Le messager grec 1
Récit érotique écrit par Hâakon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le messager grec 1
Cela faisait plusieurs heures que je courais sous les puissants rayons d'Hélios, dieu du soleil, qui saluait notre victoire. J'avais pris ma part à la bataille et après un peu de repos j'étais parti en direction de le cité de Thespie pour annoncer à tous que les athéniens avaient vaincus les perses avec l'aide de Platée, ma cité.
J'avais dépassé un point d'eau depuis longtemps et je désespérais de trouver de quoi boire sans prendre trop de retard quand je vis une petite rivière près d'un bosquet, un peu plus loin se trouvait un village. Je décidais de me rafraichir avant de reprendre la route (une bataille plus une course c'est quand même pas facile, à moins d'être Hermès bien sur). Je buvais comme un véritable barbare quand j'entendis une voix féminine qui venait des arbres.
-Ça va messager de Platée ? Tu y as l'air épuisé.
-Je le suis. Je vais à Thespie pour annoncer la victoire contre les perses à Marathon.
-Les perses ont été vaincus ? Tu y étais ?
-Oui, à la droite de la phalange (la où se tiennent les plus braves). Tu pourrais te montrer s'il te plait ?
-Non, j'aime bien te regarder depuis les arbres. Raconte moi comment tu étais, raconte moi hum.....ton corps !
Je restais interdit un moment. En fait je ne comprenais pas. Nous les platéens on est la cité la plus pauvre de Grèce, on a pas d'armure, juste des boucliers et des lances, ce qui ne nous donnait pas une belle réputation auprès des autres cités. Évidemment je le lui dis.
-Et tu es allé au combat. Et tu t'es sortis vainqueur d'une bataille digne de l’Iliade. J'aimerais bien te connaitre hoplite, et te montrer mon......admiration.
La je sursautai, la voix venait de derrière moi. Je me retournais et vit une femme de mon âge (la vingtaine) habillée d'une tunique de laine légère qui lui couvrait les épaules. Elle portait un chapeau de paille sur ses cheveux blond et ce fut tout naturellement que je ressentis une très grande envie de la coucher par terre pour lui faire des tas de choses que pratique Éros.
J'allais dire quelque chose, je ne sais plus quoi, mais plus rapide elle plaqua ses lèvres contre les miennes.
-Que....?
-Suis moi, il y a des pierre par la, nous serons tranquille.
Elle me prit par la main et m'entraina lus loin le long du ruisseau jusqu'à une petite zone plus base entourée par des rochers et recouverte de mousse. L'idée de ce que nous allions faire commençait à me mettre en condition mais pas encore assez pour satisfaire cette jeune beauté. Elle s'approcha de moi et me renifla carrément, humant ma sueur de guerrier et de coureur. Elle me lécha le cou puis sans que je puisse réagir elle saisit ma tunique par le bas et me l'enleva, mes bras ayant eu le réflexe de suivre.
-Oh mon beau hoplite-messager, ta seule me me fait presque jouir. Puis remarquant que mon érection n'était pas au mieux de ses capacités. Je vais te faire des choses que celles des villes ne savent pas faire.
Je la laissait caresser mon corps luisant de sueur, ses mains descendirent vers mes fesses tandis qu'elle léchait mes pectoraux impeccable et mes abdos d'Apollon. Puis elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une exquise fellation qui m'excitait d’autant plus qu'elle était habillée et moi nu. Elle allait lentement, s'arrêtant pour me lécher le reste du corps tout en me branlant. Quand elle sentit que j'étais enfin prêt pour la suite des choses elle me renversa sur la mousse qui recouvrait les rochers et s'assit sur moi.
Je poussais un hoquet quand elle m'enfonça en elle d'un seul coup puissant, puis elle se mit à se déhancher, laissant ses cheveux blonds voltiger pendant qu'elle se trémoussait comme une furie. Entre le soleil brulant et la mousse fraiche je ne tardais pas à éprouver beaucoup de plaisir, emprisonné dans ses cuisses blanches si douce.
Bien décidé à agir moi aussi je décidais de lui enlever sa tunique pour pouvoir accéder à tout son corps mais elle plaqua mes mains au sol et s'agita de plus belle, me faisant perdre la tête.
-Pas cette fois mon beau hoplite.....hum oui....oh que c'est bon.......Le reste sera.....han han......plus tard....oh par Aphrodite !
-Pas....humph...cette fois ?.....aaah...con...ti...nue....oui !
-Tu repasseras...oui...oui....mon beau messager ?...ah....ah.....AH !
J'aurais voulus répondre mais je ne pouvais pas. Sa langue laissait des sillons frais sur ma peau et ses mains se mirent à caresser mon corps avec une telle vigueur que j'en étais paralysé.
Lassé elle décida de changer et se mit à faire des vas et viens sur mon sexe. Sa tunique m'empêchait de voir mon membre viril en elle et je décidais de la prendre par les hanches, à la fois pour accompagner son mouvement et pour tenter de soulever légèrement sa tunique.
Enivré parle plaisir je réussis à glisser mes mains sous sa tunique et je caressais son ventre et le bas de ses seins que je devinais lourd. Puis je la saisit fermement et lui fit accélérer la cadence à une vitesse folle Nous étions complètement déchainé, la sueur coulant de nos corps rendaient notre peau si glissante que nous éprouvions encore plus de plaisir.
-Ah oui hoplite...oui...oui....oh t'arrêtes pas ! Han....han....han....plus fort....ah..ah..ah.....OOH !
Elle tomba sur moi, morte de fatigue. Ses lèvres cherchèrent les miennes nous sommes restés comme ça quelques instants.
-Eh bien tu es aussi viril qu'Héraklès. Elle regarda sa tunique trempée de sueur qui lui collait à la peau, moulant son corps. Allons dans la rivière, je te promet une jouissance comme tu n'en à pas connus.
Je ramassais ma tunique mais restais nu, ma verge fièrement dressée à sa vue. Elle me masturbait délicatement pour me maintenir en condition, sans aller trop intensément pour éviter que je jouisse trop tôt. Elle se coucha dans l'eau et laissa le courant la laver de la sueur. Puis elle abandonna brièvement mon sexe pour laver ma tunique qu'elle jeta ensuite sur l'herbe.
-Viens beau platéen, viens en moi. Elle écarta ses cuisses, prête à me recevoir.
Incapable de résister plus longtemps à l'appel de mon instinct je me couchais sur elle, l'eau fraiche coula le long de mon corps brûlant mais cela ne fit que rendre mon envie encore plus impérieuse et je la pénétrais puissamment. La sensation de ma peau mouillée sur sa tunique était délicieuse, et la frustration de ne pas la voir nue me poussait à aller le plus vite possible, le plus amplement, sans m'arrêter un moment pour lui laisser le temps de se remettre du plaisir que je lui donnais.
Ses cuisses enserrèrent mon bassin et décuplèrent encore plus mes sensations, j'étais emprisonné dans une cage de plaisr, plaisir qui ne cessait de grimper à chacun de mes coups de rein que ses cris accompagnaient. Autour de nous l'eau était comme une tempête provoquée pr nos ébats et nous éclaboussait tandis que nous devenions de plus en plus sauvage.
Finalement j'atteignis le point de non retour, je sentis une vague de plaisir monter dans mon bas-ventre et mon sexe me doonait l'impression d'être en feu. Je poussais un cris guttural et me retirais de son corps. Je tins deux secondes, tout mon être crispé pour tenir et j'éjaculais puissament, mets jets de sperme la maculèrent, tellement que je crus que mon orgasme ne cesserait jamais.
Épuisé je me couchais dans l'eau à ses cotés et restait un moment sans bouger, regardant ma semence couler le long de mon membre viril pour être ensuite emporté par l'eau.
-Tu repasseras hein ?
-Oui. Cette fois je te verrais ?
-Peut-être......
J'avais dépassé un point d'eau depuis longtemps et je désespérais de trouver de quoi boire sans prendre trop de retard quand je vis une petite rivière près d'un bosquet, un peu plus loin se trouvait un village. Je décidais de me rafraichir avant de reprendre la route (une bataille plus une course c'est quand même pas facile, à moins d'être Hermès bien sur). Je buvais comme un véritable barbare quand j'entendis une voix féminine qui venait des arbres.
-Ça va messager de Platée ? Tu y as l'air épuisé.
-Je le suis. Je vais à Thespie pour annoncer la victoire contre les perses à Marathon.
-Les perses ont été vaincus ? Tu y étais ?
-Oui, à la droite de la phalange (la où se tiennent les plus braves). Tu pourrais te montrer s'il te plait ?
-Non, j'aime bien te regarder depuis les arbres. Raconte moi comment tu étais, raconte moi hum.....ton corps !
Je restais interdit un moment. En fait je ne comprenais pas. Nous les platéens on est la cité la plus pauvre de Grèce, on a pas d'armure, juste des boucliers et des lances, ce qui ne nous donnait pas une belle réputation auprès des autres cités. Évidemment je le lui dis.
-Et tu es allé au combat. Et tu t'es sortis vainqueur d'une bataille digne de l’Iliade. J'aimerais bien te connaitre hoplite, et te montrer mon......admiration.
La je sursautai, la voix venait de derrière moi. Je me retournais et vit une femme de mon âge (la vingtaine) habillée d'une tunique de laine légère qui lui couvrait les épaules. Elle portait un chapeau de paille sur ses cheveux blond et ce fut tout naturellement que je ressentis une très grande envie de la coucher par terre pour lui faire des tas de choses que pratique Éros.
J'allais dire quelque chose, je ne sais plus quoi, mais plus rapide elle plaqua ses lèvres contre les miennes.
-Que....?
-Suis moi, il y a des pierre par la, nous serons tranquille.
Elle me prit par la main et m'entraina lus loin le long du ruisseau jusqu'à une petite zone plus base entourée par des rochers et recouverte de mousse. L'idée de ce que nous allions faire commençait à me mettre en condition mais pas encore assez pour satisfaire cette jeune beauté. Elle s'approcha de moi et me renifla carrément, humant ma sueur de guerrier et de coureur. Elle me lécha le cou puis sans que je puisse réagir elle saisit ma tunique par le bas et me l'enleva, mes bras ayant eu le réflexe de suivre.
-Oh mon beau hoplite-messager, ta seule me me fait presque jouir. Puis remarquant que mon érection n'était pas au mieux de ses capacités. Je vais te faire des choses que celles des villes ne savent pas faire.
Je la laissait caresser mon corps luisant de sueur, ses mains descendirent vers mes fesses tandis qu'elle léchait mes pectoraux impeccable et mes abdos d'Apollon. Puis elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une exquise fellation qui m'excitait d’autant plus qu'elle était habillée et moi nu. Elle allait lentement, s'arrêtant pour me lécher le reste du corps tout en me branlant. Quand elle sentit que j'étais enfin prêt pour la suite des choses elle me renversa sur la mousse qui recouvrait les rochers et s'assit sur moi.
Je poussais un hoquet quand elle m'enfonça en elle d'un seul coup puissant, puis elle se mit à se déhancher, laissant ses cheveux blonds voltiger pendant qu'elle se trémoussait comme une furie. Entre le soleil brulant et la mousse fraiche je ne tardais pas à éprouver beaucoup de plaisir, emprisonné dans ses cuisses blanches si douce.
Bien décidé à agir moi aussi je décidais de lui enlever sa tunique pour pouvoir accéder à tout son corps mais elle plaqua mes mains au sol et s'agita de plus belle, me faisant perdre la tête.
-Pas cette fois mon beau hoplite.....hum oui....oh que c'est bon.......Le reste sera.....han han......plus tard....oh par Aphrodite !
-Pas....humph...cette fois ?.....aaah...con...ti...nue....oui !
-Tu repasseras...oui...oui....mon beau messager ?...ah....ah.....AH !
J'aurais voulus répondre mais je ne pouvais pas. Sa langue laissait des sillons frais sur ma peau et ses mains se mirent à caresser mon corps avec une telle vigueur que j'en étais paralysé.
Lassé elle décida de changer et se mit à faire des vas et viens sur mon sexe. Sa tunique m'empêchait de voir mon membre viril en elle et je décidais de la prendre par les hanches, à la fois pour accompagner son mouvement et pour tenter de soulever légèrement sa tunique.
Enivré parle plaisir je réussis à glisser mes mains sous sa tunique et je caressais son ventre et le bas de ses seins que je devinais lourd. Puis je la saisit fermement et lui fit accélérer la cadence à une vitesse folle Nous étions complètement déchainé, la sueur coulant de nos corps rendaient notre peau si glissante que nous éprouvions encore plus de plaisir.
-Ah oui hoplite...oui...oui....oh t'arrêtes pas ! Han....han....han....plus fort....ah..ah..ah.....OOH !
Elle tomba sur moi, morte de fatigue. Ses lèvres cherchèrent les miennes nous sommes restés comme ça quelques instants.
-Eh bien tu es aussi viril qu'Héraklès. Elle regarda sa tunique trempée de sueur qui lui collait à la peau, moulant son corps. Allons dans la rivière, je te promet une jouissance comme tu n'en à pas connus.
Je ramassais ma tunique mais restais nu, ma verge fièrement dressée à sa vue. Elle me masturbait délicatement pour me maintenir en condition, sans aller trop intensément pour éviter que je jouisse trop tôt. Elle se coucha dans l'eau et laissa le courant la laver de la sueur. Puis elle abandonna brièvement mon sexe pour laver ma tunique qu'elle jeta ensuite sur l'herbe.
-Viens beau platéen, viens en moi. Elle écarta ses cuisses, prête à me recevoir.
Incapable de résister plus longtemps à l'appel de mon instinct je me couchais sur elle, l'eau fraiche coula le long de mon corps brûlant mais cela ne fit que rendre mon envie encore plus impérieuse et je la pénétrais puissamment. La sensation de ma peau mouillée sur sa tunique était délicieuse, et la frustration de ne pas la voir nue me poussait à aller le plus vite possible, le plus amplement, sans m'arrêter un moment pour lui laisser le temps de se remettre du plaisir que je lui donnais.
Ses cuisses enserrèrent mon bassin et décuplèrent encore plus mes sensations, j'étais emprisonné dans une cage de plaisr, plaisir qui ne cessait de grimper à chacun de mes coups de rein que ses cris accompagnaient. Autour de nous l'eau était comme une tempête provoquée pr nos ébats et nous éclaboussait tandis que nous devenions de plus en plus sauvage.
Finalement j'atteignis le point de non retour, je sentis une vague de plaisir monter dans mon bas-ventre et mon sexe me doonait l'impression d'être en feu. Je poussais un cris guttural et me retirais de son corps. Je tins deux secondes, tout mon être crispé pour tenir et j'éjaculais puissament, mets jets de sperme la maculèrent, tellement que je crus que mon orgasme ne cesserait jamais.
Épuisé je me couchais dans l'eau à ses cotés et restait un moment sans bouger, regardant ma semence couler le long de mon membre viril pour être ensuite emporté par l'eau.
-Tu repasseras hein ?
-Oui. Cette fois je te verrais ?
-Peut-être......
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