Le Père Fernand 2/2 - histoire érotique

Quand la langue d'Ali a envahi sa bouche, le père Fernand s'est senti fondre dans ses bras puissants. Il a fermé les yeux et apprécié, la langue fourrageait sa bouche, jouant avec sa langue, distribuant de la salive qui commençait à couler dans sa gorge. Il déglutit, lèche bien la langue de son beau rebeu, ses bras le serrent contre lui, son bassin se frotte au sien. Sa queue bande comme celle d'Ali un gros bâton enfermé dans le boxer.

Le souffle d'Ali qui sort de ses narines se propage sur le visage du père Fernand. La barbe piquante l'excite. Il voudrait frotter sa joue contre la sienne, mais Ali ne semble pas vouloir quitter sa bouche, ses bras le serrent contre lui presqu'à lui en faire mal. Il se sent rajeunir le père François.

Ali arrête de l'embrasser, relève la tête, le regarde.
-j'peux avoir ton cul encore Fernand ?
-tout ce que tu veux mon beau je suis à toi!
-alors je veux ton cul, bouffer ton cul en profondeur et t'enculer comme la belle vieille salope que tu es.
Il avait un beau sourire sur ses belles lèvres que Fernand venait de déguster en disant cela.

Fernand le prend par la main et l'emmène dans sa chambre.
-on sera mieux sur un lit.
En face d'Ali, il commence à le déshabiller, enlève son tee-shirt qui plaque bien son torse. Un torse avec quelques poils apparait, des poils entre les deux seins, laissant une traînée jusqu'au nombril. Des tétons superbes, dressés au milieu de leur aréole brune.

Avec la pointe de sa langue, il en touche un, juste la pointe. On a l'impression que le téton durcit encore plus et Ali pousse un long gémissement. Les lèvres de Fernand l'entourent et la langue le lèche, l'inondant de salive. L'autre main triture le second téton. Ali semble apprécier.

Fernand fait des bisous partout sur le torse et ses lèvres reviennent vers la bouche d'Ali quémander un bisou qu'Ali lui donne en souriant. Les langues se mélangent, les yeux sont fermés.
Fernand sent les mains d'Ali le déshabiller, ses mains caresser son vieux corps encore ferme. Ses mains sont chaudes, douces et le font frissonner. Les mains descendent sur ses fesses, les claque mais tendrement.
Les lèvres ne se sont pas quittées.

Les mains d'Ali viennent défaire le pantalon qui tombe à ses pieds, il l'enlève, son boxer est descendu et les mains chaudes d'Ali enveloppent son petit cul. Une main sur chaque fesse caressée, malaxée, pétrie. Les fesses sont fermes et Ali semble apprécier.
La queue de Fernand qui est au garde à vous, se frotte contre le sgeg d'Ali encore emprisonné.
Il défait le jean serré, le fait descendre au bas des fesses, descend le boxer libérant le sgeg qui vient faire connaissance avec la belle bite de Fernand. Elles roulent l'une sur l'autre.
Les lèvres ne se sont pas quittées.

Fernand caresse le dos d'Ali. Il apprécie cette peau douce et chaude, imberbe. Ses mains descendent sur les fesses, hautes, fermes, dures et les caresse en les effleurant faisant gémir Ali, qui ouvre les yeux regarde Fernand.
-tes mains sont douces Fernand j'adore tes caresses mais tu peux appuyer plus, mes fesses adorent ça.
Et il reprend les lèvres de Fernand, l'investissant de sa langue.

Fernand obéit, caresse les belles fesses d'Ali osant même passer ses doigts dans la raie. Le cul se tend en arrière. Il se souvient de ce beau petit trou qui a du servir, qu'il a aimé léché. Son index le touche, le cul se tend, s'offre. La langue d'Ali tourne plus vite dans sa bouche.
Quand le doigt touche l'anus, c'est chaud, c'est doux. Fernand pousse et son index, enfin le début est avalé dans un long gémissement d'Ali qui serre encore plus fort Fernand dans ses bras.

Il le pousse sur le lit. Fernand tombe sur le dos. Il voit le gros sgeg d'Ali se redresser fièrement. Ses jambes sont relevées par les mains d'Ali dégageant bien son petit cul encore ouvert.
Ali le regarde en souriant, se penche vers ses fesses. Il ne voit plus que les cheveux et il sent la langue toucher son anus, la langue chaude et humide entre en contact avec sa muqueuse la léchant, l'inondant. Une chaleur envahit Fernand, il frissonne et pousse de longs gémissements.
Il est tombé sur un pro du bouffage de cul le Fernand. Les lèvres d'Ali épousent bien sa muqueuse, sa barbe gratte ses fesses et sa langue, la longue langue chaude et humide s'enfonce en lui.

Il a l'impression qu'elle va très profond. Il ose poser une main sur la tête d'Ali, d'appuyer pour sentir encore plus ses lèvres, sa langue et cela ne gène pas Ali qui lui bouffe littéralement le cul et cela dure, son trou est bien ouvert.

Ali se redresse, regarde en souriant Fernand, ses lèvres humides. Il dirige sa queue vers le trou de Fernand en se penchant sur lui.
-je vais te baiser maintenant Fernand bien à fond, bien profond, t'inonder, te remplir comme la salope que tu es... mais une belle salope.
Au fur et à mesure qu'il parlait, Fernand sentait la queue d'Ali s'enfoncer en lui, ouvrir encore plus son sphincter qui se referme sur la queue un coup le gros gland passé et sa tête s'approchait de la sienne.

Quand leurs bouches sont entrées en contact toute la queue d'Ali était en lui bien au chaud et son corps écrasait le sien au milieu de ses jambes écartées.
Fernand a refermé ses bras autour du cou d'Ali. Lorsqu'il bougeait sa langue dans sa bouche contre la sienne, il sentait sa queue vivre en lui. Pas de grands mouvements, mais elle bougeait, semblait vouloir aller encore plus loin. Fernand le serrait bien contre lui.

Aurait-il enfin trouvé LE mec ?

Ali lui mangeait les lèvres, la bouche et son corps s'est mis à onduler, son ventre se frottait contre la queue bandée de Fernand et sa queue s'est mise à bouger en lui semblant vouloir sortir. Le gland frottait son conduit en se retirant pour revenir d'un coup sec, le clouant sur son lit le faisant crier, cri étouffé par la langue d'Ali et il a pris son temps le beau rebeu. Sa queue a fait de longs vas et viens dans le conduit, le chauffant comme jamais il n'avait été chauffé. Fernand gémissait de plus en plus et la cadence s'est accélérée. Les coups de reins toujours aussi amples le remplissaient encore et encore, le pubis claquait sur ses fesses. Le souffle d'Ali sortait pas son nez et se répandait sur le visage de Fernand, ça pour être baisé il était baisé le père Fernand.

D'un seul coup la cadence s'est encore accélérée, la bouche d'Ali a quitté la sienne, juste au dessus de lui. Fernand pouvait voir perler des gouttes de sueurs sur son front. Son cul était chaud bouillant et, lorsque son dernier coup de reins le clouait encore sur son lit, et restait. Un plaisir immense est venu de son cul. Le jus d'Ali arrivait par saccades interminables l'inondant, tel un tsunami et les yeux d'Ali ne le quittaient pas. Il souriait. Sa tête s'est rapprochée, ses lèvres ont pris les siennes et il a offert sa langue pendant que ses petits coups de reins reprenaient sa queue n'avait pas débandé.

Il faisant des petits "han" quand il a recommencé à baiser Fernand. Il devait être bien avec sa queue qui nageait dans son sperme et le cul du vieux Fernand serrait encore bien sa queue. Alors Ali a remis la machine en marche, toujours sec, mais pour donner du plaisir et, Fernand a été étonné de le sentir jouir encore une fois si rapidement en lui. Il l'a serré encore plus fort contre lui, lui aspirant la langue, la salive.

Et, Ali s'est effondré dans ses bras, les corps collés. Il avait lâché ses lèvres et lui faisait plein de bisous sur le visage, au grand étonnement de Fernand venant frotter sa joue contre la sienne et laisser sa tête dans le creux de son épaule. Fernand lui caressant le dos tout le temps qu'il reprenne son souffle.

Ils ne bougeaient plus. Fernand était aux anges d'avoir ce jeune beur dans ses bras qu'il pouvait caresser, embrasser. Quels bond coups de bite il venait de prendre. Il est doué ce mec!
-ça va ? dit soudainement Ali.
-oui Ali tout va très bien! je suis heureux tu sais d'être avec toi.
-je voudrais te demander quelque chose dit Ali.
-ben oui vas y.
-je sens ta belle queue bien bander... tu veux me baiser ?
-te... baiser ?
-oui j'aime ça aussi tu sais et quand c'est un mec qui t'apprécie c'est encore mieux alors je suis sûr qu'avec toi ça sera super.
-si tu veux dit Fernand.
-oh t'as pas l'air bien enthousiaste dit Ali en riant.
-ben c'est que j'en reviens pas.
-oh tu seras pas le premier, t'as dû t'en rendre compte quand tu m'as bouffé le cul merveilleusement bien.
-oui j'ai cru comprendre ça.
-alors on y va! sinon tu vas jouir avant de me baiser.

Ali se relève de dessus Fernand et se met à quatre pattes sur le lit juste au bord. Fernand se met debout derrière lui, sa queue juste à la hauteur du cul convoité.

Il caresse ces belles fesses, les claque, faisant gémir Ali, les écarte bien pour voir l'anus entrouvert. Il se penche et le lèche l'inondant de salive, forçant avec sa langue et avec son index, pousse la salive dans le petit trou et Ali gémit de plus en plus. Il met deux doigts, les enfonce, les tourne dans le beau trou qui s'ouvre de plus en plus. Sa queue se raidit encore, le gland s'est décalotté tout seul, et le gland est plein de mouille qui coule en filet jusqu'à terre. Il pose le gland sur l'entrée, prend Ali aux hanches et voit les belles fesses s'enfoncer sur sa queue. Ali qui gémit encore et de plus en plus fort sa queue disparait petit à petit, le cul est quand même serré et enveloppe bien sa belle queue bien raide.

Quand ses poils caressent les fesses d'Ali, il l'entend souffler fort. Il ne bouge plus. Fernand affermit ses mains sur ses hanches et commencent des vas et viens lents, il va doucement, il ne veux pas "faire de mal" à ce beau cul.
-plus fort dit Ali.
Fernand sait qu'il ne va pas durer longtemps, il sent que le plaisir est là, tout proche alors s'il veut en profiter... Il se lance et ses coups de reins deviennent plus amples, plus fermes, ça claque sur les fesses fermes et le plaisir arrive... trop vite.

Surmontant les gémissements d'Ali, Fernand pousse un hurlement lorsqu'il se vide dans le cul de son amant rebeu. Il a l'impression de se vider complètement. Il aurait voulu voir tout le bon jus qu'il lâche. Ses mains caressent les flancs d'Ali qui tend toujours son cul.

Il s'effondre sur son dos. Ali s'allonge sur le lit faisant sortir la queue débandée de Fernand. L'oblige à venir contre lui, face à face. Fernand l'embrasse tendrement, lui caressant le visage.
-merci Ali commence Fernand.
-de rien j'en avais vraiment envie... t'es peut être une salope mais t'es une belle salope et j'aimerais bien qu'on se voit encore et encore... tous les deux!
-donc t'aimerais pas que je retourne voir Farid ?
-c'est toi qui décidera Fernand mais tu sais je peux venir tous les jours pour baiser avec toi sinon.
-c'est vrai ?
-oui dit Ali très sérieux.
-donc je serais qu'à toi.
-personne n'appartient à personne dit Ali.
-alors je dis oui dit Fernand car je voudrais bien découvrir tout ton corps, y'a bien des coins que j'ai pas exploré.
-oh je crois qu'on trouvera dit Ali en riant.
-mais ça te dérange pas que je sois si vieux.
-t'es peut être vieux dit Ali mais ton coup de bite vaut encore le détour! crois moi!
-tu restes dormir ce soir ?
-dormir ?? dit Ali.

Ils rient tous les deux en serrant l'un contre l'autre et s'embrassant.