Le métro 2
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le métro 2
Si je dois te garder tu acceptes d’être une vraie chienne, une bâtarde ?
-Entre ça et les flics j’aime bien mieux ça !
Je ne te demande pas de comparer mais de me dire ce que tu veux vraiment !
-Je n’ai pas l’expérience mais je suis tenté et vous savez y faire.
Alors ?
-C’est oui monsieur.
Le filet de bave coulait le long de sa queue.
A genoux et approche. Comment tu te sens ?
-Je sens que j’ai envie de vous faire plaisir.
Je me suis levé. Défait ma ceinture et très doucement les boutons.
Il a obéi maladroitement, aidé par ma queue qui gonflait. Mon pantalon est tombé à terre. Ce jour-là je portais un slip en une sorte de lycra fin qui ne pouvait cacher la bosse mais je voulais qu’il sache ce qui l’attendait. Approche encore, tu sens la chaleur ?
La bouche collée dessus il a levé la tête, dans ses yeux j’ai lu l’envie.
-Oui c’est chaud et gros.
Je vais entrer dans la maison et aller dans la chambre. Suis-moi à quatre pattes. Juste contre ma cuisse.
Je le sentais tout chaud, s’appuyer du torse contre moi. Je me suis allongé sur le côté du lit et ôté mon slip, mon sexe libéré s’est dressé face à lui. Si t’es une pute tu sais quoi faire !
Il a caressé la tige et tiré pour dégager le prépuce. Je revenais du travail et n’était pas tout à fait propre mais ça ne l’a pas rebuté et il a entrouvert les lèvres en les desserrant pour laisser passer le gland. Il a levé les yeux. J’ai lu la question dans son regard.
Oui, va le plus profond que tu peux !
Il a avancé encore la bouche mais c’est vite retiré pour tousser.
-Vous êtes long monsieur.
Oui je suis long et tu es une salope alors tu dois pouvoir jusqu’à la racine. Il a regardé puis a repris ma queue et cette fois progressivement il a réussi à aller jusqu’aux poils. Il s’est retiré les larmes aux yeux.
Bien. Très bien même. Il faut si tu veux rester t’habituer à la taille pas si longue. Désolé pour toi mais dans la journée je vais pisser.
-J’ai sucé des plus crades !
Au fait il faut que je prenne la PreP et on continuera. On aura le temps de s’agacer un peu mais samedi je t’emmène faire un test HIV comme ça on sera sur tous les deux.
-Vous voulez dire que je pourrais rester ?
Ne décolle pas tout de suite. T’es mignon, c’est vrai mais il faut pas mal de temps pour se connaître vraiment pour l’instant tu n’es qu’un délinquant homo. D’ailleurs je ne vais pas prendre ce comprimé mais mettre une capote ou plutôt tu vas la mettre. Tu vois où je veux mettre ma queue ?
-Je vous comprends mais allez doucement je n’ai jamais été pris par les fesses.
Utilise les mots qui sont vrais. Tu ne t’es jamais fait enculer, j’ai compris. Au fait pourquoi t’en est rendu à voler ?
-J’ai toujours été un peu efféminé et charrié en cours. J’ai préparé des CAP de restauration et d’hôtellerie mais encore charrié et j’ai cherché du boulot. J’en ai trouvé plusieurs fois mais ça finissait par du sexe et je m’en allais. J’ai fini par ne plus avoir de fric et j’ai dû parfois sucer et voler. Et vous m’avez chopé la main dans votre poche.
Pendant qu’il parlait je le caressais du cou aux fesses, je l’avais allongé près de moi et il me tournait le dos, je le sentais frémir quand je descendais le long de sa raie interminable. J’ai pris dans la petite table de chevet un tube de gel et enduis mes doigts avant cette fois de descendre plus bas sur son anus le préparant. Il a serré les fesses. D’une claque sur la fesse je l’ai rappelé à l’ordre
Laisse-toi aller. Tu ne seras pas le premier mec que je sodomise. Détends-toi. Je me suis passé du gel sur le gland et appuyé à son dos, le tenant entouré de mon bras mon gland a suivi la raie jusqu’au point intéressant et là j’ai forcé à petits coups son anus.
Il respirait vite et fort mais avec le gel mon gland a forcé le passage. Il a poussé un petit cri quand son anus s’est refermé derrière mon gland. J’ai attendu un peu et commencé de doux va et viens. Il a attendu puis lui aussi m’a accompagné dans mes coups de reins.
-C’est bon monsieur. Vous êtes doux.
Ne te fie pas à cette fois ci je peux être plus violent. Je vais encore te faire mal en me retirant car je veux te jouir sur le visage.
-Allez y je suis détendu.
Je me suis dégagé de son cul et j’ai jeté la capote avant de le tourner vers moi et de me branler face à son visage. Je sentais son bras s’agiter derrière moi.
Regarde-moi, tu fermeras les yeux d’instinct et attend avant de finir pour te branler.
Il a entrouvert les yeux sur ma main et le gland violacé et j’ai eu un sursaut, il a fermé les yeux au moment où je giclais sur lui, du front et les cheveux en descendant quand le flot s’est tari jusqu’au menton. J’ai passé le pouce sur ses paupières et il a pu ouvrir les yeux. Retenant un de mes pouces il m’a demandé si lui pouvait lécher.
Vas-y je suis sain goûte, et dis-moi si tu aimes.
Il a léché les yeux dans les miens.
-C’est bon monsieur.
Continue, moi je vais te branler.
Je m’étais installé sur ses cuisses et prenant sa bite j’ai branlé doucement, puis plus fort. Il s’est cramponné à mon poignet quand il a joui sur son ventre.
-Oh monsieur je n’avais jamais connu tout ça.
Je dois me lever tôt pour aller travailler. Viens prendre une douche avec moi. Tu dormiras avec moi, mais ne bouge pas, je dors toujours seul. Demain matin avant de partir je te reprendrais le cul et tu resteras ici. Ne cherche pas à sortir, Rex monte la garde autant à l’entrée qu’à la sortie.
-Promis je ne sortirais pas.
On a pris la douche et il m’a encore sucé, cette fois à fond je l’ai doigté et on est allé se coucher.
-Je peux vous embrasser avant de dormir ?
Je me suis tourné vers lui et lui ai roulé une pelle forçant sa langue qui n’attendait que ça avant de me retourner et m’endormir très vite. Il n’a pas dû remuer car le réveil a sonné et j’allais pour me lever quand en allumant je l’ai vu qui me fixait.
Tu en veux tout de suite ?
D’une petite voix il a dit oui et s’est mis dos contre moi. J’avais la trique du matin et j’allais le prendre quand j’ai pensé aux précautions. Suce-moi plutôt et fais vite je serais en retard pour le train. Il a opéré un demi-tour et posé sa tête sur mon ventre. Il a gobé mon gland et a sucé doucement mais aspirant bien. Quand j’ai senti que j’allais jouir j’ai tenu sa tête sur ma queue lui envoyant tout dans la gorge.
-Tu es bien et cool mais il faut que je me dépêche. J’ai filé sous la douche et me suis séché rapide un coup de peigne et je me suis fringué rapide, chopant mes clés en passant. Il attendait devant la porte et se haussant un peu m’a embrassé.
-Je crois que je t’aime bien. Une claque sur ses feses et un sourire et je suis parti en voiture.
-Entre ça et les flics j’aime bien mieux ça !
Je ne te demande pas de comparer mais de me dire ce que tu veux vraiment !
-Je n’ai pas l’expérience mais je suis tenté et vous savez y faire.
Alors ?
-C’est oui monsieur.
Le filet de bave coulait le long de sa queue.
A genoux et approche. Comment tu te sens ?
-Je sens que j’ai envie de vous faire plaisir.
Je me suis levé. Défait ma ceinture et très doucement les boutons.
Il a obéi maladroitement, aidé par ma queue qui gonflait. Mon pantalon est tombé à terre. Ce jour-là je portais un slip en une sorte de lycra fin qui ne pouvait cacher la bosse mais je voulais qu’il sache ce qui l’attendait. Approche encore, tu sens la chaleur ?
La bouche collée dessus il a levé la tête, dans ses yeux j’ai lu l’envie.
-Oui c’est chaud et gros.
Je vais entrer dans la maison et aller dans la chambre. Suis-moi à quatre pattes. Juste contre ma cuisse.
Je le sentais tout chaud, s’appuyer du torse contre moi. Je me suis allongé sur le côté du lit et ôté mon slip, mon sexe libéré s’est dressé face à lui. Si t’es une pute tu sais quoi faire !
Il a caressé la tige et tiré pour dégager le prépuce. Je revenais du travail et n’était pas tout à fait propre mais ça ne l’a pas rebuté et il a entrouvert les lèvres en les desserrant pour laisser passer le gland. Il a levé les yeux. J’ai lu la question dans son regard.
Oui, va le plus profond que tu peux !
Il a avancé encore la bouche mais c’est vite retiré pour tousser.
-Vous êtes long monsieur.
Oui je suis long et tu es une salope alors tu dois pouvoir jusqu’à la racine. Il a regardé puis a repris ma queue et cette fois progressivement il a réussi à aller jusqu’aux poils. Il s’est retiré les larmes aux yeux.
Bien. Très bien même. Il faut si tu veux rester t’habituer à la taille pas si longue. Désolé pour toi mais dans la journée je vais pisser.
-J’ai sucé des plus crades !
Au fait il faut que je prenne la PreP et on continuera. On aura le temps de s’agacer un peu mais samedi je t’emmène faire un test HIV comme ça on sera sur tous les deux.
-Vous voulez dire que je pourrais rester ?
Ne décolle pas tout de suite. T’es mignon, c’est vrai mais il faut pas mal de temps pour se connaître vraiment pour l’instant tu n’es qu’un délinquant homo. D’ailleurs je ne vais pas prendre ce comprimé mais mettre une capote ou plutôt tu vas la mettre. Tu vois où je veux mettre ma queue ?
-Je vous comprends mais allez doucement je n’ai jamais été pris par les fesses.
Utilise les mots qui sont vrais. Tu ne t’es jamais fait enculer, j’ai compris. Au fait pourquoi t’en est rendu à voler ?
-J’ai toujours été un peu efféminé et charrié en cours. J’ai préparé des CAP de restauration et d’hôtellerie mais encore charrié et j’ai cherché du boulot. J’en ai trouvé plusieurs fois mais ça finissait par du sexe et je m’en allais. J’ai fini par ne plus avoir de fric et j’ai dû parfois sucer et voler. Et vous m’avez chopé la main dans votre poche.
Pendant qu’il parlait je le caressais du cou aux fesses, je l’avais allongé près de moi et il me tournait le dos, je le sentais frémir quand je descendais le long de sa raie interminable. J’ai pris dans la petite table de chevet un tube de gel et enduis mes doigts avant cette fois de descendre plus bas sur son anus le préparant. Il a serré les fesses. D’une claque sur la fesse je l’ai rappelé à l’ordre
Laisse-toi aller. Tu ne seras pas le premier mec que je sodomise. Détends-toi. Je me suis passé du gel sur le gland et appuyé à son dos, le tenant entouré de mon bras mon gland a suivi la raie jusqu’au point intéressant et là j’ai forcé à petits coups son anus.
Il respirait vite et fort mais avec le gel mon gland a forcé le passage. Il a poussé un petit cri quand son anus s’est refermé derrière mon gland. J’ai attendu un peu et commencé de doux va et viens. Il a attendu puis lui aussi m’a accompagné dans mes coups de reins.
-C’est bon monsieur. Vous êtes doux.
Ne te fie pas à cette fois ci je peux être plus violent. Je vais encore te faire mal en me retirant car je veux te jouir sur le visage.
-Allez y je suis détendu.
Je me suis dégagé de son cul et j’ai jeté la capote avant de le tourner vers moi et de me branler face à son visage. Je sentais son bras s’agiter derrière moi.
Regarde-moi, tu fermeras les yeux d’instinct et attend avant de finir pour te branler.
Il a entrouvert les yeux sur ma main et le gland violacé et j’ai eu un sursaut, il a fermé les yeux au moment où je giclais sur lui, du front et les cheveux en descendant quand le flot s’est tari jusqu’au menton. J’ai passé le pouce sur ses paupières et il a pu ouvrir les yeux. Retenant un de mes pouces il m’a demandé si lui pouvait lécher.
Vas-y je suis sain goûte, et dis-moi si tu aimes.
Il a léché les yeux dans les miens.
-C’est bon monsieur.
Continue, moi je vais te branler.
Je m’étais installé sur ses cuisses et prenant sa bite j’ai branlé doucement, puis plus fort. Il s’est cramponné à mon poignet quand il a joui sur son ventre.
-Oh monsieur je n’avais jamais connu tout ça.
Je dois me lever tôt pour aller travailler. Viens prendre une douche avec moi. Tu dormiras avec moi, mais ne bouge pas, je dors toujours seul. Demain matin avant de partir je te reprendrais le cul et tu resteras ici. Ne cherche pas à sortir, Rex monte la garde autant à l’entrée qu’à la sortie.
-Promis je ne sortirais pas.
On a pris la douche et il m’a encore sucé, cette fois à fond je l’ai doigté et on est allé se coucher.
-Je peux vous embrasser avant de dormir ?
Je me suis tourné vers lui et lui ai roulé une pelle forçant sa langue qui n’attendait que ça avant de me retourner et m’endormir très vite. Il n’a pas dû remuer car le réveil a sonné et j’allais pour me lever quand en allumant je l’ai vu qui me fixait.
Tu en veux tout de suite ?
D’une petite voix il a dit oui et s’est mis dos contre moi. J’avais la trique du matin et j’allais le prendre quand j’ai pensé aux précautions. Suce-moi plutôt et fais vite je serais en retard pour le train. Il a opéré un demi-tour et posé sa tête sur mon ventre. Il a gobé mon gland et a sucé doucement mais aspirant bien. Quand j’ai senti que j’allais jouir j’ai tenu sa tête sur ma queue lui envoyant tout dans la gorge.
-Tu es bien et cool mais il faut que je me dépêche. J’ai filé sous la douche et me suis séché rapide un coup de peigne et je me suis fringué rapide, chopant mes clés en passant. Il attendait devant la porte et se haussant un peu m’a embrassé.
-Je crois que je t’aime bien. Une claque sur ses feses et un sourire et je suis parti en voiture.
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