Le maître des salopes 2 - histoire érotique

Ils sont restés un long moment comme ça, à genoux, serrés l'un contre l'autre, les queues bandantes. Mehdi offrait sa bouche, sa langue à Valentin n'arrêtant pas de lui dire des "je vous aime", se blottissant dans ses bras et ronronnant en se laissant caresser.
-on va se coucher a dit Valentin, mais avant l'esclave va laver son maître sous la douche et lui montrer que son esclave se lave bien tous ses orifices.
Les yeux de Mehdi brûlaient de plaisirs et Valentin n'en revenait pas de ce mec.

Sous la douche il a été lavé consciencieusement des pieds à la tête, en prenant son temps, caressant tout le corps de son Maître dans tous les recoins.
Quand ses doigts pleins de mousse sont passés dans la raie de Valentin, il l'a laissé faire, mais, respectueux, Mehdi n'a fait que "laver" l'anus, sans chercher à le pénétrer. Mais il a pu sentir que l'anus était bien fermé, dur mais chaud! Ses fesses ont été pétries, caressées et embrassées!
Quand Mehdi s'est occupé de la belle grosse queue qui bandait encore bien raide, bien droite, il a joué avec le savon liquide sur le gland, s'amusant avec le prépuce à recouvrir ce beau gland qui l'avait visité. Il le sentait encore dans son cul racler son conduit, alors il en a pris soins, usant et abusant du savon liquide. Le gland pointait au milieu de la mousse et il se passait le gland sur le visage. Les grosses couilles ont eu leur moment de gloire également détendues par l'eau chaude, il les a malaxé à deux mains. Quand l'eau a enlevé la mousse, plaquant les poils pubiens sur le corps de Valentin, la queue lui a paru encore plus longue et grosse. Il a regardé Valentin qui le matait, sourire aux lèvres.
-Maître! j'ai envie de vous sucer et de recueillir votre semence du soir! a demandé un Mehdi aux yeux implorants.

Valentin a su encore en fois, en voyant ce regard, qu'il était tombé sous le charme de ce rebeu portugais.

Il a cligné des yeux en le regardant et sa queue a été de suite avalée.
Mais comment, lui, le mec qui aime soumettre ses conquêtes se laissait faire par un jeune mec qui apparemment était vraiment une salope et un bâtard.

Il n'a pas eu le temps de réfléchir plus, la bouche de Mehdi s'activait de plus en plus sur sa queue, enveloppant son gland bien dur, le léchant, l'aspirant, le suçant pour avaler toute sa queue en fond de gorge. Il sentait son gland bousculer la luette, voyait Mehdi tousser sur sa queue mais la garder au fond de sa bouche et elle ressortait, entourée, serrée entre ses belles lèvres. Les mains douces de Mehdi lui caressaient les cuisses, remontant derrière jusqu'à son fessier mais il ne s'occupait que de ses cuisses, derrière et devant.
Le plaisir de Valentin est arrivé d'un coup, que Mehdi a devancé en avalant la queue au fond de sa gorge, levant ses yeux pour capter ceux de Valentin et lui montrer que toutes les giclées qu'il recevait elles coulaient en lui et qu'il se délectait jusqu'à la dernière goutte, il n'a pas quitté les yeux de Valentin.
Quand la source fût tarie, les lèvres entraient à nouveau en action et avec sa langue, restituait une queue neuve.

Sans attendre un ordre quelconque, Mehdi se relève, entoure le corp de Valentin dans ses bras, la tête dans son cou.
-Merci Maître pour cette bonne liqueur du soir.

Valentin qui ne voulait pas le montrer, se sentait quand même chamboulé par tout ce que Mehdi faisait ou disait, sa main est passée dans ses cheveux, collant sa tête encore plus contre lui. Entendre Mehdi respirer plus fort et recommencer ses ronronnements, la main descend sur le cou, Mehdi penche bien sa tête pour se laisser caresser malgré la présence du collier et cette main descend dans son dos, le long de sa colonne vertébrale. Les frissons le prennent, il se colle encore plus à Valentin et tend ses belles fesses à la caresse.

Il est bien Mehdi, jamais il ne s'est senti aussi bien avec un mec. Il en rêvait de se faire dominer dans la douceur, obéir comme ça, en gros faire plaisir à un mec qui lui plait.
-viens on va se coucher! dit Valentin.
Il l'emmène dans sa chambre, un très grand lit. Mehdi observe la chambre et voit un gros tapis moelleux aux pieds du lit.
Valentin le tient par la main. Mehdi s'approche, le regarde tendrement.
-pour que mon Maître dorme bien, je vais me coucher là sur le tapis! dit un Mehdi des plus sérieux.
Valentin serre sa main… mais ne sait plus quoi dire.
Il regarde Mehdi, s'approche, sa main vient caresser la joue de Mehdi qui s'offre à la caresse.
-tu veux que ton maître ait froid cette nuit…!
-oh non Maître, vous voulez vraiment que je dorme avec vous ? je bouge beaucoup la nuit il parait et je réveille les personnes qui dorment avec moi alors je ne voulais pas vous gêner.
-on verra bien! dit un Valentin conquis plus qu'il ne veut l'admettre.

Mehdi l'a laissé se coucher en premier, se mettre sous les draps, a fait le tour du lit, se glissant tout sourire près de Valentin qui l'enveloppe dans son bras. Le drap les recouvre, la lumière s'éteint.
Valentin est sur le dos, tenant Mehdi dans son bras, qui se tourne pour plaquer son torse contre son côté, sa jambe remonte sur sa cuisse et se glisse entre celles de Valentin qui sent une queue dure se coller à ses flancs. La main de Mehdi remonte du ventre à ses tétons, se pose entre les deux, à plat. Il soupire, souffle lentement.
-bonne nuit mon Maître adoré a dit Mehdi en calant bien sa tête.
Valentin écoutait son souffle qui s'est fait de plus en plus régulier, et Mehdi dormait!

Valentin a repensé à tout ce qu'ils avaient fait ce soir, repensé à tout ce que Mehdi avait dit. Il n'en revenait pas de cette abnégation qu'il avait. Il n'aurait jamais pensé en le voyant, que ce mec allait faire ça.
C'est vrai qu'il doit exister autant de salopes dans toutes les races, il faut les trouver, c'est tout pense Valentin en s'endormant!

Valentin n'a pas été réveillé de la nuit, il n'a pas senti si Mehdi avait bougé ou non, en tout cas, il était toujours dans la même position et sa queue bandait encore, comme la sienne d'ailleurs.
Valentin essaie de se décoller un peu de Mehdi pour l'observer.
Il n'en revient pas de la beauté de ce mec. Les métis sont souvent très beau, mais là, le mélange marocain et portugais est bien réussi.
Les lèvres sont entrouvertes et le souffle vient se perdre sur le corps de Valentin.
Valentin caresse la joue doucement, l'effleurant à peine pour ne pas le réveiller. S'il s'écoutait il se jetterait sur les lèvres offertes pour aller chercher sa langue qu'il apercevait bien sage.
Sa peau du visage était chaude et douce. De son index il touche les lèvres, le nez, passe entre les yeux pour caresser les sourcils. Tout en effleurement, son doigt descend de la tempe, la joue, le menton et revient aux lèvres.

Le corps chaud de Mehdi collé au sien l'excite au plus haut point. Il sent sa queue s'allonger lentement, il sent le prépuce se retirer de son gland. Son cœur s'accélère, palpite encore plus à toucher ce beau beur portugais qui le fait tant bander dès le réveil.
Tout lui revient en mémoire, tous les mots, la manière qu'il a de l'appeler "Maître", on sent qu'il ne se force pas. Valentin, au réveil n'en revient toujours pas, les questions arrivent dans sa tête en matant Mehdi.
Il est beau, très beau, il lui fait envie. Il a beaucoup aimé avoir son corps entre ses mains, il a énormément aimé le baiser tant dans son petit cul si accueillant que recevoir ses pipes endiablées.

-que vais-je faire de ce beau mec ? j'ai pas envie de le lâcher dans la nature pour qu'un autre en profite et abuse trop de lui… et si je le gardais, si je lui proposais de vivre avec moi ? il veut être mon esclave, pour être esclave faut vivre avec son maître pense Valentin, les yeux dans le vague, sourire aux lèvres.

Quand il revient de ses songes, c'est pour voir que Mehdi s'est réveillé, qu'il a ouvert ses beaux yeux, qu'il le regarde, le sourire s'est installé sur ses lèvres.
-quels sont les désirs de mon Maître le matin ? demande Mehdi de son plus beau sourire.
-que la nuit continue et qu'on reste comme ça.
-que la nuit continue est en dehors de mes compétences dit Mehdi en riant, par contre que l'on reste comme ça… j'en suis très heureux.
Sa main serre sa poitrine en se rapprochant encore plus de Valentin, qui sent la belle queue de Mehdi bouger contre ses flancs.

Leurs yeux se fixent et Valentin d'un seul coup se décide. Sa main vient prendre la joue de Mehdi, le bloquant nez à nez, leurs lèvres se touchent presque.
-j'ai quelque chose à te demander Mehdi, mais t'es pas obligé d'accepter tu sais… dit Valentin tout bas.
-je vous écoute Maître répond Mehdi en faisant bouger son nez sur celui de Valentin.
-veux tu vivre ici avec moi, tout le temps ?
Valentin voit les yeux de Mehdi s'écarquiller et les larmes arriver, couler sur le beau visage, une glisse sur le nez, Valentin lui donne un coup de langue.
-c'est une blague Maître ?
-non Mehdi, j'en ai envie, vraiment envie, de t'avoir avec moi et te voir te réveiller le matin. T'habites où et tu fais quoi dans la vie ?

Mehdi a fit un bisou sur le nez de Valentin et a raconté sa vie. Qu'il était seul et tout le temps à la recherche d'un beau mec qu'il pourrait rendre heureux.
-mais ça te dérange pas de m'appeler tout le temps Maître ?
-oh non! pas du tout, c'est tout ce que je rêve depuis toujours, appartenir à quelqu'un entièrement, être soumis à tous ses désirs et l'appeler Maître. Je trouve ça si beau.
-t'es quand même un sacré phénomène quand même.
-oui peut être, mais c'est ce que je veux, et au fait ! on est le 14 février aujourd'hui non ?
-eh oui dit Valentin tout sourire.
-alors bonne fête et bon anniversaire mon Maître.
C'est Mehdi qui avait pris la joue de Valentin dans sa main, le bloquant face à lui.
-j'accepte Maître Valentin de vivre avec vous, d'être à votre service, de faire tout ce que vous désirez. Je vous obéirais en toutes circonstances, sans vous juger. Mes trous seront disponibles tous les jours autant de fois qu'il vous plaira, je veux vivre entièrement sous votre coupe, c'est vous qui me donnerez l'autorisation si je veux faire quelque chose. Je suis l'esclave de Maître Valentin tout le temps qu'il lui plaira.

Valentin, ne voulant pas montrer qu'il était ému, s'est jeté sur lui pour l'embrasser, se saisir de ses lèvres et lui donner sa langue à sucer.
Les baisers échangés n'étaient pas ceux de maître à esclave, mais bien de deux mecs amoureux, l'un l'avait dit à l'autre, mais Valentin ne savait plus où il en était!

Mehdi s'est redressé au dessus de lui, sourire aux lèvres.
-j'aimerais savoir si la liqueur du matin de mon Maître est aussi bonne que celle du soir.
Le drap est vite enlevé et la bouche vorace s'empare de la queue déjà prête au sacrifice, une main enveloppe les grosses couilles chaudes.
Valentin le fait placer à cheval sur lui, pour qu'il ait une vue impeccable sur le beau petit cul bien ouvert.
Il met quelques claques sur les belles fesses offertes qui font gémir Mehdi en tendant encore plus ses fesses. La raie est bien ouverte, l'anus est là, palpitant, ouvert.

De ses deux mains, Valentin attire le beau cul près de ses lèvres et donne de longs coups de langue dans la raie, s'attardant sur l'anus lisse, chaud. Sa langue glisse dans l'entrée, facilement et inonde le trou. Il sent Mehdi s'enhardir sur sa queue en gémissant de plus en plus fort.
Il enfonce son index dans le cul ouvert, tourne pour l'ouvrir encore plus et voir l'intérieur, voir la peau rouge, chaude, il caresse l'intérieur avec deux doigts et revient lécher, inonder, et Mehdi suce encore plus vite sa queue la sortant de sa bouche pour gueuler de temps en temps.
Mais la sève monte dans sa queue, les couilles durcissent. Mehdi doit sentir le changement car sa bouche s'enfonce comme la veille sur sa queue et tant que les giclées arrivent, il avale tout en se faisant doigter de trois doigts.
Un léchage en règle du service trois pièces et Mehdi se retourne sur Valentin, lui montrant sa belle queue bien raide, coulant déjà.

Valentin pose ses mains sur ses cuisses.
-branle toi devant moi Mehdi, je veux voir ton jus sortir de ta queue et gicler.
Mehdi s'est calé son petit cul sur la queue molle de Valentin, a pris la sienne en main, l'autre enveloppait ses belles couilles.
Il va falloir que je goûte à tout ça pense Valentin en voyant la main s'activer sur la belle queue.
Mehdi le regarde, la langue sortie lèche ses lèvres. Il est beau son esclave, sûrement le plus beau qu'il ait eu et sans le quitter des yeux il se branle en cadence, un son rauque sort de sa bouche.

Valentin a les yeux fixés sur le gland qui apparait, disparait entre les doigts de Mehdi. Le changement de couleur de ce gland, devenir cramoisi, gonfler encore et, quand Mehdi se tend en arrière, sa main dégageant bien son gland Valentin voit le sperme gicler du méat avec force et lui arriver dessus. La première giclée sur son visage, du menton au front, il sent ce bon jus chaud couler sur lui et les autres giclées arrivent. Il semble ne plus vouloir s'arrêter et, enfin, tout cesse, ses fesses écrasent à nouveau sa queue, il halète en regardant tout sourire Valentin, qui ne bouge pas, inondé de bon jus rebeu portugais!

Mehdi se penche sur lui, ses mains de chaque côté de son corps.
-un petit nettoyage s'impose Maître.
-alors avec la langue Mehdi.
Et, la bonne langue chaude et agile a parcouru tout son visage récupérant le sperme, le déposant sur sa langue pour le montrer à Valentin avant de l'avaler, et continuer le nettoyage, jusqu'au moment où.
-mon esclave est bien gourmand le matin il pourrait faire goûter à son maître son bon jus.
-je n'osais pas Maître, mais vos désirs sont des ordres.
Et Mehdi s'est mis à lécher avec entrain le torse de Valentin, récupérant son bon jus et le donner sur sa langue à Valentin qui aspirait goulument la langue offerte.
Quand tout fût propre Valentin l'a pris dans ses bras, le serrant contre lui et sent son corps s'allonger contre le sien.
Les bouches se sont jointes et le baiser fût interminable.

-mon Maître veut faire quoi pour son anniversaire ? demande Mehdi.
Il le regarde en souriant et d'un seul coup Valentin se souvient.
-putain! j'ai un bâtard qui va venir me souhaiter mon anniversaire.
Les yeux de Mehdi s'assombrissent.
-faut que je parte Maître ?
-non non Mehdi.
Valentin repart dans ses rêveries. Le mec qui doit venir est une belle salope qui se fait enculer comme une chienne et s'il n'y avait que lui qui venait chez Valentin, c'est qu'il en connait un paquet qui veut lui faire plaisir.
-Maître... que se passe t-il ? je vous vois inquiet ? je ne veux pas être la cause.
-je vais te raconter Mehdi, viens contre moi et écoute moi!

Mehdi reprend sa position, allongé contre le corps de son Maître.
-tu dois bien te douter que tu n'es pas la seule personne que je connais, que je mets dans mon lit. T'as compris très bien ce que je cherchais, des salopes obéissantes et discrètes alors toutes ces salopes, ces bâtards viennent souvent toquer à ma porte pour se faire sauter, j'aimerais bien faire le tri.

Mehdi le regardait, fronçant les sourcils, se demandant où il voulait en venir.
-j'ai décidé et tu as accepté de vivre avec moi… ce qui fait de toi mon esclave numéro 1, alors, j'aimerais que tu t'occupes des autres salopes qui viennent ou veulent venir. C'est toi qui décidera si je dois les recevoir ou non par la suite, Dans un premier temps on pourrait les voir un par un, les faire venir, les essayer tous les deux. Tu vois tu serais un maître esclave en sorte à mon service, mais uniquement à mon service, jamais avec les salopes qui viendront!
Mehdi redresse sa tête, sérieux comme jamais.

-Mais alors Maître vous me proposez en fait d'être le Maître des Salopes!

-t'as tout compris mon bon Mehdi, tu crois que c'est faisable ?
-mais je vous appellerais toujours Maître ? dit il d'un air inquiet.
-bien sûr il n'y a rien de changer entre nous Mehdi.
-je savais que je vous aimais Maître et que j'avais trouvé en vous la personne qu'il me fallait.
Valentin le serre contre lui, l'embrasse tendrement.
-je peux poser une question Maître ?
-bien sûr Mehdi.
-alors vous m'aimez quand même un peu ?

Valentin le serre contre lui et lui dit à l'oreille.
-pour l'instant, je ne sais pas si c'est un peu, beaucoup ou à la folie.
Mehdi rigole en se blottissant encore plus sur Valentin.
-je l'ai vu dans vos yeux hier soir Maître dit Mehdi tout sourire.
-dis donc Maître des Salopes faut te préparer à recevoir ton premier sujet.

Les yeux de Mehdi brillaient…