Le nouveau curé 2
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le nouveau curé 2
Je me suis renseigné auprès d'Océane pour faire une confession.
Si vous aviez vu sa tête! et la manière dont elle s'est foutue de moi.
-prend rendez vous en début d'après midi, mon chéri, avec tout ce que tu as à confesser il ne pourra en prendre plus.
Bien sûr qu'elle voulait savoir le pourquoi? bien sûr que je ne lui ai rien dit!
Rien que pour l'embêter, elle croyait, dur comme fer que je voulais draguer le curé.
Ce samedi vers 17 heures je suis allé à l'église, j'avoue que j'avais vraiment la trouille, le trac et de voir quatre vieilles femmes qui attendaient leur tour en chuchotant ne m'a pas rassuré, d'autant qu'elles n'arrêtaient pas de me regarder et de parler bas en me toisant. Elles passaient les unes après les autres dans le confessionnal et partaient ensuite, j'ai patienté, on n'entendait rien de l'extérieur de ce qu'il se disait.
J'étais le dernier et je suis allé dans le confessionnal, il fallait s'agenouiller m'avait dit Océane, j'ai joué le jeu, j'ai vu dans la pénombre le profile du curé qui s'est mis à parler.
-c'est la première fois que je vous vois mon fils! alors vous voulez vous confesser ?
-oui dis je dans un souffle.
-je vous écoute, parler sans crainte.
-je ne sais pas trop par où commencer mon histoire qui remonte dans le temps.
-voulez vous que je vous pose des questions ? demande t-il.
-non, c'est par rapport à une rencontre que j'ai faite il y a un peu plus d'un an et je suis gêné d'en parler maintenant.
-cette rencontre s'est mal passée ?
-oh non! très bien au contraire.
-alors ?
-alors... je dois dire que je suis gay, j'aime les hommes et ils me le rendent bien. C'est un bel homme que j'ai rencontré ce jour là, et, nous avons fait des choses dans la nature, à la lisière d'une forêt, dans la nuit, j'étais heureux avec cet homme, il m'avait laissé ses coordonnées, mais elles étaient fausses et je n'ai jamais pu le revoir, il m'avait dit s'appeler Jérôme.
Et je me tais… un très long silence suit, je l'entends tousser… soupirer fortement, bouger et je vois sa face venir derrière le petit grillage, ces yeux bleu qui me forent, ils sont durs, il ne sourit pas!
-Jérôme dis je.
-je m'appelle père Vincent dit-il.
-je sais mais c'est bien toi que j'ai rencontré ce soir là ?
Encore un long silence.
-tu veux quoi ? dit-il d'un air presque méchant.
-rien de particulier… parler avec toi… comprendre pourquoi tu ne voulais pas me revoir.
-tu comprends maintenant pourquoi! j'étais déjà curé il y a un an, bon! viens! sortons.
Du bruit, on sort du confessionnal tous les deux, il est en civil et là, je le reconnais! j'en suis certain! je souris.
Il me regarde et son regard s'adoucit, me prend par la main et m'entraîne dans son presbytère, ferme la porte.
-c'est bien toi Fabrice ?
-oui! j'ai pas l'habitude de fréquenter ton établissement dis-je en souriant, c'est à cause d'une vieille copine que je suis venu et que j'ai fini par te reconnaître et que les souvenirs sont revenus. J'étais si heureux de t'avoir rencontré ce jour là, tu m'avais fait passer un très bon moment et j'avais envie de te revoir, mais tu sais très bien ce qui a pu se passer quand j'ai voulu te téléphoner.
-il faut me pardonner dit le père Vincent alias Jérôme.
-oh t'es pardonné depuis longtemps tu sais, mais là, de t'avoir revu, tout est revenu à la surface.
-et... tu veux quoi alors ?
-tout ce que tu veux Jérôme, tu seras toujours Jérôme pour moi, que tu sois le père Vincent, je m'en fous complètement, t'es un mec, toujours un beau mec, t'as révolutionné la Paroisse depuis ton arrivée, on ne parle que de toi!
Il sourit.
-alors tu comprends qu'il faut que je sois très prudent dans mes relations, il y a un long moment que je m'abstiens de toutes relations sexuelles.
-oh! dis je ça doit être très dur certains jours.
Je lui prends une main dans les miennes que je pose sur ma poitrine, il tremble un peu, ses yeux bleus me fixent, mais maintenant j'y vois de la tendresse.
Je m'approche d'un pas sans le quitter des yeux, mes mains serrent la sienne, sa bouche s'entrouvre et je sens son souffle sortir et venir se répandre sur mon visage. Ses cheveux sont un peu plus longs que lors de notre rencontre, je le vois en fait pour la première fois de près et en pleine lumière, j'observe ses yeux, ses cils, sourcils, son nez fin, ses lèvres magnifiques que j'ai déjà envie de mordre.
Il tremble Jérôme, je sens qu'il a envie de quelque chose, mais qu'il se retient.
-alors tu ne pratiques plus que la masturbation ? dis je de mon air gourmand.
-oui je suis obligé tu sais.
-je croyais que c'était également interdit? dis je sournoisement.
-je me confesse dit-il en souriant.
-et si c'est moi qui te masturbe ?
-oh! dit il en rougissant.
Je serre encore sa main dans les miennes et je me colle encore plus à lui.
-j'ai envie de te revoir Jérôme!
-mais tu me vois Fabrice.
-chez moi!
Il me fixe et baisse la tête, je relève son menton en le regardant.
-dis le que t'en as envie Jérôme, je le vois dans tes yeux, ils se souviennent de tout tes yeux.
En parlant j'avance la tête, nos front se touchent, nos chaleurs s'échangent, son front est moite. Je pose mon nez sur le sien, nos lèvres se touchent presque, il respire de plus en plus vite.
-dis le Jérôme… s'il te plait dis je tout bas.
Il n'a rien dit, mais ses lèvres se sont posées sur les miennes, les enveloppant, ses belles lèvres humides et chaudes.
Je l'ai laissé faire comme il avait envie. C'est lui qui les a bougé sur les miennes, c'est lui qui m'a donné sa langue que j'ai aspiré, avalé sa salive et il a gémi les yeux fermés. Nos langues se sont amusées ensemble, et le jeu a duré très longtemps, nos mains se tenaient toujours, mais je lui caressais le dos de l'autre.
Quand il a fallu respirer, j'ai mis ma tête dans son cou pour ne pas que nos regards ne se croisent.
On se faisait de petits bisous, il avait lâché ma main et me serrait dans ses bras tendrement.
Si on n'avait pas été dans l'église j'aurais commencé à le déshabiller. Je le sentais excité, il poussait de longs soupirs et est revenu m'embrasser en me serrant presque à m'étouffer!
-je suis complètement fou me dit il en me regardant, me serrant dans ses bras contre lui.
-moi aussi je suis fou dis je, fou d'être venu te voir, ici, mais je sais que j'ai bien fait.
-écoute moi bien Fabrice, il va falloir qu'on soit le plus discret possible, j'ai pas envie que ça se sache que j'aime les hommes. On sait que t'es gay ?
-ma famille oui et le reste, ben je m'en fous complètement.
-t'habites où ?
-dans une maison individuelle, quand on est dans ma cour on ne voit rien de la rue, tu pourras garer ta voiture chez moi et personne ne le verra.
-mais t'es le Diable!
-oui mais un beau Diable non ?
Il rigole enfin de bon cœur.
-tu viens dîner avec moi ce soir ? j'avais prévu pour deux.
-mais t'étais sûr de toi on dirait.
-un Diable arrive à ce qu'il veut, tu le sais bien!
Il rigole encore, me serre dans ses bras, m'embrasse tendrement.
-je serais chez toi à 20 heures alors dit-il en me faisant un bisou sur le front.
Le soir à 20 heures précises il frappait à ma porte. Il avait rentré son véhicule dans la cour, il avait l'air gêné, il tenait une bouteille de vin à la main.
-j'allais pas t'apporter des fleurs dit il en riant.
-viens je te fais visiter mon domaine.
Je l'emmène d'abord à l'extérieur, pour le détendre car je le trouve quand même crispé le curé! on marche dans mon petit verger où j'ai pas mal de fruitiers.
-j'ai essayé de reproduire le jardin d'Eden, pour un Diable c'est pas mal non ?
On discute des fruitiers, des récoltes, de confitures, compotes et autres comme deux amis qui se racontent. Il me parle de ses parents, de sa jeunesse, je le laisse parler, se rappeler ses souvenirs.
On va dire bonjour à mes quatre poules, cela le fait rire qu'elles ont chacune un nom et qu'elles viennent quand je les appelle! Tu parles en secouant une boite où se trouve du grain! elles viennent toutes en courant..
Il regarde mon jardin potager, mes fleurs et semble vraiment épaté! je suis fier de moi.
-on va se boire l'apéro ? on boit l'apéro chez les curés ?
-bien sûr dit-il en riant, déjà qu'on peut pas baiser, si on ne peut pas boire!
On rigole en s'installant, côte à côte, je sers l'apéro, on trinque en se regardant dans les yeux. Il me sourit.
J'avance ma tête, il fait la moitié du chemin pour me donner un baiser.
-je suis heureux dis je.
-et moi donc! si tu savais.
Je crois qu'il était comme moi, excité, très excité.
J'ai pris son verre de sa main, j'ai posé le mien, j'ai saisi sa main.
-viens!
Je l'ai emmené dans ma chambre, sans allumer la lumière. La pièce était sombre de plus en plus et je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser.
-on mangera après Jérôme.
Il m'a bouffé les lèvres, sa langue passait partout, il s'est laissé déshabiller et j'ai vu son torse dans la clarté de la chambre, un torse de mec qui fait attention, qui s'entretient. Ses tétons pointaient, je me suis penché dessus pour les lécher, les sucer, les mordre, les aspirer. Mes mains passaient sur tout son torse, son dos, c'était lisse partout, chaud et doux..
Je me suis attaqué à son pantalon et il est tombé à ses chevilles, comme la dernière fois en forêt, j'ai tiré sur son boxer et je me suis mis à genoux de suite, revoir sa belle queue que j'avais aimé, et je l'ai reconnu, j'ai reconnu son odeur, son gland pas encore décalotté où la mouille perlait déjà..
J'ai pris sa belle queue en main, tirant le prépuce, dégageant le beau gland rouge vif. Les perles coulaient, j'ai donné un coup de langue les faisant disparaître pour immédiatement revenir et entendre son premier gémissement, sa main qui se posait sur ma tête, on reprenait les mêmes gestes qu'il y a un an!
J'ai caressé ses couilles d'une main tout en continuant de lécher et d'aspirer son gland qui coulait sans arrêt. J'ai aimé sa mouille claire.
J'ai voulu goûter ses couilles, tenant sa queue sur son ventre, je les ai léché, avalé, les faisant rouler dans ma bouche, dans la salive.
Il gémissait de plus en plus fort Jérôme.
Il pouvait gueuler, les voisins étaient loin.
Et j'ai pris sa belle et bonne queue en bouche, il poussait de petits cris et je l'ai de suite pipé rapidement en passant ma main entre ses jambes pour chercher son anus. Il écartait ses jambes comme il pouvait, ses deux mains me tenaient la tête et je l'ai sucé comme un malade qui veut la santé en enfonçant mon doigt dans son cul chaud!
Il n'a pas mis longtemps à m'abreuver et ses giclées m'ont rempli la bouche. Il gueulait très fort en se déversant.
J'ai bien léché sa queue et je l'ai vu se mettre à quatre pattes au bord du lit.
J'ai fini de lui retirer ses chaussures, chaussettes, pantalon et boxer.. et j'avais mon curé nu sur mon lit.
Je me suis mis dans la même tenue que lui, je voyais qu'il m'observait, qu'il regardait ma queue.
J'ai claqué ses belles fesses fines et dures, les caressant, les écartant et je l'ai léché, retrouver ce petit trou que je n'avais eu qu'une fois!
J'ai trouvé qu'il s'ouvrait bien pour quelqu'un qui ne baisait pas. Il devait se goder le curé en se branlant.
Je l'imaginais en soutane, se branlant avec un gros gode dans le cul!!
J'avais envie de ce cul, bien envie. Je l'ai vite doigté avec deux doigts qui entraient facilement, très facilement et ma queue est arrivée au moment où il posait sa tête sur les draps et ses mains venaient ouvrir encore plus les fesses.
J'étais tellement excité de voir ce cul qui s'ouvrait si facilement, que j'ai serré ses hanches et j'ai forcé son cul en continu pour rentrer ma grosse queue d'une seule traite, mais lentement.
Sentir un cul envelopper ma queue et la serrer est un grand plaisir et entendre Jérôme gueuler, marmonner des choses incompréhensibles.. Il s'offrait à mes coups de reins, à ma queue qui le forait bien profond, comme lui je n'ai pas tenu longtemps avant de l'inonder, de remplir son conduit, on criait tous les deux ensemble!
Quand je me suis retiré de lui, je me suis allongé sur mon lit.
Il est d'abord venu me lécher la queue, l'observer, la caresser, me toucher les couilles, me caresser tendrement en remontant sur mon torse pour venir sur moi à moitié, me caresser la joue et me faire un gros bisous, jusqu'à ce que sa langue entre dans ma bouche.
On est resté un long moment à se caresser, les queues étaient redevenues raides.
On a parlé, de nous, de notre rencontre. Il m'a raconté qu'à cette époque il allait de temps en temps dans cette boîte pour se faire enculer, c'était son péché… de gourmandise. Mais quand il avait été nommé curé, il avait décidé d'arrêter, et j'ai été son dernier amant.
Il disait aussi que l'envie de se faire baiser le prenait souvent, alors il s'est acheté un gode, un gros gode et se donnait du plaisir souvent, très souvent, mais tout seul en se branlant et il lui arrivait de penser à ma queue, sa dernière queue vivante.
-et là! tu es venu me débaucher Fabrice et je n'ai pas su résister.
Il avait quand l'air peiné de dire ça.
-et tu vas le dire en confession ?
-je suis obligé tu sais de confesser tous mes péchés.
Il parlait très sérieusement mon ami le curé!
Moi j'avais plutôt envie de rire… je sais, je suis un mécréant!
-mais il sait tout Dieu, il voit tout! depuis que je suis tout petit on me dit sans arrêt de ne pas faire de bêtises car de toute façon le bon Dieu voit tout! Donc il le saura…
-et alors ? dit il.
-donc comme il nous a vu, pas la peine de le répéter! il le sait! donc voilà…
Il rigole.
-qu'est ce qui te dit que celui à qui tu vas raconter ça, ça va pas l'exciter et qu'il va pas en faire autant ? ça va devenir une chaîne sans fin.
Il rigole encore plus.
-on ne m'avait jamais dit ça comme ça, mais remarque c'est vraiment pas faux ce que tu dis, mais arrêtons de parler de Lui.
-t'as peur qu'il vienne entre nous… ? dis je en riant.
-non mais moi j'ai faim, ta queue donne faim Fabrice.
On s'est encore fait des bisous, des caresses et on est allé dîner, nus tous les deux, en bandant toujours.
J'ai passé une première soirée avec lui , superbe, magnifique.
C'est toujours bien agréable d'avoir un beau mec nu devant soi.
On est retourné au lit, et ce fût encore la fête à son cul, il en voulait, et il aimait ça se faire prendre dans toutes les positions, caresser un mec, le sucer, avaler son jus, il m'a léché des pieds à la tête.
Il ne m'a jamais dit qu'il m'aimait mais "je suis bien avec toi".
J'ai profité de son corps, de lui, de sa queue, on a joui plusieurs fois.
Quand il est parti il était 4 heures du matin. Il ne voulait pas qu'on voit sa voiture partir le matin de chez moi.
Je lui ai demandé de ne rien dire quant à notre relation, nos relations sexuelles, que je pensais ce que je lui avais dit sur Dieu qui voyait tout : personne d'autre n'avait à le savoir. Cela semblait le chagriner quand même.
-de toute façon, si tu veux absolument te confesser… tu viens me voir!
Il a rigolé en m'embrassant, il a peiné à partir..
Cela se passait il y a un moment, mais on se voit encore, de temps en temps, quand il n'en peut plus de son gode il vient prendre ma queue et, pour moi c'est toujours un plaisir de l'avoir dans mon lit…
Si vous aviez vu sa tête! et la manière dont elle s'est foutue de moi.
-prend rendez vous en début d'après midi, mon chéri, avec tout ce que tu as à confesser il ne pourra en prendre plus.
Bien sûr qu'elle voulait savoir le pourquoi? bien sûr que je ne lui ai rien dit!
Rien que pour l'embêter, elle croyait, dur comme fer que je voulais draguer le curé.
Ce samedi vers 17 heures je suis allé à l'église, j'avoue que j'avais vraiment la trouille, le trac et de voir quatre vieilles femmes qui attendaient leur tour en chuchotant ne m'a pas rassuré, d'autant qu'elles n'arrêtaient pas de me regarder et de parler bas en me toisant. Elles passaient les unes après les autres dans le confessionnal et partaient ensuite, j'ai patienté, on n'entendait rien de l'extérieur de ce qu'il se disait.
J'étais le dernier et je suis allé dans le confessionnal, il fallait s'agenouiller m'avait dit Océane, j'ai joué le jeu, j'ai vu dans la pénombre le profile du curé qui s'est mis à parler.
-c'est la première fois que je vous vois mon fils! alors vous voulez vous confesser ?
-oui dis je dans un souffle.
-je vous écoute, parler sans crainte.
-je ne sais pas trop par où commencer mon histoire qui remonte dans le temps.
-voulez vous que je vous pose des questions ? demande t-il.
-non, c'est par rapport à une rencontre que j'ai faite il y a un peu plus d'un an et je suis gêné d'en parler maintenant.
-cette rencontre s'est mal passée ?
-oh non! très bien au contraire.
-alors ?
-alors... je dois dire que je suis gay, j'aime les hommes et ils me le rendent bien. C'est un bel homme que j'ai rencontré ce jour là, et, nous avons fait des choses dans la nature, à la lisière d'une forêt, dans la nuit, j'étais heureux avec cet homme, il m'avait laissé ses coordonnées, mais elles étaient fausses et je n'ai jamais pu le revoir, il m'avait dit s'appeler Jérôme.
Et je me tais… un très long silence suit, je l'entends tousser… soupirer fortement, bouger et je vois sa face venir derrière le petit grillage, ces yeux bleu qui me forent, ils sont durs, il ne sourit pas!
-Jérôme dis je.
-je m'appelle père Vincent dit-il.
-je sais mais c'est bien toi que j'ai rencontré ce soir là ?
Encore un long silence.
-tu veux quoi ? dit-il d'un air presque méchant.
-rien de particulier… parler avec toi… comprendre pourquoi tu ne voulais pas me revoir.
-tu comprends maintenant pourquoi! j'étais déjà curé il y a un an, bon! viens! sortons.
Du bruit, on sort du confessionnal tous les deux, il est en civil et là, je le reconnais! j'en suis certain! je souris.
Il me regarde et son regard s'adoucit, me prend par la main et m'entraîne dans son presbytère, ferme la porte.
-c'est bien toi Fabrice ?
-oui! j'ai pas l'habitude de fréquenter ton établissement dis-je en souriant, c'est à cause d'une vieille copine que je suis venu et que j'ai fini par te reconnaître et que les souvenirs sont revenus. J'étais si heureux de t'avoir rencontré ce jour là, tu m'avais fait passer un très bon moment et j'avais envie de te revoir, mais tu sais très bien ce qui a pu se passer quand j'ai voulu te téléphoner.
-il faut me pardonner dit le père Vincent alias Jérôme.
-oh t'es pardonné depuis longtemps tu sais, mais là, de t'avoir revu, tout est revenu à la surface.
-et... tu veux quoi alors ?
-tout ce que tu veux Jérôme, tu seras toujours Jérôme pour moi, que tu sois le père Vincent, je m'en fous complètement, t'es un mec, toujours un beau mec, t'as révolutionné la Paroisse depuis ton arrivée, on ne parle que de toi!
Il sourit.
-alors tu comprends qu'il faut que je sois très prudent dans mes relations, il y a un long moment que je m'abstiens de toutes relations sexuelles.
-oh! dis je ça doit être très dur certains jours.
Je lui prends une main dans les miennes que je pose sur ma poitrine, il tremble un peu, ses yeux bleus me fixent, mais maintenant j'y vois de la tendresse.
Je m'approche d'un pas sans le quitter des yeux, mes mains serrent la sienne, sa bouche s'entrouvre et je sens son souffle sortir et venir se répandre sur mon visage. Ses cheveux sont un peu plus longs que lors de notre rencontre, je le vois en fait pour la première fois de près et en pleine lumière, j'observe ses yeux, ses cils, sourcils, son nez fin, ses lèvres magnifiques que j'ai déjà envie de mordre.
Il tremble Jérôme, je sens qu'il a envie de quelque chose, mais qu'il se retient.
-alors tu ne pratiques plus que la masturbation ? dis je de mon air gourmand.
-oui je suis obligé tu sais.
-je croyais que c'était également interdit? dis je sournoisement.
-je me confesse dit-il en souriant.
-et si c'est moi qui te masturbe ?
-oh! dit il en rougissant.
Je serre encore sa main dans les miennes et je me colle encore plus à lui.
-j'ai envie de te revoir Jérôme!
-mais tu me vois Fabrice.
-chez moi!
Il me fixe et baisse la tête, je relève son menton en le regardant.
-dis le que t'en as envie Jérôme, je le vois dans tes yeux, ils se souviennent de tout tes yeux.
En parlant j'avance la tête, nos front se touchent, nos chaleurs s'échangent, son front est moite. Je pose mon nez sur le sien, nos lèvres se touchent presque, il respire de plus en plus vite.
-dis le Jérôme… s'il te plait dis je tout bas.
Il n'a rien dit, mais ses lèvres se sont posées sur les miennes, les enveloppant, ses belles lèvres humides et chaudes.
Je l'ai laissé faire comme il avait envie. C'est lui qui les a bougé sur les miennes, c'est lui qui m'a donné sa langue que j'ai aspiré, avalé sa salive et il a gémi les yeux fermés. Nos langues se sont amusées ensemble, et le jeu a duré très longtemps, nos mains se tenaient toujours, mais je lui caressais le dos de l'autre.
Quand il a fallu respirer, j'ai mis ma tête dans son cou pour ne pas que nos regards ne se croisent.
On se faisait de petits bisous, il avait lâché ma main et me serrait dans ses bras tendrement.
Si on n'avait pas été dans l'église j'aurais commencé à le déshabiller. Je le sentais excité, il poussait de longs soupirs et est revenu m'embrasser en me serrant presque à m'étouffer!
-je suis complètement fou me dit il en me regardant, me serrant dans ses bras contre lui.
-moi aussi je suis fou dis je, fou d'être venu te voir, ici, mais je sais que j'ai bien fait.
-écoute moi bien Fabrice, il va falloir qu'on soit le plus discret possible, j'ai pas envie que ça se sache que j'aime les hommes. On sait que t'es gay ?
-ma famille oui et le reste, ben je m'en fous complètement.
-t'habites où ?
-dans une maison individuelle, quand on est dans ma cour on ne voit rien de la rue, tu pourras garer ta voiture chez moi et personne ne le verra.
-mais t'es le Diable!
-oui mais un beau Diable non ?
Il rigole enfin de bon cœur.
-tu viens dîner avec moi ce soir ? j'avais prévu pour deux.
-mais t'étais sûr de toi on dirait.
-un Diable arrive à ce qu'il veut, tu le sais bien!
Il rigole encore, me serre dans ses bras, m'embrasse tendrement.
-je serais chez toi à 20 heures alors dit-il en me faisant un bisou sur le front.
Le soir à 20 heures précises il frappait à ma porte. Il avait rentré son véhicule dans la cour, il avait l'air gêné, il tenait une bouteille de vin à la main.
-j'allais pas t'apporter des fleurs dit il en riant.
-viens je te fais visiter mon domaine.
Je l'emmène d'abord à l'extérieur, pour le détendre car je le trouve quand même crispé le curé! on marche dans mon petit verger où j'ai pas mal de fruitiers.
-j'ai essayé de reproduire le jardin d'Eden, pour un Diable c'est pas mal non ?
On discute des fruitiers, des récoltes, de confitures, compotes et autres comme deux amis qui se racontent. Il me parle de ses parents, de sa jeunesse, je le laisse parler, se rappeler ses souvenirs.
On va dire bonjour à mes quatre poules, cela le fait rire qu'elles ont chacune un nom et qu'elles viennent quand je les appelle! Tu parles en secouant une boite où se trouve du grain! elles viennent toutes en courant..
Il regarde mon jardin potager, mes fleurs et semble vraiment épaté! je suis fier de moi.
-on va se boire l'apéro ? on boit l'apéro chez les curés ?
-bien sûr dit-il en riant, déjà qu'on peut pas baiser, si on ne peut pas boire!
On rigole en s'installant, côte à côte, je sers l'apéro, on trinque en se regardant dans les yeux. Il me sourit.
J'avance ma tête, il fait la moitié du chemin pour me donner un baiser.
-je suis heureux dis je.
-et moi donc! si tu savais.
Je crois qu'il était comme moi, excité, très excité.
J'ai pris son verre de sa main, j'ai posé le mien, j'ai saisi sa main.
-viens!
Je l'ai emmené dans ma chambre, sans allumer la lumière. La pièce était sombre de plus en plus et je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser.
-on mangera après Jérôme.
Il m'a bouffé les lèvres, sa langue passait partout, il s'est laissé déshabiller et j'ai vu son torse dans la clarté de la chambre, un torse de mec qui fait attention, qui s'entretient. Ses tétons pointaient, je me suis penché dessus pour les lécher, les sucer, les mordre, les aspirer. Mes mains passaient sur tout son torse, son dos, c'était lisse partout, chaud et doux..
Je me suis attaqué à son pantalon et il est tombé à ses chevilles, comme la dernière fois en forêt, j'ai tiré sur son boxer et je me suis mis à genoux de suite, revoir sa belle queue que j'avais aimé, et je l'ai reconnu, j'ai reconnu son odeur, son gland pas encore décalotté où la mouille perlait déjà..
J'ai pris sa belle queue en main, tirant le prépuce, dégageant le beau gland rouge vif. Les perles coulaient, j'ai donné un coup de langue les faisant disparaître pour immédiatement revenir et entendre son premier gémissement, sa main qui se posait sur ma tête, on reprenait les mêmes gestes qu'il y a un an!
J'ai caressé ses couilles d'une main tout en continuant de lécher et d'aspirer son gland qui coulait sans arrêt. J'ai aimé sa mouille claire.
J'ai voulu goûter ses couilles, tenant sa queue sur son ventre, je les ai léché, avalé, les faisant rouler dans ma bouche, dans la salive.
Il gémissait de plus en plus fort Jérôme.
Il pouvait gueuler, les voisins étaient loin.
Et j'ai pris sa belle et bonne queue en bouche, il poussait de petits cris et je l'ai de suite pipé rapidement en passant ma main entre ses jambes pour chercher son anus. Il écartait ses jambes comme il pouvait, ses deux mains me tenaient la tête et je l'ai sucé comme un malade qui veut la santé en enfonçant mon doigt dans son cul chaud!
Il n'a pas mis longtemps à m'abreuver et ses giclées m'ont rempli la bouche. Il gueulait très fort en se déversant.
J'ai bien léché sa queue et je l'ai vu se mettre à quatre pattes au bord du lit.
J'ai fini de lui retirer ses chaussures, chaussettes, pantalon et boxer.. et j'avais mon curé nu sur mon lit.
Je me suis mis dans la même tenue que lui, je voyais qu'il m'observait, qu'il regardait ma queue.
J'ai claqué ses belles fesses fines et dures, les caressant, les écartant et je l'ai léché, retrouver ce petit trou que je n'avais eu qu'une fois!
J'ai trouvé qu'il s'ouvrait bien pour quelqu'un qui ne baisait pas. Il devait se goder le curé en se branlant.
Je l'imaginais en soutane, se branlant avec un gros gode dans le cul!!
J'avais envie de ce cul, bien envie. Je l'ai vite doigté avec deux doigts qui entraient facilement, très facilement et ma queue est arrivée au moment où il posait sa tête sur les draps et ses mains venaient ouvrir encore plus les fesses.
J'étais tellement excité de voir ce cul qui s'ouvrait si facilement, que j'ai serré ses hanches et j'ai forcé son cul en continu pour rentrer ma grosse queue d'une seule traite, mais lentement.
Sentir un cul envelopper ma queue et la serrer est un grand plaisir et entendre Jérôme gueuler, marmonner des choses incompréhensibles.. Il s'offrait à mes coups de reins, à ma queue qui le forait bien profond, comme lui je n'ai pas tenu longtemps avant de l'inonder, de remplir son conduit, on criait tous les deux ensemble!
Quand je me suis retiré de lui, je me suis allongé sur mon lit.
Il est d'abord venu me lécher la queue, l'observer, la caresser, me toucher les couilles, me caresser tendrement en remontant sur mon torse pour venir sur moi à moitié, me caresser la joue et me faire un gros bisous, jusqu'à ce que sa langue entre dans ma bouche.
On est resté un long moment à se caresser, les queues étaient redevenues raides.
On a parlé, de nous, de notre rencontre. Il m'a raconté qu'à cette époque il allait de temps en temps dans cette boîte pour se faire enculer, c'était son péché… de gourmandise. Mais quand il avait été nommé curé, il avait décidé d'arrêter, et j'ai été son dernier amant.
Il disait aussi que l'envie de se faire baiser le prenait souvent, alors il s'est acheté un gode, un gros gode et se donnait du plaisir souvent, très souvent, mais tout seul en se branlant et il lui arrivait de penser à ma queue, sa dernière queue vivante.
-et là! tu es venu me débaucher Fabrice et je n'ai pas su résister.
Il avait quand l'air peiné de dire ça.
-et tu vas le dire en confession ?
-je suis obligé tu sais de confesser tous mes péchés.
Il parlait très sérieusement mon ami le curé!
Moi j'avais plutôt envie de rire… je sais, je suis un mécréant!
-mais il sait tout Dieu, il voit tout! depuis que je suis tout petit on me dit sans arrêt de ne pas faire de bêtises car de toute façon le bon Dieu voit tout! Donc il le saura…
-et alors ? dit il.
-donc comme il nous a vu, pas la peine de le répéter! il le sait! donc voilà…
Il rigole.
-qu'est ce qui te dit que celui à qui tu vas raconter ça, ça va pas l'exciter et qu'il va pas en faire autant ? ça va devenir une chaîne sans fin.
Il rigole encore plus.
-on ne m'avait jamais dit ça comme ça, mais remarque c'est vraiment pas faux ce que tu dis, mais arrêtons de parler de Lui.
-t'as peur qu'il vienne entre nous… ? dis je en riant.
-non mais moi j'ai faim, ta queue donne faim Fabrice.
On s'est encore fait des bisous, des caresses et on est allé dîner, nus tous les deux, en bandant toujours.
J'ai passé une première soirée avec lui , superbe, magnifique.
C'est toujours bien agréable d'avoir un beau mec nu devant soi.
On est retourné au lit, et ce fût encore la fête à son cul, il en voulait, et il aimait ça se faire prendre dans toutes les positions, caresser un mec, le sucer, avaler son jus, il m'a léché des pieds à la tête.
Il ne m'a jamais dit qu'il m'aimait mais "je suis bien avec toi".
J'ai profité de son corps, de lui, de sa queue, on a joui plusieurs fois.
Quand il est parti il était 4 heures du matin. Il ne voulait pas qu'on voit sa voiture partir le matin de chez moi.
Je lui ai demandé de ne rien dire quant à notre relation, nos relations sexuelles, que je pensais ce que je lui avais dit sur Dieu qui voyait tout : personne d'autre n'avait à le savoir. Cela semblait le chagriner quand même.
-de toute façon, si tu veux absolument te confesser… tu viens me voir!
Il a rigolé en m'embrassant, il a peiné à partir..
Cela se passait il y a un moment, mais on se voit encore, de temps en temps, quand il n'en peut plus de son gode il vient prendre ma queue et, pour moi c'est toujours un plaisir de l'avoir dans mon lit…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette histoire largement plus intelligente et bien construite que la moyenne, avec ce qu'il faut de respect et de tendresse, finalement assez crédible, ça change, comme le style de bon niveau et le mix ortho-grammaire bien plus décent que ce que je lis trop souvent ici, donc merci !