Le pizzaiolo
Récit érotique écrit par Zouzou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le pizzaiolo
Plaisir unique
Ce soir là, elle porte une robe imprimée dont la partie basse en dentelle laisse apparaître le haut de ses cuisses. Quoique de petite taille, ses sandales compensées mettent en valeurs le galbe de ses jolies jambes, bronzées et satinées. Ses cheveux longs ondulés tombent sur ses épaules et dissimulent sa nuque et son cou. Un soupçon de maquillage donne à son visage un ton naturel.
Elle entre dans le restaurant, un peu timide mais souriante.
Assise au bar, un verre de vin blanc à la main, elle entrevoie l'affairement de la cuisine.
Ses yeux s'arrêtent brusquement sur des mains. Elle détourne intentionnellement son regard. Puis elle ne peut s'empêcher de regarder à nouveau. Les mains caressent la pâte et la saupoudrent de farine d'une manière tellement érotique qu'elle se sent terriblement troublée. Ses joues rosissent et un léger sourire s'entrevoie sur ses lèvres. Ce sont les mains du pizzaiolo, mais elle ne le voit pas. Son regard se détourne à nouveau, elle craint fortement que cela ne se remarque. Elle décide alors de se rendre aux toilettes, histoire de se remettre de ses émotions.
De sa cuisine, le beau pizzaiolo lève la tête et l’aperçoit traverser la salle du restaurant. Habituellement, il rebaisse la tête et continue ses tâches. Mais, ce soir son regard se prolonge et persiste sur cette femme qui attire son attention. Qui est-elle donc ? Et seule dans son restaurant ?
A son retour, elle aperçoit le pizzaiolo, et leurs regards se croisent. Elle trouve ses yeux noirs magnifiques et détourne le regard se sentant à nouveau très troublée.
Son verre fini, elle passe à table et se place intentionnellement à dos de la cuisine, ne désirant pas à nouveau croiser ni les mains ni ce regard profond et beaucoup trop troublant à son goût.
La soirée avance et la salle se vide petit à petit, jusqu'au moment où elle se retrouve seule cliente. Les serveurs et livreurs ont eux mêmes terminés leur service et ont quittés le restaurant.
Elle s'approche du comptoir pour régler, le beau pizzaiolo lui fait sa note :- ça c'est bien passé mademoiselle ?
- oui, très bien, la pizza était vraiment délicieuse !
Léger échange de sourires.
En tendant la note, leurs mains se frôlent. Et un « oh pardon » est lancé simultanément ! Suivi d'un « il n'y a pas d'mal », simultané également.
Ils se mettent à rire tous les deux et la glace se brise.
Elle lance :- mais comment faites-vous pour confectionner des pizzas aussi délicieuses ? Un secret ?
- Non, pas de secret, répond-t-il, flatté. Tout simplement des bons produits !
- ah, c'est intéressant, des produits frais j'imagine ?
Il éteint les lumières de la salle.
- Venez donc voir, répond-il en lui proposant d'entrer dans la cuisine.
- Non, vraiment, je n'ose pas … dit-elle
Il la prend par la main, elle se laisse guider, et il la fait entrer gentiment dans sa cuisine. Elle est impeccablement propre, et sent toujours la bonne odeur de pâte croustillante. Il y fait très chaud. « probablement en raison du four » pense-t-elle. Il lui fait découvrir ses produits et sa façon de travailler.
- c'est une farine spéciale, dit-il en plongeant ses mains dans le récipient. Touchez !
Elle plonge aussi ses mains et est subjuguée par l'incroyable douceur de cette farine. Le souvenir du début de soirée refait surface.
Tout en se regardant intensément, sans un mot, il lui prends ses mains et les caresse afin d'enlever le surplus de farine. Elle ne bouge pas, se laissant faire. Puis, il passe sa main tendrement sur son visage et ses cheveux. Elle frissonne.
Timidement, il lui dépose un léger baiser sur ses lèvres. Il soulève ses cheveux, et l'embrasse dans le cou, tout en passant sa main sur sa nuque. Doucement, elle pose la main derrière sa tête et passe ses doigts dans ses cheveux, en savourant ses baisers. Elle n'a jamais connue pareille tendresse, et soupire légèrement de plaisir. Elle sent sa langue cheminer le long de sa nuque. Elle sent le désir monter, son ventre fourmille.
Leurs bouches se rejoignent, s'ouvrent et leurs langues se mêlent. Il sent son entrejambe gonfler, mais se maîtrise. Cette femme va le rendre fou. Doucement, il la soulève par la taille et l'assoie sur le plan de travail. Ils continuent à s'embrasser langoureusement.
Avec ses pieds, elles poussent sur ses sandales qui tombent à terre. Elle encercle sa taille avec ses jambes, et les fait glisser le long de ses cuisses, le caresse avec ses pieds. Il est fortement excité par cette femme, et l'endroit inhabituel le fait bander intensément.
Tout en continuant à tournicoter leurs langues, il passe ses mains sur sa taille et ses hanches. Elle adore, et sent sa petite fente mouiller abondamment.
Au travers la robe, il caresse ses seins et, de ses doigts habiles, fait tournoyer lentement ses tétons. Il les pince légèrement, elle soupire de plaisir et renverse sa tête en arrière.
De ses mains, il caresse ses genoux, remonte les cuisses puis passe sous la robe pour atteindre les hanches et le bas du dos. Sa peau a la douceur d'une peau de pêche. Puis, il se baisse, soulève légèrement la robe et, de sa langue, lèche l'intérieur de ses cuisses tout en remontant doucement vers son Mont de Vénus. Elle gémit sous cette langue douce et humide. Elle écarte légèrement les jambes, mais la langue redescend. Il souhaite la faire patienter encore.
Il se relève et soulève la robe jusqu'à la faire passer par-dessus la tête. Elle porte une jolie culotte en dentelle noire et un soutien-gorge assorti. Il pétri à nouveau ses seins, les sort du soutien-gorge, sa langue vient titiller les tétons, tout en dégrafant le sous-vêtement. Elle lui enlève le tee-shirt, et caresse ses épaules viriles. Le souffle court, elle gémit. Ses ongles se plantent dans sa chair, symbole du plaisir qu'il lui procure. Elle n'a encore jamais connu pareilles sensations. Tout se bouscule dans sa tête et dans son corps. Elle culpabilise de se donner si facilement à un inconnu mais le plaisir est tel, qu'elle ne peut refuser.
Tout en se faisant sucer les tétons, elle caresse son corps. Nuque, épaules, dos, reins, jusqu'aux fesses. De ses jambes, elle lui enserre la taille, et le presse un peu plus contre son corps. Ils se caressent mutuellement et leurs corps se frottent l'un à l'autre.
Elle le pousse légèrement et redescend du plan de travail. Elle se tiens face à lui et passe sa langue le long de sa nuque, jusqu'à son oreille. Elle sens son sexe dur contre son ventre. Elle entoure son mollet avec sa jambe et le caresse avec son pied. Sa main se pose sur la partie enflée du pantalon. Il frémit, son cœur bat plus vite. Elle masse légèrement cette partie bombée, déboutonne le pantalon et le laisse tomber à terre.
Elle caresse ses fesses, se baisse et fais sortir son pénis. Elle s'agenouille et caresse la hampe de ses seins. Puis, sa bouche s'approche, elle sort sa langue et commence à le lécher doucement, de haut en bas, de bas en haut, lentement. Une main se pose sur son ventre, l'autre caresse ses bourses. Il prend un plaisir divin. Elle engloutie le pénis dans sa bouche et le suce avec délectation, tout en le branlant doucement. Elle lui prodigue alors une très agréable fellation, qui le fait émettre de légers gémissements.
Doucement, il la fait se relever et la retourne face au plan de travail. Elle s'y accoude, il fait descendre sa culotte le long de ses jambes. Il est temps de partir explorer les trésors cachés. Imaginant la suite, elle remonte les fesses, il se baisse et sa langue aventureuse glisse le long des cuisses jusqu'à son clitoris. Elle pousse un petit cri de plaisir. Sa langue se glisse dans son intimité pour venir se délecter du délicieux nectar. Puis, la langue continue son exploration avec douceur, en de petits mouvements lents et circulaires, d'une sensualité extrême. Chaque coup de langue lui fait pousser des soupirs longs et intenses, les spasmes commencent à agiter son corps. Les mouvements de son bassin laisse présager un orgasme proche. Gémissant de plus en plus fort, elle jouit intensément sous cette langue habile et douce en poussant un petit râle.
Elle se redresse lentement, se retourne, ils s'enlacent, s'embrassent, se caressent. Leurs langues s'entremêlent encore et encore.
Puis, il lui écarte doucement les cuisses et s'enfonce en elle profondément. Il sent la chaleur de sa grotte, elle, la dureté de son membre. Il lui soulève une jambe et le tien de son bras. Ils restent immobiles un court instant profitant de cette sensation unique. Débutent alors de lents et longs va et vient. Il sent son souffle court dans son cou. Elle sent le plaisir monter dans son ventre. Ils s'arrêtent à nouveau pour apprécier cet instant, puis redémarre leur mouvements avec lenteur. L'orgasme se fait sentir, il éjacule en elle de plaisir et sa jouissance est si forte qu’elle entraîne celle de sa partenaire à son tour.
Il reste en elle jusqu'à ce que son membre perde de sa superbe, savourant encore un instant ce plaisir énorme. Elle ferme les yeux et se blottie contre lui. Ils restent comme ça immobiles quelques minutes.
Retour à la réalité, ils se rhabillent, balbutient deux mots, deux bises et se quittent.
La reverra-t-il ? Demain, c'est sûr, il ne verra plus sa cuisine du même œil.
Ce soir là, elle porte une robe imprimée dont la partie basse en dentelle laisse apparaître le haut de ses cuisses. Quoique de petite taille, ses sandales compensées mettent en valeurs le galbe de ses jolies jambes, bronzées et satinées. Ses cheveux longs ondulés tombent sur ses épaules et dissimulent sa nuque et son cou. Un soupçon de maquillage donne à son visage un ton naturel.
Elle entre dans le restaurant, un peu timide mais souriante.
Assise au bar, un verre de vin blanc à la main, elle entrevoie l'affairement de la cuisine.
Ses yeux s'arrêtent brusquement sur des mains. Elle détourne intentionnellement son regard. Puis elle ne peut s'empêcher de regarder à nouveau. Les mains caressent la pâte et la saupoudrent de farine d'une manière tellement érotique qu'elle se sent terriblement troublée. Ses joues rosissent et un léger sourire s'entrevoie sur ses lèvres. Ce sont les mains du pizzaiolo, mais elle ne le voit pas. Son regard se détourne à nouveau, elle craint fortement que cela ne se remarque. Elle décide alors de se rendre aux toilettes, histoire de se remettre de ses émotions.
De sa cuisine, le beau pizzaiolo lève la tête et l’aperçoit traverser la salle du restaurant. Habituellement, il rebaisse la tête et continue ses tâches. Mais, ce soir son regard se prolonge et persiste sur cette femme qui attire son attention. Qui est-elle donc ? Et seule dans son restaurant ?
A son retour, elle aperçoit le pizzaiolo, et leurs regards se croisent. Elle trouve ses yeux noirs magnifiques et détourne le regard se sentant à nouveau très troublée.
Son verre fini, elle passe à table et se place intentionnellement à dos de la cuisine, ne désirant pas à nouveau croiser ni les mains ni ce regard profond et beaucoup trop troublant à son goût.
La soirée avance et la salle se vide petit à petit, jusqu'au moment où elle se retrouve seule cliente. Les serveurs et livreurs ont eux mêmes terminés leur service et ont quittés le restaurant.
Elle s'approche du comptoir pour régler, le beau pizzaiolo lui fait sa note :- ça c'est bien passé mademoiselle ?
- oui, très bien, la pizza était vraiment délicieuse !
Léger échange de sourires.
En tendant la note, leurs mains se frôlent. Et un « oh pardon » est lancé simultanément ! Suivi d'un « il n'y a pas d'mal », simultané également.
Ils se mettent à rire tous les deux et la glace se brise.
Elle lance :- mais comment faites-vous pour confectionner des pizzas aussi délicieuses ? Un secret ?
- Non, pas de secret, répond-t-il, flatté. Tout simplement des bons produits !
- ah, c'est intéressant, des produits frais j'imagine ?
Il éteint les lumières de la salle.
- Venez donc voir, répond-il en lui proposant d'entrer dans la cuisine.
- Non, vraiment, je n'ose pas … dit-elle
Il la prend par la main, elle se laisse guider, et il la fait entrer gentiment dans sa cuisine. Elle est impeccablement propre, et sent toujours la bonne odeur de pâte croustillante. Il y fait très chaud. « probablement en raison du four » pense-t-elle. Il lui fait découvrir ses produits et sa façon de travailler.
- c'est une farine spéciale, dit-il en plongeant ses mains dans le récipient. Touchez !
Elle plonge aussi ses mains et est subjuguée par l'incroyable douceur de cette farine. Le souvenir du début de soirée refait surface.
Tout en se regardant intensément, sans un mot, il lui prends ses mains et les caresse afin d'enlever le surplus de farine. Elle ne bouge pas, se laissant faire. Puis, il passe sa main tendrement sur son visage et ses cheveux. Elle frissonne.
Timidement, il lui dépose un léger baiser sur ses lèvres. Il soulève ses cheveux, et l'embrasse dans le cou, tout en passant sa main sur sa nuque. Doucement, elle pose la main derrière sa tête et passe ses doigts dans ses cheveux, en savourant ses baisers. Elle n'a jamais connue pareille tendresse, et soupire légèrement de plaisir. Elle sent sa langue cheminer le long de sa nuque. Elle sent le désir monter, son ventre fourmille.
Leurs bouches se rejoignent, s'ouvrent et leurs langues se mêlent. Il sent son entrejambe gonfler, mais se maîtrise. Cette femme va le rendre fou. Doucement, il la soulève par la taille et l'assoie sur le plan de travail. Ils continuent à s'embrasser langoureusement.
Avec ses pieds, elles poussent sur ses sandales qui tombent à terre. Elle encercle sa taille avec ses jambes, et les fait glisser le long de ses cuisses, le caresse avec ses pieds. Il est fortement excité par cette femme, et l'endroit inhabituel le fait bander intensément.
Tout en continuant à tournicoter leurs langues, il passe ses mains sur sa taille et ses hanches. Elle adore, et sent sa petite fente mouiller abondamment.
Au travers la robe, il caresse ses seins et, de ses doigts habiles, fait tournoyer lentement ses tétons. Il les pince légèrement, elle soupire de plaisir et renverse sa tête en arrière.
De ses mains, il caresse ses genoux, remonte les cuisses puis passe sous la robe pour atteindre les hanches et le bas du dos. Sa peau a la douceur d'une peau de pêche. Puis, il se baisse, soulève légèrement la robe et, de sa langue, lèche l'intérieur de ses cuisses tout en remontant doucement vers son Mont de Vénus. Elle gémit sous cette langue douce et humide. Elle écarte légèrement les jambes, mais la langue redescend. Il souhaite la faire patienter encore.
Il se relève et soulève la robe jusqu'à la faire passer par-dessus la tête. Elle porte une jolie culotte en dentelle noire et un soutien-gorge assorti. Il pétri à nouveau ses seins, les sort du soutien-gorge, sa langue vient titiller les tétons, tout en dégrafant le sous-vêtement. Elle lui enlève le tee-shirt, et caresse ses épaules viriles. Le souffle court, elle gémit. Ses ongles se plantent dans sa chair, symbole du plaisir qu'il lui procure. Elle n'a encore jamais connu pareilles sensations. Tout se bouscule dans sa tête et dans son corps. Elle culpabilise de se donner si facilement à un inconnu mais le plaisir est tel, qu'elle ne peut refuser.
Tout en se faisant sucer les tétons, elle caresse son corps. Nuque, épaules, dos, reins, jusqu'aux fesses. De ses jambes, elle lui enserre la taille, et le presse un peu plus contre son corps. Ils se caressent mutuellement et leurs corps se frottent l'un à l'autre.
Elle le pousse légèrement et redescend du plan de travail. Elle se tiens face à lui et passe sa langue le long de sa nuque, jusqu'à son oreille. Elle sens son sexe dur contre son ventre. Elle entoure son mollet avec sa jambe et le caresse avec son pied. Sa main se pose sur la partie enflée du pantalon. Il frémit, son cœur bat plus vite. Elle masse légèrement cette partie bombée, déboutonne le pantalon et le laisse tomber à terre.
Elle caresse ses fesses, se baisse et fais sortir son pénis. Elle s'agenouille et caresse la hampe de ses seins. Puis, sa bouche s'approche, elle sort sa langue et commence à le lécher doucement, de haut en bas, de bas en haut, lentement. Une main se pose sur son ventre, l'autre caresse ses bourses. Il prend un plaisir divin. Elle engloutie le pénis dans sa bouche et le suce avec délectation, tout en le branlant doucement. Elle lui prodigue alors une très agréable fellation, qui le fait émettre de légers gémissements.
Doucement, il la fait se relever et la retourne face au plan de travail. Elle s'y accoude, il fait descendre sa culotte le long de ses jambes. Il est temps de partir explorer les trésors cachés. Imaginant la suite, elle remonte les fesses, il se baisse et sa langue aventureuse glisse le long des cuisses jusqu'à son clitoris. Elle pousse un petit cri de plaisir. Sa langue se glisse dans son intimité pour venir se délecter du délicieux nectar. Puis, la langue continue son exploration avec douceur, en de petits mouvements lents et circulaires, d'une sensualité extrême. Chaque coup de langue lui fait pousser des soupirs longs et intenses, les spasmes commencent à agiter son corps. Les mouvements de son bassin laisse présager un orgasme proche. Gémissant de plus en plus fort, elle jouit intensément sous cette langue habile et douce en poussant un petit râle.
Elle se redresse lentement, se retourne, ils s'enlacent, s'embrassent, se caressent. Leurs langues s'entremêlent encore et encore.
Puis, il lui écarte doucement les cuisses et s'enfonce en elle profondément. Il sent la chaleur de sa grotte, elle, la dureté de son membre. Il lui soulève une jambe et le tien de son bras. Ils restent immobiles un court instant profitant de cette sensation unique. Débutent alors de lents et longs va et vient. Il sent son souffle court dans son cou. Elle sent le plaisir monter dans son ventre. Ils s'arrêtent à nouveau pour apprécier cet instant, puis redémarre leur mouvements avec lenteur. L'orgasme se fait sentir, il éjacule en elle de plaisir et sa jouissance est si forte qu’elle entraîne celle de sa partenaire à son tour.
Il reste en elle jusqu'à ce que son membre perde de sa superbe, savourant encore un instant ce plaisir énorme. Elle ferme les yeux et se blottie contre lui. Ils restent comme ça immobiles quelques minutes.
Retour à la réalité, ils se rhabillent, balbutient deux mots, deux bises et se quittent.
La reverra-t-il ? Demain, c'est sûr, il ne verra plus sa cuisine du même œil.
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