Le maître des salopes 10 - histoire érotique

Ils se sont organisés pour aller prendre une douche chacun leur tour pendant que les autres se restauraient, se faisaient des bisous, riaient en parlant de ce qu'ils venaient de faire.
Ils avaient l'air content de passer le reste de la nuit deux par deux. Les blagues fusaient sur les cris qui pourraient percer durant la nuit.

Quand Valentin s'est couché, et que Léo est venu se coller à lui, telle une pieuvre amoureuse, le fixant de ses beaux yeux.
-je suis content de me retrouver enfin tout seul avec toi maître! cela va me rappeler le bon temps que nous avons déjà passé ensemble.
-tout ce que je vois c'est que tu parles toujours autant Léo dit Valentin en riant et j'ai hâte que tu t'occupes de moi.
-c'est vrai que tu as gardé ton bon jus pour moi ?
-oui ma belle salope, uniquement pour toi… mais faudra le dire à personne.
-alors tu m'aimes encore Maître Valentin?
-disons que oui, je t'aime bien, vu que j'ai cherché à te retrouver espèce de voyou mais sache que maintenant mon préféré est Mehdi.
-j'ai vu ça, vous êtes bien mignons tous les deux mais qu'est ce qu'il te fait pour que tu sois comme ça avec lui ?
-ça c'est notre secret Léo et en plus on s'aime vraiment.
-ah c'est beau l'amour dit Léo en le fixant, mais en fait ce que je préfère c'est une bonne grosse queue dans mon petit cul de salope, qui me ramone fortement pour que je crie ma race. Je suis encore plus salope que lorsque tu m'as connu maître Valentin.
-je t'ai vu à l'œuvre ce soir et de la façon dont tu as pris le bangala de Gaston je ne peux t'accorder que mes félicitations mais en fait tu as eu de la chance qu'il ne soit pas le macho de base car avec la queue qu'il a, on t'aurait entendu chanter dans tout Paris.
Léo rigole,
-tu crois que j'ai pas assez gueulé! mais putain quand tu sens sa grosse queue te remonter presque dans l'estomac ça coupe le souffle!
-imagine si Kader avait la queue de Gaston.
-oh putain se serait un massacre car il est pas tendre le rebeu quand il nique un cul il est moins épais que Gaston mais t'as franchement l'impression que c'est pire.
-alors t'as le cul en compote pour moi ?
-il est prêt pour toi, une bonne douche avec nettoyage de l'intérieur l'a remis en état dit Léo en éclatant de rire, c'est comme neuf!
-embrasse moi voyou! dit Valentin en l'enveloppant de ses bras.

Leon se trouvait sur Valentin, sa queue se frottait à celle de Valentin. Il retrouvait l'odeur de ce beau mec qui l'avait si souvent baisé dans le temps, l'avait fait grimper aux rideaux comme il disait. Les partouzes qu'il avait fait avec lui et se retrouver, comme ce soir, tous les deux dans un lit pour bien finir la soirée. Léo pensait à tout ça en faisant des bisous partout sur le visage de Valentin, évitant exprès ses lèvres, caressant son front, ses joues, de ses pouces, yeux dans les yeux qu'ils étaient beaux ses yeux verts émeraudes, ce soir ils étaient doux, tendres.

Léo a posé son nez sur le sien, lui faisant un bisou du bout des lèvres puis il a fermé les yeux et ses lèvres sont venues se poser délicatement sur les siennes, sa langue les a léché doucement, les humidifiant avant d'essayer de passer entre elles. Valentin s'est laissé faire, sa langue en embuscade et, quand celle de Léo est entrée délicatement, la sienne s'est jetée dessus, la caressant, la léchant, s'enroulant avec elle, échangeant leur salive et Léo s'est mis à gémir en se serrant encore plus sur Valentin, bougeant comme un asticot, faisant remuer leurs queues l'une sur l'autre.
Les mains de Valentin descendent sur son dos, ses grandes mains douces et chaudes l'enveloppent avant de venir se poser sur ses petites fesses dures et douces. Ses mains s'en accaparent, les caressent, les malaxent, les triturent. Leur baiser s'éternise les langues se battent toujours dans un duel très humide. La salive coule de la bouche de Valentin sur sa joue et tombe sur le drap.

Les mains écartent bien ses fesses, Léo sent le doigt fouineur passer dans sa raie toucher son anus souple, imberbe. Léo a envie de Valentin.
Il le regarde.
-je m'occupe de ta queue maître et tu me baises comme au bon vieux temps! bien à fond!
Valentin sourit en voyant la tête de Léo descendre sur son torse, faisant des bisous à ses tétons au passage, léchant ses abdos, noyant son nombril pour prendre en main sa grosse tige, la décalotter complètement et aussitôt ses lèvres l'entourent rapidement. Un vrai morfale ce Léo, à croire qu'il n'avait pas eu de bite en bouche depuis une éternité.
Une main lui caresse les couilles, pendant que les lèvres montent et descendent rapidement sur la grosse tige.
Valentin savoure cette bonne pipe, il aurait reconnu sa bouche, sa langue car Léo avale toute sa queue jusqu'au pubis, en toussant, pleurant mais il se fait plaisir.

Mais d'un seul coup il lâche tout, se retourne sur le lit, à quatre pattes, le cul en l'air.
-baise moi maintenant maître Valentin, j'en ai tellement envie.
-je vais te bouffer ton petit cul ma belle salope, car j'aime toujours autant ton petit cul.
-je voulais à sec maître Valentin dit un Léo faisant son plaignant.
-t'en fais pas! tu vas chanter quand même ma belle salope.
Le cul de Léo, comme celui de Mehdi, a toujours excité Valentin. Ces culs ont quelque chose que les autres n'ont pas, ils sont dociles tant à la langue qu'à la queue et Valentin aime les lécher, recueillir l'odeur de ses petits mecs et là encore il ne se prive pas. Mais ne fait que lécher, écartant bien les fesses, sans chercher à le pénétrer, toute la salive déposée est retirée avec sa langue et il décide de faire plaisir à ce beau mec.
Sa queue palpite devant l'entrée, il l'a stabilise devant l'anus, le gland juste posé dessus. Léo écarte encore plus ses jambes, la tête dans les draps ses mains viennent ouvrir ses fesses. Valentin force légèrement et voit son gland ouvrir l'anus.

Il retire les mains de Léo, les fesses se referment légèrement. Valentin claque les fesses l'une après l'autre faisant crier Léo et à chaque claque il donne un petit coup de reins et sa queue entre, ouvre, écarte ce cul souple. Au fur et à mesure des claques, les fesses deviennent d'un beau rouge et de ses coups de reins, le gland est presqu'entré.
Valentin bloque les fesses de ses deux mains, se redresse et d'un coup de reins finit de faire passer son gland et Léo pousse un grand cri, mordant le drap.

Valentin lui redonne quelques claques, reprend les fesses et, en se redressant s'enfonce en poussant fortement dans le beau cul offert d'une seule traite, et là Léo gueule, gueule de plaisir de sentir cette bonne grosse queue entrer en lui et s'installer.
Valentin le laisse respirer 10 secondes et ses lents va-et-vient se mettent en route, il sent son gland racler la paroi du conduit, c'est chaud, c'est doux. Il accélère et Léo gueule en continue maintenant! soufflant la bouche ouvert mais s'offrant.
Valentin se redresse et continue ses mouvements, il sent que son gland touche la prostate en même temps que Léo tremble de partout, poussant des oh et des ah. Valentin s'amuse à faire passer son gland dessus. Une jambe de Léo est prise de tics. Valentin claque une fesse pour le calmer.

Sans sortir du petit cul si chaud, Valentin le fait changer de position, Léo se met sur le côté, une jambe collée au torse de Valentin son cul est encore plus ouvert et Valentin peut voir la tête de Léo, des cris qu'il pousse, des grimaces qu'il fait quand sa prostate est encore sollicitée.
Sa queue raide coule en continue.
Valentin se déchaîne, le fait tourner, sur le dos, à plat ventre, il le baise toujours avec rudesse. Lui claque les fesses et Léo en demande toujours encore et encore.
Valentin descend du lit, entraînant Léo au bord, lui tournant le dos, il le redresse contre lui et sa queue s'enfonce encore plus en lui. La tête de Léo se pose sur son épaule, il gémit maintenant et son petit cul serre fortement la grosse queue de Valentin qui s'est saisi de sa queue.

En cadence de ses coups de reins Valentin le branle, en le tenant par le cou, lui mordant la nuque en lui disant.
-t'es à moi ma salope! t'aime ça la queue de ton maître, t'aime ça te faire enculer par toutes les queues de Paris et d'ailleurs.
Léo a fermé les yeux, offre son cou, serre le bras de Valentin, se laisse branler de la main chaude de son maître et sent le plaisir arriver, car la main plus la queue lui donnent des frissons d'extase.

En même temps que la morsure de Valentin sur sa nuque, Léo sent le plaisir arriver. Il gueule son plaisir, son bonheur de jouir de la main de son maître et ni l'un ni l'autre ne voient les giclées qui traversent le lit pour tomber de l'autre côté. Son petit cul tente d'écraser la grosse queue de Valentin. Sa morsure se fait plus intense et ses giclées arrivent, des giclées chaudes qui glissent en lui, lui réchauffent le boyau, il sent le jus se répandre pendant que lui éjacule encore et encore. Mais Valentin n'arrête pas non plus et il remplit comme il se doit le bon petit cul chaud de Léo.

Les corps se détendent. Valentin sent celui de Léo s'avachir contre le sien, il souffle le beau Léo en retournant la tête et fait un gros bisou à Valentin.
-mon maître préféré est toujours aussi doué dit Léo.
Valentin sourit en retirant sa queue de sa cachette.
Léo se retourne pour passer ses bras autour de son cou, le fixer.
-qu'est ce que j'ai été con de ne plus répondre à tes messages maître Valentin, on aurait formé un beau couple tous les deux. Je serais sûrement devenu la Salope 1ère de Paris avec toi.
-comme tu dis, c'est toujours con de laisser passer son tour. Tu vois Mehdi a su le saisir.
Léo l'entraîne sur le lit, reprend la position de la pieuvre.
-j'ai envie de dormir maître Valentin. Je me contenterais de dormir encore une fois dans tes bras seul avec toi!
-t'es vraiment une belle salope mon cher ami! alors dormons.
Le drap avait à peine recouvert les corps qu'ils dormaient.

Ce qui a réveillé Valentin, c'est un corps qui se glissait contre lui, un corps chaud qu'il a reconnu avant d'ouvrir les yeux. Mehdi soulevait son bras pour se blottir contre lui, lui faisant de doux bisous.
-t'as bien dormi mon amour ? demande Mehdi.
-oui ça va, tu sais avec un beau mec dans ses bras on dort toujours bien et toi ? t'as fait quoi de Kevin ?
-il est allé se blottir entre Kader et Gaston dit Mehdi en riant, il est beau Léo quand il dort.
-oui c'est un garçon exquis le beau mec. Je vais te dire un truc, même plusieurs eh bien j'ai appris cette nuit que Léo ici présent regrettait de ne pas avoir répondu à mes messages et qu'il aurait aimé être à ta place comme Kader également qui se morfond de ne pas avoir accepté ma proposition il y a quelques temps. Tu vois mon chéri je crois qu'ils sont jaloux de toi et de ça j'en suis fier.
-t'es un amour, mon amour, mon mec et je t'aime énormément. Moi quand je t'ai vu, j'ai su de suite qu'il fallait que j'accepte tout ce que tu me proposerais et il n'y a pas un jour où j'ai regretté mon choix.

Mehdi voit Léo ouvrir les yeux, le regarder.
-voilà le regret que j'ai moi dit Léo, tu as bien fait Mehdi et c'est vrai que je suis jaloux que tu aies pris cette place mais je le connais le phénomène, tout Maître qu'il est il a un très grand cœur, la preuve ? on est tous là et on fait ce qu'il veut!
-parce que je vous aime tous les mecs! bon pas tous au même degré mais j'ai tellement de plaisir à vous avoir tous sous la main.
Un grand cri vient du fond de l'appartement.
-c'est Kevin qui a voulu jouer les gourmands il sert de tranche de jambon entre Kader et Gaston dit Mehdi en riant.
-mais il lui faut tous les mecs ce Kevin dit Léo en regardant Valentin, je peux aller les retrouver maître Valentin ?
-mais comment pourrais je t'en empêcher ? dit Valentin en riant.
Et Léo est parti telle une fusée vers l'origine des cris.

Mehdi s'est callé contre Valentin, sa main avait saisi sa queue.
-alors ? t'es content de ton week-end ? demande Valentin.
-faudrait être difficile pour dire le contraire.
-tu auras envie de recommencer ?
-si mon Maître le veux bien sûr! dit Mehdi les yeux gourmands.
-et si j'avais envie de ne rester qu'avec toi… tout le temps ?
Mehdi le regarde en silence.
-t'en penses quoi Mehdi ?
-j'en pense… j'en pense que… si c'est ce que tu veux il ne faut pas qu'on reste à Paris.
-comment ça ?
-ben oui sinon on va les voir revenir toutes les belles salopes que tu aimes tant.
-oui c'est vrai tu as raison il faut que je réfléchisse à ça.
-donc tu te conterais de moi ? uniquement de moi ?
-ben oui dit Valentin ça n'a pas l'air de te plaire.
-oh si enfin je réaliserais mon rêve, t'appartenir entièrement, être le seul à partager ton lit, ton corps, ta queue et ton cul.
-pour l'instant mon cul tu…
-chut maître Valentin, je suis sûr d'une chose c'est qu'un jour tu me laisserais goûter ton cul avec ma queue, j'ai déjà eu l'honneur de le forer avec un doigt, avec ma langue et, j'avoue que ma queue est impatiente mais tu es le Maître et tu le resteras tout le temps.

Des cris provenaient encore du fond de l'appartement.
-tu vois dit Valentin, ils n'ont plus besoin de nous.
-alors tu veux vraiment que je m'occupe de ton cul maître Valentin ?
Valentin prend sa tête entre ses mains.
-toi oui! tu me dis que tu m'appartiens, mais sache que moi aussi je t'appartiens. Je t'aime des pieds à la tête, tu le sais, j'aime te déguster partout et j'ai envie, j'aimerais que tu en fasses autant avec moi.

Mehdi n'a pas le temps de répondre, du bruit se fait entendre et les quatre salopes, à poil arrivent dans la chambre.
-hey les faignasses! vous avez vu l'heure qu'il est ? déjà près de 17 heures ça m'étonne pas que j'ai faim dit Gaston en riant.
-vous en avez fait du bruit au réveil dit Valentin.
-ben que veux tu, les deux meilleures salopes de Paris se sont retrouvées dans notre lit et en plus elles réclamaient, alors avec Gaston on s'est dévoué!

Ils sont allés prendre un petit déjeuner améliorer et il était l'heure de se quitter. Valentin a vu qu'ils s'échangeaient leur numéro de téléphone.
Ils les ont aidé à ranger et sont partis tous en même temps faisant de suite un grand vide dans l'appartement.

Mehdi est venu dans les bras de Valentin s'asseoir face lui, lui faisant des bisous.
-enfin au calme dit Valentin.
-tu sais que j'ai aimé ce que tu m'as dit tout à l'heure mais tu sais y'a rien de pressé, j'aime tellement tout ce que tu me fais, j'aime tellement ta queue en moi.
-ça y est tu veux déjà plus mon cul voyou de rebeu!
-mais si t'es bête, mais on verra au fur et à mesure, comment cela se passe car le jour où cela arrivera je veux que tu en aies vraiment envie de m'avoir en toi.
-je t'aime Mehdi.
-je t'aime Valentin.
Le baiser qui a suivi fût un des plus long qu'ils avaient déjà échangé.

-alors ? dit Valentin, on reste à Paris et on continue les touzes tous ensemble ?
-les désirs de mon Maître sont des Ordres je ferais tout ce qu'il désire, quand il le désire c'est toi qui décide!!