Le lustre
Récit érotique écrit par Tuss [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le lustre
Cette histoire, je dois le reconnaître, à conditionné une bonne partie des premières années de ma sexualité.
Je venais de passer mon bac et j’étais partis sur Besançon commencer mes études scientifiques. J’avais un petit studio dans un immeuble bourgeois de caractère et lors des premiers mois j’avais croisé une jeune femme assez mignonne que ma timidité m’avait bien évidemment empêché d’aborder. Un samedi soir, rentrant après avoir pris un verre avec quelques amis, je la croise devant les boîtes aux lettres.
Elle me souris gracieusement et avec beaucoup de douceur me demande si je pourrais l’aider à suspendre un lustre assez lourd dont elle vient de l’acquisition. Je bégaye péniblement un oui, elle me remercie abondamment et nous convenons d’un rendez-vous le lendemain.
Une certaine excitation m’accompagna lorsque je monté les escaliers et mon imagination partis un peu dans tout les sens. Une fois arrivé chez moije fût bien incapable de faire quoi que ce soit.
Le lendemain j’enfilai un survêtement, mis mon plus beau TShirt et montai les 2 étages qui nous séparais, sonnai et attendis. Elle m’ouvrit, les yeux brillants de reconnaissance et m’amena à son salon fort joliment aménagé. Je me sentais gauche et benêt ce qui contrastait avec ses manières simples et enjouées.
Le lustre était effectivement trèès lourd et la tâche se compliquait car les fils à relier étaient très courts. Le plafond étant haut je me retrouverai sur son tabouretque je me mis rapidement à maudire pour son instabilité.
Elle m’encourageât, s’excusât beaucoup puis n’y parvenant pas me proposa une pause. Elle alla chercher une bouteille de champagne non terminée lors d’une récente fête chez elle, on s’assit sur les canapés et elle me raconta sa vie qui était bien plus passionnante que la mienne.
Son aisance qui au début me filait des complexes fini par me détendre et je commençai à rire avec elle sur le sort peu enviable qu’elle réservait au lustre s’il persistait à me résister.
Je retournai à ma tâche, tandis qu’elle restait sur le canapé en finissant son champagne.
- En fait tu es costaud , tu vas forcément y arriver me dit elle. Et d’ajouter en inclinant légèrement la tête : Et même plutôt bien foutu.
Je dois dire que je n’étais pas vraiment habitué à des compliments aussi directs sur mon physique, et que je dû rougir passablement.
Ma confusion augmenta et je manquai de trébucher. Elle se précipita et me maintint les jambes pour m’éviter la chute. Ses mains autours de mes cuisses et son beau visage, si proche de mon bas ventre et tendu vers moi provoquèrent un violent début direction, que la peur d’être découvert accentua irrémédiablement. J’avais toujours les mains en l’air, le nez aussi d’ailleurs, je tripotait maintenant ces fichus fils n’importe comment et le silence qui venait brusquement d’elle me donnait l envie de disparaître comme dans un dessin animé.
C’est alors que je sentis une légère pression sur la bosse qui devait déformer mon pantalon. Légère mais qui ne se retirait pas, le doigt, car je ne doutai pas instant que ce ne fût son doigt, voulait être sûr de ce qu’il sentait !
Elle eu alors un petit rire amusé auquel je répondis bien involontairement par un rire nerveux.
Elle recula d’un bon mètre, me regarda droit dans les yeux d’un air songeur, se rapprocha à nouveau.
C’est alors que ses mains se posèrent tranquillement sur mon survêtement puis le descendirent lentement. J’étais incapable de penser, et encore moins de bouger.
Passif, je la laissait faire. Le survêtement fini à mes pieds et machinalement je soulevai les pieds quand elle tira légèrement dessus.
Elle retourna vers le canapé, trainant négligemment mon bas qui pendais sans sa main , se servit le fond de bouteille de champagne et admira ce qui semblait être son œuvre.
J’essayais de masquer le ridicule de ma situation dans la bataille perdue d’avance avec ces fils de malheur. Ma gène contrastait terriblement avec sa sérénité et j’entrevis à la dérobade son regard perçant pointé sur moi. J’avais beau m'enjoindre de dire quelque chose, essayer de reprendre le contrôle de la situation, rien ne venait.
- Tu as de belles cuisses me dit-elle en reposant son verre.
Ce compliment, aussi anodin soit-il, scella définitivement mon sort. Les jours suivants, quand je me repassai les événements de cette journée,je réalisai clairement que cette valorisation de mon anatomie me flatta et m’interdît alors tout retour en arrière. Je lui était reconnaissant de m’enlever une partie de ma honte, je lui attribuait une plus grande maturité et sûrement une plus grande expérience amoureuse et sexuelle, ce qui n’était pas bien difficile vu qu’en bon scientifique je n’en avait aucune .
Elle se leva alors et tel un félin revint vers moi.
- Et j’aimerais bien voir tes fesses, lâcha t’elle en me baissant sèchement mon caleçon sur les chevilles.
La rapidité de son geste me figea et acheva de me soumette à son autorité. Mon sexe se dressa immédiatement et me colla au ventre,une excitation inouïe m’envahît, qui ne demandait qu’une chose, que cela ne cesse surtout pas. J’étais nu, vulnérable et exposé devant unebrune séduisante et raffinée dont le nez aquilin à quelques centimètres de mon sexe frémissait délicatement.
Elle recula, leva la tête et me fixa presque durement. Je ne pu soutenir son regard et relevai mes yeux en direction de mes mains et du plafond.
Elle le prit pour un assentiment . Mon esprit redevint confus, la gêne n’était plus là mais je sentais que je plongeais dans un inconnu auquel rien ne m’avait préparé.
Elle tendis la main, me caressa les fesses, ou me les flatta ? , ses doigts avait beau être d’une finesse extrême il semblèrent en prendre possession.
Ses effleurements me mirent dans des états insupportables et je me retenais de gigoter.
-J’aime bien te voir comme ça mon petit igor. Le « petit » acheva d’établir clairement la hiérarchie entre nous deux , et ses doigts se refermants sur mes bourses validèrent concrètement la chose.
Oui, la chose, j’étais bel et bien devenu la chose, sa chose.
Et j’aimais ça.
Et elle le savait, en abusait et…… en abuserait.
Je venais de passer mon bac et j’étais partis sur Besançon commencer mes études scientifiques. J’avais un petit studio dans un immeuble bourgeois de caractère et lors des premiers mois j’avais croisé une jeune femme assez mignonne que ma timidité m’avait bien évidemment empêché d’aborder. Un samedi soir, rentrant après avoir pris un verre avec quelques amis, je la croise devant les boîtes aux lettres.
Elle me souris gracieusement et avec beaucoup de douceur me demande si je pourrais l’aider à suspendre un lustre assez lourd dont elle vient de l’acquisition. Je bégaye péniblement un oui, elle me remercie abondamment et nous convenons d’un rendez-vous le lendemain.
Une certaine excitation m’accompagna lorsque je monté les escaliers et mon imagination partis un peu dans tout les sens. Une fois arrivé chez moije fût bien incapable de faire quoi que ce soit.
Le lendemain j’enfilai un survêtement, mis mon plus beau TShirt et montai les 2 étages qui nous séparais, sonnai et attendis. Elle m’ouvrit, les yeux brillants de reconnaissance et m’amena à son salon fort joliment aménagé. Je me sentais gauche et benêt ce qui contrastait avec ses manières simples et enjouées.
Le lustre était effectivement trèès lourd et la tâche se compliquait car les fils à relier étaient très courts. Le plafond étant haut je me retrouverai sur son tabouretque je me mis rapidement à maudire pour son instabilité.
Elle m’encourageât, s’excusât beaucoup puis n’y parvenant pas me proposa une pause. Elle alla chercher une bouteille de champagne non terminée lors d’une récente fête chez elle, on s’assit sur les canapés et elle me raconta sa vie qui était bien plus passionnante que la mienne.
Son aisance qui au début me filait des complexes fini par me détendre et je commençai à rire avec elle sur le sort peu enviable qu’elle réservait au lustre s’il persistait à me résister.
Je retournai à ma tâche, tandis qu’elle restait sur le canapé en finissant son champagne.
- En fait tu es costaud , tu vas forcément y arriver me dit elle. Et d’ajouter en inclinant légèrement la tête : Et même plutôt bien foutu.
Je dois dire que je n’étais pas vraiment habitué à des compliments aussi directs sur mon physique, et que je dû rougir passablement.
Ma confusion augmenta et je manquai de trébucher. Elle se précipita et me maintint les jambes pour m’éviter la chute. Ses mains autours de mes cuisses et son beau visage, si proche de mon bas ventre et tendu vers moi provoquèrent un violent début direction, que la peur d’être découvert accentua irrémédiablement. J’avais toujours les mains en l’air, le nez aussi d’ailleurs, je tripotait maintenant ces fichus fils n’importe comment et le silence qui venait brusquement d’elle me donnait l envie de disparaître comme dans un dessin animé.
C’est alors que je sentis une légère pression sur la bosse qui devait déformer mon pantalon. Légère mais qui ne se retirait pas, le doigt, car je ne doutai pas instant que ce ne fût son doigt, voulait être sûr de ce qu’il sentait !
Elle eu alors un petit rire amusé auquel je répondis bien involontairement par un rire nerveux.
Elle recula d’un bon mètre, me regarda droit dans les yeux d’un air songeur, se rapprocha à nouveau.
C’est alors que ses mains se posèrent tranquillement sur mon survêtement puis le descendirent lentement. J’étais incapable de penser, et encore moins de bouger.
Passif, je la laissait faire. Le survêtement fini à mes pieds et machinalement je soulevai les pieds quand elle tira légèrement dessus.
Elle retourna vers le canapé, trainant négligemment mon bas qui pendais sans sa main , se servit le fond de bouteille de champagne et admira ce qui semblait être son œuvre.
J’essayais de masquer le ridicule de ma situation dans la bataille perdue d’avance avec ces fils de malheur. Ma gène contrastait terriblement avec sa sérénité et j’entrevis à la dérobade son regard perçant pointé sur moi. J’avais beau m'enjoindre de dire quelque chose, essayer de reprendre le contrôle de la situation, rien ne venait.
- Tu as de belles cuisses me dit-elle en reposant son verre.
Ce compliment, aussi anodin soit-il, scella définitivement mon sort. Les jours suivants, quand je me repassai les événements de cette journée,je réalisai clairement que cette valorisation de mon anatomie me flatta et m’interdît alors tout retour en arrière. Je lui était reconnaissant de m’enlever une partie de ma honte, je lui attribuait une plus grande maturité et sûrement une plus grande expérience amoureuse et sexuelle, ce qui n’était pas bien difficile vu qu’en bon scientifique je n’en avait aucune .
Elle se leva alors et tel un félin revint vers moi.
- Et j’aimerais bien voir tes fesses, lâcha t’elle en me baissant sèchement mon caleçon sur les chevilles.
La rapidité de son geste me figea et acheva de me soumette à son autorité. Mon sexe se dressa immédiatement et me colla au ventre,une excitation inouïe m’envahît, qui ne demandait qu’une chose, que cela ne cesse surtout pas. J’étais nu, vulnérable et exposé devant unebrune séduisante et raffinée dont le nez aquilin à quelques centimètres de mon sexe frémissait délicatement.
Elle recula, leva la tête et me fixa presque durement. Je ne pu soutenir son regard et relevai mes yeux en direction de mes mains et du plafond.
Elle le prit pour un assentiment . Mon esprit redevint confus, la gêne n’était plus là mais je sentais que je plongeais dans un inconnu auquel rien ne m’avait préparé.
Elle tendis la main, me caressa les fesses, ou me les flatta ? , ses doigts avait beau être d’une finesse extrême il semblèrent en prendre possession.
Ses effleurements me mirent dans des états insupportables et je me retenais de gigoter.
-J’aime bien te voir comme ça mon petit igor. Le « petit » acheva d’établir clairement la hiérarchie entre nous deux , et ses doigts se refermants sur mes bourses validèrent concrètement la chose.
Oui, la chose, j’étais bel et bien devenu la chose, sa chose.
Et j’aimais ça.
Et elle le savait, en abusait et…… en abuserait.
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