Le nouvel amant de ma femme et leur cinéma
Récit érotique écrit par Témoin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le nouvel amant de ma femme et leur cinéma
Ce nouvel amant deviendra un étalon régulier qu'elle rencontrera à de nombreuses reprises. Nous partons dans la banlieue de Colmar. Elle a été rasée préparée et je lui ai mis un rosebud dans le cul. Le scénario est fixé. Elle attendra dans la voiture, j'irai d'abord voir l'homme et ensuite je la conduirai dans la chambre à l'étage où il attendra les yeux bandés. Elle sera déshabillée en bas et préparée, yeux bandés également. Nous arrivons près de la maison, je vais m'assurer que les choses sont en ordre et vais la chercher. Elle enlève sa robe se trouve chatte à l'air, je lui bande les yeux et la guide dans les escaliers. Elle entre dans la chambre et s'approche de l'homme. Ils ne peuvent que se sentir avec les doigts. Ils ont les yeux bandés et ne se sont jamais vu avant. Très vite, il lui mets la main sur la chatte et elle se cambre. Je photographie et leur permets de se découvrir avec les lèvres. Elle veut le sucer et se penche sur sa queue qu'il a plus grosse que la mienne. Je n'existe plus pour eux. ils s'enfoncent dans la découverte de l'autre et deviennent de plus en plus chiens. Il la pousse sur le lit, et met sa queue dans sa bouche alors qu'il lui bouffe sa chatte trempée. Il la retourne et elle suit cet amant qu'elle n'a toujours pas vu dans tous ces désirs. Il la pénètre puissamment, lui force les cuisses, l'embrasse à pleine bouche, lui bave toute sa salive sur sa langue, il la lèche, lui laboure avec ses lèvres la raie de son cul et revient lui mordiller la chatte. Enfin il retire le rosebud et d'un coup de rein, l'encule jusqu'aux testicules. Je lui avais dit qu'elle finirait par se faire prendre par le cul, car elle est adepte inconditionnelle de cette jouissance. A tel point qu'elle s'est déjà livrée à plusieurs hommes uniquement par son anus. mais je vous raconterai ça une autre fois. Après leur jouissance, on a passé un moment ensemble pour boire une coupe de champagne et faire connaissance autrement. En partant, il l'a embrassée langoureusement, a passé sa main sur sa chatte et elle s'est laissée faire comme une pute. On s'est promis de se revoir et on est partis dans la nuit. Elle était encore trempée quand on est rentrés et j'ai léché sa chatte et puis ai pris ma place dans son cul, qu'elle avait largement ouvert. On revoit régulièrement cet amant et maintenant, je vais faire la vaisselle pendant qu'il la saute bruyamment dans la maison.
J'allais enfin grâce à N. réaliser un plan qui me trottait dans la tête depuis un moment. Jusqu’à présent, ELLE avait reçu ses amants en ma présence ou alors elle les avait rencontré dans des soirées libertines. Mais j’avais envie de la livrer seule à un homme et de satisfaire mon candaulisme voyeur en posant une caméra dans la pièce et en la laissant seule avec son étalon. ELLE fut d’abord réticente, car elle n’y voyait pas vraiment d’avantage par rapport à la situation normale et elle avait aussi peur que la rencontre tourne mal.
J’ai donc pris contact avec N., un amant régulier qu’elle appréciait pour ses performances et avec lequel elle adorait baiser et qui la faisait bien jouir.
Il accepta et on se mit d’accord sur un scénario : je la conduirais chez lui, il aurait les yeux bandés serait assis sur le canapé. Je la conduirais alors dans une pièce pour qu’elle se change et l’amènerais ensuite vers lui yeux bandés. Pendant qu’elle se déshabillerait, j’installerais la caméra pour la mettre en route au moment où elle le rejoindrait. Et je quitterais la maison pour une heure pour y revenir et terminer la soirée.
Restait à convaincre la petite renarde ! Je n’ai pas dû pousser bien fort, car l’idée avait fait son chemin et le fait qu’elle serait avec N. était rassurant. Et de toute façon, elle est d’abord sur ses gardes, mais son naturel immoral et dépravé revient vite au galop et elle fantasme rapidement.
La date avait été fixée, un soir en semaine à 20h00. Les libertins sont toujours très ponctuels, pas avant et pas après.
Elle avait son petit sac d’accessoires et ses habits érotiques. Nous nous garâmes devant la maison de N. et entrâmes par une porte dérobée que nous connaissions maintenant bien. Elle alla directement dans le dressing pour se changer pendant que je saluais N., déjà assis sur le canapé, les yeux bandés. Je positionnai la caméra et fis un réglage de lumière car la pièce était trop sombre.
J’allai ensuite la chercher et la guidai vers la place à côté de lui. Elle avait un haut noir qui cachait ses seins était sinon cul nul avec des bas noirs et des escarpins noirs également. Immédiatement, ils se cherchèrent avec leurs mains et leurs bouches et mélangèrent leurs langues comme si ils n’avaient attendu que ce moment-là depuis des lustres.
Elle avait ouvert ses cuisses et il la palpa directement à l’entrejambe. Je décidai donc de réaliser le plan et pris congé en lui caressant la joue. Elle était bien trop occupée pour réagir et je partis avec le sentiment agréable d’être assez inutile dans ce qui allait se passer.
Je pris la voiture et cherchai en zone commerciale près de Colmar un magasin dans lequel nous voulions acheter des meubles. Pendant que je regardais les vitrines, j’essayais d’imaginer ce qu’ils faisaient. Je dois dire que je ressentais un immense plaisir à savoir qu’ELLE se faisait baiser et qu’elle se donnait sans retenue, sa bouche, sa chatte, son cul, qu’elle dégustait cet étalon avec lequel elle était en symbiose corporelle parfaite comme une maîtresse, une pute ou une salope trompant son mari. Sauf que j’étais consentant et que je l’avais voulu.
Ce qui se passa, je l’ai vu après en visionnant le film et je le raconterai plus tard. En revenant une heure après, je les vis sur le canapé s’embrassant goulûment . elle était allongée et lui était penché sur elle lui mordant la bouche, bouffant la pointe de ses seins et lui palpant son ventre offert. Elle avait un godemiché fiché dans son cul et ressemblait à une pouliche, car celui-ci avait une queue de cheval. L’épaisseur des lèvres de sa chatte et le trou béant laissé par la grosse queue de N. ne laissait aucun doute sur leur coït profond et long. ELLE en avait pris plein son con et il lui préparait maintenant l’anus pour l’enculer, comme elle aimait à le dire.
Je n’existais pas. Je vins m’asseoir sur un fauteuil et restai là à les regarder. J’arrêtai ensuite la caméra et ils reprirent leurs esprits, se relevèrent, gorgés de sexe. N. ouvrit du champagne et nous discutâmes gentiment de tout et de rien. Puis je lui demandai de nous montrer ses orifices, ce qu’elle fit volontiers, ouvrant ses lèvres en grand et laissant voir le rose de son vagin. N. fut bientôt debout, se colla à elle et l’embrassa à pleine bouche en lui caressant les fesses et en la tenant serrée contre lui. Il l’entraîna alors à l’étage en la faisant passer devant lui pour pouvoir mater ses fesses. Au milieu de l’escalier, elle s’arrêta et ouvrit ses cuisses, tendit ses fesses pour qu’il voie bien ses orifices. Ils furent bientôt dans la chambre, où il le coucha sur le lit. Elle prit alors sa queue entre ses pieds et la masturba longuement pour bien la durcir avant la chevauchée dont on voyait à l’ouverture de ses trous qu’elle en avait grande envie.
Elle s’allongea sur le dos et il enfila son gros dard capoté lentement, lentement dans son vagin avide de le recevoir puis s’allongea complètement sur elle et entreprit de la baiser à grands coups de bite profonds, s’arrêtant régulièrement au fond de son vagin en tournant ses hanches pour bien l’élargir.
Il la mit ensuite en levrette et s’immisça entre ses fesses rondes et avenantes et lui embrocha le trou du cul. Elle gémissait fort et sa gorge rendait le son des coups de son amant dans son sphincter.
Ça dura longtemps et j’observais combien elle avait besoin de ces amants qui lui procuraient des plaisirs que je ne pouvais lui donner et j’aimais la façon spontanée, libre et sans retenue avec laquelle elle s’offrait. Je n’existais pas dans ces moments-là et j’en étais heureux. Le bénéfice pour notre couple était sans commune mesure avec les quelques frissons que je ressentais parfois de ne pouvoir la contenter de la même façon que N. .
Nous repartîmes dans la nuit, après qu’il l’eut caressée sous sa robe, empaumant sa moule grasse de ses jouissances et épaisse de l’action de sa belle queue.
J'allais enfin grâce à N. réaliser un plan qui me trottait dans la tête depuis un moment. Jusqu’à présent, ELLE avait reçu ses amants en ma présence ou alors elle les avait rencontré dans des soirées libertines. Mais j’avais envie de la livrer seule à un homme et de satisfaire mon candaulisme voyeur en posant une caméra dans la pièce et en la laissant seule avec son étalon. ELLE fut d’abord réticente, car elle n’y voyait pas vraiment d’avantage par rapport à la situation normale et elle avait aussi peur que la rencontre tourne mal.
J’ai donc pris contact avec N., un amant régulier qu’elle appréciait pour ses performances et avec lequel elle adorait baiser et qui la faisait bien jouir.
Il accepta et on se mit d’accord sur un scénario : je la conduirais chez lui, il aurait les yeux bandés serait assis sur le canapé. Je la conduirais alors dans une pièce pour qu’elle se change et l’amènerais ensuite vers lui yeux bandés. Pendant qu’elle se déshabillerait, j’installerais la caméra pour la mettre en route au moment où elle le rejoindrait. Et je quitterais la maison pour une heure pour y revenir et terminer la soirée.
Restait à convaincre la petite renarde ! Je n’ai pas dû pousser bien fort, car l’idée avait fait son chemin et le fait qu’elle serait avec N. était rassurant. Et de toute façon, elle est d’abord sur ses gardes, mais son naturel immoral et dépravé revient vite au galop et elle fantasme rapidement.
La date avait été fixée, un soir en semaine à 20h00. Les libertins sont toujours très ponctuels, pas avant et pas après.
Elle avait son petit sac d’accessoires et ses habits érotiques. Nous nous garâmes devant la maison de N. et entrâmes par une porte dérobée que nous connaissions maintenant bien. Elle alla directement dans le dressing pour se changer pendant que je saluais N., déjà assis sur le canapé, les yeux bandés. Je positionnai la caméra et fis un réglage de lumière car la pièce était trop sombre.
J’allai ensuite la chercher et la guidai vers la place à côté de lui. Elle avait un haut noir qui cachait ses seins était sinon cul nul avec des bas noirs et des escarpins noirs également. Immédiatement, ils se cherchèrent avec leurs mains et leurs bouches et mélangèrent leurs langues comme si ils n’avaient attendu que ce moment-là depuis des lustres.
Elle avait ouvert ses cuisses et il la palpa directement à l’entrejambe. Je décidai donc de réaliser le plan et pris congé en lui caressant la joue. Elle était bien trop occupée pour réagir et je partis avec le sentiment agréable d’être assez inutile dans ce qui allait se passer.
Je pris la voiture et cherchai en zone commerciale près de Colmar un magasin dans lequel nous voulions acheter des meubles. Pendant que je regardais les vitrines, j’essayais d’imaginer ce qu’ils faisaient. Je dois dire que je ressentais un immense plaisir à savoir qu’ELLE se faisait baiser et qu’elle se donnait sans retenue, sa bouche, sa chatte, son cul, qu’elle dégustait cet étalon avec lequel elle était en symbiose corporelle parfaite comme une maîtresse, une pute ou une salope trompant son mari. Sauf que j’étais consentant et que je l’avais voulu.
Ce qui se passa, je l’ai vu après en visionnant le film et je le raconterai plus tard. En revenant une heure après, je les vis sur le canapé s’embrassant goulûment . elle était allongée et lui était penché sur elle lui mordant la bouche, bouffant la pointe de ses seins et lui palpant son ventre offert. Elle avait un godemiché fiché dans son cul et ressemblait à une pouliche, car celui-ci avait une queue de cheval. L’épaisseur des lèvres de sa chatte et le trou béant laissé par la grosse queue de N. ne laissait aucun doute sur leur coït profond et long. ELLE en avait pris plein son con et il lui préparait maintenant l’anus pour l’enculer, comme elle aimait à le dire.
Je n’existais pas. Je vins m’asseoir sur un fauteuil et restai là à les regarder. J’arrêtai ensuite la caméra et ils reprirent leurs esprits, se relevèrent, gorgés de sexe. N. ouvrit du champagne et nous discutâmes gentiment de tout et de rien. Puis je lui demandai de nous montrer ses orifices, ce qu’elle fit volontiers, ouvrant ses lèvres en grand et laissant voir le rose de son vagin. N. fut bientôt debout, se colla à elle et l’embrassa à pleine bouche en lui caressant les fesses et en la tenant serrée contre lui. Il l’entraîna alors à l’étage en la faisant passer devant lui pour pouvoir mater ses fesses. Au milieu de l’escalier, elle s’arrêta et ouvrit ses cuisses, tendit ses fesses pour qu’il voie bien ses orifices. Ils furent bientôt dans la chambre, où il le coucha sur le lit. Elle prit alors sa queue entre ses pieds et la masturba longuement pour bien la durcir avant la chevauchée dont on voyait à l’ouverture de ses trous qu’elle en avait grande envie.
Elle s’allongea sur le dos et il enfila son gros dard capoté lentement, lentement dans son vagin avide de le recevoir puis s’allongea complètement sur elle et entreprit de la baiser à grands coups de bite profonds, s’arrêtant régulièrement au fond de son vagin en tournant ses hanches pour bien l’élargir.
Il la mit ensuite en levrette et s’immisça entre ses fesses rondes et avenantes et lui embrocha le trou du cul. Elle gémissait fort et sa gorge rendait le son des coups de son amant dans son sphincter.
Ça dura longtemps et j’observais combien elle avait besoin de ces amants qui lui procuraient des plaisirs que je ne pouvais lui donner et j’aimais la façon spontanée, libre et sans retenue avec laquelle elle s’offrait. Je n’existais pas dans ces moments-là et j’en étais heureux. Le bénéfice pour notre couple était sans commune mesure avec les quelques frissons que je ressentais parfois de ne pouvoir la contenter de la même façon que N. .
Nous repartîmes dans la nuit, après qu’il l’eut caressée sous sa robe, empaumant sa moule grasse de ses jouissances et épaisse de l’action de sa belle queue.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime vraiment ces récits. Bien écrit avec aussi une réflexion psychologique sans prétention mais qui sonne juste; c'est effectivement propre aux candaulistes au niveau du ressenti.
Quelle histoire, nous souhaiterions connaitre la suite et surtout ce que cette vidéo avait tourné