Le Neveu
Récit érotique écrit par Raunchy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Neveu
Bonjour, je suis Pierre, j'ai 38 ans et je suis marié à ma femme Célia depuis presque quinze ans, et nous avons une fille de 10 ans. Je suis hétérosexuel, enfin je crois... J'ai eu quelques écarts que je vais vous raconter. Ce site m'a l'air approprié pour en parler sans être jugé.
Je voudrais commencer par dire que je n'avais jusque là jamais manqué de respect à ma chère et tendre : je ne l'ai jamais trompée, même si j'ai déjà eu de nombreuses occasions de le faire. Je travaille dans un bureau où beaucoup de femmes me disent être à leur goût. Je suis plutôt beau garçon, en tout cas c'est ce qu'elles disent, et je fais beaucoup de sport, avec ma femme d'ailleurs. Nous courrons souvent et je dois dire que si on ne la connaît pas, on ne croirait jamais qu'elle a eu notre premier bébé il y a dix ans. J'ai aussi pratiqué le rugby jusqu'à mes 25 ans. Je suis plutôt costaud on va dire.
Nous vivons en province, vers Bayonne, et comme nous avons la chance d'avoir une grande maison, il nous arrive d'inviter des amis ou de la famille à passer se reposer dans notre belle région. Il y a deux mois en juin, Célia a proposé à Thomas, son neveu, le fils de son frère, de descendre passer une partie de l'été chez nous, car ne l'avait pas vu depuis un long moment.
Il a débarqué fin juin 2014. Je ne l'ai pas reconnu. La dernière fois que j'avais vu sa bouille, il devait entrer au collège. Là, il venait d'avoir son bac et disait vouloir intégrer une prépa. Il avait tellement changé, tellement grandi. Finie la puberté et ses boutons disgracieux. J'avais face à moi un jeune homme prêt à croquer la vie. Je me sentais un peu fier, même si je n'avais rien eu à voir dans son éducation. Il avait beaucoup mûri aussi : il faisait presque ma taille et avait une stature imposante pour son âge. Sa barbe était également répartie sur son visage.
On a passé l'après-midi à discuter dans notre jardin, il s'est même un peu occupé de notre fille en jouant avec elle. Je n'ai pas de neveu ni de petit frère, mais j'avais envie de le prendre sous mon aile. Je lui ai donc proposé de s'occuper avec moi du barbecue de ce soir. Il accepta avec plaisir. Tout se déroule bien, je vois qu'il sait exactement ce qu'il fait avec le charbon et le feu. Il me dit alors qu'il en fait parfois avec ses amis. L'heure du dîner approche, et des amis que nous avions invités commencent à arriver. Il est complètement à l'aise et fait honneur à sa tante.
Les jours passent et tout se déroule parfaitement. Ce samedi matin, ma femme et ma fille se rendent en ville pour la journée. Je me dis que j'en profiterai pour montrer les alentours à Thomas, histoire de lui montrer la région. Il est 10 heures et je monte dans sa chambre. Je tape à la porte. J'insiste un peu car il ne répond pas. 20 secondes plus tard, il m'ouvre enfin, en caleçon. Je suis un peu surpris et désolé de le voir comme ça.
Excuse-moi, je pensais que tu étais levé. Tout va bien ?
Son visage était rouge car il se frottait encore les yeux, il venait véritablement de se réveiller. Il tenait à peine debout. Mes yeux ont balayé son corps. Il était plutôt bien développé. Quelques poils se battaient sur son torse légèrement bronzé et ses pectoraux étaient entraînés. Ses jambes étaient au contraire très velues. Ce n'était plus un adolescent. Loin de là.
Oui ça va, mon corps est en mode vacances, là, il faut que je m'ajuste...
Oh, aucun souci, tu peux aller te recoucher, t'es là pour te reposer, n'oublie pas !
C'est pas grave, je dormirai plus tard !
Comme tu veux, souhaites déjeuner ?
Je dirais pas non à un café !
Ça marche !
J'étais un peu troublé, je dois bien l'admettre. Il me suivait dans le couloir puis l'escalier jusqu'à la cuisine. Je lance la cafetière et il s'assoit dans le canapé du salon. Il ne s'est pas habillé. Je l'observais, que dis-je, je le matais alors qu'il s'éveillait encore. Son visage se tourne vers moi et je fais mine de regarder ailleurs. Je lui apporte son café et nous discutons. Je le scrute de plus en plus intensément, et je remarque sa barbe qui a poussé depuis. Il est charmant. À l'occasion, il se gratte le torse, la tête... Des pensées étranges traversent mon esprit. Est-ce qu'il m'exciterait ? Non, c'est des conneries. C'est mon neveu qui plus est. Du calme. Il finit son café et part se vêtir. Il avait enfilé un short marron et un polo blanc. Je n'arrivais pas à retirer les images tordues que j'avais dans la tête depuis ce matin. Je lui propose alors la balade à laquelle j'avais pensé plus tôt. Il accepte et nous partons aussitôt. En marchant, je ne puis m'empêcher de regarder ses fesses galbées dans son short à peine moulant. Elles me donnaient étrangement envie. J'avais peur de commencer à bander de façon incontrôlable. J'avais un jean assez serré au niveau des fesses, comme ma femme aime que je mette. Elle dit que ça fait « ressortir tous mes atouts », je pense qu'elle veut dire qu'elle aime bien mon cul et mon paquet. Mais laissez-moi vous dire que si je bande là-dedans, je suis grillé à des kilomètres. J'essaye de nous changer les idées en parlant de sa future prépa à Paris, loin du sexe. Mais pendant la promenade, il s'arrête à plusieurs reprises pour prendre des photos avec son téléphone. Je ne sais jamais où me mettre dans ces moments. Du coup je le regarde quand il s'accroupit ou quand il essaye de grimper à un arbre pour prendre un beau panorama des dunes au loin. C'est trop pour moi. Cela fait maintenant une bonne heure que nous marchons et je lui demande s'il veut rentrer. Il me dit qu'il commence à avoir faim. Un peu soulagé, nous faisons demi-tour.
Une fois à la maison, je me mets à faire la cuisine. Un truc simple. Soudain j'entends la voix de Thomas depuis l'extérieur. Il m'appelle.
Qu'y a-t-il, Thomas ?
Je ne voyais personne dans le jardin. Je regarde absolument partout, toujours personne. Je me mets au centre et le rappelle à mon tour. De nulle part je me prends un jet d'eau froide dans le dos. Ce petit malin s'était caché pour pouvoir m'arroser avec le tuyau. Mon dos et mon cul sont trempés. Je suis entre l'agacement et le rire. Il explose de rire dans son coin quand je me mets à lui courir après. Il rallume le tuyau et m'asperge à nouveau dans le ventre. Mon t-shirt et mon pantalon me collent à la peau et j'ai du mal à progresser.
Tu vas me le payer, ordure !
Je crois pas, non ! Ha ha ha !
J'avançais vers lui tant bien que dans le gazon boueux qu'il créait avec l'eau. Je m'approchais inexorablement et il ne bougeait pas. Il souriait. Avec ma grosse paluche, je lui ai attrapé la main et retiré le tuyau d'arrosage. J'étais enfin le maître.
À mon tour ha ha ha !
Je me venge avec plaisir en l'aspergeant avec l'eau glaciale. Il court partout, le pauvre, en essayant d'échapper à sa sentence. Je rigole en le voyant souffrir. J'arrête le jet en lui demandant si tout va bien. Il répond que oui. Au même moment il retire son polo. Mon cœur s'arrête de battre. J'ai l'impression de voir le clip de Sabrina « Boys, Boys, Boys », mais avec mon neveu qui se déshabille au ralenti. Je pensais en avoir fini avec ces histoires. Sauf que son short est maintenant quasiment transparent avec à cause de l'eau. Je m'approche de lui, hypnotisé. Il essore son polo alors que l'eau glisse sur son corps légèrement musclé. Mécaniquement je retire également mon t-shirt. Il me regarde un instant, je vois ses yeux parcourir mon torse velu et mes pectoraux encore pas mal développés.
Bien joué, gamin, tu m'as eu. Mais voyons maintenant comment tu te défends quand je fais ça !
Je le saisis par la taille et le plaque au sol, façon rugby. Il ne s'y attendait pas et ne sait pas comment sortir de mon étreinte.
Alors, on fait moins le malin, hein ! Je suis beaucoup plus fort que toi ! Ha ha ha !
Il tente de se dépêtrer et arrive à me repousser. Je perds l'équilibre et il parvient à me mettre sur le dos. Il en profite pour immédiatement s'asseoir sur mon ventre et crier victoire.
Pas si vite l'ami !
Je me sers de ce moment d'inattention pour le faire à nouveau basculer et me positionner au-dessus de lui. J'écarte ses jambes et place mon bassin entre celles-ci, l'empêchant définitivement de bouger. Je prends ses deux poignets glissants et les place au-dessus de sa tête. Je lui souris quand je remarque la position dans laquelle nous nous trouvons désormais. Je suis complètement gêné. Je regarde son corps humide et plein d'herbe et de terre, et je sens que mon jean commence à se tendre. Le désir monte en moi et cette étreinte ne fait rien pour le calmer. Il me regarde avec un sourire auquel je ne peux pas résister. Je lâche une de ses mains et caresse son visage si adorable. Il place sa main sur la mienne et je suis soulagé. Je ne sais plus quoi faire. Je bande de plus en plus et ma respiration trahit mes émotions. Ses jambes encerclent mon bassin. Je ne peux plus m'échapper. Je caresse sa poitrine lentement et goûte à ce plaisir interdit. Ses mains se baladent à présent sur mon torse mouillé, son contact m'électrise. J'approche mon visage du sien pour l'embrasser. Il ferme les yeux et se laisse faire. Ses lèvres sont douces malgré sa jeune barbe. J'essaye de me contrôler pour ne pas le brusquer. Je lui donne des baisers longs et tendres, à son image. Il ouvre de plus en plus grand la bouche, comme pour me donner la permission d'accéder à lui. Nos langues se mélangent, s'unissent. Il me prend à présent dans ses bras, caressant mon grand dos. Mon sexe tendu à l'extrême me fait mal dans mon jean serré, mais je le frotte quand même contre le sien, devenu roc lui aussi. Je suis excité comme jamais. Il m'a envoûté, je ne sais comment. J'avais envie de le prendre, là, dans le jardin. Je brise notre étreinte et déboutonne mon jean. Il en fait de même. Nous nous mettons nu dans l'herbe. Son sexe est long, presqu'autant que le mien. Je l'allonge sur le ventre et me place derrière lui. Je ne tiens plus, rapidement, je place mon gland entre ses fesses et pousse. Il retient sa respiration et se laisse faire. Je me laisse subjuguer par la luxure et le pénètre lentement. Malgré mes dimensions, il ne se plaint pas. Je n'avais jamais sodomisé un homme, mais la texture d'un anus étroit est un plaisir que chaque homme devrait connaître au moins une fois dans sa vie. J'arrive au bout de son cul et je commence alors à le baiser longuement. Je veux qu'il prenne du plaisir lui aussi. Ce qu'il me montre en poussant des cris de jouissance à mesure que je l'encule. Jamais je n'aurais cru vivre ça, encore moins avec un membre de ma famille tout juste majeur. Tout me semble surréaliste. J'ai envie d'arrêter, mais c'est trop tard pour reculer. J'ai la bite calée au fond du neveu de ma femme, et j'adore le voir gémir sous mes coups bien placés. Ma femme m'a toujours fait l'éloge de nos sessions au lit, et je ne compte pas décevoir. J'y vais de plus en plus fort tout en prenant garde à ne pas le blesser. Il est si beau. Je pense que je vais bientôt jouir. Je m'arrête pour ne pas gâcher ce beau moment. Je lui demande de se mettre sur le dos. Je soulève ses jambes et y plonge la tête : je vais essayer de lui faire prendre son pied de la même façon que je m'y prends pour ma femme. J'entreprends de lui lécher le cul du mieux que je peux. À le voir se contorsionner, on ne lui avait jamais fait. Son trou est bien ouvert et je peux jouer de ma langue pour jouer avec ses sens. Je le vois se branler en même temps. Il me donne encore envie d'essayer quelque chose que je n'ai jamais fait. Je prends son sexe rouge et plein d'herbe lui aussi et le prends dans ma bouche. C'est très, très étrange. Il mouillait beaucoup du gland. Je le suce quelques minutes, mais le désir de le baiser est plus fort. J'écarte ses jambes et m'enfonce dans son trou. Il lance sa tête en arrière et soupire fort. Je m'aventure à nouveau dans ses entrailles en le caressant. Il en fait de même avec ma poitrine et mon visage. Il regarde au fond de mes yeux pendant que je l'assaille en mêlant puissance, rythme et tendresse. Il est totalement réceptif à mes méthodes. Son anus se contracte à chacun de mes coups. Je ne eux plus résister et je me prépare à jouir. Je me crispe et j'éjacule ce qui me semble être des litres de sperme dans ses entrailles. Il se masturbe rapidement et jouit à son tour sur sa poitrine et son ventre. Je ne parviens pas à débander et je reste en lui en l'embrassant. Je suis encore excité et j'ai déjà envie de le reprendre.
Tu l'avais déjà fait ?
Jamais, c'est la première fois qu'on m'encule.
C'est la première fois pour moi aussi, rassure-toi...
Ah bon ? Je n'ai même pas eu mal, je pensais que...
Non, j'avais juste envie de bien faire, de ne pas te blesser.
En tous cas c'était génial, Tonton.
Faudra naturellement penser à ne le dire à personne. Je n'ai jamais trompé ma femme, tu comprends...
Et moi je pensais être hétéro...
Je ne suis pas sur que ça se définisse uniquement par ça.
Tu bandes encore, Tonton...
Oui, je sais, depuis ce matin je ne peux pas m'empêcher d'être excité quand je te vois...
On peut dire que tu as réalisé ton souhait, j'ai ton sperme au fond de moi.
Oui, j'ai pas pu m'en empêcher... Qu'est-ce que ça fait ?
C'est spécial, se faire posséder de la sorte, et puis recevoir ta semence, j'ai jamais rien vécu de tel. Je serais prêt à le revivre avec toi, si tu en as toujours envie bien sûr...
Je ne sais pas si c'est une bonne idée.
Non, c'est définitivement pas une bonne idée. Mais c'était bien non ?
Génial. J'arrive toujours pas à débander... C'est toit et ta petite gueule, là, t'es trop craquant.
Merci Tonton, toi t'es à tomber, je commence à être jaloux de ma tante.
Elle n'est pas là.
Et ta bite est encore bien ancrée en moi. Et toute cette conversation n'a que réussi à me faire bander.
T'es prêt pour une deuxième manche ?
Si tu l'es.
Je voudrais commencer par dire que je n'avais jusque là jamais manqué de respect à ma chère et tendre : je ne l'ai jamais trompée, même si j'ai déjà eu de nombreuses occasions de le faire. Je travaille dans un bureau où beaucoup de femmes me disent être à leur goût. Je suis plutôt beau garçon, en tout cas c'est ce qu'elles disent, et je fais beaucoup de sport, avec ma femme d'ailleurs. Nous courrons souvent et je dois dire que si on ne la connaît pas, on ne croirait jamais qu'elle a eu notre premier bébé il y a dix ans. J'ai aussi pratiqué le rugby jusqu'à mes 25 ans. Je suis plutôt costaud on va dire.
Nous vivons en province, vers Bayonne, et comme nous avons la chance d'avoir une grande maison, il nous arrive d'inviter des amis ou de la famille à passer se reposer dans notre belle région. Il y a deux mois en juin, Célia a proposé à Thomas, son neveu, le fils de son frère, de descendre passer une partie de l'été chez nous, car ne l'avait pas vu depuis un long moment.
Il a débarqué fin juin 2014. Je ne l'ai pas reconnu. La dernière fois que j'avais vu sa bouille, il devait entrer au collège. Là, il venait d'avoir son bac et disait vouloir intégrer une prépa. Il avait tellement changé, tellement grandi. Finie la puberté et ses boutons disgracieux. J'avais face à moi un jeune homme prêt à croquer la vie. Je me sentais un peu fier, même si je n'avais rien eu à voir dans son éducation. Il avait beaucoup mûri aussi : il faisait presque ma taille et avait une stature imposante pour son âge. Sa barbe était également répartie sur son visage.
On a passé l'après-midi à discuter dans notre jardin, il s'est même un peu occupé de notre fille en jouant avec elle. Je n'ai pas de neveu ni de petit frère, mais j'avais envie de le prendre sous mon aile. Je lui ai donc proposé de s'occuper avec moi du barbecue de ce soir. Il accepta avec plaisir. Tout se déroule bien, je vois qu'il sait exactement ce qu'il fait avec le charbon et le feu. Il me dit alors qu'il en fait parfois avec ses amis. L'heure du dîner approche, et des amis que nous avions invités commencent à arriver. Il est complètement à l'aise et fait honneur à sa tante.
Les jours passent et tout se déroule parfaitement. Ce samedi matin, ma femme et ma fille se rendent en ville pour la journée. Je me dis que j'en profiterai pour montrer les alentours à Thomas, histoire de lui montrer la région. Il est 10 heures et je monte dans sa chambre. Je tape à la porte. J'insiste un peu car il ne répond pas. 20 secondes plus tard, il m'ouvre enfin, en caleçon. Je suis un peu surpris et désolé de le voir comme ça.
Excuse-moi, je pensais que tu étais levé. Tout va bien ?
Son visage était rouge car il se frottait encore les yeux, il venait véritablement de se réveiller. Il tenait à peine debout. Mes yeux ont balayé son corps. Il était plutôt bien développé. Quelques poils se battaient sur son torse légèrement bronzé et ses pectoraux étaient entraînés. Ses jambes étaient au contraire très velues. Ce n'était plus un adolescent. Loin de là.
Oui ça va, mon corps est en mode vacances, là, il faut que je m'ajuste...
Oh, aucun souci, tu peux aller te recoucher, t'es là pour te reposer, n'oublie pas !
C'est pas grave, je dormirai plus tard !
Comme tu veux, souhaites déjeuner ?
Je dirais pas non à un café !
Ça marche !
J'étais un peu troublé, je dois bien l'admettre. Il me suivait dans le couloir puis l'escalier jusqu'à la cuisine. Je lance la cafetière et il s'assoit dans le canapé du salon. Il ne s'est pas habillé. Je l'observais, que dis-je, je le matais alors qu'il s'éveillait encore. Son visage se tourne vers moi et je fais mine de regarder ailleurs. Je lui apporte son café et nous discutons. Je le scrute de plus en plus intensément, et je remarque sa barbe qui a poussé depuis. Il est charmant. À l'occasion, il se gratte le torse, la tête... Des pensées étranges traversent mon esprit. Est-ce qu'il m'exciterait ? Non, c'est des conneries. C'est mon neveu qui plus est. Du calme. Il finit son café et part se vêtir. Il avait enfilé un short marron et un polo blanc. Je n'arrivais pas à retirer les images tordues que j'avais dans la tête depuis ce matin. Je lui propose alors la balade à laquelle j'avais pensé plus tôt. Il accepte et nous partons aussitôt. En marchant, je ne puis m'empêcher de regarder ses fesses galbées dans son short à peine moulant. Elles me donnaient étrangement envie. J'avais peur de commencer à bander de façon incontrôlable. J'avais un jean assez serré au niveau des fesses, comme ma femme aime que je mette. Elle dit que ça fait « ressortir tous mes atouts », je pense qu'elle veut dire qu'elle aime bien mon cul et mon paquet. Mais laissez-moi vous dire que si je bande là-dedans, je suis grillé à des kilomètres. J'essaye de nous changer les idées en parlant de sa future prépa à Paris, loin du sexe. Mais pendant la promenade, il s'arrête à plusieurs reprises pour prendre des photos avec son téléphone. Je ne sais jamais où me mettre dans ces moments. Du coup je le regarde quand il s'accroupit ou quand il essaye de grimper à un arbre pour prendre un beau panorama des dunes au loin. C'est trop pour moi. Cela fait maintenant une bonne heure que nous marchons et je lui demande s'il veut rentrer. Il me dit qu'il commence à avoir faim. Un peu soulagé, nous faisons demi-tour.
Une fois à la maison, je me mets à faire la cuisine. Un truc simple. Soudain j'entends la voix de Thomas depuis l'extérieur. Il m'appelle.
Qu'y a-t-il, Thomas ?
Je ne voyais personne dans le jardin. Je regarde absolument partout, toujours personne. Je me mets au centre et le rappelle à mon tour. De nulle part je me prends un jet d'eau froide dans le dos. Ce petit malin s'était caché pour pouvoir m'arroser avec le tuyau. Mon dos et mon cul sont trempés. Je suis entre l'agacement et le rire. Il explose de rire dans son coin quand je me mets à lui courir après. Il rallume le tuyau et m'asperge à nouveau dans le ventre. Mon t-shirt et mon pantalon me collent à la peau et j'ai du mal à progresser.
Tu vas me le payer, ordure !
Je crois pas, non ! Ha ha ha !
J'avançais vers lui tant bien que dans le gazon boueux qu'il créait avec l'eau. Je m'approchais inexorablement et il ne bougeait pas. Il souriait. Avec ma grosse paluche, je lui ai attrapé la main et retiré le tuyau d'arrosage. J'étais enfin le maître.
À mon tour ha ha ha !
Je me venge avec plaisir en l'aspergeant avec l'eau glaciale. Il court partout, le pauvre, en essayant d'échapper à sa sentence. Je rigole en le voyant souffrir. J'arrête le jet en lui demandant si tout va bien. Il répond que oui. Au même moment il retire son polo. Mon cœur s'arrête de battre. J'ai l'impression de voir le clip de Sabrina « Boys, Boys, Boys », mais avec mon neveu qui se déshabille au ralenti. Je pensais en avoir fini avec ces histoires. Sauf que son short est maintenant quasiment transparent avec à cause de l'eau. Je m'approche de lui, hypnotisé. Il essore son polo alors que l'eau glisse sur son corps légèrement musclé. Mécaniquement je retire également mon t-shirt. Il me regarde un instant, je vois ses yeux parcourir mon torse velu et mes pectoraux encore pas mal développés.
Bien joué, gamin, tu m'as eu. Mais voyons maintenant comment tu te défends quand je fais ça !
Je le saisis par la taille et le plaque au sol, façon rugby. Il ne s'y attendait pas et ne sait pas comment sortir de mon étreinte.
Alors, on fait moins le malin, hein ! Je suis beaucoup plus fort que toi ! Ha ha ha !
Il tente de se dépêtrer et arrive à me repousser. Je perds l'équilibre et il parvient à me mettre sur le dos. Il en profite pour immédiatement s'asseoir sur mon ventre et crier victoire.
Pas si vite l'ami !
Je me sers de ce moment d'inattention pour le faire à nouveau basculer et me positionner au-dessus de lui. J'écarte ses jambes et place mon bassin entre celles-ci, l'empêchant définitivement de bouger. Je prends ses deux poignets glissants et les place au-dessus de sa tête. Je lui souris quand je remarque la position dans laquelle nous nous trouvons désormais. Je suis complètement gêné. Je regarde son corps humide et plein d'herbe et de terre, et je sens que mon jean commence à se tendre. Le désir monte en moi et cette étreinte ne fait rien pour le calmer. Il me regarde avec un sourire auquel je ne peux pas résister. Je lâche une de ses mains et caresse son visage si adorable. Il place sa main sur la mienne et je suis soulagé. Je ne sais plus quoi faire. Je bande de plus en plus et ma respiration trahit mes émotions. Ses jambes encerclent mon bassin. Je ne peux plus m'échapper. Je caresse sa poitrine lentement et goûte à ce plaisir interdit. Ses mains se baladent à présent sur mon torse mouillé, son contact m'électrise. J'approche mon visage du sien pour l'embrasser. Il ferme les yeux et se laisse faire. Ses lèvres sont douces malgré sa jeune barbe. J'essaye de me contrôler pour ne pas le brusquer. Je lui donne des baisers longs et tendres, à son image. Il ouvre de plus en plus grand la bouche, comme pour me donner la permission d'accéder à lui. Nos langues se mélangent, s'unissent. Il me prend à présent dans ses bras, caressant mon grand dos. Mon sexe tendu à l'extrême me fait mal dans mon jean serré, mais je le frotte quand même contre le sien, devenu roc lui aussi. Je suis excité comme jamais. Il m'a envoûté, je ne sais comment. J'avais envie de le prendre, là, dans le jardin. Je brise notre étreinte et déboutonne mon jean. Il en fait de même. Nous nous mettons nu dans l'herbe. Son sexe est long, presqu'autant que le mien. Je l'allonge sur le ventre et me place derrière lui. Je ne tiens plus, rapidement, je place mon gland entre ses fesses et pousse. Il retient sa respiration et se laisse faire. Je me laisse subjuguer par la luxure et le pénètre lentement. Malgré mes dimensions, il ne se plaint pas. Je n'avais jamais sodomisé un homme, mais la texture d'un anus étroit est un plaisir que chaque homme devrait connaître au moins une fois dans sa vie. J'arrive au bout de son cul et je commence alors à le baiser longuement. Je veux qu'il prenne du plaisir lui aussi. Ce qu'il me montre en poussant des cris de jouissance à mesure que je l'encule. Jamais je n'aurais cru vivre ça, encore moins avec un membre de ma famille tout juste majeur. Tout me semble surréaliste. J'ai envie d'arrêter, mais c'est trop tard pour reculer. J'ai la bite calée au fond du neveu de ma femme, et j'adore le voir gémir sous mes coups bien placés. Ma femme m'a toujours fait l'éloge de nos sessions au lit, et je ne compte pas décevoir. J'y vais de plus en plus fort tout en prenant garde à ne pas le blesser. Il est si beau. Je pense que je vais bientôt jouir. Je m'arrête pour ne pas gâcher ce beau moment. Je lui demande de se mettre sur le dos. Je soulève ses jambes et y plonge la tête : je vais essayer de lui faire prendre son pied de la même façon que je m'y prends pour ma femme. J'entreprends de lui lécher le cul du mieux que je peux. À le voir se contorsionner, on ne lui avait jamais fait. Son trou est bien ouvert et je peux jouer de ma langue pour jouer avec ses sens. Je le vois se branler en même temps. Il me donne encore envie d'essayer quelque chose que je n'ai jamais fait. Je prends son sexe rouge et plein d'herbe lui aussi et le prends dans ma bouche. C'est très, très étrange. Il mouillait beaucoup du gland. Je le suce quelques minutes, mais le désir de le baiser est plus fort. J'écarte ses jambes et m'enfonce dans son trou. Il lance sa tête en arrière et soupire fort. Je m'aventure à nouveau dans ses entrailles en le caressant. Il en fait de même avec ma poitrine et mon visage. Il regarde au fond de mes yeux pendant que je l'assaille en mêlant puissance, rythme et tendresse. Il est totalement réceptif à mes méthodes. Son anus se contracte à chacun de mes coups. Je ne eux plus résister et je me prépare à jouir. Je me crispe et j'éjacule ce qui me semble être des litres de sperme dans ses entrailles. Il se masturbe rapidement et jouit à son tour sur sa poitrine et son ventre. Je ne parviens pas à débander et je reste en lui en l'embrassant. Je suis encore excité et j'ai déjà envie de le reprendre.
Tu l'avais déjà fait ?
Jamais, c'est la première fois qu'on m'encule.
C'est la première fois pour moi aussi, rassure-toi...
Ah bon ? Je n'ai même pas eu mal, je pensais que...
Non, j'avais juste envie de bien faire, de ne pas te blesser.
En tous cas c'était génial, Tonton.
Faudra naturellement penser à ne le dire à personne. Je n'ai jamais trompé ma femme, tu comprends...
Et moi je pensais être hétéro...
Je ne suis pas sur que ça se définisse uniquement par ça.
Tu bandes encore, Tonton...
Oui, je sais, depuis ce matin je ne peux pas m'empêcher d'être excité quand je te vois...
On peut dire que tu as réalisé ton souhait, j'ai ton sperme au fond de moi.
Oui, j'ai pas pu m'en empêcher... Qu'est-ce que ça fait ?
C'est spécial, se faire posséder de la sorte, et puis recevoir ta semence, j'ai jamais rien vécu de tel. Je serais prêt à le revivre avec toi, si tu en as toujours envie bien sûr...
Je ne sais pas si c'est une bonne idée.
Non, c'est définitivement pas une bonne idée. Mais c'était bien non ?
Génial. J'arrive toujours pas à débander... C'est toit et ta petite gueule, là, t'es trop craquant.
Merci Tonton, toi t'es à tomber, je commence à être jaloux de ma tante.
Elle n'est pas là.
Et ta bite est encore bien ancrée en moi. Et toute cette conversation n'a que réussi à me faire bander.
T'es prêt pour une deuxième manche ?
Si tu l'es.
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