Le petit trou de ma tante

- Par l'auteur HDS Boncalin -
Récit érotique écrit par Boncalin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le petit trou de ma tante Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le petit trou de ma tante
Les fraises à élise

18 ans, je dois faire un stage dans le milieu professionnel, je trouve une boite à 70 bornes de chez moi, une jeune tante que je connais peu accepte de m'héberger.
Mariée 2 enfants son mari commercial ne rentre que le samedi.
Je couche dans un petit bungalow à proximité de la maison. La première semaine est pleine boulot, le temps est gris nous sommes pourtant fin mai.
Mais depuis le début de la 2eme semaine le soleil nous a apporté une douce chaleur.
17h le jeudi je rentre du boulot, il fait bon les enfants jouent dehors, je viens dire bonjour, surprise, ma tante est en maillot de bain dans la cuisine, elle s'affaire aux préparatifs du dîner.
Elle m'embrasse et me propose un morceau de tarte et un jus d'orange, je m'assois, elle trie des fraises sur plan de travail de l'évier, je ne peux m'empêcher d'observer les courbes harmonieuses de ses 36 ans.
Je détaille ses jambes remonte, son vieux maillot laisse apparaître un petit derrière parfait.
Je suis là, en extase, entre deux eaux, sirotant mon jus d'orange, quêtant le moindre pivotement pour entrevoir le galbe de ses seins.
Quand elle me demande
-"Peux-tu mettre un torchon sur mon maillot pour éviter les taches"
Je m'exécute fébrilement, j'ai le palpitant à 200, mes bras s'enroulent autour de sa taille, je l'effleure, je commence à mettre les bords du torchon à la limite de l'élastique.
Puis elle me dit "enfonce le plus bas pour qu'il ne tombe pas".
Je passe à 240....... Mes doigts avancent vers sa toison je caresse délicatement son pubis, son corps frémit, elle se cambre légèrement, écarte un peu les jambes et soupire, je descends encore et l'effeuille.
Elle mouille, je me colle à elle, mon sexe est brûlant, dur comme l'ébène, il étouffe dans ce jean.

Maman..? Maman..? Du fond de la cours l'appel a retentit
Je regagne précipitamment la table, un sentiment de confusion plane dans la cuisine, les bambins arrivent, j'en profite pour aller dans mon bungalow ou je me masturbe énergiquement.

19h ayant repris mes esprits et rédigé quelques notes sur mon stage je part prendre une douche avant le repas, la vie semble avoir repris son cours normal, ma tante (rhabillée) fini de mettre les enfants en pyjama.
Je m'installe dans la salle de bain, fait couler l'eau et me déshabille.
Quand elle frappe à la porte "je peux entrer j'ai besoin de prendre le linge des enfants pour faire une lessive."
Je me couvre rapidement d'une serviette et ouvre la porte. Elle entre, me sourit, son regard descend sur la serviette, elle récupère les vêtements des enfants.
"Si tu as besoins de moi pour te frotter le dos n’hésite pas !" je balbutie je ne sais quoi pendant qu'elle ferme la porte. Les bras m'en tombe mais mon sexe lui est au plus haut, tout se bouscule dans ma tête, je me mets dans le bain, puis je me décide.
"Élise! As-tu du shampoing à me prêter ?"
Elle entre radieuse "mais bien sur et j'ai même mieux " elle referme la porte la verrouille s'approche de la baignoire ou je coule littéralement partager entre le honte et le désir; elle prend un gant et me demande de me lever.
Je bande si fort que je n'ose, elle insiste si gentiment que je cède rouge pivoine, elle me lave ou plutôt me caresse, en commençant par le torse puis les bras reprenant sur la hanche descendant sur la jambe remontant doucement entre mes cuisses, elle caresse mes bourses, s’insinue dans ma raie. Elle rince le gant et entreprend de me décalotter délicatement, je faillis perdre pieds, je prends appui sur ses épaules ma main caresse ses cheveux, elle se penche et embrasse mon sexe, le lèche et le gobe. Le gant a fait place à ses doigts qui vont et viennent entre mes fesses et mes couilles. Je vais jouir Quand "MAMAN..?Maman..? Jérôme il saigne!" je replonge aussi vite dans le bain, Elise attrape son linge, me foudroie amoureusement des yeux et sort.

20h30 fin d'un repas emplis de gène que seule la gaîté des enfants a pu alléger. Avant de partir à mon bungalow élise me demande si je veux bien revenir dans 1h après le coucher des enfants prendre une glace avec elle.je lui réponds oui en partant tout en baissant les yeux comme un enfant à qui l'on demande d'avouer sa dernière bêtise.

21h30 je n'ai pas arrêté de regarder ma montre en espérant que rien ne vienne troubler l'endormissement de ses chérubins quand j'entre dans le salon, élise est en chemise de nuit sur le canapé elle me demande de m'asseoir prés d'elle
-tu veux une glace?
-oui.
Une ou deux boules? Deux biens sûrs me dit-elle avec un sourire malicieux et quel parfum?
-fraise bien sûr rétorquais-je.
Quelques instants après élise arrive avec le cornet, me le tend, le rapporte aussi vite à sa bouche et lèche en fermant les yeux les deux boules puis me le redonne en disant
- ça déborde.
Elle s'affale dans le canapé, Je suis tétanisé, elle le sent me demande de venir plus près d'elle et raconte ses malheurs sentimentaux, sa césarienne et comme pour me prouver qu'elle ne ment pas, elle remonte sa chemise de nuit laissant apparaître un petit slip en dentelle blanc légèrement transparent ou se dessine un triangle châtain.
-tu vois c'est là.
J’aperçois une fine cicatrice mais ce qui retient le plus mon attention c'est ce triangle de dentelle
-tiens touche la !
Elle prend ma main et vient la poser sur son ventre, elle ferme les yeux, je caresse la cicatrice, elle pose sa main sur ma cuisse, je descends sur cette dentelle qui m'attire, elle remonte vers mon sexe.
Je passe sous le tissu, elle écarte les cuisses comme pour me dire que je dois aller plus loin.
Je titille, explore l'entrée de son vagin, je lui retire complètement le slip,'ai envie de lui lécher le minou et elle le devine.
Ma bouche, ma langue ont pris possession de ce trésor. Elle se cambre se déhanche, soupire, gémit, son suc est bon, je m'hasarde sur sa rosette, en s'écartant d'avantage et en repliant ses genoux elle m'ouvre entièrement son intimité en me confiant un oui approbateur.
Moi sans expérience je me laisse aller à mes intuitions.
Tout en lui léchant le clitoris, je lui caresse du doigt le petit trou, je le sens s'ouvrir à son tour j'y introduis 1 puis 2 puis 3 doigts. Elise m'arrête, s'introduit 2 doigts dans sa chatte rassemblant le maximum de mouille et s’oint l'anus.
-vas-y continue en guidant ma main vers son cul.
Je salive sur mes doigts et reprends mon introspection anale.
J’y entre maintenant aisément les 3 doigts et fait de petits va et viens
-encore me susurre Elise
Je ne sais si cet encouragement est pour les vas et viens ou pour le nombre de doigt
Je me risque à 4
Un formidable OH OUI...... me rassure aussitôt et m'invite à faire mieux
Je salive autant que je peux sur mes doigts à chaque va et viens. Elise spasme de plaisir et me dit
-encore !
Mon pouce à rejoint les 4 doigts, je suis en elle, un ultime sursaut accompagné d'un long râle, élise semble évanouie.
Je l'embrasse nos langues se mêlent
Je lui caresse les seins à travers sa chemise.
-tu veux les voir ?
-oh oui
Elle retire sa chemise, me demande de faire de même avec mon tee-shirt
Mais se réserve le jean qu'elle déboutonne rapidement et me descend jusqu'au cheville je termine de le retirer, me voila entièrement nu devant elle. Mon dard fièrement dressé laissant échapper un filet d'amour.
-et si je finissais ce que j'ai commencé dans la salle de bain.
Sur ce elle englouti mon sexe en le faisant pénétrer au plus profond de sa gorge.
Je ne me retiens même pas et jouis après 3 va et viens.
Elise s'étouffe et me sourit.
Nous nous enlaçons elle m'invite à passer la nuit avec elle
A peine couché dans son lit nous remettons cela, Elise me demande de la sodomiser à nouveau me confiant qu'elle ne jouit bien que par là.
Nous poursuivrons nos ébats encore une semaine la pénétrant par tous les trous avec un plaisir partagé
Nous nous revoyons dans les grandes occasions comme si rien ne c'était passé. Mais un sourire complice illumine nos visages…

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