Le mari de ma patronne

- Par l'auteur HDS Karima -
Récit érotique écrit par Karima [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le mari de ma patronne Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Le mari de ma patronne
J'ai 27 ans, Je travaille en tant que journaliste de mode, depuis deux ans chez Mme Valérie G. C'est la propriétaire d’un magazine de mode, elle a 46 ans et elle est toujours super bien habillée : tailleur jupe veste avec chemise en satin, escarpins...dès mes premiers jours dans son entreprise je fantasmais sur elle. Pour boucler un nouveau numéro elle avait l'habitude de s'enfermer dans une ferme loin de tout, avec un ou plusieurs collaborateurs. Il y a un an et quelque ce fut moi qui devais partir avec elle un long week-end a la ferme pour les dernières retouches. Voilà les détails de ce fameux weekend: On arrive dans le petit village vers 15h après 2 heures de train. Un taxi nous conduit à la ferme, 30 minutes de route.
Ma patronne Valérie m'explique que nous allions être seul loin de tout pour se concentrer sur le boulot. Et en effet, à part la ligne fixe il n'y ni réseau Gsm ni internet. Elle me montre ma chambre et me dit : Val: prends une douche si tu veux mets-toi à l'aise on se retrouve en bas dans une heure.
Je défais ma valise, je me prépare à prendre ma douche. Je suis en boxer quand la porte de ma chambre s'ouvre. C'est Valérie, je reste figé elle me tend des serviettes et me ditVal: oh pardon, j'ai oublié de te donner les serviettes.
Elle referme la porte et s'en va. Après ma douche je descends au salon. Elle est là assise un verre de whisky à la main, habillée d’une robe à hauteur des genoux, collants noirs et des sandales à talons noires. Elle se lève et ditVal : je te serre un verre en attendant le dîner ? Tu bois quoi?
Moi: comme vous ça iraElle me serre un verre et lève le sien pour trinquer. On a discuté quelques minutes quand la sonnerie du four retentit.
Val : le dîner est prêt.
Moi : je vous aide?
Val : oui volontiers, tiens mets les couvertsPendant le dîner elle a commencé à me poser des questions un peu trop personnelles a mon gout:Val : tu es marié Karim?
Moi : Non madame.
Val : moi je suis marié depuis 10 ans.
Moi : wow superVal : tu as une petite amie alors?
Moi : non madame.
Val : comment ça se fait, tu es plutôt bel homme et à ce que j'ai vu tout à l'heure, la nature t'a bien gâté.
Là elle pose sa main sur ma cuisse et me caresse en remontant vers mon entre jambe. Je rougis et j'ai une grosse bosse qui se forme. Elle laisse sa main tout prêt de mon entre jambe, me regarde dans les yeux et dit :Val : relax, je sais, je suis entreprenante, j'aime prendre les choses en main, j'espère au moins que je te plais?
Encore sous l'émotion, l'excitation je reste la a la regarder bouche béeVal : je ne suis pas ton genre? Ou peut-être je suis trop vieille pour toi c'est ça.
Je prends mon courage à deux mains et lui dis: Moi : non Madame vous êtes sublime, c'est juste que je suis timide et je ne m'attendais pas à ça.
Val : merci pour le complimentElle s'approche de moi et m'embrasse sur la bouche. Nos langues se croisent, mon pantalon va se déchirer tellement je bande fort. Après de longues minutes, elle se recule et me demande :Val : un autre verre?
Moi : volontiers madameVal : ne m'appelles plus madameJe m'attendais à ce qu'elle me dise appelles moi Valérie ou ValVal : appelles moi maitresse, a partir de maintenant tu diras maîtresse d'accord.
Je reste sans voix. Elle reprendVal : je crois que tu es le genre à être dominé par une maîtresse.
Moi : heuu Val : j'en étais sûr, bon je te laisse débarrasser, je monte me changer et je reviensMoi : d'accordVal : d'accord qui?
Moi : d'accord maîtresseVal : voilà c'est mieux.
Elle monte, je débarrasse la table à manger et mets les ustensiles dans la machine et je me ressers un verre. J'entends le claquement de ses talons dans les escaliers. Je reste ébloui par sa beauté et sa tenue. Elle est habillée en robe en cuir collée au corps, des basses résilles noires et une paire de bottes a talons en cuir noir, un rouge a lèvre rouge vif et une cravache a la main. Elle s’approche et me dit: Val : comment me trouves-tu ?
Moi : magnifique maîtresseElle tape de sa cravache sur la table et ditVal : serre-moi a boire D'un air autoritaire. Je lui serre à boire on trinque puis le téléphone fixe sonne. Elle dit :Val : qui ça peut bien être à cette heure-ci?
Elle décroche en haut-parleurs et je l’entends dire:Val : Salut Olivier, tu vas bien?
Olivier ; Bonsoir ma chérie, désolé de t’appeler aussi tard.
Val : tout va bien j'espère.
Olivier : oui oui juste je viens de rencontrer ton mari à l’instant dans le hall avec une valise et je lui ai demandé s’il partait en voyage, et il m’a dit qu’il te rejoignait pour une surprise. et bien qu’il m’a fait promettre de ne rien dire, je te préviens quand même, tu sais que tu comptes beaucoup pour moi.
Val : Merci mon chou tu me sauves la vie, je t’aime fort bisous.
Elle raccroche énervée et me dit : Val : c'est mon voisin, c'est un homo et c'est mon meilleur ami. Mon mari arrive soit disant pour me faire une surprise, S’il te trouve ici il va piquer une crise de jalousie. Il doit se douter de quelque chose, ça n’est pas de ses habitudes.
Moi : je peux partir pour éviter les problèmesVal : non tu as nul part où aller, dans ce bled il n’y a pas d'hôtel ni de transport. laisse-moi réfléchir.
Elle fait quelques pas et dit : Val : j’ai une idée. Il lui faut 3 bonnes heures de route, viens suis moi.
elle m’attrape par la main et me conduit dans sa chambre puis elle me dit : Val : déshabilles toi.
Moi : quoi, mais votre mari va arriverVal : ça n’est pas ce que tu crois, tu vas te faire passer pour ma secrétaireMoi : Quoi?
Val : oui vu ton physique tu passeras très bien pour une femme, et je lui dirais que demain tu dois rentrer à Paris pour une urgence, c’est que pour cette nuit.
Moi : tu crois qu’il va avaler ça ?
Val : oui t’en fait pas, déshabilles toi.
Je m'exécute, une fois nu elle me rase le peu de poils que j’ai sur mes jambes, puis elle me donne des collants noirs, une robe bleu foncé puis elle me dit: Val : combien tu chausses?
Moi : 41Val : parfait voilà une paire de sandales.
Je reste bloqué et elle me cri : Val : Allez habilles toi, on a que quelques heures devant nous.
Une fois habillé elle m’aide pour les scandales, puis elle me maquille. Elle finit par me fixer une perruque mi longue et dit :Val : lève-toi que je vois.
Je me lève et elle me dit : Val : parfait tu es superbe, maintenant tu as deux heures pour apprendre à marcher avec ces talons, ils ne sont pas très hauts c’est du 9 cm. alors tu fais des petits pas et un pied devant l’autre comme si tu marches sur un fil.
Moi : je ne sais pas si j’y arriverais.
Val : tais-toi et ne t'arrête pas de marcher, si tu ne veux pas qu’il nous tue tous les deux.
Je me tais et je marche, pendant la première demi-heure elle m’a suivi pour me corriger puis après j’y arrive tout seul. Et je vous avoue que la sensation des collants en nylon sur mes jambes est magnifique. C’est doux et sensuel. Elles ont de la chance les femmes, même cette sensation de hauteur de supériorité perché sur les talons et top. Maintenant Val me fait des remarques sur la façon de tenir un verre, sur les gestes, comment m’asseoir…et je lui fais remarquer : Moi : et pour ma voix comment je fais?
Val : ne t’en fais pas tu as une voix ni masculine ni féminine, évite juste de parler fort. okVers 22h30 on entend la serrure de la porte. mon cœur bat fort et je lui dis : Moi : Valérie, j’ai peur.
Val : Calme-toi et respire, tout ira bien.
Elle se dirige vers l’entrée et elle le voit et prend l'air surprise : Val : Chéri, que fais-tu là?
Le mari: je suis venu te faire une petite surprise. Tu n'es pas seule ?
Val : j’ai ramené ma secrétaire pour qu’elle m’aide on a un boulot monstre.
Elle se retourne vers moi et me dit : Val : Karima je te présente mon mari, Mamadouil s’approche de moi me fixe du regard, prend ma main et dit :Mamadou : enchanté Karima. je pensais que tu étais seule ma chérie je voulais être là pour te tenir compagnie et m’occuper de toi.
Val : pas grave mon chéri. On en a encore pour une petit demi-heure. Tiens va te rafraîchir et serres nous un verre.
Il part se changer. Pendant ce temps, Val et moi on finit de ramasser les dossiers. Mamadou est dans la cuisine. il revient avec un plateau d’amuse-gueule et il dit : Mamadou : vous buvez quoi les filles? Val toi je sais ce que tu aimes, Karima?
Moi : Vin rouge MerciIl sert 2 verres de vin rouge et un gin orange pour Val. On trinque, on discute, j’essaie de parler le moins possible de peur que ma voix me démasque. Il nous sert un autre verre. Val commence à bailler et il dit : Mamadou : tu devrais aller dormir tu as l’air fatiguéeVal : oui d’un coup j’ai un coup de barre, je monte. Tu viens chérieMamadou : 5 minutes je finis mon verre et j’arrive.
Je commence à stresser du fait de rester seul avec lui. Mon dieu fait qu’il ne remarque rien. Et dès qu’on est seul il dit : Mamadou : je peux te tutoyer Karima?
Moi : bien sur MonsieurMamadou : non Mamadou ça ira, on t’a déjà dit que tu étais belle et sexy?
je rougis, je baisse les yeux je ne sais pas quoi répondre Mamadou : ne sois pas timide, regarde-moiIl me soulève le visage avec sa main, nos regards se croisent et il s’avance et m’embrasse sur la bouche. Je me recule et lui dit : Moi : hee non votre femme, elleMamadou : ne t'inquiètes pas elle ne redescendra pas.
Moi : si, si elle voit que tu tardes c’est sur elle va revenirMamadou : croit moi non, je lui ai mis un somnifère dans sa boisson.
Moi : quoi mais ça ne va pas?
Mamadou : écoutes, je sais que depuis quelque temps elle me trompe. Moi je ne l’ai jamais fait, ça sera ma première fois avec toi.
Moi : mais..
Avant d’avoir le temps de finir ma phrase il se jette sur moi et m’embrasse sur la bouche en me serrant dans ses bras. J’essaie de résister mais il me force à ouvrir la bouche et nos langues se croisent.
C’est vrai que j’ai l’esprit ouvert et que je me dis depuis un bout de temps que j’aimerais bien tenter une aventure avec un mec, mais pas dans ces conditions, sa femme a quelques mètres de nous…De toute façon ça ne sert à rien de résister, il est beaucoup plus fort et baraqué que moi; je me laisse aller. Je lui rends son baiser, il pose une de ses mains sur ma cuisse et me caresse. Quelle sensation avec les collants. Bizarrement j’ai une très forte érection que je tente de camoufler. il me caresse la cuisse en remontant vers mon entre jambe et quand il arrive trop près de mon pénis je lui bloque la main. Il se redresse légèrement me regarde dans les yeux et dit : Mamadou : pourquoi tu es si crispée, décontracte toi, laisse-toi faire ma chérie.
Moi : c’est que...
à peine je tente de trouver quelque chose a dire, il saisit mon sexe et m’embrasse a nouveau. Je suis tout embrouillé, comment a t’il sut. J’arrête de trop réfléchir et lui rend son baiser. Il me prend ma main et la pose sur son sexe énorme et dur puis il pose la sienne sur le mien. Je ne sais pas combien dure notre baiser. il se redresse à nouveau et me dit : Mamadou : tu vois l’effet que tu me fais Karima.
Moi : oui; mais dis-moi comment tu as su pour moiMamadou : écoutes, depuis que j’ai appris que Val me trompe, j’ai installé une caméra dans le jardin sans qu’elle le sache. Quand elle m’a dit qu’elle venait seule et je vous ai vu entrer tous les deux je me suis dit c’est son amant. Donc j’ai pris la route.
Moi : Mais je ne suis pas son amant, au début elle m’a dit qu’on vient pour bosser et quand on est arrivé elle m’a carrément sauté dessus, mais à la base je n’avais aucune mauvaise intention je le jure.
Mamadou : pas la peine de jurer je te crois, je la connais elle est dominatrice. Et donc elle a décidé de te faire passer pour sa secrétaire.
Moi : oui je lui ai dit que ça ne marcherait jamais.
Mamadou : franchement si je ne vous avais pas vu rentrer, je ne me serais pas douté que tu es un homme. Mais ça tombe bien. J’adore les travesties.
Moi : mais je ne suis pas travestie c’est…Mamadou: si si ma belle regarde comment tu es habillée et en plus ça te va a merveilleLà il me caresse le visage et me donne un autre baiser, puis dit Mamadou : je te serre un autre verreMoi : VolontiersJ’en ai bien besoin je dois me relaxer, c’est ma première expérience avec un homme et un peu d’alcool sera le bienvenue. On descend 2 ou trois verres puis il se lève et me prend dans ses bras comme une mariée et dit : Mamadou : il se fait tard, on se met au lit bébé.
je lui souris et me sens protégée dans ses bras. Une fois dans la chambre d’ami, il me pose doucement sur le lit et vient s’allonger près de moi. il m’embrasse pendant qu’il défait son pantalon et sa chemise. Le voilà tout nu, nos bouches restent collées, je lui caresse le torse et descend jusqu'à son énorme pénis. Il me fait retirer ma robe, je suis en dessous et en collant. il m’embrasse le cou, puis le torse et descend petit à petit. Il dégage mon pénis en descendant le collant et il m’embrasse mn pénis puis il le suce. je râle de plaisir. Il se positionne sur moi en gardant mon pénis dans sa bouche, et pendant qu’il me suce, il lubrifie son pénis. Il me serre les fesses en me suçant toujours, puis fait un trou dans mon collant. Il relâche mon pénis et m'embrasse sur la bouche, m'écarte les jambes et positionne son dard sur ma rondelle. Je me crispe et je lui dis : Moi : je suis encore vierge fais attention.
Mamadou : oui je vois, juste relaxe toi, j'y vais tout doucement.
Il m'embrasse à nouveau en poussant très lentement sur mon intimité. Il faut dire qu'elle est énorme. Après plusieurs petites poussées, la tête de son pénis entre en moi. Je me crispe, j'ai un peu mal. Il l'a senti et ne pousse plus. Après quelques caresses et voyant que je me suis décontracté il se remet à pousser. Je sens son dur et gros bout de chair me défoncer le derrière. La douleur est toujours là mais le plaisir est plus fort. Il continu de m'embrasser en poussant son dard en moi. Ça y est, nos corps sont collés l'un à l'autre. Il ne bouge plus. Il se redresse, lève mes jambes sur ses épaules et me caresse les cuisses. La vue de mes jambes galbées de nylon sur ses épaules, son corps dressé devant moi, nos corps collés, me procure un plaisir énorme. Je bande tellement fort que j'en ai mal. Il m'agrippe le pénis d'une main, la cuisse de l'autre et se met à sortir et entrer en moi doucement. Puis il se remet sur moi en écartant mes jambes. J'ai les genoux tout près de mes épaules, il m'embrasse langoureusement en accélérant ses va et vient. C'est tellement bon que j'en râle de plaisir. Mon corps tremble. Il accélère de plus en plus, je me tortille de plaisir, il accélère encore plus, je crie de plaisir et j'ai un orgasme interne. Puis il gicle en moi, je sens son liquide chaud en moi. J'éjacule sans même me toucher. Il sort doucement, s'allonge près de moi et m'enlace et dit :Mamadou : c'était trop bon chérie. Toi ça va comment tu as trouvé ?
Moi : c'était bienMamadou : Bien? tu n'as pas aimé ?
Moi : si si c’est la première fois tu vois, mais j'ai adoré.
La je l'embrasse sur la bouche pour lui confirmer ce que je viens de lui dire. Puis je me tourne sur le côté et je me colle à lui. Il m'enlace, m'embrasse sur la nuque et me serre contre lui. Il me caresse les fesses et la cuisse et je sens son pénis reprendre de la vigueur. Il se frotte à moi et continu de m'embrasser la nuque et le dos, il prend le tube de lubrifiant m'enduit mon entrée en prenant soin de glisser légèrement un doigt en moi. Je bande aussitôt, il sort son doigt et place son pénis qui entre en moi facilement cette fois-ci. Je suis remplie avec sa chair dure humide et chaude. Il m'attrape mon pénis pendant qu'il entame un va et vient. Il me masturbe à la même vitesse que ses coups de rein. C'est tellement bon que je plis mes jambes pour me cambrer et bien la sentir en moi. Il accélère le rythme en me serrant contre lui. Son corps claque sur mes fesses. Je râle de plaisir et je me cambre pour mieux la sentir. Le rythme devient rapide, son souffle aussi, il accélère la masturbation. Mon corps tremble de plaisir on éjacule en même temps. Lui tout au fond de moi et moi dans sa main.
Je me retourne vers lui et je lui dis: Moi : c'était magnifique wowJe l'embrasse et me blotti contre lui et je m'endors.
Le matin je suis réveillé par Valérie.
Val : bonjour réveille toiMoi dans les vaps, je ne sais plus où je suis, ça me revient petit à petit et je me dis, est ce que j'ai rêvé que son mari m'a baissé. La petite douleur que je ressens dans mon derrière me fait comprendre que ça n'était pas un rêve.
Val : allez debout tiens voilà de quoi te changer, je reviens pour te maquiller.
Elle pose sur mon lit un tailleur jupe veste gris foncé avec une chemise en satin crème avec des collants couleur chair.
Elle descend préparer le petit déjeuner pendant que je me rafraîchis et me change puis elle vient me maquiller. Elle me dit :Val : tu as bien dormi, moi je suis tombé comme une souche.
Moi : oui tard mais ça va.
Elle finit de me maquiller et on descend prendre le petit déjeuner. Mamadou n'est pas là. Je lui dis :Moi : votre mari est parti?
Val : non il dort encore, il est crevé avec la route qu'il s'est tapé hier.
Ah si elle savait la vraie raison de sa fatigue. Quand je repense à ces moments. Je n’aurai jamais pensé que ça serait si bon. Je n'avais jamais joui aussi fort. Après le petit déjeuner on passe au bureau pour bosser et en y allant Val me dit : Val: n'oublies pas un pied devant l'autre, tu marches comme un mec là.
Moi : ah oui c'est vraiEn fait, c'est la petite douleur qui fait que je marche ainsi. Je me ressaisis et m'applique. Vers 11h alors que nous sommes plongés dans nos dossiers, Mamadou arrive en pyjama.
Mamadou : bonjour les fillesVal : bonjour chéri bien dormis?
Moi : bonjour Mamadou : comme un Loire. Je suis tombé net.
Val : moi aussi je n'ai pas senti quand tu es venu. Ton petit déjeuner est sur la table.
Après son petit déjeuner il s'est occupé de nous choyer toute la journée, café, déjeuner, thé et il a aussi préparé le dîner. Après le dessert, il nous propose un verre avant d'aller nous reposer.
Mamadou: Karima, tu bois quoi?
Moi : heu vodka tonic merciMamadou: et toi ma chérieVal : non rien pour moi je suis fatigué.
Mamadou : une tisane alors ça te permettra de bien dormirVal : oui merci tu es gentil.
Il se dirige vers la cuisine pour nous préparer à boire, pendant qu'on ramasse nos dossiers. Val dit :Val : On a bien bossé. Demain grasse matinée.
Mamadou revient avec un plateau et dit :Mamadou: vodka tonic pour Karima, Il me tend mon verre.
Mamadou : tisane pour toi chérie.
Il lui remplit une bonne tasse. Et on trinque, on discute de tout et de rien. Après le 3ème verre et la deuxième tasse pour Val, celle-ci commence à bailler. Je comprends qu'il a dû encore lui mettre un somnifère. Elle se lève et dit : Val : chéri on monte se coucherMamadou : bien sûr chérie je débarrasse et j'arrive.
Val : non emmène-moi j'ai pas la force d'y aller seulePour éviter les soupçons je dis: Moi : laissez je vais débarrasser, allez-y vous.
Ils montent, je débarrasse les verres. Pendant que je suis penché en train de mettre les verres dans le lave-vaisselle Mamadou se colle à moi. Je me redresse en panique et lui dit :Moi : tu es fou, et si elle redescend maintenantMamadou : tranquille ma puce elle dort déjà. Je lui ai mis deux somnifères.
Il me retourne face à lui et m'embrasse en me serrant contre lui. Puis il dit :Mamadou: la journée fut longue tu m'as manqué.
Moi : moi aussi, je n'ai pas arrêté de penser à hier soir.
Mamadou: tu veux un autre verre?
Moi : volontiersJ'ai besoin d'un ou deux autres verres pour me décontracter. On s’assoit on trinque et on discute : Mamadou : tu n'as jamais eu de relation avec un homme?
Moi : non c'est la première fois.
Mamadou : tu n'y as même pas pensé un jour.
Moi : si une fois en regardant un film gay ça m'a traversé l'esprit vu aussi que je n'ai jamais eu de chance avec les femmes.
Mamadou : et qu'en penses-tu Sincèrement ?
Moi : sincèrement, j'ai été agréablement surpris.
Mamadou: c'est vrai.
Moi : oui en plus cette douceur des collants, le fait d'être perchée sur les talons ça me procure un certain plaisir. Tu vas dire que je suis un pervers.
Mamadou : une perverse. Maintenant que tu es habillée en femme il faut que tu parles de toi au féminin, d'accord.
Moi : ok ça me va.
Mamadou : tu as des fantasmes cachés ?
Moi : heu, avec ce qui m'arrive je dois y repenser. On va dire que je n'ai plus les mêmes désirs Mamadou: ah bon, par exemple.
Moi : ben je ne sais pas, apprendre à faire ce que font les femmes aux hommes par exemple.
Mamadou : comme quoi? Tailler une pipe par exemple?
Je baisse les yeux timidement. Et il insiste :Mamadou : ne soit pas timide, ne t'en fais pas, ton apprentissage commence ce soir. Je serais ton homme. Si tu veux de moi bien sûr.
Moi : mais Valérie, je ne voudrais pas vous créer des problèmes.
Mamadou : ne t'en fais pas, ça fait un moment que je réuni les preuves d'infidélité, et si je suis venu hier soir c’est pour la prendre en flagrant délit et lui balancer tout. Mais quand je t’ai vu j’ai tout de suite flashé et j'ai contacté mon avocat quand cet après-midi quand vous bossiez. Il va l'appeler lundi avec toutes les photos .... Je la quitte pour de bon.
Moi : non !
Mamadou : si c'était prévu avant que je ne te rencontre.
Moi : elle va me tuer, elle va croire que c'est à cause de moiMamadou: ne t'en fait pas je ne lui dirai rien pour nous. OkMoi : merci pour ta compréhension.
II se lève nous serre un autre verre et mets un fond de musique douce. Il s'approche de moi, retire son pyjama et vient positionner son pénis devant mon visage et dit : Mamadou : vas-y bébé, attrape la, lèche la, embrasse-la doucement.
J’ai hésité au début puis je l’ai finalement prise de ma main droite. Je lui donne un coup de langue, je l’embrasse et il me dit : Mamadou : prends-la en bouche maintenant, fais attention à ne pas la toucher avec tes dents. Et de temps en temps regarde-moi.
J’ouvre la bouche et je prends le bout en faisant attention. je lève les yeux et nos regards se croisent. Son pénis lâche un liquide transparent gouteux. je ne pensais pas que ça serait bon. il m’attrape la tête et pousse doucement sur son pénis en me gémissant : Mamadou : oui chérie c’est ça, mmmmmmJ’essaie de m’appliquer en l’introduisant au maximum (c’est à dire même pas la moitié) je n’arrive pas à en avaler plus sans avoir des haut le cœur. Je me retire lui donne quelques coups de langue et lui dit : Moi : désolée je n’arrive pas à aller plus loinMamadou : pas grave ma chérie pour une première fois c’est déjà énorme. Ça demande de l'entraînement. C’est parfait pour un début.
Sur ses encouragements j’en remets une couche. Je l’embrasse, ouvre la bouche et l’aval du mieux que je peux. Je fais des vas et viens et de temps en temps je le regarde dans les yeux. J’apprécie de plus en plus sa chair dure et chaude goûteuse dans ma bouche. Je me surprends à gémir en taillant une pipe au mari de ma patronne. Au bout d’un moment il se retire, me fait lever et m’embrasse langoureusement sur la bouche en me serrant contre lui. Puis il s’assoit sur le divan et me tire vers lui. Je me mets sur lui, face à lui, un genou de chaque côté et je l’embrasse. Pendant qu’on s'embrasse, il soulève légèrement ma jupe, déchire les collants et place son pénis sur mon orifice. La douleur de la veille n’est plus là et son pénis entre sans difficultés. Sa chair dure et chaude entre en moi jusqu'au fond. C’est trop bon. Je ne pensais pas adorer ça. Il bouge son bassin pour entrer et sortir. C’est tellement bon que c’est moi qui commence à me soulever et à m'empaler sur son pénis. Il m’embrasse langoureusement en gémissant et en me caressant mes jambes galbées de nylon. Il m’attrape par les hanches pour m’aider dans mes mouvements. Je râle et mon corps tremble de plaisir. Au bout d’un moment il me fait lever et me dit : Mamadou : tourne toi bébé.
il se positionne sur le canapé de façon à ce que son bassin soit plus bas que ses genoux et il me fait tourner dos face à lui et me fait empaler sur son dard. Mes jambes sont écartées sur ses genoux et mes mains prenant appui sur son buste. Il monte et descend son bassin pour venir buter contre mes fesses, je n’ai aucun appui, mes pieds ne touchent pas le sol, la pénétration est si profonde que j’en râle de plaisir. Mon érection est si intense que j’en ai mal au pénis. Ses mouvements sont plus rapides et plus forts, je sens son corps claquer contre mes fesses. Il accélère de plus en plus, je jouis de l'intérieur en me tortillant et en criant de plaisir. je le sens, il arrive, il m'envoie plusieurs giclées chaudes dans mon intimité. C’est trop bon et intense. Je finis par m’allonger dos contre lui, il prend mon pénis et me masturbe pendant que son pénis se dégonfle en moi. Après juste quelques va et viens j'éjacule si fort que ça m’arrive au visage. il me dit : Mamadou : tu es magnifique chérie, c'était trop bonMoi : mmoui magnifique bébéAprès quelques minutes de repos il me dit :Mamadou : tu veux un verre bébéMoi : volontiers il nous sert à boire toujours nu comme un vers. il s’assoit près de moi, on trinque et il entame la discussion :Mamadou : j’ai beaucoup de chanceMoi : Comment ça Mamadou : ben de t’avoir rencontré, heureusement que ma femme m’a trompé sinon tu n’aurais jamais découvert la femme cachée en toi.
Moi : carrément la femme. Il ne faut pas exagérerMamadou : pour moi tu es meilleure qu’une femme. J’adore ce concept, une femme sexy avec un petit plus entre les jambes. Surtout tu m’as dit que tu as aimé la sensation des collants et l’effet que te font les escarpins.
Moi : c’est vrai j’adore, je ne sais pas pourquoi les femmes s’en privent.
Mamadou : ben tu vois avec ton petit supplément entre les jambes, et si tu portes toujours des collants ou bas, avec des escarpins, des robes ou tailleurs, je serais l’homme le plus heureux du monde. Que demander de plus.
Moi : mais ta femme elle est toujours comme ça non?
Mamadou : quand elle va au bureau oui, mais à la maison elle est toujours en jogging. En général, les travestis essayent toujours d'être au top aussi bien dans la rue qu'à la maison.
Moi : c’est vrai que maintenant que je me suis découverte ma nouvelle identité, j’aimerai être comme ça tout le temps, c'est trop excitant.
Mamadou : ben voilà la différence tu vois. Maintenant une fois rentré à Paris il va falloir te refaire ta garde-robe.
Moi : ça va être dur avec mon salaire, je m’en sors à peine avec le loyer et la bouffe.
Mamadou : ne t’en fais pas chérie, je vais prendre soin de toi. Enfin si tu veux être à moi bien sûr.
Je ne réalise pas ce qui m’arrive, en un week-end je me suis fait défoncer par le mari de ma patronne et voilà qu’il me propose d'être à lui. Sincèrement dans mes relations précédentes avec les femmes je n’ai jamais ressenti autant de plaisir à être dans les bras de quelqu’un comme à cet instant.
Mamadou : alors tu ne m’as pas répondu tu veux que je m’occupe de toi?
Moi : oui je me sens bien avec toi mais je ne veux pas de problème avec Valérie.
Mamadou : elle n’en saura rien, sois tranquille.
Moi : ok alors j’accepte d’être ta petite amieMamadou : merveilleux ça s’arrose.
il nous ressert un verre bien dosé et me prend la main pour monter dans la chambre. On s’assoit sue le bord du lit on boit nos verres et il me dit : Mamadou : tu vas faire de moi l’homme le plus heureux a monde bébé, et je m’occuperais de toi comme il faut tu verrasJe lui souris et ne sachant pas quoi répondre je l’embrasse.
Mamadou : c’est un baisé qui veut dire que tu es d’accord?
Moi : je crois oui, je me sens bien avec toi, mais en femme uniquement.
Mamadou : oui oui ça va de soi, je te préfère et je te veux que femme, et femme sexy bien surMoi : voilà c’est ça, il me faudra un peu de temps pour m’habituer aux manières de femmes, tu devras être patient avec moi, tout ça est nouveau pour moi.
Mamadou : oui bien sûr chérie, déjà pour une première fois tu es parfaite. Je te trouverais un coach pour t’aider.
Moi : ça existe des coachs pour ça?
Mamadou : oui bien sûr ne t’en fais pas.
Là, il prend nos verres, les pose sur la commode et revient tout nu se mettre à genou devant moi et me dit : Mamadou : Allonge- toi.
Je m’allonge sur le dos, il me caresse les mollets puis les cuisses, m'écarte les jambes et entre sa tête dans mon entre jambes. Il prend mon sexe a moitié dur dans sa bouche et continu de me caresser les cuisses galbées de nylons. Je bande déjà très fort, il s’occupe bien de moi. Pendant qu’il me taille une pipe d’enfer il me caresse la raie, puis introduit un doigt, puis deux. Je me tortille de plaisir. Il joue avec mon corps et me procure des sensations jamais ressentis. Je râle de plaisir, et au bout d’un moment il se relève, écarte mes jambes et viens me pénétrer comme une femme en m’embrassant langoureusement. Il fait des va et vient assez rythmés dès le début de la pénétration, ça me rend folle de plaisir, je râle puis j’éjacule sans même me toucher. Il continue de me limer rapidement jusqu'à m'envoyer plusieurs giclées chaudes en moi.
Il s’affale près de moi sur le lit m’enlace et dit :Mamadou : c’était magnifique chérie, ça a été pour toiMoi : oui superMamadou : tu me rends dingue. J’ai hâte qu’on soit ensemble à ParisMoi : Je suis impatiente aussi. Je dois juste apprendre à gérer entre ma vie professionnelle en homme et ma vie privée en femme avec toi.
Mamadou : oui j’y ai pensé, et je crois avoir une idée. Mais on en parlera plus tard.
Moi : okJe suis trop fatiguée pour insister, pour connaitre son idée, je m’endors presque aussitôt.
Le matin je suis réveillée par l’odeur du café. Il est 11h10. Je prends une douche et quand je sors je trouve une robe verte des collants couleur chair sur le lit. Je m’habille, et Val arrive au bon moment.
Val : Bonjour ma belle. Assieds-toi que je te maquille rapidementMoi : Bonjour Val je suis crevé. J’ai trop bu je crois.
Val : oui moi aussi j’ai la tête dans les vaps.
Une fois le maquillage finit on descend prendre le petit déjeuner, puis nous prenons la route du retour. 3 heures de route, de temps en temps Mamadou me jette un regard dans le rétroviseur. J’ai peur que Val ne se doute de quelque chose. En cours de route on s’arrête à une aire de repos, val voulait passer par les toilettes. Une fois seul Mamadou se retourne vers moi me caresse la jambe et dit : Mamadou : ça va bébé pas trop fatiguéeMoi : non ça va mais arrêtes tes bêtises elle va se rendre comprendre. Retiens-toiMamadou : ok ma chérieMoi : Si elle se rend compte de quelque chose elle va me virer et je ne peux pas en ce moment me le permettre. La voilà elle arriveVal ; vous ne voulez rien boire ?
Moi : non merci ValMamadou : un Coca pour moi s’il te plait MerciElle repart au café et il continu : Mamadou : ne craint rien je fais gaffe et pour ton boulot ça ira. On en reparle à tête reposée demain.
a suivre...

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Texte coquin : Le mari de ma patronne
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