Le patron d'Heidi fait comprendre à sa superbe collaboratrice que la vengeance est un plat qui se mange....gluant

- Par l'auteur HDS Galam -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le patron d'Heidi fait comprendre à sa superbe collaboratrice que la vengeance est un plat qui se mange....gluant Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Le patron d'Heidi fait comprendre à sa superbe collaboratrice que la vengeance est un plat qui se mange....gluant
Heidi et Marjorie maudissaient Pascal. Non seulement le chantage qu’il exerçait sur elles les avaient obligées à s’offrir à lui mais en plus il avait exigé d’elles qu’elles s’offrent à d’autres hommes. Et le moins qu’on pouvait dire c’était qu’il ne leur avait pas choisi des partenaires faciles !
Heidi avait dû se résigner à satisfaire son patron, Roberto, un homme qui la harcelait depuis des années et dont elle avait toujours refusé les avances. L’homme en question n’en était pas revenu quand sa superbe collaboratrice avait enfin accepté de l’accompagner en voiture à un déjeuner d’affaires, la jeune femme n’ayant jamais voulu rester seule avec lui à causes des avances qu’il lui faisait régulièrement. Mais ce dont il était encore moins revenu, c’était quand Heidi avait posé sa main gauche sur son bas ventre dans la voiture pendant qu’il conduisait. La jeune femme avait dégrafé son pantalon et Il avait d’abord senti les doigts se refermer autour de son membre épais et noueux. Elle avait entamé un lent mouvement de va et vient et elle avait rapidement été obligée d’utiliser également son autre main à cause de la taille imposante du sexe qui s’était dressé fièrement. Roberto avait cru défaillir quand Heidi s’était penchée et qu’il avait senti son souffle sur son gland. La jeune femme avait ensuite passé sa langue sur le gland si gros qu’elle en avait marqué une pause. Roberto avait souri. De toute évidence, sa superbe collaboratrice n’avait jamais été en présence d’un sexe aussi volumineux que le sien et il en avait tiré une grande fierté. En voyant la grosseur du gland et la taille du sexe qui pointait fièrement devant ses yeux, la jeune femme avait compris qu’elle allait passer des moments délicats car elle s’était doutée que son patron ne se contenterait pas d’une fellation ni même de plusieurs. Depuis toutes ces années qu’il attendait ce moment il allait certainement la posséder et lui faire payer très cher sa résistance à ses avances. Mais au-delà de tout à la vue de ce sexe monstrueux ce qu’elle avait le plus redouté, çà avait été qu’il cherche à la sodomiser. Jamais elle ne pourrait supporter dans ses reins la présence d’un tel membre de cheval. En attendant, Heidi avait pris son courage à deux mains et avait écarté ses lèvres au maximum pour engloutir ce qui s’était effectivement avéré être un membre digne d’un cheval. Roberto avait fermé les yeux en sentant les lèvres se refermer autour de son sexe. Une sensation si exquise qu’il avait fait une embardée. Il avait alors décidé de conduire plus lentement pour savourer plus pleinement la somptueuse fellation d’Heidi. Il avait tapoté le volant avec ses doigts au rythme des mouvements de va et vient d’Heidi entre ses jambes. Puis il avait carrément crispé ses mains sur le volant quand il s’était répandu à grands jets entre les lèvres incroyablement douces de sa superbe collaboratrice. Heidi avait été doublement surprise par la taille imposante du sexe de son patron mais également par la violence et l’abondance de son éjaculation. Deux autres fellations et deux autres éjaculations buccales plus tard, la jeune femme avait fait un autre constat : son patron avait fait preuve d’une incroyable endurance. Un constat qui quelques minutes plus tard avait pris la forme d’une éjaculation faciale si puissante et si fournie qu’elle en avait eu le visage recouvert d’épais filaments blancs gluants. La comparaison avec le membre de cheval s’était avérée on ne peut plus exacte. Roberto avait un sexe gigantesque et ses éjaculations ne l’étaient pas moins. Le patron d’Heidi avait regardé sa montre. Ils étaient en avance sur l’horaire. Il avait saisi une nouvelle fois la tête d’Heidi et au bout de quelques va et vient entre les lèvres incroyablement douces, son sexe avait retrouvé toute sa splendeur. Du coup il avait décidé de prendre un acompte sur ce qu’Heidi allait lui offrir dans la chambre d’hôtel avant de reprendre la route demain matin. Il avait quitté la route principale et s’était engagé dans un chemin de terre. Il avait arrêté la voiture derrière des buissons. Heidi n’avait opposé aucune résistance. Roberto l’avait courbée en avant sur le capot de la voiture. Il avait relevé sa jupe noire et l’avait embrochée d’un coup sec. Heidi s’était mordue les lèvres en sentant le membre monstrueux envahir son ventre sans ménagement. Son patron allait et venait dans son ventre avec la puissance d’un étalon en rut, les mains accrochées à ses seins qu’il avait empoignés par en dessous. Heidi avait calé ses mains sur le capot pour mieux résister à la violence des assauts de son patron qui la prenait en levrette avec la fougue d’un collégien. Elle avait senti les vagues de sperme envahir son ventre au plus profond. Roberto avait vraiment une éjaculation puissante et abondante ! Jamais auparavant elle n’avait senti des jets aussi violents ni surtout aussi abondants heurter le fond de son ventre. Elle avait eu la sensation que plusieurs hommes avaient éjaculé dans son ventre. Roberto s’était retiré toujours aussi raide. Du coup il avait retourné Heidi et l’avait allongée sur le dos sur le capot. Il avait relevé les jambes de la jeune femme au-dessus de ses épaules et l’avait à nouveau embrochée d’un coup sec. Il s’était affalé sur elle en la besognant si puissamment qu’Heidi avait eu la sensation qu’il l’avait clouée sur le capot. Elle avait fini par s’habituer à la taille monstrueuse du sexe et la puissance de ses coups de boutoirs. Cinq minutes plus tard elle avait senti les flots incessants coller le fond de son ventre à nouveau. Elle s’était sentie honteuse mais rassurée. Il ne l’avait pas sodomisée. Le sexe monstrueux n’avait pas dévasté ses reins comme elle l’avait craint. Mais elle l’avait lu dans le regard de son patron. Ca n’avait été que partie remise. En attendant, Roberto s’était contenté d’une dernière fellation en voiture avant d’arriver à destination. Heidi avait encore eu le gout du sperme dans sa bouche quand elle avait pris l’apéritif. Ce qui avait fait sourire Roberto.
Les choses sérieuses avaient repris le soir dans la chambre d’hôtel. Heidi avait dû prendre le sexe monstrueux entre ses lèvres pendatn que son patron prenait sa douche. Il l’avait ensuite possédée un nombre incalculable de fois durant la soirée dans toutes positions possibles et imaginables. A quatre pattes contre la table basse, allongée sur le dos à même la moquette, courbée en avant sur le dossier du canapé, debout contre le mur avec comme résultat des plaintes des occupants de la chambre voisine. Puis était venu le moment de passer au lit. Heidi avait subi les assauts de taureau de son patron pendant une bonne partie de la nuit avant que ce dernier ne se décide à lui faire subir ce qu’il attendait depuis des années mais qu’elle avait le plus redouté. Il l’avait sodomisée sans retenue, s’accrochant à ses fesses comme un étalon à sa pouliche et la secouant comme une poupée. Heidi s’était d’abord mordue les lèvres quand le gland énorme avait forcé l’ouverture de ses reins. Elle avait ensuite essuyé des larmes quand Roberto avait enfoncé les trente centimètres de chair dans son étroit conduit. Puis çà avait été la chevauchée furieuse. Heidi avait senti le gland heurter le fond de ses reins à chaque va et vient. Une sensation nouvelle pour elle mais exquise pour son patron qui cherchait à déchirer son anus tellement ses coups de reins étaient puissants. Heidi n’avait pas compté le nombre de sodomies mais ses reins avaient littéralement été remplis de sperme. Elle avait d’ailleurs eu l’impression qu’ils avaient été complètement englués par l’épaisseur et l’abondance du liquide qui avait collé ses parois les plus intimes. Roberto s’était endormi, repu de sexe et de sperme.
Le lendemain matin, Heidi s’était réveillée le visage contre le bas ventre de son patron, ses lèvres posées contre le sexe qui semblait avoir encore gonflé de volume ! Et pour cause….Heidi s’était retrouvée en présence de la monstrueuse érection matinale de Roberto. Sous les ordres de son patron, elle avait pris entre ses lèvres le sexe gigantesque et avait masturbé à deux mains la partie qu’elle n’avait pas pu engloutir. Roberto avait écarté son visage au moment d’exploser, ce qui avait valu à Heidi la plus importante et la plus humiliante des éjaculations faciales de sa vie. Elle était allée dans la salle de bains pour nettoyer son visage devant le miroir mais Roberto l’avait rattrapée. Et sodomisée debout dans une position acrobatique, excité par la vision dans le miroir du visage d’ange d’Heidi englué par son sperme. Le moment le plus humiliant de sa vie pour Heidi ! Et le plus excitant pour son patron qui avait enfin pris sa revanche sur sa superbe collaboratrice.

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