Le livreur du samedi.

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le livreur du samedi. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le livreur du samedi.
C'est un rituel, tous les samedis matins je vais au marché de ma petite ville. C'est un plaisir de rencontrer les marchands de la région qui viennent vendre leurs produits. Certains disent que c'est plus cher, c'est sûrement vrai, mais ces produits se gardent plus longtemps et sont bien meilleurs, alors y'a pas photos!
Et puis, c'est un plaisir de retrouver des amis, de papoter, d'aller boire un café etc...

Parmi ces commerçants, il y a le marchand de légumes et de fruits, certes ses fruits ne sont pas tous de la région quand il vend bananes, oranges et autres mais c'est un commerçant hors pair. Baratin, gentillesse, sourire et il en met toujours un peu plus pour faire le compte rond.

C'est un agriculteur de la région, arabe prénommé Mohamed, une quarantaine d'années, beau mec, souriant qui vend ses produits principalement mais a toujours d'autres fruits qui viennent d'ailleurs comme il dit souvent.
On entend que lui sur le marché. Momo par ci! Momo par là! il parle, rigole et amuse la galerie, n'arrêtant pas de faire des compliments aux femmes qui s'offusquent en rigolant mais qui lui répondent et l'on entend souvent :
-ah si j'étais pas marié!!
qui fait rire tout le monde! Car tout le monde connait sa femme, une femme magnifique a qui il obéit comme un enfant quand elle vient au marché. C'est une française de la région, tombée sous son charme.
Vous comprenez que tout se passe dans la bonne humeur.

Ce samedi en arrivant à son étal, où il y avait foule comme d'habitude, je vois son fils qui était là, l'aidant pour le service. Le fils de Mohamed je l'avais déjà vu, je ne connaissais pas son nom. C'est un beau mec d'une vingtaine d'années, un beau visage fin, des yeux noirs corbeaux, athlétique et moi qui aime bien regarder l'entre jambe… eh bien il porte, comme son père une blouse. Il ne fait pas tellement arabe vu le croisement, mais comme son père il est souriant et a du baratin.

J'étais en retard ce samedi et il n'y avait plus grand chose de ce que je voulais mais Momo a dit pas de problème! tu veux quoi, j'ai énuméré ma liste.
-j'ai tout ça à la ferme! mon fils viendra te livrer en début d'après midi! ça te va ?
Naturellement que j'étais d'accord, avoir ce beau mec à la maison. Il semblait timide avec les hommes, il ne parlait pas tellement avec eux.
J'ai continué mon marché, rencontré un pote, on a bu l'apéro et je suis rentré chez moi pour déjeuner.

Vers 14 heures, on a frappé à la porte, c'était mon beau livreur qui arrivait, méconnaissable, plus de blouse informe, mais un beau polo qui lui musclait le torse et un jean serré qui moulait des cuisses fermes et faisait ressortir un beau paquet à l'entrejambe.

Il parlait sans me regarder, énumérant tout ce qu'il amenait. Il était tout timide et ça m'a fait bander de suite. Il me fallait ce mec!
On a papoté en déballant la marchandise qu'il amenait puis je lui ai proposé de boire un café que je venais de faire.
Il a hésité en disant qu'il ne voulait pas me déranger, j'ai insisté et je l'ai emmené au salon.

Il s'est assis dans le divan, j'ai servi deux cafés et je me suis installé près de lui. Il tenait son mazagran entre ses mains et soufflait sur le café sans me regarder ni parler.
Cela changeait de son entrain au marché, alors j'ai commencé mes questions.
-tu t'appelles comment ? ton père dit toujours "mon fils", mon fils" mais il ne dit jamais ton nom!
-c'est Kevin dit-il.
-ah bin! ça fait tellement arabe ça! dis-je en souriant.
-mon deuxième prénom c'est Karim. C'est ma mère qui a eu le dernier mot parait il.
-ah eh oui les mères ont souvent le dernier mot.
-la mienne c'est souvent, dès fois elle est limite mais cela semble aller pour mon père, alors il plie et la laisse faire.
-je la croyais pas comme ça, elle parait si gentille, si souriante et si belle surtout.
-c'est ce que dit mon père… quand une belle femme parle, l'homme se tait.
-vous devez pas vous ennuyer dans la famille.
-ça non! ils sont toujours en train de se chamailler et ils finissent toujours par se faire des bisous. C'est charmant de les voir.
-et toi ? t'as pas une copine ?
-non dit-il sans me regarder.
-ben un beau mec comme toi.
-et toi ? me demande-t-il.
-non pas de copine dis-je doucement je…
-mais t'es pas si vieux dit-il ça viendra.
-je ne sais pas tu sais.

Il boit son café, me regarde enfin.
-pourquoi tu dis ça ?
-parce que je crois que je préfère les mecs dis-je rapidement.
-ah! ben t'es pas le seul dans la région quand même ?
-non bien sûr et heureusement.
-mais on trouve pas souvent des jeunes de son âge lâche-t-il en baissant la tête.

Un silence s'est installé entre nous deux. Il regarde son café et moi je le regarde. Il est à côté de moi, nos genoux se touchent presque. Je sens son odeur de jeune mâle, sa barbe de deux ou trois jours lui donne un air viril. J'ai envie de le prendre dans mes bras quand enfin il relève la tête, me regarde en souriant.
-tu veux dire que toi aussi tu cherches des mecs ? dis-je presque en chuchotant comme si on pouvait nous entendre.

Il repose le mazagran sur la petite table du salon.
-oui dit-il mais ici personne ne le sait.
-et tu me le dis à moi.
-tu viens bien de me le dire sans faire de mystères et je peux te dire que tu fais pas pédé du tout.
-j'sais pas si y'a un air… dis-je en riant.
-tu sais bien ce que je veux dire, les grandes folles qui tortillent du cul, j'peux pas les voir!
-ça j'te comprends Kevin c'est pas facile de se trouver avec de tels personnages mais que veux tu, il en faut pour tous les goûts!
-oui t'as raison.
-donc t'as pas de copain ?
-j'en ai de temps en temps mais il est dans la ville voisine alors on se voit pas souvent et toi?
-si j'ai un copain, il vient deux ou trois fois par semaine me voir car il ne peut pas recevoir chez lui.
-voilà c'est ça aussi le problème dit Kevin je suis obligé d'aller chez les mecs, je peux pas en ramener à la ferme.
-tes parents ne seraient pas d'accord ?
-je crois que si, et je me demande si ma mère n'a pas deviné mais elle ne m'en a pas parlé.
-t'as quel âge ?
-20 ans et toi ?
-25 ans
-t'es pas mal quand même pour un vieux dit-il en riant.
-tu vas voir le vieux ce qu'il va te faire! dis-je en le serrant contre moi.
-t'es cap ?

Je l'ai repoussé sur le dossier du divan, ma main sur sa poitrine et je me suis penché vers sa tête. Avant que je touche ses lèvres avec les miennes, ses yeux étaient déjà fermés, sa bouche légèrement entrouverte, sa langue attendait la mienne.

Mes lèvres ont effleuré les siennes, c'était chaud, doux, tendre. J'ai appuyé en sortant ma langue qui a rencontré la sienne, elles se sont touchées de la pointe, se toisant, se touchant pour finir par s'emmêler et s'échanger leur salive. Ses bras s'étaient refermés sur mon dos et il me serrait fort contre lui. Sa barbe au dessus de ses lèvres me piquait mais ce n'était pas désagréable. On respirait par le nez et nos souffles se mélangeaient, on émettait de petits sons, des gémissements.

Une main est partie à l'aventure, passant sous son polo pour toucher sa peau douche et chaude que je caresse à pleine main accentuant son gémissement. Ses mains soulèvent mon tee-shirt et me caressent le dos. Ses mains de travailleur ne sont pas si douces que ça mais elles sont chaudes et on sent la force quand il pétri les muscles du dos.

Il me retourne sur le canapé et vient s'asseoir à califourchon sur moi. Il enlève mon tee-shirt et j'enlève son polo. Un torse imberbe, de beaux tétons qui pointent avec de larges aréoles. Il prend ma tête entre ses mains, me fixent et m'embrasse tendrement.
-j'aurais jamais pensé que je t'embrasserais un jour dit-il tendrement, tu sais que tu m'as toujours plu et je peux te le dire maintenant, je me suis branlé en pensant à toi.

Et avant que je puisse dire quelque chose, il m'embrasse avec force, jetant sa langue dans ma bouche m'étouffant complètement.

Il frotte son torse contre le mien, nos peaux font connaissance, chaudes, douces. Il frotte sa barbe sur mes joues imberbes me faisant grimacer. Cela le fait rire.
Et nous continuons nos bisous, nos baisers, nos caresses comme si cela nous suffisait. J'aimais ses soupirs, ses gémissements, son torse sur le mien. J'ai réussi à lâcher ses lèvres pour venir poser les miennes sur un téton qui pointait. Il a bien redressé son torse pour le mettre juste à la bonne hauteur.

Plus je léchais, plus il gémissait en se tortillant les fesses dans mes mains qui les enveloppaient. J'ai saisi son téton entre deux dents pour le mordiller gentiment lui faisant émettre un long râle mais il tendait toujours son torse. Alors j'alternais entre de petits coups de dents et des coups de langues. Ses petits fesses dures n'arrêtaient pas de bouger dans mes mains, les siennes me tenaient la tête et la poussaient sur son téton. J'aimais sa peau, ses mains, sa chaleur, sa douceur…

Il m'a relevé la tête, m'a fixé dans les yeux tout le temps d'un long baiser tendre et langoureux, nos langues jouaient ensemble la bouche ouverte, juste nos lèvres se touchaient, mes mains parcouraient son dos appréciant chaleur et douceur.
-t'as bien un lit non ? dit-il en prenant la tête entre ses mains.
-t'as le temps alors ? pas d'autres livraisons ?
-oui j'ai le temps beau mec! mes parents partaient faire la sieste quand je suis parti de la ferme dit-il en souriant.
-mais c'est un coquin le Momo dis-je en riant.
-tu vas voir son fils… dit-il en m'embrassant rapidement.
-alors viens!

On s'est relevé, on ne se lâchait plus. Je l'ai emmené dans ma chambre et, devant le lit on s'est déshabillé, enlevant nos derniers vêtements, mais gardant nos boxers. Le beau mec franco-arabe s'est allongé sur mon lit. Un grand corps imberbe, des jambes poilues. Un boxer qui n'était formé que de grosses bosses et le beau mec souriait de toutes ses dents quand il m'a accueilli dans ses bras et que nos lèvres se sont retrouvées.

Les corps se sont rapprochés, collés. Quand les boxers se sont frottés c'est d'abord les deux grosses bosses qui sont entrées en contact, se frottant et nos jambes se sont emmêlées. Il n'y avait plus de place pour passer une main.
On a roulé d'un bord à l'autre du lit, dans les bras l'un de l'autre, c'était un acharné des bisous… et comme j'aime ça.

Mais je voulais voir un peu le trésor qu'il avait de caché dans son boxer, alors je l'ai coincé sur le dos. Ma bouche descendant vers l'autre téton qui devait être jaloux et je lui ai fait subir le même sort que son copain pour entendre Kévin gémir de plus belle et ma langue a léché tout le torse, l'inondant de salive, descendant sur le ventre ferme avec les abdos de bien dessinés que j'ai léché en les caressant.

Je voyais la longue bosse dans le boxer bleu qui partait vers ma droite et toute humide au bout. Je soufflais dessus tout le long pour la prendre entre mes dents et la mordre doucement. Il gémissait en riant. J'ai pris le haut du boxer entre mes dents et j'ai tiré dessus pour voir la grosse bête encore prisonnière. J'ai tiré pour passer le tissu sous les grosses couilles apparues.

La queue s'est détendue d'un seul coup, se redressant sur le ventre, laissant une trainée de mouille. Les belles couilles poilues étaient bloquées entre les jambes fermées. Je les léchais, les gobais. Il avait mis ses mains à plat sur le lit et se laissait faire en soupirant et gémissant et ma langue est remontée sur la hampe, la grosse hampe large et longue… putain quel morceau! Une belle bite de rebeu pas circoncise, c'était ma première!

Le prépuce était à moitié enlevé mais recouvrait encore le gland. Ma langue vient lécher le méat et enlever la mouille. Il tressaute, je soulève sa bite entre deux doigts, mes lèvres entourent le gland et font descendre le prépuce, serrant le gland, le léchant, l'aspirant.

Je vois ses jambes bouger, s'ouvrir, se relever, se rallonger, mes lèvres englobent bien cette bonne queue et descendent dessus, putain qu'elle est longue. Elle envahit ma bouche, glisse sur ma langue, touche la luette qui en a vue d'autre. Je sens les larmes venir aux yeux, j'arrête pour m'habituer et continue jusqu'à ce que mon nez et mes lèvres soient dans les poils fournis du pubis.

Il sent bon mon franco-arabe. C'est vraiment un plaisir de piper une si belle queue et je me donne à fond et d'entendre toujours ses grognements, ses gémissements de plaisir cela donne de l'entrain. Sa queue est bien raide, luisante de ma salive. Je le tiens par les couilles, je sens sa bite se raidir dans ma bouche, je vais avoir ma récompense…

Elle ne tarde pas. Je sens sa main se poser sur ma tête, me bloquant avec sa queue bien au fond de ma gorge et la première giclée arrive. Oh une petit giclée, comme si elle cherchait la direction à prendre avant les suivantes qui arrivaient avec force et abondance et je me suis régalé du bon jus de ce beau mec qui est retombé sur le dos, les bras en croix en haletant. J'en ai profité pour bien lécher le beau mandrin qui n'avait pas débandé.

Quand il s'est redressé d'un bond, me bousculant pour me faire tomber à la renverse sur le lit, se jette sur mon boxer, me l'enlève rapidement, regarde ma queue qui se redresse, suintante de mouille, certes moins grosse que la sienne mais tout aussi longue.
-ah moi de m'occuper de toi beau mec!

Une main a décalotté ma queue, l'autre a saisi mes couilles.
Le gland bien décalotté a vu arriver sa bouche et s'est retrouvé dans le noir, enroulé par une langue humide et vorace. J'avais l'impression d'avoir plusieurs langues qui s'occupaient de moi. Il a avalé toute ma queue sans faire de difficulté et j'ai été pipé comme un roi! alternance de vitesse et lenteur. Ma queue repeinte de salive, il caressait mes cuisses, je sentais le plaisir arriver.

Il a du le sentir aussi, sa bouche s'est retirée pour m'embrasser les cuisses, les couilles et le ventre avant de revenir sur ma queue et reprendre les mouvements de langues et de lèvres. Je n'ai pas tardé à succomber à ce traitement et il a reçu toutes mes giclées en bouche et tout avalé avant de nettoyer à la perfection ma queue encore raide pour venir s'allonger sur moi et m'embrasser, me donner sa langue qui sentait encore mon sperme.

Nos queues se serraient l'une contre l'autre et n'avaient pas débandé j'avais encore envie de juter et je sentais bien que lui également.
On a repris un peu des forces, en se caressant s'embrassant, sans jamais toucher nos sexes mais nos mains s'égaraient souvent sur nos fesses.

Je sentais son doigt dans ma raie qui cherchait l'anus, le toucher, le caresser et le forcer. Je tendais mon petit cul et le doigt s'enfonçât doucement, là c'est moi qui gémissais.
-tu prendrais ma queue ? me demande-t-il à l'oreille.
-et toi? tu prendras la mienne ?
-bien sûr dit-il en souriant comme c'est toi qui a joui en dernier… c'est moi qui commence ?

C'était si bien demandé que je l'ai laissé faire. Il m'a mis sur le dos, sa bouche est descendue vers ma queue. Il lui a fait quelques bisous, il a soulevé mes jambes écartées, les repliant sur mon torse.
-j'aime bien voir le mec quand je lui fais l'amour dit mon beau Kevin.
Il n'avait pas dit baiser!

Et, il a plongé sa bouche entre mes jambes, j'ai senti sa langue sous mes couilles descendre vers l'anus. Je tenais mes jambes sous les genoux, mes belles petites fesses étaient bien ouvertes. Ses mains les écartaient encore plus et sa langue, sa belle langue humide est venue envahir l'anus, le noyant de salive, le léchant, le forçant. Il s'est amusé un long moment à ce jeu et c'était bien agréable. Il m'a doigté, il enfonçait au plus profond son index, caressant la paroi, me donnant des frissons et quand il a mis deux doigts, en tournant, forant, ouvrant le petit trou, je savais que l'étape suivante arrivait.

Il s'est mis à quatre pattes au dessus de moi, je sentais son gland commencer à entrer. Il poussait lentement, ouvrant délicatement mon anus qui se laissait faire et je sentais le gland me pénétrer. Ses yeux qui ne me quittaient pas, sourire aux lèvres. Le gland forçait, entrait et d'un seul coup a pénétré, je n'ai pu m'empêcher de pousser un cri. J'ai senti mon sphincter se refermer sur la hampe qui continuait son chemin. Le gland enserré dans mon conduit l'élargissait tout au long de la pénétration et j'étais content quand j'ai senti ses poils caresser mon cul.

Je soupirais, respirais en soufflant et il m'a fait l'amour comme il avait dit. Son gros mandrin a coulissé facilement en moi sur toute sa longueur, sans jamais ressortir le gland en entier et au fur et à mesure il revenait avec plus de force. Un vrai baiseur ce mec! je voyais les gouttes de sueur couler sur son front mais il ne me quittait pas des yeux et ses va-et-vient étaient durs, secs mais très bons car ils coulissaient facilement, ça claquait, je gémissais. Plusieurs fois il s'était bloqué au fond de moi et j'ai cru qu'il allait lâché ses vannes, mais non. Il bougeait juste son sexe en moi et je sentais bien la bête vivre dans mon conduit.

Et, ce fut vraiment une surprise quand il m'inondât l'intérieur. Je ne sais pas combien de giclées j'ai dû recevoir mais il s'est écroulé entre mes jambes qui se sont refermées sur son corps. Il soufflait en haletant, mais sa queue ne m'avait pas quitté et je n'avais pas envie qu'elle parte. Je le tenais entre mes jambes.

Quand sa respiration est redevenue normale il a voulu se redresser.
-reste comme ça Kevin dis-je en serrant mes bras sur sa tête.
-c'est vrai qu'on est bien en toi, t'es un amour.
-toi aussi, j'ai rarement été aussi bien baisé!
-oh merci! c'est gentil, j'espère que je t'ai pas épuisé dit-il d'un air malicieux et vicieux
-t'inquiète je vais faire la fête à ton petit cul!
-j'y compte bien mais faudrait peut être que je me retire de toi.

Je l'ai libéré, à regrets et ce que je prévoyais est arrivé quand sa queue s'est retirée il y avait un grand vide.
Il m'a embrassé vite fait et s'est mis à quatre pattes sur le lit, redressant son petit cul poilu.
-c'est comme ça que je préfère dit-il si tu veux bien.
-je veux tout ce que tu veux .

Ma queue n'en finissait pas de couler. J'avais envie de me jeter sur lui et de l'enculer comme ça! à sec, mais je suis pas un sauvage alors je me suis occupé de son petit cul poilu, autant il n'avait pas de poils sur le torse, autant bite et cul étaient fournis. Il redressait bien ses belles petites fesses que j'ai pris un malin plaisir de caresser, les écartant bien pour essayer d'apercevoir l'anus au travers de tous les poils alors j'ai inondé de salive la raie, collant les poils de chaque côté et le bel anus bien rose était là, attendant d'être foré. C'est un sensible Kevin, dès le premier coup de langue sur son anus, il a gémi pour ne plus s'arrêter.

Il a mis sa tête dans l'oreiller et est venu avec ses mains ouvrir encore plus ses belles fesses et je lui ai bouffé le cul, ouvert l'anus, l'inondant de salive, le doigtant d'un doigt, puis de deux et il gémissait toujours.
-baise moi maintenant!

J'ai posé mon gland décalotté sur l'entrée, je l'ai pris aux hanches et attiré à moi. J'ai vu mon gland forcer l'entrée, glisser, entrer, passer le sphincter pendant qu'il criait avec force. Mais ce n'était pas un cri parce qu'il avait mal mais parce qu'il aimait ça. Alors je me suis pas gêné d'aller direct tout au fond de lui, son doux boyau entourait bien ma queue. J'étais bien. J'avais tellement envie de jouir que je me suis dépêché de faire des va-et-vient rapides.

La sève montait, il râlait en criant. Mon pubis claquait sur ses fesses, je voulais ralentir pour en profiter un max de son beau petit cul mais la sève est montée rapidement pour se déverser fortement au fond de son cul. On a gueulé ensemble de plaisir. Je n'arrêtais pas de me vider sentant son sphincter qui enserrait toujours ma queue et je me suis écroulé sur lui. Il s'est allongé sur le lit, m'entrainant et je suis resté comme ça, toujours fiché en lui, lui faisant des bisous dans la nuque. Il ronronnait doucement.

On s'est retrouvé la tête sur l'oreiller, dans les bras l'un de l'autre, bite contre bite, jambes emmêlées, nez contre nez. On se souriait, nos lèvres se touchaient de temps en temps, par jeu.
Il est beau Kevin! il est beau mon franco arabe.

Cela s'est passé il y a un mois et bien tous les samedis après midi il vient les passer avec moi, même s'il n'y a pas de livraisons… et tout va bien!

Les avis des lecteurs

merci chers lecteurs

Histoire Erotique
Hummm ça donne envie d’aller au marché !

Histoire Erotique
Superbe histoire de rencontre entre deux mecs qui se font du bien.

merci Lelivredejeremie pour tous ces compliments qui me font bien plaisirs.. merci et bon dimanche

C'est plutôt très bien écrit, c'est assez rare pour ce genre de récit pour déjà apprécier. Comme les conditions leur 'échange', vraisemblable (sans jugement pour d'autres configuration d'âge, qui sont juste moins mon trip, c'est personnel), dans le respect et le partage équitable de plaisir. C'est une histoire attachante, merci.



Texte coquin : Le livreur du samedi.
Histoire sexe : Une rose rouge
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