Le point de départ
Récit érotique écrit par Blackmer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 21 718 fois depuis sa publication.
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Le point de départ
Chers lectrices et lecteurs, ceci est mon tout premier récit et je ne suis pas un très grand fan de lecture donc par conséquent pas très familiarisé avec l'écriture, raison pour laquelle je vous demande la plus grande indulgence. Néanmoins tout ce qui sera écrit ne sera que pure vérité sans aucune fiction.
Je me prénomme Gillis, j suis un jeune homme d'origine africaine 1m85, 105 kg, un corps sculpté par une pratique régulière du basket ball, une belle "gueule" comme me laisse souvent entendre la gente féminine; mais ce qui intrigue souvent chez moi c'est mon regard, certaines le trouve perçant, d'autres pervers... mais une chose est sûre il attire l'attention et l'on me dit très souvent que j'ai de beaux yeux.
J'ai eu une enfance aisée au Cameroun mon pays d'origine où j'ai grandi avant de venir poursuivre mes études universitaires en France. Malgré mon âge relativement jeune, j'ai eu beaucoup d'expériences sexuelles que j'aimerai partagé ici.
L'histoire que je vais vous conter remonte à mon année en terminale S, j'avais 19/20 ans à l'époque et bien sur les prénoms seront changés pour garder l'anonymat.
Cette année était la meilleure de toute ma scolarité au Cameroun : on était en terminale, on voyait la vie en rose, les filles se sentaient femmes, les parents étaient de moins en moins "collants" et sévères, on avait plus de liberté...
J'avais un pote très proche qui s'appelait Guy 1m90 et pas mal non plus, il avait 23 ans et habitait pas loin du tout de l'établissement que l'on fréquentait. Certes on avait le Bac à préparer en fin d'année mais cela ne nous préoccupait pas plus que ça. Certains jours on était en cours, d'autres on étudiait la "vie" (comme on dit familièrement au Cameroun): pubs, salles de jeux, cinés, alcool, cigarettes, femmes... On avait une bande "d'habitués", tous aussi fous de fêtes les uns des autres, y compris les filles. Guy avait sa copine parmi les habitués : Marion, une belle fille mais surtout avec un corps qui appelle à la baise, 1m70, bouche pulpeuse et un cul rebondi et gros, des nichons pas très gros mais de très beaux. Guy me racontait souvent comment il la baisait et surtout qu'elle aimait se faire défoncer la chatte bien fort. Elle me faisait vraiment bander mais c'était la copine à mon pote. Marion quant à elle avait une copine du prénom de Babette, plus fine, des petits seins qui pointaient tout le temps,1m68 , un petit cul bien arrondi et surtout un visage angélique, plus posée, gentille et serviable. Elle m'avait aussi tapée dans l'œil, mais le hic c'est qu'elle avait un copain : Joe, le mec toujours sympa, toujours opérationnel pour la fête et très sociable.
En général nous nous retrouvions toujours tous les 5 dans le lot de ceux qui avaient choisi de faire l'école de la vie au lieu d'aller suivre les cours dans l'établissement. Un vendredi matin Guy m'annonce que ses parents sont en déplacement et qu'on pourrait aller directement chez lui au lieu de "traîner" avec les autres, bien entendu j'étais d'accord.
On a quand même suivi les cours du matin avant de s'éclipser l'après midi avec la complicité d'un surveillant qui nous avait à la bonne. Marion et Babette étaient de la partie. Arrivés chez Guy c'était la fête : bouteille de whisky, champagne et les filles nous ont concoctées un bon rôti de porc qu'on s'est empressé de déguster. Musique à fond, alcool, cigarettes et femmes... que pouvait on demander de plus??? Un moment Guy commençait à réclamer un peu plus d'attention et d'affection de la part de Marion, il se leva, me montra une chambre et me dit : -si t'as besoin de te reposer ou si Babette veut se reposer... faites comme chez vous. Il prit Marion et disparurent dans sa chambre.
Alors Babette me proposa de se retirer aussi dans la chambre pour discuter, il faut dire que l'état dans lequel nous étions déjà ne présageait rien de sage, mais bon l'on ne pensait plus à cela surtout avec le bruit qui venait de la chambre voisine. Les cris de Marion se faisaient de plus en plus bruyants, pendant que la discussion avec Babette se faisait de plus en plus intime, sexuelle, les yeux dans les yeux. C'est alors que Babette me dit:B- tu sais que tu me plais?
M- ah bon?
B-oui et depuis un moment déjà... et je sais que je ne te laisse pas indifférente, tu bandes ça se voit (c'est vrai que ma bite voulait perforer mon pantalon !)M-T'as raison... mais Joe??? (question de jouer les "mecs bien" mais au fond c'était plus mon problème)B- il est pas là... elle s'approche, m'embrasse, ses lèvres sont si douces...
A partir de ce moment tout s'enchaîna, en 30 secondes je me retrouve en caleçon, allongé sur le lit et Babette sur moi m'étouffant d'un baiser langoureux. j'avais envi de lui déchirer sa tenue, je n'en pouvais plus, une seule chose m'obsédait: la posséder de toute ma longueur. Un moment elle se redressa, ôta calmement son haut me fixa et bomba fièrement la poitrine ; j'avais jamais vu des seins si droits, des tétons si pointus et noirs en même temps. Je les pris en bouche, léchant, suçant, titillant... c'était bon. Babette gémissait, me disait qu'elle aimait ça, qu'elle aimait que je m'occupe de ses seins ainsi. J'en pouvais plus, j'étais à l'étroit dans mon caleçon, il fallait que je la baise, que je la possède, il fallait à tout prix qu'elle sente ma bite en elle. D'un coup je l'ai soulevé, couché dos au lit, retiré sa jupe comme un drogué qui était en manque et sa petite culotte a suivi le même chemin. Une fois redressé, j'ai ôté mon caleçon et j'ai vu les yeux de Babette grands ouverts, c'était la première fois qu'elle me voyait tout nu... Il est bien vrai mon sexe ne fais pas 30cm de long, mais il est bien épais et vraiment lourd. Pour La première fois de ma vie j'ai eu ce regard, Un regard de chasseur, de prédateur mais toujours avec un sourire qui en dit long sur mes intentions. Je repris mes caresses au niveau de son sexe avec sa petite touffe au niveau du pubis, elle mouillait abondamment, son clito était gonflé à block :B- viens en moi stp j'en peux plus... il y'a trop longtemps que j'attends que tu me baises.
Je ne disais rien, la fixais toujours, sorti un préservatif de ma sacoche que j'enfilais tranquillement avec ce même sourire. je commença à frotter le gland de haut en bas de sa chatte qui dégoulinait. je commençais à rentrer tout doucement, c'est fou comment elle était serré, c'était chaud, si bon... je ne pensais plus à Joe, au contraire cela m'excitait plutôt. Et pour la première fois j'ai été cru, grossier, sauvage... et j'ai aimé ça.
Je lui ai dit :- c'est ce que tu voulais?
B- ouiiiiiiiiiiiiiiii M- OUI quoi???
B- ou.. ouii je voulais que tu me baises putain!!!
M- c'est ça que tu veux? Tu veux que je te défonce la chatte?? Ta petite chatte de salope?
B- ouiiiiii... stp fais moi mal!!! je veux que tu m'élargisses la chatte, fais de moi ce que tu veux!!! cognes plus fort!!!
Il n'en fallait pas plus pour que je commence à accélérer, je lui mettais maintenant toute ma bite dans la chatte, je cognais de plus en plus fort, je ne me contrôlais plus, je voulais qu'elle sente ma force, ma puissance mais surtout mon désir de la posséder, maintenant je maintenais ses jambes repliées sur sa poitrine et je la pilonnais carrément M- sale pute!!! c'est ça que tu mérites.. te faire prendre en force comme Marion.. dommage que je ne puisse pas la baiser aussi !
B- oui c'est comme ça que j'aime qu'on me baise!!!
M- tu vas encore écarter les cuisses pour Joe?
B- noooooooon! je te promet, il me baisera plus.. il est mou, tu baises mieux, ta une bite plus grosse tu me fais tu bien... aie!!! j'aime quand tu m'éclates la chatte ainsi tu pourras me baiser quand tu veux... Ma chatte est toi, rien qu'à toi!!!
M- tais toi salope!!! la bite te fait dire n'importe quoi.
Je le disais mais en même temps ça m'excitait et flattait mon égo, c'était une sensation nouvelle, j'étais devenu sauvage, sans état d'âme, dirigé juste par mon instinct animal; je voulais jouir, la faire jouir et le reste je m'en foutais. J'avais jamais cogné si dur, je la défonçais sérieusement, elle avait mal, mais elle aimait cette sensation...
B- J'en peux plus Gillis... tu me tues, tu me tueeeeeeees!!! Joe c'est une couille molle devant toi, tu vas me rendre folle !
M- Ta gueule salope!!! Quand il te baisera demain tu diras plus ça!!! t'es esclave de la bite Babette je vais t'en donner...
Je sentais la sauce monter, j'en pouvais plus, je cognais de plus en plus fort, sa chatte était de plus en plus accueillante et la mouille facilitait tout ces coups de massue.
B- stp retires ta capote, je veux sentir ton sperme dans ma chatte!!! vite.. viens me féconder!!! oui oui ouiiiii !
M- SALOOOOOOOOOOOOPE!!!!
c'est tout ce qui pouvait sortir de ma bouche, elle m'avait eu.. je venais d'éjaculer un nombre incalculable de spermatozoïdes dans le préservatif, j'étais exténué et elle aussi... L'après midi ce termina tranquillement dans la joie et la bonne humeur. Le lundi suivant Babette rompu avec Joe et je ne sais comment il su pour ce qui s'était passé mais toujours est il que c'était plus pareil.
Heureusement les examens approchaient et il fallait se concentrer à l'essentiel, il ne se passa plus rien entre Babette et moi.
Je pense que cette histoire fut l'élément déclencheur de toutes celles qui vont suivre, en attendant vos commentaires, je vous souhaite une bonne lecture.
Je me prénomme Gillis, j suis un jeune homme d'origine africaine 1m85, 105 kg, un corps sculpté par une pratique régulière du basket ball, une belle "gueule" comme me laisse souvent entendre la gente féminine; mais ce qui intrigue souvent chez moi c'est mon regard, certaines le trouve perçant, d'autres pervers... mais une chose est sûre il attire l'attention et l'on me dit très souvent que j'ai de beaux yeux.
J'ai eu une enfance aisée au Cameroun mon pays d'origine où j'ai grandi avant de venir poursuivre mes études universitaires en France. Malgré mon âge relativement jeune, j'ai eu beaucoup d'expériences sexuelles que j'aimerai partagé ici.
L'histoire que je vais vous conter remonte à mon année en terminale S, j'avais 19/20 ans à l'époque et bien sur les prénoms seront changés pour garder l'anonymat.
Cette année était la meilleure de toute ma scolarité au Cameroun : on était en terminale, on voyait la vie en rose, les filles se sentaient femmes, les parents étaient de moins en moins "collants" et sévères, on avait plus de liberté...
J'avais un pote très proche qui s'appelait Guy 1m90 et pas mal non plus, il avait 23 ans et habitait pas loin du tout de l'établissement que l'on fréquentait. Certes on avait le Bac à préparer en fin d'année mais cela ne nous préoccupait pas plus que ça. Certains jours on était en cours, d'autres on étudiait la "vie" (comme on dit familièrement au Cameroun): pubs, salles de jeux, cinés, alcool, cigarettes, femmes... On avait une bande "d'habitués", tous aussi fous de fêtes les uns des autres, y compris les filles. Guy avait sa copine parmi les habitués : Marion, une belle fille mais surtout avec un corps qui appelle à la baise, 1m70, bouche pulpeuse et un cul rebondi et gros, des nichons pas très gros mais de très beaux. Guy me racontait souvent comment il la baisait et surtout qu'elle aimait se faire défoncer la chatte bien fort. Elle me faisait vraiment bander mais c'était la copine à mon pote. Marion quant à elle avait une copine du prénom de Babette, plus fine, des petits seins qui pointaient tout le temps,1m68 , un petit cul bien arrondi et surtout un visage angélique, plus posée, gentille et serviable. Elle m'avait aussi tapée dans l'œil, mais le hic c'est qu'elle avait un copain : Joe, le mec toujours sympa, toujours opérationnel pour la fête et très sociable.
En général nous nous retrouvions toujours tous les 5 dans le lot de ceux qui avaient choisi de faire l'école de la vie au lieu d'aller suivre les cours dans l'établissement. Un vendredi matin Guy m'annonce que ses parents sont en déplacement et qu'on pourrait aller directement chez lui au lieu de "traîner" avec les autres, bien entendu j'étais d'accord.
On a quand même suivi les cours du matin avant de s'éclipser l'après midi avec la complicité d'un surveillant qui nous avait à la bonne. Marion et Babette étaient de la partie. Arrivés chez Guy c'était la fête : bouteille de whisky, champagne et les filles nous ont concoctées un bon rôti de porc qu'on s'est empressé de déguster. Musique à fond, alcool, cigarettes et femmes... que pouvait on demander de plus??? Un moment Guy commençait à réclamer un peu plus d'attention et d'affection de la part de Marion, il se leva, me montra une chambre et me dit : -si t'as besoin de te reposer ou si Babette veut se reposer... faites comme chez vous. Il prit Marion et disparurent dans sa chambre.
Alors Babette me proposa de se retirer aussi dans la chambre pour discuter, il faut dire que l'état dans lequel nous étions déjà ne présageait rien de sage, mais bon l'on ne pensait plus à cela surtout avec le bruit qui venait de la chambre voisine. Les cris de Marion se faisaient de plus en plus bruyants, pendant que la discussion avec Babette se faisait de plus en plus intime, sexuelle, les yeux dans les yeux. C'est alors que Babette me dit:B- tu sais que tu me plais?
M- ah bon?
B-oui et depuis un moment déjà... et je sais que je ne te laisse pas indifférente, tu bandes ça se voit (c'est vrai que ma bite voulait perforer mon pantalon !)M-T'as raison... mais Joe??? (question de jouer les "mecs bien" mais au fond c'était plus mon problème)B- il est pas là... elle s'approche, m'embrasse, ses lèvres sont si douces...
A partir de ce moment tout s'enchaîna, en 30 secondes je me retrouve en caleçon, allongé sur le lit et Babette sur moi m'étouffant d'un baiser langoureux. j'avais envi de lui déchirer sa tenue, je n'en pouvais plus, une seule chose m'obsédait: la posséder de toute ma longueur. Un moment elle se redressa, ôta calmement son haut me fixa et bomba fièrement la poitrine ; j'avais jamais vu des seins si droits, des tétons si pointus et noirs en même temps. Je les pris en bouche, léchant, suçant, titillant... c'était bon. Babette gémissait, me disait qu'elle aimait ça, qu'elle aimait que je m'occupe de ses seins ainsi. J'en pouvais plus, j'étais à l'étroit dans mon caleçon, il fallait que je la baise, que je la possède, il fallait à tout prix qu'elle sente ma bite en elle. D'un coup je l'ai soulevé, couché dos au lit, retiré sa jupe comme un drogué qui était en manque et sa petite culotte a suivi le même chemin. Une fois redressé, j'ai ôté mon caleçon et j'ai vu les yeux de Babette grands ouverts, c'était la première fois qu'elle me voyait tout nu... Il est bien vrai mon sexe ne fais pas 30cm de long, mais il est bien épais et vraiment lourd. Pour La première fois de ma vie j'ai eu ce regard, Un regard de chasseur, de prédateur mais toujours avec un sourire qui en dit long sur mes intentions. Je repris mes caresses au niveau de son sexe avec sa petite touffe au niveau du pubis, elle mouillait abondamment, son clito était gonflé à block :B- viens en moi stp j'en peux plus... il y'a trop longtemps que j'attends que tu me baises.
Je ne disais rien, la fixais toujours, sorti un préservatif de ma sacoche que j'enfilais tranquillement avec ce même sourire. je commença à frotter le gland de haut en bas de sa chatte qui dégoulinait. je commençais à rentrer tout doucement, c'est fou comment elle était serré, c'était chaud, si bon... je ne pensais plus à Joe, au contraire cela m'excitait plutôt. Et pour la première fois j'ai été cru, grossier, sauvage... et j'ai aimé ça.
Je lui ai dit :- c'est ce que tu voulais?
B- ouiiiiiiiiiiiiiiii M- OUI quoi???
B- ou.. ouii je voulais que tu me baises putain!!!
M- c'est ça que tu veux? Tu veux que je te défonce la chatte?? Ta petite chatte de salope?
B- ouiiiiii... stp fais moi mal!!! je veux que tu m'élargisses la chatte, fais de moi ce que tu veux!!! cognes plus fort!!!
Il n'en fallait pas plus pour que je commence à accélérer, je lui mettais maintenant toute ma bite dans la chatte, je cognais de plus en plus fort, je ne me contrôlais plus, je voulais qu'elle sente ma force, ma puissance mais surtout mon désir de la posséder, maintenant je maintenais ses jambes repliées sur sa poitrine et je la pilonnais carrément M- sale pute!!! c'est ça que tu mérites.. te faire prendre en force comme Marion.. dommage que je ne puisse pas la baiser aussi !
B- oui c'est comme ça que j'aime qu'on me baise!!!
M- tu vas encore écarter les cuisses pour Joe?
B- noooooooon! je te promet, il me baisera plus.. il est mou, tu baises mieux, ta une bite plus grosse tu me fais tu bien... aie!!! j'aime quand tu m'éclates la chatte ainsi tu pourras me baiser quand tu veux... Ma chatte est toi, rien qu'à toi!!!
M- tais toi salope!!! la bite te fait dire n'importe quoi.
Je le disais mais en même temps ça m'excitait et flattait mon égo, c'était une sensation nouvelle, j'étais devenu sauvage, sans état d'âme, dirigé juste par mon instinct animal; je voulais jouir, la faire jouir et le reste je m'en foutais. J'avais jamais cogné si dur, je la défonçais sérieusement, elle avait mal, mais elle aimait cette sensation...
B- J'en peux plus Gillis... tu me tues, tu me tueeeeeeees!!! Joe c'est une couille molle devant toi, tu vas me rendre folle !
M- Ta gueule salope!!! Quand il te baisera demain tu diras plus ça!!! t'es esclave de la bite Babette je vais t'en donner...
Je sentais la sauce monter, j'en pouvais plus, je cognais de plus en plus fort, sa chatte était de plus en plus accueillante et la mouille facilitait tout ces coups de massue.
B- stp retires ta capote, je veux sentir ton sperme dans ma chatte!!! vite.. viens me féconder!!! oui oui ouiiiii !
M- SALOOOOOOOOOOOOPE!!!!
c'est tout ce qui pouvait sortir de ma bouche, elle m'avait eu.. je venais d'éjaculer un nombre incalculable de spermatozoïdes dans le préservatif, j'étais exténué et elle aussi... L'après midi ce termina tranquillement dans la joie et la bonne humeur. Le lundi suivant Babette rompu avec Joe et je ne sais comment il su pour ce qui s'était passé mais toujours est il que c'était plus pareil.
Heureusement les examens approchaient et il fallait se concentrer à l'essentiel, il ne se passa plus rien entre Babette et moi.
Je pense que cette histoire fut l'élément déclencheur de toutes celles qui vont suivre, en attendant vos commentaires, je vous souhaite une bonne lecture.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien excitant
La suite vite
La suite vite
Bonne histoire je mouilles
Hum belle histoire tres exitante
écriture instinctive, efficace, agréable, tu tiens le bon bout, je trouve
cété exitant frangin.on wait la suite tara
cool gars tu as donné du plantin à volonté raconte nous la suite
Merci pour ce tout premier récit :)
Pas mal, bon début, fait tes prochaines histoires plus longues, avec plus de détails,
stp vite la suite. :)
stp vite la suite. :)