Le minet du banc.

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le minet du banc. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le minet du banc.
Travail oblige, je fais mes courses le samedi matin au supermarché de mon quartier parisien et depuis deux semaines j'avais remarqué un jeune mec assis sur un banc juste devant la sortie.
La première fois si je l'avais remarqué, sans plus, c'est qu'il portait une capuche qui lui couvrait la tête et qu'on ne voyait rien de lui. Cela m'avait fait sourire.
Les autres fois il portait toujours les mêmes vêtements, mais avait sa tête dégagée, une belle petite tête de minet, brun aux yeux noirs, dans le vague, ne faisant absolument pas attention au monde qu'il l'entoure. Il faisait ado rebelle. Je passais devant lui en le regardant mais sans plus.

Il y a 15 jours, en sortant comme d'habitude, il était là, assis sur son banc, la tête redressée, les yeux dans le vague et en m'approchant j'ai vu des larmes couler sur son visage. Ses beaux yeux noirs étaient complètement embués et laissaient couler les larmes sur ses joues, qui rejoignaient son menton et tombaient sur son vêtement. Visage fin, fixe. Je me suis approché plus que d'habitude pour m'arrêter juste devant lui. Il n'a pas bougé les yeux comme s'il ne me voyait pas.
-tout va bien jeune homme ? j'ai demandé le plus doucement possible.
-qu'est ce que ça peut te foutre ?
-rien mais si je peux aider dis-je parlant encore très doucement.

Il a haussé les épaules en me regardant.
-et tu veux m'aider à quoi ?
-je ne sais pas ce que tu as besoin.
-t'es pédé ? dit-il abruptement.
Un court silence s'est installé, on se fixait tous les deux.
-oui pourquoi tu me demandes ça ?
-parce que comme tous les vieux, tu t'es dit, tiens le petit jeune je vais l'aider pour le baiser après.
-ah ben si je m'attendais à ça ! d'abord sache jeune homme que je ne suis pas vieux, ça doit se voir quand même.
-ouais mais t'es plus vieux que moi!
-là je pense que c'est vrai dis-je en souriant.
-t'as quel âge ?
-29 et toi ?
-18

C'était dit d'un ton sec.
-t'arrondirais pas au chiffre supérieur ?
-disons que je vais bientôt les avoir dit-il d'un ton agacé.
-en fait tu viens d'avoir 17 ans et t'es dans l'année de tes 18 ans.

Un sourire se fait sur sa bouche.
-t'es un malin toi! je vais avoir 18 ans dans trois semaines.
-eh bien ça fait plaisir de voir un sourire sur ton visage, c'est plus agréable dis-je tout sourire également, je m'appelle Fabrice.
-moi c'est Sofiane et, je sais, je fais pas arabe.
-tu le regrettes ?
-non, c'était mon grand père l'arabe de la famille et je porte son prénom.
-ok, c'est un beau prénom je trouve.
-le tien aussi.
-merci, donc ça va alors ? je peux rien faire pour toi ?
-non non tout va bien… merci quand même!

Je sors mon calepin et j'inscris mon numéro de téléphone dessus et lui tend la page.
Il la prend, me regarde.
-j'en fais quoi ?
-ben, si t'as envie de parler tu m'appelles on papotera.
-ouais dit-il sceptique, mais au fait t'as pas répondu à ma question tout à l'heure.
-laquelle ?
-si t'es pédé ?
-si! je t'ai dit oui, je le suis, ça te dérange de parler avec un pédé ?

Il devient tout rouge, en baissant la tête.
-non non excuse moi je suis juste à cran ces derniers temps.
-eh bien si tu veux causer t'as mon numéro… allez tchao Sofiane!
J'ai ramassé mes paquets et je suis parti, me retournant que très loin après, il me regardait toujours et m'a fait un petit signe de la main.

Ce petit mec accaparait mes pensées, je me surprenais à penser à lui en partenaire sexuel. J'avais envie de le déshabiller, de le voir nu, de toucher sa peau, de le respirer et je me branlais plusieurs fois en pensant à lui.

Le samedi suivant personne sur le banc. Un mois après il n'était pas revenu et j'avoue il avait quitter mes pensées.

Je me souviendrais toujours de ce lundi soir où il a appelé, tout timide. Je sentais sa voix angoissée me disant qu'il avait envie de me voir pour parler. J'ai eu beau poser des questions, il voulait me voir et pour finir de me convaincre de le recevoir chez moi. Il ajoute.
-cela fait une semaine que j'ai 18 ans, j'ai donc le droit de faire ce que je veux.

Je n'ai pu m'empêcher de rire.
-donc le pédé que je suis ne te fait pas peur ?
-bien sûr que non, je suis sûr que t'es un mec bien.
On s'est donné rendez vous devant chez moi. Il avait un petit sourire en me serrant la main et me disant merci de bien vouloir le voir.
-mais y'a pas de banc dans ta rue.
-si tu veux on va chez moi… j'ai des chaises, un divan, un fauteuil, tu choisiras dis-je en riant.
-je veux bien.

On est monté au 3ème étage sans un mot, il me suivait dans l'escalier. J'ai ouvert ma porte, je l'ai fait entrer, j'ai refermé et en me retournant, il était planté devant moi, me regardant fixement, il est venu se coller contre mon torse, sa tête dans mon cou pris de sanglots importants.

J'avoue que je me suis trouvé un peu désemparé devant cette situation, je l'ai enveloppé de mes bras et l'ai emmené dans le salon.
-on va s'asseoir dans le canapé dis-je.
Mais il restait accroché comme une moule sur son rocher. Il pleurait à grosses larmes m'inondant le cou.

On s'est assis tant bien que mal dans le canapé, lui toujours blotti dans mon cou. Je me suis mis à lui caresser la tête.
-calme toi Sofiane, quoiqu'il t'arrive, ici t'es en sécurité.
-merci dit-il en redoublant de pleurs. Je vais tout t'expliquer Fabrice.
-prend ton temps dis-je en le serrant contre moi.

Un long silence s'est installé. Il reniflait de temps à autres mais restait blotti contre moi et ce jeune corps commençait à me faire de l'effet. Je n'osais plus bouger.

Quand enfin il a relevé la tête, me regardant de ses yeux humides, j'ai passé mon pouce sur ses joues pour enlever les larmes. Il souriait enfin et les belles lèvres à portée des miennes ne faisaient rien pour diminuer l'effet qu'il me faisait. J'avais envie de mordre ses belles lèvres, les lécher, enfouir ma langue dans sa jeune bouche. Il souriait toujours.
-je vais tout te raconter mais surtout tu m'interromps pas après tu pourras me demander tout ce que tu veux, d'accord ?
Je clignais des yeux en signe d'acquiescement.

-Voilà je m'appelle Sofiane et c'est vrai que j'ai eu 18 ans il y a une semaine. Je suis en 3ème année d'apprentissage et tout va à peu près, sauf certains jours où certains autres apprentis sont là, surtout un qui n'arrête pas de me traiter de pédé devant tout le monde disant même qu'il m'a vu sucer un mec dans les toilettes où l'on travaille. Alors naturellement tout le monde se fout de moi, j'ai beau dire que c'est faux, personne ne me croit. J'en ai parlé au responsable qui a engueulé tout le monde mais ça continue. Enfin je vais quitter bientôt le centre pour aller travailler et ce que je voulais te dire c'est que tu es le premier mec qui a fait attention à moi quand ça n'allait pas. Je sais que j'ai mal réagi quand tu es venu me parler que je t'ai demandé si t'étais pédé mais… c'est dur à dire tu sais, mais j'ai jamais sucé un mec sur mon lieu de travail.

Sa tête vient se poser sur mon épaule, sa main prend ma joue pour la tourner vers lui.
-tu sais j'aime les mecs aussi.
Il se blotti contre moi enfouissant sa tête dans mon cou pour ne plus me voir. Je reste silencieux en lui caressant la tête, les larmes recommencent à couler.
-t'es le premier garçon a qui j'avoue ça dit-il en relevant la tête.
-je sais que c'est dur à faire Sofiane. Je suis passé par la même chose que toi tu sais et, que dans le monde où nous vivons actuellement tous les cons ne savent pas se taire.
-c'est pour ça que, depuis qu'on c'était parlé j'ai repensé à tout ça. J'avais envie qu'on sache que j'étais pédé mais je ne savais pas à qui le dire et t'es arrivé.

-Et ça fait du bien de partager cette information ?
-oui je me sens bien avec toi, ton cou est pas mal dit-il en riant.
Il relève la tête et me fait un gros bisou sur la joue et repose sa tête sur mon épaule.
-je peux rester avec toi cette nuit dit-il.
-c'est une question ou une affirmation ?
-c'est une affirmation en forme de question… par politesse! dit-il en éclatant de rire.
-et on fera quoi si tu restes cette nuit ?
-on parlera et on dormira dit Sofiane.
-bien sûr, mais j'ai pas un grand lit, on sera obligé d'être serré.
-tu ne sais pas mais j'ai rêvé de toi Fabrice.
-ah ! et c'était un beau rêve ?
-dans mon rêve je te suçais dit Sofiane en enfouissant encore son visage dans mon cou.
-oh mais t'es un coquin dis-je en lui relevant la tête et le regardant dans les yeux et c'est tout ce que tu m'as fait ?

Nos bouches se sont tues et se rapprochaient. Lorsqu'elles sont entrées en contact la douceur, la souplesse de ses lèvres m'ont excitées au plus haut point, je sentais ma queue durcir en essayant de s'allonger dans mon jean serré et la mouille couler.

Il avait fermé les yeux. Nos lèvres se frôlaient, se caressaient. J'ai sorti ma langue pour lécher ses belles lèvres entrouvertes qui l'ont laissée passer, j'ai appuyé mes lèvres en même temps que ma langue entrait dans sa bouche pour aller à la rencontre de la sienne qui arrivait. Elles se sont touchées, doucement en se retirant vivement pour revenir s'emmêler, se caresser, se lécher, laissant couler la salive de chaque côté qui se mélangeait dans sa bouche.

J'ai retiré ma langue, la sienne l'a suivie pour venir visiter ma bouche. Elle paraissait timide, n'osant plus bouger, je lui ai aspiré, sucé pour enlever la salive et la goûter. Son premier gémissement. Ma main caressait sa joue tendre. Nos lèvres ne laissaient plus rien passer, elles restaient soudées et ce premier baiser a duré. Je sentais nos souffles se mélanger en sortant de nos nez.

Mes mains ont commencé à explorer son corps par dessus son vêtement. Ce jeune corps souple et dur en même temps me faisait bander encore plus.

D'un seul coup il s'est redressé, me regardant, ses yeux brillaient de mille feux.
-c'est la première fois que j'embrasse un garçon comme ça, tu sais j'ai pas grande habitude. Je vais te laisser me faire ce que tu veux avec toi j'accepte tout Fabrice.
-eh bien 1ère leçon Sofiane ne jamais dire à un garçon qu'il peut faire de toi ce qu'il veut quand tu ne sais pas ce qu'il pourrait te faire… cela peut être dangereux!
-oui je comprends mais pas avec toi.
-je suis peut être le mec le plus vicieux qui existe à Paris, qui kidnappe les jeunes mecs pour en faire ses esclaves et les éliminant quand il ne s'en sert plus.
-pfft! dit-il en rigolant alors là! je te crois absolument pas!

Il était revenu dans mes bras mais c'était assis à califourchon sur mes genoux, ses bras autour de mon cou.
-j'aime bien être comme ça car si tu dis des bêtises je t'embrasse direct.
-eh bien si toi tu me racontais ce que tu veux faire ?
-je veux que tu sois mon professeur en sexe, que tu m'apprennes tout ce qu'il y a à savoir… voilà!
-c'est tout ? eh bien tu sortiras de l'appartement dans plusieurs semaines le temps que l'on fasse le tour de toutes les turpitudes du sexe dis-je en riant. Mais si tu me disais ce que tu as déjà fait avec un garçon, ce que tu aimes bien et ce que tu n'aimes pas.
-eh bien ça va être rapide. La dernière fois que j'ai fait du sexe c'est quand je t'ai sucé dans mon rêve!
-ça ! ça compte pas dis-je en riant.
-sinon je me suis fais sucer, branler, je l'ai fait également. J'ai failli me faire enculer par un mec mais il m'a fait si mal que j'ai pas voulu. Moi j'ai jamais fait car les mecs que j'ai rencontré m'ont dit que j'avais un trop gros sexe, voilà tu sais tout… et toi ?
-moi, ben il va falloir plusieurs heures pour te raconter, mais j'aime tout ce que tu as dit.
-tu t'es déjà fait… enc… baiser ?
-oui ça m'arrive.
-et t'as baisé des mecs ?
-aussi.
-tu veux me le faire ?
-tu y tiens ?
-avec toi! oui.

Nos lèvres se sont rejointes, les langues s'amusaient entre elles et je l'ai déshabillé le minet. Quand nos lèvres se séparaient pour laisser passer les vêtements il souriait. J'avais enfin sous la main sa peau douce de jeune mâle décidé. Il frottait son torse contre le mien, ses mains parcouraient mes épaules, le torse, ses mains douces et chaudes.

Il n'arrêtait pas de m'embrasser. Sa langue était agile et se faufilait partout.
J'ai passé mes bras sous ses fesses et je me suis relevé le tenant serré contre moi, lui se tenait avec ses mains derrière mon cou.
-t'es prêt pour le sacrifice jeune mec ?
Il cligne de ses beaux yeux qui pétillaient. Je l'emmène dans ma chambre et je le jette sur le lit. Il est torse nu et me regarde en souriant. Je soulève une jambe et défait sa basket, lui enlève, caressant son pied. Je fais la même chose à l'autre. Je me penche, défait son jean, il soulève ses petites fesses pour le laisser passer. J'enlève ce jean serré, ses longues jambes musclées recouvertes d'un fin duvet montent jusqu'au boxer déformé par une grosse barre.
Je me déshabille comme lui en boxer.

Je reprends ses pieds, enlève les chaussettes. Il bouge avec malice ses orteils devant moi. Je vois qu'il sourit. Je fais des bisous à ses pieds, il est étonné. Il sent bon, même ses pieds n'ont pas d'odeur forte. Je remonte mes bisous le long du mollet, embrasse son genou, caresse ses cuisses fermes et douces. Mes lèvres remontent sur la cuisse et je vois la belle bosse de plus près. Les couilles bien dessinées dans le boxer qui enveloppe également la tige qui remonte vers l'aine.

Le tissu moule bien, presque transparent. Mes lèvres suivent des couilles à la tige remontant vers le gland où une belle tâche prend de l'ampleur. Très excité le garçon. Je souffle doucement sur la tige et le gland sans réellement poser mes lèvres dessus et je remonte sur le ventre où les abdos sont en formation et commencent à se dessiner. C'est ma langue qui inonde le nombril.

Sa main est venue se poser sur ma tête. Je lèche, je fais des bisous et remonte vers ses tétons dressés. Ils ont droit à chacun un bisou. Mes lèvres s'emparent d'un, le léchant, l'aspirant, le tétant, le mordant doucement, pendant que deux doigts s'occupent du second en le martyrisant doucement. Les gémissements reprennent. Ses deux mains tiennent ma tête qui mord un téton et, tout en gardant ma main sur l'autre je l'embrasse en enfouissant ma longue langue en lui. On gémit de concert, ses bras se referment sur mon corps, nos torses sont collés, les bites se rencontrent à travers les boxers, se frottent doucement.

Je l'entraine pour qu'il se retrouve sur moi. Son corps ondule sur le mien et c'est surtout son sexe qu'il frotte au mien. Il me regarde en souriant.
-vas-y, à toi! fais ce que tu veux.

L'imagination n'est pas encore là. Il reproduit en sens inverse ce que je viens de lui faire jusqu'à mes pieds qu'il prend un malin plaisir à caresser, à embrasser et je le surprends même à me sucer un gros orteil, mais vite fait il revient au boxer, caresse ma queue bien dure, me regarde.
-je peux la sortir ?
-elle est à toi.

Il tire sur le boxer, je l'aide en me tortillant. Le boxer disparait au pied du lit. Il enlève le sien vite fait et se met à genoux entre mes jambes touchant ma queue délicatement, la redressant pour la prendre dans sa main. Il la caresse, la décalottant délicatement comme s'il avait peur de me faire mal, joue avec. Il l'approche de ses lèvres, m'embrasse le gland qui n'arrête pas de couler. De la pointe de sa langue touche la mouille. Je le vois fermer ses yeux et lécher. Ses lèvres chaudes, humides entourent le gland et descendent sur ma tige, putain que c'est bon! sa main caresse mes couilles, les flatte et ses lèvres montent et descendent sur la tige. La salive coule, ma queue nage dans la salive chaude. Sa bouche est bonne, il s'applique, alternant la vitesse et la lenteur.
-je vais jouir dis-je rapidement.

Il continue ses mouvements et quand la première giclée arrive je suis sûr au fond de sa gorge il se retire vivement en toussant laissant tout mon sperme s'écouler en giclées sur son menton et les giclées se suivent. Il me regarde et rigole. Il en a partout. J'attrape une serviette, il essuie tout et vient m'embrasser l'air heureux.

Je le retourne sur le lit et fonce sur sa belle queue que je découvre enfin. Une belle queue circoncise, un gland pointu qui suinte. Je la prends en main, elle tient juste. Je donne des coups de langue sur ce beau gland pour enlever la mouille qui revient sans cesse et, le tenant par ses belles grosses couilles, j'embouche ce beau sgeg, l'avalant complètement, quand le gland touche ma luette, je tousse un peu. Je reviens à la charge et mes lèvres se referment bien sur le sexe et je le pipe en cadence.

Dès le premier aller retour il gémit déjà et commence à se tortiller sur le lit. Je le pipe plus rapidement et, en même temps qu'il crie je sens la première giclée m'envahir la bouche, m'inonder complètement pour couler en moi. Ce n'était que la première giclée car les suivantes sont aussi fournies et il crie encore et encore, se tordant sur le lit jusqu'à l'extinction des vannes. Il est sur le dos, les bras en croix, respire vite. Je lèche avec application toute sa queue, ne laissant aucune trace.

Il ouvre les yeux, tout sourire.
-mais t'as tout avalé ? comment tu fais ça ?
-ben c'est comme ça, tu verras si tu veux tu y arriveras mais pour l'instant on va prendre une douche ? la première leçon n'est pas terminée.

On est allé dans ma grande douche, l'eau coulait sur nos corps, il s'était serré contre moi.
-jamais j'avais joui autant dit-il c'est grâce à toi!
-bien sûr que c'est grâce à moi, rien ne vaut la main ou la bouche d'une autre personne.
Il a recommencé à m'embrasser. Je sentais sa queue, comme la mienne, revenues en pleine forme.
Je le lavais avec le savon liquide. Quel plaisir de caresser ce jeune corps. Mes mains se sont emparées de ses fesses, les caressant, les écartant. J'ai joué d'un doigt avec son anus vierge. C'est vrai que c'était serré mais le savon liquide ça aide bien et il était très réceptif le garçon!!

Quand mon doigt est rentré en lui, il tendait son cul de plus en plus. Je l'ai retourné sous la douche, il s'est penché en avant, m'offrant une belle vue, à genoux derrière lui j'ai encore bien écarté ses fesses pour y glisser ma langue cette fois. Il a paru surpris par cette caresse mais s'est penché encore plus, écartant ses jambes, et ses mains sont venues ouvrir encore plus le beau petit cul. Je l'ai foré avec un doigt qu'il avalait assez facilement.

J'ai léché l'anus, l'inondant de salive, la rentrant avec mon doigt. Le petit trou s'ouvrait, j'ai glissé deux doigts. Il gémissait en poussant de petits cris. Je suis allé au plus profond que je pouvais tournant mes deux doigts dans ce petit cul. Ma queue n'en pouvait plus, raide de chez raide, elle coulait en abondance, mais j'ai pris mon temps. Il fallait qu'il aime se prendre une bite dans son beau petit cul alors j'ai continué avec mes doigts, ma langue jusqu'à ce que le sphincter reste entrouvert et s'ouvre dès qu'on le touchait.

Je me suis relevé, passant mon gland bien décalotté dans sa raie bien ouverte, le posant juste sur l'anus.
Je poussais doucement, le sphincter épousait bien mon gland, j'ai saisi ses hanches et je me suis enfoncé en lui lentement. Au fur et à mesure que je progressais il criait de plus en plus fort mais ne faisait pas mine de se retirer, au contraire ses mains ouvraient bien ses petites fesses adorables. Quand mes poils ont caressé ses fesses je l'ai redressé contre moi et au fur et à mesure je sentais ma queue aller encore plus loin. Il criait encore.
-ça va Sofiane ?
-je sais pas dit-il dans un souffle.
-tu veux que je m'enlève ?
-non non je veux que tu me baises comme tu fais à un autre mec! vas y!

Comme j'aime faire plaisir… Mes mains ont repris ses hanches, il s'est penché de lui même en avant se calant le long de la douche, les jambes bien écartées, il attendait sa punition!!

J'ai fait bouger ma queue lentement en lui pour qu'il la sente bien et les va-et-vient se sont accentués. Je ne voulais pas le baiser comme un bourrin pour sa première fois, il fallait qu'il apprécie, enfin s'il pouvait! Ma queue coulissait bien dans son conduit et le gland devait passer sur sa prostate car à chaque fois son cri était plus fort alors je me suis laissé quand même aller, ça coulissait tellement bien… Et j'adorais ses gémissements, ses petits cris, ses gueulantes quand je percutais le fond de son beau petit cul et tout a une fin, mes mains se sont serrées sur ses hanches et dans un râle de contentement, de mâle dominant heureux j'ai été le premier à inonder ce boyau vierge et le minet semblait ravi de son dépucelage.

Il a gueulé tout le temps que mon sperme coulait en lui. Quand j'ai commencé à me retirer doucement, il s'est redressé venant coller son dos à mon torse, sa tête tournée.
-embrasse moi.
Je n'ai pas résisté. Ma queue est sortie lentement, il s'est retourné complètement toujours en m'embrassant.
-merci! je savais que c'allait être super avec toi mais branle moi s'il te plait.
-ben! tu veux pas me le faire ?
-tu veux vraiment ?
-ben oui… mais si tu veux pas…
-si mais je vais te faire mal ma queue est plus grosse que la tienne.
-t'inquiète, t'as senti ce que je t'avais fait avant ben tu vas me faire pareil et tu me baises bien ensuite. J'ai envie d'avoir ton jus en moi mon bébé.
-c'est vrai ? t'es sûr ?
-oui dis-je en riant.

J'ai fait couler l'eau sur nous pour enlever toutes traces restantes. Sa queue n'arrêtait pas de bander, on s'est essuyé mutuellement.
-viens sur le lit, on sera mieux!
Je me suis mis à quatre pattes, ouvrant bien mon beau cul (eh oui j'ai un beau cul!!) qui en avait vu d'autres et j'ai senti ses doigts me toucher. Il mouillait son doigt pour le rentrer dans mon anus quand enfin j'ai senti sa langue le lécher, cela m'a fait comme une décharge électrique. Sa langue était douce et chaude, il m'a préparé comme un chef.
-j'ai envie maintenant Fabrice.
-alors vas-y mais doucement quand même.

Il a fait très délicatement, tellement que c'est moi qui ai du m'enfoncer sur sa queue et c'était lui qui gémissait le plus. Ses mains me tenaient les hanches et sa grosse queue m'ouvrait bien. Je la sentais entrer en moi et j'ai été ravi quand j'ai senti ses poils sur mon cul. Je me calais bien et il s'est mis en route. Il y allait doucement, trop doucement jusqu'à ce qu'il comprenne qu'il pouvait y aller et là ce fut la fête à mon cul.

Y'a pas à dire! la baise fait bien partie des gênes des rebeu, mais cela n'a pas duré si longtemps que ça, trop excité le garçon. j'ai senti ses doigts s'enfoncer dans mes reins en même temps qu'il gueulait. Sa première giclée est arrivée avec force me remplissant bien le conduit. Il criait (les voisins allaient être ravis!!) à chaque giclée comme s'il réussissait un exploit. Je ne sais plus combien de giclées j'ai reçu cette nuit là.
Quand il est sorti de moi, je sentais son jus couler sur mes jambes.

Il s'est écroulé sur mon dos, je sentais son souffle sur ma nuque. Je me suis allongé dans le lit en me retournant, l'enserrant de mes bras, sa bouche a de suite chercher la mienne. Un vrai baiser de passion, frottant son sexe contre le mien.
-j'ai du jouir pour la semaine dit-il en me souriant.
-ah bon tu seras pas capable de remettre ça demain soir ?
Il s'est redressé, m'a regardé avec son beau visage très sérieux.
-tu veux vraiment que je revienne ?
-ben sinon comment je vais savoir si tu fais des progrès ?

Il m'a embrassé et moi aussi, on s'est serré l'un contre l'autre, enfouis dans les draps et le sommeil est arrivé.

Et il est revenu, souvent, très souvent. L'élève a dépassé le maitre mais il revient toujours en disant :
-faut toujours revenir voir son professeur, si on veut faire des progrès.

On adore baiser ensemble…

Les avis des lecteurs

exactement avec de la patience lol merci cher lecteur

Histoire Erotique
Que du bonheur !!
Ou comment une bonne action est toujours récompensée 😉

Histoire Erotique
Superbe histoire! Très très bien menée et décrite.
Jesuis d'accord avec vous : le jeune rebeu c'est le top!

C 'est même pour ça que je vis avec Abdou depuis plus de 2 ans...



Texte coquin : Le minet du banc.
Histoire sexe : Une rose rouge
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