tonds la pelouse en bandant très fort.
Quand les amants se lèvent, j’ai fini de tondre. Je vois le sperme de Jean-Luc couler de la chatte de ma femme. Les amants prennent un bain, Ingrid et moi y avons droit aussi. Le repas du midi se passe comme celui de la veille.
Et l’après-midi avant de repartir, nouveau passage dans la chambre, Jean-Luc se fait tailler une pipe et moi je me fais rougir les fraises. La différence est que cette fois Ingrid reçoit l’ordre de me sucer quand les amants ont fini. Je jouis très rapidement dans sa bouche sans scrupule, elle a l’air habituée et ne se prive pas de bien finir son activité.
Nous nous préparons à repartir après quelques échanges pour savoir si tout le monde était satisfait et si on était prêts à recommencer
Ce Week-end nous a permis de découvrir du SM très soft, premier pas bien agréable
Au début, c’est moi qui discutais pour voir ce qui était possible, les limites que l’on se fixait, les exigences du dominateur puis Stéphanie a pris le relai en osant se lâcher un peu. Elle a séduit Jean-Luc qui nous a proposé de nous rencontrer dans un café et si feeling, entamer un week-end avant d’imaginer une semaine de vacances chez lui avec sa soumise Ingrid.
On avait quelques craintes et étions excités en même temps. Puis, bien évidemment dans notre deal avec Jean-Luc, on avait la possibilité de se retirer et arrêter le jeu à tout moment.
Stéphanie devra répondre aux attentes sexuelles de Jean-Luc à toute heure, elle a émis une réserve pour la sodomie. Nous pourrons être fessés par Jean-Luc ou Ingrid. Pour ma part, quelques sévices sexuelles soft peuvent être programmées (nettoyer avec la langue Stéphanie après un rapport, ou autres punitions sans aucun danger pour moi ni traces sur le corps). Un test sera fait en laboratoire pour être sécurisés, dans la semaine qui précède la rencontre aux protagonistes.
On garde contact maintenant par téléphone. Le week-end approche et Stéphanie est hyper excitée à l’idée d’obéir, d’être punie et me voir soumis moi aussi.
Le jour J arrive, on a rendez-vous dans un bar à 14h pour boire un café. Avec les téléphones, il est facile de se repérer. On s’assoit autour de la table, Ingrid est présente mais n’est pas autorisée à participer à la conversation. Jean-Luc et nous revenons sur nos fantasmes, nos limites et rapidement Jean-Luc se montre le maître du jeu et mène la conversation. Le récit de ses aventures qu’il nous décrit à titre d’exemple et l’imagination qu’il laisse aller pour Stéphanie nous incitent bien à le suivre chez lui et à rentrer dans le jeu pour le week-end.
Arrivés chez lui, il ordonne que tout le monde soit nu. Je découvre Ingrid, en léger surpoids mais avec de beaux seins et un beau cul. Je sais que j’aurai peut-être droit à une récompense (une pipe de sa part).
Ingrid est chargée de nous faire visiter les lieux, chambre avec un grand lit muni de menottes, des martinets, cravaches, godes, masque, collier et laisse sur une commode ainsi qu’un canapé, une douche à l’italienne dans le coin opposé au lit avec une vitre sur le long côté et ouverte sur le petit, cuisine, salon, deuxième chambre plus classique. L’extérieur est composé d’une piscine, d’un espace d’une centaine de mètres carrés avec pelouse et sans aucun vis-à-vis.
Jean-Luc demande à Stéphanie de confirmer son accord pour entrer dans le jeu, Stéphanie confirme. Il la prend alors par les cheveux, la force à s’agenouiller devant lui et lui dit :
- Faisons connaissance, goûte ma bite
Stéphanie s’exécute devant Ingrid et moi-même.
Jean-Luc l’invite à s’arrêter, lui indique de se lever et l’embrasse tout en laissant balader ses mains sur son corps. Il lui claque les fesses en passant, lui caresse les seins, le dos, le ventre, descend jusqu’à sa chatte pour lui titiller le clitoris et s’assurer que cela lui plait avec un bon doigtage.
J’observe et je bande.
On est conduits vers la grande chambre pour faire le premier jeu de fruits comme il dit. Assise dans le canapé, Stéphanie « subit » (si je puis dire) un cunnilingus, elle a l’air d’en profiter car elle gémit pas mal.
Puis ils permutent, c’est lui qui s’assoit en position pacha sur le canapé et dit « on va commencer le jeu, cela consiste à rougir tes fraises, c’est Ingrid qui va s’en occuper et toi Stéphanie tu vas flamber la banane en me suçant ». Je pose la question « que signifie rougir mes fraises ? ». « tais-toi et vas dans la douche avec Ingrid , si tu n’obéis pas, c’est Stéphanie qui aura 15 coups de cravache». Stéphanie rétorque « ah mon chéri, obéis, je ne suis pas venue ici pour prendre des coups de cravache »
Stéphanie s’agenouille devant Jean-Luc et moi je rentre dans la douche. Je suis debout, Ingrid me fait écarter les jambes, ouvre le robinet d’eau, monte l’eau chaude et me place le pommeau de la douche sous les couilles, prostate et cul. La sensation aurait été bonne mais l’eau est très chaude. Je demande à Ingrid de baisser la température de l’eau mais elle me dit qu’elle n’a pas le droit et que si je la baisse moi-même, Stéphanie aura une quinzaine de coups de cravache. Je commence à avoir les couilles bien chaudes et un peu brulantes ou brulées. Ma « torture » doit durer le temps de la pipe « complète » que Stéphanie prodigue à Jean Luc. Je les vois à travers la vitre de la douche. Je demande à Stéphanie de faire vite pour raccourcir mon supplice mais Jean-Luc me répond « laisse-la profiter, on a le temps » et Ingrid fait remarquer que ma queue gonfle et que si je bande, c’est que je prends du plaisir ». J’ai les couilles en feu mais le jet d’eau qui sort du pommeau de douche continue d’arroser mes couilles. Jean-Luc gicle enfin sur la gueule de ma femme ainsi que sur sa poitrine et mon supplice s’arrête. « Tes fraises ont bien rougies » lance Jean-Luc, « ma banane a bien flambé » surenchérit-il. Ce jeu va recommencer plusieurs fois et les échanges étaient à peu près cela :
Moi : j’ai les fraises bien rouges, on peut arrêter,
JL : non, on profite en même temps, ta femme n’a pas fini de me sucer, alors profite des câlins de ma soumise sur tes fraises
MOI : C’EST CHAUD, ON PEUT BAISSER ?
Ingrid : sa bite gonfle, il doit aimer, continuez tranquille
JL : s’il baisse la température, Stéphanie prend la cravache
Moi : non, vas y chérie, suce le bien et fais jouir Jean-Luc rapidement
JL : tu veux que je gicle vite dans sa gueule de salope soumise ?
Moi : oui, il faut en finir, ça me brule trop les couilles
Moi : c’est la troisième fois aujourd’hui que tu me rougis les fraises Ingrid
Ingrid : Jean-Luc aime faire faire une cure de pipes aux soumises qu’il reçoit
Moi : et moi je vais faire de la compote de fraises si on continue
Stéphanie ne parle pas la bouche pleine
Après la séance :
Jean-Luc : fais-nous voir tes fraises rouges, super, Ingrid, tâte-les, sont-elles bien chaudes ?
Ingrid : Oui, bien chaudes et ramollies mais la bite est encore gonflée
Stéphanie : Tu vois chéri, tu as pris ton pied, je ne voulais pas la cravache, je préfère profiter de la trique de Jean-Luc, on est là que pour le WE !
Après le repas qu’Ingrid et moi-même avons confectionné et servi aux amants, on organisait la nuit. Une cage m’est mise par Ingrid car on va passer la nuit dans le canapé déplié en face du lit. Les lumières sont éteintes pour donner plus de valeur aux bruits et aux mots qu’échangent Jean-Luc et Stéphanie dans le lit à quelques mètres de nous.
- Allez vas-y suce
- - oh, là, c’est bon
- Gémissements
- Tu aimes le doigt dans le cul !
- Oh, tu me remplis bien la chatte
- Je vais jouir
- Vas-y salope, lâche-toi, je viens aussi
J’en passe et des meilleures.
Le lendemain matin, libéré de ma cage, JL me demande de passer la tondeuse électrique sur la pelouse. Pendant ce temps, les 2 amants se pelotent au bord de la piscine, se baignent, font un 69 et bien sur concluent avec une levrette. Je tonds la pelouse en bandant très fort.
Quand les amants se lèvent, j’ai fini de tondre. Je vois le sperme de Jean-Luc couler de la chatte de ma femme. Les amants prennent un bain, Ingrid et moi y avons droit aussi. Le repas du midi se passe comme celui de la veille.
Et l’après-midi avant de repartir, nouveau passage dans la chambre, Jean-Luc se fait tailler une pipe et moi je me fais rougir les fraises. La différence est que cette fois Ingrid reçoit l’ordre de me sucer quand les amants ont fini. Je jouis très rapidement dans sa bouche sans scrupule, elle a l’air habituée et ne se prive pas de bien finir son activité.
Nous nous préparons à repartir après quelques échanges pour savoir si tout le monde était satisfait et si on était prêts à recommencer
Ce Week-end nous a permis de découvrir du SM très soft, premier pas bien agréable
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En quoi c'est soft de limite cramer des couilles !!! Vous êtes à la ramasse complet.

