Le loup dans la bergerie 2
Récit érotique écrit par Folle de lycra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2017 dans la catégorie Plus on est
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Le loup dans la bergerie 2
Salut c'est votre folle de lycra
Dans le très long épisode précédent, je vous racontais comment de chômeur en région parisienne je m'étais retrouvé directeur d'une société de fabrique de dessous sexy dans la Creuse. Je m'étais retrouvé à la tête d'une équipe de 70 femmes et pas un seul homme. Le directeur précédent avait pris sa retraite et m'avait expliqué qu'il y avait plein de bons coups dans la société. Je rassure certain il n'y aura pas un épisode par femmes... le nombre de chapitre évoluera en fonction du nombre de personnes qui apprécieront mon histoire.
Nous étions donc un vendredi soir une veille de weekend et je venais de prendre du plaisir avec Muriel Dominique et Patricia. En fait je venais de découvrir les coutumes au sein de la société, ces dernières n'étant pas pour me déplaire; étant célibataire et un peu en manque. Je commençais à réaliser que je n'aurais plus besoin de me faire ça à la main désormais. Après nous être envoyés en l'air dans mon bureau les filles ont pris l'initiative de m'accompagner chez moi pour passer la soirée, mon petit doigt me dit que cela allait dégénérer. Je n'ai rien eu à faire elles ont préparé à manger, elles ont mis la table.
Le plus sympa c'est qu'il y en avait toujours une voire deux pour s'occuper de moi pendant que les autres étaient à la tâche. Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est que nous ne faisions pas de chichi et que une fois dans la maison, nous étions tous en petite tenue. J'avais une érection que les employées veillaient à entretenir bien rigide. C'est là qu'elles m'ont expliqué que autant au boulot j'étais assez directif mais que dans l'intimité j'étais un peu plus soumis que ne l'était l'ancien directeur. D'après elles, j'étais un homme beaucoup plus tactile et sensible qui manifestement adorait les matière très douces. je leur ai avoué que effectivement j'adorais les matière très douces, que n'avais-je pas dit. Patricia est partie sur-le-champ dans sa voiture pour ramener une magnifique nuisette très très longue et monstrueusement douce.
Elle m'a demandé de l'enfiler, j'ai refusé.., mais avec l'insistance des trois filles et l'excitation, j'ai fini par accepter. Dominique en a profité pour me débarrasser de mon slip et voilà comment je me suis retrouvé à poil juste vêtu d'une nuisette en compagnie de trois employées de ma société. Elles m'ont expliqué que avec Thierry cela n'aurait pas été possible mais qu'elles avaient vraiment envie de me voir ainsi vétu. Le moindre de leurs contacts électrisait mon corps dans cette matière ne me laissait pas indifférent, Muriel m'a expliqué que c'était notre société qui fabriquait ce genre de produit. Régulièrement elles me soulevaient ma nuisette pour me faire ou des baisers sur les fesses ou sur mon sexe. Il allait de soi que j'avais aussi le droit à des mains au cul et des mains au paquet, le problème des mains au cul c'est qu'elles étaient très insistantes.
Ces petits attouchements plus ou moins intimes finissaient quand même par me plaire et surtout me chauffer encore un peu plus; je me sentais vraiment bien en compagnie de ses trois femmes. Pendant le repas alors que nous étions à table j'ai eu le droit à plusieurs fellations et surtout des doigts qui sortaient de leurs minou que j'ai eu à sucer, il n'y a pas meilleure friandise. Après le repas elles se sont occupées à ne plus laisser une seule trace de leur passage à table. À un moment Dominique est venue me chercher pour m'emmener dans la cuisine pour y voir Patricia faire la vaisselle, elle m'a fait remarquer que c'était une bonne occasion de s'occuper de Patricia. Je n'ai rien eu à faire elle s'est occupée de tout.
Dominique a écarté le tanga de Patricia puis a saisi mon sexe pour le présenter à l'entrée du conduit, elle a glissé une belle noix de salive à l'entrée puis a saisi mes fesses d'une main. De l'autre main elle tenait mon sexe puis elle s'est mise à appuyer sur mes fesses pour que je pénètre Patricia. Patricia n'a pas bronché et a continué à faire la vaisselle quelques instants avant de déposer le tout et s'appuyer sur l'évier. Je me suis ensuite agrippé aux hanches Patricia pour commencer à aller et venir en elle. Voilà maintenant que je me mettais à enculer mes employées pour leur plus grand bonheur et avec l'aide de leurs collègues. Pendant ce temps Dominique s'est mise à embrasser ma partenaire qui avait l'air de beaucoup apprécier ses baisers. À ce rythme-là je me disais que j'allais avoir un weekend épuisant, d'autant que je n'avais aucune idée du programme pour la fin du weekend.
Dominique en a profité aussi pour aller titiller le minou de ma partenaire par-dessous son tanga. Je ne sais pas si c'était les caresses de sa collègue ou mon va-et-vient en elle mais Patricia réagissait très très bien à ce qu'il lui arrivait. Puis Patricia s'est mise à pousser des cris monstrueux et surtout à griffer le côté extérieur de mes fesses, j'en ai conclu qu'elle était en train de prendre son pied. La Féline qui dormait en elle venait de se réveiller,elle remuait les fesses de telle façon à ce que j'aille encore plus loin dans son intimité, ce qui au bout de quelques instants a fini par me faire aussi partir en elle. Muriel est arrivée pour essayer de contenir Patricia, sa méthode été de lui caresser les seins, le corps et surtout l'entrejambe. Je suis resté encore un peu en elle pour lui déposer le plus de liqueur possible. Puis les filles ont fait retourner Patricia, l'ont fait se pencher pour lui donner mon sexe à nettoyer; elle s'est exécutée pour mon plus grand plaisir final.
J'étais en train de me dire que mes journées allez être épuisantes à ce rythme-là. Moi qui étais célibataire depuis quelques temps je finissais par me dire qu'il n'allait pas m'être utile de chercher une compagne j'allais en avoir au boulot comme à la maison. J'étais aussi en train de me rendre compte que la longue nuisette qu'elles m'avaient fait enfiler ne me déplaisait pas du tout. Toutes les trois sont venues me voir quand elles ont constaté que j'étais un peu dans les nuages. Là elle m'ont expliqué il y avait une coutume au sein de la société ce qui se passait dans la société ne sortait pas de la société. Elles étaient matures et responsables, elles venaient juste prendre du plaisir, du bon temps. Mes 3 collaboratrices avaient les pieds sur terre et elles m'ont rassuré.
En fait c'est vrai que j'avais un peu la tête dans les nuages mais j'avais aussi un coup de barre car la journée commençait à être longue. Je les ai invitées à venir dormir avec moi dans la chambre car il commençait à se faire tard. Seule patricia a accepté mon invitation car les deux autres m'ont dit être attendu par leur mari. C'est après de longs bisous et surtout de tendres attouchements que nous avons fini par nous séparer. Patricia qui n'était vraiment pas farouche s'est complètement dénudée et s'est glissée sous les draps. J'ai commencé à me débarrasser de ma nuisette pour me coucher mais Patricia m'a dit qu'elle préférait que je la garde. Du coup ma nuisette m'a servi de chemise de nuit, de toute façon sa douceur me plaisait énormément. Entre la douceur de ma nuisette et les caresses de Patricia je me suis endormi avec un gros gourdin entre les jambes.
Ma partenaire pour la nuit était vraiment attendrissante de douceur et de gentillesse à mon égard. C'est ainsi qu'à mon réveil j'ai constaté qu'elle avait déjà quitté le lit et qu'elle était en train de s'occuper de la maison dans une robe de chambre en pilou pilou rose. C'est vrai que j'avais remarqué cette robe de chambre dans mon placard. Lorsqu'elle eut constaté que j'étais réveillé, elle est venue se glisser à mes côtés, puis disparaître sous les draps pour venir me faire une fellation matinale. J'avais vraiment l'impression que Patricia n'était pas intéressée mais qu'elle avait besoin de sentiments et d'affection. En quelques instants, mon sexe était en érection maximum, mon dard était toujours caché sous la nuisette mais cet dernière était remontée dans la nuit; ce qui en a fortement facilité l'accès.
Je ne sais pas si Patricia aimait à ce point le sexe ou elle aimait juste me donner du plaisir; quoi qu'il en soit, elle le faisait très bien. Je ne l'ai pas laissée aller jusqu'au bout de la turlutte, je préférais l'avoir contre moi, savourer la douceur de son corps, profiter de ses caresses expertes. Nous nous sommes picorés, bécotés, dévorés une bonne heure durant; nos sexes ne demandaient que ça, mais nous avons résisté. Puis nous avons fini par nous lever pour passer à table et prendre notre petit dej' en amoureux. Un peu de douceur dans ce monde de brutes...
Patricia faisait partie des trois commerciales de la société. Ce samedi matin là, j'apprenais plein de choses sur elle et plein de choses sur ses collègues ainsi que sur la société elle même. Elle était dans la société depuis 15 ans, elle venait d'avoir 40 ans, elle avait commencé comme les autres à la couture ou plutôt la confection comme elles disent; c'est vrai que terme est plus joli. Ensuite elle était passée à la fabrication à savoir la mise au point des projets, cela nécessitait quand même quelques notions en informatique. Puis elle s'est retrouvé commercial où elle se trouve aujourd'hui depuis 3 ans. C'était une idée d'elle et surtout de toutes les employées qui ont insisté pour que ce soit elles et non des professionnelles qui posent dans les dessous sexy qu'elles confectionnaient. En même temps comme je vous l'ai déjà dit quand on voyait les employés elle avait pas grand-chose à envier aux mannequins.
Après notre petit repas matinal nous avons pris la voiture et sommes partis nous promener à une vingtaine de kilomètres de la maison dans la ville de Souterraine. Nous avons garé la voiture à la gare et nous sommes promenés ensemble main dans la main bref nous sortions ensemble. Elle s'est empressée de me montrer l'église de Notre-Dame qui ne manquait pas de charme ainsi que des petites rues toutes aussi charmantes. Le patrimoine architectural avait l'air très bien entretenu dans le village, puis nous sommes allés dans une petite boutique de dessous féminins. Manifestement la patronne et Patricia se connaissaient très bien, les présentations furent faites. La patronne de la boutique était une ancienne de la société qui s'était mise à son compte, apparemment sa boutique tournait très bien.
En les regardant parler j'ai pu constater qu'elles s'entendaient très très bien au point de constater quelques gestes un peu déplacés. J'ai aussi pu constater qu'il y avait de nombreux produits venant de notre société. J'ai appris par la suite par les mots de Patricia que elle avait droit à un tarif préférentiel en tant qu'ancienne de la boite; cela lui garantissait une confortable marge lors de la revente. Il n'y a pas à dire la patronne de la boutique avait gardé un excellent souvenir de la société ainsi que ses collègues. Elles m'ont surpris en train de toucher et caresser les dessous en vitrine, je suis devenu tout rouge mais je leur ai répondu que c'était le professionnel qui était là en train de comparer des produits. Au fond de moi j'étais surtout en train de me dire que j'étais en train de devenir fétichiste des dessous, des matières douces et même peut-être du lycra.
Patricia s'en est rendu compte et elle est venue me voir en me disant qu'il n'y avait pas de honte a aimer toucher les dessous féminins surtout pour un homme. Elle m'a pris la main et m'a dirigé vers porte dérobée où se trouvait une sorte de sexe shop, il y avait seulement quelques sextoy très raffiné mais surtout de la lingerie très très sexy. Il y avait toutes sortes de vêtements latex cuir et vinyle, le tout pour homme ou femme. Ayant un peu une notion des prix maintenant vu que je travaillais un peu dans le secteur désormais je me rendais compte qu'il y avait des marge de sauvage. Sophie, la patronne m'a dit que ses fournisseurs vendaient déjà assez cher mais qu'elle le reconnaissaît, elle aussi faisait de bonnes marges dessus. J'ai découvert un côté un peu dominatrice de Patricia quand elle m'a montré une combinaison dans laquelle elle me verrait bien.
Patricia m'a suggéré de partir dans la cabine essayer la combinaison de ma taille, j'étais un peu gêné car la patronne était là. À force d'insistance je n'ai eu pour seule solution que celle de ceder, je suis donc parti me changer et je l'ai appelé une fois paré de la combinaison. Sur cette tenue il y avait une fermeture éclair qui partait du cou jusque sur le haut des fesses, elle était tellement douce que je ne pouvais dissimuler mon érection. À ma grande surprise ce sont les deux femmes qui sont venues me voir comment cela m'allait, satisfaite du résultat la patronne en avait profité pour me caresser le sexe devant ma chérie. Il n'y a pas à dire il y avait une extrême complicité entre ces deux femmes. Toutes les deux se sont mises à me caresser, l'une s'occupait de devant et l'autre de mes petites fesses.
Ce qui devait arriver arriva la patronne a sorti mon sexe de sa cachette et le prendre en bouche et me faire une fellation d'anthologie; tout cela devant les yeux de Patricia. Patricia continuait à me caresser pendant que la patronne me suçait avec gourmandise. Vu le contexte je n'ai pas été bien long à lui balancer tout ma liqueur au fond de la gorge. Elle a continué à me sucer encore quelques instants puis s'est relevée pour aller embrasser Patricia et échanger la semence qu'elle avait encore à la bouche. Décidément ces deux-là avaient l'air de s'apprécier. Sophie m'a offert la combinaison en cadeau de bienvenue dans la société et Patricia m'a littéralement obligé à repartir avec la combinaison sur moi.
J'ai donc gardé la combinaison et ai renfilé le reste de vêtements par-dessus, cela ne se voyait pas du tout. Nous n'étions que trois à être au courant de ma tenue intime et les deux filles savaient que je la portais un peu contre ma volonté. En moins de 24 heures, Patricia me tenait par le sexe et elle faisait ce qu'elle voulait de moi. En même temps vu ce que je vivais depuis le début de ce weekend je n'avais pas trop à me plaindre. Le côté directif et autoritaire de Patricia ce n'était pas pour me déplaire, je cherchais des personnes comme ça dans l'encadrement, en même temps elle savait séparer le travail du plaisir.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison, là elle m'a dit expliqué qu'elle adorait ce genre de combinaison car les hommes ne débandaient pas avec ça. Elle m'a expliqué qu'elle m'en achèterai une deuxième de telle façon à ce que je puisse la porter tous les jours de la semaine, il suffisait juste de porter un pull col roulé à manches longues. Au fur et à mesure que je découvrais Patricia je comprenais qu'elle était une meneuse dans la société. L'avantage c'est qu'avec son charme et son caractère elle prenait souvent le dessus psychologique sur ses clients quand elle travaillait. En gros, j'étais en train de devenir son soumis sans trop savoir quoi dire et quoi faire.
Patricia était devenue en 24h ma petite femme d'intérieur ma maîtresse et ma collaboratrice. Compte tenu de son statut au boulot j'étais appelé à la voir souvent dans mon bureau et je ne sais pas comment ça allait se passer désormais. En début d'après-midi on a sonné à la maison et à ma grande surprise, mes deux autres commerciales étaient là sur le pas de la porte. C'est vrai que avec mes trois commercial Patricia Marie et Laetitia, je pouvais prétendre à un prix dans concours de beauté. Marie et Laetitia étaient toutes aussi belles que ma petite dame, aussi grandes 179/180cm et manifestement avaient le même caractère autoritaire et directif.
Elles sont entrées dans la maison sans trop me laisser le choix en me disant que Patricia les avait invitées à venir passer l'après-midi ici. Je n'étais au courant de rien mais vues les tenues sexy arborées, on pouvait supposer que l'après-midi allait être chaud. Je comprends maintenant pourquoi Patricia passait son temps à communiquer par SMS. Il ne leur a pas fallu beaucoup de temps pour commencer à me caresser sans gêne devant Patricia. J'étais en train de commencer à me dire si vous les weekends étaient comme ça il allait falloir que je commence à m'orienter sur le Viagra. Comme d'habitude l'une me caressait l'avant et l'autre l'arrière, du coup je commençais déjà à ma trémousser dans tous les sens de plaisir.
J'étais debout dans ma combinaison lycra avec fermeture éclair ventrale et Marie m'avait déjà sorti le sexe pendant que Laetitia me caressait les fesses avec insistance. En un mot ces femmes faisaient ce qu'elles voulait de moi sexuellement. Les deux femmes m'ont emmené dans la chambre, que manifestement elles connaissaient, elles m'ont allongé sur le lit, ouvert la fermeture côté bas. Pendant qu'une s'est mise à m'embrasser, l'autre s'est mise à me faire une feuille de ros; je ne vous raconte pas le plaisir sa langue m'excite mon petit trou. Puis patricia est venue nous retrouver dans la chambre.
C'est bon je vous ai mis de l'eau à la bouche si vous avez lu jusqu'au bout et que cela vous a plu il y aura une suiteBisous à vous
Dans le très long épisode précédent, je vous racontais comment de chômeur en région parisienne je m'étais retrouvé directeur d'une société de fabrique de dessous sexy dans la Creuse. Je m'étais retrouvé à la tête d'une équipe de 70 femmes et pas un seul homme. Le directeur précédent avait pris sa retraite et m'avait expliqué qu'il y avait plein de bons coups dans la société. Je rassure certain il n'y aura pas un épisode par femmes... le nombre de chapitre évoluera en fonction du nombre de personnes qui apprécieront mon histoire.
Nous étions donc un vendredi soir une veille de weekend et je venais de prendre du plaisir avec Muriel Dominique et Patricia. En fait je venais de découvrir les coutumes au sein de la société, ces dernières n'étant pas pour me déplaire; étant célibataire et un peu en manque. Je commençais à réaliser que je n'aurais plus besoin de me faire ça à la main désormais. Après nous être envoyés en l'air dans mon bureau les filles ont pris l'initiative de m'accompagner chez moi pour passer la soirée, mon petit doigt me dit que cela allait dégénérer. Je n'ai rien eu à faire elles ont préparé à manger, elles ont mis la table.
Le plus sympa c'est qu'il y en avait toujours une voire deux pour s'occuper de moi pendant que les autres étaient à la tâche. Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est que nous ne faisions pas de chichi et que une fois dans la maison, nous étions tous en petite tenue. J'avais une érection que les employées veillaient à entretenir bien rigide. C'est là qu'elles m'ont expliqué que autant au boulot j'étais assez directif mais que dans l'intimité j'étais un peu plus soumis que ne l'était l'ancien directeur. D'après elles, j'étais un homme beaucoup plus tactile et sensible qui manifestement adorait les matière très douces. je leur ai avoué que effectivement j'adorais les matière très douces, que n'avais-je pas dit. Patricia est partie sur-le-champ dans sa voiture pour ramener une magnifique nuisette très très longue et monstrueusement douce.
Elle m'a demandé de l'enfiler, j'ai refusé.., mais avec l'insistance des trois filles et l'excitation, j'ai fini par accepter. Dominique en a profité pour me débarrasser de mon slip et voilà comment je me suis retrouvé à poil juste vêtu d'une nuisette en compagnie de trois employées de ma société. Elles m'ont expliqué que avec Thierry cela n'aurait pas été possible mais qu'elles avaient vraiment envie de me voir ainsi vétu. Le moindre de leurs contacts électrisait mon corps dans cette matière ne me laissait pas indifférent, Muriel m'a expliqué que c'était notre société qui fabriquait ce genre de produit. Régulièrement elles me soulevaient ma nuisette pour me faire ou des baisers sur les fesses ou sur mon sexe. Il allait de soi que j'avais aussi le droit à des mains au cul et des mains au paquet, le problème des mains au cul c'est qu'elles étaient très insistantes.
Ces petits attouchements plus ou moins intimes finissaient quand même par me plaire et surtout me chauffer encore un peu plus; je me sentais vraiment bien en compagnie de ses trois femmes. Pendant le repas alors que nous étions à table j'ai eu le droit à plusieurs fellations et surtout des doigts qui sortaient de leurs minou que j'ai eu à sucer, il n'y a pas meilleure friandise. Après le repas elles se sont occupées à ne plus laisser une seule trace de leur passage à table. À un moment Dominique est venue me chercher pour m'emmener dans la cuisine pour y voir Patricia faire la vaisselle, elle m'a fait remarquer que c'était une bonne occasion de s'occuper de Patricia. Je n'ai rien eu à faire elle s'est occupée de tout.
Dominique a écarté le tanga de Patricia puis a saisi mon sexe pour le présenter à l'entrée du conduit, elle a glissé une belle noix de salive à l'entrée puis a saisi mes fesses d'une main. De l'autre main elle tenait mon sexe puis elle s'est mise à appuyer sur mes fesses pour que je pénètre Patricia. Patricia n'a pas bronché et a continué à faire la vaisselle quelques instants avant de déposer le tout et s'appuyer sur l'évier. Je me suis ensuite agrippé aux hanches Patricia pour commencer à aller et venir en elle. Voilà maintenant que je me mettais à enculer mes employées pour leur plus grand bonheur et avec l'aide de leurs collègues. Pendant ce temps Dominique s'est mise à embrasser ma partenaire qui avait l'air de beaucoup apprécier ses baisers. À ce rythme-là je me disais que j'allais avoir un weekend épuisant, d'autant que je n'avais aucune idée du programme pour la fin du weekend.
Dominique en a profité aussi pour aller titiller le minou de ma partenaire par-dessous son tanga. Je ne sais pas si c'était les caresses de sa collègue ou mon va-et-vient en elle mais Patricia réagissait très très bien à ce qu'il lui arrivait. Puis Patricia s'est mise à pousser des cris monstrueux et surtout à griffer le côté extérieur de mes fesses, j'en ai conclu qu'elle était en train de prendre son pied. La Féline qui dormait en elle venait de se réveiller,elle remuait les fesses de telle façon à ce que j'aille encore plus loin dans son intimité, ce qui au bout de quelques instants a fini par me faire aussi partir en elle. Muriel est arrivée pour essayer de contenir Patricia, sa méthode été de lui caresser les seins, le corps et surtout l'entrejambe. Je suis resté encore un peu en elle pour lui déposer le plus de liqueur possible. Puis les filles ont fait retourner Patricia, l'ont fait se pencher pour lui donner mon sexe à nettoyer; elle s'est exécutée pour mon plus grand plaisir final.
J'étais en train de me dire que mes journées allez être épuisantes à ce rythme-là. Moi qui étais célibataire depuis quelques temps je finissais par me dire qu'il n'allait pas m'être utile de chercher une compagne j'allais en avoir au boulot comme à la maison. J'étais aussi en train de me rendre compte que la longue nuisette qu'elles m'avaient fait enfiler ne me déplaisait pas du tout. Toutes les trois sont venues me voir quand elles ont constaté que j'étais un peu dans les nuages. Là elle m'ont expliqué il y avait une coutume au sein de la société ce qui se passait dans la société ne sortait pas de la société. Elles étaient matures et responsables, elles venaient juste prendre du plaisir, du bon temps. Mes 3 collaboratrices avaient les pieds sur terre et elles m'ont rassuré.
En fait c'est vrai que j'avais un peu la tête dans les nuages mais j'avais aussi un coup de barre car la journée commençait à être longue. Je les ai invitées à venir dormir avec moi dans la chambre car il commençait à se faire tard. Seule patricia a accepté mon invitation car les deux autres m'ont dit être attendu par leur mari. C'est après de longs bisous et surtout de tendres attouchements que nous avons fini par nous séparer. Patricia qui n'était vraiment pas farouche s'est complètement dénudée et s'est glissée sous les draps. J'ai commencé à me débarrasser de ma nuisette pour me coucher mais Patricia m'a dit qu'elle préférait que je la garde. Du coup ma nuisette m'a servi de chemise de nuit, de toute façon sa douceur me plaisait énormément. Entre la douceur de ma nuisette et les caresses de Patricia je me suis endormi avec un gros gourdin entre les jambes.
Ma partenaire pour la nuit était vraiment attendrissante de douceur et de gentillesse à mon égard. C'est ainsi qu'à mon réveil j'ai constaté qu'elle avait déjà quitté le lit et qu'elle était en train de s'occuper de la maison dans une robe de chambre en pilou pilou rose. C'est vrai que j'avais remarqué cette robe de chambre dans mon placard. Lorsqu'elle eut constaté que j'étais réveillé, elle est venue se glisser à mes côtés, puis disparaître sous les draps pour venir me faire une fellation matinale. J'avais vraiment l'impression que Patricia n'était pas intéressée mais qu'elle avait besoin de sentiments et d'affection. En quelques instants, mon sexe était en érection maximum, mon dard était toujours caché sous la nuisette mais cet dernière était remontée dans la nuit; ce qui en a fortement facilité l'accès.
Je ne sais pas si Patricia aimait à ce point le sexe ou elle aimait juste me donner du plaisir; quoi qu'il en soit, elle le faisait très bien. Je ne l'ai pas laissée aller jusqu'au bout de la turlutte, je préférais l'avoir contre moi, savourer la douceur de son corps, profiter de ses caresses expertes. Nous nous sommes picorés, bécotés, dévorés une bonne heure durant; nos sexes ne demandaient que ça, mais nous avons résisté. Puis nous avons fini par nous lever pour passer à table et prendre notre petit dej' en amoureux. Un peu de douceur dans ce monde de brutes...
Patricia faisait partie des trois commerciales de la société. Ce samedi matin là, j'apprenais plein de choses sur elle et plein de choses sur ses collègues ainsi que sur la société elle même. Elle était dans la société depuis 15 ans, elle venait d'avoir 40 ans, elle avait commencé comme les autres à la couture ou plutôt la confection comme elles disent; c'est vrai que terme est plus joli. Ensuite elle était passée à la fabrication à savoir la mise au point des projets, cela nécessitait quand même quelques notions en informatique. Puis elle s'est retrouvé commercial où elle se trouve aujourd'hui depuis 3 ans. C'était une idée d'elle et surtout de toutes les employées qui ont insisté pour que ce soit elles et non des professionnelles qui posent dans les dessous sexy qu'elles confectionnaient. En même temps comme je vous l'ai déjà dit quand on voyait les employés elle avait pas grand-chose à envier aux mannequins.
Après notre petit repas matinal nous avons pris la voiture et sommes partis nous promener à une vingtaine de kilomètres de la maison dans la ville de Souterraine. Nous avons garé la voiture à la gare et nous sommes promenés ensemble main dans la main bref nous sortions ensemble. Elle s'est empressée de me montrer l'église de Notre-Dame qui ne manquait pas de charme ainsi que des petites rues toutes aussi charmantes. Le patrimoine architectural avait l'air très bien entretenu dans le village, puis nous sommes allés dans une petite boutique de dessous féminins. Manifestement la patronne et Patricia se connaissaient très bien, les présentations furent faites. La patronne de la boutique était une ancienne de la société qui s'était mise à son compte, apparemment sa boutique tournait très bien.
En les regardant parler j'ai pu constater qu'elles s'entendaient très très bien au point de constater quelques gestes un peu déplacés. J'ai aussi pu constater qu'il y avait de nombreux produits venant de notre société. J'ai appris par la suite par les mots de Patricia que elle avait droit à un tarif préférentiel en tant qu'ancienne de la boite; cela lui garantissait une confortable marge lors de la revente. Il n'y a pas à dire la patronne de la boutique avait gardé un excellent souvenir de la société ainsi que ses collègues. Elles m'ont surpris en train de toucher et caresser les dessous en vitrine, je suis devenu tout rouge mais je leur ai répondu que c'était le professionnel qui était là en train de comparer des produits. Au fond de moi j'étais surtout en train de me dire que j'étais en train de devenir fétichiste des dessous, des matières douces et même peut-être du lycra.
Patricia s'en est rendu compte et elle est venue me voir en me disant qu'il n'y avait pas de honte a aimer toucher les dessous féminins surtout pour un homme. Elle m'a pris la main et m'a dirigé vers porte dérobée où se trouvait une sorte de sexe shop, il y avait seulement quelques sextoy très raffiné mais surtout de la lingerie très très sexy. Il y avait toutes sortes de vêtements latex cuir et vinyle, le tout pour homme ou femme. Ayant un peu une notion des prix maintenant vu que je travaillais un peu dans le secteur désormais je me rendais compte qu'il y avait des marge de sauvage. Sophie, la patronne m'a dit que ses fournisseurs vendaient déjà assez cher mais qu'elle le reconnaissaît, elle aussi faisait de bonnes marges dessus. J'ai découvert un côté un peu dominatrice de Patricia quand elle m'a montré une combinaison dans laquelle elle me verrait bien.
Patricia m'a suggéré de partir dans la cabine essayer la combinaison de ma taille, j'étais un peu gêné car la patronne était là. À force d'insistance je n'ai eu pour seule solution que celle de ceder, je suis donc parti me changer et je l'ai appelé une fois paré de la combinaison. Sur cette tenue il y avait une fermeture éclair qui partait du cou jusque sur le haut des fesses, elle était tellement douce que je ne pouvais dissimuler mon érection. À ma grande surprise ce sont les deux femmes qui sont venues me voir comment cela m'allait, satisfaite du résultat la patronne en avait profité pour me caresser le sexe devant ma chérie. Il n'y a pas à dire il y avait une extrême complicité entre ces deux femmes. Toutes les deux se sont mises à me caresser, l'une s'occupait de devant et l'autre de mes petites fesses.
Ce qui devait arriver arriva la patronne a sorti mon sexe de sa cachette et le prendre en bouche et me faire une fellation d'anthologie; tout cela devant les yeux de Patricia. Patricia continuait à me caresser pendant que la patronne me suçait avec gourmandise. Vu le contexte je n'ai pas été bien long à lui balancer tout ma liqueur au fond de la gorge. Elle a continué à me sucer encore quelques instants puis s'est relevée pour aller embrasser Patricia et échanger la semence qu'elle avait encore à la bouche. Décidément ces deux-là avaient l'air de s'apprécier. Sophie m'a offert la combinaison en cadeau de bienvenue dans la société et Patricia m'a littéralement obligé à repartir avec la combinaison sur moi.
J'ai donc gardé la combinaison et ai renfilé le reste de vêtements par-dessus, cela ne se voyait pas du tout. Nous n'étions que trois à être au courant de ma tenue intime et les deux filles savaient que je la portais un peu contre ma volonté. En moins de 24 heures, Patricia me tenait par le sexe et elle faisait ce qu'elle voulait de moi. En même temps vu ce que je vivais depuis le début de ce weekend je n'avais pas trop à me plaindre. Le côté directif et autoritaire de Patricia ce n'était pas pour me déplaire, je cherchais des personnes comme ça dans l'encadrement, en même temps elle savait séparer le travail du plaisir.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison, là elle m'a dit expliqué qu'elle adorait ce genre de combinaison car les hommes ne débandaient pas avec ça. Elle m'a expliqué qu'elle m'en achèterai une deuxième de telle façon à ce que je puisse la porter tous les jours de la semaine, il suffisait juste de porter un pull col roulé à manches longues. Au fur et à mesure que je découvrais Patricia je comprenais qu'elle était une meneuse dans la société. L'avantage c'est qu'avec son charme et son caractère elle prenait souvent le dessus psychologique sur ses clients quand elle travaillait. En gros, j'étais en train de devenir son soumis sans trop savoir quoi dire et quoi faire.
Patricia était devenue en 24h ma petite femme d'intérieur ma maîtresse et ma collaboratrice. Compte tenu de son statut au boulot j'étais appelé à la voir souvent dans mon bureau et je ne sais pas comment ça allait se passer désormais. En début d'après-midi on a sonné à la maison et à ma grande surprise, mes deux autres commerciales étaient là sur le pas de la porte. C'est vrai que avec mes trois commercial Patricia Marie et Laetitia, je pouvais prétendre à un prix dans concours de beauté. Marie et Laetitia étaient toutes aussi belles que ma petite dame, aussi grandes 179/180cm et manifestement avaient le même caractère autoritaire et directif.
Elles sont entrées dans la maison sans trop me laisser le choix en me disant que Patricia les avait invitées à venir passer l'après-midi ici. Je n'étais au courant de rien mais vues les tenues sexy arborées, on pouvait supposer que l'après-midi allait être chaud. Je comprends maintenant pourquoi Patricia passait son temps à communiquer par SMS. Il ne leur a pas fallu beaucoup de temps pour commencer à me caresser sans gêne devant Patricia. J'étais en train de commencer à me dire si vous les weekends étaient comme ça il allait falloir que je commence à m'orienter sur le Viagra. Comme d'habitude l'une me caressait l'avant et l'autre l'arrière, du coup je commençais déjà à ma trémousser dans tous les sens de plaisir.
J'étais debout dans ma combinaison lycra avec fermeture éclair ventrale et Marie m'avait déjà sorti le sexe pendant que Laetitia me caressait les fesses avec insistance. En un mot ces femmes faisaient ce qu'elles voulait de moi sexuellement. Les deux femmes m'ont emmené dans la chambre, que manifestement elles connaissaient, elles m'ont allongé sur le lit, ouvert la fermeture côté bas. Pendant qu'une s'est mise à m'embrasser, l'autre s'est mise à me faire une feuille de ros; je ne vous raconte pas le plaisir sa langue m'excite mon petit trou. Puis patricia est venue nous retrouver dans la chambre.
C'est bon je vous ai mis de l'eau à la bouche si vous avez lu jusqu'au bout et que cela vous a plu il y aura une suiteBisous à vous
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique récit vivement le prochain
Très bien écris et existante