Le Majordome
Récit érotique écrit par Bimurcirc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Le Majordome
A l’occasion d’un job de livreur pendant les vacances scolaires, j’ai fait la connaissance de deux vieux américains d’une soixantaine d’années, fortunés, amateur de jeunes minets dociles (cf La Livraison).
Je n’en ai plus entendu parler et j’ai poursuivi mes études tout à fait normalement. L’année suivante, j’avais une copine, Laurence C., blonde aux yeux verts et bien roulée, fille d’un metteur en scène de cinéma habitant Rue du Bac. J’avais 18 ans, je passais beaucoup de temps avec elle et eux dans un milieu particulièrement libre pour l’époque sur le plan des mœurs. Un Dimanche de Mai, les C. m’ont invité à déjeuner dans un restaurant du Quai Voltaire… Souvenirs, souvenirs… C’est là qu’habitaient mes deux américains, mais cela n’aurait justifié en rien de ne pas accepter l’invitation des C.
Nous voici donc attablés tous les six, le couple C., ses trois filles et moi, lorsque vers la fin du repas, je vois entrer les deux américains qui me repèrent tout de suite, mais, mine de rien - ce que j’apprécie -, ils vont s’asseoir à une table un peu éloignée. Notre repas se termine, nous nous levons et, sortant le dernier du restaurant comme la courtoisie m’y incite, le maître d’hôtel vient me glisser une carte de visite dans la main. Un simple numéro de téléphone figure dessus, rien d’autre. Je n’ai bien évidemment aucun doute quant à sa provenance.
Rentré chez mes parents, je m’isole et appelle le numéro figurant sur la carte.
- « Allô? C’est toi… je me doutais bien que tu allais nous appeler rapidement. Tu étais une bonne petite salope, bien docile. Cela n’a manifestement pas changé. C’est parfait. Nous avons un travail à te proposer l’été prochain. Pourrais tu passer nous voir pour que nous en discutions tous les trois si cela peut t’intéresser?»
Je remerciais mon interlocuteur, lui confirmais que j’étais déjà en recherche d’un job pour l’été mais que je n’avais encore rien trouvé qui me satisfasse et prenais donc rendez vous pour une fin d’après midi de la semaine suivante.
Je me présente donc à l’heure dite sur le palier de l’appartement où je m’étais déjà rendu trois fois l’année précédente. Je sonne.
- « Hi buddy! Come on in! »
me dit celui qui venait déjà ouvrir les fois précédentes, habillé classiquement d’un pantalon en toile et d’un t-shirt. Je le suis dans le salon où se trouve son ami, assis dans le même fauteuil que d’habitude, vêtu d’un pantalon de cuir noir et d’une chemisette.
- « Nous ne nous sommes jamais présentés! Voici Jack et moi c’est David. Et toi comment t’appelles tu? »
me demande celui qui est encore debout et que je viens de suivre.
« Je m’appelle Pierre » répondis-je.
« Good » dit Jack à ce moment là.
« Nous avons besoin pour cet été d’un majordome/chauffeur dont les attributions ne se limiteront pas strictement à ce rôle, tu t’en doutes puisque tu connais nos petites manies, et que tu y as répondu très gentiment l’an dernier… »
Je voyais évidemment parfaitement là où il voulait en venir. Je leur avais servi d’escort boy, autrement dit de petite pute, lorsque j’étais venu chez eux pour leur livrer deux paires de lunettes.
- « Combien de temps aurais tu de disponible cet été? »
- « Environ six semaines du 1er Juillet au 15 Août »
- « Pas plus? »
- « Non car après je dois partir, juste avant la rentrée, en vacances avec ma copine»
- « La jolie petite salope blonde à gros seins que nous avons vue avec toi, je suppose? »
- « La blonde, oui, c’est ça »
- « OK, je comprends. Six semaines seraient déjà mieux que rien. Tu te doutes que c’est un job qui demande une discrétion absolue et une confiance totale de part et d’autre. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons pensé à toi, les autres étant notamment ton physique et tes aptitudes. »
- « Merci beaucoup… »
Je comprenais parfaitement ce qui m’attendait si j’acceptais. Inutile de demander de préciser les détails du job… Jack poursuivit ce que David avait entamé :
- « Tu logerais ici. Nous avons une chambre et une salle de bains indépendantes. Donc ton hébergement et tes repas seraient entièrement à notre charge. Par contre pendant ces six semaines, tu n’aurais aucun jour de repos et tu devrais être à notre entière et totale disposition. Moyennant quoi tu recevrais une rémunération nette de charges sociales et d’impôt de X francs. Are you ok with all this? »
Le montant annoncé était proprement exorbitant. Je me doutais donc que le « travail » allait être varié et intense… Ma décision de reprendre mon rôle de petite pute docile fut vite prise, je l’avoue, toute honte bue.
- « Entendu, je comprends… J’ai confiance en vous. Mais j’ai besoin d’une couverture vis a vis de mes parents et de ma copine… »
- « Bien sur, c’est aussi notre intérêt. C’est pour cela que nous te ferons un contrat de travail de majordome/chauffeur, maintenant que tu as ton permis, tout a fait classique. Le reste est d’accord entre nous et ne figurera nulle part. Trust and nothing else between us ».
- « Great! Let’s celebrate! »
David sonna et la même vieille servante qui était déjà là l’an passé apporta une bouteille de champagne et des flutes, l’ouvrit et nous servit, restant en arrière pour attendre la demande suivante.
- « Tu connais Yvonne. Elle est notre femme de chambre/cuisinière depuis une dizaine d’années. C’est une tombe. Si elle a besoin que tu la soulages, tu lui obéiras ».
Jack dit alors :
- « Sors la, petite salope, que l’on voit si elle a bien grandi! »
Je m’exécutais docilement, sortant ma bite et mes couilles de mon pantalon et de mon slip.
- « Nice! Il me semble qu’elle a grossi… Tant mieux! Toujours une belle bête! Et des couilles bien rondes. We’ll have fun. Tu auras une tenue de service adaptée. Quelle est ta taille de chaussures? »
- « 42/43 je crois »
Je remballais mon matériel et prenais congé. J’étais à la fois ravi et inquiet de ce que j’allais devoir assurer : je retrouvais le rôle que j’avais assuré à trois reprises, mais à plus grande échelle, à n’en pas douter! Il fallait aussi que je ne laisse supposer à personne, et surtout pas à ma copine Laurence, mes attributions exactes. J’avais quelques semaines
pour lui faire du bien avant que mon job ne m’accapare.
Je me suis donc attelé à cette tâche avec conscience, profitant autant que faire se peut de ses gros seins pointus, de sa chatte baveuse surmontée d’une superbe touffe blonde (une vraie blonde, c’est rare!) et d’un cul très étroit. Elle savait que pendant six semaines nous aurions peu de chances de nous voir et, par conséquent, elle faisait des réserves de bite. Une vraie petite chienne, toujours en manque, toujours mouillée, toujours prête à prendre, limite nympho. Serrée du cul et du con, elle me tirait le jus en se faisant très peu limer : un régal!
Le 1er Juillet était un Samedi. Je me présentais avec mon petit baluchon au domicile de mes nouveaux amis et néanmoins employeurs. Yvonne m’a ouvert la porte, David et Jack étant absents. Visage impassible, tenue toujours aussi stricte qui ne permettait en aucune façon de deviner ses formes, elle devait avoir une petite cinquantaine d’années. Me précédant, elle m’a fait visiter l’appartement puis m’a conduit à ma chambre.
- « Ces messieurs seront de retour probablement en début de soirée. Je vous ai mis sur votre lit les tenues de service qu’ils m’ont confiées pour vous ».
Ces dernières étaient réduites à leur plus simple expression mais, sur l’indication d’Yvonne, j’ai su que pour le soir même je ne devais porter qu’un minuscule tablier blanc et des chaussures à talons de 14 cm qui avaient été faites sur mesure chez Ernest.
- « Ces messieurs m’ont chargé de vous suggérer de vous entraîner à marcher avec ces chaussures, au cas où vous n’en auriez pas l’habitude » a-t-elle ajouté avec un sourire en coin…
Seul dans ma chambre, j’ai revêtu - si j’ose dire - ma tenue : le tablier ne cachait pas la totalité de ma bite au repos, c’est dire la taille de cet accessoire qui devait me servir de vêtement, et les chaussures n’étaient pas simples à enfiler. Difficile - pour ne pas dire impossible - au début de rester debout! Après m’être tordu les chevilles et être tombé un bon nombre de fois, je parvenais en fin de journée à marcher à tous petits pas, ce qui me donnait une allure parfaitement ridicule, de précieuse du même nom!
Vers 18h30, Jack et David sont arrivés et m’ont fait appeler par Yvonne, dont le regard sur ma tenue ne me laissait aucun doute sur son appréciation.
« Hi Pierre, nice to see you! Great looking! » me dit Jack dans le salon où il était déjà assis.
« Cette tenue te va à ravir, ma petite salope » enchérit David.
« Ce soir, tu feras le service à table, nous ne sommes que tous les deux, tu as de la chance, pour commencer ton service ».
La salle a manger comportait une grande table en verre, chacun d’eux étant assis d’un côté. Yvonne servait à table. Mon rôle était d’être sous la table, assis sur les talons, et de leur téter le noeud a tour de rôle, les mains dans le dos, en ne les touchant qu’avec la langue. La table étant en verre, toutes les personnes se trouvant dans la pièce pouvaient ainsi profiter du spectacle.
- « Tu ne nous fais cracher que quand on te le dit, petite salope. Compris? Mais d’abord, viens près de Jack et présente lui ton cul.»
Je m’exécutais.
- « Je vais te poser un rosebud dans le trou. Regarde le. De l’extérieur, on a l’impression que c’est un gros diamant. Ainsi lorsque tu marches et qu’on te mate le cul, on ne peut pas te louper! Yvonne, mettez lui un peu de beurre à l’entrée du trou! Ça l’aidera si c’est la première fois!»
La garce s’est enduit le doigt de beurre avant de le fourrer dans mon petit trou, en tournant et en le limant, et en répétant ce manège trois ou quatre fois.
- « Il est prêt, Monsieur »
Jack enfonce la lourde pièce de métal d’un seul coup. Le diamètre est suffisamment gros pour que l’engin soit lourd et que je ne puisse l’oublier, mais suffisamment petit et étroit pour que j’ai peur de le perdre. Un vrai vicieux…
- « Bravo Jack! Marche un peu maintenant devant nous qu’on voit ton allure. Qu’en pensez vous, Yvonne? »
- « Une parfaite petite pute, Monsieur. Bien docile, un joli petit corps d’éphèbe, un tablier qui ne cache pas grand’chose par devant compte tenu de sa taille et de celle de son engin, et bien sur rien derrière. Il a un joli petit cul bien rond et ferme qui va susciter beaucoup d’envies, Monsieur. Le rosebud bien visible suggère de le remplacer par autre chose et va lui maintenir le trou bien ouvert : il va être obligé de marcher à tous petits pas en serrant les cuisses pour ne pas le perdre. Vous allez avoir beaucoup de succès… »
La honte absolue. Je pensais qu’Yvonne gardait en permanence le ton neutre que je lui avais toujours connu. Manifestement, elle savait se départir de cette neutralité…
- « Bien! A table! Pierre, en position! J’ai oublié de te dire : bien évidemment, tu n’as le droit de jouir que sur notre ordre et avec notre accord. Si tel n’était pas le cas, tu serais puni.»
Je me mettais donc assis sur mes talons, les mains dans le dos, attendant que l’un de ces messieurs me fasse signe. Jack a été le premier à ouvrir les cuisses, son paquet déjà sorti. J’ai donc approché la bouche et ai léché délicatement le bout de sa grosse queue coupée. Elle a pris forme petit à petit jusqu’à ce que Jack me donne un petit coup de pied dans les couilles. J’ai compris le message et me suis retourné pour travailler aussitôt la bite de David, dont le prépuce ne recouvrait déjà plus le gland et dont un lacet serrait la base des boules et de la hampe. Je m’appliquais de nouveau, jusqu’au coup de pied qui
m’enjoignait de me retourner.
Le diner se passa ainsi, la conversation entre eux se poursuivait comme si de rien n’était, Yvonne surveillait que tout se passe bien, aussi bien sur que sous la table. Aucun d’eux n’a craché, moi non plus heureusement.
Je suis resté debout entre eux pendant qu’ils me détaillaient en sirotant leurs cafés, tout en me palpant les bourses, le cul, la queue, le rosebud et en commentant l’ensemble. Yvonne, toujours présente, assistait à cette séance de maquignonnage.
- « Nous avons deux chambres séparées mais communicantes, Pierre. Yvonne a, bien évidemment, comme toi, une chambre et une salle de bains indépendantes. Je crois qu’Yvonne t’a montré tout cela. Si l’un de nous trois a besoin de toi pendant la nuit, nous te sonnons. Bonsoir Pierre »
Mon congé donné, je rejoignais ma chambre à petits pas prudents. Aucune sonnette pendant la nuit. Je soufflais un peu. Le Dimanche matin, coup de sonnette. Je me précipitais, autant que mon accoutrement me le permettait, dans la salle à manger. Les deux vieux étaient a poil, cuisses écartées de chaque côté de la table, et Yvonne, à poil également sauf un petit tablier lui cachant la fente, sous la table en train de leur téter le noeud et les boules à tour de rôle. J’étais pour le moins surpris.
- « Pierre, sers nous du café »
Précautionneusement, je m’approchais de leurs tasses avec la cafetière. J’observais la garce qui les pompait. Un cul encore bien ferme, de gros seins lourds et pleins aux tétines pointues. Manifestement elle avait l’habitude de sucer. Chacun d’eux émettait de petits cris lorsque sa bouche se refermait sur leur matos. La voir prendre ma place sous la table était le meilleur moyen de me rendre jaloux et que je fasse tout pour que les deux vicieux me préfèrent à elle.
- « Avale, Yvonne! »
L’ordre a fusé. Jack imposait à Yvonne de le faire cracher dans sa bouche. Ce qu’elle a immédiatement exécuté. Un coup de pied dans sa moule lui a enjoint de faire subir le même traitement à David qui se tortillait sur sa chaise comme une pucelle. Elle en avait plein la bouche et leur montrait en les regardant bien en face qu’elle avalait tout le jus qu’ils lui avaient donné.
- « Pour que tu saches, Pierre. Yvonne n’aime que les femmes. Mais elle se fait enculer par les hommes, notamment pour se soulager. Elle est très serrée, c’est délicieux, une vraie petite vierge. Tu verras, quand elle en aura envie, tu devras y passer. Et elle encule très bien aussi…C’est une domina qui adore les petites jeunes. Si tu lui offres ta copine à gros lolos, elle sera sûrement ravie! Quel âge a-t-elle?»
- « 18 ans »
- « Mais c’est parfait cela! Qu’en pensez vous, Yvonne? »
- « C’est vrai, Monsieur, vous savez que j’aime la chair fraîche et les jeunes filles bien étroites et dociles. »
- « Tu vois, Pierre! Si tu veux faire plaisir à notre amie, tu sais ce qu’il te reste à faire! Déjà, je suis sûr que tu as des photos de cette petite à poil : montre les lui, ça va lui faire du bien! Elle te laissera peut être lui bouffer la moule pendant qu’elle matera ta copine. Elle a rarement l’occasion de s’amuser, la pauvre.»
Je ne savais plus où me fourrer. Je n’imaginais pas Laurence entre les nichons de cette vieille gouine. Mais je savais que j’aurais du mal à ne pas lui montrer les Polaroïds que j’avais de ma copine.
Les deux vieux vicieux s’absentaient pour la journée. Je me doutais donc, compte tenu de ce qu’avait dit David, que j’allais y passer avec Yvonne.
Nous étions rentrés chacun dans nos chambres depuis environ une heure lorsqu’elle m’a sonné. Toujours dans la même tenue et le rosebud au cul, je me suis rendu chez elle. Elle était complètement à poil sur le lit, les cuisses bien ouvertes. Totalement lisse, pas un poil, une vraie petite fille…
- « Va me chercher les photos de ta copine dont Monsieur David parlait, s’il te plait »
Je ne pouvais faire autre chose que m’exécuter. Je lui ramenais donc une douzaine de clichés de Laurence, plus que suggestives, sur lesquelles elle était détaillée sous tous les angles et dans toutes les positions. Deux d’entre elles étaient prise pendant que je l’enculais. Par malchance, ce sont les deux premières sur lesquelles Yvonne est tombée.
- « Joli morceau, la petite. Elle aime que tu lui défonces le fion. Parfait. Tu vas me soulager en en faisant autant pendant que je mate le reste. Viens là! »
Elle m’a enlevé le tablier, fait garder les chaussures, pris la bite en bouche et me l’a rendue raide en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. La salope! Du métier, c’est clair. Elle s’est mise au bord du lit, le cul tourné vers moi, les coudes appuyés sur les draps.
- « Vas y, petite pute. Encule moi! »
Je présente ma queue à l’entrée du trou et d’un seul coup lent mais ininterrompu je l’enfile jusqu’au fond, jusqu’à ce que mes couilles lui touchent les fesses! Elle est serrée mais mouille du cul…
- « Salope! Tu sais y faire! Lime maintenant! Fais moi cracher le jus pendant que je mate ta petite chérie! »
Je la tiens par les hanches et la bourre consciencieusement. Je sens que la sauce monte mais je sais que je ne dois pas cracher sans son autorisation. La garce me décrit Laurence dans les termes les plus crus ce qui accroît encore mon excitation. Elle le sent.
- « Ne crache pas, petite pute, sinon tu seras puni et tu te doutes que je m’y connais en matière de punition. Réponds! »
- « Oui Madame »
- « C’est bien. Lime encore. Je sens ton gros bout de viande qui va exploser. Je te prendrais avec un gode en acier, tu verras comme c’est bon… Ta petite chérie a de gros seins pointus de gouine et un cul de pute dont je m’occuperais volontiers. 18 ans c’est le bel âge pour une domina comme moi. Tu le lui diras de ma part! Je la gâterais, elle en redemandera! Compris!»
- « Oui Madame »
A ce moment là elle a explosé, hurlé, inondé le parquet de sa cyprine, même son cul me mouillait abondamment la bite. Je n’en pouvais plus.
- « Vas y crache, petite pute! »
Je lui ai envoyé une grosse dose dans le fond du trou qui l’a faite couiner. En me retirant, le jus dégoulinait partout.
- « Nettoie moi avec ta langue »
J’ai tout léché, nettoyé, la moule, la raie, le cul. Elle semblait satisfaite.
-« Ta copine est une belle petite chienne, je me la ferais volontiers. Vu son âge, elle doit être bien serrée comme j’aime. J’ai l’habitude d’en faire de bonnes salopes. Penses y. Tu en profiteras aussi et je ne serais pas ingrate. »
Je suis rentré dans ma chambre avec les photos de Laurence devant lesquelles je me suis branlé. A l’âge que j’avais, on recharge vite. Je n’en pouvais plus. Cette vieille grognace m’avait vraiment bien chauffé et l’idée de ce qu’elle voulait faire de Laurence me faisait grimper aux rideaux même si je savais, bien évidemment, que jamais je n’oserais en parler à ma copine.
Les gros seins de la vieille m’avait aussi beaucoup excité, moi qui suis totalement dingue de gros pis bien fermes. Les siens ne l’étaient plus tout à fait, mais il y avait encore de beaux restes. Je la soupçonnais de les écraser pour les planquer et ne pas trop les faire apparaître dans son quotidien.
Les deux vicieux sont rentrés comme prévu en fin de journée. Ils ne se doutaient pas, ou faisaient mine de ne pas se douter, que j’avais enculé Yvonne et que nous avions l’un et l’autre déchargé, alors que cela m’était interdit sans leur accord. Mais j’avais repris ma vigueur d’adolescent et, lors du diner qui s’est déroulé comme celui de la veille, j’étais bien raide comme ils aiment.
Nous étions passés au salon.
- « Pierre, à 4 pattes! Yvonne, enlevez-lui son rosebud et enfilez lui, une a une, ce chapelet de boules thaïs dans le cul. Commencez par les plus petites, et mettez les lui jusqu’à la dernière, la plus grosse. Pas de beurre cette fois-ci. Toi, petite pute, tu ne bouges pas »
Les deux vieux ont sorti leurs paquets de leurs pantalons et ont maté le spectacle. David touchait Jack, le branlait et lui agaçait les tétines jusqu’à ce qu’il crache en poussant un petit cri. David s’est alors empoigné le manche et l’a agité jusqu’à ce qu’il inonde le parquet au moment où Yvonne finissait de me remplir le trou. Elle est aussitôt allé chercher de quoi nettoyer les projections des deux vieux, sans un mot. J’étais toujours a 4 pattes, les couilles tendues et la bite raide tellement le traitement infligé par Yvonne m’avait mis en joie…
- « Au lit, petite pute! Tomorrow is another day! Nous te dirons ce qui t’attend cette semaine. Et souviens toi, au coup de sonnette, tu rappliques la queue à la main. »
Trois heures du matin. Je dormais a poing fermé. Coup de sonnette de Jack. Je vais jusqu’à sa chambre dans ma tenue de service, les boules thaïs dans le cul, le mini tablier devant la bite, les chaussures à talons aux pieds. Pas ridicule pour deux sous!
- « Monsieur, vous m’avez demandé? »
Jack est allongé sur son lit, David debout à côté, la bite molle tous les deux a poil.
- « Encule le! Devant moi! »
Je ne l’ai jamais fait avec un homme. L’angoisse me prend… Vais-je oser? Vais-je en être capable. Mais le ton de Jack ne me laisse pas trop le choix. Manifestement, il s’est fait enfilé par David, mais il y a quelque chose qui n’a pas marché…
- « Tu vas le limer jusqu’à ce qu’il crie! Tu vas lui mettre cette cage autour de la queue, comme ça quand il bandera pendant que tu l’enculeras, sa bite lui fera mal. S’il a envie de pisser, il fera sur lui. C’est sa punition! A toi de l’exécuter et bien, sinon tu subiras le même sort mais c’est moi qui t’enculerais avec ma grosse pine épaisse et à sec! »
Je passe la queue de David dans la cage en la repliant sur elle même et sur ses couilles. Tout le paquet est enfermé. Il se met en levrette au bord du lit.
Yvonne entre à ce moment là. Nue avec le tablier qui lui cache juste la fente, et des talons pour la faire cambrer, comme moi…
- « Yvonne, sucez la petite pute pour la faire durcir »
La vieille me prend en bouche et très rapidement je deviens raide et gonflé, les bourses tendues.
- « A toi Pierre! Vite! Enfile le à sec d’un seul coup »
Je présente mon gros noeud devant son trou, je prends une inspiration et je lui rentre le pieu d’un seul coup jusqu’aux couilles - comme je fais pour les filles qui la ramènent -, ce qui lui arrache un hurlement!
- « Stop it, darling! You deserve it! »
- « Yes Jack! Thanks Jack! »
- « Lime le sans jouir »
Je m’active. La bête grossit. Je le remplis bien.
- « Sors d’un seul coup! »
Autre cri de David au moment où mon gland lui agrandit l’œillet.
- « Thanks Jack! »
- « Au lit, tout le monde »
Je suis la vieille en matant son cul. J’y mettrais bien ma pine de nouveau! Sa raie me fascine…
- « Ne te fais pas des idées » me dit-elle en se retournant.« Amène moi ta petite chérie qu’on s’en occupe bien ensemble de tous les côtés…Elle a un petit cul et de gros nichons bien fermes qui me font envie. Et une chatte poilue de vraie blonde, c’est rare… »
Manifestement Laurence ne la laisse pas indifférente. Les jours suivants se sont déroulés grosso modo à l’identique. Mais j’ai été prévenu dès le Lundi que le Jeudi soir nous aurions des invités à diner. Ma tenue devait être la tenue habituelle avec mon rosebud/diamant dans le cul. Seul ajout : un collier de chienne, en cuir, autour du cou avec un anneau pour la laisse…
Vingt heures. Les premiers invités sonnent. Je vais ouvrir. Deux hommes d’une cinquantaine d’années. Jack est derrière moi, il me pelote les fesses.
David est la maîtresse de maison.
- « Bonsoir chers amis! Bienvenue! Voici notre nouveau majordome, Pierre! Vous pouvez bien sur vous rendre compte par vous mêmes des qualités de sa plastique.»
Je suis détaillé, scruté, apprécié, commenté…puis soupesé. Les coups de sonnette se succèdent. Finalement huit invités, et donc un diner de dix, que des hommes entre la petite quarantaine pour les plus jeunes et la soixantaine pour les plus âgés.
- « Pierre, sers nous a boire! »
Je passe le plateau avec les flutes aux différents convives qui ne manquent pas, au passage, de me palper les fesses ou de me soupeser les couilles sous le regard amusé des autres invités. A la fin j’ai déjà un début d’érection impossible a dissimuler.
- « A 4 pattes, tu vas nous servir de table basse »
Je me mets dans la position demandée. Ils posent leurs flutes de champagne sur mon dos.
- « Ne bouge pas, petite pute, sinon pan-pan cul-cul »
L’assemblée s’esclaffe. Je fais de mon mieux pour rester immobile. Certains s’amusent à me palper les couilles pour voir ma réaction. Je ne bouge pas.
- « Il a un bien joli rosebud. On ne peut pas le rater. C’est exprès je présume…pour viser juste! »
Nouvel éclat de rire. Je régale…
- « Passons à table mes amis! Yvonne, débarrassez la table basse, je vous prie »
Encore des rires pendant que ces messieurs passent a table.
- « Pierre, en place »
Je me rends à quatre pattes sous la table où je prends ma position habituelle. Pendant que le repas démarre, les convives qui ont manifestement l’habitude de se retrouver ensemble dans ce type de situation, sortent un à un leurs attributs de leurs pantalons, sans aucune gêne, et écartent leurs cuisses aussi largement que possible en sortant ostensiblement le plus possible leurs paquets.
- « Pierre, commence par ce bout de table, et continue dans l’ordre »
J’ouvre la bouche, je sors la langue et je commence à lécher la première queue, le gland, le méat…un coup de pieds dans les couilles m’intime l’ordre de passer au suivant…et ainsi de suite pendant l’intégralité du diner.
Ces messieurs observaient ma manière de faire et évidemment, la commentaient crûment et abondamment, donnant leur appréciation sur mes coups de langue, l’effet qu’ils avaient sur les membres auxquels ils s’appliquaient aussi bien que sur le mien…
Yvonne s’acquittait imperturbablement de sa tâche, servant chaque convive, s’assurant qu’aucun d’eux ne manquait de quoi que ce soit, tout en matant discrètement ce qui se passait sous la table de verre à 50 centimètres de ses yeux. Aucun signe d’aucune sorte ne permettait de savoir si le spectacle et les membres exposés lui procurait le moindre effet.
A la fin du diner, tout le monde s’est rhabillé comme si de rien n’était et est passé au salon, Yvonne se chargeant de proposer café, thé ou infusion. Je retournais, toujours à 4 pattes comme une petite chienne, rejoindre les invités.
- « Chers amis, j’espère que le diner vous a plu et vous a rassasié, à tous points de vue. Si tel n’était pas le cas, notre majordome Pierre est là pour vous permettre, avec sa bouche de petite pute, de vous combler. N’hésitez pas à vous en servir, nous savons tous combien ce type de service peut être bénéfique »
Quatre des invités ont indiqué à David qu’ils souhaitaient que je les vide et que j’avale…Pendant que les autres dégustaient leurs boissons chaudes et devisaient tout a fait normalement, chacun des quatre est venu me fourrer sa bite dans la bouche pour que je le suce jusqu’à ce qu’il crache et que j’avale la sauce. Evidemment, je devais alors les lécher pour les nettoyer avant qu’ils ne remballent leur matos et finissent leur café, leur thé ou leur infusion…Les six autres appréciaient à haute voix bien intelligible ma manière de faire, la rapidité de la montée du jus, le mode de nettoyage…
Au fur et à mesure du départ des invités, je devais les raccompagner à la porte, sortir sur le palier et appeler l’ascenseur pour eux… Tous ou presque ont saisi ce moment pour me serrer les couilles ou la bite, comme pour me saluer, et me glisser un billet, un pourboire, dans la main… L’humiliation absolue : j’avais bien été la petite pute de la soirée qu’ils voulaient payer pour ses prestations.
- « Pierre, viens ici! » le ton de Jack était sans appel.
Il était assis dans son fauteuil fétiche, s'était déshabillé et m’intimait l’ordre de me mettre à genoux devant lui. David et Yvonne étaient à
ses côtés.
- « Suce moi à fond et avale. Tu m’as excité, petite salope, avec ta manière de faire sans rechigner. David, regarde ma chérie… Notre petite pute est vraiment bonne, tu ne trouves pas? »
David n’a rien répondu, Yvonne assistait à la scène sans broncher. J’ai bien sur exaucé le souhait de Jack, tout en me disant que David allait probablement me le faire payer…
Je n’en pouvais plus. De fatigue et d’excitation. J’avais toujours la queue raide, sans avoir le droit de me soulager.
- « Merci Yvonne de votre aide précieuse. Pierre, pour conclure cette soirée, encule David à sec ici, et vide toi, cela vous fera du bien à tous les deux. »
Là encore, pas de tergiversations possibles…David s’est mis en position m’offrant son trou devant Jack et Yvonne. Je me tenais la bite à la main et l’ai enfilé d’un seul coup, le faisant hurler. En trois allers/retours je lui ai craché toute ma purée dans le cul, puis suis ressorti en le faisant couiner.
- « Bien. Tu dois te sentir mieux, mon petit. Soyez gentille, Yvonne, nettoyez Pierre avec la langue pour qu’il ne nous en mette pas partout… Bonsoir. »
Nous avions notre congé. Yvonne a enlevé ce qu’il me restait de jus autour du noeud avec sa langue de gouine, sans émotion quelconque, et nous sommes tous allés nous coucher.
La soirée s’était manifestement bien passée et l’essentiel était atteint : Jack en était satisfait. Après une petite semaine de mon nouveau job d’été, j’étais plutôt rassuré. Aucun n’avait encore cherché à m’ouvrir le cul avec sa pine, par contre je devais beaucoup me servir de ma bouche et de ma bite. Cela me convenait parfaitement. La parfaite petite pute…
Les journées se succédaient grosso modo selon le même scénario. Soit les deux vieux salauds étaient seuls, et je prenais position sous la table, la bouche ouverte, pour leur téter les dards et les boules, soit il y avait un diner avec des invités et j’assurais le service essentiellement avec ma bouche et ma bite.
Certaines nuits, j’étais appelé au chevet de Jack, pour enculer David. Et un autre week-end end où j’étais seul dans l’appartement en compagnie d’Yvonne, cette dernière m’a à nouveau demandée les photos de ma copine Laurence et de lui limer le cul pendant qu’elle les matait et les commentait, ce qui, évidemment, avait le don de me rendre la bite encore plus épaisse et de m’exciter au plus haut point. Plus elle était grossière et vulgaire - et elle ne s’en privait pas, la grognace - plus elle savait que j’allais lui défoncer le fion comme elle le souhaitait…
Je n’en ai plus entendu parler et j’ai poursuivi mes études tout à fait normalement. L’année suivante, j’avais une copine, Laurence C., blonde aux yeux verts et bien roulée, fille d’un metteur en scène de cinéma habitant Rue du Bac. J’avais 18 ans, je passais beaucoup de temps avec elle et eux dans un milieu particulièrement libre pour l’époque sur le plan des mœurs. Un Dimanche de Mai, les C. m’ont invité à déjeuner dans un restaurant du Quai Voltaire… Souvenirs, souvenirs… C’est là qu’habitaient mes deux américains, mais cela n’aurait justifié en rien de ne pas accepter l’invitation des C.
Nous voici donc attablés tous les six, le couple C., ses trois filles et moi, lorsque vers la fin du repas, je vois entrer les deux américains qui me repèrent tout de suite, mais, mine de rien - ce que j’apprécie -, ils vont s’asseoir à une table un peu éloignée. Notre repas se termine, nous nous levons et, sortant le dernier du restaurant comme la courtoisie m’y incite, le maître d’hôtel vient me glisser une carte de visite dans la main. Un simple numéro de téléphone figure dessus, rien d’autre. Je n’ai bien évidemment aucun doute quant à sa provenance.
Rentré chez mes parents, je m’isole et appelle le numéro figurant sur la carte.
- « Allô? C’est toi… je me doutais bien que tu allais nous appeler rapidement. Tu étais une bonne petite salope, bien docile. Cela n’a manifestement pas changé. C’est parfait. Nous avons un travail à te proposer l’été prochain. Pourrais tu passer nous voir pour que nous en discutions tous les trois si cela peut t’intéresser?»
Je remerciais mon interlocuteur, lui confirmais que j’étais déjà en recherche d’un job pour l’été mais que je n’avais encore rien trouvé qui me satisfasse et prenais donc rendez vous pour une fin d’après midi de la semaine suivante.
Je me présente donc à l’heure dite sur le palier de l’appartement où je m’étais déjà rendu trois fois l’année précédente. Je sonne.
- « Hi buddy! Come on in! »
me dit celui qui venait déjà ouvrir les fois précédentes, habillé classiquement d’un pantalon en toile et d’un t-shirt. Je le suis dans le salon où se trouve son ami, assis dans le même fauteuil que d’habitude, vêtu d’un pantalon de cuir noir et d’une chemisette.
- « Nous ne nous sommes jamais présentés! Voici Jack et moi c’est David. Et toi comment t’appelles tu? »
me demande celui qui est encore debout et que je viens de suivre.
« Je m’appelle Pierre » répondis-je.
« Good » dit Jack à ce moment là.
« Nous avons besoin pour cet été d’un majordome/chauffeur dont les attributions ne se limiteront pas strictement à ce rôle, tu t’en doutes puisque tu connais nos petites manies, et que tu y as répondu très gentiment l’an dernier… »
Je voyais évidemment parfaitement là où il voulait en venir. Je leur avais servi d’escort boy, autrement dit de petite pute, lorsque j’étais venu chez eux pour leur livrer deux paires de lunettes.
- « Combien de temps aurais tu de disponible cet été? »
- « Environ six semaines du 1er Juillet au 15 Août »
- « Pas plus? »
- « Non car après je dois partir, juste avant la rentrée, en vacances avec ma copine»
- « La jolie petite salope blonde à gros seins que nous avons vue avec toi, je suppose? »
- « La blonde, oui, c’est ça »
- « OK, je comprends. Six semaines seraient déjà mieux que rien. Tu te doutes que c’est un job qui demande une discrétion absolue et une confiance totale de part et d’autre. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons pensé à toi, les autres étant notamment ton physique et tes aptitudes. »
- « Merci beaucoup… »
Je comprenais parfaitement ce qui m’attendait si j’acceptais. Inutile de demander de préciser les détails du job… Jack poursuivit ce que David avait entamé :
- « Tu logerais ici. Nous avons une chambre et une salle de bains indépendantes. Donc ton hébergement et tes repas seraient entièrement à notre charge. Par contre pendant ces six semaines, tu n’aurais aucun jour de repos et tu devrais être à notre entière et totale disposition. Moyennant quoi tu recevrais une rémunération nette de charges sociales et d’impôt de X francs. Are you ok with all this? »
Le montant annoncé était proprement exorbitant. Je me doutais donc que le « travail » allait être varié et intense… Ma décision de reprendre mon rôle de petite pute docile fut vite prise, je l’avoue, toute honte bue.
- « Entendu, je comprends… J’ai confiance en vous. Mais j’ai besoin d’une couverture vis a vis de mes parents et de ma copine… »
- « Bien sur, c’est aussi notre intérêt. C’est pour cela que nous te ferons un contrat de travail de majordome/chauffeur, maintenant que tu as ton permis, tout a fait classique. Le reste est d’accord entre nous et ne figurera nulle part. Trust and nothing else between us ».
- « Great! Let’s celebrate! »
David sonna et la même vieille servante qui était déjà là l’an passé apporta une bouteille de champagne et des flutes, l’ouvrit et nous servit, restant en arrière pour attendre la demande suivante.
- « Tu connais Yvonne. Elle est notre femme de chambre/cuisinière depuis une dizaine d’années. C’est une tombe. Si elle a besoin que tu la soulages, tu lui obéiras ».
Jack dit alors :
- « Sors la, petite salope, que l’on voit si elle a bien grandi! »
Je m’exécutais docilement, sortant ma bite et mes couilles de mon pantalon et de mon slip.
- « Nice! Il me semble qu’elle a grossi… Tant mieux! Toujours une belle bête! Et des couilles bien rondes. We’ll have fun. Tu auras une tenue de service adaptée. Quelle est ta taille de chaussures? »
- « 42/43 je crois »
Je remballais mon matériel et prenais congé. J’étais à la fois ravi et inquiet de ce que j’allais devoir assurer : je retrouvais le rôle que j’avais assuré à trois reprises, mais à plus grande échelle, à n’en pas douter! Il fallait aussi que je ne laisse supposer à personne, et surtout pas à ma copine Laurence, mes attributions exactes. J’avais quelques semaines
pour lui faire du bien avant que mon job ne m’accapare.
Je me suis donc attelé à cette tâche avec conscience, profitant autant que faire se peut de ses gros seins pointus, de sa chatte baveuse surmontée d’une superbe touffe blonde (une vraie blonde, c’est rare!) et d’un cul très étroit. Elle savait que pendant six semaines nous aurions peu de chances de nous voir et, par conséquent, elle faisait des réserves de bite. Une vraie petite chienne, toujours en manque, toujours mouillée, toujours prête à prendre, limite nympho. Serrée du cul et du con, elle me tirait le jus en se faisant très peu limer : un régal!
Le 1er Juillet était un Samedi. Je me présentais avec mon petit baluchon au domicile de mes nouveaux amis et néanmoins employeurs. Yvonne m’a ouvert la porte, David et Jack étant absents. Visage impassible, tenue toujours aussi stricte qui ne permettait en aucune façon de deviner ses formes, elle devait avoir une petite cinquantaine d’années. Me précédant, elle m’a fait visiter l’appartement puis m’a conduit à ma chambre.
- « Ces messieurs seront de retour probablement en début de soirée. Je vous ai mis sur votre lit les tenues de service qu’ils m’ont confiées pour vous ».
Ces dernières étaient réduites à leur plus simple expression mais, sur l’indication d’Yvonne, j’ai su que pour le soir même je ne devais porter qu’un minuscule tablier blanc et des chaussures à talons de 14 cm qui avaient été faites sur mesure chez Ernest.
- « Ces messieurs m’ont chargé de vous suggérer de vous entraîner à marcher avec ces chaussures, au cas où vous n’en auriez pas l’habitude » a-t-elle ajouté avec un sourire en coin…
Seul dans ma chambre, j’ai revêtu - si j’ose dire - ma tenue : le tablier ne cachait pas la totalité de ma bite au repos, c’est dire la taille de cet accessoire qui devait me servir de vêtement, et les chaussures n’étaient pas simples à enfiler. Difficile - pour ne pas dire impossible - au début de rester debout! Après m’être tordu les chevilles et être tombé un bon nombre de fois, je parvenais en fin de journée à marcher à tous petits pas, ce qui me donnait une allure parfaitement ridicule, de précieuse du même nom!
Vers 18h30, Jack et David sont arrivés et m’ont fait appeler par Yvonne, dont le regard sur ma tenue ne me laissait aucun doute sur son appréciation.
« Hi Pierre, nice to see you! Great looking! » me dit Jack dans le salon où il était déjà assis.
« Cette tenue te va à ravir, ma petite salope » enchérit David.
« Ce soir, tu feras le service à table, nous ne sommes que tous les deux, tu as de la chance, pour commencer ton service ».
La salle a manger comportait une grande table en verre, chacun d’eux étant assis d’un côté. Yvonne servait à table. Mon rôle était d’être sous la table, assis sur les talons, et de leur téter le noeud a tour de rôle, les mains dans le dos, en ne les touchant qu’avec la langue. La table étant en verre, toutes les personnes se trouvant dans la pièce pouvaient ainsi profiter du spectacle.
- « Tu ne nous fais cracher que quand on te le dit, petite salope. Compris? Mais d’abord, viens près de Jack et présente lui ton cul.»
Je m’exécutais.
- « Je vais te poser un rosebud dans le trou. Regarde le. De l’extérieur, on a l’impression que c’est un gros diamant. Ainsi lorsque tu marches et qu’on te mate le cul, on ne peut pas te louper! Yvonne, mettez lui un peu de beurre à l’entrée du trou! Ça l’aidera si c’est la première fois!»
La garce s’est enduit le doigt de beurre avant de le fourrer dans mon petit trou, en tournant et en le limant, et en répétant ce manège trois ou quatre fois.
- « Il est prêt, Monsieur »
Jack enfonce la lourde pièce de métal d’un seul coup. Le diamètre est suffisamment gros pour que l’engin soit lourd et que je ne puisse l’oublier, mais suffisamment petit et étroit pour que j’ai peur de le perdre. Un vrai vicieux…
- « Bravo Jack! Marche un peu maintenant devant nous qu’on voit ton allure. Qu’en pensez vous, Yvonne? »
- « Une parfaite petite pute, Monsieur. Bien docile, un joli petit corps d’éphèbe, un tablier qui ne cache pas grand’chose par devant compte tenu de sa taille et de celle de son engin, et bien sur rien derrière. Il a un joli petit cul bien rond et ferme qui va susciter beaucoup d’envies, Monsieur. Le rosebud bien visible suggère de le remplacer par autre chose et va lui maintenir le trou bien ouvert : il va être obligé de marcher à tous petits pas en serrant les cuisses pour ne pas le perdre. Vous allez avoir beaucoup de succès… »
La honte absolue. Je pensais qu’Yvonne gardait en permanence le ton neutre que je lui avais toujours connu. Manifestement, elle savait se départir de cette neutralité…
- « Bien! A table! Pierre, en position! J’ai oublié de te dire : bien évidemment, tu n’as le droit de jouir que sur notre ordre et avec notre accord. Si tel n’était pas le cas, tu serais puni.»
Je me mettais donc assis sur mes talons, les mains dans le dos, attendant que l’un de ces messieurs me fasse signe. Jack a été le premier à ouvrir les cuisses, son paquet déjà sorti. J’ai donc approché la bouche et ai léché délicatement le bout de sa grosse queue coupée. Elle a pris forme petit à petit jusqu’à ce que Jack me donne un petit coup de pied dans les couilles. J’ai compris le message et me suis retourné pour travailler aussitôt la bite de David, dont le prépuce ne recouvrait déjà plus le gland et dont un lacet serrait la base des boules et de la hampe. Je m’appliquais de nouveau, jusqu’au coup de pied qui
m’enjoignait de me retourner.
Le diner se passa ainsi, la conversation entre eux se poursuivait comme si de rien n’était, Yvonne surveillait que tout se passe bien, aussi bien sur que sous la table. Aucun d’eux n’a craché, moi non plus heureusement.
Je suis resté debout entre eux pendant qu’ils me détaillaient en sirotant leurs cafés, tout en me palpant les bourses, le cul, la queue, le rosebud et en commentant l’ensemble. Yvonne, toujours présente, assistait à cette séance de maquignonnage.
- « Nous avons deux chambres séparées mais communicantes, Pierre. Yvonne a, bien évidemment, comme toi, une chambre et une salle de bains indépendantes. Je crois qu’Yvonne t’a montré tout cela. Si l’un de nous trois a besoin de toi pendant la nuit, nous te sonnons. Bonsoir Pierre »
Mon congé donné, je rejoignais ma chambre à petits pas prudents. Aucune sonnette pendant la nuit. Je soufflais un peu. Le Dimanche matin, coup de sonnette. Je me précipitais, autant que mon accoutrement me le permettait, dans la salle à manger. Les deux vieux étaient a poil, cuisses écartées de chaque côté de la table, et Yvonne, à poil également sauf un petit tablier lui cachant la fente, sous la table en train de leur téter le noeud et les boules à tour de rôle. J’étais pour le moins surpris.
- « Pierre, sers nous du café »
Précautionneusement, je m’approchais de leurs tasses avec la cafetière. J’observais la garce qui les pompait. Un cul encore bien ferme, de gros seins lourds et pleins aux tétines pointues. Manifestement elle avait l’habitude de sucer. Chacun d’eux émettait de petits cris lorsque sa bouche se refermait sur leur matos. La voir prendre ma place sous la table était le meilleur moyen de me rendre jaloux et que je fasse tout pour que les deux vicieux me préfèrent à elle.
- « Avale, Yvonne! »
L’ordre a fusé. Jack imposait à Yvonne de le faire cracher dans sa bouche. Ce qu’elle a immédiatement exécuté. Un coup de pied dans sa moule lui a enjoint de faire subir le même traitement à David qui se tortillait sur sa chaise comme une pucelle. Elle en avait plein la bouche et leur montrait en les regardant bien en face qu’elle avalait tout le jus qu’ils lui avaient donné.
- « Pour que tu saches, Pierre. Yvonne n’aime que les femmes. Mais elle se fait enculer par les hommes, notamment pour se soulager. Elle est très serrée, c’est délicieux, une vraie petite vierge. Tu verras, quand elle en aura envie, tu devras y passer. Et elle encule très bien aussi…C’est une domina qui adore les petites jeunes. Si tu lui offres ta copine à gros lolos, elle sera sûrement ravie! Quel âge a-t-elle?»
- « 18 ans »
- « Mais c’est parfait cela! Qu’en pensez vous, Yvonne? »
- « C’est vrai, Monsieur, vous savez que j’aime la chair fraîche et les jeunes filles bien étroites et dociles. »
- « Tu vois, Pierre! Si tu veux faire plaisir à notre amie, tu sais ce qu’il te reste à faire! Déjà, je suis sûr que tu as des photos de cette petite à poil : montre les lui, ça va lui faire du bien! Elle te laissera peut être lui bouffer la moule pendant qu’elle matera ta copine. Elle a rarement l’occasion de s’amuser, la pauvre.»
Je ne savais plus où me fourrer. Je n’imaginais pas Laurence entre les nichons de cette vieille gouine. Mais je savais que j’aurais du mal à ne pas lui montrer les Polaroïds que j’avais de ma copine.
Les deux vieux vicieux s’absentaient pour la journée. Je me doutais donc, compte tenu de ce qu’avait dit David, que j’allais y passer avec Yvonne.
Nous étions rentrés chacun dans nos chambres depuis environ une heure lorsqu’elle m’a sonné. Toujours dans la même tenue et le rosebud au cul, je me suis rendu chez elle. Elle était complètement à poil sur le lit, les cuisses bien ouvertes. Totalement lisse, pas un poil, une vraie petite fille…
- « Va me chercher les photos de ta copine dont Monsieur David parlait, s’il te plait »
Je ne pouvais faire autre chose que m’exécuter. Je lui ramenais donc une douzaine de clichés de Laurence, plus que suggestives, sur lesquelles elle était détaillée sous tous les angles et dans toutes les positions. Deux d’entre elles étaient prise pendant que je l’enculais. Par malchance, ce sont les deux premières sur lesquelles Yvonne est tombée.
- « Joli morceau, la petite. Elle aime que tu lui défonces le fion. Parfait. Tu vas me soulager en en faisant autant pendant que je mate le reste. Viens là! »
Elle m’a enlevé le tablier, fait garder les chaussures, pris la bite en bouche et me l’a rendue raide en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. La salope! Du métier, c’est clair. Elle s’est mise au bord du lit, le cul tourné vers moi, les coudes appuyés sur les draps.
- « Vas y, petite pute. Encule moi! »
Je présente ma queue à l’entrée du trou et d’un seul coup lent mais ininterrompu je l’enfile jusqu’au fond, jusqu’à ce que mes couilles lui touchent les fesses! Elle est serrée mais mouille du cul…
- « Salope! Tu sais y faire! Lime maintenant! Fais moi cracher le jus pendant que je mate ta petite chérie! »
Je la tiens par les hanches et la bourre consciencieusement. Je sens que la sauce monte mais je sais que je ne dois pas cracher sans son autorisation. La garce me décrit Laurence dans les termes les plus crus ce qui accroît encore mon excitation. Elle le sent.
- « Ne crache pas, petite pute, sinon tu seras puni et tu te doutes que je m’y connais en matière de punition. Réponds! »
- « Oui Madame »
- « C’est bien. Lime encore. Je sens ton gros bout de viande qui va exploser. Je te prendrais avec un gode en acier, tu verras comme c’est bon… Ta petite chérie a de gros seins pointus de gouine et un cul de pute dont je m’occuperais volontiers. 18 ans c’est le bel âge pour une domina comme moi. Tu le lui diras de ma part! Je la gâterais, elle en redemandera! Compris!»
- « Oui Madame »
A ce moment là elle a explosé, hurlé, inondé le parquet de sa cyprine, même son cul me mouillait abondamment la bite. Je n’en pouvais plus.
- « Vas y crache, petite pute! »
Je lui ai envoyé une grosse dose dans le fond du trou qui l’a faite couiner. En me retirant, le jus dégoulinait partout.
- « Nettoie moi avec ta langue »
J’ai tout léché, nettoyé, la moule, la raie, le cul. Elle semblait satisfaite.
-« Ta copine est une belle petite chienne, je me la ferais volontiers. Vu son âge, elle doit être bien serrée comme j’aime. J’ai l’habitude d’en faire de bonnes salopes. Penses y. Tu en profiteras aussi et je ne serais pas ingrate. »
Je suis rentré dans ma chambre avec les photos de Laurence devant lesquelles je me suis branlé. A l’âge que j’avais, on recharge vite. Je n’en pouvais plus. Cette vieille grognace m’avait vraiment bien chauffé et l’idée de ce qu’elle voulait faire de Laurence me faisait grimper aux rideaux même si je savais, bien évidemment, que jamais je n’oserais en parler à ma copine.
Les gros seins de la vieille m’avait aussi beaucoup excité, moi qui suis totalement dingue de gros pis bien fermes. Les siens ne l’étaient plus tout à fait, mais il y avait encore de beaux restes. Je la soupçonnais de les écraser pour les planquer et ne pas trop les faire apparaître dans son quotidien.
Les deux vicieux sont rentrés comme prévu en fin de journée. Ils ne se doutaient pas, ou faisaient mine de ne pas se douter, que j’avais enculé Yvonne et que nous avions l’un et l’autre déchargé, alors que cela m’était interdit sans leur accord. Mais j’avais repris ma vigueur d’adolescent et, lors du diner qui s’est déroulé comme celui de la veille, j’étais bien raide comme ils aiment.
Nous étions passés au salon.
- « Pierre, à 4 pattes! Yvonne, enlevez-lui son rosebud et enfilez lui, une a une, ce chapelet de boules thaïs dans le cul. Commencez par les plus petites, et mettez les lui jusqu’à la dernière, la plus grosse. Pas de beurre cette fois-ci. Toi, petite pute, tu ne bouges pas »
Les deux vieux ont sorti leurs paquets de leurs pantalons et ont maté le spectacle. David touchait Jack, le branlait et lui agaçait les tétines jusqu’à ce qu’il crache en poussant un petit cri. David s’est alors empoigné le manche et l’a agité jusqu’à ce qu’il inonde le parquet au moment où Yvonne finissait de me remplir le trou. Elle est aussitôt allé chercher de quoi nettoyer les projections des deux vieux, sans un mot. J’étais toujours a 4 pattes, les couilles tendues et la bite raide tellement le traitement infligé par Yvonne m’avait mis en joie…
- « Au lit, petite pute! Tomorrow is another day! Nous te dirons ce qui t’attend cette semaine. Et souviens toi, au coup de sonnette, tu rappliques la queue à la main. »
Trois heures du matin. Je dormais a poing fermé. Coup de sonnette de Jack. Je vais jusqu’à sa chambre dans ma tenue de service, les boules thaïs dans le cul, le mini tablier devant la bite, les chaussures à talons aux pieds. Pas ridicule pour deux sous!
- « Monsieur, vous m’avez demandé? »
Jack est allongé sur son lit, David debout à côté, la bite molle tous les deux a poil.
- « Encule le! Devant moi! »
Je ne l’ai jamais fait avec un homme. L’angoisse me prend… Vais-je oser? Vais-je en être capable. Mais le ton de Jack ne me laisse pas trop le choix. Manifestement, il s’est fait enfilé par David, mais il y a quelque chose qui n’a pas marché…
- « Tu vas le limer jusqu’à ce qu’il crie! Tu vas lui mettre cette cage autour de la queue, comme ça quand il bandera pendant que tu l’enculeras, sa bite lui fera mal. S’il a envie de pisser, il fera sur lui. C’est sa punition! A toi de l’exécuter et bien, sinon tu subiras le même sort mais c’est moi qui t’enculerais avec ma grosse pine épaisse et à sec! »
Je passe la queue de David dans la cage en la repliant sur elle même et sur ses couilles. Tout le paquet est enfermé. Il se met en levrette au bord du lit.
Yvonne entre à ce moment là. Nue avec le tablier qui lui cache juste la fente, et des talons pour la faire cambrer, comme moi…
- « Yvonne, sucez la petite pute pour la faire durcir »
La vieille me prend en bouche et très rapidement je deviens raide et gonflé, les bourses tendues.
- « A toi Pierre! Vite! Enfile le à sec d’un seul coup »
Je présente mon gros noeud devant son trou, je prends une inspiration et je lui rentre le pieu d’un seul coup jusqu’aux couilles - comme je fais pour les filles qui la ramènent -, ce qui lui arrache un hurlement!
- « Stop it, darling! You deserve it! »
- « Yes Jack! Thanks Jack! »
- « Lime le sans jouir »
Je m’active. La bête grossit. Je le remplis bien.
- « Sors d’un seul coup! »
Autre cri de David au moment où mon gland lui agrandit l’œillet.
- « Thanks Jack! »
- « Au lit, tout le monde »
Je suis la vieille en matant son cul. J’y mettrais bien ma pine de nouveau! Sa raie me fascine…
- « Ne te fais pas des idées » me dit-elle en se retournant.« Amène moi ta petite chérie qu’on s’en occupe bien ensemble de tous les côtés…Elle a un petit cul et de gros nichons bien fermes qui me font envie. Et une chatte poilue de vraie blonde, c’est rare… »
Manifestement Laurence ne la laisse pas indifférente. Les jours suivants se sont déroulés grosso modo à l’identique. Mais j’ai été prévenu dès le Lundi que le Jeudi soir nous aurions des invités à diner. Ma tenue devait être la tenue habituelle avec mon rosebud/diamant dans le cul. Seul ajout : un collier de chienne, en cuir, autour du cou avec un anneau pour la laisse…
Vingt heures. Les premiers invités sonnent. Je vais ouvrir. Deux hommes d’une cinquantaine d’années. Jack est derrière moi, il me pelote les fesses.
David est la maîtresse de maison.
- « Bonsoir chers amis! Bienvenue! Voici notre nouveau majordome, Pierre! Vous pouvez bien sur vous rendre compte par vous mêmes des qualités de sa plastique.»
Je suis détaillé, scruté, apprécié, commenté…puis soupesé. Les coups de sonnette se succèdent. Finalement huit invités, et donc un diner de dix, que des hommes entre la petite quarantaine pour les plus jeunes et la soixantaine pour les plus âgés.
- « Pierre, sers nous a boire! »
Je passe le plateau avec les flutes aux différents convives qui ne manquent pas, au passage, de me palper les fesses ou de me soupeser les couilles sous le regard amusé des autres invités. A la fin j’ai déjà un début d’érection impossible a dissimuler.
- « A 4 pattes, tu vas nous servir de table basse »
Je me mets dans la position demandée. Ils posent leurs flutes de champagne sur mon dos.
- « Ne bouge pas, petite pute, sinon pan-pan cul-cul »
L’assemblée s’esclaffe. Je fais de mon mieux pour rester immobile. Certains s’amusent à me palper les couilles pour voir ma réaction. Je ne bouge pas.
- « Il a un bien joli rosebud. On ne peut pas le rater. C’est exprès je présume…pour viser juste! »
Nouvel éclat de rire. Je régale…
- « Passons à table mes amis! Yvonne, débarrassez la table basse, je vous prie »
Encore des rires pendant que ces messieurs passent a table.
- « Pierre, en place »
Je me rends à quatre pattes sous la table où je prends ma position habituelle. Pendant que le repas démarre, les convives qui ont manifestement l’habitude de se retrouver ensemble dans ce type de situation, sortent un à un leurs attributs de leurs pantalons, sans aucune gêne, et écartent leurs cuisses aussi largement que possible en sortant ostensiblement le plus possible leurs paquets.
- « Pierre, commence par ce bout de table, et continue dans l’ordre »
J’ouvre la bouche, je sors la langue et je commence à lécher la première queue, le gland, le méat…un coup de pieds dans les couilles m’intime l’ordre de passer au suivant…et ainsi de suite pendant l’intégralité du diner.
Ces messieurs observaient ma manière de faire et évidemment, la commentaient crûment et abondamment, donnant leur appréciation sur mes coups de langue, l’effet qu’ils avaient sur les membres auxquels ils s’appliquaient aussi bien que sur le mien…
Yvonne s’acquittait imperturbablement de sa tâche, servant chaque convive, s’assurant qu’aucun d’eux ne manquait de quoi que ce soit, tout en matant discrètement ce qui se passait sous la table de verre à 50 centimètres de ses yeux. Aucun signe d’aucune sorte ne permettait de savoir si le spectacle et les membres exposés lui procurait le moindre effet.
A la fin du diner, tout le monde s’est rhabillé comme si de rien n’était et est passé au salon, Yvonne se chargeant de proposer café, thé ou infusion. Je retournais, toujours à 4 pattes comme une petite chienne, rejoindre les invités.
- « Chers amis, j’espère que le diner vous a plu et vous a rassasié, à tous points de vue. Si tel n’était pas le cas, notre majordome Pierre est là pour vous permettre, avec sa bouche de petite pute, de vous combler. N’hésitez pas à vous en servir, nous savons tous combien ce type de service peut être bénéfique »
Quatre des invités ont indiqué à David qu’ils souhaitaient que je les vide et que j’avale…Pendant que les autres dégustaient leurs boissons chaudes et devisaient tout a fait normalement, chacun des quatre est venu me fourrer sa bite dans la bouche pour que je le suce jusqu’à ce qu’il crache et que j’avale la sauce. Evidemment, je devais alors les lécher pour les nettoyer avant qu’ils ne remballent leur matos et finissent leur café, leur thé ou leur infusion…Les six autres appréciaient à haute voix bien intelligible ma manière de faire, la rapidité de la montée du jus, le mode de nettoyage…
Au fur et à mesure du départ des invités, je devais les raccompagner à la porte, sortir sur le palier et appeler l’ascenseur pour eux… Tous ou presque ont saisi ce moment pour me serrer les couilles ou la bite, comme pour me saluer, et me glisser un billet, un pourboire, dans la main… L’humiliation absolue : j’avais bien été la petite pute de la soirée qu’ils voulaient payer pour ses prestations.
- « Pierre, viens ici! » le ton de Jack était sans appel.
Il était assis dans son fauteuil fétiche, s'était déshabillé et m’intimait l’ordre de me mettre à genoux devant lui. David et Yvonne étaient à
ses côtés.
- « Suce moi à fond et avale. Tu m’as excité, petite salope, avec ta manière de faire sans rechigner. David, regarde ma chérie… Notre petite pute est vraiment bonne, tu ne trouves pas? »
David n’a rien répondu, Yvonne assistait à la scène sans broncher. J’ai bien sur exaucé le souhait de Jack, tout en me disant que David allait probablement me le faire payer…
Je n’en pouvais plus. De fatigue et d’excitation. J’avais toujours la queue raide, sans avoir le droit de me soulager.
- « Merci Yvonne de votre aide précieuse. Pierre, pour conclure cette soirée, encule David à sec ici, et vide toi, cela vous fera du bien à tous les deux. »
Là encore, pas de tergiversations possibles…David s’est mis en position m’offrant son trou devant Jack et Yvonne. Je me tenais la bite à la main et l’ai enfilé d’un seul coup, le faisant hurler. En trois allers/retours je lui ai craché toute ma purée dans le cul, puis suis ressorti en le faisant couiner.
- « Bien. Tu dois te sentir mieux, mon petit. Soyez gentille, Yvonne, nettoyez Pierre avec la langue pour qu’il ne nous en mette pas partout… Bonsoir. »
Nous avions notre congé. Yvonne a enlevé ce qu’il me restait de jus autour du noeud avec sa langue de gouine, sans émotion quelconque, et nous sommes tous allés nous coucher.
La soirée s’était manifestement bien passée et l’essentiel était atteint : Jack en était satisfait. Après une petite semaine de mon nouveau job d’été, j’étais plutôt rassuré. Aucun n’avait encore cherché à m’ouvrir le cul avec sa pine, par contre je devais beaucoup me servir de ma bouche et de ma bite. Cela me convenait parfaitement. La parfaite petite pute…
Les journées se succédaient grosso modo selon le même scénario. Soit les deux vieux salauds étaient seuls, et je prenais position sous la table, la bouche ouverte, pour leur téter les dards et les boules, soit il y avait un diner avec des invités et j’assurais le service essentiellement avec ma bouche et ma bite.
Certaines nuits, j’étais appelé au chevet de Jack, pour enculer David. Et un autre week-end end où j’étais seul dans l’appartement en compagnie d’Yvonne, cette dernière m’a à nouveau demandée les photos de ma copine Laurence et de lui limer le cul pendant qu’elle les matait et les commentait, ce qui, évidemment, avait le don de me rendre la bite encore plus épaisse et de m’exciter au plus haut point. Plus elle était grossière et vulgaire - et elle ne s’en privait pas, la grognace - plus elle savait que j’allais lui défoncer le fion comme elle le souhaitait…
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