LE LIVREUR (1)

- Par l'auteur HDS sixt -
Récit érotique écrit par sixt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE LIVREUR (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LE LIVREUR (1)
La livraison en retard

Je m'appelle Grégoire 50 ans, je mesure 1m80 pour 73 kg et je m'occupe d'une pépinière en Charente.

Nous sommes en été, la température est caniculaire c'est pour cela que nous commençons la journée à 6h00 pour la terminer à 13h00 nous permettant ainsi d'éviter le pic de chaleur.

Autant vous dire, que durant cette période la tenue vestimentaire est plutôt légère, short et t-shirt sont de sortis. Pour ma part, il m'arrive fréquemment de ne pas mettre de sous-vêtement sous mon bermuda afin d'être plus à l’aise.

Ce jour-là, après confirmation de notre fournisseur, nous devions recevoir une grosse commande de matériel ,piquets, poterie…..dont nous avions un besoin urgent.
La matinée suivait son cours et mes collègues et moi vaquions à nos occupations mais vers 11h00 toujours pas de livraison .

Voyant la journée se terminer et sachant que mes collègues ne feraient pas d'heures supplémentaires, j'étais de plus en plus inquiet sur la livraison.
Vers midi, j'ai reçu un appel du livreur, et ce qui devait arriver arriva.
Il s'excusait de ne pas pouvoir livrer la marchandise avant la fermeture, me demandant si cela ne me dérangeait pas de l'attendre étant son dernier client et qu'il souhaitait rentrer chez lui ce soir et ne pas passer la nuit sur site. Étant le responsable j'allais devoir assumer seul le déchargement du camion
Évidemment j'acceptais, voyant mon après-midi détente s'envoler.

À l'heure dite le semi-remorque arrive.
Je vais à sa rencontre pour lui indiquer la zone de déchargement constant par la même occasion, avoir affaire à un chauffeur, avec un sourire ravageur à vous faire chavirer, se confondant en excuses pour son retard en me remerciant de l'avoir attendu .

Lorsqu'il ouvrit la portière du camion pour descendre, je découvris un beau mâle d'une cinquantaine d'années,1.75m,trapu,cheveux châtain coupé très courts, le teint mat, et vêtu d'un t-shirt noir ainsi que d'un short de course rouge, échancré sur les cotés, laissant apparaître une belle paire de fesses et une entrejambe non moins serré.

Il me sert la main d'une poignée ferme en me disant "aller au travail" ce par quoi je lui répondis par l'affirmative lui indiquant que je n'avais pas de chariot élévateur pour décharger les 100 piquets et qu'il allait donc falloir tout brasser à la main .

Il ouvrit les portes de sa remorque, laissant sortir une fournaise de chaleur, Il déplia et monta sur son hayon afin d'accéder et de décharger les premiers cartons de poterie dans la remorque.

"Nous n'allons pas avoir froid" sur ces paroles il enleva son t-shirt, me laissant voir la beauté d'un torse puissant recouvert d'une fine toison brune partant du pubis jusqu’au torse.
Pour moi qui était en contrebas, la vision de ce beau mec commença à mettre en émoi mon cerveau et mon regard ne pouvait se détacher de ce corps en mouvement, qui sous les 33 degrés de cette journée laisse déjà perlé quelques gouttes de sueur.

Nous discutions tout en déchargeant les cartons, il me dit son empressement de rentrer à la maison pour retrouver sa femme, car cela fait 4 jours qu'il est sur la route et qu'il avait besoin d'un peu de tendresse, enfin vous avez compris me dit-il en souriant.

Je lui répondit par un signe de tête tout en portant machinalement ma main sur mon sexe .
Il me décocha un beau sourire, tout en continuant à me passer les cartons.
Et moi je continuais de le mater le plus discrètement possible.
Il s'accroupissait pour saisir les cartons, faisant tendre le tissu de son short à son maximum, montrant son cul magnifiquement bombé et cette entrejambe écartées laissant apparaître son intimité, contenu dans le slip filet blanc.

Arrivé au dernier carton il me dit "Auriez-vous de l'eau afin que je puisse me rafraîchir", Oui vous avez raison, je vais vous montrer la fontaine et les sanitaires et j'en profiterai pour aller pisser le temps que vous vous désaltérez .

Il me suit, je lui montre la fontaine à eau et je me dirige vers les sanitaires .
Je me lave les mains et m'installe devant un urinoir, je déboutonne mon bermuda pour le faire descendre et libérer mon sexe en semi érection, et n'ayant pas de slip, cela à pour effet de laisser apparaître ma croupe, mais pour être joueur je décide de le descendre à mi fesse.

Je l'entends arriver et se positionner devant le lavabo. Sentant son regard sur moi, est-il surpris de voir mon fessier ou mon sexe en semi-érection, je décidai de faire durer le plaisir en ralentissant ma miction. Il vint se positionner devant l'autre urinoir.
L'endroit est en très exigu, nous étions vraiment côte à côte, il baissa son short et mon regard accompagna le mouvement de ses mains.
Me laissant voir une belle paire de couilles ainsi qu’un membre bien épais, duquel sortit un jet puissant.
Nos regards se croisent furtivement.
Nos odeurs de transpiration embaume l’espace et commence à me faire bander.
Je sens son odeur de mâle et ne peux détacher mon regard de son sexe, ce qui apparemment ne l'indispose pas puisqu'il prie bien son temps pour faire plusieurs va-et-vient, décalottant bien son gland pour mieux l’exposer à mon regard.

Je sortis des sanitaires le laissant derrière moi, et bien conscient que durant ce bref moment nous avions l’un et l’autre franchi un pas.

De retour au camion la température a encore grimpé, il me dit "vous ne devez pas avoir froid avec votre t-shirt, vous devriez l'enlever".
Je lui dis simplement que c'était une question de respect, il me répondit avec son sourire "pas de ça entre nous, nous sommes que tous les deux et entre mecs et 100 piquets à décharger".
Apparemment monsieur veut continuer à jouer, à mon plus grand bonheur, après avoir vu mon sexe et mon fessier il veut voir mon torse.
Cédant à son sourire et surtout avec plaisir, je fis tomber à mon tour, le t-shirt.
"Et bien voilà, c'est plus agréable de se mettre à l'aise" me dit-il tout en remontant dans la remorque.

Nous nous sommes donc attelés à la tâche lui du haut de sa remorque en train de me passer les piquets et moi en bas en train de les ranger dans une case.
Lorsqu'il me présenta le premier piquet quelle ne fut pas ma surprise, mon livreur est décidément très joueur et chaud.
Me dominant du haut du hayon, je ne peux que la voir, elle est là, épaisse et tombante, bien calée entre ses couilles, frottant le tissu, sa bite. Le salaud a sorti son matériel du slip intérieur, faisant mine de rien.

Évidemment ayant moins de distance à parcourir, il allait plus vite que moi et posait les piquets le long du hayon "je descendrai tout à l'heure t'aider à les mettre en place".

Hummm voila qu’il me tutoie.
Moi j'étais très bien, j'admirais, cet homme en mouvement, transpirant, sa sueur perlant de plus en plus le long de sa toison, venant inonder la totalité de son short, lui moulant ainsi toute son anatomie.
Je ne pouvais détacher mon regard de ce corps, de cette entrejambe, de ce fessier bombé, dans lequel vient s'insérer son short, offrant à ma vue le beau galbe de son fessier.

Ce qui eut pour effet de décupler mon érection sous mon bermuda, que le frottement du tissu sur mon gland venait entretenir.

J'étais maintenant complètement à nu, il ne pouvait que le voir, ma queue raidit par l’excitation, par cette atmosphère de sexe, ne demander qu’a sortir pour venir se blottir contre cette autre bite, ou aller glisser au plus profond de lui.

Ma tête commença à tourner, est ce la chaleur ou bien l'ivresse de mon esprit à la vue de cet homme, mes yeux se ferment et je sens une main qui vient se poser sur mon épaule.
Après quelques secondes j'ouvre à nouveau les yeux, il est là devant moi, accroupi sur le hayon, me maintenant debout et offrant à ma vue sa bite, complètement sorti du short mais toujours passive.
”Tu m’a fait peur, je t’ai vu partir “ me dit-il.
ça va mieux c’est sûrement dû à la chaleur lui répondis-je en lui souriant.
Malgré ce que je venais de voir, cela eut pour effet de faire redescendre la pression et de remettre ma queue en place.
Il se releva toujours sans montrer ses émotions et me tendit les derniers piquets puis sauta du hayon et vint se placer à côté de moi “je vais t'aider, comme cela nous aurons fini plus vite”.

Encore une fois il était là, près de moi, je pouvais sentir son odeur et ressentir son corps puisqu'il n'hésitait pas à jouer à nouveau avec moi. Se plaçant parfois devant moi effleurant avec son cul mon sexe .
Mon esprit à nouveau en émoi, la situation est de plus en plus torride, et je décide de laisser faire, ramenant mon érection à son maximum.
Maintenant nous nous effleurons régulièrement, je lui touche les doigts lorsqu'il me passe les piquets, lui venant toujours stimuler mon érection par quelques mouvements de bassin bien placés.
Mais je vois bientôt que les barrières de sa passivité tombent, en apercevant son gland qui dépasse du short, laissant entrevoir une demi-érection.

À ce moment-là je ne désire qu'une seule chose, la saisir, la mettre dans ma bouche, mais je n'en fais rien

Voilà nous avons terminé la tension retombe un peu, le temps pour moi de ranger les derniers piquets et pour lui de fermer sa remorque.
Il se dirige vers sa cabine et me fit signe de le suivre “il faut que je te donne le bon de livraison et que et que tu me le signe la lettre de transport”.
Il grimpe dans sa cabine, s'assoit tout en écartant les cuisses pour saisir la feuille de l’autre côté et me la tend, dévoilant à ma vue l’extrémité de sa bite, sortie du short, qui laisse échapper le liquide séminale.
Faisant mine de rien, je signe la lettre de transport et lui tend en venant positionner le dos de ma main sur son gland, récupérant ainsi le précieux liquide. Souriant, il se retourne pour récupérer sa pochette avant de saisir la feuille laissant la situation durer quelques secondes, avant de me tendre le bon de livraison.
J’attrape le bon tout en portant le dos de ma main à ma bouche, pour venir le sentir et le lécher. Toujours souriant du haut de sa cabine, il me regarde faire, laissant apercevoir un début d’érection par quelques soubresauts de son sexe.

Je n’en pouvais plus de cette atmosphère électrique, j’avais le sexe en feu et besoin de décharger toute cette tension.

“dis-moi tout à l'heure j'ai vu au sanitaire que vous aviez une douche est-il possible de l'utiliser afin de ne pas partir couvert de sueur”.

Sans aucun problème lui dis-je, j'ai même tout le nécessaire si besoin. “Merci j’ai ce qu'il faut mais tu devrais d'ailleurs m'accompagner pour en prendre une aussi car tu es couvert de transpiration”.

C'est à ce moment-là qu'il descendit et choisit de passer son doigt sur mon téton gauche me montrant la sueur à son extrémité, effectivement lui dis-je cela s'avère plus que nécessaire.
À toi l'honneur lui dit je “non vas-y le temps pour moi de prendre dans le camion un nouveau short et quelques affaires de toilette” .

A suivre

Les avis des lecteurs

Wouah ! C’est chaud. J’ai bandé tout du long de ma lecture. Vite la suite !

Intéressant ... Vivement la suite ...



Texte coquin : LE LIVREUR (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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