Le joueur de saxophone - histoire érotique

Un mois d'août à Paris, chaud, très chaud, étouffant en cette fin d'après midi.

Mes vacances étaient tombées à l'eau. Je me morfondais dans mon petit appart surchauffé par la canicule. Je tournais en rond, toutes fenêtres ouvertes pour essayer de faire de l'air mais rien. La sueur coulait quand même sur mon corps nu. Je regardais par la fenêtre, quand j'ai cru qu'un peu d'air arrivait, ce fût juste un moment, mais qu'est ce que ça avait fait du bien.
Je pensais d'un coup que je n'étais pas loin de la Seine et qu'au bord de l'eau il devrait y avoir un peu plus d'un semblant de fraîcheur mais il fallait s'habiller pour sortir. Alors j'ai pris un tee-shirt ample, un short avec dessous un string et je suis parti en tongs vers la Seine.

Même pas dix minutes après je regardais l'eau couler, beaucoup de promeneurs sur les berges. Je n'étais pas le seul à y avoir pensé. Je descends pour aller encore plus près de l'eau, c'est vrai ou c'est mon imagination, mais il y a un petit vent qui, même s'il est tiède fait grand bien.

Tous les promeneurs sont à moitié déshabillés. Certains sont même pieds nus, beaucoup de couples se tenant par la main. Tout le monde se balade en soupirant, riant, une belle nuit d'été.
Je ne croise pas beaucoup de personnes seules. Je m'étais dit que je pourrais peut être faire une rencontre agréable d'un petit minet comme moi qui n'aurait pas peur de transpirer dans mon lit mais j'avais beau regarder, rien à l'horizon. Mais c'était agréable quand même de se balader et les hétéros n'étaient pas si mal que ça et valaient le coup d'œil.

J'avançais sur les berges tranquillement, quand d'un seul coup un son au début que j'ai pris pour une trompette, cela m'a fait rire, tout le monde se regardait pour savoir d'où cela venait. Puis la musique c'est mise en route. Une longue mélodie envoutante, grisante, qui prenait aux tripes et j'ai reconnu un saxo. Putain je sais pas qui jouait! mais c'était balaise!

Tous les regards se sont tournés vers le pont, sous le pont et tout le monde, enfin ceux qui avaient l'air d'apprécier se sont dirigés vers l'endroit d'où la musique arrivait.
Et, naturellement plus on s'approchait, plus c'était fort. Pour enfin apercevoir, dans l'ombre du pont, juste où elle commençait, une silhouette qui jouait du saxo. Je m'approche pour essayer de distinguer le joueur mais la foule est là, debout, entourant l'endroit où se trouve le saxophoniste. Alors j'essaie d'apercevoir le mec mais c'est noir… alors j'écoute.

Les pauses sont très courtes entre chaque morceau, il reprend aussi sec de sa musique, envoutant la nuit qui nous entoure. J'oublie qu'il fait chaud, que je transpire. Cette musique, ces sons me font voyager! il est vraiment doué le mec!
Et les gens commencent à partir. Je peux enfin m'approcher. Je vois l'engin dans la bouche du mec, mais je ne vois pas son visage sombre dans la nuit. j'approche encore, au fur et à mesure que les spectateurs partent pour enfin me trouver à deux mètres et voir qu'il s'agit d'un jeune black…

Un jeune black qui joue, les yeux fermés, dans le noir. Les spectateurs s'éclaircissent. On reste à trois ou quatre à écouter. J'essaie de distinguer le visage du mec et, quand il ouvre ses yeux, je suis juste en face de lui presqu'à le toucher. Il me fixe et semble jouer pour moi.

Il y a un plot devant lui, alors sans façon je m'assois dessus et le regarde jouer et là, je suis sûr qu'il joue pour moi. Il me fixe, ses yeux rient dans la pénombre. Je distingue bien maintenant que mes yeux se sont habitués à la pénombre. C'est un jeune black d'une vingtaine d'années, en short noir moulant, tee-shirt noir également! comment le voir !!

Le spectacle continue encore un temps, puis il arrête de jouer, s'assoit par terre en face de moi.
Je l'applaudis en le regardant. Il me fait un grand sourire. Je regarde autour de moi, il n'y a plus personne.
-ça t'a plu ? me demande t-il.
-incroyable, je n'y connais rien en musique, mais ta façon de jouer m'a donné des frissons, t'es vraiment doué!
-oh tu sais y'en a qui joue encore mieux que moi, mais j'aime bien venir ici sous le pont, car la résonnance est magnifique et ça attire les spectateurs.
-et tu fais même pas la quête!!
-le plaisir mec! le plaisir.
-t'es un drôle de numéro quand même! on voit, enfin on entend des mecs jouer n'importe quoi dans les couloirs du métro et ils font la manche et toi! rien!
Il rit en se relevant.
-on s'assoit sur le banc, il est libre maintenant.

On s'est relevé pour aller s'asseoir sur le banc, quand je l'ai vu sortir de l'ombre, que j'ai vu ce superbe beau mec, je suis resté abasourdi devant lui. Un visage magnifique, fin, une peau lisse sur le visage, pas un poil de barbe, des yeux noirs semblait il et une démarche féline de son corps mince et élancé.
-ben alors! tu viens ?
Je l'ai vite rattrapé. On s'est assis côte à côte, il a rangé son instrument dans son étui et on a parlé, parlé, je l'aurais écouté toute la nuit. On a parlé musique, sport, filles mais il ne s'est pas tellement étendu.
On s'était mis face à face sur le banc, nos genoux se touchaient. Je buvais ses paroles, je regardais ses belles lèvres qui m'électrisaient, ses grandes mains qui bougeaient devant moi quand il parlait et lorsqu'il riait, c'était un grand rire qui entrainait le mien.

Il me fixait, je n'osais plus bouger. J'espérais qu'il ne veuille pas se lever car il aurait vu ce que ma queue faisait. Je la sentais couler, la ficelle du string me rentrait dans la raie des fesses.

En parlant, nos mains se sont touchées plusieurs fois. Il s'excusait, puis continuait à parler. Il a posé une main sur la mienne, son visage était pas loin du mien. Sa main me transmettait sa chaleur. Ses doigts bougeaient sur mon dos de main. Je respirais plus fort, sans rien dire, j'ai vu sa bouche s'entrouvrir, se rapprocher de moi… s'arrêter. J'ai avancé pour faire la moitié du chemin qui restait. Il a fini et nos lèvres se sont frôlées. J'ai fermé les yeux en même temps que lui. Sa main a serré la mienne, ses lèvres se sont appuyées sur les miennes déjà entrouvertes. J'ai senti sa langue pointer en les caressant doucement, ses lèvres ont avalé les miennes au moment où sa langue m'envahissait la bouche et que sa main remontait sur mon bras, le caressant.

On a gémi tous les deux en même temps, j'ai senti son corps se rapprocher du mien, ses deux bras m'entourer, m'envelopper, me serrer pendant que sa langue visitait ma bouche en faisant connaissance avec ma langue. Il soupirait mon beau black en me serrant contre lui.
Quand sa main est passée sous mon tee-shirt, que j'ai senti la caresse douce sur mon dos, je me suis laissé aller dans ses bras, gémissant encore. J'ai passé mes mains sous son tee-shirt pour rencontrer sa peau douce et chaude.
Le baiser continuait, je sentais son souffle sortir de son nez caresser mon visage.

Je ne sais pas si on nous regardait mais on s'en foutait complètement.

Langue contre langue, les caresses ont duré un moment. On s'est regardé en souriant, nez contre nez, yeux dans les yeux.
-tes lèvres sont très douces.
-j'aime ta langue répond il en déposant un bisou sur mes lèvres… tu t'appelles comment ?
-Alexandre mais on m'appelle souvent Alex.
-moi c'est Amadou mais on dit souvent Doudou dit il en riant.
-oh Doudou j'aimerais bien que tu sois le mien.
-ah ah et faut faire quoi ?
-aller chez moi ou chez toi comme tu veux.
-je peux pas je vis avec des colocs et on a décidé de ne ramener personne.
-moi je suis seul, tu peux faire mon Doudou-coloc.
-ah ah on ne m'avait jamais proposé ça comme ça! et il part d'un grand rire en me serrant contre lui.
-alors t'es d'accord qu'on fasse plus ample connaissance sur mon lit ?
-bien sûr Alex j'en serais enchanté.

Sur le chemin de mon domicile, il me tenait la main. J'ai su qu'il était sénégalais d'origine et étudiant en musique, qu'il était gay, mais que peu de monde le savait sauf tous les nombreux mecs avec qui il avait couché. Et il riait.
-non Alex, je suis plutôt un garçon sérieux. J'aimerais tant rencontrer quelqu'un que j'apprécie, autant au lit que dans la vie en général. Tu sais un mec à qui tout raconter, qui sait écouter et qui ne te critique pas tout le temps en disant "moi j'aurais pas fait ça". J'en ai marre de ces mecs qui savent tout sur tout, qui ont toujours un conseil à te donner et qui font le contraire, qui sont soit disant des experts au pieu et quand il voit le bangala d'un sénégalais, ils se sauvent en courant, criant "Maman au secours".

Je riais avec lui, il parlait franchement. Je ne pouvais guère en placer une alors plusieurs fois sur le chemin, je l'ai bloqué pour l'embrasser tendrement et me serrer contre lui. Il n'avait pas toucher ni mon cul ni ma queue, moi non plus comme si on attendait d'être à l'abri pour nous découvrir. Juste se serrer fort l'un contre l'autre et jouer de la langue. J'aimais déjà son odeur de black, de beau black. J'avais hâte de le voir à poils et de découvrir tous ses secrets.

On est arrivé à l'appart, il a déposé son instrument dans l'entrée, a visité mon petit appart, puis s'est accoudé à la fenêtre regardant le paysage, restreint quand même.
Je me suis mis à côté de lui, passant mon bras sur son dos, il me regarde en souriant et m'offre ses lèvres.
-c'est calme ici dit Doudou.
-t'as soif ? on se boit une bière ?
-allez!
J'ai été chercher deux bières dans le frigo, et sans allumer la lumière, celle de la rue suffisait, on s'est assis par terre, face à la porte fenêtre et on a dégusté.
Il s'est rapproché de moi, m'a pris par les épaules, me serrant contre lui, sa main tournant ma tête.
-j'ai envie de toi Alex, touche ma queue comme elle est contente d'être ici.
J'ai fait ce qu'il demandait, passant ma main sur son short noir et trouver un gros renflement, dur, long qui lui remontait sur le ventre.

J'ai touché, tâté en l'embrassant, il a fermé les yeux et s'est allongé en m'entrainant, je ne lâchais pas cette barre bloquée dans son short. Quel morceau cela devait être! je l'ai caressé pour l'entendre gémir pour la première fois.

Il m'a enlevé mon tee-shirt, j'en ai profité pour enlever le sien. Putain ce torse d'ébène. J'ai passé ma main dessus, c'était doux et dur, les tétons pointaient déjà, j'ai caressé ses beaux abdos et ma main est revenue sur le gros barreau, attirée telle un aimant.

Pendant que je léchais ses tétons, l'un après l'autre, les suçant, les aspirant, les mordillant doucement sa main me caressait le dos et la mienne réussissait à passer dans le short et touchait de suite une grosse chose bien dure que j'enveloppais de mes doigts. Et l'entendre gémir. Je jouais de ma bouche entre la sienne et ses tétons, ma main caressait sa queue, ses couilles mais c'était trop serré. Sa main était descendue sur mes fesses et avait trouvé la ficelle du string.
Il s'est redressé d'un coup pour enlever son short pas de sous vêtement! gonflé le mec avec l'engin qui se baladait devant mes yeux.

Enfin je l'avais nu devant moi, debout il paraissait un géant. J'ai approché ma tête de ce beau sexe noir, passant mon nez le long, le respirant à pleins poumons, ça sentait bon la queue, le sexe! le black! une odeur que je ne connaissais pas vraiment.

Il est resté debout devant moi, me laissant le découvrir, j'ai léché ses belles couilles poilues, les gobant, une par une, je caressais ses belles cuisses dures, imberbes. J'ai remonté avec ma langue sous le bangala pour aller vers le gland bien décalotté, il était circoncis le garçon et son gland un peu plus large que la queue, dominait avec son méat bien ouvert d'où coulait la mouille, de la pointe de la langue je l'enlève.

Ses mains viennent se poser sur ma tête, me caressant les cheveux mais la bloquant quand même. J'ai juste à envelopper le gland de mes lèvres, pour sentir le boa africain avancer lentement dans ma bouche, glissant sur ma langue et s'enfonçant en moi. Ma bouche est vite remplie. Je me cramponne à ses cuisses car je vois bien qu'il y a encore de la longueur. Il avance encore, touche ma luette, ma bouche se referme, je tousse, je crache, je m'étouffe mais il maintient ma tête. Je respire à fond par le nez. Sa queue nage dans ma salive et il continue son avancée jusqu'à ce que ses couilles se collent à mon menton.

J'ai la tête bien en arrière, sa queue au fond de la gorge, ses mains tiennent ma tête et ses yeux me fixent avec un beau sourire sur ses lèvres. Il se retire lentement pour revenir, mais toujours lentement comme s'il ne voulait pas m'abîmer.
J'ai les mâchoires qui me font mal mais je me laisse violer la bouche comme il le désire, j'aime le gout de sa queue, de sa mouille et il fait durer notre plaisir.
J'ai la queue qui ne demande qu'à prendre l'air et mon petit cul qui réclame son dû!!

Eh bien je pense que le calme qu'il évoquait en étant à la fenêtre, risque de bien être perturbé quand il va me cartonner le Doudou… je pense déjà à ça!

Il me relève pour m'embrasser tendrement et me faire des compliments sur la souplesse de ma bouche. Je tiens toujours sa queue dans une main.
Il se penche et me descend rapidement mon short. Ma queue sort déjà du string et mouille abondamment et il se met à siffler d'admiration quand il voit mes deux belles fesses séparées par la ficelle. Il les caresse en se relevant, me regarde.
-serais tu la salope que j'ai deviné ce soir quand tu me regardais jouer de mon instrument ?
-j'écoutais vraiment ta musique Doudou mais j'avoue que de voir tes lèvres sur ton instrument me donnaient des envies.
-de jouer avec mon instrument ?
-oui! avec celui là! dis je en lui serrant la queue plus fermement.

Il rit encore et m'enlève le string, passant de suite ses doigts dans ma raie. Ses longs doigts de black trouvent de suite l'anus et un doigt s'enfonce de suite comme pour tester en me regardant.
-tu crois que mon bangala va entrer facilement là ?
-je crois que t'es un mec expert qui sait préparer les petits culs de blancs pour ne pas qu'ils aient trop mal.
-voilà le programme Alex, j'ai envie de ton cul de suite, je vais m'en occuper en premier puis je m'occuperais de ta queue ensuite car j'adore le jus des petits blancs dans ton genre.
-et qu'a-t-il le jus de petits blancs comme moi ?
-en général y'en a beaucoup, il est bon et comme je suis un gros gourmand!!

Il rit encore! Il me fait mettre à quatre pattes sur le tapis.

Ses mains parcourent mon corps pour revenir à mes fesses, j'adore ses mains chaudes et douces, qui écartent bien mes fesses, ses doigts passent dans la raie, triture mon anus qui s'ouvre facilement. Ce sont ses pouces qu'il entre en premier, d'abord l'un puis je sens les deux m'ouvrir plus encore. Mais les mecs, quand j'ai senti son souffle sur ma raie, sa pointe de la langue qui tâtait le terrain, ses mains écarter encore plus mes fesses et sa langue, sa longue langue chaude et humide déposer plein de salive sur mon petit trou, lécher le tour, s'enfoncer dans le trou, enfoncer la salive, l'aspirer. Je tremblais de partout avec ses caresses buccales, ce n'était pas la première fois qu'il s'occupait d'un cul le garçon.

Je ne savais pas à ce moment là s'il le trouvait à son goût mais il a été honoré comme il se doit! langue et doigts l'ont visité, caressant l'intérieur. Je n'ai jamais tant gémi à me faire bouffer le cul. Je m'offrais carrément, tendant bien mon petit cul à ses doigts et sa langue et je voyais ma queue couler de plus en plus.

Mais le meilleur est arrivé après, tout de suite après. Enfin quand je dis le meilleur, il a fallu attendre un peu pour le qualifier ainsi.
Quand j'ai senti son gland venir à l'entrée de ma tanière, j'ai compris ce qui allait se passer bien sûr! et savez vous à quoi j'ai pensé ? "putain toutes les fenêtres sont grandes ouvertes"!!

Comme il était entré dans ma bouche, il en fait autant dans mon petit cul sauf que mon cul ne s'ouvre pas aussi grand que ma bouche. J'ai senti le gland forcer le sphincter qui enveloppe bien le gros gland, je me sentais m'ouvrir, m'écarteler sous l'avancée de ce bon bangala. J'aimais qu'il y aille doucement. Mais quand le gland est entré, enserré de suite dans mon boyau, ses mains se sont posées sur mes fesses, les serrant et d'un seul coup de rein m'a rentré tout le reste de sa queue.

Ce n'était pas un cri mais un hurlement qui est sorti de ma bouche, mais toute sa queue était entrée. Mon boyau avait été forcé d'un seul coup et enveloppait bien ce gros morceau qui me réchauffait l'intérieur. Il ne bougeait plus, me caressant les fesses. Je n'arrêtais pas de gémir de sentir son morceau vivre en moi car il arrivait à le faire bouger doucement. J'en avais des frissons. Je sentais ses poils caresser mes fesses. En fin de compte j'étais bien, emmanché de la sorte!

Et là les mecs! je me suis fait baiser! tout en douceur au début, il ressortait sa queue jusqu'au gland et revenait lentement. Je sentais bien son gland ouvrir le conduit et il recommençait, recommençait, la vitesse s'accélérait, il s'est mis à me claquer les fesses, pas durement au début mais au fur et à mesure qu'il accélérait ses coups de reins, ses claques augmentaient également. Puis ce fut le mode bourrin quand mon cul fut bien ouvert. Il a fini de me l'ouvrir le mec! et ça coulissait de mieux en mieux, je n'arrêtais pas de gémir sous ses assauts et il est endurant le garçon!

J'attendais avec une certaine impatience ma récompense, j'étais curieux en fait de savoir ce qu'il avait dans les couilles à me donner, eh bien j'ai pas été déçu et j'ai réalisé que j'avais préféré pour la première fois me prendre ses décharges dans le cul que dans la bouche.

Ce fût son tour de gueuler quand ses mains se sont crispées sur mes fesses, se bloquant au fond de moi. Si sa queue avait été la lance d'un karcher je n'aurais pas été étonné de la puissance de son premier jet, comment dire son premier jet, j'ai eu l'impression qu'il me remontait jusqu'à l'estomac, son jus s'est répandu partout et les autres giclées ont suivi. Il continuait à bouger en moi et il continuait à râler très fort se finissant en gémissements avant de s'écouler sur mon dos. Sa bouche sur ma nuque me mordant comme le mâle qui domine sa femelle.

Je me suis laissé aller sur le tapis, il était toujours en moi, sa bouche me faisait des bisous, cherchant mes lèvres que je lui offrais.
-mec! t'es un bon! prendre ma queue comme ça! j'espère que tes voisins ne vont pas appeler les secours.
Je riais.
-bas si c'est de beaux pompiers ça pourrait être sympa!
-mais c'est un vrai gourmand mon Alex!
Il s'est mis à redonner de petits coups de reins, je sentais sa queue nager dans son sperme.
-t'en veux encore Alex ? car j'ai encore un peu de jus à te donner.

Et sans attendre ma réponse il s'est remis à me baiser, ses jambes ont bien écartées les miennes et il donnait de longs coups de reins faisant glisser sa queue bien profond. Je ne m'attendais pas à ce que se soit si rapide pour qu'il jouisse de nouveau mais il n'a pas mis longtemps à se répandre en moi de nouveau avec moins de giclées mais elles semblaient encore bien fournies.

Il s'est retiré de moi, pour s'allonger sur le dos à côté de moi. Alors sans qu'il le demande, je me suis accaparé de sa queue pour lui nettoyer comme il faut et pouvoir ainsi en faire le tour avec ma langue et mes lèvres, bien connaitre ce morceau qui était allé dans les endroits plus profonds de mon corps.

Il m'a remonté la tête pour qu'on s'embrasse encore et encore puis m'a retourné sur le dos et sa bouche est venue s'emparer de ma queue, mais avant c'est sa main qui s'en est occupée. La caressant, la flattant, la décalottant doucement, léchant mon gland qui coulait avec sa bonne langue, je sentais ma queue durcir encore et quand sa main m'a saisi les couilles je n'ai pu m'empêcher de jouir. Il a avalé ma queue entièrement, son nez dans mes poils pubiens et il a dégusté tout ce que je lui offrais. Et j'en avais du bon jus à donner. J'avais le cœur qui battait à mille à l'heure. Il est resté avec ma bite dans sa bouche. Je sentais sa langue l'envelopper, la lécher et il s'est remis à me sucer, la tenant à la base et je voyais sa tête monter et descendre dessus. Son autre main est passée entre mes fesses, chercher d'un doigt mon petit trou. Ses va-et-vient se sont accélérés et son doigt est venu me fouiller le cul, je râlais encore et encore! et le miracle est arrivé j'ai joui de suite une seconde fois.

Il a bien nettoyé tout ce qui trainait et est revenue dans mes bras accueillants, me faire plein de bisous.

-j'avais jamais tant eu de bon jus de petit blanc Alex! je crois que je t'adore!
-moi aussi Doudou, j'aimerais bien que tu sois mon doudou encore longtemps.
-ça te dis rien de visiter mon beau cul de black ?
Il était juste au dessus de moi, yeux dans les yeux, son doigt qui avait fouillé mon cul, me caressait le visage. Il souriait me montrant ses belles dents blanches.
-je dis pas non, mais là j'avoue que tu m'as mis à plat mon Doudou. Mais c'est pas pressé, tu vois, tu peux rester dormir et on voit ça au réveil. On sera en forme tous les deux et il faut que je sois bien en forme pour honorer ton beau petit cul!

On s'est quand même relevé de par terre, pour s'allonger dans mon lit, à poils sur les couvertures.
On s'est endormi dans les bras l'un de l'autre en se faisant des bisous et des caresses.
Au réveil, le soleil donnait dans ma chambre, tombant juste sur nos corps. Qu'il était beau mon Doudou sénégalais, je le détaillais et le trouvais magnifique. Je me suis levé pour tirer le rideau car il chauffait déjà en ce mois d'août et je me suis recouché contre lui, ses bras m'ont enveloppé et on a continué de dormir.

Cela fait trois mois qu'on se connait et il vient passer de plus en plus souvent ses nuits avec moi pour mon plus grand plaisir. J'ai eu droit à son cul plus d'une fois mais j'avoue que ce que je préfère, c'est son beau bangala, toujours raide, toujours prêt à me remplir de tous les côtés et j'en suis très heureux.

Je ne suis pas prêt de me séparer de mon doudou préféré!!