Leçon de piano 2
Récit érotique écrit par Gonzague58 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leçon de piano 2
Quand Agathe a ouvert la porte, elle portait la même robe que le cours précédent. Petite robe fleurie qui lui arrivait au dessus des genoux. Nous nous sommes salués, visiblement très gênés de notre dernier rendez-vous.
C’est vrai qu’elle faisait jeune, mais j’ai vérifié sur sa fiche ce que je savais déjà, elle allait avoir 18 ans dans 3 mois.
Je l’invite à s’installer sur le banc de piano et d’entamer ses exercices de mise en forme, quelques gammes…Je viens m’assoir tout contre elle et lui dit de m’interpréter son programme pour le concours qui arrive dans quelques mois. Important ce concours qui pourrait lui apporter une place dans un excellent orchestre ou même un début de notoriété comme concertiste.
Agathe est excellente et je suis persuadé que cette étape est tout à fait à sa portée. Elle a beaucoup de talent et est très studieuse.
Avant qu’elle ne commence vraiment je lui dis « vous direz à vous parents qu’à partir du prochain cours, je vous garderai un demie heure à une heure de plus pour que vous soyez au mieux pour le concours, bien sur gratuitement, car je crois beaucoup en vous » . Bien Monsieur ! Agathe ne parle pas beaucoup, vraiment pas mais elle est à l’écoute de mes remarques ou mes suggestions d’interprétations.
Une fois de plus, collé contre sa cuisse dont je vois la peau avec la robe qui est remontée, me donne une montée de sève.
Je me lève et la laisse enchainer les morceaux au programme du concours. Elle est prête, c’est certain, mais je sais pour y être passé, il faut inlassablement répéter, répéter, répéter. Corriger quelque nuance, quelque legato etc…Deux mètres derrière elle, son petit cul qui oscille un peu au rythme de son jeu me fait vraiment fantasmé. Je m’approche et dès la fin de son morceau, comme la fois précédente, je viens me coller contre son dos, ma virilité en appui sur ses épaules. Puis ma main descend à la rencontre des boutons de sa robe. Elle a posé ses deux mains sur les bords du tabouret et ne bouge pas…Le premier bouton puis le deuxième et enfin le troisième me donne accès a ses seins libres de toute entrave. Elle n’a pas de soutien gorge ! Incroyable ! Je caresse, je palpe, je pince légèrement les tétons et je continue l’ouverture de sa jolie robe. Quand j’écarte les pans, quelle surprise, elle n’a pas de sous vêtement !. Je suis déstabilisé. Ainsi n’est elle pas si prude qu’elle en a l’air. « Vous n’avez pas mis de sous vêtement ? » Un long silence avant qu’elle ne réponde, « je viens de les enlever aux toilettes ». Puis elle redevient muette.
Je m’empare de ses petits seins magnifiques,, je l’embrasse dans le cou, un main descend vers son triangle humide que j’empoigne d’une main ferme, lui arrachant un gémissement non feint.
Ma main devient douce et glisse sur ses lèvres, caresse son bouton, longuement. J’ouvre mon pantalon qui glisse à mes pieds et je descends mon caleçon, ma bite toute raide dans son cou, que je frotte dans ses cheveux, contre sa joue, il faut que je me contrôle ou dans deux minutes je vais tout lui donner.
« Assied toi de l’autre coté » Et elle se met face à moi, j’approche alors ma queue de ses lèvres qu’elle ouvre instantanément. « Oui c’est ça, suces moi bien » je me rends compte que je suis passé au tutoiement…Elle n’est pas experte, mais je sens la bonne volonté. Ma main sur sa nuque rythme la cadence de la fellation, sans force, sans mots, juste les bruits de succions et mes râles de plaisir.
Puis elle se lève, sa robre glisse à ses pieds, elle se retourne et vient se coller à ma poitrine, les mains nouées autour de mon cou, légèrement cambrée, en attente de mes caresses.
Mes mains glissent sur son corps, s’accrochent à ses seins d’adolescente, aux pointes dures maintenant. Elle ondule contre ma bite, et quand ma main droite arrive sur sa chatte, elle ne peut retenir un long gémissement d’animal blessé. Je n’ai pas à forcer pour que ces cuisses s’écartent, la voir ainsi offerte, ouverte à mon plaisir m’excite au plus au point.
Elle ne parle pas, mais son corps s’exprime pour elle, elle n’est que volupté, érotisme et sensualité. Je masturbe sa jeune chatte, passe et repasse sur son clitoris, je pénètre d’un doigt son temple d’amour, un deuxième se joint à la farandole et d’un coup, son corps se cabre, tétanisé, agité de secousses désordonnées… Un feulement rauque sort de sa gorge… Je la retiens pour ne pas qu’elle tombe, toujours un peu agitée de soubressauts et je l’assied sur le tabouret…Au bout d’une minute ou deux, quand elle a repris suffisamment conscience de la situation, je l’invite à se retourner vers moi.
« Mets toi à genoux Agathe s’il te plait », je lui dit cela avec beaucoup de tendresse dans la voix, et une fois installée, je me masturbe devant son visage, je promène ma queue sur ses joues, sur ses cheveux, sur ses lèvres qu’elle entr’ouvre, sa langue se me caresse le gland, ma main s’agite de plus en plus, au bord de l’irrémédiable, je prends une de ses mains que je porte à mes couilles, elle apporte d’elle même la seconde et il ne me faut pas une minute pour arroser ses lèvres et sa bouche de mon sperme chaud. Le jus coule de ses lèvres sur sa poitrine, c’est d’un érotisme époustouflant. « Avales veux tu ? » Avec un léger rictus elle répond à mon injonction…Puis le silence assourdissant dans la pièce nous fait prendre conscience de la situation et la gène s’installe. Je lui tends la serviette que j’ai toujours à portée quand je travaille le piano pour essuyer mes mains avant de jouer.
Une fois nettoyée, elle remet culotte et soutien gorge qui était dans son sac, referme sa robe jusqu’au dernier bouton.
Elle se dirige vers la porte et je lui dis « N’oubliez pas de dire à vos parents qu’à partir du prochain cours nous travaillerons deux heures »… Elle se retourne avant de refermer la porte et me dit « Au revoir Monsieur, et après une à deux secondes, merci. Un joli sourire dans les yeux qui a effacé toute ma culpabilité.
C’est vrai qu’elle faisait jeune, mais j’ai vérifié sur sa fiche ce que je savais déjà, elle allait avoir 18 ans dans 3 mois.
Je l’invite à s’installer sur le banc de piano et d’entamer ses exercices de mise en forme, quelques gammes…Je viens m’assoir tout contre elle et lui dit de m’interpréter son programme pour le concours qui arrive dans quelques mois. Important ce concours qui pourrait lui apporter une place dans un excellent orchestre ou même un début de notoriété comme concertiste.
Agathe est excellente et je suis persuadé que cette étape est tout à fait à sa portée. Elle a beaucoup de talent et est très studieuse.
Avant qu’elle ne commence vraiment je lui dis « vous direz à vous parents qu’à partir du prochain cours, je vous garderai un demie heure à une heure de plus pour que vous soyez au mieux pour le concours, bien sur gratuitement, car je crois beaucoup en vous » . Bien Monsieur ! Agathe ne parle pas beaucoup, vraiment pas mais elle est à l’écoute de mes remarques ou mes suggestions d’interprétations.
Une fois de plus, collé contre sa cuisse dont je vois la peau avec la robe qui est remontée, me donne une montée de sève.
Je me lève et la laisse enchainer les morceaux au programme du concours. Elle est prête, c’est certain, mais je sais pour y être passé, il faut inlassablement répéter, répéter, répéter. Corriger quelque nuance, quelque legato etc…Deux mètres derrière elle, son petit cul qui oscille un peu au rythme de son jeu me fait vraiment fantasmé. Je m’approche et dès la fin de son morceau, comme la fois précédente, je viens me coller contre son dos, ma virilité en appui sur ses épaules. Puis ma main descend à la rencontre des boutons de sa robe. Elle a posé ses deux mains sur les bords du tabouret et ne bouge pas…Le premier bouton puis le deuxième et enfin le troisième me donne accès a ses seins libres de toute entrave. Elle n’a pas de soutien gorge ! Incroyable ! Je caresse, je palpe, je pince légèrement les tétons et je continue l’ouverture de sa jolie robe. Quand j’écarte les pans, quelle surprise, elle n’a pas de sous vêtement !. Je suis déstabilisé. Ainsi n’est elle pas si prude qu’elle en a l’air. « Vous n’avez pas mis de sous vêtement ? » Un long silence avant qu’elle ne réponde, « je viens de les enlever aux toilettes ». Puis elle redevient muette.
Je m’empare de ses petits seins magnifiques,, je l’embrasse dans le cou, un main descend vers son triangle humide que j’empoigne d’une main ferme, lui arrachant un gémissement non feint.
Ma main devient douce et glisse sur ses lèvres, caresse son bouton, longuement. J’ouvre mon pantalon qui glisse à mes pieds et je descends mon caleçon, ma bite toute raide dans son cou, que je frotte dans ses cheveux, contre sa joue, il faut que je me contrôle ou dans deux minutes je vais tout lui donner.
« Assied toi de l’autre coté » Et elle se met face à moi, j’approche alors ma queue de ses lèvres qu’elle ouvre instantanément. « Oui c’est ça, suces moi bien » je me rends compte que je suis passé au tutoiement…Elle n’est pas experte, mais je sens la bonne volonté. Ma main sur sa nuque rythme la cadence de la fellation, sans force, sans mots, juste les bruits de succions et mes râles de plaisir.
Puis elle se lève, sa robre glisse à ses pieds, elle se retourne et vient se coller à ma poitrine, les mains nouées autour de mon cou, légèrement cambrée, en attente de mes caresses.
Mes mains glissent sur son corps, s’accrochent à ses seins d’adolescente, aux pointes dures maintenant. Elle ondule contre ma bite, et quand ma main droite arrive sur sa chatte, elle ne peut retenir un long gémissement d’animal blessé. Je n’ai pas à forcer pour que ces cuisses s’écartent, la voir ainsi offerte, ouverte à mon plaisir m’excite au plus au point.
Elle ne parle pas, mais son corps s’exprime pour elle, elle n’est que volupté, érotisme et sensualité. Je masturbe sa jeune chatte, passe et repasse sur son clitoris, je pénètre d’un doigt son temple d’amour, un deuxième se joint à la farandole et d’un coup, son corps se cabre, tétanisé, agité de secousses désordonnées… Un feulement rauque sort de sa gorge… Je la retiens pour ne pas qu’elle tombe, toujours un peu agitée de soubressauts et je l’assied sur le tabouret…Au bout d’une minute ou deux, quand elle a repris suffisamment conscience de la situation, je l’invite à se retourner vers moi.
« Mets toi à genoux Agathe s’il te plait », je lui dit cela avec beaucoup de tendresse dans la voix, et une fois installée, je me masturbe devant son visage, je promène ma queue sur ses joues, sur ses cheveux, sur ses lèvres qu’elle entr’ouvre, sa langue se me caresse le gland, ma main s’agite de plus en plus, au bord de l’irrémédiable, je prends une de ses mains que je porte à mes couilles, elle apporte d’elle même la seconde et il ne me faut pas une minute pour arroser ses lèvres et sa bouche de mon sperme chaud. Le jus coule de ses lèvres sur sa poitrine, c’est d’un érotisme époustouflant. « Avales veux tu ? » Avec un léger rictus elle répond à mon injonction…Puis le silence assourdissant dans la pièce nous fait prendre conscience de la situation et la gène s’installe. Je lui tends la serviette que j’ai toujours à portée quand je travaille le piano pour essuyer mes mains avant de jouer.
Une fois nettoyée, elle remet culotte et soutien gorge qui était dans son sac, referme sa robe jusqu’au dernier bouton.
Elle se dirige vers la porte et je lui dis « N’oubliez pas de dire à vos parents qu’à partir du prochain cours nous travaillerons deux heures »… Elle se retourne avant de refermer la porte et me dit « Au revoir Monsieur, et après une à deux secondes, merci. Un joli sourire dans les yeux qui a effacé toute ma culpabilité.
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