Le mouchoir
Récit érotique écrit par Jeune_homme [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le mouchoir
Le mouchoir.
C'est la fin de soirée. Je suis nu, allongé sous les draps, le regard vaguement happé par le téléviseur qui diffuse la seule lumière de la chambre. Il fait chaud. Mon homme est là aussi, à côté, je peux parfois distinguer sa respiration. Ma main gauche se ballade un peu partout sur son boxer, seul "vêtement" qu'il a gardé. J'aime sentir son service trois pièces sous mes mains. J'imagine ce que je pourrais lui faire. Je m'excite, je sens une boule dans le ventre et je crois sentir de la moiteur sur mes fesses. Parfois je fais basculer mon bras pour caresser sa poitrine virile avec le dos de ma main. J'ai envie de sucer ses seins, de passer ma langue au travers de la fine toison et l'entendre souffler de désir.
Je m'excite et j'imagine. J'imagine que je pourrais descendre ma bouche sur son membre. Je commencerais par poser ma langue sur sa poitrine et j'irais jusqu'à sa queue dont je titillerais le bout tout en la prenant dans ma main. J'imagine aussi que je pourrais mordre l'oreiller sous ses assauts brutaux pendant qu'il me claquerait le cul en m'insultant. Mais je rêve, il regarde son film. Je m'en fous de son western moi. Je pourrais tenter de passer sous les draps sans déranger mon John Wayne à moi et lui "faire sa pipe" comme il le dit. Il se contenterait de savourer. Savourer avec tout son mépris, de voir une forme s'agiter sous les draps, pour sa queue. Je sais qu'il aime. Il poserait sa main sur le drap au niveau de ma tête et appuierait fermement dessus en me disant: "Mange !". Et oui je mangerais, prisonnière de sa queue, car j'aime ça et qu'il faut bien nourrir sa lope comme il dit encore. Mais je préfère attendre. J'aurais le droit de sucer plus tard. J'espère, je me calme, je m'endors jusqu'à sentir du mouvement dans le lit. Enfin le film a dû se finir.
Mon homme fait valser son caleçon. Il me soulève avec ses bras et me recentre sur le lit. Il se dresse puis se met à genoux, ses jambes de part et d'autre de mon corps. Malgré la faible luminosité, je peux distinguer sa grosse queue. J'ose tendre une main vers elle mais un cinglant: "Pas touche !" m'arrête immédiatement. Il me toise. Je l'admire. Mes bras se posent sur ses grosses cuisses. La télé est toujours allumée, je n'aime pas baiser avec du bruit mais je le laisse commander. Il annonce le programme, il va se branler sur mon visage. Je ne toucherai pas à sa queue. Et je resterai silencieux. Mon mâle vire mon oreiller, je suis maintenant complètement à plat. Mon homme continu sa progression, avance ses genoux vers ma tête et fait passer mes bras sous ses cuisses. Je peux désormais poser mes mains sur ses fesses. Quand il s'arrête, j'ai son paquet à quelques centimètres au-dessus de ma bouche, j'ai le visage presque entre ses genoux. Il pourrait m'étouffer rien qu'en les serrant. Je ne peux presque pas bouger, je suis juste un jouet. Il commence à se branler. Moi je devine sa carrure, ses épaules, sa poitrine. Il est beau. Que peut-on faire d'autre que lécher les couilles à un homme si beau et si sûr de lui ? C'est d'ailleurs ce que je fais. Je tends timidement une langue attendant sa réaction mais je suis vite rassuré. Un souffle fort presque rauque sort de sa bouche. "C'est bien. C'est tout ce que tu as droit de faire. Si t'ouvres la bouche c'est pour me lécher les couilles". Alors je lèche. Je savoure ses couilles qu'il entretient pour moi. Ma langue joue avec. Mon homme se retourne et coupe le son de la télé, il se penche et allume une petite lampe au sol. Il veut me voir et me voire faire surtout. Chez mon homme, quand on humilie, on fait ça bien. Enfin je le vois mieux, lui et sa grosse queue, qui semble plus longue que mon visage. Je reprend mon travail mais il m'arrête. Il m'autorise à parler...pour lui dire ce que veux...pour encore une fois avoir sa permission...Le salop. Alors je m'exécute "J'ai envie de lécher tes couilles" mais je dois m'y reprendre, cette fois en le regardant dans les yeux. Il se branle pendant que je m'occupe de ses boules. Je le regarde et je l'allume. En réponse j'ai droit à un regard sombre, presque hautain. Il jubile. Il parle peu. Cela dure quelques minutes mais je sens qu'il ne tiendra pas longtemps. Il devient bavard ! Il commente mon travail, me dit quoi faire ou m'insulte, me demande de lui dire ce qu'il veut entendre. Je m'exécute. "Oui je ne suis qu'un vide-couilles, ton vide-couilles et tu vas gicler sur mon visage".
C'est exactement ce que je suis à ce moment là. Il pourrait me mollardait la figure que je ne dirais rien...parce que c'est lui, que je l'aime et que j'aime être sa chienne. Il accélère, je sens qu'il va venir. J'essaie de lever ma tête pour approcher ma bouche mais une légère gifle me rappelle à l'ordre "Bouge pas ! C'est ton visage que je veux". J'aime quand mon homme lève la main sur moi. Puis sa main se pose fermement sur mon front pour recoucher ma tête. Il la garde entre ses mains et la bloque. Je tire la langue et j'attends. Je pense un court instant que je vais être souillée. Il déplace sa main sur mon menton, me claque les joues, le nez et la langue avec sa grosse queue. Il m'insulte. Enfin il revient une dernière fois poser ses couilles sur ma bouche. Il souffle fort, il crie, son sexe se tend et un premier jet vient s'étaler sur toute la longueur d'un côté de ma tête, de mon cou jusque dans mes cheveux et au-delà sur le matelas. Je caresse ses fesses et ses hanches pendant qu'il continue de jouir. Cela m'est apaisant de voir se vider mon homme. Il dirige les autres jets un peu partout sur mon visage qu'il bouge avec sa main de droite à gauche, en fonction de ses envies...ou pour bien m'en mettre partout.
Je me surprend à m'entendre gémir pendant qu'il me salit. J'aime le sperme. Je devine que je suis couverte de foutre chaud, je le vois encore secouer sa queue au dessus de moi ou la presser pour bien tout me donner. Je suis son mouchoir. Puis son regard change et devient attendri, presque implorant un pardon. C'est mon homme. Il s'affale sur le lit. Après un passage par la salle d'eau, il dort. Je n'ai pas joui et déjà mon esprit se met à imaginer les assauts brutaux matinaux que voudra sans doute me donner mon mâle pour bien marquer son territoire, pour que je ne l'oublie pas de la journée. Comme si j'allais l'oublier...Alors que je passe ma journée à penser à la pipe que je vais lui faire quand il rentrera...Il n'y a rien de plus gratifiant que de savoir le bien que je fais à mon mec. De toute façon c'est automatique, mon homme ne quitte jamais la maison sans se vider les couilles. Je le savais et j'étais là pour ça à la base. Il y a différents rituels, mais d'une façon ou d'une autre je le soulage avant qu'il parte. Enfin je dors.
Au réveil, j'entends l'eau de la douche couler. J'aime les matins avec lui. D'habitude j'enfile juste un haut à la con, léger et court. Je sais que je lui plait quand j'ai l'air presque ridicule avec juste un tee-shrit qui me couvre le haut mais qui laisse largement à l'air mes fesses et mon sexe. Mais cette fois-ci je fais l'inverse, je passe uniquement le bas, un simple caleçon, et je le rejoins dans la salle de bain. Je le vois se savonner sous le jet, il est beau, lui et sa grosse queue. Je me demande ce que je vais devoir faire pour le soulager cette fois-ci. Mais il va vite me donner la réponse. Je suis devant le lavabo, face à l'immense miroir de la pièce et je le vois sortir de la baignoire. Je lui tend une serviette, j'aurais aimé le sécher mais il ne semble pas disposer à cela. Il se frotte puis vient derrière moi. Il me regarde dans le miroir. Ses mains se posent sur mon dos, mes hanches et je sens quelques baisers sur ma nuque. Je m'électrise. Puis il se saisit de mon caleçon et le fait lentement glisser jusqu'à mes chevilles. Ses bras soulèvent une à une mes jambes pour se débarrasser du vêtement. Quel moment délicieux. Ceux ou celles qui sont pris comprendront. Au sens propre comme au sens figuré, on est nu. Quand le dernier bout de tissu quitte votre peau, quand vous faites passer au-delà de vos jambes vos sous-vêtements, c'est à ce moment là que vous vous offrez. Vous donnez votre accord, à votre homme de disposer de vous. Et vous comme votre partenaire connaissez la suite.
La suite, mon homme s'y affaire, il continue ses caresses, il parcours mon dos et mon ventre avec ses mains. Il est toujours derrière moi. Soudain une main se porte derrière ma tête et la pousse vers l'avant. Cette fois, on y est, le mâle veut disposer de sa chose, il veut prendre sa femelle. Mais je suis trop près du miroir, ma tête va le heurter. Mon homme le sait, il le sait forcément. Alors je l'arrête, je fais quelques petits pas vers l'arrière, le faisant reculer avec mes fesses. J'en profite pour vaguement sentir son désir. Puis quand j'estime être à la bonne distance, je m'arrête, je le regarde à travers la glace et je me penche lentement vers l'avant comme il le désirait. Le geste est humiliant, presque avilissant mais le geste est aussi une supplication: "Allez vas-y, prends moi !". Mon homme a évidemment compris. Ses mains sont sur mes hanches, il admire ma cambrure. Il étend un à un mes bras le long du plan de travail, une de ses mains va chercher le gel posé à côté. Toujours ces gestes sûrs qui me rendent fébrile. Je sens du froid sur mes fesses, puis mon homme me masse avec un doigt, tendrement mais sûrement. Son doigt s'enfonce, ressort et revient me combler. Bientôt ce sera deux doigts. Mon homme me complimente sur mes dispositions. Je "mouille" pour lui. Il me doigte désormais avec 2 doigts. Moi je gémis, j'apprécie d'être un jouet, je savoure ses attentions. Je remue mes fesses pour le rendre fou. Et ça marche. Il retire ses doigts et approche son sexe. Il appuie sur mon anneau et s'enfonce progressivement. Il teste mes réactions. Mais je ne bronche pas, au contraire, je lui indique que c'est bon. Il est cette fois-ci complètement en moi. Il attend, alors je recommence mon manège, je bouge pour lui signifier d'y aller mais il reste calme, se retire lentement puis revient. Je peux bien savourer sa queue. Enfin il accélère le rythme mais ça reste très tendre. Ses mouvements sont amples, il veut me remplir complètement. Je le sens bien. Je souffle et je gémis sans le vouloir. Parfois il m'attrape les bras, les amène dans mon dos et m'encule avec des petits coups secs et rapides qui me font échapper des petits cris. Puis il reprend une sodomie plus profonde en me tenant fermement par les hanches. Il cherche à me donner du plaisir. Je prends véritablement mon pied lors de cette sodomie matinale. D'autant plus que mon homme est endurant. Enfin je sens ses coups de reins devenir plus brutaux, j'entends mon homme crier et je sens son plaisir se répandre en moi. Ses caresses se poursuivent, sur mon dos, ma nuque et mes hanches. Je me redresse, il se retire.
"Il est trop bon ton cul" lâche-t-il enfin.
Je m'entends lui répondre qu'il est à lui et fait pour lui. Je tourne légèrement la tête. Sa bouche cherche la mienne, je me laisse faire et me surprends à embrasser un homme et à aimer ça, sentir sa langue posséder ma bouche et me sentir lui appartenir totalement désormais. J'ose le lui montrer en levant le bras et en attrapant sa tête avec ma main. Toujours derrière moi, il tend une main vers mon sexe, qu'il saisit. C'est la première fois depuis longtemps qu'il me branle. Il le fait tout en me susurrant des choses à l'oreille, alternant mots d'amour et coquineries. Je me sens à sa merci comme jamais. La caresse est ferme, déterminée, presque mécanique, comme pour m'indiquer qu'il décide de mon plaisir. Il ne me faudra pas longtemps avant de me répandre à mon tour sur le lavabo et dans ses doigts. De nouveaux baisers et enfin nous nous lâchons. Je file sous la douche pendant qu'il finit de se préparer. Je suis déjà impatient d'être au soir, et le revoir.
C'est la fin de soirée. Je suis nu, allongé sous les draps, le regard vaguement happé par le téléviseur qui diffuse la seule lumière de la chambre. Il fait chaud. Mon homme est là aussi, à côté, je peux parfois distinguer sa respiration. Ma main gauche se ballade un peu partout sur son boxer, seul "vêtement" qu'il a gardé. J'aime sentir son service trois pièces sous mes mains. J'imagine ce que je pourrais lui faire. Je m'excite, je sens une boule dans le ventre et je crois sentir de la moiteur sur mes fesses. Parfois je fais basculer mon bras pour caresser sa poitrine virile avec le dos de ma main. J'ai envie de sucer ses seins, de passer ma langue au travers de la fine toison et l'entendre souffler de désir.
Je m'excite et j'imagine. J'imagine que je pourrais descendre ma bouche sur son membre. Je commencerais par poser ma langue sur sa poitrine et j'irais jusqu'à sa queue dont je titillerais le bout tout en la prenant dans ma main. J'imagine aussi que je pourrais mordre l'oreiller sous ses assauts brutaux pendant qu'il me claquerait le cul en m'insultant. Mais je rêve, il regarde son film. Je m'en fous de son western moi. Je pourrais tenter de passer sous les draps sans déranger mon John Wayne à moi et lui "faire sa pipe" comme il le dit. Il se contenterait de savourer. Savourer avec tout son mépris, de voir une forme s'agiter sous les draps, pour sa queue. Je sais qu'il aime. Il poserait sa main sur le drap au niveau de ma tête et appuierait fermement dessus en me disant: "Mange !". Et oui je mangerais, prisonnière de sa queue, car j'aime ça et qu'il faut bien nourrir sa lope comme il dit encore. Mais je préfère attendre. J'aurais le droit de sucer plus tard. J'espère, je me calme, je m'endors jusqu'à sentir du mouvement dans le lit. Enfin le film a dû se finir.
Mon homme fait valser son caleçon. Il me soulève avec ses bras et me recentre sur le lit. Il se dresse puis se met à genoux, ses jambes de part et d'autre de mon corps. Malgré la faible luminosité, je peux distinguer sa grosse queue. J'ose tendre une main vers elle mais un cinglant: "Pas touche !" m'arrête immédiatement. Il me toise. Je l'admire. Mes bras se posent sur ses grosses cuisses. La télé est toujours allumée, je n'aime pas baiser avec du bruit mais je le laisse commander. Il annonce le programme, il va se branler sur mon visage. Je ne toucherai pas à sa queue. Et je resterai silencieux. Mon mâle vire mon oreiller, je suis maintenant complètement à plat. Mon homme continu sa progression, avance ses genoux vers ma tête et fait passer mes bras sous ses cuisses. Je peux désormais poser mes mains sur ses fesses. Quand il s'arrête, j'ai son paquet à quelques centimètres au-dessus de ma bouche, j'ai le visage presque entre ses genoux. Il pourrait m'étouffer rien qu'en les serrant. Je ne peux presque pas bouger, je suis juste un jouet. Il commence à se branler. Moi je devine sa carrure, ses épaules, sa poitrine. Il est beau. Que peut-on faire d'autre que lécher les couilles à un homme si beau et si sûr de lui ? C'est d'ailleurs ce que je fais. Je tends timidement une langue attendant sa réaction mais je suis vite rassuré. Un souffle fort presque rauque sort de sa bouche. "C'est bien. C'est tout ce que tu as droit de faire. Si t'ouvres la bouche c'est pour me lécher les couilles". Alors je lèche. Je savoure ses couilles qu'il entretient pour moi. Ma langue joue avec. Mon homme se retourne et coupe le son de la télé, il se penche et allume une petite lampe au sol. Il veut me voir et me voire faire surtout. Chez mon homme, quand on humilie, on fait ça bien. Enfin je le vois mieux, lui et sa grosse queue, qui semble plus longue que mon visage. Je reprend mon travail mais il m'arrête. Il m'autorise à parler...pour lui dire ce que veux...pour encore une fois avoir sa permission...Le salop. Alors je m'exécute "J'ai envie de lécher tes couilles" mais je dois m'y reprendre, cette fois en le regardant dans les yeux. Il se branle pendant que je m'occupe de ses boules. Je le regarde et je l'allume. En réponse j'ai droit à un regard sombre, presque hautain. Il jubile. Il parle peu. Cela dure quelques minutes mais je sens qu'il ne tiendra pas longtemps. Il devient bavard ! Il commente mon travail, me dit quoi faire ou m'insulte, me demande de lui dire ce qu'il veut entendre. Je m'exécute. "Oui je ne suis qu'un vide-couilles, ton vide-couilles et tu vas gicler sur mon visage".
C'est exactement ce que je suis à ce moment là. Il pourrait me mollardait la figure que je ne dirais rien...parce que c'est lui, que je l'aime et que j'aime être sa chienne. Il accélère, je sens qu'il va venir. J'essaie de lever ma tête pour approcher ma bouche mais une légère gifle me rappelle à l'ordre "Bouge pas ! C'est ton visage que je veux". J'aime quand mon homme lève la main sur moi. Puis sa main se pose fermement sur mon front pour recoucher ma tête. Il la garde entre ses mains et la bloque. Je tire la langue et j'attends. Je pense un court instant que je vais être souillée. Il déplace sa main sur mon menton, me claque les joues, le nez et la langue avec sa grosse queue. Il m'insulte. Enfin il revient une dernière fois poser ses couilles sur ma bouche. Il souffle fort, il crie, son sexe se tend et un premier jet vient s'étaler sur toute la longueur d'un côté de ma tête, de mon cou jusque dans mes cheveux et au-delà sur le matelas. Je caresse ses fesses et ses hanches pendant qu'il continue de jouir. Cela m'est apaisant de voir se vider mon homme. Il dirige les autres jets un peu partout sur mon visage qu'il bouge avec sa main de droite à gauche, en fonction de ses envies...ou pour bien m'en mettre partout.
Je me surprend à m'entendre gémir pendant qu'il me salit. J'aime le sperme. Je devine que je suis couverte de foutre chaud, je le vois encore secouer sa queue au dessus de moi ou la presser pour bien tout me donner. Je suis son mouchoir. Puis son regard change et devient attendri, presque implorant un pardon. C'est mon homme. Il s'affale sur le lit. Après un passage par la salle d'eau, il dort. Je n'ai pas joui et déjà mon esprit se met à imaginer les assauts brutaux matinaux que voudra sans doute me donner mon mâle pour bien marquer son territoire, pour que je ne l'oublie pas de la journée. Comme si j'allais l'oublier...Alors que je passe ma journée à penser à la pipe que je vais lui faire quand il rentrera...Il n'y a rien de plus gratifiant que de savoir le bien que je fais à mon mec. De toute façon c'est automatique, mon homme ne quitte jamais la maison sans se vider les couilles. Je le savais et j'étais là pour ça à la base. Il y a différents rituels, mais d'une façon ou d'une autre je le soulage avant qu'il parte. Enfin je dors.
Au réveil, j'entends l'eau de la douche couler. J'aime les matins avec lui. D'habitude j'enfile juste un haut à la con, léger et court. Je sais que je lui plait quand j'ai l'air presque ridicule avec juste un tee-shrit qui me couvre le haut mais qui laisse largement à l'air mes fesses et mon sexe. Mais cette fois-ci je fais l'inverse, je passe uniquement le bas, un simple caleçon, et je le rejoins dans la salle de bain. Je le vois se savonner sous le jet, il est beau, lui et sa grosse queue. Je me demande ce que je vais devoir faire pour le soulager cette fois-ci. Mais il va vite me donner la réponse. Je suis devant le lavabo, face à l'immense miroir de la pièce et je le vois sortir de la baignoire. Je lui tend une serviette, j'aurais aimé le sécher mais il ne semble pas disposer à cela. Il se frotte puis vient derrière moi. Il me regarde dans le miroir. Ses mains se posent sur mon dos, mes hanches et je sens quelques baisers sur ma nuque. Je m'électrise. Puis il se saisit de mon caleçon et le fait lentement glisser jusqu'à mes chevilles. Ses bras soulèvent une à une mes jambes pour se débarrasser du vêtement. Quel moment délicieux. Ceux ou celles qui sont pris comprendront. Au sens propre comme au sens figuré, on est nu. Quand le dernier bout de tissu quitte votre peau, quand vous faites passer au-delà de vos jambes vos sous-vêtements, c'est à ce moment là que vous vous offrez. Vous donnez votre accord, à votre homme de disposer de vous. Et vous comme votre partenaire connaissez la suite.
La suite, mon homme s'y affaire, il continue ses caresses, il parcours mon dos et mon ventre avec ses mains. Il est toujours derrière moi. Soudain une main se porte derrière ma tête et la pousse vers l'avant. Cette fois, on y est, le mâle veut disposer de sa chose, il veut prendre sa femelle. Mais je suis trop près du miroir, ma tête va le heurter. Mon homme le sait, il le sait forcément. Alors je l'arrête, je fais quelques petits pas vers l'arrière, le faisant reculer avec mes fesses. J'en profite pour vaguement sentir son désir. Puis quand j'estime être à la bonne distance, je m'arrête, je le regarde à travers la glace et je me penche lentement vers l'avant comme il le désirait. Le geste est humiliant, presque avilissant mais le geste est aussi une supplication: "Allez vas-y, prends moi !". Mon homme a évidemment compris. Ses mains sont sur mes hanches, il admire ma cambrure. Il étend un à un mes bras le long du plan de travail, une de ses mains va chercher le gel posé à côté. Toujours ces gestes sûrs qui me rendent fébrile. Je sens du froid sur mes fesses, puis mon homme me masse avec un doigt, tendrement mais sûrement. Son doigt s'enfonce, ressort et revient me combler. Bientôt ce sera deux doigts. Mon homme me complimente sur mes dispositions. Je "mouille" pour lui. Il me doigte désormais avec 2 doigts. Moi je gémis, j'apprécie d'être un jouet, je savoure ses attentions. Je remue mes fesses pour le rendre fou. Et ça marche. Il retire ses doigts et approche son sexe. Il appuie sur mon anneau et s'enfonce progressivement. Il teste mes réactions. Mais je ne bronche pas, au contraire, je lui indique que c'est bon. Il est cette fois-ci complètement en moi. Il attend, alors je recommence mon manège, je bouge pour lui signifier d'y aller mais il reste calme, se retire lentement puis revient. Je peux bien savourer sa queue. Enfin il accélère le rythme mais ça reste très tendre. Ses mouvements sont amples, il veut me remplir complètement. Je le sens bien. Je souffle et je gémis sans le vouloir. Parfois il m'attrape les bras, les amène dans mon dos et m'encule avec des petits coups secs et rapides qui me font échapper des petits cris. Puis il reprend une sodomie plus profonde en me tenant fermement par les hanches. Il cherche à me donner du plaisir. Je prends véritablement mon pied lors de cette sodomie matinale. D'autant plus que mon homme est endurant. Enfin je sens ses coups de reins devenir plus brutaux, j'entends mon homme crier et je sens son plaisir se répandre en moi. Ses caresses se poursuivent, sur mon dos, ma nuque et mes hanches. Je me redresse, il se retire.
"Il est trop bon ton cul" lâche-t-il enfin.
Je m'entends lui répondre qu'il est à lui et fait pour lui. Je tourne légèrement la tête. Sa bouche cherche la mienne, je me laisse faire et me surprends à embrasser un homme et à aimer ça, sentir sa langue posséder ma bouche et me sentir lui appartenir totalement désormais. J'ose le lui montrer en levant le bras et en attrapant sa tête avec ma main. Toujours derrière moi, il tend une main vers mon sexe, qu'il saisit. C'est la première fois depuis longtemps qu'il me branle. Il le fait tout en me susurrant des choses à l'oreille, alternant mots d'amour et coquineries. Je me sens à sa merci comme jamais. La caresse est ferme, déterminée, presque mécanique, comme pour m'indiquer qu'il décide de mon plaisir. Il ne me faudra pas longtemps avant de me répandre à mon tour sur le lavabo et dans ses doigts. De nouveaux baisers et enfin nous nous lâchons. Je file sous la douche pendant qu'il finit de se préparer. Je suis déjà impatient d'être au soir, et le revoir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore
C'est superbe bravo et merci!!