Le livreur de journaux
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le livreur de journaux
Souvent, en partant au travail, je croisais un vieux monsieur et sa mobylette, qui livrait les journaux dans les boîtes aux lettres de la rue.
Le père Louis comme il se fait appeler, est un vieux monsieur en retraite qui fait ça pour arrondir et agrémenter sa retraite.
On se saluait, il avait toujours un petit mot gentil, moqueur.
-faut aller bosser la jeunesse! faut payer la retraite des vieux!
et se moquait.
-alors on lit pas le journal ? on sait pas lire à ton âge ?
Tout était dit gentiment, mais il avait l'air coquin le père Louis.
Mais il a disparu de la circulation et, ce n'est qu'un mois après que je me suis fait la réflexion, confirmée par un samedi matin où je m'étais levé plus tôt pour aller aux champignons. Eh oui les champignons de Sologne aiment bien être cueillis de bonne heure!
J'ai aperçu un jeune mec qui livrait les journaux.
Mon œil pas bien réveillé, mais qui s'allume quand il voit un beau mec m'a fait regarder ce mec qui cherchait les noms sur les boites aux lettres.
-salut! vous cherchez quelqu'un ?
-faut que je m'habitue dit le mec, cela ne fait qu'une semaine que je fais ça.
-il est où le père Louis ?
-il a pris définitivement sa retraite, sa mob l'a laissé tombé et il n'a pas voulu la faire réparer.
-oh il mérite bien de se reposer.
-oui mais moi je ne connais pas sa tournée alors il faut que je cherche, vous ne prenez pas le journal ? j'en ai pas mis dans votre boîte depuis une semaine.
-non le père Louis me disait que je ne sais pas lire dis je en riant.
-ça va lui manquer de pouvoir embêter les gens! dit il en riant.
C'était notre premier contact, et j'avais pu observer ce beau mec.
Un peu plus jeune que moi, châtain foncé, cheveux courts, une petite moustache et une barbe bien coupée, des yeux clairs lui illuminaient le visage, une bouche attirante et un beau sourire!
Assis sur sur sa mob il était vêtu de vêtements amples. Je n'avais pu bien voir son corps. Le matin lorsque je partais au boulot, je matais dans la rue pour essayer de voir le livreur, mais il devait passer plus tôt et j'ai fini par oublier mon livreur.
Le samedi j'ai l'habitude d'aller au marché et de passer boire un coup avec mon pote Alain qui tient un bistrot. C'est un mec que je connais depuis l'enfance, pédé comme moi et son boulot lui permet de faire plein de rencontres surtout avec l'Ecole Technique qui est pas loin beaucoup de jeunes viennent dans son bistrot et il n'a qu'à faire son choix!
Il était sur sa terrasse, discutant avec un client quand je suis arrivé.
-tiens! le plus beau mec de la ville après moi bien sûr! dit il en se levant.
On se fait la bise comme d'hab., on papote, il me prend par l'épaule et m'entraîne dans le bar jusqu'au fond, là où je me pose habituellement. Il y avait quelques personnes accoudées au comptoir.
-y'a un bail que je t'avais vu voyou! t'as trouvé un coquin et t'oublies ton pote ?
-même pas! dis je mais je ne suis pas un pilier de bar moi monsieur.
Il me sert l'apéro, s'en sert un, on trinque.
-aux petits culs à venir dit il en riant.
-t'es en manque ? j'ai demandé.
-oh la la non pas vraiment, c'est un bon cru cette année la 1ère année de BTS mon pote! y'a du pédé tu peux pas savoir!
Je rigole car je sais qu'il faut qu'il exagère tout le temps. Il devait être marseillais dans une vie antérieure.
Il sert des jeunes au bar, va en servir dans la salle. Je regarde les personnes présentes. C'est vrai que c'est jeune, bon tous majeurs, mais y'a beaucoup de beaux minets. Tu parles qu'il est aux anges le Alain et quand tu le vois œuvrer, il est à l'aise au milieu de cette jeunesse.
C'est marrant de voir comment tous les jeunes le respectent, il n'a qu'une dizaine d'années de plus qu'eux pourtant, mais c'est bien lui le chef!
-tiens Nathan! mais c'est la journée des revenants!
Je tourne la tête pour regarder Alain qui prend dans ses bras le soit disant Nathan et l'embrasse, comme il le fait avec moi et quand je vois la tête du Nathan se tourner vers moi je reconnais le livreur de journaux, tout sourire.
Nos regards se croisent, et on est aussi stupéfait l'un que l'autre. Bien sûr Alain se rend compte de ce qui se produit.
-Fabrice, tu connais Nathan ? me dites pas tous les deux… que… vous…
Et avec ses doigts il forme un rond et fait entrer son index dedans en riant.
Nathan devient rouge comme une écrevisse et moi je dois être pareil vu la chaleur qui me monte au visage.
Content de sa répartie, Alain éclate de rire en voyant nos têtes.
-eh les mecs! si c'est le cas c'est pas grave j'suis pas jaloux!
-mais t'as fini de raconter des conneries! Nathan dont je viens de découvrir son prénom est le livreur de journaux dans ma rue et on s'est vu une fois.
-oui c'est ça, te connaissant j'vais te croire! tu l'as pas dragué ?
-non dit Nathan il ne m'a pas dragué et moi non plus, il est pas comme toi ce garçon dit Nathan qui a repris sa couleur normale.
-parce que tu crois que je vais vous croire dit Alain, Fabrice ne peut pas voir un beau mec sans lui faire du rentre dedans et toi comme je sais que t'es un mec euh disons… pas facile, mais qui aime bien passer du bon temps!
-ça c'est la jalousie qui le fait parler, depuis le temps qu'il me drague et que je lui résiste dit Nathan en me faisant un clin d'œil.
Alain retourne derrière son comptoir en disant.
-je l'aurais un jour, je l'aurais!
Et on rigole tous les trois, mais Alain et sa serveuse ont du boulot c'est l'heure de l'apéro et il nous laisse tous les deux.
Nathan s'assoit sur le tabouret à côté de moi, tout sourire. Son genou se colle au mien.
-ce qu'il y a de bien avec Alain, c'est qu'au moins on sait à quoi s'en tenir tous les deux dit Nathan en riant, tu le connais depuis longtemps ?
-j'ai le malheur de le connaitre depuis tout petit on a été à l'école ensemble et, si tu lui poses la question il te dira qu'on est né le même jour au même endroit.
-ah vous êtes du même âge alors.
-non même pas, car c'était pas la même année, j'ai deux ans de moins que lui… c'est un vieux le Alain! et toi tu le connais comment ?
-y'a deux ans, quand je suis venu au bar je l'ai trouvé sympa et je suis revenu.
-alors il t'a dragué ?
-ça oui.
Il n'a pas l'air de vouloir en dire plus, je n'insiste pas et on papote de choses et d'autres.
On reparle du père Louis, de son travail, qu'il faut qu'il se lève tôt qu'il ne fera pas ça très longtemps, et l'heure avance, c'est l'heure de manger. Je lui fais remarquer.
-tu manges où ?
-je suis chez mes parents.
-sinon tu peux venir à la maison, et on se fait un petit quelque chose.
-mais tu me dragues toi aussi ?
-j'ai pas dit qu'on mangerait au lit, tu sais j'ai une table et des chaises.
Il rigole et ne dit pas non!
C'est comme ça qu'en ce samedi midi, j'ai eu mon livreur de journaux dans ma cuisine, charmant, souriant, parlant facilement. Il m'a aidé et comme dirait ma mère quand je suis avec elle dans sa cuisine, "toujours dans mes jambes", mais je ne m'en plaignais pas. J'ai eu l'occasion de me pencher sur lui, respirer son odeur de beau mec. Son sourire m'envahissait. On a mangé comme des ogres. Il m'a aidé à débarrasser, faire la vaisselle et on s'est installé au salon pour boire le café.
Je ne sais pas comment il était installé dans le canapé, mais son pantalon remontait et l'on voyait bien son entrejambe gonfler, et une belle bosse était dessinée. Il a eu l'air gêné quand il a vu que je m'en étais aperçu.
Je me suis assis à côté de lui, on a bu le café en silence.
Je ne savais plus comment m'y prendre avec ce mec, il m'intimidait, j'en revenais pas.
Il a posé sa tasse sur la table, se reculant dans le divan, son bras sur le dossier. Il m'a fixé, a baissé la tête, l'a relevé.
Je n'avais jamais eu tant de silence chez moi.
J'ai posé ma tasse, je me suis penché lentement sur lui, collant ma tête sur son épaule, mes lèvres près de son oreille.
-tu me fais envie Nathan dis je tout bas.
Il se tourne vers moi en penchant sa tête..
-ça tombe bien Fabrice, moi aussi.
J'ai fermé les yeux quand j'ai senti sa barbe venir caresser ma joue, c'était doux, chaud. Il se frottait à moi, j'entendais son souffle à mon oreille et se sont ses lèvres qui se sont posées sur ma joue, déposant un bisou qui a glissé vers ma bouche. Moustache et barbe étaient douces et les lèvres chaudes quand elles se sont posées sur les miennes. Sa main s'est posée sur ma joue, me tenant, ses lèvres se sont écrasées sur les miennes, et sa langue a fait son apparition, forçant mes lèvres pour chercher sa nouvelle copine.
Bataille de langues, déversement de salive, aspirations, sucions, gémissements.
De temps en temps il se retirait pour mettre sa tête dans mon cou et me serrer contre lui et revenait pour une nouvelle bagarre.
-j'aime ta langue beau mec m'a t-il dit en me fixant avec ses yeux marrons clairs, et son sourire étincelant.
Il tendait sa joue sous mes caresses et, quand j'ai descendu ma main sur son dos, sentir la chaleur, passer mes mains sous le tee-shirt, sentir sa peau douce, remonter les mains, enlever le tee-shirt et avoir ce beau mec torse nu, l'observer. Ses tétons pointaient, j'ai donné quelques coups de langue rien que pour l'entendre gémir. Il a commencé à me déshabiller pour qu'on soit à égalité et sentir ses mains me caresser, ses lèvres sur mes tétons.
-on pourrait faire la sieste dans mon lit ? j'ai demandé à son oreille.
-oui mais tu seras doux avec moi ? j'aime la douceur, les caresses et j'aime aussi être baisé.
-c'est bien de faire le programme avant dis je en riant, et baiser ?
-si tu y tiens, mais je préfère nettement le contraire.
On a fini de se déshabiller dans le salon et on est allé s'allonger sur le lit.
Une vraie pieuvre ce Nathan. J'avais l'impression qu'il avait encore plus de mains. J'ai aimé ses caresses quand il a pris ma queue en main, la décalottant, l'observant, donnant des coups de langue et l'avalant comme un gourmand! et il sait piper le mec! bouffer les couilles, lécher mon petit cul qui adore ça et d'un seul coup il s'est offert.
Il est venu à quatre pattes au dessus de moi, me présentant son cul, l'ouvrant pour que je découvre son anus palpitant. Au premier coup de langue j'ai senti qu'il avalait ma queue et plus je léchais son trou plus il me suçait.
Son petit cul s'ouvrait merveilleusement bien et ma langue pouvait caresser la muqueuse ce qui le faisait gémir. Quand je l'ai doigté, voir mon doigt entrer, élargir le conduit, le caresser, sentir la chaleur et la douceur, je bandais comme un fou. Il avait arrêté de me sucer et me bouffait les couilles.
Deux doigts sont entrés facilement et le petit trou restait ouvert: un beau "O" majuscule se dessinait.
Il se connaissait bien Nathan, il s'est relevé au dessus de moi, il m'enjambait toujours, mais face à moi et il s'est accroupi.
-je vais te baiser, laisse moi faire dit il avec un regard coquin.
Alors je l'ai laissé faire.
Il a pris ma queue en main, dirigeant mon gland décalotté sur son anus ouvert, passant le gland qui coulait dessus, le positionne, redresse le torse, lâche ma queue et s'assoit dessus.
J'ai juste eu le temps de me rendre compte que ma queue s'enfonçait en lui qu'il était assis sur mon pubis ma queue au fond de lui. Il grimaçait en me regardant. Il m'a tendu les bras.
-prend moi aux coudes Fabrice.
J'ai fait ce qu'il a demandé et il s'est baisé sur ma queue raide et dure. Il montait et descendait lentement au début, mais il a accéléré et son conduit la serrait fortement. Je sentais le prépuce qui bougeait, c'était chaud, c'était doux et lui souriait tout le temps en faisant son sport!
Et j'ai senti le plaisir arriver et, quand il s'en est rendu compte, il est resté assis sur moi tant que mes giclées l'inondent. Il a lâché mes bras et, gardant ma queue en lui, il s'est branlé en me regardant, m'inondant rapidement de sa sauce chaude. J'en avais partout.
Ma queue est sortie de son petit cul. Il s'est allongé sur moi et a léché tout ce qu'il avait répandu sur moi. Il me le montrait sur sa langue et l'avalait en me faisant un clin d'œil.
Puis il est descendu sur ma queue et l'a léché en lui faisant des bisous et est revenu dans mes bras me faire des bisous.
-j'aime bien me faire baiser comme ça la première fois… après je vais te laisser faire comme t'en as envie.
Il m'embrasse tendrement.
-mais on peut faire une petite sieste pour le 2ème round dit il.
-oui le temps que ça recharge quand même.
Il rigole.
-alors tu me baiseras comme le mâle qui baise sa femelle! bien dur!
-je croyais que tu aimais la douceur.
-oui la première fois comme ça, je sais que le mec n'est pas une brute qu'il est capable de faire attention à moi.
-donc j'ai une bonne note pour le premier round ?
-oui dit il en riant.
Il a posé sa tête près de la mienne pour pouvoir me faire des bisous. Le silence s'est fait, j'avais un bisou régulier.
-baise moi maintenant Fabrice, baise moi comme une salope. J'aime tellement ça en fait de me faire trouer le cul par une grosse queue et la tienne tient bien dans mon petit cul.
Sa main l'avait pris et entretenait la raideur.
-je sens que t'es prêt!
Il s'est mis à quatre pattes, le cul bien relevé, la tête dans les draps, ouvrant son cul.
L'appel du cul! moi je ne sais pas résister.
Son petit trou était encore ouvert, j'allais me pencher pour le lécher.
-non troue moi direct! ça va s'ouvrir tout seul!
Je crois que ma queue avait compris, la mouille a coulé en abondance quand j'ai déposé mon gland à l'entrée. J'ai voulu saisir Nathan aux hanches mais son cul commençait à reculer. J'ai mis des claques sur les fesses.
-bouge pas! tu veux jouer la salope ? je vais te traiter en salope.
Il s'est figé. J'ai vu son trou qui s'ouvrait encore plus, il poussait en prévision!
Je l'ai saisi aux hanches et j'ai forcé son cul, forcé est un grand mot! ça entrait facilement alors j'ai donné un grand coup de reins et ma queue a glissé entièrement d'un seul coup. Il a hurlé le garçon en se redressant mais j'ai appuyé sur son dos pour le laisser à quatre pattes et j'ai commencé mes va-et-vient vitesse grand V de suite. Il a gueulé, crié, couiné mais il disait aussi "oh oui! encore!"
Je l'ai fait changer de positions plusieurs fois, sans sortir ma queue qui se trouvait bien au chaud, l'ouvrant encore plus, le forant encore plus profond. Il gueulait toujours, criait mais s'offrait constamment.
J'ai fait en sorte qu'il soit sur le dos pour que je jouisse, ses cuisses collées sur son torse. Je le bourrinais bien en profondeur, on geignait tous les deux.
Je voyais sa belle queue complètement décalottée couler d'une mouille claire et abondante.
Et, au dernier coup de reins, restant bien au fond, son conduit serrait encore plus fort ma queue prisonnière. Les giclées se sont succédées c'est moi qui criait. Cela faisait bien trois au quatre giclées que j'expédiais quand je l'ai entendu crier. J'ai ouvert les yeux pour le regarder et voir qu'il avait joui sur son torse. La première giclée était arrivée jusque sur son nez, sa moustache, ses lèvres, son menton.
En ouvrant encore plus ses cuisses, je me suis penché sur lui pour le lécher, un coup de langue sur son nez, sa moustache, ses lèvres. Il ouvre sa bouche et m'attrape la langue et je continue de le nettoyer.
Il m'attire à lui, m'embrasse.
-reste comme ça le plus longtemps possible, j'adore avoir une queue en moi. Ne te moque pas de moi mais des fois je dors avec un gode pour m'habituer.
Je souris.
-voilà pourquoi ton petit cul est si accueillant Nathan!
Il m'attire encore à lui, ses jambes me serrent le corps à m'étouffer, ses bras m'enveloppent, sa langue fonce au fond de ma bouche.
Si lui est bien, moi je suis pas mal!
Quand on s'est retrouvé plus normalement collé l'un à l'autre..
-demain j'ai pas de journaux à distribuer… tu fais quoi cette nuit ?
Le père Louis comme il se fait appeler, est un vieux monsieur en retraite qui fait ça pour arrondir et agrémenter sa retraite.
On se saluait, il avait toujours un petit mot gentil, moqueur.
-faut aller bosser la jeunesse! faut payer la retraite des vieux!
et se moquait.
-alors on lit pas le journal ? on sait pas lire à ton âge ?
Tout était dit gentiment, mais il avait l'air coquin le père Louis.
Mais il a disparu de la circulation et, ce n'est qu'un mois après que je me suis fait la réflexion, confirmée par un samedi matin où je m'étais levé plus tôt pour aller aux champignons. Eh oui les champignons de Sologne aiment bien être cueillis de bonne heure!
J'ai aperçu un jeune mec qui livrait les journaux.
Mon œil pas bien réveillé, mais qui s'allume quand il voit un beau mec m'a fait regarder ce mec qui cherchait les noms sur les boites aux lettres.
-salut! vous cherchez quelqu'un ?
-faut que je m'habitue dit le mec, cela ne fait qu'une semaine que je fais ça.
-il est où le père Louis ?
-il a pris définitivement sa retraite, sa mob l'a laissé tombé et il n'a pas voulu la faire réparer.
-oh il mérite bien de se reposer.
-oui mais moi je ne connais pas sa tournée alors il faut que je cherche, vous ne prenez pas le journal ? j'en ai pas mis dans votre boîte depuis une semaine.
-non le père Louis me disait que je ne sais pas lire dis je en riant.
-ça va lui manquer de pouvoir embêter les gens! dit il en riant.
C'était notre premier contact, et j'avais pu observer ce beau mec.
Un peu plus jeune que moi, châtain foncé, cheveux courts, une petite moustache et une barbe bien coupée, des yeux clairs lui illuminaient le visage, une bouche attirante et un beau sourire!
Assis sur sur sa mob il était vêtu de vêtements amples. Je n'avais pu bien voir son corps. Le matin lorsque je partais au boulot, je matais dans la rue pour essayer de voir le livreur, mais il devait passer plus tôt et j'ai fini par oublier mon livreur.
Le samedi j'ai l'habitude d'aller au marché et de passer boire un coup avec mon pote Alain qui tient un bistrot. C'est un mec que je connais depuis l'enfance, pédé comme moi et son boulot lui permet de faire plein de rencontres surtout avec l'Ecole Technique qui est pas loin beaucoup de jeunes viennent dans son bistrot et il n'a qu'à faire son choix!
Il était sur sa terrasse, discutant avec un client quand je suis arrivé.
-tiens! le plus beau mec de la ville après moi bien sûr! dit il en se levant.
On se fait la bise comme d'hab., on papote, il me prend par l'épaule et m'entraîne dans le bar jusqu'au fond, là où je me pose habituellement. Il y avait quelques personnes accoudées au comptoir.
-y'a un bail que je t'avais vu voyou! t'as trouvé un coquin et t'oublies ton pote ?
-même pas! dis je mais je ne suis pas un pilier de bar moi monsieur.
Il me sert l'apéro, s'en sert un, on trinque.
-aux petits culs à venir dit il en riant.
-t'es en manque ? j'ai demandé.
-oh la la non pas vraiment, c'est un bon cru cette année la 1ère année de BTS mon pote! y'a du pédé tu peux pas savoir!
Je rigole car je sais qu'il faut qu'il exagère tout le temps. Il devait être marseillais dans une vie antérieure.
Il sert des jeunes au bar, va en servir dans la salle. Je regarde les personnes présentes. C'est vrai que c'est jeune, bon tous majeurs, mais y'a beaucoup de beaux minets. Tu parles qu'il est aux anges le Alain et quand tu le vois œuvrer, il est à l'aise au milieu de cette jeunesse.
C'est marrant de voir comment tous les jeunes le respectent, il n'a qu'une dizaine d'années de plus qu'eux pourtant, mais c'est bien lui le chef!
-tiens Nathan! mais c'est la journée des revenants!
Je tourne la tête pour regarder Alain qui prend dans ses bras le soit disant Nathan et l'embrasse, comme il le fait avec moi et quand je vois la tête du Nathan se tourner vers moi je reconnais le livreur de journaux, tout sourire.
Nos regards se croisent, et on est aussi stupéfait l'un que l'autre. Bien sûr Alain se rend compte de ce qui se produit.
-Fabrice, tu connais Nathan ? me dites pas tous les deux… que… vous…
Et avec ses doigts il forme un rond et fait entrer son index dedans en riant.
Nathan devient rouge comme une écrevisse et moi je dois être pareil vu la chaleur qui me monte au visage.
Content de sa répartie, Alain éclate de rire en voyant nos têtes.
-eh les mecs! si c'est le cas c'est pas grave j'suis pas jaloux!
-mais t'as fini de raconter des conneries! Nathan dont je viens de découvrir son prénom est le livreur de journaux dans ma rue et on s'est vu une fois.
-oui c'est ça, te connaissant j'vais te croire! tu l'as pas dragué ?
-non dit Nathan il ne m'a pas dragué et moi non plus, il est pas comme toi ce garçon dit Nathan qui a repris sa couleur normale.
-parce que tu crois que je vais vous croire dit Alain, Fabrice ne peut pas voir un beau mec sans lui faire du rentre dedans et toi comme je sais que t'es un mec euh disons… pas facile, mais qui aime bien passer du bon temps!
-ça c'est la jalousie qui le fait parler, depuis le temps qu'il me drague et que je lui résiste dit Nathan en me faisant un clin d'œil.
Alain retourne derrière son comptoir en disant.
-je l'aurais un jour, je l'aurais!
Et on rigole tous les trois, mais Alain et sa serveuse ont du boulot c'est l'heure de l'apéro et il nous laisse tous les deux.
Nathan s'assoit sur le tabouret à côté de moi, tout sourire. Son genou se colle au mien.
-ce qu'il y a de bien avec Alain, c'est qu'au moins on sait à quoi s'en tenir tous les deux dit Nathan en riant, tu le connais depuis longtemps ?
-j'ai le malheur de le connaitre depuis tout petit on a été à l'école ensemble et, si tu lui poses la question il te dira qu'on est né le même jour au même endroit.
-ah vous êtes du même âge alors.
-non même pas, car c'était pas la même année, j'ai deux ans de moins que lui… c'est un vieux le Alain! et toi tu le connais comment ?
-y'a deux ans, quand je suis venu au bar je l'ai trouvé sympa et je suis revenu.
-alors il t'a dragué ?
-ça oui.
Il n'a pas l'air de vouloir en dire plus, je n'insiste pas et on papote de choses et d'autres.
On reparle du père Louis, de son travail, qu'il faut qu'il se lève tôt qu'il ne fera pas ça très longtemps, et l'heure avance, c'est l'heure de manger. Je lui fais remarquer.
-tu manges où ?
-je suis chez mes parents.
-sinon tu peux venir à la maison, et on se fait un petit quelque chose.
-mais tu me dragues toi aussi ?
-j'ai pas dit qu'on mangerait au lit, tu sais j'ai une table et des chaises.
Il rigole et ne dit pas non!
C'est comme ça qu'en ce samedi midi, j'ai eu mon livreur de journaux dans ma cuisine, charmant, souriant, parlant facilement. Il m'a aidé et comme dirait ma mère quand je suis avec elle dans sa cuisine, "toujours dans mes jambes", mais je ne m'en plaignais pas. J'ai eu l'occasion de me pencher sur lui, respirer son odeur de beau mec. Son sourire m'envahissait. On a mangé comme des ogres. Il m'a aidé à débarrasser, faire la vaisselle et on s'est installé au salon pour boire le café.
Je ne sais pas comment il était installé dans le canapé, mais son pantalon remontait et l'on voyait bien son entrejambe gonfler, et une belle bosse était dessinée. Il a eu l'air gêné quand il a vu que je m'en étais aperçu.
Je me suis assis à côté de lui, on a bu le café en silence.
Je ne savais plus comment m'y prendre avec ce mec, il m'intimidait, j'en revenais pas.
Il a posé sa tasse sur la table, se reculant dans le divan, son bras sur le dossier. Il m'a fixé, a baissé la tête, l'a relevé.
Je n'avais jamais eu tant de silence chez moi.
J'ai posé ma tasse, je me suis penché lentement sur lui, collant ma tête sur son épaule, mes lèvres près de son oreille.
-tu me fais envie Nathan dis je tout bas.
Il se tourne vers moi en penchant sa tête..
-ça tombe bien Fabrice, moi aussi.
J'ai fermé les yeux quand j'ai senti sa barbe venir caresser ma joue, c'était doux, chaud. Il se frottait à moi, j'entendais son souffle à mon oreille et se sont ses lèvres qui se sont posées sur ma joue, déposant un bisou qui a glissé vers ma bouche. Moustache et barbe étaient douces et les lèvres chaudes quand elles se sont posées sur les miennes. Sa main s'est posée sur ma joue, me tenant, ses lèvres se sont écrasées sur les miennes, et sa langue a fait son apparition, forçant mes lèvres pour chercher sa nouvelle copine.
Bataille de langues, déversement de salive, aspirations, sucions, gémissements.
De temps en temps il se retirait pour mettre sa tête dans mon cou et me serrer contre lui et revenait pour une nouvelle bagarre.
-j'aime ta langue beau mec m'a t-il dit en me fixant avec ses yeux marrons clairs, et son sourire étincelant.
Il tendait sa joue sous mes caresses et, quand j'ai descendu ma main sur son dos, sentir la chaleur, passer mes mains sous le tee-shirt, sentir sa peau douce, remonter les mains, enlever le tee-shirt et avoir ce beau mec torse nu, l'observer. Ses tétons pointaient, j'ai donné quelques coups de langue rien que pour l'entendre gémir. Il a commencé à me déshabiller pour qu'on soit à égalité et sentir ses mains me caresser, ses lèvres sur mes tétons.
-on pourrait faire la sieste dans mon lit ? j'ai demandé à son oreille.
-oui mais tu seras doux avec moi ? j'aime la douceur, les caresses et j'aime aussi être baisé.
-c'est bien de faire le programme avant dis je en riant, et baiser ?
-si tu y tiens, mais je préfère nettement le contraire.
On a fini de se déshabiller dans le salon et on est allé s'allonger sur le lit.
Une vraie pieuvre ce Nathan. J'avais l'impression qu'il avait encore plus de mains. J'ai aimé ses caresses quand il a pris ma queue en main, la décalottant, l'observant, donnant des coups de langue et l'avalant comme un gourmand! et il sait piper le mec! bouffer les couilles, lécher mon petit cul qui adore ça et d'un seul coup il s'est offert.
Il est venu à quatre pattes au dessus de moi, me présentant son cul, l'ouvrant pour que je découvre son anus palpitant. Au premier coup de langue j'ai senti qu'il avalait ma queue et plus je léchais son trou plus il me suçait.
Son petit cul s'ouvrait merveilleusement bien et ma langue pouvait caresser la muqueuse ce qui le faisait gémir. Quand je l'ai doigté, voir mon doigt entrer, élargir le conduit, le caresser, sentir la chaleur et la douceur, je bandais comme un fou. Il avait arrêté de me sucer et me bouffait les couilles.
Deux doigts sont entrés facilement et le petit trou restait ouvert: un beau "O" majuscule se dessinait.
Il se connaissait bien Nathan, il s'est relevé au dessus de moi, il m'enjambait toujours, mais face à moi et il s'est accroupi.
-je vais te baiser, laisse moi faire dit il avec un regard coquin.
Alors je l'ai laissé faire.
Il a pris ma queue en main, dirigeant mon gland décalotté sur son anus ouvert, passant le gland qui coulait dessus, le positionne, redresse le torse, lâche ma queue et s'assoit dessus.
J'ai juste eu le temps de me rendre compte que ma queue s'enfonçait en lui qu'il était assis sur mon pubis ma queue au fond de lui. Il grimaçait en me regardant. Il m'a tendu les bras.
-prend moi aux coudes Fabrice.
J'ai fait ce qu'il a demandé et il s'est baisé sur ma queue raide et dure. Il montait et descendait lentement au début, mais il a accéléré et son conduit la serrait fortement. Je sentais le prépuce qui bougeait, c'était chaud, c'était doux et lui souriait tout le temps en faisant son sport!
Et j'ai senti le plaisir arriver et, quand il s'en est rendu compte, il est resté assis sur moi tant que mes giclées l'inondent. Il a lâché mes bras et, gardant ma queue en lui, il s'est branlé en me regardant, m'inondant rapidement de sa sauce chaude. J'en avais partout.
Ma queue est sortie de son petit cul. Il s'est allongé sur moi et a léché tout ce qu'il avait répandu sur moi. Il me le montrait sur sa langue et l'avalait en me faisant un clin d'œil.
Puis il est descendu sur ma queue et l'a léché en lui faisant des bisous et est revenu dans mes bras me faire des bisous.
-j'aime bien me faire baiser comme ça la première fois… après je vais te laisser faire comme t'en as envie.
Il m'embrasse tendrement.
-mais on peut faire une petite sieste pour le 2ème round dit il.
-oui le temps que ça recharge quand même.
Il rigole.
-alors tu me baiseras comme le mâle qui baise sa femelle! bien dur!
-je croyais que tu aimais la douceur.
-oui la première fois comme ça, je sais que le mec n'est pas une brute qu'il est capable de faire attention à moi.
-donc j'ai une bonne note pour le premier round ?
-oui dit il en riant.
Il a posé sa tête près de la mienne pour pouvoir me faire des bisous. Le silence s'est fait, j'avais un bisou régulier.
-baise moi maintenant Fabrice, baise moi comme une salope. J'aime tellement ça en fait de me faire trouer le cul par une grosse queue et la tienne tient bien dans mon petit cul.
Sa main l'avait pris et entretenait la raideur.
-je sens que t'es prêt!
Il s'est mis à quatre pattes, le cul bien relevé, la tête dans les draps, ouvrant son cul.
L'appel du cul! moi je ne sais pas résister.
Son petit trou était encore ouvert, j'allais me pencher pour le lécher.
-non troue moi direct! ça va s'ouvrir tout seul!
Je crois que ma queue avait compris, la mouille a coulé en abondance quand j'ai déposé mon gland à l'entrée. J'ai voulu saisir Nathan aux hanches mais son cul commençait à reculer. J'ai mis des claques sur les fesses.
-bouge pas! tu veux jouer la salope ? je vais te traiter en salope.
Il s'est figé. J'ai vu son trou qui s'ouvrait encore plus, il poussait en prévision!
Je l'ai saisi aux hanches et j'ai forcé son cul, forcé est un grand mot! ça entrait facilement alors j'ai donné un grand coup de reins et ma queue a glissé entièrement d'un seul coup. Il a hurlé le garçon en se redressant mais j'ai appuyé sur son dos pour le laisser à quatre pattes et j'ai commencé mes va-et-vient vitesse grand V de suite. Il a gueulé, crié, couiné mais il disait aussi "oh oui! encore!"
Je l'ai fait changer de positions plusieurs fois, sans sortir ma queue qui se trouvait bien au chaud, l'ouvrant encore plus, le forant encore plus profond. Il gueulait toujours, criait mais s'offrait constamment.
J'ai fait en sorte qu'il soit sur le dos pour que je jouisse, ses cuisses collées sur son torse. Je le bourrinais bien en profondeur, on geignait tous les deux.
Je voyais sa belle queue complètement décalottée couler d'une mouille claire et abondante.
Et, au dernier coup de reins, restant bien au fond, son conduit serrait encore plus fort ma queue prisonnière. Les giclées se sont succédées c'est moi qui criait. Cela faisait bien trois au quatre giclées que j'expédiais quand je l'ai entendu crier. J'ai ouvert les yeux pour le regarder et voir qu'il avait joui sur son torse. La première giclée était arrivée jusque sur son nez, sa moustache, ses lèvres, son menton.
En ouvrant encore plus ses cuisses, je me suis penché sur lui pour le lécher, un coup de langue sur son nez, sa moustache, ses lèvres. Il ouvre sa bouche et m'attrape la langue et je continue de le nettoyer.
Il m'attire à lui, m'embrasse.
-reste comme ça le plus longtemps possible, j'adore avoir une queue en moi. Ne te moque pas de moi mais des fois je dors avec un gode pour m'habituer.
Je souris.
-voilà pourquoi ton petit cul est si accueillant Nathan!
Il m'attire encore à lui, ses jambes me serrent le corps à m'étouffer, ses bras m'enveloppent, sa langue fonce au fond de ma bouche.
Si lui est bien, moi je suis pas mal!
Quand on s'est retrouvé plus normalement collé l'un à l'autre..
-demain j'ai pas de journaux à distribuer… tu fais quoi cette nuit ?
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