Le Mondial 2022 : 8ème de finale 2

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Le Mondial 2022 : 8ème de finale 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Mondial 2022 : 8ème de finale 2
J'ai dormi comme un bébé dans les bras de Jean Alexandre, avec un réveil chaud. C'est un bon ce Jean Alexandre.

Mais il fallait qu'il passe à l'ambassade en ce dimanche matin et je l'ai accompagné, j'ai même été présenté à monsieur l'ambassadeur avec qui j'ai échangé quelques mots.
La matinée est vite passée, nous sommes allés déjeuner dans un petit restaurant et visiter la ville l'après midi en attendant l'heure du match, 20 heures locales, dans le grand stade al Thu Mama Stadium.
Comme de toute la journée, j'étais ébloui du gigantisme qui régnait. Rien n'était simple.

Jean Alexandre avec son passe, nous a fait conduire au staff du Prince. Quand nous sommes entrés dans la grande salle, il y avait une dizaine de personnes, tous arabes, habillés comme tels. Nous n'étions que les deux seuls européens, épiés, toisés sans se cacher par des yeux plus que curieux, certains regards nous toisaient des pieds à la tête, je suivais comme son ombre Jean Alexandre, qui, lui semblait à l'aise.


Personne ne nous a adressé la parole, ils parlaient entre eux, en arabe bien sûr.
-t'en fais pas dit Jean Alexandre, ils se demandent qui tu es, c'est tout. Moi ils savent que c'est le Prince qui m'a invité et ils ne nous parleront que lorsque le Prince sera arrivé.
Mais je voyais bien certains arabes avoir des regards qui se posaient plus facilement sur mon cul que sur mon visage et, cela m'a amusé.

Je me suis souvenu que Jean Alexandre m'avait dit, lorsque l'on avait visité la ville, de ne pas regarder les qataris dans les yeux, ni de les toiser que cela pouvait être mal interprété, mais que s'ils venaient nous parler il fallait répondre avec déférence qu'ils appréciaient.
Oui en fait ils appréciaient les larbins!

Et, là dans cet espace clos, c'était un peu le même genre de chose. Il ne fallait pas les mater, mais se laisser observer sans manifester d'humeur… c'est pas mon genre!
Alors quand je sentais un regard un peu trop appuyé, je regardais l'intrus dans les yeux et il détournait la tête avec un sourire ironique et méprisant!
On s'est fait servir des orangeades par les larbins de service, de beaux petits arabes déférents, qui s'inclinaient devant nous pour nous servir. J'avais l'impression d'être le roi d'Angleterre.

Puis le Prince est arrivé, je ne l'ai pas vu entrer, mais le mouvement des arabes pour se retrouver autour de lui, lui baiser la main en s'inclinant tels des larbins a failli me faire pouffer de rire. Tiens! ils ne faisaient plus les fanfarons maintenant que le grand chef était arrivé.

Et, en bon chef, faisait le mec blasé de toutes ses salamalecs mais prenait son temps pour que chaque mec se penche devant lui en lui baisant le dos de la main avec son air supérieur.

J'avais vu dans son regard qu'il nous avait remarqué et, coupant court à toutes discussions que les sujets voulaient entreprendre il s'est dirigé vers nous, les bras ouverts.
-mon grand ami Jean Alexandre! je suis heureux que vous soyez venu. Alors voilà votre ami qui vient fêter son anniversaire dans mon beau pays! j'espère que vous lui avez fait visiter tout ce qui est intéressant.
-oui Prince, nous avons commencé, il n'est arrivé que d'hier dit Jean Alexandre en serrant la main tendue du Prince, permettez moi de vous présenter Fabrice, un très bon ami depuis plus de 10 ans.
-eh bien Fabrice, je suis heureux de faire votre connaissance dit le Prince en me tendant la main.

Je prends sa main dans la mienne, et la poignée de mains est chaleureuse, ses yeux pétillent, il a vraiment un regard coquin ce Prince.
-Fabrice, je te présente le Prince Ali, le meilleur des hommes du Qatar dont j'ai l'honneur d'être l'ami.
J'avoue que je ne savais pas trop comment l'appeler.
-je suis ravi de vous connaitre et de faire votre connaissance votre altesse.

Son sourire illumine son visage, il tient toujours ma main, il m'observe sans se cacher, ses yeux parcourent mon visage, regardant avec intérêt mes cheveux blonds… se penche à mon oreille et me dit tout bas:
-appelez moi prince, votre altesse est réservée lorsque nous serons en privé.

Il rit tout seul, et je me souviens de ce que Jean Alexandre m'a raconté la veille. Je me sens rougir, il rigole.
-ah je vois que ce coquin de Jean Alexandre ne sait pas tenir sa langue.

Jean Alexandre sourit et moi je ne sais plus où me mettre et le Prince rigole, fier de lui.
Il nous prend chacun par une épaule et nous conduit près de la grande vitre où nous avons vue sur le grand stade. Des écrans de télé sont partout pour voir de plus prêt et le voilà parti à me parler de l'équipe de France, il connait tous les joueurs, où ils jouent, la place, leurs performances. J'en reste sans voix.

Quand il veut quelque chose, il lève la main, claque des doigts et un larbin est là, la tête baissée, écoutant ce qu'il désire.
Du délire, je suis en plein délire. Je suis dans un autre monde que je n'avais jamais vu.
Les autres qataris essaient bien de parler avec le Prince, mais ils se font rabrouer et restent à l'écart. Le Prince ne nous quitte pas.
C'est vrai que c'est un beau mec, charmant, cultivé, intelligent mais c'est le maître et il le fait bien sentir.

Le match commence, je crois que c'est lui le plus grand supporter de l'équipe de France.
Bon je ne vais pas vous raconter le match que vous avez dû voir…
Mais à la fin, le Prince Ali est vraiment volubile, nous serre dans ses bras, nous promettant que nous allons nous retrouver en finale et la gagner.
Tout le monde est d'accord avec lui et, j'ai l'impression que l'on est devenu les meilleurs amis de tout le monde.

Certains viennent voir le Prince pour semble t-il l'inviter mais le Prince leur répond en français qu'il a des invités et qu'il reste avec eux, qu'ils peuvent partir.
Les bisous sur la main reprennent et ils partent tous en nous saluant cette fois, mais les regards ne sont pas tellement encourageants. On sent de la jalousie!
-mes amis! dit le Prince, il est temps de fêter dignement cette belle victoire. Je vous emmène tous les deux!

Bon, c'est pas lui qui conduit… mais je n'étais jamais monté dans une telle voiture, si l'on peut appeler ça encore une voiture. Je n'en avais vue qu'à la télé!
Le trajet n'a pas duré longtemps, nous sommes allés en boite. Une boite bizarre je dirais, de la musique orientale où que des hommes dansaient. Il y avait bien quelques femmes européennes mais restaient discrètes.

Le Prince avait son coin de réservé, à l'abri de tous les regards. Lui buvait son orangeade et nous avons eu droit à un magnum de champagne.
Musique douce, lumières tamisées, le Prince Ali s'était assis entre nous deux.
On a trinqué, il parlait encore de foot.

Je l'ai vu se pencher à l'oreille de Jean Alexandre lui parlant à l'oreille. Il a rigolé en me regardant, le Prince lui a fait une bise sur la joue. Il s'est tourné vers moi, passant son bras sur mes épaules, m'attirant à lui, tout sourire, se penche à mon oreille.
-je viens de demander la permission à Jean Alexandre pour t'enlever ce soir pour que l'on fasse plus ample connaissance, t'en penses quoi Fabrice?
-on va laisser Jean Alexandre tout seul ?
-pour cette première fois, oui! dit il j'aime prendre mon temps avec les garçons qui me plaisent. Je suis sûr que Jean Alexandre t'a tout raconté, c'est un bavard mon ami mais je l'aime beaucoup et toi tu arrives, tu vas repartir alors j'aimerais avoir une nuit complète rien qu'avec toi, te découvrir entièrement et que tu découvres également un vrai homme arabe qatari.
-si c'est ce que votre altesse désire, dis je en prenant mon air de salope obéissante.
-ah ah alors tu y tiens à m'appeler ainsi, tu sais ce que cela veux dire ?
-je crois, dis je, si Jean Alexandre m'a bien raconté la vérité.

Il rigole en se retournant vers Jean Alexandre qu'il embrasse sur la bouche. Je vois mon ami lui caresser le visage tendrement, offrant ses lèvres et lui parlant doucement. Le Prince Ali cligner des yeux, lui faire un bisou.

J'ai su le lendemain qu'il avait dit au Prince de bien faire attention à moi, que j'étais son ami le plus cher.

Le prince s'est retourné vers moi.
-viens Fabrice le blond dit le Prince en me prenant par la main.
-mais Jean Alexandre va rester ici tout seul ?
-t'en fais pas, j'ai un ami qu'il connait, qui va le rejoindre et ils vont passer une bonne soirée.

Nous sommes sortis de la boite par un autre endroit et la "voiture" du Prince était là. Par contre tous les rideaux étaient tirés, même le chauffeur ne voyait rien. Il lui a parlé et nous avons roulé.
Il devait être impatient car il s'est jeté sur moi. Oh pas comme une brute, mais comme un homme qui a envie d'un autre, ça se voyait dans ses yeux, dans ses gestes. J'ai été surpris de sa douceur, de sa tendresse.

La première chose qu'il a fait c'est de me prendre une main dans les siennes, et de me la caresser en me fixant pour que nos têtes se rapprochent. Je voyais sa moustache, sa barbe, ses belles lèvres se rapprocher et c'est vrai qu'il m'excitait ce Prince Ali. J'avais hâte d'être à poil avec lui dans un lit.

Mais là, se sont mes lèvres qui ont gouté aux siennes, puis nos langues. Une belle langue chaude et agile est entrée en moi pendant que ses bras me serraient contre lui et le baiser fut passionné. On aurait dit le baiser d'un mec amoureux.

Il me caressait la joue, me regardant, il me parlait en arabe. Je ne comprenais rien, mais c'était doux, tendre. Ce devait être beau ce qu'il disait, ses yeux riaient, pétillaient quand il déposait de petits baisers sur mes lèvres. De temps en temps sa langue venait se coller à la mienne, nos yeux se fermaient et nos souffles se mélangeaient. Il soupirait vraiment de plaisir.

Je n'ai jamais eu mon visage de caresser comme ça. Son pouce passait partout, tout était fait avec douceur, il souriait tout le temps, j'avais vraiment l'impression de rendre un homme heureux.

J'ai aimé quand il caressait mon visage de son pouce en me parlant en arabe ses yeux fixés dans les miens… des yeux de douceur.

La voiture s'est arrêtée. Il a appuyé sur un bouton et les rideaux se sont enlevés. On était dans un parking, le chauffeur est descendu pour ouvrir la grande porte, le Prince m'a pris par la main et nous sommes descendus pour faire trois mètres et monter dans un ascenseur qui avait été appelé par un larbin plié en deux en nous voyant.

Lorsque l'ascenseur s'est arrêté, donnant directement dans un appartement, il me tenait toujours par la main et, m'a emmené directement dans une grande chambre. Un grand lit où l'on pouvait être facilement une dizaine. Je n'avais jamais vu un tel grand lit.
Il m'a pris dans ses bras, me serrant contre lui.
-on se boit un bon whisky mon ami ?
-boire une orangeade ne me gêne pas.
-oui mais moi je boirais bien un whisky maintenant! dit il en riant.

Et j'ai eu comme larbin un Prince, un Prince qui m'a servi un whisky, qui a sorti les glaçons.

J'étais assis sur le lit, il est venu s'agenouiller entre mes jambes pour me donner le verre. Nous avons trinqué en se souriant, il claquait sa langue dans sa bouche à chaque gorgée de whisky qu'il avalait.

Il a enlevé son couvre chef m'apparaissant tête nu, ses beaux cheveux luisants noirs comme un corbeau. Il était encore plus beau. J'ai levé ma main pour venir caresser sa joue, sa barbe douce, ses yeux étincelaient sans me quitter. Il penchait la tête sur ma main comme s'il réclamait d'autres caresses.
J'ai posé mon verre, pour prendre son visage dans mes mains et lui faire comme lui m'avait fait avec mes pouces les passant délicatement sur son visage. Sa peau était chaude, douce, j'ai fait un bisou sur son nez aquilin, le faisant sourire.
-on m'a jamais embrassé le nez dit il.
-moi j'aime bien dis je, la peau est douce aux lèvres.
J'ai vu ses lèvres venir se poser sur le mien, les retirer.
-t'as raison dit il en souriant.

On s'est fait tout plein de petits bisous comme ça et il a commencé à me déshabiller. Quand mon torse de blond est apparu j'ai vu ses yeux s'émerveiller, s'arrondir, il fixait mes tétons qui étaient durs et appelaient des caresses.
Que j'ai eu de suite.
Sa moustache piquait au début mais il a pris son temps pour les lécher, les sucer, les pincer, les mordre, tant que je gémissais, il continuait.

Il m'a poussé sur le lit et ses lèvres sont descendues sur mon torse.
Faut dire que je suis un beau mec quand même, et mes abdos on les voit! lol
J'ai senti sa langue passer et repasser dessus, noyer mon nombril.
Il a défait mon pantalon, enlevé mes chaussures, retiré le pantalon, les chaussettes et j'étais en boxer devant un Prince qui me matait la queue comme un affamé.

Mais c'était pas ma queue qui l'intéressait le plus. Mes poils pubiens jaune or dépassaient du boxer. Il l'a baissé me libérant les fesses, mais pas la queue, juste qu'il voit mes poils pubiens.
Ses yeux me regardaient et regardaient mes poils. On aurait dit qu'il n'y croyait pas. Sa tête s'est penchée sur mon sexe. Je sentais son menton sur mes couilles emprisonnées mais il me reniflait, il me sniffait comme un drogué relevant la tête pour me voir, me parler en arabe en remuant la tête et revenait me sentir. Il s'est mis à me lécher les poils, j'avais le pubis inondé.
Je lui caressais les cheveux et remontait sa joue pour recevoir une caresse avant de revenir à mes poils.

Il a enfin retiré mon boxer libérant mon beau monstre qui était pratiquement décalotté et coulait en continue une mouille claire et poisseuse que j'ai vu qu'il observait.
Le boxer enlevé, j'ai cru qu'il allait s'occuper de ma queue mais non, m'a fait me retourner pour que je lui présente mon cul, me fait mettre à quatre pattes sur le lit, le cul bien ouvert.

Et il siffle d'admiration de voir mes poils blonds dans ma raie, entourés l'anus accueillant.
Il parle encore arabe et sa langue lèche les poils pour enfin me toucher l'anus et me bouffer le cul avec application, méthode et grande envie. Ses doigts me forent. Je gémis comme la salope qui est en moi. Il continue, s'enfonçant en me caressant l'intérieur.

Je sens qu'il se relève et je le vois commencer à se déshabiller. Je décide de prendre les choses en mains. Je me retourne vivement, me tenant debout devant lui, le stoppant dans son geste pour enlever ses vêtements.
Il me regarde, étonné. Je lui fais mon plus beau sourire en me rapprochant de lui.
-si son altesse veut me niquer, j'aimerais qu'elle me laisse faire pour le déshabiller et le mettre en condition.
Son sourire est revenu, ses yeux pétillent et il s'abandonne.

-j'aime bien découvrir mes nouveaux cadeaux dis je en souriant.
Je lui enlève sa grande robe blanche, et ses sous vêtements sont vraiment un tue l'amour. Son marcel blanc, son caleçon informe blanc également lui arrivant sous les genoux. Je le mets nu le plus rapidement possible et j'ai enfin , un Prince nu devant moi et quel homme! quel bel homme.

J'ai commencé par attaquer ses tétons, sa poitrine, ses poils, lui montrer que moi aussi j'apprécie les poils et les tétons et l'entendre gémir en prononçant des mots arabes est un plaisir également.
Je descends sur son torse, ses abdos cachés dans les poils, son nombril, sa queue s'est glissée sous mon menton et sa mouille abondante coule dans mon cou.

Je lèche ses poils noirs pubiens très abondants, passant aux couilles que je noie de salive avant de les avaler tel un gourmand et l'entendre encore râler pour revenir sous sa grosse queue d'un coup de langue arrivant à son gros gland circoncis. Le méat coule. Je lèche, il gémit, mes lèvres avalent ce gland chaud et dur, ses mains me tiennent la tête. Je le sens hésiter à s'enfoncer dans ma bouche alors je lui tète le gland, l'entourant bien de mes lèvres et jouant avec ma langue. Je sens ses mains s'affermir sur ma tête, il râle de plus en plus fort et, d'un seul coup mes lèvres glissent sur cette belle grosse tige et j'essaie d'en avaler un maximum mais quand le gros gland touche le fond de ma gorge, je tousse je crache sur sa queue. Je sens ses mains se retirer de ma tête. Il ne m'oblige en rien alors je reviens à la charge plusieurs fois pour enfin arriver à avoir mes lèvres dans ses poils pubiens, sentir son gland me boucher la gorge et cette grosse queue palpiter. J'avoue que j'étais content de moi!

Je me suis mis à le piper avec tout l'art que je connais, sa queue nageait dans ma salive, il gémissait de plus en plus vite.
Je me suis arrêté, je l'ai regardé, des filets de baves allaient de sa queue à ma bouche.
-son altesse préfère me niquer ou ma bouche ? dis je dans un grand sourire.
-fais comme tu veux de toute façon on a toute la nuit.

Et sa grosse queue revient dans ma bouche. Je le cramponne aux cuisses, sa main caresse mes cheveux et je le pipe en cadence, avalant à chaque fois sa queue en entier.
D'un seul coup il s'est mis à gueuler en arabe me tenant la tête, j'ai senti sa queue se raidir et le bon jus qatari a coulé en moi. Sa queue juste sur ma langue, son gland à l'entrée de ma gorge, les giclées jaillissaient sur ma luette et coulaient en moi. J'avais les yeux qui pleuraient et quand il s'en est rendu compte, il a sorti sa queue, s'est agenouillé devant moi, essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues.
-je t'ai fait mal ? dit il inquiet.
-non non mon Prince adoré.

Je n'ai pas eu le temps de continuer, sa bouche s'est emparée de la mienne et sa langue est venue me lécher l'intérieur.
Puis il m'a relevé, m'a soulevé dans ses bras pour me déposer au milieu du grand lit, s'allongeant sur moi pour m'embrasser tendrement.
-maintenant on va faire l'amour Fabrice le blond, je vais te faire connaitre le zob qatari. c'est le meilleur zob arabe, quand tu y as gouté avec ton cul t'en redemandes.
-j'en doute pas j'ai déjà eu un aperçu, dis je en souriant.
-oui c'était mon premier but de la soirée dit le Prince Ali en souriant, y'en a encore deux.
-hé mon Prince adoré, tu oublies que l'équipe adverse a quand même marqué aussi un but… non ?
-mais t'es pire que ton ami Jean Alexandre ! tu voudrais niquer un Prince du pays ?
-pourquoi ? les Princes de ce pays ne se font pas niquer ?

Il rigole en se serrant contre moi, j'aime sa carrure qui m'écrase, sa chaleur sur moi, et sa queue qui a repris sa belle forme et qui s'est collée à la mienne.
-tu veux que je te fasses jouir avant que je te nique beau français ?
-comme il plaira à votre Altesse mon bon Prince adoré.
-alors, ce que je vais te faire beau blond… tu n'en parles à personne. Jure le moi !
Il ne riait plus, ses yeux étaient durs et il ne semblait pas plaisanter.
-bien que je ne sache pas ce qui va arriver, je le jure Prince Ali, tout ce que je ferais avec toi personne ne le saura jamais. Je le jure, même Jean Alexandre!

Son sourire était revenu. Son bassin écrasait le mien et ondulait. Ma queue dure coulait de plus en plus. Après m'avoir embrassé, ses lèvres sont descendues sur mon torse, revenant vite fait à mes poils… j'ai senti sa main se saisir de mes couilles et sa langue me lécher la queue, titiller le frein, prendre ma queue en main, finir de bien la décalotter et quand ses lèvres se sont posées sur mon gland, j'ai bien cru que j'allais jouir de suite. Putain que sa bouche était chaude, chaude et humide.

Sa langue entourait le gland, aspirant la mouille qui sortait en abondance et il avait l'air d'aimer ça le Prince, pour finir par me piper comme un chef comme une vraie salope qui aime la queue et je n'ai pas pu tenir aussi longtemps que je l'aurais voulu. Je gémissais, je râlais et j'ai crié que j'allais juter.

Il s'est bloqué sur ma queue et a reçu en bouche tout le bon jus français et j'en avais à donner, pour être léché avec attention, pour passer mon gland décalotté dans sa barbe et revenir m'écraser de son poids en m'embrassant tel un amoureux.
-jamais tu diras que le Prince suce des bites hein mon petit français.
-non Ali je ne dirais rien, tu es le meilleur des hommes.
-attends c'est pas fini dit il en riant, on n'est même pas arrivé à la mi-temps! mais on pourrait se reprendre un whisky ?

Sans attendre ma réponse, il se lève et se transforme en larbin pour français blond.

Il est revenu sourire aux lèvres, me tendre mon verre qu'on a siroté en se faisant des bisous. Qu'il était beau tout nu, sa queue encore raide.

En calant ma tête dans son cou…
-c'est maintenant que je dois dire la phrase magique : "nique moi votre altesse! nique moi fort!"

Il éclate de rire, prend nos verres, les jette dans un coin de la chambre, me retourne sur le lit.
-maintenant tu peux le dire, ça va être ta fête avant ton anniversaire beau blond de français!

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