Le maître étalon Abdou et le couple bourgeois candauliste - Chapitre 2 - Hélèna sodomisée à fond - histoire érotique

Chapitre 2Hélèna sodomisée à fond et son mari très content--------------------Le lendemain 20h , on était réunis après le dîner , tous les trois sur le canapé , comme prèvus pour notre rendez-vous anal .
– Moi : « Tu sais Alain, Hélèna est une très belle femme, elle doit juste avoir ce qu’elle n’a pas avec toi , une bonne dose de sexe ! » .
Je m’approcha de sa femme Hélèna , souleva sa petite jupe et écarte son string , je découvris sa chatte rasée et toute lisse .
– Moi : « Alors Alain tu vois ta femme , le minou rasé et toute excitée , depuis que je l’ai baisée hier , elle sera folle et acro de mon engin , comme toute les femmes mariées que je baise avec l’appuis de leurs maris . Tu vois , tu ne trouves pas sa chatte beaucoup plus jolie comme ça ? » .
– Alain : « Bah si, maître Abdou, mais elle m’a toujours dit non quand je lui demandais de le faire »– Moi : «Alain, mais toi, tu es son mari cocu, moi je suis son maître et elle ne me refuse pas grand-chose tu sais » .
Hélèna regarda son mari et dit : « Oui Maître Abdou , tu es mon maitre et je ferais tout pour garder ton énorme engin qui me rend dingue » – Moi : « Regarde Alain, je veux juste m’occuper de ton épouse pour lui faire du bien je ne suis pas son mari, je veux juste la satisfaire comme toi tu ne le fais pas assez, d’après Hélèna » dit-je .
Je déshabilla Hélèna entièrement devant son cocu , elle semblait très apprécier d’être nue devant moi , son marie apprécie .
J’était derrière elle, je lui caressait les seins, les prenait à pleine main, tirait sur ses tétines et je lui ordonner d’écarter les cuisses.
– Moi : « Regarde Alain , son minou, il est tout mouillé , mets ton nez dessus, il est plein d’envie de mon engin . Sent l’odeur de ton épouse, tu vois, elle n’en peux plus , et bien je vais te montrer comment on fait jouir une femme comme la tienne » .
J’étais dans un état d’excitation montait moi aussi !
Je caressait Hélèna et je l’embrasser partout. Je me pencha, mordilla le bout des seins puis je la regarda et lui dit :« Tu as aimé ma grosse queue dans ta chatte hier , n’est-ce pas ? » – Hélèna : « Oui maître Abdou , j’ai adoré ça, j’ai joui fort » – Moi : « Et bien maintenant, je vais te prendre le cul devant ton mari, je vais te faire hurler, tu vas voir ce que c’est un vrai mâle, tu le mérites petite Hélèna »– Hélèna : « Mais , maître Abdou tu le sais, je ne me suis jamais fait sodomiser. Je te l’ai dit hier que je n’avais connue que la bite de mon mari chèri , ça doit faire mal la sodomie , surtout avec ton gros boudin noir » – Moi : « Attention Hélèna , on a fait un deal , tous les trois : toi , moi et Alain ! Tu dois tout accepter désormais, tu es ma petite salope. Alors je vais dépuceler ton cul devant ton mari. Mais alors là … vraiment t’a un cul d’enfert avec des fesses à sodomiser .
Allez, chérie, penche-toi en avant sur le canaper , dépêche-toi. Rassure-toi , j’ai même pris du gel lubrifiant pour ton petit trou. Et toi, Alain notre cocu, regarde comme ta femme va se faire baiser la rondelle, branle-toi si tu veux en profitant du spectacle, au moins, on prendra du plaisir tous les trois comme hier » .
Je baissa son froc, le mari éxcité attendait car il n’avais jamais vue une bite énorme pareille . Le gland était même plus large que la queue énorme, longue et dressée fièrement ! avec une grosse paire de couilles qui pendait, des testicules gros comme ceux d’un taureau. Je me sentais très fort comme toujours , avec ma queue et mes grosses boules .
Je mis la vaseline sur mon énorme braquemart et sur la rondelle de ma pute , Hélèna ne bougeait plus mais je voyais sa chatte couler d’envie, sa cyprine ruisselait sur le haut de ses cuisses .
Cette petite salope avait envie de se prendre cette queue bandée dans son cul .
Je mettais mon gros gland sur l’entrée du cul de ma salope et en agrippant ses épaules , je m’enfonça sans ménagement . Ma petite chérie hurla, un cri entre surprise, douleur mais aussi plaisir.
– Hélèna : « Oh putain, cria-t-elle au bout de quelques seconde , c’est trop bon, vas-y mon maitre Abdou , fais-moi crier, s’il te plaît, lime-moi plus fort, ta queue m’écarte le trou du cul mais c’est trop bon ! Ohhhhh, regarde mon Alain chéri ; regarde comment Abdou me sodomise, je n’y crois pas il fait ça trop bien ! Vas-y, mon maitre enfonce ta grosse verge bien profonde, pénètre ta salope mariée préférée » .
Hélèna gloussait, ses nichons ballottaient dans tous les sens et je la ramonait en s’agrippant à ses gros seins qui pendaient. Je les écrasait dans mes grandes mains, mes grosses couilles claquaient contre ses fesses, je rentrait et sortait d’elle, sans ménagement.
Son trou du cul devenait plus ouvert et béant. Je savais qu’elle aimerait çà !
– Moi : « Regarde Alain comme ta femme se régale, je suis sûr que tu ne l’as jamais vu comme ça ! » .
Je me retira des fesses de sa femme , son petit trou était tout dilaté .
Je m’allongea sur le canapé du salon et dit à Hélèna de venir s’asseoir sur mon gros radis noir afin qu’elle puisse encore mieux le sentir profond .
Ma salaupe ne se fie pas prier deux fois , elle s’accroupit devant mon membre érigé à son honneur, le pris en main et le dirigea directement dans son anus grand ouvert .
– Hélèna :« Oh putain oui, c’est trop bon, elle va trop loin mon maitre ! Je la sens bien loin, quel bonheur cette bonne queue ! Regarde Alain mon chéri ce que je prends dans mes fesses. Regarde, c’est trop bon et de te voir bander là m’excite encore plus, alors mon chéri, branle-toi devant nous » .
– Alain le cocu : « Oui ma chérie, je me branle , une queue black encule ma femme devant moi ça m’excite » .
Hélèna , se déhanchaiet dans tous les sens sur ma bite , et je la caressait de partout et en profitait pour lui enfoncer deux doigts dans sa chatte trempée .
Hélèna gueulait, son corps se trémoussait, elle bondissait sur ma verge noire, ses seins allaient de gauche à droite. Ses mots étaient crus et jamais le cocu n’avais entendu sa femme dire autant d’obscénités a-t-il précisé après .
– Hélèna : « Ohhhhhhhhh oui vas-y, gueulait-elle, je vais partir, je vais jouir, vas-y mon maître , bouge bien fort tes doigts dans mon minou de femme mariée et remplie-moi de foutre mon petit trou, j’en ai très envie » .
Hélèna se faisait dépuceler la rondelle devant son mari , je sentais qu’elle n’allait pas tenir bien longtemps mais ce fut , moi , son amant black qui cracha d’abord sa semence . Je lâcha un : « Ohhhhhhhh Hélèna , t’es trop bonne je jouis dans ton fion d’épouse mariée » .
J’était en train de répandre mon jus au fond de l’anus de sa femme .
Hélèna poussa un énorme soupir, elle jouissait pour la première fois par les fesses . Elle montait et descendait à toute vitesse sur mon sexe, elle criait très fort : – Hélèna : « Oh oui, putain, je jouis, oui je jouis par le cul, ohhhh c’est trop bon ! Oui, vas y mets la moi profond, je jouis par mon petit trou » , cria-t-elle .
Alain , son mari, ne tiens pas bien longtemps moi non plus, il lâchais son jus sur les cuisses de sa femme , il venais de jouir en voyant sa chérie avoir un orgasme avec une grosse queue black plongée dans son cul .
Hélèna se retira de mon long membre noir et un long filet blanc s’écoulait de son anus dilaté .
Mon sperme encore chaud coulait entre ses fesses .
Je venait de se vider pour la seconde fois dans ma salope et je l’ai vu prendre beaucoup de plaisir. Mais la voir jouir, sentir qu’elle prenait son pied, m’a si excité que je n’ai pu me retenir de me caresser jusqu’à l’orgasme .
Je promit de s’occuper désormais plus régulièrement de sa femme comme elle le méritait et avec le consentement du mari .
Lorsque je suis parti , je leur ai promis de revenir après quelques semaines .