Le Parking
Récit érotique écrit par Libertine-ssandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Parking
Franck, avait passé l’après-midi de ce samedi sur un site internet de rencontres… Moi le samedi je travaille et donc il est seul le samedi, je ne sais presque jamais ce qu’il fait de son samedi seul, si ce n’est quand le temps le permet du sport, vélo, moto, planche a voile… mais cet après-midi là il faisait beau… et mon Franck avait passé son temps à pianoter sur l’ordinateur !
Que préparait-il… ! En arrivant à 17heures du travail, je le trouvais assis sur le fauteuil, devant lui posé sur la table basse, son portable… Il était en grande conversation avec son ordinateur ! ! !
Je m’inquiétais de son état de santé… en lui demandant si par ce beau temps, c’était normal qu’il soit enfermé dedans !!! Cela l’agaça que je le dérange dans son tête à tête avec son portable… Alors je me fis couler un bain y m’y glissais dedans avec délectation, j’en avais rêvé toute la journée, et là je profitais du calme, de cette eau tiède sur ma peau, je ne mis pas longtemps à tomber entre deux eaux et somnolais pendant près de demi heure… ! Je sortais petit à petit de ma torpeur, je savais que mon Franck quand il était comme cela devant son ordi, un samedi après-midi c’était pour préparer un « PLAN » comme il dit… !
« Mon Franck à moi c’est ma vie, c’est mon graal, mon Franck c’est ma pensée de tous les moments… Mon Franck je l’ai connu il y a vingt ans, j’en avais 17, c’était notre voisin et je vivais encore chez mes parents, il avait 10 ans de plus que moi, mais…. mais j’en rêvais déjà toutes les nuits, alors je l’ai séduit, enfin j’ai essayé… parce que monsieur était plus que courtisé, et à l’époque j’en aie vu des voitures stationnés la nuit devant chez lui, jamais les mêmes, toujours une splendide créature qui sortait de chez lui au matin…
Sans le faire exprès c’est grâce à mes parents que j’ai pu l’approcher la première fois, il venait de divorcer, et avait loué la maison en face de chez nous… son jardin était une véritable forêt vierge quand il a aménagé, et mon père toujours prêt a rendre service, lui avait proposé de remettre son jardin en état, pour l’en remercier, Franck quelques jours après sonnait chez nous, avec un gros paquet dans les mains, c’était un coffret de vins millésimés pour mon père… !Mon père surpris de cette attention, lui demanda de rester boire un verre, puis l’invita à rester manger ce soir là… Il était beau, magnifique, élégant, discret, et cultivé, c’est les réflexions que je me faisais en le regardant de temps en temps et l’écoutant parler, rien à voir avec mes copains de l’époque avec qui je passais le plus clair de mon temps… c’est ce jour là que je décidais qu’il serait à moi... !
Cela ne s’est pas fait de suite, non monsieur le peu de fois ou je pouvais le voir chez lui, seule ou chez nous, jouait les grands timides, ou réservés… puis faut dire qu’il passait peu de temps chez lui, parfois je le voyais arriver par la fenêtre, il ressortait demi heure après, changé, fourrait un gros sac dans son 4X4 et disparaissait pendant 2 semaines. A l’approche de l’été, cette année là nous partions deux semaines a Vendres a coté de Bézier, mon père lui avait dit que nous partions là-bas pour les vacances, Lui partait à la même période au Cap d’Agde chez des amis, mon père lui dit que cela lui ferait plaisir de l’accueillir quelques jours dans la maison que nous avions loué, il lui donna l’adresse, mais il n’était pas sur de pouvoir venir, il était déjà invité chez des amis et ne voulait pas leur faire faux bond, qu’il avait dit… !
C’est le matin de la deuxième semaine qu’on le vit arriver, mais sans bagages juste pour la journée, moi je passais mon temps avec des copains de vacances, entre temps dans l’année j’avais eu 18ans et j’avais passé mon permis… Ce jour là copains de vacances ne me virent pas de la journée… !
C’est moi qui fit le planning de la journée : Matin plage, puis repas et après-midi plage pour évacuer le repas ! Ca tombait bien et je savais que mes parents la plage, ce n’était pas leur tasse de thé, je l’amenais sur une plage privée non loin de la maison, on s’installa sur des transats, et quand il quitta son bermuda et chemisette, pour ne rester qu’en maillot de bain, je m’aperçus qu’il était déjà plus bronzé que moi, oui bien plus bronzé… Il n’avait pas un corps d’athlète, non un corps bien proportionné, fin, même quand il marchait pour aller dans l’eau en maillot je le trouvais élégant, il avait une façon de marcher qui me plaisait, tout à la fois calme et déterminé sans précipitation, ses conversations étaient comme ses gestes, calmes, sûrs cette matinée a se faire rôtir au soleil était pour moi un délice, un tiramisu, un enchantement… l’après-midi passa bien trop vite à mon gout, j’essayais de le faire parler pour en savoir plus sur lui, mais monsieur répondait à coté, ou bien me répondait par une autre question… j’avais mis mon plus beau maillot et il ne cachait pas grand-chose de mon anatomie, quand au haut du maillot ya longtemps que j’en mettais plus, en se remettant allongés sur les transats c’est là qu’il me complimenta pour la première fois, en disant : (tu as un corps et des seins magnifiques pour ton âge, ton maillot te vas comme une seconde peau) ce compliment m’émoustilla encore plus et j’étais déjà dans un état second… ! Mais c’est le seul compliment qu’il me fit ! la chaleur était intenable sur cette plage même à l’ombre, il me proposa de l’accompagner dans l’eau, j’étais debout avant lui… l’eau froide de la mer me calma temporairement les esprits, en le voyant entrer devant moi dans l’eau j’us l’envie subite de prendre ses deux petites fesses dans mes mains, de les mordre, de les caresser, mais bon fallait pas, ça se faisait pas avec l’ami voisin de mes parents… nous étions dans l’eau jusqu’au haut du torse, quand il plongea sous l’eau, j’en fis autant, et nageait a coté de lui sous l’eau, il me prit la main sous l’eau et j’eu comme une décharge électrique sous l’eau… Un coup de foudre… !!! je remontais à la surface, j’avais plus d’air, et j’avais plus pied, il remonta contre moi dans l’eau frôlant au passage mes seins, j’en pouvais plus… n’ayant plus pied j’essayer de rester la tête hors de l’eau, et lui en faisait autant tout contre moi a se frôler presque, il riait des qu’une vague recouvrait nos têtes ou nous faisait se toucher, j’en pouvais plus de rester là a essayer de maintenir ma tete hors de l’eau n’en je m’appuyais sur ses épaules face a lui et nos jambes se touchaient, mes seins étaient contre sa poitrine, une vague plus grosse vint s’écraser sur nous et je le serais a la taille, mon dieu je sentais là son corps contre le mien son sexe contre moi, dur, épais a travers son maillot, se rendant compte de la situation il me lâcha aussi tôt, regagnant l’endroit ou on avait pied, de quelques brasses de nage… nous étions le torse hors de l’eau et mes petits seins étaient aussi durs que des pierres, tentant ma chance, je m’approchais de lui, lui pris la main, et me plaquais de face contre lui, l’embrassant a pleine bouche là dans la mer sur cette plage, a cet instant je savais que je ne serais plus moi, je savais que cet homme pouvait faire de moi ce qu’il voulait… Ce qu’il fait jusque aujourd’hui… ! »
Je lui demandais tout de même ce qu’on faisait ce samedi soir, il me répondit qu’on allait se faire un restau tous les deux, puis après cela serait une surprise… ! Mais m’invita à prendre quelques tenues sexy dans un sac… !
Vers 9h on était en ville, Franck avait réservé une table pour nous deux dans un restaurant très connu de Toulouse, spécialisé en poissons et fruits de mer, on y allait assez régulièrement, et quand il réservait il pouvait désormais en donnant son nom choisir la table qu’il voulait, on s’installa a notre table, au fond, dans un coin contre l’angle des murs assis sur une banquette presque côte a côte, puis de cette place cela nous permettait de voir presque toute la salle !
J’avais mis une petite robe d’été noire, normale elle se boutonnait par devant avec des pressions, et dessous juste un string des plus minuscules également noir mais pratiquement transparent en dentelles, en arrivant je remarquais que le restaurant était déjà plein la terrasse également, mais en terrasse il faisait trop chaud, dedans la clim était en route et c’était plus supportable… Je demandais a Franck a nouveau ce qu’il avait prévu après le restau ce qu’il avait prévu, mais sans résultats, si ce n’est que c’était comme a son habitude une surprise et que de toute façons il me banderait les yeux… ! On avait déjà fait un plan similaire un soir chez un couple, il m’avait amené chez eux les yeux bandés, l’autre femme avait également les yeux bandés, ce fut une excellente soirée et j’en garde encore de très bons souvenirs… en attendant que l’on nous amène notre commande je faisais le tour de la salle des yeux et je trouvais qu’en cette fin de mois de juillet il y avait beaucoup d’hommes seuls, mais bon… mon Franck aussi quand il était en déplacements mangeait seul a table, puis au mois de juillet pas mal de femmes partent seules en vacances avec les gosses pendant que le mari travaille ou ils n’ont pas forcément les vacances en même temps… ! les autres tables étaient occupées par des couples comme nous ou de petit groupes de 4 a 5 personnes d’amis, assis a coté de mon mec, je le regardais de temps en temps a la dérobée, mais Franck est impénétrable quand il veut, pas moyen de savoir ce qu’il a en tête ou ce qu’il pense, sa main était posée sur ma cuisse sous la table et me caressait doucement de haut en bas laissant apparaître de temps en temps la pointe de mon string, ces douces caresses après une journée de travail étaient mon réconfort et me laissais faire avec sollicitude, ma main a moi étant posé sur sa cuisse et remontait de temps en temps vers son sexe a travers la toile de son pantalon, de toute façons là ou on était pas grand monde pouvait voir ce qui se passait sous la table, a part celles ou il y avait justement les hommes seuls, mais le troisième s’il voulait voir était obligé de se pencher, et n’en faisait rien tout appliqué a manger ses fruit de mer devant lui, le serveur amenait nos plats du fond de la salle, j’enlevais la main et la remettait sur la table en dame polie que j’étais, Franck fit de même, les plats comme toujours dans cet endroit étaient excellent, n’étant pas de gros mangeurs on avait pris des plats direct Franck des fruits de mer et moi une parrillade de poissons, de temps en temps les mains baladeuses de Franck allaient sous la table a la rencontre de mes cuisses, et j’en faisait autant avec lui, même si parfois je trouvais cela gênant, qu’il me caresse sous la table à la vue des personne qui pouvaient voir, je savais que c’est ce genre de chose qui lui plaisait, c’est un grand cérébral mon Franck, mais contrairement a beaucoup, lui il met ses fantasmes à exécution… ! Puis moi ça me plaisait également cela m’émoustillait, c’est le « côté interdit » qui me plaisait comme des enfants qui font des choses interdites… !
Cela faisait pas mal de temps que nous avions fini nos plats et attendions les cafés et l’adition pour partir, les tables des deux hommes seuls, je les voyais regarder de temps en temps furtivement, leur tables n’étant éloignées que de 2 ou 3 mètres de la notre, Mon Franck il regardait rien du tout, son regard comme d’habitude perdu dans le vide, mais je savais par expérience qu’il n’en perdait pas une goutte de cette scène… sa main remontant vers mon string, écartant de plus en plus les pans de ma robe sur mes cuisses, passant la main entre mes jambes, m’obligeant a écarter celles-ci pour lui laisser plus de mouvements, de temps en temps il s’arrêtait contre mon sexe écartant la minuscule ficelle du string pour glisser un doigt le long de mon sexe, moi j’en pouvais plus dans ces moments là, je lui aurais sorti son sexe là devant tout le monde et l’aurais mis dans ma bouche, tellement j’en avais envie, mais bon là dans ce restaurant je pouvais pas… !
On a bu nos cafés payé l’adition et sommes sortis, nous avions garé en arrivant la voiture dans un parking souterrain du centre ville a 100mètres du restaurant, j’allais mettre le ticket du parking dans la machine pour payer, quand Franck, me dit, non on reste là on payera tout à l’heure…. !
C’était quoi ce « plan » qu’il avait prévu… !!!
On était au quatrième sous-sol, là ou on avait garé la voiture, ce sous-sol en étant le dernier, l’autre encore plus bas étant le parking des abonnés, avez-vous déjà été dans un immense parking souterrain, vide ou presque vide, notre voiture en étant la seule occupante, si ce n’est bien plus loin coté escaliers quelques dizaines d’autres véhicules… les pas résonnent même le fait de chuchoter s’apparente a crier… ! on l’avait laissé au milieu, près d’un mur de soutènement il fallait dépasser ce mur qu’on puisse nous voir, puis les caméras sont toujours disposées dans les parkings aux endroits stratégiques : ascenseurs, escaliers, sorties et entrées aux barrières, en dehors de celles là, rien, cela coute trop cher aux exploitant de ces lieux… ! Tant mieux pour nous !
Franck se saisit du sac dans la malle, que j’avais préparé avant de partir avec mes affaires, et me demanda de me changer, je quittais ma petite robe d’été, j’enfilais un nouveau petit string, propre noir encore plus petit que l’autre, je mettais une guêpière a seins nus, j’enfilais une paire de bas à filet, puis des escarpins a talons haut, pardessus cela une redingote en cuir fin noir courte se fermant à la taille par juste deux boutons.
Une fois prête Franck m’expliqua enfin son plan !
Il fallait que j’ai les yeux bandés et que quoi qu’il arrive je ne dise un seul mot, de toute façons lui serait là, il aurait mis en place ses appareil photo et vidéos a déclanchement automatique sur des trépieds … !
Voilà les seules explications aux quelles j’eu droit… ! Franck me demanda de me placer entre la voiture et le mur cela laissait un espace de plus de 5 mètres disposa ses appareils a différents coins et fit quelques essais, voilà c’était bon qu’il avait dit, en me tendant le bandeau a mettre sur mes yeux, il me dirigea par la main dans la voiture coté conducteur, j’étais dans le noir le plus complet… !
Je ne sais pas comment font les personnes mal voyantes mais a cet instant je pensais à eux, le temps devient long, les minutes paraissent des heures, les petits bruit, des hurlements, les odeurs sont accentuées, et en pensant à odeurs je sentais celle du parfum envoutant de mon Franck qu’il mettait tous les jours, parfois plusieurs fois dans la journée même, je le voyais pas et même s’il était a quelques mètres je le sentais… !
Un bruit de crissement de pneus, mon rythme cardiaque s’accélère, j’entend la voiture approcher puis s’arrêter à quelques mètres de là, une portière qui claque, des pas qui s’approchent qui passent derrière notre voiture qui la longent de mon coté, un parfum différent de celui de Franck, je sens une présence là tout près de ma fenêtre une main qui est passé par celle-ci vient caresser une de mes cuisses sur mes bas, j’ai envie d’enlever le bandeau de mes yeux pour voir… mais Franck ne le voudrait pas, alors je laisse faire d’autant plus que cette main est douce, je laisse faire, puis j’entend encore un crissement de pneus, une autre voiture qui arrive, se gare, la portière qui claque, des pas qui viennent a nouveau vers moi, j’entend la portière passager s’ouvrir quelqu’un s’assied à coté de moi, une autre main caresse mon autre cuisse, ils sont deux, me dis-je dans le noir, mon Franck à fait les choses en grand… !
Ils sont là je ne les vois pas mais je sens leur caresses sur mes cuisses l’un deux me déboutonne ma redingote, l’écarte, je sent des mains me caresser les seins puis des lèvres, des frissons là dans le noir parcourent mon corps, les mains se font insistantes, elles essayent d’écarter mes cuisses, puis un autre bruit de crissement de pneus sur le béton peint du sol, une voiture qui s’approche encore, les mains sur mon corps se sont retirées, la voiture qui arrive, c’est peut-être quelqu’un qui se gare là pour aller ensuite en ville, mais non j’entends encore la voiture se garer non loin, puis une portière qui claque, des pas quelqu’un d’autre s’approche passe devant la voiture sans s’arreter, va plus loin puis fait demi tour, revient vers nous, je l’entend les pas sont presque à la voiture une autre odeur, un autre parfum tout près, plus personne ne caresse bien que je sente encore la présence sur le siège passager de quelqu’un, que font’ ils j’entend des murmures puis ce nouveau parfum que j’avais senti devient persistant et je sens sa main passer à travers la fenêtre et venir me toucher les cuisses, mais cette main est plus directe et remonte directement vers mon sexe sans trop de ménagements… j’entend a nouveau des murmures contre ma fenêtre, et je reconnais entre mille ce murmure c’est mon Franck doit pas être content, il tire cette main qui s’était posé apparemment trop vite sur mon sexe… !
La portière s’ouvre, c’est Franck il me dit à l’oreille, on sort de la voiture j’entends la portière passager s’ouvrir aussi, je suis debout, franc m’a pris la main on marche un peu, trois quatre mètres, il me fait toucher de la main un mur, me retourne et me plaque délicatement le dos au mur, me lâche la main et je le sens s’éloigner, d’autres main viennent caresser le long de mon corps, j’arrive plus a les compter, y’en a trop, combien sont’ ils, j’en ai partout, sur les cuisses le long de mes cuisses mes seins , d’autres mains m’écartent du mur, des mains encore des mains qui viennent caresser mes fesses, puis la voix de Franck là tout près qui dit, « tu peux enlever le bandeau » je me fais pas prier… ! je suis a 4 mètres de la voiture contre le mur, trois hommes contre moi en train de me caresser partout, je les reconnais de suite les hommes du restaurant…. !
! ! Franck lui est a quelques mètres et il tient un des appareils photos et mitraille… !
Trois hommes, deux d’entre eux doivent avoir moins de 25ans bien fait, bien bâtis, le troisième plus âgé au moins 35ans plus petit, à son parfum je le reconnais c’est lui a qui Franck a retiré la main de sur mon sexe, trop pressé monsieur… !
Ils ont dû avoir la consigne de ne pas parler, personne ne dit rien, un des deux jeunes m’enlève la redingote, et la garde sur son bras, un autre m’écarte les jambes pendant que le petit en profite pour passer une main entre mes cuisses par derrière, essayant de glisser un doigt entre l’élastique du string sur mon sexe, au regard que lui lance Franck de sa place il l’enlève de suite et s’éloigne un peu pour laisser la place aux deux autres, tous deux on sorti leur sexe, du pantalon et continuent a me caresser, ils sont contre moi je sent leur corps contre le mien ils ont tous deux enlevé leur teeshirts et baissé leur pantalons et boxeur sur les genoux l’autre le plus âgé, en a fait autant il se tient a un mètre de moi et se masturbe en regardant… l’un des deux jeunes a un sexe énorme… hors normes… plutôt ! je le sens contre le haut de ma cuisse je le saisit et dans ma main parait encore plus gros, chaud gonflé, le sexe de l’autre garçon est aussi dans mon autre main… et l’autre continue de se masturber devant moi… ! ! !
Une Heure presque, on est restés en tout dans ce parking, qu’avons nous fait… ?Que m’ont-ils fait tous ces hommes avec Franck dans ce parking… ?
Comment tout cela s’est il terminé … ?
Un peu d’imagination que diable…. !!!! et pour ce qui en manqueraient… les photos de Franck ce soir là sont là pour les aider. La vidéo… non là c’est notre jardin secret… ! ! !
Nos Récits Vécus © Tous droits réservés 2010 Libertine-Ssandra
Que préparait-il… ! En arrivant à 17heures du travail, je le trouvais assis sur le fauteuil, devant lui posé sur la table basse, son portable… Il était en grande conversation avec son ordinateur ! ! !
Je m’inquiétais de son état de santé… en lui demandant si par ce beau temps, c’était normal qu’il soit enfermé dedans !!! Cela l’agaça que je le dérange dans son tête à tête avec son portable… Alors je me fis couler un bain y m’y glissais dedans avec délectation, j’en avais rêvé toute la journée, et là je profitais du calme, de cette eau tiède sur ma peau, je ne mis pas longtemps à tomber entre deux eaux et somnolais pendant près de demi heure… ! Je sortais petit à petit de ma torpeur, je savais que mon Franck quand il était comme cela devant son ordi, un samedi après-midi c’était pour préparer un « PLAN » comme il dit… !
« Mon Franck à moi c’est ma vie, c’est mon graal, mon Franck c’est ma pensée de tous les moments… Mon Franck je l’ai connu il y a vingt ans, j’en avais 17, c’était notre voisin et je vivais encore chez mes parents, il avait 10 ans de plus que moi, mais…. mais j’en rêvais déjà toutes les nuits, alors je l’ai séduit, enfin j’ai essayé… parce que monsieur était plus que courtisé, et à l’époque j’en aie vu des voitures stationnés la nuit devant chez lui, jamais les mêmes, toujours une splendide créature qui sortait de chez lui au matin…
Sans le faire exprès c’est grâce à mes parents que j’ai pu l’approcher la première fois, il venait de divorcer, et avait loué la maison en face de chez nous… son jardin était une véritable forêt vierge quand il a aménagé, et mon père toujours prêt a rendre service, lui avait proposé de remettre son jardin en état, pour l’en remercier, Franck quelques jours après sonnait chez nous, avec un gros paquet dans les mains, c’était un coffret de vins millésimés pour mon père… !Mon père surpris de cette attention, lui demanda de rester boire un verre, puis l’invita à rester manger ce soir là… Il était beau, magnifique, élégant, discret, et cultivé, c’est les réflexions que je me faisais en le regardant de temps en temps et l’écoutant parler, rien à voir avec mes copains de l’époque avec qui je passais le plus clair de mon temps… c’est ce jour là que je décidais qu’il serait à moi... !
Cela ne s’est pas fait de suite, non monsieur le peu de fois ou je pouvais le voir chez lui, seule ou chez nous, jouait les grands timides, ou réservés… puis faut dire qu’il passait peu de temps chez lui, parfois je le voyais arriver par la fenêtre, il ressortait demi heure après, changé, fourrait un gros sac dans son 4X4 et disparaissait pendant 2 semaines. A l’approche de l’été, cette année là nous partions deux semaines a Vendres a coté de Bézier, mon père lui avait dit que nous partions là-bas pour les vacances, Lui partait à la même période au Cap d’Agde chez des amis, mon père lui dit que cela lui ferait plaisir de l’accueillir quelques jours dans la maison que nous avions loué, il lui donna l’adresse, mais il n’était pas sur de pouvoir venir, il était déjà invité chez des amis et ne voulait pas leur faire faux bond, qu’il avait dit… !
C’est le matin de la deuxième semaine qu’on le vit arriver, mais sans bagages juste pour la journée, moi je passais mon temps avec des copains de vacances, entre temps dans l’année j’avais eu 18ans et j’avais passé mon permis… Ce jour là copains de vacances ne me virent pas de la journée… !
C’est moi qui fit le planning de la journée : Matin plage, puis repas et après-midi plage pour évacuer le repas ! Ca tombait bien et je savais que mes parents la plage, ce n’était pas leur tasse de thé, je l’amenais sur une plage privée non loin de la maison, on s’installa sur des transats, et quand il quitta son bermuda et chemisette, pour ne rester qu’en maillot de bain, je m’aperçus qu’il était déjà plus bronzé que moi, oui bien plus bronzé… Il n’avait pas un corps d’athlète, non un corps bien proportionné, fin, même quand il marchait pour aller dans l’eau en maillot je le trouvais élégant, il avait une façon de marcher qui me plaisait, tout à la fois calme et déterminé sans précipitation, ses conversations étaient comme ses gestes, calmes, sûrs cette matinée a se faire rôtir au soleil était pour moi un délice, un tiramisu, un enchantement… l’après-midi passa bien trop vite à mon gout, j’essayais de le faire parler pour en savoir plus sur lui, mais monsieur répondait à coté, ou bien me répondait par une autre question… j’avais mis mon plus beau maillot et il ne cachait pas grand-chose de mon anatomie, quand au haut du maillot ya longtemps que j’en mettais plus, en se remettant allongés sur les transats c’est là qu’il me complimenta pour la première fois, en disant : (tu as un corps et des seins magnifiques pour ton âge, ton maillot te vas comme une seconde peau) ce compliment m’émoustilla encore plus et j’étais déjà dans un état second… ! Mais c’est le seul compliment qu’il me fit ! la chaleur était intenable sur cette plage même à l’ombre, il me proposa de l’accompagner dans l’eau, j’étais debout avant lui… l’eau froide de la mer me calma temporairement les esprits, en le voyant entrer devant moi dans l’eau j’us l’envie subite de prendre ses deux petites fesses dans mes mains, de les mordre, de les caresser, mais bon fallait pas, ça se faisait pas avec l’ami voisin de mes parents… nous étions dans l’eau jusqu’au haut du torse, quand il plongea sous l’eau, j’en fis autant, et nageait a coté de lui sous l’eau, il me prit la main sous l’eau et j’eu comme une décharge électrique sous l’eau… Un coup de foudre… !!! je remontais à la surface, j’avais plus d’air, et j’avais plus pied, il remonta contre moi dans l’eau frôlant au passage mes seins, j’en pouvais plus… n’ayant plus pied j’essayer de rester la tête hors de l’eau, et lui en faisait autant tout contre moi a se frôler presque, il riait des qu’une vague recouvrait nos têtes ou nous faisait se toucher, j’en pouvais plus de rester là a essayer de maintenir ma tete hors de l’eau n’en je m’appuyais sur ses épaules face a lui et nos jambes se touchaient, mes seins étaient contre sa poitrine, une vague plus grosse vint s’écraser sur nous et je le serais a la taille, mon dieu je sentais là son corps contre le mien son sexe contre moi, dur, épais a travers son maillot, se rendant compte de la situation il me lâcha aussi tôt, regagnant l’endroit ou on avait pied, de quelques brasses de nage… nous étions le torse hors de l’eau et mes petits seins étaient aussi durs que des pierres, tentant ma chance, je m’approchais de lui, lui pris la main, et me plaquais de face contre lui, l’embrassant a pleine bouche là dans la mer sur cette plage, a cet instant je savais que je ne serais plus moi, je savais que cet homme pouvait faire de moi ce qu’il voulait… Ce qu’il fait jusque aujourd’hui… ! »
Je lui demandais tout de même ce qu’on faisait ce samedi soir, il me répondit qu’on allait se faire un restau tous les deux, puis après cela serait une surprise… ! Mais m’invita à prendre quelques tenues sexy dans un sac… !
Vers 9h on était en ville, Franck avait réservé une table pour nous deux dans un restaurant très connu de Toulouse, spécialisé en poissons et fruits de mer, on y allait assez régulièrement, et quand il réservait il pouvait désormais en donnant son nom choisir la table qu’il voulait, on s’installa a notre table, au fond, dans un coin contre l’angle des murs assis sur une banquette presque côte a côte, puis de cette place cela nous permettait de voir presque toute la salle !
J’avais mis une petite robe d’été noire, normale elle se boutonnait par devant avec des pressions, et dessous juste un string des plus minuscules également noir mais pratiquement transparent en dentelles, en arrivant je remarquais que le restaurant était déjà plein la terrasse également, mais en terrasse il faisait trop chaud, dedans la clim était en route et c’était plus supportable… Je demandais a Franck a nouveau ce qu’il avait prévu après le restau ce qu’il avait prévu, mais sans résultats, si ce n’est que c’était comme a son habitude une surprise et que de toute façons il me banderait les yeux… ! On avait déjà fait un plan similaire un soir chez un couple, il m’avait amené chez eux les yeux bandés, l’autre femme avait également les yeux bandés, ce fut une excellente soirée et j’en garde encore de très bons souvenirs… en attendant que l’on nous amène notre commande je faisais le tour de la salle des yeux et je trouvais qu’en cette fin de mois de juillet il y avait beaucoup d’hommes seuls, mais bon… mon Franck aussi quand il était en déplacements mangeait seul a table, puis au mois de juillet pas mal de femmes partent seules en vacances avec les gosses pendant que le mari travaille ou ils n’ont pas forcément les vacances en même temps… ! les autres tables étaient occupées par des couples comme nous ou de petit groupes de 4 a 5 personnes d’amis, assis a coté de mon mec, je le regardais de temps en temps a la dérobée, mais Franck est impénétrable quand il veut, pas moyen de savoir ce qu’il a en tête ou ce qu’il pense, sa main était posée sur ma cuisse sous la table et me caressait doucement de haut en bas laissant apparaître de temps en temps la pointe de mon string, ces douces caresses après une journée de travail étaient mon réconfort et me laissais faire avec sollicitude, ma main a moi étant posé sur sa cuisse et remontait de temps en temps vers son sexe a travers la toile de son pantalon, de toute façons là ou on était pas grand monde pouvait voir ce qui se passait sous la table, a part celles ou il y avait justement les hommes seuls, mais le troisième s’il voulait voir était obligé de se pencher, et n’en faisait rien tout appliqué a manger ses fruit de mer devant lui, le serveur amenait nos plats du fond de la salle, j’enlevais la main et la remettait sur la table en dame polie que j’étais, Franck fit de même, les plats comme toujours dans cet endroit étaient excellent, n’étant pas de gros mangeurs on avait pris des plats direct Franck des fruits de mer et moi une parrillade de poissons, de temps en temps les mains baladeuses de Franck allaient sous la table a la rencontre de mes cuisses, et j’en faisait autant avec lui, même si parfois je trouvais cela gênant, qu’il me caresse sous la table à la vue des personne qui pouvaient voir, je savais que c’est ce genre de chose qui lui plaisait, c’est un grand cérébral mon Franck, mais contrairement a beaucoup, lui il met ses fantasmes à exécution… ! Puis moi ça me plaisait également cela m’émoustillait, c’est le « côté interdit » qui me plaisait comme des enfants qui font des choses interdites… !
Cela faisait pas mal de temps que nous avions fini nos plats et attendions les cafés et l’adition pour partir, les tables des deux hommes seuls, je les voyais regarder de temps en temps furtivement, leur tables n’étant éloignées que de 2 ou 3 mètres de la notre, Mon Franck il regardait rien du tout, son regard comme d’habitude perdu dans le vide, mais je savais par expérience qu’il n’en perdait pas une goutte de cette scène… sa main remontant vers mon string, écartant de plus en plus les pans de ma robe sur mes cuisses, passant la main entre mes jambes, m’obligeant a écarter celles-ci pour lui laisser plus de mouvements, de temps en temps il s’arrêtait contre mon sexe écartant la minuscule ficelle du string pour glisser un doigt le long de mon sexe, moi j’en pouvais plus dans ces moments là, je lui aurais sorti son sexe là devant tout le monde et l’aurais mis dans ma bouche, tellement j’en avais envie, mais bon là dans ce restaurant je pouvais pas… !
On a bu nos cafés payé l’adition et sommes sortis, nous avions garé en arrivant la voiture dans un parking souterrain du centre ville a 100mètres du restaurant, j’allais mettre le ticket du parking dans la machine pour payer, quand Franck, me dit, non on reste là on payera tout à l’heure…. !
C’était quoi ce « plan » qu’il avait prévu… !!!
On était au quatrième sous-sol, là ou on avait garé la voiture, ce sous-sol en étant le dernier, l’autre encore plus bas étant le parking des abonnés, avez-vous déjà été dans un immense parking souterrain, vide ou presque vide, notre voiture en étant la seule occupante, si ce n’est bien plus loin coté escaliers quelques dizaines d’autres véhicules… les pas résonnent même le fait de chuchoter s’apparente a crier… ! on l’avait laissé au milieu, près d’un mur de soutènement il fallait dépasser ce mur qu’on puisse nous voir, puis les caméras sont toujours disposées dans les parkings aux endroits stratégiques : ascenseurs, escaliers, sorties et entrées aux barrières, en dehors de celles là, rien, cela coute trop cher aux exploitant de ces lieux… ! Tant mieux pour nous !
Franck se saisit du sac dans la malle, que j’avais préparé avant de partir avec mes affaires, et me demanda de me changer, je quittais ma petite robe d’été, j’enfilais un nouveau petit string, propre noir encore plus petit que l’autre, je mettais une guêpière a seins nus, j’enfilais une paire de bas à filet, puis des escarpins a talons haut, pardessus cela une redingote en cuir fin noir courte se fermant à la taille par juste deux boutons.
Une fois prête Franck m’expliqua enfin son plan !
Il fallait que j’ai les yeux bandés et que quoi qu’il arrive je ne dise un seul mot, de toute façons lui serait là, il aurait mis en place ses appareil photo et vidéos a déclanchement automatique sur des trépieds … !
Voilà les seules explications aux quelles j’eu droit… ! Franck me demanda de me placer entre la voiture et le mur cela laissait un espace de plus de 5 mètres disposa ses appareils a différents coins et fit quelques essais, voilà c’était bon qu’il avait dit, en me tendant le bandeau a mettre sur mes yeux, il me dirigea par la main dans la voiture coté conducteur, j’étais dans le noir le plus complet… !
Je ne sais pas comment font les personnes mal voyantes mais a cet instant je pensais à eux, le temps devient long, les minutes paraissent des heures, les petits bruit, des hurlements, les odeurs sont accentuées, et en pensant à odeurs je sentais celle du parfum envoutant de mon Franck qu’il mettait tous les jours, parfois plusieurs fois dans la journée même, je le voyais pas et même s’il était a quelques mètres je le sentais… !
Un bruit de crissement de pneus, mon rythme cardiaque s’accélère, j’entend la voiture approcher puis s’arrêter à quelques mètres de là, une portière qui claque, des pas qui s’approchent qui passent derrière notre voiture qui la longent de mon coté, un parfum différent de celui de Franck, je sens une présence là tout près de ma fenêtre une main qui est passé par celle-ci vient caresser une de mes cuisses sur mes bas, j’ai envie d’enlever le bandeau de mes yeux pour voir… mais Franck ne le voudrait pas, alors je laisse faire d’autant plus que cette main est douce, je laisse faire, puis j’entend encore un crissement de pneus, une autre voiture qui arrive, se gare, la portière qui claque, des pas qui viennent a nouveau vers moi, j’entend la portière passager s’ouvrir quelqu’un s’assied à coté de moi, une autre main caresse mon autre cuisse, ils sont deux, me dis-je dans le noir, mon Franck à fait les choses en grand… !
Ils sont là je ne les vois pas mais je sens leur caresses sur mes cuisses l’un deux me déboutonne ma redingote, l’écarte, je sent des mains me caresser les seins puis des lèvres, des frissons là dans le noir parcourent mon corps, les mains se font insistantes, elles essayent d’écarter mes cuisses, puis un autre bruit de crissement de pneus sur le béton peint du sol, une voiture qui s’approche encore, les mains sur mon corps se sont retirées, la voiture qui arrive, c’est peut-être quelqu’un qui se gare là pour aller ensuite en ville, mais non j’entends encore la voiture se garer non loin, puis une portière qui claque, des pas quelqu’un d’autre s’approche passe devant la voiture sans s’arreter, va plus loin puis fait demi tour, revient vers nous, je l’entend les pas sont presque à la voiture une autre odeur, un autre parfum tout près, plus personne ne caresse bien que je sente encore la présence sur le siège passager de quelqu’un, que font’ ils j’entend des murmures puis ce nouveau parfum que j’avais senti devient persistant et je sens sa main passer à travers la fenêtre et venir me toucher les cuisses, mais cette main est plus directe et remonte directement vers mon sexe sans trop de ménagements… j’entend a nouveau des murmures contre ma fenêtre, et je reconnais entre mille ce murmure c’est mon Franck doit pas être content, il tire cette main qui s’était posé apparemment trop vite sur mon sexe… !
La portière s’ouvre, c’est Franck il me dit à l’oreille, on sort de la voiture j’entends la portière passager s’ouvrir aussi, je suis debout, franc m’a pris la main on marche un peu, trois quatre mètres, il me fait toucher de la main un mur, me retourne et me plaque délicatement le dos au mur, me lâche la main et je le sens s’éloigner, d’autres main viennent caresser le long de mon corps, j’arrive plus a les compter, y’en a trop, combien sont’ ils, j’en ai partout, sur les cuisses le long de mes cuisses mes seins , d’autres mains m’écartent du mur, des mains encore des mains qui viennent caresser mes fesses, puis la voix de Franck là tout près qui dit, « tu peux enlever le bandeau » je me fais pas prier… ! je suis a 4 mètres de la voiture contre le mur, trois hommes contre moi en train de me caresser partout, je les reconnais de suite les hommes du restaurant…. !
! ! Franck lui est a quelques mètres et il tient un des appareils photos et mitraille… !
Trois hommes, deux d’entre eux doivent avoir moins de 25ans bien fait, bien bâtis, le troisième plus âgé au moins 35ans plus petit, à son parfum je le reconnais c’est lui a qui Franck a retiré la main de sur mon sexe, trop pressé monsieur… !
Ils ont dû avoir la consigne de ne pas parler, personne ne dit rien, un des deux jeunes m’enlève la redingote, et la garde sur son bras, un autre m’écarte les jambes pendant que le petit en profite pour passer une main entre mes cuisses par derrière, essayant de glisser un doigt entre l’élastique du string sur mon sexe, au regard que lui lance Franck de sa place il l’enlève de suite et s’éloigne un peu pour laisser la place aux deux autres, tous deux on sorti leur sexe, du pantalon et continuent a me caresser, ils sont contre moi je sent leur corps contre le mien ils ont tous deux enlevé leur teeshirts et baissé leur pantalons et boxeur sur les genoux l’autre le plus âgé, en a fait autant il se tient a un mètre de moi et se masturbe en regardant… l’un des deux jeunes a un sexe énorme… hors normes… plutôt ! je le sens contre le haut de ma cuisse je le saisit et dans ma main parait encore plus gros, chaud gonflé, le sexe de l’autre garçon est aussi dans mon autre main… et l’autre continue de se masturber devant moi… ! ! !
Une Heure presque, on est restés en tout dans ce parking, qu’avons nous fait… ?Que m’ont-ils fait tous ces hommes avec Franck dans ce parking… ?
Comment tout cela s’est il terminé … ?
Un peu d’imagination que diable…. !!!! et pour ce qui en manqueraient… les photos de Franck ce soir là sont là pour les aider. La vidéo… non là c’est notre jardin secret… ! ! !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire de libertinage.
Une suite, des suites?
Une suite, des suites?
génial, on sait s'amuser à Toulouse on dirait. On espère VRAIMENT de nouveaux récits de
vos aventure libertines. Jean-Luc et Annabelle de Clermont
vos aventure libertines. Jean-Luc et Annabelle de Clermont
Bonjour, nous avons lu, et relu votre récit, (si bien écrit)Nous sommes des débutants dans le libertinage et avons très peu d'expérience, mais a la lecture de votre récit, cela nous donne encore plus envie de continuer, commme vous nous aimons les jeux d'exhibition et allons essayer de faire la même chose que vous dans un parking...!
Un seul Mot excellent... il y avait longtemps que je n'avais lu une telle histoire, un tel texte, bravo, encore bravo, j'ai été transporté par votre récit, et ne cesse depuis de penser a lui, si vous pouviez mettre ici en ligne d'autres récits, aussi vivants que celui-ci, je m'empresserais de les lire, un admirateur.
Superbe histoire, j'ai malheuresement tres peu d'imagination, les photos seront les bien
venues.
Bisous
venues.
Bisous
Le recit est un peu soft à mon gout. On peut avoir les photos par mail ?