Le libertin lubrique
Récit érotique écrit par Sieur Libertins [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le libertin lubrique
A vous qui êtes arrivée au château il y a peu de temps, qui trouvez les soirées charmantes, mais un peu longues, sachez que votre hôte toujours fort courtois avec ses invités, se fera un plaisir de répondre à votre requête.
Il est vrai que lors de nos longues promenades dans le parc, je sentis un grand désir chez vous devant les statues gréco romaines, mais aussi devant mes peintures de François Boucher que cela soit ses aventures amoureuses et la douceur rose de la peau du corps de la femme.et je devinasse votre envie d’avoir un male pour amant pouvant vous posséder plusieurs fois une nuit durant.
Je ne puis résister à l‘envie de combler votre attente, vous, qui êtes si jeune et ferai tout mon possible pour calmer votre jeune ardeur.
Je le sais, fort bien aussi, puisque durant le dîner vous me parlâtes du château et des de cette aile que vous n’aviez point visitée.
Je vous ferais visite de ce lieu étrange et de son salon et de ses peinture des fêtes galantes qui expriment la douceur de vivre, la légèreté des choses et la beauté de notre temps qui passe..
Ce que je puis vous en dire, c’est que les statues antiques placées dans le parc sont la lisière du décor de ce lieu de plaisir, il est vrai habituellement réservé à des fêtes moins mondaines que celles que vous avez connues depuis votre arrivée en ces lieux.
Je sais aussi fort bien, qu’une fois que vous aurez admiré cette aile, vous succomberez aux charmes qui y habitent et que vous voudrez connaitre encore et prendrez plaisirs à les gouter en fin connaisseuse et devenir la châtelaine de ces lieux.
Vous voulez savoir ce que vous allez pourvoir admirer en ce lieu ?
Nous traverserons tous les deux le château jusqu’à cette porte immense fermée.
Elle s’ouvrira, nous rentrerons et laisseront cette porte derrière nous se refermer.
Il nous faudra percer la pénombre et l’obscurité avec des chandeliers et un grand silence régnera, nous avancerons et vous pourrez alors constater par vous-même ce salon et pourrez trouver sur votre droite, quelques une de mes plus belles œuvres, de Watteau et de Boucher.
Sur votre gauche, ma bibliothèque, composé des livres de Choderlos de Laclos, Dorat, Jolyot de Crébillon ou encore tous les tomes des Aphrodites, d’Andréa de Nerciat.
Vous pourrez aussi voir dans le coin, au fond, une de ces maisons de poupées, de celles qui ne sont guère réservées aux pucelettes, il vous suffira d’appuyer au bon endroit pour voir cette merveille de mécanique se mettre en branle et voir la lubricité des maitres de maison.
Une fois que vous vous serez imprégnées des merveilles de ce salon, il est fort à parier que vous viendrez dans mes bras vous refugier.
Sachez que dans l’autre coin de la grande salle, se trouve un charmant petit canapé sur lequel vous pourrez vous remettre de vos émotions.
Vous serez alors captive car votre désir et votre excitation seront à leur paroxysme.
De mes mains je baisserai votre décolleté afin de libérer votre opulente poitrine. Votre poitrine m’apparaitra alors et sans aucun préliminaire je me rendrai en bouche pour alléger votre état.
Ensuite ?
Je vous débarrasserai de votre robe et de tout ce que vous portez dessous, pour que vous puissiez mieux respirer, puis pour calmer cette si désagréables démangeaison, je ferai coulisser ma savante main sur votre charnelle féminité.
Serait-ce là le seul traitement que je vous réserverais ?
Assurément, non, car vous aurez alors compris que le piège sur vous s’est refermé et qu’enfin un gentilhomme pourra assouvir tous vos fantasmes.
Que vous ferai-je pour ce faire ?
Mes mouvements manuels seront alors rejoints de ma bouche et de ma langue visant à accélérer la venue de votre extase et sachez, que vous ne tiendrez point longtemps, avant que ce désir inconnu ne vous parcourt, celui de voir ma dureté masculine de fort près.
Vous pensez que vous n’aurez point la force de résister ?
Assurément, non, vous voudrez, comme il se doit toucher, puis gouter à ce vit à vous offert.
Vous sentirez alors mon propre plaisir, mais vous retournerai, comme il se doit la politesse.
Je sais quelles pratiques vous feront connaitre ce paradis promis par les hommes d’église.
Quels seront nos procédés ?
Je suivrai votre si charmant petit triangle de poils blond, telles ces directions qui indiquent le chemin du domaine.
Ensuite ?
Je lécherai chaque coin et recoin de votre anatomie intime, ma langue s’occupera de votre bouton d’or, mes doigts sauront aussi contribuer à votre mélodie de jouissance, puissante et salvatrice.
Ma tête viendra se nicher entre vos cuisses, lèchera vos grande lèvres, je jouerai de votre vulve comme je joue du clavecin.
Ma langue saura se frayer passage en votre antre et mes lèvres tèteront votre bouton déjà fort dressé, ma langue alors, en vous tournera, tel un jeune chiot, vous lapera.
En vous elle continuera de glisser, le long de votre vulve, mes agiles doigts sauront se glisser doucement vers l’entrée de votre lieu sacré, vous pénètreront avec une infinie douceur tandis que ma langue aura repris son amusement avec votre con.
Mes mouvements, sauront se faire plus rapides et mon autre main se glissera avec malice entre vos fesses et jouera avec votre bas fond.
Je gagnerai en rapidité des mouvements de mes doigts et de ma langue et qui se feront des plus précis.
Votre petit cul s’ouvrira alors et votre corps, tel l’arc de Diane se tendra.
Je poursuivrai ma besogne tant que je ne vous aurai point senti venir, car de votre élixir, je veux me délecter.
Je vous ferai connaitre l’extase en un cri, car je vous sais sublime et succulente lorsque vous prenez du plaisir.
Et vous ?
Vous serez concentrée sur mon vit pleine de désir.
Je sais que mon ouvrage vous fera d’ailleurs le regarder comme un loup regarde un brebis, ma tige bandée.
Je sais aussi que vous rendrez ainsi grâce de mon hospitalité.
Par votre bouche offerte, je sais que j’admirerai la plus belle lumière lorsque vos lèvres se refermeront sur cette dureté de roche.
La fierté vous habitera quand de cette bouche vous avalerez avec plaisir suite à mes douceurs déjà prodiguées, mon chibre qui tant vous désire.
Je serai bien sur votre précepteur, je poserai ma main sur votre charmante tête et vous guiderai dans un premier temps, pour que vous puissiez me butiner toute à votre aise, comme une demoiselle fort bien éduquée au plaisir prodiguer.
Ensuite, dans cette position nous accueilleront notre soupir comme la récompense de nos douceurs, qui ne sont que promesse d'abandon.
Bien sûr, ensuite je vous laisserai faire selon votre guise, comme vous me laisserez faire.
Vous saurez alors user de votre bouche, de votre langue et de vos mains tournoyant sur mon mat, le faisant palpiter, tandis que ma bouche poursuivra son œuvre sur votre sexe turgescent.
Je sais aussi, que votre bouche finira par danser sur ma colonne, virevoltera comme un papillon, vous le sentirez à mon anatomie qui se tend et mes mains qui se feront plus pressantes, sur votre crâne, vos épaules, vos bras.
Qu’adviendra-t-il ensuite ?
Nous allons tout, l’un à l’autre nous offrir, nous régalant de notre plaisir, moi m’abreuvant de vous et vous me dévorant jusqu’au fin fond de votre gorge, nous gorgeant dans ces libérateurs spasmes qui nous envahiront de douceur.
Et après ?
Nous profiterons de l’instant pour sentir la moindre palpitation de notre jouissance et nous nous nourrirons du bonheur d'être une femme et un homme amants et aimants.
Bien sûr, nos lèvres seront gonflées comme après avoir mangé de ces piments du Béarn, mais nos corps seront alors détendus comme ces poupées de votre enfance.
Que sera la suite de ces réjouissances ?
Et bien vous vous sacrifierez sur l’autel pour le grand rite sexuel, je vous posséderai dans toutes sortes de positions, toutes plus lubriques les unes que les autres.
Mais vous m'avouerez préférer que je vous prenne comme le font les lapins en me tournant le dos.
Non pas que vous me dénigrerez, mais vous aimerez que je vous possédasse ainsi profondément.
Ensuite, vous voudrez connaitre les plaisirs les plus interdits, ceux que la morale réprouve, je m’exécuterai alors et vous déculerai comme il se doit.
Vous gouterez alors aux plaisirs qu’une bonne déculade déclenche.
Ils sont violents, bestiaux que leurs jouissances sont inoubliables, que vous marquerez chacune d’entre elles d'une pierre blanche, tan la pratique vous fait jouir par surprise, intensément.
Bien sûr, la première vous sera au début fort désagréable, mais ma pratique vous ouvrira avec facilité.
Nous produisons, d’ailleurs, dans la région, un beurre mauvais pour la gastronomie, mais excellent pour la chose.
Je vous enduirai de ce beurre, comme le font les charretiers de leurs essieux.
Ensuite, doucement, après plusieurs entrées et sorties, mon vit pénétrera votre adorable petit cul.
Il est fort sûr que vous aurez et tenterez de vous libérer mais quelques claques sur bien senties sur vos fesses calmeront vos envies de fuite.
Enfin, ma tour de Babel glissera en vous vous élargira, assurément et facilitera ses glissements dans votre bas fond.
Le mouvement se fera ensuite plus aisément et même sans douleur pour vous, vous faisant connaitre cette extase qui vous laissera totalement sous les charme de nouvelles sensations si agréables.
Chacun de mes coups de reins, chaque enfoncement de mon vit vous, vous donnera autant de plaisir que mes frottements sur votre intérieur.
Puis vous prendrez conscience qu’il s’agit là pour vous de votre dépucelage, votre première saillie sodomite.
Une fois que je me serai vidé dans vos entrailles, je vous proposerais de réitérer, vous opinerez par l’affirmative.
Je vous soulèverai et vous coucherais sur le dos, me frottant à vos fesses et sur le sillon de votre anus.
Ma pilosité vous chatouillera, amplifiant vos désirs.
Je vous caresserai les hanches et toujours avec la même passion, je m’enfoncerais dans la chaleur et la douceur de votre entre fesses et cette brutale pénétration vous donnera la plus belle jouissance, celle qui vous fera hurler votre plaisir.
Vous ressentirez pleinement mon organe mâle dans cette déculade puissante !
En effet, cette seconde sodomie sera, pour vous, j’en suis fort sûr, beaucoup plus agréable que la première.
Que dites-vous ?
Si mes servantes ont connues tel traitement ?
Assurément !
Pas toutes, certes, certaines de par leur jeune âge ne sont point dans mes attirances.
Mais j’aime que mes soubrettes soient comme moi, aimant la vie, ainsi la pratique leurs jeux lesbiens est ici fort courante.
J’aime d’ailleurs par fois surprendre dans leurs ébats, ces charmantes créatures qui s’aiment en amantes.
Lorsqu’elles posent leurs langues sur leurs petits boutons, tout gonflé de désir.
Elles se caressent lentement avec grâces, passant leurs doigts entre leurs intimités, se convulsant de désir et de plaisirs et plongent leurs têtes dans leurs entrejambes offerts ; et que se posent leurs bouches et s’embrassent la vulve à pleine bouche, tirant leurs intimités par le bout de leurs lèvres, des frissons de plaisir qui parcourent leurs corps.
Une fois, j’ai même surpris deux de mes domestiques et deux de mes servantes, non pas, comme vous l’imaginez par paire hommes et femmes, mais le bon Jehan déculant le bon Guilhaume, qui saillait la bonne Marguerite, qui se faisait en même temps trousser par la bonne Jeanne.
Ils étaient, comment vous les décrire.
Marguerite était à cheval sur le visage de Jeanne, Guilhaume était derrière et butinait Marguerite et enfin Jehan déculait le Guilhaume, ils étaient en fait un forme de L
Pardon ?
Si elles aiment partager leurs plaisirs avec mes invités ?
Cela va sans dire, leur lubricité les pousse souvent dans les chambres de mes hôtes, femmes et hommes savent d’ailleurs apprécier leurs savantes pratiques, au point que Madame du C, messires le duc de V, le marquis de la F et même l’abbé de C aiment à venir en mon château, gouter tant à sa table, à ses vins qu’à ses plaisirs lubriques.
Vous voulez gouter à ces saphiques plaisirs ?
Mais rien n’est plus simple, très chère amie, il vous suffit d’aller le soir dans leurs appartements, sous les toits du château et vous pourrez alors profiter pleinement de leurs besognes.
Voilà, très chère amie, j’ose escompter que votre long séjour en ma demeure saura vous être des plus agréables et que tout un chacun fera tout pour vous offrir pleine satisfaction.
Il est vrai que lors de nos longues promenades dans le parc, je sentis un grand désir chez vous devant les statues gréco romaines, mais aussi devant mes peintures de François Boucher que cela soit ses aventures amoureuses et la douceur rose de la peau du corps de la femme.et je devinasse votre envie d’avoir un male pour amant pouvant vous posséder plusieurs fois une nuit durant.
Je ne puis résister à l‘envie de combler votre attente, vous, qui êtes si jeune et ferai tout mon possible pour calmer votre jeune ardeur.
Je le sais, fort bien aussi, puisque durant le dîner vous me parlâtes du château et des de cette aile que vous n’aviez point visitée.
Je vous ferais visite de ce lieu étrange et de son salon et de ses peinture des fêtes galantes qui expriment la douceur de vivre, la légèreté des choses et la beauté de notre temps qui passe..
Ce que je puis vous en dire, c’est que les statues antiques placées dans le parc sont la lisière du décor de ce lieu de plaisir, il est vrai habituellement réservé à des fêtes moins mondaines que celles que vous avez connues depuis votre arrivée en ces lieux.
Je sais aussi fort bien, qu’une fois que vous aurez admiré cette aile, vous succomberez aux charmes qui y habitent et que vous voudrez connaitre encore et prendrez plaisirs à les gouter en fin connaisseuse et devenir la châtelaine de ces lieux.
Vous voulez savoir ce que vous allez pourvoir admirer en ce lieu ?
Nous traverserons tous les deux le château jusqu’à cette porte immense fermée.
Elle s’ouvrira, nous rentrerons et laisseront cette porte derrière nous se refermer.
Il nous faudra percer la pénombre et l’obscurité avec des chandeliers et un grand silence régnera, nous avancerons et vous pourrez alors constater par vous-même ce salon et pourrez trouver sur votre droite, quelques une de mes plus belles œuvres, de Watteau et de Boucher.
Sur votre gauche, ma bibliothèque, composé des livres de Choderlos de Laclos, Dorat, Jolyot de Crébillon ou encore tous les tomes des Aphrodites, d’Andréa de Nerciat.
Vous pourrez aussi voir dans le coin, au fond, une de ces maisons de poupées, de celles qui ne sont guère réservées aux pucelettes, il vous suffira d’appuyer au bon endroit pour voir cette merveille de mécanique se mettre en branle et voir la lubricité des maitres de maison.
Une fois que vous vous serez imprégnées des merveilles de ce salon, il est fort à parier que vous viendrez dans mes bras vous refugier.
Sachez que dans l’autre coin de la grande salle, se trouve un charmant petit canapé sur lequel vous pourrez vous remettre de vos émotions.
Vous serez alors captive car votre désir et votre excitation seront à leur paroxysme.
De mes mains je baisserai votre décolleté afin de libérer votre opulente poitrine. Votre poitrine m’apparaitra alors et sans aucun préliminaire je me rendrai en bouche pour alléger votre état.
Ensuite ?
Je vous débarrasserai de votre robe et de tout ce que vous portez dessous, pour que vous puissiez mieux respirer, puis pour calmer cette si désagréables démangeaison, je ferai coulisser ma savante main sur votre charnelle féminité.
Serait-ce là le seul traitement que je vous réserverais ?
Assurément, non, car vous aurez alors compris que le piège sur vous s’est refermé et qu’enfin un gentilhomme pourra assouvir tous vos fantasmes.
Que vous ferai-je pour ce faire ?
Mes mouvements manuels seront alors rejoints de ma bouche et de ma langue visant à accélérer la venue de votre extase et sachez, que vous ne tiendrez point longtemps, avant que ce désir inconnu ne vous parcourt, celui de voir ma dureté masculine de fort près.
Vous pensez que vous n’aurez point la force de résister ?
Assurément, non, vous voudrez, comme il se doit toucher, puis gouter à ce vit à vous offert.
Vous sentirez alors mon propre plaisir, mais vous retournerai, comme il se doit la politesse.
Je sais quelles pratiques vous feront connaitre ce paradis promis par les hommes d’église.
Quels seront nos procédés ?
Je suivrai votre si charmant petit triangle de poils blond, telles ces directions qui indiquent le chemin du domaine.
Ensuite ?
Je lécherai chaque coin et recoin de votre anatomie intime, ma langue s’occupera de votre bouton d’or, mes doigts sauront aussi contribuer à votre mélodie de jouissance, puissante et salvatrice.
Ma tête viendra se nicher entre vos cuisses, lèchera vos grande lèvres, je jouerai de votre vulve comme je joue du clavecin.
Ma langue saura se frayer passage en votre antre et mes lèvres tèteront votre bouton déjà fort dressé, ma langue alors, en vous tournera, tel un jeune chiot, vous lapera.
En vous elle continuera de glisser, le long de votre vulve, mes agiles doigts sauront se glisser doucement vers l’entrée de votre lieu sacré, vous pénètreront avec une infinie douceur tandis que ma langue aura repris son amusement avec votre con.
Mes mouvements, sauront se faire plus rapides et mon autre main se glissera avec malice entre vos fesses et jouera avec votre bas fond.
Je gagnerai en rapidité des mouvements de mes doigts et de ma langue et qui se feront des plus précis.
Votre petit cul s’ouvrira alors et votre corps, tel l’arc de Diane se tendra.
Je poursuivrai ma besogne tant que je ne vous aurai point senti venir, car de votre élixir, je veux me délecter.
Je vous ferai connaitre l’extase en un cri, car je vous sais sublime et succulente lorsque vous prenez du plaisir.
Et vous ?
Vous serez concentrée sur mon vit pleine de désir.
Je sais que mon ouvrage vous fera d’ailleurs le regarder comme un loup regarde un brebis, ma tige bandée.
Je sais aussi que vous rendrez ainsi grâce de mon hospitalité.
Par votre bouche offerte, je sais que j’admirerai la plus belle lumière lorsque vos lèvres se refermeront sur cette dureté de roche.
La fierté vous habitera quand de cette bouche vous avalerez avec plaisir suite à mes douceurs déjà prodiguées, mon chibre qui tant vous désire.
Je serai bien sur votre précepteur, je poserai ma main sur votre charmante tête et vous guiderai dans un premier temps, pour que vous puissiez me butiner toute à votre aise, comme une demoiselle fort bien éduquée au plaisir prodiguer.
Ensuite, dans cette position nous accueilleront notre soupir comme la récompense de nos douceurs, qui ne sont que promesse d'abandon.
Bien sûr, ensuite je vous laisserai faire selon votre guise, comme vous me laisserez faire.
Vous saurez alors user de votre bouche, de votre langue et de vos mains tournoyant sur mon mat, le faisant palpiter, tandis que ma bouche poursuivra son œuvre sur votre sexe turgescent.
Je sais aussi, que votre bouche finira par danser sur ma colonne, virevoltera comme un papillon, vous le sentirez à mon anatomie qui se tend et mes mains qui se feront plus pressantes, sur votre crâne, vos épaules, vos bras.
Qu’adviendra-t-il ensuite ?
Nous allons tout, l’un à l’autre nous offrir, nous régalant de notre plaisir, moi m’abreuvant de vous et vous me dévorant jusqu’au fin fond de votre gorge, nous gorgeant dans ces libérateurs spasmes qui nous envahiront de douceur.
Et après ?
Nous profiterons de l’instant pour sentir la moindre palpitation de notre jouissance et nous nous nourrirons du bonheur d'être une femme et un homme amants et aimants.
Bien sûr, nos lèvres seront gonflées comme après avoir mangé de ces piments du Béarn, mais nos corps seront alors détendus comme ces poupées de votre enfance.
Que sera la suite de ces réjouissances ?
Et bien vous vous sacrifierez sur l’autel pour le grand rite sexuel, je vous posséderai dans toutes sortes de positions, toutes plus lubriques les unes que les autres.
Mais vous m'avouerez préférer que je vous prenne comme le font les lapins en me tournant le dos.
Non pas que vous me dénigrerez, mais vous aimerez que je vous possédasse ainsi profondément.
Ensuite, vous voudrez connaitre les plaisirs les plus interdits, ceux que la morale réprouve, je m’exécuterai alors et vous déculerai comme il se doit.
Vous gouterez alors aux plaisirs qu’une bonne déculade déclenche.
Ils sont violents, bestiaux que leurs jouissances sont inoubliables, que vous marquerez chacune d’entre elles d'une pierre blanche, tan la pratique vous fait jouir par surprise, intensément.
Bien sûr, la première vous sera au début fort désagréable, mais ma pratique vous ouvrira avec facilité.
Nous produisons, d’ailleurs, dans la région, un beurre mauvais pour la gastronomie, mais excellent pour la chose.
Je vous enduirai de ce beurre, comme le font les charretiers de leurs essieux.
Ensuite, doucement, après plusieurs entrées et sorties, mon vit pénétrera votre adorable petit cul.
Il est fort sûr que vous aurez et tenterez de vous libérer mais quelques claques sur bien senties sur vos fesses calmeront vos envies de fuite.
Enfin, ma tour de Babel glissera en vous vous élargira, assurément et facilitera ses glissements dans votre bas fond.
Le mouvement se fera ensuite plus aisément et même sans douleur pour vous, vous faisant connaitre cette extase qui vous laissera totalement sous les charme de nouvelles sensations si agréables.
Chacun de mes coups de reins, chaque enfoncement de mon vit vous, vous donnera autant de plaisir que mes frottements sur votre intérieur.
Puis vous prendrez conscience qu’il s’agit là pour vous de votre dépucelage, votre première saillie sodomite.
Une fois que je me serai vidé dans vos entrailles, je vous proposerais de réitérer, vous opinerez par l’affirmative.
Je vous soulèverai et vous coucherais sur le dos, me frottant à vos fesses et sur le sillon de votre anus.
Ma pilosité vous chatouillera, amplifiant vos désirs.
Je vous caresserai les hanches et toujours avec la même passion, je m’enfoncerais dans la chaleur et la douceur de votre entre fesses et cette brutale pénétration vous donnera la plus belle jouissance, celle qui vous fera hurler votre plaisir.
Vous ressentirez pleinement mon organe mâle dans cette déculade puissante !
En effet, cette seconde sodomie sera, pour vous, j’en suis fort sûr, beaucoup plus agréable que la première.
Que dites-vous ?
Si mes servantes ont connues tel traitement ?
Assurément !
Pas toutes, certes, certaines de par leur jeune âge ne sont point dans mes attirances.
Mais j’aime que mes soubrettes soient comme moi, aimant la vie, ainsi la pratique leurs jeux lesbiens est ici fort courante.
J’aime d’ailleurs par fois surprendre dans leurs ébats, ces charmantes créatures qui s’aiment en amantes.
Lorsqu’elles posent leurs langues sur leurs petits boutons, tout gonflé de désir.
Elles se caressent lentement avec grâces, passant leurs doigts entre leurs intimités, se convulsant de désir et de plaisirs et plongent leurs têtes dans leurs entrejambes offerts ; et que se posent leurs bouches et s’embrassent la vulve à pleine bouche, tirant leurs intimités par le bout de leurs lèvres, des frissons de plaisir qui parcourent leurs corps.
Une fois, j’ai même surpris deux de mes domestiques et deux de mes servantes, non pas, comme vous l’imaginez par paire hommes et femmes, mais le bon Jehan déculant le bon Guilhaume, qui saillait la bonne Marguerite, qui se faisait en même temps trousser par la bonne Jeanne.
Ils étaient, comment vous les décrire.
Marguerite était à cheval sur le visage de Jeanne, Guilhaume était derrière et butinait Marguerite et enfin Jehan déculait le Guilhaume, ils étaient en fait un forme de L
Pardon ?
Si elles aiment partager leurs plaisirs avec mes invités ?
Cela va sans dire, leur lubricité les pousse souvent dans les chambres de mes hôtes, femmes et hommes savent d’ailleurs apprécier leurs savantes pratiques, au point que Madame du C, messires le duc de V, le marquis de la F et même l’abbé de C aiment à venir en mon château, gouter tant à sa table, à ses vins qu’à ses plaisirs lubriques.
Vous voulez gouter à ces saphiques plaisirs ?
Mais rien n’est plus simple, très chère amie, il vous suffit d’aller le soir dans leurs appartements, sous les toits du château et vous pourrez alors profiter pleinement de leurs besognes.
Voilà, très chère amie, j’ose escompter que votre long séjour en ma demeure saura vous être des plus agréables et que tout un chacun fera tout pour vous offrir pleine satisfaction.
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