Le Musée.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Musée.
Une belle journée s'annonçait. Ce matin le soleil brillait et commençait à chauffer, cela me donne l'envie d'aller au Jardin des Plantes à Paris, vous savez près de la gare d'Austerlitz.
Je pars, armé de bons sentiments pour me promener toute la journée.
Visiter un jardin sous le soleil, jardin bien entretenu avec mille espèces de fleurs était le bonheur pour moi qui est jardinier paysagiste. Je me promène le long des allées et admire toutes les belles plantations et floraisons, pas un jardinier en vue pour discuter.
Je continue mon chemin, commençant à délaisser les fleurs pour regarder les beaux mecs qui trainaient en ces lieux. Les fac pas loin attiraient de jeunes mecs qui semblaient bien ne pas être là uniquement que pour les fleurs. J'avais remarqué les regards s'échanger, les sourires sur les visages et les mecs qui se retrouvaient "par hasard" au détour d'un parterre pour partir ensemble vers d'autres cieux.
Alors je me suis mis à observer avec plus d'attention quand le temps à changer d'un coup. Tout c'est couvert de gros nuages noirs et de grosses gouttes ont commencé à se déverser. D'abord une par ci par là, puis en augmentant. Tout le monde se pressait sous les arbres pour s'abriter quand l'orage s'est déversé d'un seul coup. Tonnerre, éclairs et grosses gouttes qui se resserraient de plus en plus, les feuilles des arbres commençaient à ne plus vraiment nous abriter.
Je regarde aux alentours pour voir une grande pancarte : "grande galerie de l'évolution : ouvert" avec une flèche indiquant 20 mètres.
Je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai piqué un sprint dans la direction pour arriver devant la porte du musée où se pressait vraiment du monde car l'orage s'était installé et déversait toutes les larmes du ciel.
Je m'avance dans l'entrée, observe des panneaux expliquent que l'on est dans la galerie de l'évolution, des espèces exposées et qui sont naturalisées.
Un peu sceptique j'avance et je prends un billet pour entrer… et j'y est passé trois heures et je suis sûr que je n'ai pas tout vu.
Comment expliquer la beauté de cette exposition, le travail que cela représente. Mais j'étais subjugué et je lisais tous les panneaux et je prenais des photos du calmar géant par exemple qui est sublime et tous les animaux que la Terre, notre bonne vieille Terre supporte ou a supporté. Je m'intéressais à tout.
Je n'avais même pas vu que le soleil était revenu et que la salle se vidait de plus en plus.
J'admirais!
Le peu de gens que j'ai pu rencontré, je n'y ai jamais fait attention, mais au bout d'un moment je croisais et recroisais un jeune mec habillé d'une blouse grise comme une vieille blouse grise que portaient les élèves à l'école primaire, au siècle dernier.
Ce qui m'a fait le remarquer, c'est qu'il était tout le temps en face de moi juste derrière les animaux naturalisés et il me regardait!
Alors, bon vous ne me connaissez pas, mais je préfère quand même l'espèce vivante à l'espèce naturalisée. Je me suis intéressé à ce beau spécimen. Un mec, je dirais de 30 ans, donc vêtu de sa blouse grise, les mains dans les poches, me regardait, sourire aux lèvres. Un blond châtain court, bien peigné, des yeux clairs, un nez bien dessiné et de belles lèvres surmontant un léger duvet clair, il était assez grand, mince.
J'ai continué à faire celui qui ne l'avait pas vu, mais au lieu d'avoir mon regard sévère, je me suis mis à sourire et m'attarder auprès des animaux, me déplaçant toujours dans sa direction.
J'ai réussi à me retrouver à côté de lui pour l'observer directement avec le sourire.
-c'est vraiment magnifique tout ça mais je préfère quand même les espèces vivantes dis-je en le fixant.
-bien sûr dit-il mais la naturalisation des animaux disparus permet justement de ne pas perdre l'image d'eux et de pouvoir ainsi les admirer pendant les siècles à venir.
-les siècles! ça fait long tout ça.
Il rit.
-oui bien sûr, mais regardez certains animaux cela fait plusieurs millénaires qu'ils ont existé.
Et il a parlé, parlé, parlé. J'ai pensé qu'il allait me souler, mais non, il était passionnant, beau. Ses yeux bleus pétillaient, quand il parlait, il passait sa langue sur ses belles lèvres, il m'a entrainé dans les étages m'expliquant beaucoup de choses que je ne vais pas vous dire ici rassurez vous!
Je n'avais même pas besoin de poser des questions, lorsqu'il voyait que je m'approchais d'un animal, il avait une anecdote.
Lorsque nous sommes arrivés dans la galerie des poissons, c'était très beau mais moins passionnant pour moi que les autres galeries. Il a du s'en rendre compte car il parlait moins et semblait un peu déçu.
Alors j'ai relancé la machine et je lui ai posé plein de questions sur son boulot, ce qu'il faisait ici.
Ses yeux se sont remis à briller.
-si tu as le temps je te montre où je travaille et ce que je fais dit-il.
Il était passé au tutoiement assez rapidement.
-avec plaisir.
On a tourné, viré à travers tous les animaux, pour passer une porte, fermée à clé et il m'a emmené dans l'arrière décor du musée.
Il y avait une odeur bizarre, comme si on était dans un hôpital. Il avançait en parlant toujours et on avait rencontré personne. Sans avoir peur je commençais quand même à flipper un peu et si j'étais tombé sur un maniaque qui attirait les touristes pour les naturaliser dans son laboratoire.
Idiot, pensais je, ça se saurait si des touristes avaient disparu dans ce musée!
Et on est arrivé dans son laboratoire, ça sentait encore plus fort. Je lui ai fait remarquer.
-oui dit-il ici je fais les finitions sur les animaux alors il me faut beaucoup de produits.
Il s'était tourné vers, moi, appuyé sur son établi. Il me fixait de ses beaux yeux bleus, les mains toujours dans ses poches, un silence s'était instauré.
-tu amènes souvent des visiteurs dans ton labo ? dis-je tout sourire.
-seulement ceux qui me plaisent dit-il en s'approchant de moi.
-pour les naturaliser ?
-oui... et il fait une pause en me fixant pour voir ma réaction, mais uniquement avec ma queue beau mec!
On a éclaté de rire ensemble en se jetant dans nos bras. Sa bouche s'est emparée de la mienne, sa langue entrait déjà dans ma bouche et jouait avec la mienne, je sentais son souffle sortir par son nez et se mélanger au mien. Les mains caressaient les corps. Moi j'avais un tee-shirt, il n'a pas peiné à glisser ses mains dessous, me caresser le dos, ses mains étaient douces, chaudes et ses caresses très agréables. Moi je caressais la blouse!
On s'est dessoudé pour qu'il puisse retirer cette maudite blouse. Je lui ai enlevé son tee-shirt jaune vif! un torse magnifique, des tétons proéminents pointaient au milieu de leurs aréoles brunes. Mes lèvres se sont posées dessus pour les sucer, les lécher, les téter et avec deux doigts je les triturais gentiment le faisant gémir de plus en plus fort.
Il s'est occupé de mes tétons de la même façon, ses lèvres étaient douces et sa langue très agile.
Il est revenu sur mes lèvres, nos torses se frottaient l'un contre l'autre, les tétons s'écrasaient les uns sur les autres, sa peau était douce et chaude, un vrai régal ce beau mec.
Nos bassins se frottaient, je sentais son sexe bandé cogner le mien par dessus les jeans.
Mes mains ont ausculté son petit cul. Ses mains sont venues se poser sur le mien, on se serrait l'un contre l'autre et nos langues semblaient collées entre elles!
On entendait que les souffles et nos gémissements.
Il est tombé à genoux devant moi, ouvrant mon ceinturon et faisant tomber mon jean à mes pieds. Ses mains parcouraient mon boxer, caressant timidement ma queue à travers le tissu puis c'est sa bouche qui est venu se poser dessus. J'ai senti son souffle chaud, ses lèvres envelopper la hampe et descendre vers le gland qui s'humidifiait de plus en plus. Il mordillait gentiment le gland, ses mains se sont saisies du boxer pour le descendre et libérer ma belle queue qui s'étire au dessus de son visage, juste de la bouche au front.
Il avait mes couilles sur ses lèvres. Il a les léché, gobé, sucé, avalé, elles étaient inondées de salive et sa langue est remontée sous la hampe jusqu'au gland qui était à moitié décalotté. Sa main a fait le travail pour le faire sortir, sa langue a léché la mouille qui s'écoulait du méat me faisant sursauter et ma queue a disparu dans sa bouche immédiatement enveloppée de ses belles lèvres, la langue qui la caressait.
Je la sentais progresser dans sa bouche, lentement comme s'il la dégustait, l'appréciait, jusqu'à ce que ses lèvres disparaissent dans mes poils pubiens ma queue noyée dans sa salive et je me suis fait piper comme un chef. Il mettait tout son cœur à l'ouvrage. J'avais posé mes mains sur sa tête et je me laissais faire en gémissant. Je sentais que le plaisir allait arriver et il s'est mis à accélérer ses mouvements. Ses lèvres enveloppaient bien la hampe et j'ai senti le bon jus arriver, monter dans la tige et inonder son palais en de nombreuses giclées. Il avait fermé les yeux, ne bougeait plus et avalait les rasades les unes après les autres jusqu'à ce que la source soit tarie.
J'allais le relever pour lui rendre la pareille. La bouche fermée, sans un mot, il me fait me tourner pour que je lui présente mes belles fesses.
Il appuie sur mon dos, j'écarte le plus possible mes jambes, me penche en avant, je sens mes fesses être écartées par deux mains chaudes et je l'entends cracher dans mon cul et léché mon anus.
Il avait gardé du sperme en bouche et me tartinait la raie avec. Je le laissais faire bien sûr, sa bonne langue était très agréable qu'il a vite remplacée par un doigt pour m'ouvrir encore plus. Je le sentais me fouiller l'intérieur, tournant, caressant la paroi et touchant de temps à autre la prostate ce qui me faisait gémir encore plus. Il a vite mis deux doigts et je me suis fait doigter le cul bien profond, avec toujours un petit passage sur la prostate qui me faisait encore gémir.
Il doigtait, tournait dans mon petit cul qui s'ouvrait maintenant de plus en plus. Ses lèvres sont revenues, sa langue est allée profond, il a remis ses doigts, je l'ai vu se relever. J'ai entendu le ceinturon s'ouvrir, j'ai vu le jean tomber à ses pieds. Les doigts se sont retirés, mon trou reste ouvert et je sens qu'il est vite comblé par son sexe qui se pose sur l'entrée, ses mains se saisissent de mes hanches et me tirent à lui.
Sa queue ouvre mon trou de plus en plus, il me tire toujours à lui, ça force, une douleur annale arrive. Je crie doucement, il s'arrête, je soupire. Il force d'un coup de reins faisant passer son gland. Mon sphincter se referme sur sa queue, ses mains caressent mon dos et mes fesses, et sa queue s'enfonce dans mon cul. Je la sens m'ouvrir le conduit, putain qu'elle morceau ce doit être! et je sens enfin ses poils caresser mes fesses. Il marque une halte, il doit savourer mon cul.
Je sens sa queue palpiter, bouger en moi, ses mains parcourent mon corps, mes fesses, les claquent doucement puis de plus en plus fort jusqu'à me ressaisirent les hanches, sortir un peu sa queue et la rentrer d'un seul coup bien au fond m'arrachant un grand cri et la machine se met en marche. J'ai les épaules de caler sur son établi et le marteau piqueur automatique est lancé, putain de coups de reins le mec! sa queue entre et sort presque complètement et revient bien au fond. Je gémis, je râle. Il claque mon cul plus durement, je l'entends marmonner que je suis une bonne chienne avec un bon cul!
Je tends bien mon cul, je lui offre! et je suis comblé, vraiment comblé jusqu'au moment où il se bloque en me tenant les hanches de ses mains crispées et j'aurais aimé voir les giclées sortir de sa queue car je suis inondé avec force. Je sens ce bon liquide chaud m'envahir, me remplir et il n'arrête pas. Les giclées se suivent jusqu'au moment où il tombe sur mon dos, je sens ses lèvres sur le bas de ma nuque, il me fait plein de petits bisous. Je sens son souffle chaud.
Sa queue sort délicatement de mon cul, on se redresse, il me retourne, me prend dans ses bras.
-j'avais pas baisé depuis plusieurs jours tu sais dit-il comme s'il s'excusait, et, quand je t'ai vu dans la galerie, j'ai eu envie de toi de suite.
J'ai pas eu le temps de répondre qu'il m'embrassait en fermant les yeux.
On s'est caressé amoureusement, les baisers n'arrêtaient plus, les corps se frottaient encore, je sentais ma queue s'allonger et durcir en se frottant sur la sienne qui avait repris forme.
-t'aurais pas envie de mon cul par hasard ? demande-t-il en me souriant.
-avec plaisir si je peux goûter et voir ta belle queue.
-mon corps est à toi, fais ce que tu veux! je t'autorise tout ce que tu veux.
Ses lèvres sont revenues sur les miennes, sa langue mélangée à la mienne, nos bites se frottaient.
Et je me suis retrouvé à genoux devant lui pour reproduire son bon scénario. J'ai enfin pu voir et toucher la grosse queue de mon naturaliste, putain quel engin d'une beauté insolente! longue et droite, bien ronde, épaisse au gland proéminent, au méat bien ouvert et ses beaux poils blonds qui laissaient sortir cette belle queue.
Je me suis délecté. J'ai pris mon temps pour en profiter, belle et bonne. Les grosses couilles se laissaient avaler, sucer. J'ai léché la hampe dans tous les coins et recoins. Il bandait dur! et plusieurs fois sa queue a tressaillit comme si elle allait donner son jus. J'arrêtais, je l'entendais soupirer, souffler et je reprenais.
Lorsque j'ai senti le gland durcir et la queue se redresser encore plus, que la mouille arrivait avec abondance, avant la première giclée je voulais voir ce jus sortir de cette belle queue. Je l'ai sortie de ma bouche au moment où la première giclée arrivait, je l'ai vue passer au dessus de mon visage pour retomber dessus du front au menton. Je l'entendais gémir. J'ai remis la queue dans ma bouche pour l'arrivée des autres giclées et j'ai été servi. Son sperme avait bon goût.
Je sentais son sperme couler partout sur mon visage.
Il se tourne de lui même pour me présenter ses fesses, se penche tout seul en avant, ouvre bien ses jambes et ses fesses avec ses mains, un bel anus rose est là déjà presqu'ouvert. Avec mon doigt je récupère le sperme sur mon visage et je le pose sur son anus en frottant. Je tartine, je fore, mon doigt est avalé. J'ouvre encore plus ses fesses et je viens lécher ce bel anus chaud.
Le trou est bien ouvert, je me redresse vite fait, ma queue bien raide est déjà toute décalottée et le gland humide est prêt. J'ai juste à le poser sur l'anus, qu'il recule ses fesses dessus et ma queue est avalée par ce cul gourmand. Je sens son sphincter épouser mon gland en le serrant, le gland entre et sans s'arrêter s'enfonce en lui. Son conduit est chaud, humide, doux… un vrai bonheur! je m'enfonce en lui facilement. Je le saisi aux hanches et mes poils arrivent sur ses fesses, je l'entends gémir en marmonnant.
Je le laisse respirer et je l'imite dans le marteau piqueur. Ma queue coulisse comme dans un étui et lui gueule de plus en plus fort, mais on s'en fout et je le baise avec force. Nos couilles se frappent. Quand je sens le plaisir arriver je ralentis, j'ai envie que cela dure longtemps et il n'a pas l'air contre si bien que chacun prend son plaisir et quand la sève arrive, c'est avec force qu'elle gicle et inonde le palais culier de mon naturaliste.
On est essoufflé tous les deux. Il a posé son torse sur son établi, je suis allongé sur son dos, ma queue toujours en lui et je sens son sphincter se serrer autour de ma queue qui ne débande pas.
Je l'embrasse dans le dos. Il tourne la tête, sourire aux lèvres.
Je me détache de lui avec regret et on se retrouve dans les bras l'un de l'autre.
Un long moment de baisers, de caresses, de tendresses.
Je regarde l'heure… cela fait plus de trois heures que je suis au musée!!
-tu fais quoi ce soir ? me demande-t-il serré dans mes bras.
-je vais rentrer chez moi, pourquoi ? dis-je du ton le plus innocent possible.
-parce qu'il m'arrive de donner des cours de naturalisme à domicile le soir.
-oh mais faut que tu amènes plein de matériel alors.
-les premiers cours c'est pas la peine dit-il en riant, alors si tu veux venir ce soir chez moi je serais heureux de te recevoir et de t'accueillir pour continuer cette discussion.
-donc c'est une invitation ?
-bien sûr dit-il sérieusement, tu fais quoi comme boulot toi ?
-moi je suis jardinier paysagiste..
-on est fait pour s'entendre alors, on parle de "nature" dans nos deux boulots!
On a rigolé en s'embrassant encore une fois.
Je pars, armé de bons sentiments pour me promener toute la journée.
Visiter un jardin sous le soleil, jardin bien entretenu avec mille espèces de fleurs était le bonheur pour moi qui est jardinier paysagiste. Je me promène le long des allées et admire toutes les belles plantations et floraisons, pas un jardinier en vue pour discuter.
Je continue mon chemin, commençant à délaisser les fleurs pour regarder les beaux mecs qui trainaient en ces lieux. Les fac pas loin attiraient de jeunes mecs qui semblaient bien ne pas être là uniquement que pour les fleurs. J'avais remarqué les regards s'échanger, les sourires sur les visages et les mecs qui se retrouvaient "par hasard" au détour d'un parterre pour partir ensemble vers d'autres cieux.
Alors je me suis mis à observer avec plus d'attention quand le temps à changer d'un coup. Tout c'est couvert de gros nuages noirs et de grosses gouttes ont commencé à se déverser. D'abord une par ci par là, puis en augmentant. Tout le monde se pressait sous les arbres pour s'abriter quand l'orage s'est déversé d'un seul coup. Tonnerre, éclairs et grosses gouttes qui se resserraient de plus en plus, les feuilles des arbres commençaient à ne plus vraiment nous abriter.
Je regarde aux alentours pour voir une grande pancarte : "grande galerie de l'évolution : ouvert" avec une flèche indiquant 20 mètres.
Je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai piqué un sprint dans la direction pour arriver devant la porte du musée où se pressait vraiment du monde car l'orage s'était installé et déversait toutes les larmes du ciel.
Je m'avance dans l'entrée, observe des panneaux expliquent que l'on est dans la galerie de l'évolution, des espèces exposées et qui sont naturalisées.
Un peu sceptique j'avance et je prends un billet pour entrer… et j'y est passé trois heures et je suis sûr que je n'ai pas tout vu.
Comment expliquer la beauté de cette exposition, le travail que cela représente. Mais j'étais subjugué et je lisais tous les panneaux et je prenais des photos du calmar géant par exemple qui est sublime et tous les animaux que la Terre, notre bonne vieille Terre supporte ou a supporté. Je m'intéressais à tout.
Je n'avais même pas vu que le soleil était revenu et que la salle se vidait de plus en plus.
J'admirais!
Le peu de gens que j'ai pu rencontré, je n'y ai jamais fait attention, mais au bout d'un moment je croisais et recroisais un jeune mec habillé d'une blouse grise comme une vieille blouse grise que portaient les élèves à l'école primaire, au siècle dernier.
Ce qui m'a fait le remarquer, c'est qu'il était tout le temps en face de moi juste derrière les animaux naturalisés et il me regardait!
Alors, bon vous ne me connaissez pas, mais je préfère quand même l'espèce vivante à l'espèce naturalisée. Je me suis intéressé à ce beau spécimen. Un mec, je dirais de 30 ans, donc vêtu de sa blouse grise, les mains dans les poches, me regardait, sourire aux lèvres. Un blond châtain court, bien peigné, des yeux clairs, un nez bien dessiné et de belles lèvres surmontant un léger duvet clair, il était assez grand, mince.
J'ai continué à faire celui qui ne l'avait pas vu, mais au lieu d'avoir mon regard sévère, je me suis mis à sourire et m'attarder auprès des animaux, me déplaçant toujours dans sa direction.
J'ai réussi à me retrouver à côté de lui pour l'observer directement avec le sourire.
-c'est vraiment magnifique tout ça mais je préfère quand même les espèces vivantes dis-je en le fixant.
-bien sûr dit-il mais la naturalisation des animaux disparus permet justement de ne pas perdre l'image d'eux et de pouvoir ainsi les admirer pendant les siècles à venir.
-les siècles! ça fait long tout ça.
Il rit.
-oui bien sûr, mais regardez certains animaux cela fait plusieurs millénaires qu'ils ont existé.
Et il a parlé, parlé, parlé. J'ai pensé qu'il allait me souler, mais non, il était passionnant, beau. Ses yeux bleus pétillaient, quand il parlait, il passait sa langue sur ses belles lèvres, il m'a entrainé dans les étages m'expliquant beaucoup de choses que je ne vais pas vous dire ici rassurez vous!
Je n'avais même pas besoin de poser des questions, lorsqu'il voyait que je m'approchais d'un animal, il avait une anecdote.
Lorsque nous sommes arrivés dans la galerie des poissons, c'était très beau mais moins passionnant pour moi que les autres galeries. Il a du s'en rendre compte car il parlait moins et semblait un peu déçu.
Alors j'ai relancé la machine et je lui ai posé plein de questions sur son boulot, ce qu'il faisait ici.
Ses yeux se sont remis à briller.
-si tu as le temps je te montre où je travaille et ce que je fais dit-il.
Il était passé au tutoiement assez rapidement.
-avec plaisir.
On a tourné, viré à travers tous les animaux, pour passer une porte, fermée à clé et il m'a emmené dans l'arrière décor du musée.
Il y avait une odeur bizarre, comme si on était dans un hôpital. Il avançait en parlant toujours et on avait rencontré personne. Sans avoir peur je commençais quand même à flipper un peu et si j'étais tombé sur un maniaque qui attirait les touristes pour les naturaliser dans son laboratoire.
Idiot, pensais je, ça se saurait si des touristes avaient disparu dans ce musée!
Et on est arrivé dans son laboratoire, ça sentait encore plus fort. Je lui ai fait remarquer.
-oui dit-il ici je fais les finitions sur les animaux alors il me faut beaucoup de produits.
Il s'était tourné vers, moi, appuyé sur son établi. Il me fixait de ses beaux yeux bleus, les mains toujours dans ses poches, un silence s'était instauré.
-tu amènes souvent des visiteurs dans ton labo ? dis-je tout sourire.
-seulement ceux qui me plaisent dit-il en s'approchant de moi.
-pour les naturaliser ?
-oui... et il fait une pause en me fixant pour voir ma réaction, mais uniquement avec ma queue beau mec!
On a éclaté de rire ensemble en se jetant dans nos bras. Sa bouche s'est emparée de la mienne, sa langue entrait déjà dans ma bouche et jouait avec la mienne, je sentais son souffle sortir par son nez et se mélanger au mien. Les mains caressaient les corps. Moi j'avais un tee-shirt, il n'a pas peiné à glisser ses mains dessous, me caresser le dos, ses mains étaient douces, chaudes et ses caresses très agréables. Moi je caressais la blouse!
On s'est dessoudé pour qu'il puisse retirer cette maudite blouse. Je lui ai enlevé son tee-shirt jaune vif! un torse magnifique, des tétons proéminents pointaient au milieu de leurs aréoles brunes. Mes lèvres se sont posées dessus pour les sucer, les lécher, les téter et avec deux doigts je les triturais gentiment le faisant gémir de plus en plus fort.
Il s'est occupé de mes tétons de la même façon, ses lèvres étaient douces et sa langue très agile.
Il est revenu sur mes lèvres, nos torses se frottaient l'un contre l'autre, les tétons s'écrasaient les uns sur les autres, sa peau était douce et chaude, un vrai régal ce beau mec.
Nos bassins se frottaient, je sentais son sexe bandé cogner le mien par dessus les jeans.
Mes mains ont ausculté son petit cul. Ses mains sont venues se poser sur le mien, on se serrait l'un contre l'autre et nos langues semblaient collées entre elles!
On entendait que les souffles et nos gémissements.
Il est tombé à genoux devant moi, ouvrant mon ceinturon et faisant tomber mon jean à mes pieds. Ses mains parcouraient mon boxer, caressant timidement ma queue à travers le tissu puis c'est sa bouche qui est venu se poser dessus. J'ai senti son souffle chaud, ses lèvres envelopper la hampe et descendre vers le gland qui s'humidifiait de plus en plus. Il mordillait gentiment le gland, ses mains se sont saisies du boxer pour le descendre et libérer ma belle queue qui s'étire au dessus de son visage, juste de la bouche au front.
Il avait mes couilles sur ses lèvres. Il a les léché, gobé, sucé, avalé, elles étaient inondées de salive et sa langue est remontée sous la hampe jusqu'au gland qui était à moitié décalotté. Sa main a fait le travail pour le faire sortir, sa langue a léché la mouille qui s'écoulait du méat me faisant sursauter et ma queue a disparu dans sa bouche immédiatement enveloppée de ses belles lèvres, la langue qui la caressait.
Je la sentais progresser dans sa bouche, lentement comme s'il la dégustait, l'appréciait, jusqu'à ce que ses lèvres disparaissent dans mes poils pubiens ma queue noyée dans sa salive et je me suis fait piper comme un chef. Il mettait tout son cœur à l'ouvrage. J'avais posé mes mains sur sa tête et je me laissais faire en gémissant. Je sentais que le plaisir allait arriver et il s'est mis à accélérer ses mouvements. Ses lèvres enveloppaient bien la hampe et j'ai senti le bon jus arriver, monter dans la tige et inonder son palais en de nombreuses giclées. Il avait fermé les yeux, ne bougeait plus et avalait les rasades les unes après les autres jusqu'à ce que la source soit tarie.
J'allais le relever pour lui rendre la pareille. La bouche fermée, sans un mot, il me fait me tourner pour que je lui présente mes belles fesses.
Il appuie sur mon dos, j'écarte le plus possible mes jambes, me penche en avant, je sens mes fesses être écartées par deux mains chaudes et je l'entends cracher dans mon cul et léché mon anus.
Il avait gardé du sperme en bouche et me tartinait la raie avec. Je le laissais faire bien sûr, sa bonne langue était très agréable qu'il a vite remplacée par un doigt pour m'ouvrir encore plus. Je le sentais me fouiller l'intérieur, tournant, caressant la paroi et touchant de temps à autre la prostate ce qui me faisait gémir encore plus. Il a vite mis deux doigts et je me suis fait doigter le cul bien profond, avec toujours un petit passage sur la prostate qui me faisait encore gémir.
Il doigtait, tournait dans mon petit cul qui s'ouvrait maintenant de plus en plus. Ses lèvres sont revenues, sa langue est allée profond, il a remis ses doigts, je l'ai vu se relever. J'ai entendu le ceinturon s'ouvrir, j'ai vu le jean tomber à ses pieds. Les doigts se sont retirés, mon trou reste ouvert et je sens qu'il est vite comblé par son sexe qui se pose sur l'entrée, ses mains se saisissent de mes hanches et me tirent à lui.
Sa queue ouvre mon trou de plus en plus, il me tire toujours à lui, ça force, une douleur annale arrive. Je crie doucement, il s'arrête, je soupire. Il force d'un coup de reins faisant passer son gland. Mon sphincter se referme sur sa queue, ses mains caressent mon dos et mes fesses, et sa queue s'enfonce dans mon cul. Je la sens m'ouvrir le conduit, putain qu'elle morceau ce doit être! et je sens enfin ses poils caresser mes fesses. Il marque une halte, il doit savourer mon cul.
Je sens sa queue palpiter, bouger en moi, ses mains parcourent mon corps, mes fesses, les claquent doucement puis de plus en plus fort jusqu'à me ressaisirent les hanches, sortir un peu sa queue et la rentrer d'un seul coup bien au fond m'arrachant un grand cri et la machine se met en marche. J'ai les épaules de caler sur son établi et le marteau piqueur automatique est lancé, putain de coups de reins le mec! sa queue entre et sort presque complètement et revient bien au fond. Je gémis, je râle. Il claque mon cul plus durement, je l'entends marmonner que je suis une bonne chienne avec un bon cul!
Je tends bien mon cul, je lui offre! et je suis comblé, vraiment comblé jusqu'au moment où il se bloque en me tenant les hanches de ses mains crispées et j'aurais aimé voir les giclées sortir de sa queue car je suis inondé avec force. Je sens ce bon liquide chaud m'envahir, me remplir et il n'arrête pas. Les giclées se suivent jusqu'au moment où il tombe sur mon dos, je sens ses lèvres sur le bas de ma nuque, il me fait plein de petits bisous. Je sens son souffle chaud.
Sa queue sort délicatement de mon cul, on se redresse, il me retourne, me prend dans ses bras.
-j'avais pas baisé depuis plusieurs jours tu sais dit-il comme s'il s'excusait, et, quand je t'ai vu dans la galerie, j'ai eu envie de toi de suite.
J'ai pas eu le temps de répondre qu'il m'embrassait en fermant les yeux.
On s'est caressé amoureusement, les baisers n'arrêtaient plus, les corps se frottaient encore, je sentais ma queue s'allonger et durcir en se frottant sur la sienne qui avait repris forme.
-t'aurais pas envie de mon cul par hasard ? demande-t-il en me souriant.
-avec plaisir si je peux goûter et voir ta belle queue.
-mon corps est à toi, fais ce que tu veux! je t'autorise tout ce que tu veux.
Ses lèvres sont revenues sur les miennes, sa langue mélangée à la mienne, nos bites se frottaient.
Et je me suis retrouvé à genoux devant lui pour reproduire son bon scénario. J'ai enfin pu voir et toucher la grosse queue de mon naturaliste, putain quel engin d'une beauté insolente! longue et droite, bien ronde, épaisse au gland proéminent, au méat bien ouvert et ses beaux poils blonds qui laissaient sortir cette belle queue.
Je me suis délecté. J'ai pris mon temps pour en profiter, belle et bonne. Les grosses couilles se laissaient avaler, sucer. J'ai léché la hampe dans tous les coins et recoins. Il bandait dur! et plusieurs fois sa queue a tressaillit comme si elle allait donner son jus. J'arrêtais, je l'entendais soupirer, souffler et je reprenais.
Lorsque j'ai senti le gland durcir et la queue se redresser encore plus, que la mouille arrivait avec abondance, avant la première giclée je voulais voir ce jus sortir de cette belle queue. Je l'ai sortie de ma bouche au moment où la première giclée arrivait, je l'ai vue passer au dessus de mon visage pour retomber dessus du front au menton. Je l'entendais gémir. J'ai remis la queue dans ma bouche pour l'arrivée des autres giclées et j'ai été servi. Son sperme avait bon goût.
Je sentais son sperme couler partout sur mon visage.
Il se tourne de lui même pour me présenter ses fesses, se penche tout seul en avant, ouvre bien ses jambes et ses fesses avec ses mains, un bel anus rose est là déjà presqu'ouvert. Avec mon doigt je récupère le sperme sur mon visage et je le pose sur son anus en frottant. Je tartine, je fore, mon doigt est avalé. J'ouvre encore plus ses fesses et je viens lécher ce bel anus chaud.
Le trou est bien ouvert, je me redresse vite fait, ma queue bien raide est déjà toute décalottée et le gland humide est prêt. J'ai juste à le poser sur l'anus, qu'il recule ses fesses dessus et ma queue est avalée par ce cul gourmand. Je sens son sphincter épouser mon gland en le serrant, le gland entre et sans s'arrêter s'enfonce en lui. Son conduit est chaud, humide, doux… un vrai bonheur! je m'enfonce en lui facilement. Je le saisi aux hanches et mes poils arrivent sur ses fesses, je l'entends gémir en marmonnant.
Je le laisse respirer et je l'imite dans le marteau piqueur. Ma queue coulisse comme dans un étui et lui gueule de plus en plus fort, mais on s'en fout et je le baise avec force. Nos couilles se frappent. Quand je sens le plaisir arriver je ralentis, j'ai envie que cela dure longtemps et il n'a pas l'air contre si bien que chacun prend son plaisir et quand la sève arrive, c'est avec force qu'elle gicle et inonde le palais culier de mon naturaliste.
On est essoufflé tous les deux. Il a posé son torse sur son établi, je suis allongé sur son dos, ma queue toujours en lui et je sens son sphincter se serrer autour de ma queue qui ne débande pas.
Je l'embrasse dans le dos. Il tourne la tête, sourire aux lèvres.
Je me détache de lui avec regret et on se retrouve dans les bras l'un de l'autre.
Un long moment de baisers, de caresses, de tendresses.
Je regarde l'heure… cela fait plus de trois heures que je suis au musée!!
-tu fais quoi ce soir ? me demande-t-il serré dans mes bras.
-je vais rentrer chez moi, pourquoi ? dis-je du ton le plus innocent possible.
-parce qu'il m'arrive de donner des cours de naturalisme à domicile le soir.
-oh mais faut que tu amènes plein de matériel alors.
-les premiers cours c'est pas la peine dit-il en riant, alors si tu veux venir ce soir chez moi je serais heureux de te recevoir et de t'accueillir pour continuer cette discussion.
-donc c'est une invitation ?
-bien sûr dit-il sérieusement, tu fais quoi comme boulot toi ?
-moi je suis jardinier paysagiste..
-on est fait pour s'entendre alors, on parle de "nature" dans nos deux boulots!
On a rigolé en s'embrassant encore une fois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est bien bon un calippo à déguster même à l'ombre ! Merci le livredejeremie, c'est moi qui vais fondre maintenant...
bonne journée
bonne journée
Je suis trop une petite tafiole romantique, une histoire de sexe assez tendre et respectueux, de plaisir partagé, de petits bisous, et je fonds comme un calippo au soleil. Du coup, le shoot de dopamine au cerveau est quasi assuré rien qu’à lire ton pseudo sur un post (pour le gag, IRL, je connais un Nicolas Til***, qui ne penserait jamais à ce genre de scénario, lui, mais bon…)
Bref-bref-bref, bon moment de lecture ;)
Bref-bref-bref, bon moment de lecture ;)