Le latino de la téci.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le latino de la téci.
Sandro est un jeune latino nouvellement arrivé dans la téci du 9-3. Il n'avait aucun pote, alors il a observé de son balcon ce qui se passait dans la cité.
Il y avait beaucoup de jeunes beurs et de blacks qui trainaient en bande. Rare, étaient ceux tout seul, pourtant certains, Sandro aurait bien aimé les rencontrer de plus près. Tous vêtus à peu près de la même façon et, quand la nuit arrivait, les capuches apparaissaient et il ne distinguait que des ombres.
Il se demandait ce qu'ils trafiquaient. Il avait repéré un rebeu, un jeune mec de son âge apparemment, belle gueule de mâle dominant, cheveux très courts, presque rasés, alors qu'une barbe lui enveloppait le visage. Pas très fournie la barbe, mais cela lui allait bien, enfin il ne le voyait que de son balcon du 3ème. Toujours sapé d'un sweat de couleur et d'un survêt le moulant comme un gant ce qui fait que, lorsqu'il se mettait dans certaines positions, Sandro voyait bien le gros morceau caché qui était moulé et ça le faisait bander le petit latino.
A l'abri de son balcon, même en plein jour, il sortait sa queue et se branlait en matant les rebeu ou les blacks et ça giclait abondamment.
Faut dire qu'il était bien gaulé le latino, une belle gueule bronzée, un nez fin, des yeux marrons clairs tirant sur l'or, lui donnait un visage lumineux et attirait les regards et ses lèvres pulpeuses qui ne demandaient qu'à être embrassées ou à sucer de belles bites bien raides. Plutôt passif avec les beaux mecs, il aimait donner son cul aux mecs qui le méritaient, mais fallait l'exciter le latino pour qu'il se donne!
Il avait remarqué, que souvent, dès la nuit tombée une partie de ce beau monde allait dans l'entrée d'un tunnel. Il se posait plein de questions car les jeunes ne revenaient pas.
Dans la journée, comme il n'avait pas encore trouvé de boulot, et, avant que tous ces branleurs ne soient levés il avait décidé d'aller voir ce qu'il y avait dans ce tunnel.
Dans la matinée, cela paraissait déjà glauque! qu'est ce que cela devait donner la nuit surtout que les lumières ne brillaient que par leur absence. Une ampoule sur deux ou trois, et celles qui fonctionnaient la plupart étaient en fin de vie, s'allumant s'éteignant par intermittence.
C'est ainsi qu'il a su que le tunnel conduisait à différents immeubles. En les parcourant il a vu les recoins qui existaient dans la pénombre. Il s'est approché d'un, a été obligé d'allumer la torche de son portable. C'était sale, ça sentait la pisse, et par terre il y avait des préservatifs, des mouchoirs en papier où l'on s'était manifestement essuyé la bite ou le cul, vu les traces qui s'y trouvaient.
Il venait de découvrir les endroits où les mecs venaient baiser mais il se demandait encore si ce n'était que des baises entre mecs ou s'ils faisaient des tournantes avec des meufs car lui les meufs, ben ca l'intéressait pas. Il fallait qu'il observe ça de plus près.
Un soir il prend son courage à deux mains, sort sans trop se faire remarquer et file dans le tunnel se planquer dans un des recoins qui lui a paru être le moins utilisé, et il attend. Effectivement des mecs, des meufs passent sans le voir, ça s'assombri, cela devient angoissant. Plus de bruit, il entend des voix venues de l'extérieur sans trop comprendre ce qui se dit. Des mecs passent presqu'en courant, personne ne va dans un recoin. Quand, deux mecs arrivent capuche sur la tête, il ne peut voir qui c'est. L'un tient l'autre par le cou et semble le traîner, le pousser pour avancer.
-alors le bourge! t'es venu prendre la queue de Mouloud ? tu vas être servi ce soir! j'ai pas niqué depuis deux jours!
Mouloud entraine le bourge dans un recoin pratiquement en face de celui où se trouve Sandro qui a le sourire aux lèvres. Mais il ne voit que des ombres, une qui appuie sur les épaules de l'autre qui se met à genoux, un survêt de baissé, une lumière qui s'allume et Sandro voit la tête du bourge, un petit blond qui se fait enlever la capuche, nez à nez avec la bite du rebeu et Mouloud force les lèvres du minet qui ouvre la bouche sans problème, Sandro voit la queue disparaitre en même temps que les deux mecs gémissent ensemble. Le rebeu remet son portable dans sa poche, prend la tête du blond et le baise en cadence. Il est rapide le rebeu et dans un râle il se vide dans la bouche du bourge qui semble tout avaler.
-t'es vraiment une bonne pute le bourge! tu devrais venir plus souvent.
Des pas, des personnes qui parlent se font entendre. Sandro voit le rebeu se rhabiller et partir, laissant le petit bourge dans le noir.
Des blacks passent dans le couloir en riant, parlant fort. Ils ne remarquent rien dans la pénombre.
Lorsque les pas s'éloignent Sandro sort de l'ombre et marche en direction du bourge. Il le distingue dans la pénombre, il a relevé sa capuche et reste plaqué contre le mur. Sandro s'approche, se cale en face lui, soulève la capuche, le blond ne dit rien, le regarde. Sandro approche son visage pour distinguer le petit mec. Il est vraiment blond de chez blond le mec!
Sandro sent sa queue faire des siennes dans son survêt. Sans un mot il prend la main du blond et la colle sur sa queue. Sans façon le blond s'en saisi et la malaxe à travers le survêt, la faisant durcir et grandir. Sandro approche sa tête, ils se fixent, les bouches se rapprochent, se touchent, appuient l'une sur l'autre et les langues jaillissent, se touchant, se caressant se léchant. La main du blond pétri plus fort la grosse tige du latino et Sandro passe sa main sur l'arrière du blond, caressant des petites fesses dures.
Les corps se rapprochent, se soudent, ondulent l'un contre l'autre. La main du blond passe dans le survêt du latino enveloppant la bête de sa main chaude et douce. Sandro baisse le survêt et le boxer du blond, qui se retrouve le cul à l'air, les mains écartent les fesses, un doigt cherche le petit trou, le caresse, appuie dessus, force et le doigt est avalé par ce petit cul gourmand. Le blond gémit de plus en plus dans les bras de Sandro.
-tu donnes ton cul le bourge ? tourne toi et penche toi dit Sandro sans attendre la réponse.
Le blond est une bonne pute de bourge, il vient dans la téci pour prendre de la bite, quelle qu'elle soit!
Il fait descendre son boxer et survêt à ses pieds, écarte les jambes au maximum, se penche en avant, l'épaule sur le mur, se calle bien, ses mains ouvre bien ses belles fesses. Il sent le doigt du latino le forcer, s'enfoncer, tourner en lui. Le doigt se retire, deux doigts humides reviennent et ouvrent encore plus son petit trou docile et accueillant. Le bourge est doigté avec tact et profondeur, il sent que son trou est bien ouvert.
Il aurait aimé sucé le latino pour comprendre comment était sa queue mais cela n'a pas l'air d'être dans les intentions du mec quand il sent que les doigts sont remplacés par le gros gland du latino, un gros morceau humide qui trouve de suite son entrée. Deux mains qui le saisissent avec force aux hanches et sans ménagement, une longue poussée le fait gueuler quand le gland perfore son petit trou, écartant le sphincter d'une seule poussée. Quand le gland est entré, le latino s'arrête et laisse le blond récupérer. Il claque les belles fesses plusieurs fois pour attendrir la viande et d'un coup de reins laisse sa queue poursuivre son chemin dans ce conduit si chaud et accueillant.
Putain y'a un moment que Sandro n'a pas tenu un si beau cul au bout de sa bite. Il a l'intention d'en profiter alors il se déchaine, telle une brute qui veut se vider. Ses coups de reins sont secs et brutaux, son pubis claque bien sur les fesses dures du minet. Il est rempli, comblé ce petit bourge! il veut de la queue et bien il en a. La queue du latino coulisse bien maintenant. Il relâche la pression avec ses mains sur les hanches et c'est le blond qui vient se baiser sur la queue de Sandro. Il est gourmand ce petit bourge!
Sandro sent le plaisir venir, il sent son bon jus monter. Il reprend le blond en mains, s'active plus vite, plus fort, fait claquer les fesses et, dans un râle, se bloque au fond du petit cul et se vide en de longues giclées chaudes et abondantes de son bon jus que tant de mecs aiment bien. Avec toujours la queue latino dans son petit cul, le blond se redresse, collant son dos sur le torse de Sandro, prend sa main et la colle sur son sexe.
Le blond donne sa bouche et Sandro le branle en cadence, le souffle du blond s'accentue, sortant de son nez. Sandro sent ses fesses se resserrer sur sa queue, le corps du blond se tend et dans un râle, sans lâcher la langue de Sandro il éjacule ses giclées sur le mur en face.
La queue sort lentement du cul du blond, qui se retourne, embrasse tendrement le latino qui offre sa langue. Le blond se met à genoux et lèche la bonne queue qui vient lui donner tant de plaisir. Il remballe le matériel, se relève, rajuste ses vêtements, fait la pute dans les bras du latino en se câlinant.
-j'aimerais bien te revoir dit le blond.
-on verra ça mec! t'as qu'à revenir dans le coin dit Sandro.
-je viens pratiquement tous les soirs mais là je dois rentrer.
Après un dernier bisou sur les lèvres, Sandro voit son petit bourge blond disparaitre dans le tunnel.
Il se rajuste un peu mieux, prêt à rentrer chez lui.
-He mec! t'as un sacré coup de reins fait une voix dans le noir mais en bon latino tu prends la queue de rebeu aussi ?
Sandro sent son cœur battre un peu plus vite, il se doute que la voix vient de l'endroit où il se trouvait précédemment. Il ne bouge pas dans le noir, ne répond pas… attend.
Pour voir un rebeu encapuchonné traverser le tunnel et venir dans sa direction, il a un coup au cœur Sandro car il reconnait le rebeu qu'il aime bien mater du haut de son balcon.
Le rebeu s'approche et vient se positionner juste en face de lui, les jambes écartées, bien installé sur ses jambes. Il tend sa main qui vient lui saisir le cou et l'approcher de sa tête.
C'est bien le rebeu qu'il kiffe, mais est ce une chance de le rencontrer dans cette situation ?
-alors ? dit le rebeu, tu me vois mieux maintenant que du haut de ton balcon en train de te branler la nouille ?
-euh... tu veux dire quoi ?
-ben c'est bien toi le latino qui vient d'arriver dans la téci et qui nous mate en se branlant sur son balcon ? ça t'excite le rebeu ? le black ? ou tu préfères les petits bourges comme le blond qui vient se faire sauter régulièrement par tous les mecs de la téci. Toutes les bites ont visité son petit cul au bourge! c'est un gourmand tu sais ! dit le rebeu en éclatant de rire!
Sandro comprend qu'il est grillé et qu'en fait il se retrouve à la merci de ce rebeu, ce rebeu qui lui plait particulièrement.
-tu veux quoi ? demande Sandro.
-te niquer mon frère, mon sgeg ne connait pas de cul de latino, tu seras son premier!
Sandro n'ose pas sourire en entendant ces paroles. Il va enfin connaitre la queue de ce rebeu, son rêve, son fantasme dans ses branlettes. Alors il avance la main directe sur l'entrejambe, il n'a pas à chercher longtemps pour trouver ce qu'il désire, putain de morceau, ça semble encore plus gros quand dans son rêve.
La main du rebeu lui tient toujours le cou. Ils sont face à face, yeux dans les yeux dans la pénombre. Le rebeu retire sa capuche. Le crâne presque rasé apparait. Sandro a envie de le caresser. Ses yeux regardent le visage, la barbe courte l'attire. Il approche encore plus son visage. Il sent la respiration du rebeu venir sur le sien, un souffle doux et chaud, et l'odeur caractéristique du rebeu lui envahi les narines.
Sa queue fait un bond dans son survêt, son cul palpite, son nez touche celui du rebeu. Il voit le rebeu sourire, sa main tâte toujours l'entrejambe, il passe la main dans le survêt, le rebeu se laisse faire. Sa main caresse maintenant le long zob sur le boxer qui l'emprisonne. Les nez se touchent. Le souffle des deux s'accélèrent et se mélangent, les yeux ne se quittent pas.
La main de Sandro a réussi à passer sous le boxer et prendre en main le gros sgeg du rebeu. Ses doigts agiles et chauds entourent bien la longue et grosse colonne. Les souffles se rapprochent, les lèvres s'effleurent, se retirent, reviennent. La main du rebeu appuie sur son cou et les lèvres s'écrasent les unes contre les autres pendant que les doigts de Sandro enveloppent les grosses couilles du rebeu. Les langues se rencontrent, se palpent, se touchent, s'enroulent, éjectent leurs salives qui se mélangent et coulent dans les gorges.
Les bras du rebeu se referment sur le corps du latino. Il soupire en gémissant jouant de la langue dans la bouche de Sandro, ses mains parcourent son dos, s'attardant sur les petites fesses latino et passent sous le survêt, directement sous le boxer et baissent les vêtements. Les mains accaparent les fesses, les caressant, les pétrissant. La bouche du rebeu vient près de son oreille.
-t'as l'air d'avoir un bon cul le latino, t'as déjà pris de la bite où pas ?
-t'inquiète dit Sandro mais avant j'aimerais bien y gouté à ton sgeg de rebeu, il parait qu'ils sont très bons les sgeg de rebeu.
-quand on y a gouté on ne peut plus s'en passer dit le rebeu en riant doucement à son oreille.
-moi c'est Sandro mec.
-moi c'est Kaïs, je suis l'adjoint du boss de la téci. Ici t'es dans mon domaine, si tu traines ici, tu m'appartiens et je fais de toi ce que je veux.
Sandro le fait taire d'un baiser.
-je ne demande que ça que tu fasses ce que tu veux de moi. Mais je veux voir ta queue avant.
Le rebeu se recule en s'appuyant contre le mur. Sandro tombe à genoux comme pour la prière. Il prend son portable, allume pour découvrir un sgeg comme il n'en a jamais vu, une bite monumentale et monstrueuse qui l'hypnotise carrément. Ses yeux ne peuvent s'en détacher, elle est belle, grosse, veineuse, finement poilues, les poils sont coupés et elle est dotée d'une belle paire de grosses couilles poilues.
Il savait que ce mec, ce rebeu, ce Kaïs avait un bon gros zob! mais là putain il est comblé Sandro.
Il éteint son portable et regarde en premier avec sa main, l'enveloppant, la serrant dans sa main, laissant le gland à découvert, il voit le méat luire, la mouille coule, il approche ses lèvres, tend la langue et de la pointe touche le méat et ramène un filet de mouille dans sa bouche et revient dessus l'enveloppant de ses lèvres, l'entourant, le serrant et l'aspirant. Kaïs aime la bouche chaude et la langue agile, il le laisse faire, découvrir son sgeg et Sandro s'enfonce cette belle tige dans la bouche qui rentre bien et lui clos la gorge. Les lèvres se referment dessus, le gland pousse sa luette et s'enfonce, le faisant tousser, mais il ne lâche pas le morceau, ses yeux pleurent mais il la veut cette queue et il adore le goût de la mouille qui coule dans sa gorge.
Deux mains lui saisissent la tête aux oreilles, le bloquant et Kaïs fait coulisser son long sgeg dans la bouche offerte. Sandro tire bien la langue, ouvre bien la bouche et la queue s'enfonce en lui, maintenant la luette est habituée, elle la bouscule sans ménagement et le gland s'enfonce en lui. Vivement que je la prenne dans le cul pense Sandro!
Sa bouche est baisée comme il aimerait que son cul le soit et Kaïs fait durer son plaisir, sans vraiment savoir que c'est également celui de Sandro. Et, quand la queue se bloque, qu'elle devient encore plus dure et sursaute au fond de sa gorge, Sandro sait qu'il va avoir enfin le bon jus de rebeu qu'il attend depuis si longtemps. Il n'est pas déçu pour cette première fois. La première giclée tape sur le fond de sa gorge, il sent la crème couler dans sa gorge, un mini instant avant la suite des giclées, aussi fortes, aussi abondantes. La queue s'est retirée un peu du fond, Sandro la serre bien dans ses lèvres et il sent le bon jus couler sur sa langue et tomber en lui. Il est ravi Sandro!
Quand la queue, toujours aussi dure, ne donne plus de jus, Sandro s'applique à la nettoyer, la lécher prenant pour la première fois les bonnes couilles poilues dans sa bouche gourmande voyant ainsi le zob bien raide au dessus de sa tête.
Kaïs le relève, le serre contre lui, l'embrasse en fourrageant sa langue dans les recoins de sa bouche. Ses mains vont directement à son petit cul qu'il tend.
Sandro caresse le corps de "son" rebeu, son premier rebeu et constate que le corps est parfait, dur, chaud, que du muscle. La barbe le pique mais il aime se frotter à elle et les lèvres, putain! chaudes, humides. Sa langue qui le rend fou. Il a envie d'amener ce rebeu chez lui, qu'il le baise dans son lit. Il sera à lui! c'est sûr!
Mais Kaïs n'a pas envie de lâcher le morceau. Il vient de se vider dans la bouche du latino, le petit Sandro, il faut qu'il recharge un peu avant de s'occuper du petit cul qui lui est offert alors il retourne Sandro, collant son dos contre son torse, le mordillant dans le cou. Il prend la belle queue latino en main, pour constater qu'il y a du lourd également, le caresse, le branle tranquille.
Quand Sandro gémit de plus en plus fort et que son corps se tend, il arrête, pour lui caresser le ventre, les tétons sont pincés et il revient à la belle queue pour recommencer ses caresses. Il sait que le corps de Sandro s'offre, que le petit latino se donne. Il est heureux Kaïs et il continue ses caresses. Quand le corps du latino se tend, il accélère sa branlette et, avant que Sandro ne crie, il referme ses lèvres sur les siennes, étouffant les cris. Ses doigts sont trempés, il sent les giclées sortir avec force de cette belle queue qu'il faudra qu'il examine de plus près. Le corps de Sandro s'amollit dans ses bras. Il le soutient, il sent son cœur battre la chamade.
-ça va mec ?
-putain mec tu m'as fais jouir des litres qu'est ce qu'on est bien dans tes bras!
Sandro se retourne et se serre amoureusement contre Kaïs, faisant sa pute comme le bourge tout à l'heure dans les siens, mille bisous dans son cou. Sa main venant prendre la queue du rebeu, zob qui a repris toute sa vitalité. Sandro cherche ses yeux dans la pénombre et, tout en caressant le sgeg.
-tu me baises maintenant mec ?
-tu veux vraiment la prendre maintenant ?
-t'as pas envie de mon cul ?
-si bien sûr mais j'aimerais le préparer avant ton cul, sinon tu vas chanter mec!
-j'adore chanter! baise moi direct dit Sandro en se serrant encore plus contre Kaïs, comme si tu me violais. Je veux sentir chaque centimètre de ta queue me percer le cul.
-alors retourne toi, penche toi en avant, ouvre bien ton cul et cale toi sur le mur bien solidement mec! ça va être la fête à ton cul ce soir! ta première bite de rebeu mec! je vais te remplir, t'arroser l'intérieur comme jamais tu l'as été et tu en redemanderas de la bite de Kaïs, c'est le meilleur sgeg de la téci mec! t'as de la chance.
Pendant qu'il parlait Sandro avait pris la position demandée, ses fesses bien ouvertes, il sentait son petit trou encore fermé, il poussait de toutes ses forces pour l'ouvrir avant l'arrivée du mastodonte. Sûr qu'il allait chanter mais il en avait pris des aussi grosses. Les latinos sont bien pourvus également et savent enculer des petits culs comme le sien.
Le gland de Kaïs, plein de mouille a suivi la raie fessière s'arrêtant sur le petit trou qui s'ouvrait difficilement malgré les efforts de Sandro. Kaïs, quand même sympa, a laissé son gland un moment sur le trou, laissant son méat déverser la mouille qui coulait en abondance. A forcé doucement l'anus qui, avec la mouille a commencé à pénétrer ce petit trou chaud. Sandro s'est mis à respirer plus vite. Il sentait son sphincter s'ouvrir, enveloppant facilement le début du gland. Les mains de Kaïs se sont affermies sur ses fesses et sa queue forçait l'entrée. Une douleur s'est fait sentir qui grandissait au fur et à mesure que le gland entrait. Sandro gémissait de plus en plus fort. Le gland peinait à aller plus loin, la douleur devenait atroce et les gémissements se transformaient en plainte. Craignant que Sandro ne gueule trop fort Kaïs a voulu mettre sa main sur sa bouche, avant de forcer un grand coup pour faire entrer sa queue.
Mais en se penchant sur Sandro, sa main a juste eu le temps de se plaquer sur sa bouche, que sa queue était pratiquement toute entrée en lui. Le cri, le hurlement fût heureusement étouffé car si les bouffons des alentours avaient entendu…
Sandro se cramponnait au mur devant lui, il gémissait, son cul le brûlait atrocement mais en même temps il était heureux d'avoir la queue de "son" rebeu en lui et il savait que maintenant ce ne serait que du bonheur pour son petit cul. La brûlure était encore là. Les mains de Kaïs lui caressaient le dos, il ne bougeait plus en lui, le laissant s'habituer à sa présence et c'est Sandro, sentant la douleur s'estomper qui a commencer à faire bouger son petit cul sur le gros sgeg de Kaïs qui n'en demandait pas tant!
Kaïs a repris les choses en mains, bloquant ce petit cul accueillant, il l'a ramoné de longs coups de reins, faisant coulisser facilement son gros zob dans le cul latino. Le cul était bien ouvert, le boyau captait bien son sgeg et maintenant Sandro ne gueulait plus, il gémissait, s'offrant, ronronnant de plaisir. Il avait passé sa main entre les jambes et caressait les grosses couilles de Kaïs.
Le plaisir est arrivé des deux côtés. Quand Kaïs a inondé genre tsunami le conduit de Sandro, celui ci a joui à gros bouillon sans se toucher la queue. C'est la queue de Kaïs passant sur sa prostate, l'inondant qui a fait jouir Sandro.
Toujours emmanché sur la queue de Kaïs, Sandro s'est redressé cherchant les baisers de son mec, son maitre, son caïd. Il voulait le garder, être sa chose, lui appartenir, n'être qu'à lui.
Les bras de Kaïs l'ont entouré, le serrant contre lui, les lèvres jointes, le baiser fut passionné, Sandro sentait la queue bouger en lui. Ses mains le caressaient partout.
-t'es un bon mec! dit Kaïs, je te veux tous les jours mais faudra être discret. Si je peux venir chez toi ce sera mieux mec!
-et comment mec! je crois que je vais t'adopter dit Sandro en riant… ta queue ben je sais pas trop quoi en dire mais tu vois, là où elle est en ce moment ben j'aimerais qu'elle y soit tout le temps. Je savais que t'étais un bon! je t'avais repéré dès le premier jour où je suis arrivé et quand je me branlais et bien c'était toujours en pensant à toi.
-ben là t'auras plus à te branler tout seul, on fera ça tous les deux dans ton lit, avec la lumière que je vois à quoi ressemble vraiment un latino à poils.
-et moi un vrai rebeu plein de charmes avec un bon sgeg!
Les baisers ont repris, la queue était toujours raide dans le petit cul. Kaïs a fait pencher Sandro qui a mis ses deux mains sur le mur, tendant bien son petit cul, s'ouvrant encore plus, s'offrant et les coups de reins ont repris, les claques sur les fesses, les caresses, la peau pincée, la queue qui allait au plus profond et c'est Kaïs qui a gueulé cette fois en se déversant encore une fois dans le beau cul chaud faisant redresser Sandro qui l'embrasse pour étouffer le cri.
La queue est sortie de son étui. Ils se faisaient des bisous, des caresses sans rien dire. Les souffles se mélangeaient.
Des bruits se sont faits entendre au loin, ils se sont rhabillés vite fait, des bruits de voix approchaient, des pas. Kaïs a pris la main de Sandro et l'a entrainé à travers les couloirs du tunnel s'éloignant des bruits. Ils sont sortis à l'air libre restant dans l'entrée du tunnel, Kaïs le tenait toujours par la main.
-j'ai pas envie de te quitter dit Kaïs en l'attirant contre lui.
-alors si mon premier rebeu préféré veut bien visiter mon lit maintenant, il sera le bienvenue dit Sandro en riant.
Kaïs le serre contre lui.
-c'est ce que je voulais entendre ma belle salope latino adorée. J'ai encore plein de choses à te faire découvrir.
-alors viens dit Sandro en l'entrainant vers son appart.
Les nuits sont chaudes dans la téci…
Il y avait beaucoup de jeunes beurs et de blacks qui trainaient en bande. Rare, étaient ceux tout seul, pourtant certains, Sandro aurait bien aimé les rencontrer de plus près. Tous vêtus à peu près de la même façon et, quand la nuit arrivait, les capuches apparaissaient et il ne distinguait que des ombres.
Il se demandait ce qu'ils trafiquaient. Il avait repéré un rebeu, un jeune mec de son âge apparemment, belle gueule de mâle dominant, cheveux très courts, presque rasés, alors qu'une barbe lui enveloppait le visage. Pas très fournie la barbe, mais cela lui allait bien, enfin il ne le voyait que de son balcon du 3ème. Toujours sapé d'un sweat de couleur et d'un survêt le moulant comme un gant ce qui fait que, lorsqu'il se mettait dans certaines positions, Sandro voyait bien le gros morceau caché qui était moulé et ça le faisait bander le petit latino.
A l'abri de son balcon, même en plein jour, il sortait sa queue et se branlait en matant les rebeu ou les blacks et ça giclait abondamment.
Faut dire qu'il était bien gaulé le latino, une belle gueule bronzée, un nez fin, des yeux marrons clairs tirant sur l'or, lui donnait un visage lumineux et attirait les regards et ses lèvres pulpeuses qui ne demandaient qu'à être embrassées ou à sucer de belles bites bien raides. Plutôt passif avec les beaux mecs, il aimait donner son cul aux mecs qui le méritaient, mais fallait l'exciter le latino pour qu'il se donne!
Il avait remarqué, que souvent, dès la nuit tombée une partie de ce beau monde allait dans l'entrée d'un tunnel. Il se posait plein de questions car les jeunes ne revenaient pas.
Dans la journée, comme il n'avait pas encore trouvé de boulot, et, avant que tous ces branleurs ne soient levés il avait décidé d'aller voir ce qu'il y avait dans ce tunnel.
Dans la matinée, cela paraissait déjà glauque! qu'est ce que cela devait donner la nuit surtout que les lumières ne brillaient que par leur absence. Une ampoule sur deux ou trois, et celles qui fonctionnaient la plupart étaient en fin de vie, s'allumant s'éteignant par intermittence.
C'est ainsi qu'il a su que le tunnel conduisait à différents immeubles. En les parcourant il a vu les recoins qui existaient dans la pénombre. Il s'est approché d'un, a été obligé d'allumer la torche de son portable. C'était sale, ça sentait la pisse, et par terre il y avait des préservatifs, des mouchoirs en papier où l'on s'était manifestement essuyé la bite ou le cul, vu les traces qui s'y trouvaient.
Il venait de découvrir les endroits où les mecs venaient baiser mais il se demandait encore si ce n'était que des baises entre mecs ou s'ils faisaient des tournantes avec des meufs car lui les meufs, ben ca l'intéressait pas. Il fallait qu'il observe ça de plus près.
Un soir il prend son courage à deux mains, sort sans trop se faire remarquer et file dans le tunnel se planquer dans un des recoins qui lui a paru être le moins utilisé, et il attend. Effectivement des mecs, des meufs passent sans le voir, ça s'assombri, cela devient angoissant. Plus de bruit, il entend des voix venues de l'extérieur sans trop comprendre ce qui se dit. Des mecs passent presqu'en courant, personne ne va dans un recoin. Quand, deux mecs arrivent capuche sur la tête, il ne peut voir qui c'est. L'un tient l'autre par le cou et semble le traîner, le pousser pour avancer.
-alors le bourge! t'es venu prendre la queue de Mouloud ? tu vas être servi ce soir! j'ai pas niqué depuis deux jours!
Mouloud entraine le bourge dans un recoin pratiquement en face de celui où se trouve Sandro qui a le sourire aux lèvres. Mais il ne voit que des ombres, une qui appuie sur les épaules de l'autre qui se met à genoux, un survêt de baissé, une lumière qui s'allume et Sandro voit la tête du bourge, un petit blond qui se fait enlever la capuche, nez à nez avec la bite du rebeu et Mouloud force les lèvres du minet qui ouvre la bouche sans problème, Sandro voit la queue disparaitre en même temps que les deux mecs gémissent ensemble. Le rebeu remet son portable dans sa poche, prend la tête du blond et le baise en cadence. Il est rapide le rebeu et dans un râle il se vide dans la bouche du bourge qui semble tout avaler.
-t'es vraiment une bonne pute le bourge! tu devrais venir plus souvent.
Des pas, des personnes qui parlent se font entendre. Sandro voit le rebeu se rhabiller et partir, laissant le petit bourge dans le noir.
Des blacks passent dans le couloir en riant, parlant fort. Ils ne remarquent rien dans la pénombre.
Lorsque les pas s'éloignent Sandro sort de l'ombre et marche en direction du bourge. Il le distingue dans la pénombre, il a relevé sa capuche et reste plaqué contre le mur. Sandro s'approche, se cale en face lui, soulève la capuche, le blond ne dit rien, le regarde. Sandro approche son visage pour distinguer le petit mec. Il est vraiment blond de chez blond le mec!
Sandro sent sa queue faire des siennes dans son survêt. Sans un mot il prend la main du blond et la colle sur sa queue. Sans façon le blond s'en saisi et la malaxe à travers le survêt, la faisant durcir et grandir. Sandro approche sa tête, ils se fixent, les bouches se rapprochent, se touchent, appuient l'une sur l'autre et les langues jaillissent, se touchant, se caressant se léchant. La main du blond pétri plus fort la grosse tige du latino et Sandro passe sa main sur l'arrière du blond, caressant des petites fesses dures.
Les corps se rapprochent, se soudent, ondulent l'un contre l'autre. La main du blond passe dans le survêt du latino enveloppant la bête de sa main chaude et douce. Sandro baisse le survêt et le boxer du blond, qui se retrouve le cul à l'air, les mains écartent les fesses, un doigt cherche le petit trou, le caresse, appuie dessus, force et le doigt est avalé par ce petit cul gourmand. Le blond gémit de plus en plus dans les bras de Sandro.
-tu donnes ton cul le bourge ? tourne toi et penche toi dit Sandro sans attendre la réponse.
Le blond est une bonne pute de bourge, il vient dans la téci pour prendre de la bite, quelle qu'elle soit!
Il fait descendre son boxer et survêt à ses pieds, écarte les jambes au maximum, se penche en avant, l'épaule sur le mur, se calle bien, ses mains ouvre bien ses belles fesses. Il sent le doigt du latino le forcer, s'enfoncer, tourner en lui. Le doigt se retire, deux doigts humides reviennent et ouvrent encore plus son petit trou docile et accueillant. Le bourge est doigté avec tact et profondeur, il sent que son trou est bien ouvert.
Il aurait aimé sucé le latino pour comprendre comment était sa queue mais cela n'a pas l'air d'être dans les intentions du mec quand il sent que les doigts sont remplacés par le gros gland du latino, un gros morceau humide qui trouve de suite son entrée. Deux mains qui le saisissent avec force aux hanches et sans ménagement, une longue poussée le fait gueuler quand le gland perfore son petit trou, écartant le sphincter d'une seule poussée. Quand le gland est entré, le latino s'arrête et laisse le blond récupérer. Il claque les belles fesses plusieurs fois pour attendrir la viande et d'un coup de reins laisse sa queue poursuivre son chemin dans ce conduit si chaud et accueillant.
Putain y'a un moment que Sandro n'a pas tenu un si beau cul au bout de sa bite. Il a l'intention d'en profiter alors il se déchaine, telle une brute qui veut se vider. Ses coups de reins sont secs et brutaux, son pubis claque bien sur les fesses dures du minet. Il est rempli, comblé ce petit bourge! il veut de la queue et bien il en a. La queue du latino coulisse bien maintenant. Il relâche la pression avec ses mains sur les hanches et c'est le blond qui vient se baiser sur la queue de Sandro. Il est gourmand ce petit bourge!
Sandro sent le plaisir venir, il sent son bon jus monter. Il reprend le blond en mains, s'active plus vite, plus fort, fait claquer les fesses et, dans un râle, se bloque au fond du petit cul et se vide en de longues giclées chaudes et abondantes de son bon jus que tant de mecs aiment bien. Avec toujours la queue latino dans son petit cul, le blond se redresse, collant son dos sur le torse de Sandro, prend sa main et la colle sur son sexe.
Le blond donne sa bouche et Sandro le branle en cadence, le souffle du blond s'accentue, sortant de son nez. Sandro sent ses fesses se resserrer sur sa queue, le corps du blond se tend et dans un râle, sans lâcher la langue de Sandro il éjacule ses giclées sur le mur en face.
La queue sort lentement du cul du blond, qui se retourne, embrasse tendrement le latino qui offre sa langue. Le blond se met à genoux et lèche la bonne queue qui vient lui donner tant de plaisir. Il remballe le matériel, se relève, rajuste ses vêtements, fait la pute dans les bras du latino en se câlinant.
-j'aimerais bien te revoir dit le blond.
-on verra ça mec! t'as qu'à revenir dans le coin dit Sandro.
-je viens pratiquement tous les soirs mais là je dois rentrer.
Après un dernier bisou sur les lèvres, Sandro voit son petit bourge blond disparaitre dans le tunnel.
Il se rajuste un peu mieux, prêt à rentrer chez lui.
-He mec! t'as un sacré coup de reins fait une voix dans le noir mais en bon latino tu prends la queue de rebeu aussi ?
Sandro sent son cœur battre un peu plus vite, il se doute que la voix vient de l'endroit où il se trouvait précédemment. Il ne bouge pas dans le noir, ne répond pas… attend.
Pour voir un rebeu encapuchonné traverser le tunnel et venir dans sa direction, il a un coup au cœur Sandro car il reconnait le rebeu qu'il aime bien mater du haut de son balcon.
Le rebeu s'approche et vient se positionner juste en face de lui, les jambes écartées, bien installé sur ses jambes. Il tend sa main qui vient lui saisir le cou et l'approcher de sa tête.
C'est bien le rebeu qu'il kiffe, mais est ce une chance de le rencontrer dans cette situation ?
-alors ? dit le rebeu, tu me vois mieux maintenant que du haut de ton balcon en train de te branler la nouille ?
-euh... tu veux dire quoi ?
-ben c'est bien toi le latino qui vient d'arriver dans la téci et qui nous mate en se branlant sur son balcon ? ça t'excite le rebeu ? le black ? ou tu préfères les petits bourges comme le blond qui vient se faire sauter régulièrement par tous les mecs de la téci. Toutes les bites ont visité son petit cul au bourge! c'est un gourmand tu sais ! dit le rebeu en éclatant de rire!
Sandro comprend qu'il est grillé et qu'en fait il se retrouve à la merci de ce rebeu, ce rebeu qui lui plait particulièrement.
-tu veux quoi ? demande Sandro.
-te niquer mon frère, mon sgeg ne connait pas de cul de latino, tu seras son premier!
Sandro n'ose pas sourire en entendant ces paroles. Il va enfin connaitre la queue de ce rebeu, son rêve, son fantasme dans ses branlettes. Alors il avance la main directe sur l'entrejambe, il n'a pas à chercher longtemps pour trouver ce qu'il désire, putain de morceau, ça semble encore plus gros quand dans son rêve.
La main du rebeu lui tient toujours le cou. Ils sont face à face, yeux dans les yeux dans la pénombre. Le rebeu retire sa capuche. Le crâne presque rasé apparait. Sandro a envie de le caresser. Ses yeux regardent le visage, la barbe courte l'attire. Il approche encore plus son visage. Il sent la respiration du rebeu venir sur le sien, un souffle doux et chaud, et l'odeur caractéristique du rebeu lui envahi les narines.
Sa queue fait un bond dans son survêt, son cul palpite, son nez touche celui du rebeu. Il voit le rebeu sourire, sa main tâte toujours l'entrejambe, il passe la main dans le survêt, le rebeu se laisse faire. Sa main caresse maintenant le long zob sur le boxer qui l'emprisonne. Les nez se touchent. Le souffle des deux s'accélèrent et se mélangent, les yeux ne se quittent pas.
La main de Sandro a réussi à passer sous le boxer et prendre en main le gros sgeg du rebeu. Ses doigts agiles et chauds entourent bien la longue et grosse colonne. Les souffles se rapprochent, les lèvres s'effleurent, se retirent, reviennent. La main du rebeu appuie sur son cou et les lèvres s'écrasent les unes contre les autres pendant que les doigts de Sandro enveloppent les grosses couilles du rebeu. Les langues se rencontrent, se palpent, se touchent, s'enroulent, éjectent leurs salives qui se mélangent et coulent dans les gorges.
Les bras du rebeu se referment sur le corps du latino. Il soupire en gémissant jouant de la langue dans la bouche de Sandro, ses mains parcourent son dos, s'attardant sur les petites fesses latino et passent sous le survêt, directement sous le boxer et baissent les vêtements. Les mains accaparent les fesses, les caressant, les pétrissant. La bouche du rebeu vient près de son oreille.
-t'as l'air d'avoir un bon cul le latino, t'as déjà pris de la bite où pas ?
-t'inquiète dit Sandro mais avant j'aimerais bien y gouté à ton sgeg de rebeu, il parait qu'ils sont très bons les sgeg de rebeu.
-quand on y a gouté on ne peut plus s'en passer dit le rebeu en riant doucement à son oreille.
-moi c'est Sandro mec.
-moi c'est Kaïs, je suis l'adjoint du boss de la téci. Ici t'es dans mon domaine, si tu traines ici, tu m'appartiens et je fais de toi ce que je veux.
Sandro le fait taire d'un baiser.
-je ne demande que ça que tu fasses ce que tu veux de moi. Mais je veux voir ta queue avant.
Le rebeu se recule en s'appuyant contre le mur. Sandro tombe à genoux comme pour la prière. Il prend son portable, allume pour découvrir un sgeg comme il n'en a jamais vu, une bite monumentale et monstrueuse qui l'hypnotise carrément. Ses yeux ne peuvent s'en détacher, elle est belle, grosse, veineuse, finement poilues, les poils sont coupés et elle est dotée d'une belle paire de grosses couilles poilues.
Il savait que ce mec, ce rebeu, ce Kaïs avait un bon gros zob! mais là putain il est comblé Sandro.
Il éteint son portable et regarde en premier avec sa main, l'enveloppant, la serrant dans sa main, laissant le gland à découvert, il voit le méat luire, la mouille coule, il approche ses lèvres, tend la langue et de la pointe touche le méat et ramène un filet de mouille dans sa bouche et revient dessus l'enveloppant de ses lèvres, l'entourant, le serrant et l'aspirant. Kaïs aime la bouche chaude et la langue agile, il le laisse faire, découvrir son sgeg et Sandro s'enfonce cette belle tige dans la bouche qui rentre bien et lui clos la gorge. Les lèvres se referment dessus, le gland pousse sa luette et s'enfonce, le faisant tousser, mais il ne lâche pas le morceau, ses yeux pleurent mais il la veut cette queue et il adore le goût de la mouille qui coule dans sa gorge.
Deux mains lui saisissent la tête aux oreilles, le bloquant et Kaïs fait coulisser son long sgeg dans la bouche offerte. Sandro tire bien la langue, ouvre bien la bouche et la queue s'enfonce en lui, maintenant la luette est habituée, elle la bouscule sans ménagement et le gland s'enfonce en lui. Vivement que je la prenne dans le cul pense Sandro!
Sa bouche est baisée comme il aimerait que son cul le soit et Kaïs fait durer son plaisir, sans vraiment savoir que c'est également celui de Sandro. Et, quand la queue se bloque, qu'elle devient encore plus dure et sursaute au fond de sa gorge, Sandro sait qu'il va avoir enfin le bon jus de rebeu qu'il attend depuis si longtemps. Il n'est pas déçu pour cette première fois. La première giclée tape sur le fond de sa gorge, il sent la crème couler dans sa gorge, un mini instant avant la suite des giclées, aussi fortes, aussi abondantes. La queue s'est retirée un peu du fond, Sandro la serre bien dans ses lèvres et il sent le bon jus couler sur sa langue et tomber en lui. Il est ravi Sandro!
Quand la queue, toujours aussi dure, ne donne plus de jus, Sandro s'applique à la nettoyer, la lécher prenant pour la première fois les bonnes couilles poilues dans sa bouche gourmande voyant ainsi le zob bien raide au dessus de sa tête.
Kaïs le relève, le serre contre lui, l'embrasse en fourrageant sa langue dans les recoins de sa bouche. Ses mains vont directement à son petit cul qu'il tend.
Sandro caresse le corps de "son" rebeu, son premier rebeu et constate que le corps est parfait, dur, chaud, que du muscle. La barbe le pique mais il aime se frotter à elle et les lèvres, putain! chaudes, humides. Sa langue qui le rend fou. Il a envie d'amener ce rebeu chez lui, qu'il le baise dans son lit. Il sera à lui! c'est sûr!
Mais Kaïs n'a pas envie de lâcher le morceau. Il vient de se vider dans la bouche du latino, le petit Sandro, il faut qu'il recharge un peu avant de s'occuper du petit cul qui lui est offert alors il retourne Sandro, collant son dos contre son torse, le mordillant dans le cou. Il prend la belle queue latino en main, pour constater qu'il y a du lourd également, le caresse, le branle tranquille.
Quand Sandro gémit de plus en plus fort et que son corps se tend, il arrête, pour lui caresser le ventre, les tétons sont pincés et il revient à la belle queue pour recommencer ses caresses. Il sait que le corps de Sandro s'offre, que le petit latino se donne. Il est heureux Kaïs et il continue ses caresses. Quand le corps du latino se tend, il accélère sa branlette et, avant que Sandro ne crie, il referme ses lèvres sur les siennes, étouffant les cris. Ses doigts sont trempés, il sent les giclées sortir avec force de cette belle queue qu'il faudra qu'il examine de plus près. Le corps de Sandro s'amollit dans ses bras. Il le soutient, il sent son cœur battre la chamade.
-ça va mec ?
-putain mec tu m'as fais jouir des litres qu'est ce qu'on est bien dans tes bras!
Sandro se retourne et se serre amoureusement contre Kaïs, faisant sa pute comme le bourge tout à l'heure dans les siens, mille bisous dans son cou. Sa main venant prendre la queue du rebeu, zob qui a repris toute sa vitalité. Sandro cherche ses yeux dans la pénombre et, tout en caressant le sgeg.
-tu me baises maintenant mec ?
-tu veux vraiment la prendre maintenant ?
-t'as pas envie de mon cul ?
-si bien sûr mais j'aimerais le préparer avant ton cul, sinon tu vas chanter mec!
-j'adore chanter! baise moi direct dit Sandro en se serrant encore plus contre Kaïs, comme si tu me violais. Je veux sentir chaque centimètre de ta queue me percer le cul.
-alors retourne toi, penche toi en avant, ouvre bien ton cul et cale toi sur le mur bien solidement mec! ça va être la fête à ton cul ce soir! ta première bite de rebeu mec! je vais te remplir, t'arroser l'intérieur comme jamais tu l'as été et tu en redemanderas de la bite de Kaïs, c'est le meilleur sgeg de la téci mec! t'as de la chance.
Pendant qu'il parlait Sandro avait pris la position demandée, ses fesses bien ouvertes, il sentait son petit trou encore fermé, il poussait de toutes ses forces pour l'ouvrir avant l'arrivée du mastodonte. Sûr qu'il allait chanter mais il en avait pris des aussi grosses. Les latinos sont bien pourvus également et savent enculer des petits culs comme le sien.
Le gland de Kaïs, plein de mouille a suivi la raie fessière s'arrêtant sur le petit trou qui s'ouvrait difficilement malgré les efforts de Sandro. Kaïs, quand même sympa, a laissé son gland un moment sur le trou, laissant son méat déverser la mouille qui coulait en abondance. A forcé doucement l'anus qui, avec la mouille a commencé à pénétrer ce petit trou chaud. Sandro s'est mis à respirer plus vite. Il sentait son sphincter s'ouvrir, enveloppant facilement le début du gland. Les mains de Kaïs se sont affermies sur ses fesses et sa queue forçait l'entrée. Une douleur s'est fait sentir qui grandissait au fur et à mesure que le gland entrait. Sandro gémissait de plus en plus fort. Le gland peinait à aller plus loin, la douleur devenait atroce et les gémissements se transformaient en plainte. Craignant que Sandro ne gueule trop fort Kaïs a voulu mettre sa main sur sa bouche, avant de forcer un grand coup pour faire entrer sa queue.
Mais en se penchant sur Sandro, sa main a juste eu le temps de se plaquer sur sa bouche, que sa queue était pratiquement toute entrée en lui. Le cri, le hurlement fût heureusement étouffé car si les bouffons des alentours avaient entendu…
Sandro se cramponnait au mur devant lui, il gémissait, son cul le brûlait atrocement mais en même temps il était heureux d'avoir la queue de "son" rebeu en lui et il savait que maintenant ce ne serait que du bonheur pour son petit cul. La brûlure était encore là. Les mains de Kaïs lui caressaient le dos, il ne bougeait plus en lui, le laissant s'habituer à sa présence et c'est Sandro, sentant la douleur s'estomper qui a commencer à faire bouger son petit cul sur le gros sgeg de Kaïs qui n'en demandait pas tant!
Kaïs a repris les choses en mains, bloquant ce petit cul accueillant, il l'a ramoné de longs coups de reins, faisant coulisser facilement son gros zob dans le cul latino. Le cul était bien ouvert, le boyau captait bien son sgeg et maintenant Sandro ne gueulait plus, il gémissait, s'offrant, ronronnant de plaisir. Il avait passé sa main entre les jambes et caressait les grosses couilles de Kaïs.
Le plaisir est arrivé des deux côtés. Quand Kaïs a inondé genre tsunami le conduit de Sandro, celui ci a joui à gros bouillon sans se toucher la queue. C'est la queue de Kaïs passant sur sa prostate, l'inondant qui a fait jouir Sandro.
Toujours emmanché sur la queue de Kaïs, Sandro s'est redressé cherchant les baisers de son mec, son maitre, son caïd. Il voulait le garder, être sa chose, lui appartenir, n'être qu'à lui.
Les bras de Kaïs l'ont entouré, le serrant contre lui, les lèvres jointes, le baiser fut passionné, Sandro sentait la queue bouger en lui. Ses mains le caressaient partout.
-t'es un bon mec! dit Kaïs, je te veux tous les jours mais faudra être discret. Si je peux venir chez toi ce sera mieux mec!
-et comment mec! je crois que je vais t'adopter dit Sandro en riant… ta queue ben je sais pas trop quoi en dire mais tu vois, là où elle est en ce moment ben j'aimerais qu'elle y soit tout le temps. Je savais que t'étais un bon! je t'avais repéré dès le premier jour où je suis arrivé et quand je me branlais et bien c'était toujours en pensant à toi.
-ben là t'auras plus à te branler tout seul, on fera ça tous les deux dans ton lit, avec la lumière que je vois à quoi ressemble vraiment un latino à poils.
-et moi un vrai rebeu plein de charmes avec un bon sgeg!
Les baisers ont repris, la queue était toujours raide dans le petit cul. Kaïs a fait pencher Sandro qui a mis ses deux mains sur le mur, tendant bien son petit cul, s'ouvrant encore plus, s'offrant et les coups de reins ont repris, les claques sur les fesses, les caresses, la peau pincée, la queue qui allait au plus profond et c'est Kaïs qui a gueulé cette fois en se déversant encore une fois dans le beau cul chaud faisant redresser Sandro qui l'embrasse pour étouffer le cri.
La queue est sortie de son étui. Ils se faisaient des bisous, des caresses sans rien dire. Les souffles se mélangeaient.
Des bruits se sont faits entendre au loin, ils se sont rhabillés vite fait, des bruits de voix approchaient, des pas. Kaïs a pris la main de Sandro et l'a entrainé à travers les couloirs du tunnel s'éloignant des bruits. Ils sont sortis à l'air libre restant dans l'entrée du tunnel, Kaïs le tenait toujours par la main.
-j'ai pas envie de te quitter dit Kaïs en l'attirant contre lui.
-alors si mon premier rebeu préféré veut bien visiter mon lit maintenant, il sera le bienvenue dit Sandro en riant.
Kaïs le serre contre lui.
-c'est ce que je voulais entendre ma belle salope latino adorée. J'ai encore plein de choses à te faire découvrir.
-alors viens dit Sandro en l'entrainant vers son appart.
Les nuits sont chaudes dans la téci…
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