Le messager grec 2 - histoire érotique

Mon arrivée à Thespie fut fêtée comme il se devait. Cette nuit la Dionysos devait être présent en personne parmi nous, le vin avait coulé à flot, les moutons et les brebis sacrifiées par centaines et des vaches par dizaines. Toute la nuit a résonné des chants et des danses avant de laisser poindre les cris extatiques des couples enivrés qui s'enlaçaient dans les ruelles. Moi ce fut calme, j'avais besoin de dormir après avoir combattu, marcher en armure et courut toute la journée (sans compter ma rencontre avec cette jeune fille qui avait achever de me vider).

Je décidais de partir en fin de matinée, pendant que le soleil réchauffait notre terre mère Gaïa. Bien évidemment je repassais par la où j'étais venus pour recroiser mon inconnue et m'enfouir au cœur de ses cuisses; Je longeais le cours d'eau mais je ne la vis pas, ni dans les champs où elle aurait du se trouver sinon. Toutefois je décidais de m'assoir sur un rocher près de la forêt et d'attendre sa venue.

Il s'écoulait peu de temps mais le soleil commençait à taper fort et je décidais d'aller l'attendre à l'ombre des arbres. Il devait s'être écoulée une dizaine de minutes quand sa voix retentit derrière moi.

-J'étais sur que tu reviendrais mon beau platéen.
-Je n'ai pas eu l'occasion de te voir nue hier. Je ne me retournais pas, décidé à jouer avec elle.
-Tu crois que ce sera pour cette fois ? Elle me murmurait à l'oreille, me chatouillant presque. Mais je restais stoïque comme un spartiate.
-Je suis bien ici pour ça, et plus....
-Ne sois pas trop gourmand mon beau hoplite.
-Après avoir vaincu une myriade de perse à mon age je crois que c'est le cadet de mes soucis !

Vif comme Hermès je me retournais et me jetais sur elle, la faisant tomber sans l'herbe du sous bois et me mettant sur elle.

-Nous verrons bien, murmura t-elle à mon oreille....si tu es assez endurant.

Elle ponctua ses mots en me léchant les oreilles et en faisant glisser sa main sous ma tunique, vers mon sexe qui lentement prenait de l'ampleur. Je la laissai me masturber lentement, ses doigts s'attardant sur mon gland décalotté et rapidement mon sexe fut au maximum de sa vigueur. Je retroussais un peu sa tunique et la pénétrais d'un grand mouvement puis je ressortais pour la pénétrer à nouveaux amplement.

Nous ne disions rien, les seuls bruits que nous émettions étaient nos gémissements de plaisir accompagnés des chants des oiseaux. La douceur avec laquelle nous faisions l'amour contrastait beaucoup avec la fureur de nos premiers ébats et ouvrait tout un monde de nouvelles sensations. Néanmoins le désir devint de plus puissant et après un moment à me retenir pour y aller le plus lentement possible je décidais de rendre les choses un peu plus sauvages.

-Qu'est ce que tu fais ? Me dit elle quand je me retirais. Continue !
-Tout de suite, quand tu seras accrochée aux branches de cet arbre. Ce devait être un cadeau des nymphe car il convenait parfaitement à ce que je voulais. Elle alla s'accrocher aux branches en passant sa langue sur ses lèvres.
-Approche toi que je t'emprisonne dans mes cuisses par Eros. elle commença à enlever son vêtement mais j'avais d'autres idées en tête.
-Attends, garde ta tunique pour le moment. Elle leva un sourcil puis prit les branches à pleines mains.
-Comme tu veux c'est toi qui l'a voulUUU OH !

Pendant qu'elle parlait je saisis ses jambes, la soulevais et la pénétrais avec vigueur. Debout j'avais toute l'amplitude que je voulais pour donner mes coups de reins et j'y allais si fort que nos bassins faisaient de véritables claquements en se rencontrant. Passé ces premiers instants elle me coinça entre ses jambes et subit comme elle put mes assauts sans cesser de gémir. Le plaisir que je lui donnais se voyait sur son visage, la vue de ses traits décomposées attisaient en moi le plaisir qui montait par vagues succssives.

-Par les bois sacrés...han....quelle vigueur....oui....oui....Ahhh !

Elle hurla à s'en casser la voix quand elle eu son orgasme et laissa retomber ses jambes. Son visage était retombé en arrière et son cou gracile s'offrait à mes yeux et d'une main je le caressais sans cesser mes vas et viens. Sa poitrine commença à apparaitre quand sa robe se colla à sa peau en sueur et devant cette récompense que je n'avais pas encore gouté et qui s'offrait un peu à moi je dépassais le point de non retour.

Mes derniers coups de reins furent si sublime que j'oubliais tout le reste et je poussais un grand cris lors de ma jouissance, un seul cri de plaisir divin pendant que j'éjaculais puissamment en elle. Puis épuisés nous nous sommes allongés, couvert du soleil par les arbres.

-Aphrodite m'en soit témoin ta mort aurait été une perte incommensurable à Marathon mon beau platéen.
-Ravi. Tu es la seule à me faire jouir à ce point. C'était presque divin.
-Presque seulement ? Il va falloir améliorer cela, dit elle tout en passant sa main sur mon sexe qui besoin d'encore un peu de repos.
-Je veux juste éviter d'offenser les dieux.
-Ah ah ah. Je crois mon beau hoplite que là ils ne seront pas vexés. Dis moi ?
-Oui ?
-Pourquoi voulais tu que je garde ma tunique ? Tu ne veux plus me voir nue ?
-Maintenant si. Pour apprécier ta beauté simplement.

Avec un sourire elle se releva et passa sa robe par dessus sa tête. Elle était belle, ses seins étaient petits mais comme dessinés par un artiste, son ventre plat hérité d'années de courses je supposais et ses épaules étaient tout simplement une invitation à s'y reposer.

-A toi maintenant. Et j'obéis avec plaisir, libérant mon corps d'athlète de sa prison de tissus.
-Encore une minute et je vais à nouveaux plonger entre tes cuisses.
-Cette minute sera courte on dirait, me répondit elle avec un sourire. Il faut dire que ma verge reprenait sa vigueur.

Je me relevais et l’embrassais passionnément, caressant son dos, ses fesses, embrassant son cou et ses seins si aguichant. Elle allait m'entrainer au sol mais je décidais que l'arbre avait encore des plaisir à nous offrir. Elle accueillit ma proposition avec un sourire mutin et se plaqua à l'arbre, poitrine contre l'écorce recouverte de lichen. Rien qu'en pensant à ce que j'allais faire, une première pour moi, je fus parcouru de frissons. Mon sexe ayant enfin recouvré sa vigueur s’approchait lentement de ses fesses blanches qu'elle tendait en arrière pour m'inviter à y aller.

Ce ne fut pas facile au départ mais passé quelques secondes je m'introduisis entièrement en elle et les sensations que je ressentis à ce moment furent....comment dire...eh bien c'étaient des sensations.

Je commençais doucement dans cette gaine de jouissance en devenir, nous habituant tous les deux. Finalement c'est à sa demande que j'accélérais franchement, sans aller trop fort quand même. Le plaisir fut immédiat, comme si j'étais au bord de l'explosion sans franchir le pas de l'orgasme. C'était un plaisir intense pour nous deux et nos cris couvrirent le murmure des feuilles et le chant des oiseaux.

Je la tenais violemment par les hanches pour la culbuter, je l'écrasais contre l'arbre et l'enfouissait dans le lichen frais. Je l'entendis murmurer quelque chose, myrte je crois mais je me trompe surement vu que ça n'a aucun lien avec le sexe, c'est la nourriture qui rend les dieux immortels. Finalement le dénouement de ce magnifique moment arriva et elle jouit puissamment, dans un grand cri qui faillit me stopper puis elle se contorsionna pour m’embrasser.

J'allais jouir à mon tour quand elle me m'arrêta.
-Attends, retire toi !

J'obéis en retenant ma jouissance et elle s'agenouilla devant moi et sans l'ombre d'une hésitation me prit en bouche, lapant ma hampe et gland comme une forcené et pompant avec une énergie folle.

A mon grand regret cette fellation ne dura pas car j'étais à bout et je jouis dans sa bouche, de grand jet qui tapèrent le fond de sa gorge. Elle me nettoya consciencieusement et m’embrassa avec passion.

-J'en connais qui donneraient n'importe quoi pour t'avoir dans leurs bras.
-Je connais d'autres femmes qui disent la même chose.
-Elles ont bien raison. Tu restes un peu ?
-Hélas non, je dois retourner à Platée. Mais je reviendrais bientôt ne t'en fait pas.
-Sinon je te trouverai la bas. Au revoir mon beau hoplite.

Sur ses dernières paroles je m'habillais, l'embrassais une dernière fois et je repartis en courant vers ma cité.


Vraiment mon beau hoplite tu es exceptionnel. Non seulement tu te bats comme Ajax le grand mais en plus tu es un amant que même Aphrodite désirerait. Je crois bien que je te donnerais de la myrte pour te garder auprès de moi.
Et Athéna se para de ses atours guerriers avant de retourner vers le l'Olympe.