Le nouvel an sera chaud
Récit érotique écrit par Magic Sex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2009 dans la catégorie Plus on est
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Le nouvel an sera chaud
31 Décembre. Ce soir, c’est la fête assurée, d’autant que c’est notre dernière semaine de vacances, on repart vers la France le 4. Adieu la Nouvelle Calédonie, ses plages et ses paysages de rêve, tout autant que les sublimes demoiselles en bikini que l’on croise à chaque coin de Nouméa. Et je suis loin d’en faire une overdose, de ces petites métisses. D’ailleurs ma cousine l’a bien compris, elle m’a présenté plusieurs de ces amies qui seront à la soirée de ce soir, chez elle. Moi et mes amis, on va en profiter : soirée tranquille dans un appart’ avec vue sur le port, puis direction la Baie des Citrons, le rendez-vous des clubbers. Cette nuit, faut qu’elle soit mythique, je sens déjà la chaleur monter en moi… pourtant je n’ai pas encore pris de cocktail, mais les fantasmes ne tardent pas à monter. J’imagine déjà deux ou trois amies de ma cousine, nues sur la plage en ma compagnie. Quoique, du côté de mes amies à moi certaines sont plutôt mignonnes. Deux sont prises, mais ça, on s’arrangera. En revanche, Mélodie, elle, est célibataire, et on se demande pourquoi. Grande, fine, aux formes avantageuses, elle ne laisse insensible personne en maillot de bain. Et j’avoue que voir plus loin que son string me fait bien envie.
De toute façon, il est l’heure, les premières filles débarquent déjà. La soirée se met en route, il fait très chaud cet été. A 35°, même à 9h du soir en pleine nuit, autant vous dire que la transpi arrive vite. L’avantage, c’est qu’on peut mater tout ce qu’on veut. A chaque nouveau verre, je regarde discrétos dans le décolleté de la serveuse, une amie de ma cousine qui s’est proposé pour l’occasion. Et je ne sais pas si c’est la vodka ou si c’est fait exprès, mais plus je la regarde, moins elle est habillée ! Son décolleté plongeant en V laisse voir un profil plutôt flatteur, de jolis petits seins en poire ! D’ailleurs je ne suis jamais en face d’elle. Sa robe noire sur son corps ultra mate et sa jolie poitrine de plus en plus visible, nan mieux vaut qu’elle ne me voit pas dans son champs de vision, sinon la bosse qui arrive dans mon pantalon en lin risque d’être difficilement dissimulable. Et ce petit clin d’œil qu’elle vient de m’adresser n’arrange rien ! C’est moi ou ce soir, c’est elle que j’ai envie de gouter ? Les couples se forment danses après danses, l’ambiance devient chaude et sex dans l’appart, les zouks s’enchainent, on va bientôt aller passer la nouvelle année en boite, le lieu spécialement conçu pour délires en tout genre, le lieu où tout le monde se lâche… et là où je vais lâcher mon sex apeal sur ma proie.
Arrivé à la Jet 7, la boite la plus blindée, je ne trouvais pas grand monde connu au bataillon. Après un ou deux verres avec mes amis, direction dancing, le radar en marche. Toutes ces mini jupes, ces jolies jambes fines et dénudées, ces seins en perpétuel mouvement au rythme du balancement de la musique ragga, c’est tellement bon ! On se frôle, on se touche et soudain, je vois ma muse du soir, déchaînée, au milieu de la foule. Le haut de sa robe ne cachait plus grand-chose avec ces secousses. Son déhanché attirait énormément de monde, il fallait que je me décide vite à aller la voir. Pas besoin, elle me fit signe de m’approcher. Je la prends dans mes bras, pour un collé-serré mémorable. Moi derrière elle, ses fesses rebondies plaquées contre mon sexe tendu, impossible à camoufler. Elle se retourne et m’embrasse. On veut la même chose. Sa main descend lentement, glissant sur mon ventre, vers mon pantalon. Elle passe sur ma bosse, sans s’arrêter, pendant qu’on s’embrasse. Elle continue son trajet et rentre sa main dans ma poche. Le doux frottement du lin contre ma cuisse m’excitait encore plus, quand elle se mit à serrer mon sexe tendu avec force. Elle me sourit, d’un air coquin. Son visage et ses yeux légèrement bridés m’auraient fait faire n’importe quoi pourvu qu’elle continue. Ma main passa sous sa robe et vint titiller la fine ficelle de son string. A ce moment nous sommes sortis de la boite, traversant la route, vers la plage. Nous étions seuls, la foule se démenait non loin, mais l’ombre des arbres nous cachait. Elle m’embrassa fougueusement, je la plaquais par terre. Le bruit des vagues couvrait à peine ses premiers gémissements lorsque ma main passa sous son string. Je lui retirais doucement, et plongea ma langue sous sa robe, pour la première attaque. Son sexe rasé ruisselait de mouille, je raflais tout et, rythmant mes coups de langue, la fit crier une première fois. Je retournais sur ma demoiselle qui enlevait ma chemise. Elle glissa sa main sous mon pantalon, attrapant mon manche dressé de plus belle, et commença des va et vient, tout en douceur. Sa petite main faisait difficilement le tour de mon sexe, elle me mit donc assis, déboutonna mon pantalon et sortit sa proie, qu’elle prit immédiatement en bouche. Tout en me regardant avec son air coquin, elle aspirait, gobait, léchait, lentement. De son autre main, elle malaxait délicatement mes bourses. Je ne tiendrais pas longtemps, c’est sûr. L’un de ses seins était carrément sorti de sa cage, et valsait à chaque mouvement. Je la repoussais, pour mieux me délecter. A quatre patte, je soulevais sa robe et pénétra un grand coup son minou rasé. Je limais ses entrailles à toute vitesse, m’arrêtant de temps à autres au plus profond. Ma belle se cambrait, levait la tête et poussait des cris, qui m’excitaient encore plus. Je ne peux plus, je me décharge une première fois en elle. Pas de répit, elle en veut encore. Sur le dos cette fois, je la prends en levrette. Excité comme un pou, incapable de trouver le bon rythme de croisière, je remuais ma proie dans tous les sens. La cuillère, devant, derrière, tout y passait. Repue, nous terminions en 69, sous le bruit des vagues et de la fête qui continuait derrière nous.
Allongé auprès d’elle, je n’avais pas encore envie que ça s’arrête. Je regardais autour de moi et à ma grande surprise, Mélodie nous matais depuis tout à l’heure derrière l’arbre. Je ne dis rien. Quand l’autre fut parti aux toilettes se refaire une beauté, je vins la surprendre. Mélodie se doigtait, les yeux fermées, les lèvres pincées. C’était si bon de la voir devant moi, soumise. Je mis ma main sur son sein. Elle sursauta en me voyant. Je lui fis signe de se taire et l’emmena sur mon lit de sable déjà usé par une autre tigresse avant elle. Je l’embrassais, tendrement. Mais la petite se mit à se démener. Elle me prit la tête, me fit rouler sur le dos, et grimpa sur moi. Une jambe de chaque côté de mon corps, elle me griffa férocement. Je me retins de crier, mais elle s’était déjà acharnée sur mon sexe, qu’elle prit en bouche rapidement. Une pipe mémorable. Des va-et-vient à toute vitesse, ses cheveux volant autour de ma région pubienne, une main plaquée sur mon ventre, à me caresser, c’était somptueux. Elle avala ma semence, et je la pris, sur le côté, moi derrière elle. Je ne pensais plus à rien, qu’à la défoncer, le plus vite possible, au rythme de ses petits cris. Cela dura un bon moment, puis je sentis quelque chose qui vint frôler mon anus. Ma première conquête était revenue, et elle me collait un doigt dans le cul ! Je n’avais jamais tenté ça, et aussi bizarre que ça puisse paraître, ça me fit éjaculer dans la chatte de ma blonde, ravie et épuisée. Moi, toujours plus excité, je ne comptais pas m’arrêter là. Il fallait que je me venge. Je pris ma métisse, lui enleva carrément sa robe, et la pris en brouette. Je rentrais sans aucun problème dans son cul de rêve, et pris mon pied dans son petit trou. Les yeux fermés, je savourais. Je les réouvris quand j’entendis deux gémissements différents mais familiers, et vis une image, gravée dans ma mémoire. L’exotique mêlé au classique, ma jeune des îles, pendant que je la trouais, offrait un cunnilingus apparemment fort agréable à la petite métropolitaine. Il ne m’en fallait pas plus pour me décharger une dernière fois sur ma princesse. Les deux se tournèrent et finirent en beauté une fellation, à deux, magnifique. Leur dernier patin me fit m’endormir avec le sourire, au moins jusqu’à l’année prochaine.
De toute façon, il est l’heure, les premières filles débarquent déjà. La soirée se met en route, il fait très chaud cet été. A 35°, même à 9h du soir en pleine nuit, autant vous dire que la transpi arrive vite. L’avantage, c’est qu’on peut mater tout ce qu’on veut. A chaque nouveau verre, je regarde discrétos dans le décolleté de la serveuse, une amie de ma cousine qui s’est proposé pour l’occasion. Et je ne sais pas si c’est la vodka ou si c’est fait exprès, mais plus je la regarde, moins elle est habillée ! Son décolleté plongeant en V laisse voir un profil plutôt flatteur, de jolis petits seins en poire ! D’ailleurs je ne suis jamais en face d’elle. Sa robe noire sur son corps ultra mate et sa jolie poitrine de plus en plus visible, nan mieux vaut qu’elle ne me voit pas dans son champs de vision, sinon la bosse qui arrive dans mon pantalon en lin risque d’être difficilement dissimulable. Et ce petit clin d’œil qu’elle vient de m’adresser n’arrange rien ! C’est moi ou ce soir, c’est elle que j’ai envie de gouter ? Les couples se forment danses après danses, l’ambiance devient chaude et sex dans l’appart, les zouks s’enchainent, on va bientôt aller passer la nouvelle année en boite, le lieu spécialement conçu pour délires en tout genre, le lieu où tout le monde se lâche… et là où je vais lâcher mon sex apeal sur ma proie.
Arrivé à la Jet 7, la boite la plus blindée, je ne trouvais pas grand monde connu au bataillon. Après un ou deux verres avec mes amis, direction dancing, le radar en marche. Toutes ces mini jupes, ces jolies jambes fines et dénudées, ces seins en perpétuel mouvement au rythme du balancement de la musique ragga, c’est tellement bon ! On se frôle, on se touche et soudain, je vois ma muse du soir, déchaînée, au milieu de la foule. Le haut de sa robe ne cachait plus grand-chose avec ces secousses. Son déhanché attirait énormément de monde, il fallait que je me décide vite à aller la voir. Pas besoin, elle me fit signe de m’approcher. Je la prends dans mes bras, pour un collé-serré mémorable. Moi derrière elle, ses fesses rebondies plaquées contre mon sexe tendu, impossible à camoufler. Elle se retourne et m’embrasse. On veut la même chose. Sa main descend lentement, glissant sur mon ventre, vers mon pantalon. Elle passe sur ma bosse, sans s’arrêter, pendant qu’on s’embrasse. Elle continue son trajet et rentre sa main dans ma poche. Le doux frottement du lin contre ma cuisse m’excitait encore plus, quand elle se mit à serrer mon sexe tendu avec force. Elle me sourit, d’un air coquin. Son visage et ses yeux légèrement bridés m’auraient fait faire n’importe quoi pourvu qu’elle continue. Ma main passa sous sa robe et vint titiller la fine ficelle de son string. A ce moment nous sommes sortis de la boite, traversant la route, vers la plage. Nous étions seuls, la foule se démenait non loin, mais l’ombre des arbres nous cachait. Elle m’embrassa fougueusement, je la plaquais par terre. Le bruit des vagues couvrait à peine ses premiers gémissements lorsque ma main passa sous son string. Je lui retirais doucement, et plongea ma langue sous sa robe, pour la première attaque. Son sexe rasé ruisselait de mouille, je raflais tout et, rythmant mes coups de langue, la fit crier une première fois. Je retournais sur ma demoiselle qui enlevait ma chemise. Elle glissa sa main sous mon pantalon, attrapant mon manche dressé de plus belle, et commença des va et vient, tout en douceur. Sa petite main faisait difficilement le tour de mon sexe, elle me mit donc assis, déboutonna mon pantalon et sortit sa proie, qu’elle prit immédiatement en bouche. Tout en me regardant avec son air coquin, elle aspirait, gobait, léchait, lentement. De son autre main, elle malaxait délicatement mes bourses. Je ne tiendrais pas longtemps, c’est sûr. L’un de ses seins était carrément sorti de sa cage, et valsait à chaque mouvement. Je la repoussais, pour mieux me délecter. A quatre patte, je soulevais sa robe et pénétra un grand coup son minou rasé. Je limais ses entrailles à toute vitesse, m’arrêtant de temps à autres au plus profond. Ma belle se cambrait, levait la tête et poussait des cris, qui m’excitaient encore plus. Je ne peux plus, je me décharge une première fois en elle. Pas de répit, elle en veut encore. Sur le dos cette fois, je la prends en levrette. Excité comme un pou, incapable de trouver le bon rythme de croisière, je remuais ma proie dans tous les sens. La cuillère, devant, derrière, tout y passait. Repue, nous terminions en 69, sous le bruit des vagues et de la fête qui continuait derrière nous.
Allongé auprès d’elle, je n’avais pas encore envie que ça s’arrête. Je regardais autour de moi et à ma grande surprise, Mélodie nous matais depuis tout à l’heure derrière l’arbre. Je ne dis rien. Quand l’autre fut parti aux toilettes se refaire une beauté, je vins la surprendre. Mélodie se doigtait, les yeux fermées, les lèvres pincées. C’était si bon de la voir devant moi, soumise. Je mis ma main sur son sein. Elle sursauta en me voyant. Je lui fis signe de se taire et l’emmena sur mon lit de sable déjà usé par une autre tigresse avant elle. Je l’embrassais, tendrement. Mais la petite se mit à se démener. Elle me prit la tête, me fit rouler sur le dos, et grimpa sur moi. Une jambe de chaque côté de mon corps, elle me griffa férocement. Je me retins de crier, mais elle s’était déjà acharnée sur mon sexe, qu’elle prit en bouche rapidement. Une pipe mémorable. Des va-et-vient à toute vitesse, ses cheveux volant autour de ma région pubienne, une main plaquée sur mon ventre, à me caresser, c’était somptueux. Elle avala ma semence, et je la pris, sur le côté, moi derrière elle. Je ne pensais plus à rien, qu’à la défoncer, le plus vite possible, au rythme de ses petits cris. Cela dura un bon moment, puis je sentis quelque chose qui vint frôler mon anus. Ma première conquête était revenue, et elle me collait un doigt dans le cul ! Je n’avais jamais tenté ça, et aussi bizarre que ça puisse paraître, ça me fit éjaculer dans la chatte de ma blonde, ravie et épuisée. Moi, toujours plus excité, je ne comptais pas m’arrêter là. Il fallait que je me venge. Je pris ma métisse, lui enleva carrément sa robe, et la pris en brouette. Je rentrais sans aucun problème dans son cul de rêve, et pris mon pied dans son petit trou. Les yeux fermés, je savourais. Je les réouvris quand j’entendis deux gémissements différents mais familiers, et vis une image, gravée dans ma mémoire. L’exotique mêlé au classique, ma jeune des îles, pendant que je la trouais, offrait un cunnilingus apparemment fort agréable à la petite métropolitaine. Il ne m’en fallait pas plus pour me décharger une dernière fois sur ma princesse. Les deux se tournèrent et finirent en beauté une fellation, à deux, magnifique. Leur dernier patin me fit m’endormir avec le sourire, au moins jusqu’à l’année prochaine.
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