Le périple rose - 1
Récit érotique écrit par LC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le périple rose - 1
J'allume une cigarette et je me laisse porter par le son de la musique. Je ne fume pas régulièrement mais j'en avais envie ce soir. C'est ma dernière soirée à Toulouse. Je ne veux rien regretter du calme et de la sérénité de mon studio. Avec cette semaine passée, je me remémore cette nuit de sexe et de plaisir avec R. Un bel homme corse.
C'était une nuit comme celle-ci, fraîche et pleine de promesse. Je l'avais invité à passer la soirée. Quelle soirée ! Je m'étais préparée. Je m'étais épilé les jambes, et mon intimité avec soin mais pas intégralement. J'avais passé du temps à savourer la mousse de mon gel douche à l'amande sur chaque parcelle de mon corps, rincée à l'eau chaude, légèrement brulante comme j'aime. Je suis sortie de ma douche, une serviette autour de la taille. J'avais enfilé un soutien-gorge en dentelle noir qui mettait mon 95E en valeur. J'avais assorti un tanga qui traçait la rondeur de mes fesses. Juste le temps de tracer mon regard au crayon noir et au mascara que j'entends la sonnette. Pile à l'heure. Je me mords la lèvre inférieure. J'enfile une chemise de nuit, et je lui ouvre la porte. Je le vois dans son regard, il semble interrogateur. Je l'embrasse pour l'inviter, il y répond avec plus d'ardeur.
Je sens l'ambiance s'électriser. Mais nous n'avons pas encore joué. Je prends un bandeau dans ma penderie et lui bande les yeux. Je le fais assoir sur mon bureau.
Je l'ai laissé ainsi, au rythme de ma playlist sans possibilités de voir ma tenue.
J'avance vers lui, il n’entend que le son des talons aiguilles que j'ai enfilé. Je me promène à ma guise dans l'appartement. Je passe mes doigts sur son corps pour perturber ces sens. Je lui caresse la joue en descendant vers ces lèvres. Je sens sa respiration s'accélérer quand j'approche mes lèvres des siennes. Quand je suis en face de lui, je prends ces mains entre les miennes, je lui fais dessiner mes courbes. Au bout d'un instant, il connaît mon corps. Il a mémorisé la rondeur de mes fesses, et de mes seins. Et malgré qu'il ne voie pas mes expressions, il entend des gémissements que je ne peux feindre, lorsqu'il me saisit les fesses et les masse entre ces mains. Une pression qui me fait sentir son excitation grandir contre ma jambe droite.
Je lui mordille l'oreille, et pendant que je lui défais le bandeau je lui chuchote : "Ce n'est que le début de la soirée.". Pour une fois, je ne suis pas la première à être nue. Je lui ôte son tee-shirt et son short, et je parcours de baiser le tracer entre le creux de son cou jusqu'au pendant du "chemin des dames". Je suis maintenant accroupi devant lui, et lui saisit ces bourses entre mes doigts. Je les presse délicatement tandis que je lèche de toute sa longueur sa queue, de la base du pénis à l'extrémité de son gland. Je continue ainsi, jusqu'à ce je sente son sexe grossir encore. Quand, je suis satisfaite, je le prends à pleine bouche, entièrement jusqu'au fond de ma gorge. Je le suce et le branle avec douceur et vigueur en maintenant mon regard dans le sien. Ça m'excite tellement de le voir ainsi, entre mes doigts et au plaisir de ma langue. Je continue ainsi jusqu'à ce qu'il se retire de lui-même car il n'en a pas fini avec moi.
A suivre…
C'était une nuit comme celle-ci, fraîche et pleine de promesse. Je l'avais invité à passer la soirée. Quelle soirée ! Je m'étais préparée. Je m'étais épilé les jambes, et mon intimité avec soin mais pas intégralement. J'avais passé du temps à savourer la mousse de mon gel douche à l'amande sur chaque parcelle de mon corps, rincée à l'eau chaude, légèrement brulante comme j'aime. Je suis sortie de ma douche, une serviette autour de la taille. J'avais enfilé un soutien-gorge en dentelle noir qui mettait mon 95E en valeur. J'avais assorti un tanga qui traçait la rondeur de mes fesses. Juste le temps de tracer mon regard au crayon noir et au mascara que j'entends la sonnette. Pile à l'heure. Je me mords la lèvre inférieure. J'enfile une chemise de nuit, et je lui ouvre la porte. Je le vois dans son regard, il semble interrogateur. Je l'embrasse pour l'inviter, il y répond avec plus d'ardeur.
Je sens l'ambiance s'électriser. Mais nous n'avons pas encore joué. Je prends un bandeau dans ma penderie et lui bande les yeux. Je le fais assoir sur mon bureau.
Je l'ai laissé ainsi, au rythme de ma playlist sans possibilités de voir ma tenue.
J'avance vers lui, il n’entend que le son des talons aiguilles que j'ai enfilé. Je me promène à ma guise dans l'appartement. Je passe mes doigts sur son corps pour perturber ces sens. Je lui caresse la joue en descendant vers ces lèvres. Je sens sa respiration s'accélérer quand j'approche mes lèvres des siennes. Quand je suis en face de lui, je prends ces mains entre les miennes, je lui fais dessiner mes courbes. Au bout d'un instant, il connaît mon corps. Il a mémorisé la rondeur de mes fesses, et de mes seins. Et malgré qu'il ne voie pas mes expressions, il entend des gémissements que je ne peux feindre, lorsqu'il me saisit les fesses et les masse entre ces mains. Une pression qui me fait sentir son excitation grandir contre ma jambe droite.
Je lui mordille l'oreille, et pendant que je lui défais le bandeau je lui chuchote : "Ce n'est que le début de la soirée.". Pour une fois, je ne suis pas la première à être nue. Je lui ôte son tee-shirt et son short, et je parcours de baiser le tracer entre le creux de son cou jusqu'au pendant du "chemin des dames". Je suis maintenant accroupi devant lui, et lui saisit ces bourses entre mes doigts. Je les presse délicatement tandis que je lèche de toute sa longueur sa queue, de la base du pénis à l'extrémité de son gland. Je continue ainsi, jusqu'à ce je sente son sexe grossir encore. Quand, je suis satisfaite, je le prends à pleine bouche, entièrement jusqu'au fond de ma gorge. Je le suce et le branle avec douceur et vigueur en maintenant mon regard dans le sien. Ça m'excite tellement de le voir ainsi, entre mes doigts et au plaisir de ma langue. Je continue ainsi jusqu'à ce qu'il se retire de lui-même car il n'en a pas fini avec moi.
A suivre…
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