Le quai d'Austerlitz

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le quai d'Austerlitz
Les parisiens connaissent cet endroit sûrement.
Quand j'habitais Paris il y a quelques années j'avais déjà entendu parlé de ces quais. D'un côté près du pont du même nom il y avait des escaliers et de l'autre bien plus loin une rampe pour les voitures qui donnait accès aux quais du Port et des bureaux qui se trouvaient là. C'est soit disant dessous que tout se passait.
Mais la fois où j'ai voulu m'y rendre, j'ai trouvé l'endroit tellement glauque que je ne n'ai pas voulu aller plus loin.
Et aujourd'hui cet endroit me rattrape avec Gilles mon vieil ami qui a décidé de me raconter les dessous de la capitale il y a des décennies. C'est un vrai livre ce Monsieur portant toujours beau malgré les difficultés pour marcher avec l'âge. Mais il a toujours l'œil vif et l'air coquin de se souvenir de tout ce qu'il a vu et fait.
Quand je lui ai dit que j'avais rebroussé chemin il y a 15 ans, il a éclaté de rire.
-je te croyais plus courageux le blond! Tu avais peur pour ton petit cul ?
-non je ne me laisse pas faire Gilles j'ai répondu en riant, mais reconnait que cet endroit était glauque quand même!
Tu auras sûrement des lecteurs qui s'en souviendront.
Oui c'était glauque mais c'était un lieu de baise jamais vu. Imagine un sous-sol à ciel ouvert sous les bureaux du Port, éclairé uniquement par les lumières de la rive de l'autre côté de la Seine. C'est vrai qu'il faisait bien sombre. Tu pouvais descendre d'un côté en voiture et stationné sur le parking pour aller à pied sous les bureaux où la cour des Miracles commençait.
Un grand sous-sol avec de larges piliers tenaient le tout, le sol était en terre battue.
Sur la gauche tu entrais comme sur une route et à droite il y avait des renfoncements et ce n'était pas rare de voir dans la nuit, mais les mecs venaient avec des lampes torches, un mec à quatre pattes le cul nu attendant de se faire remplir.
Si ta lumière éclairait un mec en train de se faire baiser ça ne gênait personne ils continuaient et tu pouvais mater. Là c'était le coin de ceux qui se faisaient démonter toute la soirée, tu ne voyais pas leur visage, ils restaient à quatre pattes attendant les queues.
Plus loin près de deux piliers, se trouvait le coin des uro. Les mecs à poils, bite raide attendait de se faire pisser dessus et à l'occasion te suçait pour boire ton jus.
Mais le pipeurs étaient plus loin, et il n'y avait que des mecs exigeants qui ne prenaient que des grosses queues et fallait entendre les grognements dans le secteur.
Plus loin tu avais le groupe des arabes et quelques blacks qui restaient ensemble et les salopes dans mon genre venaient se faire niquer par la troupe.
Et encore plus loin dans le renfoncement de la sortie, c'était le groupe des partouzeurs, plus d'une dizaine de mecs à moitié à poils qui s'amusaient ensemble. Des jeunes des vieux tous se mélangeaient. Le principe était de juter.
Puis de l'autre côté le long de la Seine les mecs qui déambulaient, se matant, se draguant avant de s'isoler dans un coin pour faire leurs affaires, ils étaient appelés les "timides". C'était souvent des jeunes qui venaient pour la première fois.
Et puis pour corser un peu le tout, les descentes de flics de temps en temps qui entraient en voiture et venaient rouler pleins feux dans le sous-sol et repartaient aussi vite qu'ils étaient venus.
Ils mettaient un peu d'ambiance dit Gilles en riant.
-Alors si je comprends bien tu fréquentais le groupe des arabes et des blacks ?
-oui le plus souvent, mais j'aimais bien draguer les jeunes arrivant aussi, rappelle toi j'étais jeune et beau à cette époque!
-t'es toujours beau Gilles, t'es un très beau Monsieur que j'apprécie énormément.
Bon tu sais maintenant ce qui se passait là-dessous et tu sais ce que deux ou plusieurs mecs peuvent faire ensemble, alors je vais te raconter une anecdote personnelle.
Je venais d'arriver et sur le parking je retrouve un complice des lieux, Pierre un bon mec qui savait se servir de sa belle queue. Il est prêt de minuit et on papote en entrant sous le sous-sol du côté des mecs qui attendaient de se faire remplir.
On n'avait pas fait 10 mètres que des phares de voiture nous éclairent, on se retourne, les flics. La voiture s'arrête et dans les phares on voit deux flics descendre et venir vers nous.
Deux jeunes flics, je dirais de 30 ans, en tenue, main sur leur arme nous toise et l'un demande:
-vous faites quoi ici ?
-ben on s'promène j'ai répondu.
-vous avez des papiers ?
On a sorti nos cartes d'identité qu'ils ont regardé, nous ont toisé, se sont regardés en souriant.
-vous êtes pédés ? a demandé l'autre flic.
C'est Pierre qui s'est avancé pour répondre :
-et toi ?
J'ai bien cru qu'on allait se faire démonter. Le flic a serré ses poings en toisant Pierre.
Mais Pierre s'est encore avancé vers le flic presque à le toucher, face à face et je sais qu'il souriait. J'ai vu sa main venir sur l'entrejambe du flic qui a fait un bond si t'avais vu ça.
-te sauve pas le flic, je crois que tu bandes! Et là tu m'intéresses.
Le flic avait reculé jusqu'à sa voiture et avait posé les fesses sur le capot.
Pierre s'est approché, s'est mis à genoux devant lui, ses mains sur les cuisses et a dit à l'autre flic :
-éteins les phares que je soulage ton collègue.
Et l'autre con est allé couper les phares, on s'est retrouvé pratiquement dans le noir, mais je voyais les gestes de Pierre. Il caressait l'entrejambe du flic qui ne bougeait plus. Il s'est laissé ouvrir la braguette, sortir sa queue et Pierre s'est mis à le sucer.
Je savais ce dont Pierre est capable avec une bite et j'étais sûr que le flic allait prendre son pied.
L'autre flic me regarde, je m'avance vers lui et dans la faible clarté qui arrive jusque là je vois qu'il a l'air un peu apeuré, stupéfait. Je tends la main en lui faisant signe de s'asseoir sur son capot près de son pote.
Il obéit ce con et me voilà à genoux sortant la belle queue du flic qui bandait comme un fou, excité de chez excité.
Je me suis fait un malin plaisir de le piper avec tout mon savoir, caressant bien sa belle queue, le décalottant pour aspirer le gland et avaler toute la mouille qui sortait en abondance. Il me tenait la tête et poussait de petits gémissements. Je l'ai trouvé mignon mon flic.
J'avais sorti ses couilles et je les ai bouffé, avalé les noyant dans ma bouche. Il gémissait autant que son collègue qui avait maintenant le pantalon au bas des chevilles et je voyais la main de Pierre qui s'activait dans la raie.
Alors j'ai défait le pantalon et ces cons ont enlevé leur arme qu'ils ont posé sur le capot. Heureusement que ce n'étaient pas les armes qui nous intéressaient.
Quand mon flic a juté, j'ai tout avalé et j'ai bien vu qu'il était surpris. Je ne l'ai pas laissé reprendre ses esprits, je l'ai fait retourner et s'appuyer sur le capot et je lui ai bouffé son cul. Fallait l'entendre pousser ses gémissements.
Je l'ai doigté comme il se doit, il écartait ses jambes au maximum, mais son trou ne s'ouvrait pas tellement. Pourtant il me faisait envie ce flic, tu te rends compte un flic en tenue qui se faisait sucer et bouffer le cul.
Mais je commençais à aimer me prendre toutes sortes de queues, alors je me suis penché sur lui comme si je voulais le baiser et à l'oreille je lui ai demandé :
-tu préfères me baiser ou te faire baiser ?
Il s'est redressé en m'entraînant pour se retourner dans mes bras. Je le serrais très fort contre moi et j'ai fait ma salope :
-t'as raison baise moi le flic, je vais faire ta salope, mais tu me baises bien fort, t'as une belle queue et je suis sûr que tu sais t'en servir!
Je ne lui ai pas laissé le temps de réfléchir, j'ai baissé mon froc et je me suis allongé sur le capot de la voiture de Police, nez contre les armes et j'ai tendu mon cul en l'écartant au maximum.
Oh il a hésité quelques secondes et j'ai senti son gland chercher l'ouverture. Il était fébrile le garçon, est ce que j'étais son premier cul ? Je l'ai cru au départ, mais quand ses mains m'ont agrippé j'ai compris qu'il savait comment faire et ce salaud m'a bien baisé.
Ce qui est marrant c'est quand sa queue est entrée, facilement dans mon cul, j'ai gueulé, mais c'est son pote qui gueulait le plus fort car mon pote Pierre le tenait au bout de sa queue et le ramonait comme la pute de service.
Il a juté trop vite mon flic, alors que mon pote baisait encore l'autre flic qui couinait comme un puceau.
J'ai fait un bisou au flic et je l'ai sucé encore une fois, avant de revenir dans ses bras pour cette fois lui rouler une pelle comme il le méritait. Il tremblait encore le coquin et se serrait contre moi, bandant encore.
Il avait un beau corps le mec et j'avais plaisir de le caresser.
-tu veux me niquer encore une fois ? j'ai demandé.
Mais il n'a pas eu le temps de répondre, son pote se rhabillait sans faire de câlin à Pierre qui souriait.
-on s'casse Michel! a dit l'autre flic.
On les a regardé remettre de l'ordre dans leur tenue, monter en voiture et partir en reculant pendant que Pierre disait assez fort :
-vous revenez quand vous voulez!
On rigolait tous les deux de ce qu'il venait de nous arriver quand on a vu au moins une quinzaine de mecs sortir de tous les côtés et venir vers nous, nous entourer, nous taper sur l'épaule et les compliments ont fusé!
-putain des flics! vous les connaissez ? ils baisent bien ? comment t'as fait etc... ça n'arrêtait pas, on était devenu des vedettes et je te dis Fabrice, j'étais un beau mec à ce moment là et j'ai bien vu les regards me concernant.
Un mec est venu me caresser les fesses.
-j'ai vu que le flic t'avait baisé, t'as aimé ? il a une grosse queue ?
Là on revenait dans ce qui se passait là-bas et comme on était les vedettes du soir, mes mains sont parties à l'aventure sur les braguettes environnantes.
-mais les mecs faut pas rester dans cet état et faut faire prendre l'air à vos queues!
Ils riaient en sortant leurs queues, d'autres baissaient carrément leur pantalon pour montrer leurs culs et ce fût la plus belle partouze improvisée dans l'entrée du sous-sol.
J'en ai encore pris plein mon beau petit cul et ma queue a été honorée également car les mecs voulaient me sucer en disant :
-elle a failli voir le trou du cul d'un flic.
On a baisé comme des malades et plus la soirée avançait plus il y avait du monde.
-tu vas me donner des regrets Gilles de ne pas avoir osé m'y rendre, mais maintenant ?
-alors là maintenant j'en sais rien du tout, je n'y ai pas mis les pieds depuis une éternité! Mais je t'ai dit que c'est là qu'a été tourné "les nuits fauves" de Cyril Collard?
-oui Gilles on en avait parlé la dernière fois...
Si un lecteur sait ce qui se passe encore maintenant à cet endroit... écrivez moi!
Quand j'habitais Paris il y a quelques années j'avais déjà entendu parlé de ces quais. D'un côté près du pont du même nom il y avait des escaliers et de l'autre bien plus loin une rampe pour les voitures qui donnait accès aux quais du Port et des bureaux qui se trouvaient là. C'est soit disant dessous que tout se passait.
Mais la fois où j'ai voulu m'y rendre, j'ai trouvé l'endroit tellement glauque que je ne n'ai pas voulu aller plus loin.
Et aujourd'hui cet endroit me rattrape avec Gilles mon vieil ami qui a décidé de me raconter les dessous de la capitale il y a des décennies. C'est un vrai livre ce Monsieur portant toujours beau malgré les difficultés pour marcher avec l'âge. Mais il a toujours l'œil vif et l'air coquin de se souvenir de tout ce qu'il a vu et fait.
Quand je lui ai dit que j'avais rebroussé chemin il y a 15 ans, il a éclaté de rire.
-je te croyais plus courageux le blond! Tu avais peur pour ton petit cul ?
-non je ne me laisse pas faire Gilles j'ai répondu en riant, mais reconnait que cet endroit était glauque quand même!
Tu auras sûrement des lecteurs qui s'en souviendront.
Oui c'était glauque mais c'était un lieu de baise jamais vu. Imagine un sous-sol à ciel ouvert sous les bureaux du Port, éclairé uniquement par les lumières de la rive de l'autre côté de la Seine. C'est vrai qu'il faisait bien sombre. Tu pouvais descendre d'un côté en voiture et stationné sur le parking pour aller à pied sous les bureaux où la cour des Miracles commençait.
Un grand sous-sol avec de larges piliers tenaient le tout, le sol était en terre battue.
Sur la gauche tu entrais comme sur une route et à droite il y avait des renfoncements et ce n'était pas rare de voir dans la nuit, mais les mecs venaient avec des lampes torches, un mec à quatre pattes le cul nu attendant de se faire remplir.
Si ta lumière éclairait un mec en train de se faire baiser ça ne gênait personne ils continuaient et tu pouvais mater. Là c'était le coin de ceux qui se faisaient démonter toute la soirée, tu ne voyais pas leur visage, ils restaient à quatre pattes attendant les queues.
Plus loin près de deux piliers, se trouvait le coin des uro. Les mecs à poils, bite raide attendait de se faire pisser dessus et à l'occasion te suçait pour boire ton jus.
Mais le pipeurs étaient plus loin, et il n'y avait que des mecs exigeants qui ne prenaient que des grosses queues et fallait entendre les grognements dans le secteur.
Plus loin tu avais le groupe des arabes et quelques blacks qui restaient ensemble et les salopes dans mon genre venaient se faire niquer par la troupe.
Et encore plus loin dans le renfoncement de la sortie, c'était le groupe des partouzeurs, plus d'une dizaine de mecs à moitié à poils qui s'amusaient ensemble. Des jeunes des vieux tous se mélangeaient. Le principe était de juter.
Puis de l'autre côté le long de la Seine les mecs qui déambulaient, se matant, se draguant avant de s'isoler dans un coin pour faire leurs affaires, ils étaient appelés les "timides". C'était souvent des jeunes qui venaient pour la première fois.
Et puis pour corser un peu le tout, les descentes de flics de temps en temps qui entraient en voiture et venaient rouler pleins feux dans le sous-sol et repartaient aussi vite qu'ils étaient venus.
Ils mettaient un peu d'ambiance dit Gilles en riant.
-Alors si je comprends bien tu fréquentais le groupe des arabes et des blacks ?
-oui le plus souvent, mais j'aimais bien draguer les jeunes arrivant aussi, rappelle toi j'étais jeune et beau à cette époque!
-t'es toujours beau Gilles, t'es un très beau Monsieur que j'apprécie énormément.
Bon tu sais maintenant ce qui se passait là-dessous et tu sais ce que deux ou plusieurs mecs peuvent faire ensemble, alors je vais te raconter une anecdote personnelle.
Je venais d'arriver et sur le parking je retrouve un complice des lieux, Pierre un bon mec qui savait se servir de sa belle queue. Il est prêt de minuit et on papote en entrant sous le sous-sol du côté des mecs qui attendaient de se faire remplir.
On n'avait pas fait 10 mètres que des phares de voiture nous éclairent, on se retourne, les flics. La voiture s'arrête et dans les phares on voit deux flics descendre et venir vers nous.
Deux jeunes flics, je dirais de 30 ans, en tenue, main sur leur arme nous toise et l'un demande:
-vous faites quoi ici ?
-ben on s'promène j'ai répondu.
-vous avez des papiers ?
On a sorti nos cartes d'identité qu'ils ont regardé, nous ont toisé, se sont regardés en souriant.
-vous êtes pédés ? a demandé l'autre flic.
C'est Pierre qui s'est avancé pour répondre :
-et toi ?
J'ai bien cru qu'on allait se faire démonter. Le flic a serré ses poings en toisant Pierre.
Mais Pierre s'est encore avancé vers le flic presque à le toucher, face à face et je sais qu'il souriait. J'ai vu sa main venir sur l'entrejambe du flic qui a fait un bond si t'avais vu ça.
-te sauve pas le flic, je crois que tu bandes! Et là tu m'intéresses.
Le flic avait reculé jusqu'à sa voiture et avait posé les fesses sur le capot.
Pierre s'est approché, s'est mis à genoux devant lui, ses mains sur les cuisses et a dit à l'autre flic :
-éteins les phares que je soulage ton collègue.
Et l'autre con est allé couper les phares, on s'est retrouvé pratiquement dans le noir, mais je voyais les gestes de Pierre. Il caressait l'entrejambe du flic qui ne bougeait plus. Il s'est laissé ouvrir la braguette, sortir sa queue et Pierre s'est mis à le sucer.
Je savais ce dont Pierre est capable avec une bite et j'étais sûr que le flic allait prendre son pied.
L'autre flic me regarde, je m'avance vers lui et dans la faible clarté qui arrive jusque là je vois qu'il a l'air un peu apeuré, stupéfait. Je tends la main en lui faisant signe de s'asseoir sur son capot près de son pote.
Il obéit ce con et me voilà à genoux sortant la belle queue du flic qui bandait comme un fou, excité de chez excité.
Je me suis fait un malin plaisir de le piper avec tout mon savoir, caressant bien sa belle queue, le décalottant pour aspirer le gland et avaler toute la mouille qui sortait en abondance. Il me tenait la tête et poussait de petits gémissements. Je l'ai trouvé mignon mon flic.
J'avais sorti ses couilles et je les ai bouffé, avalé les noyant dans ma bouche. Il gémissait autant que son collègue qui avait maintenant le pantalon au bas des chevilles et je voyais la main de Pierre qui s'activait dans la raie.
Alors j'ai défait le pantalon et ces cons ont enlevé leur arme qu'ils ont posé sur le capot. Heureusement que ce n'étaient pas les armes qui nous intéressaient.
Quand mon flic a juté, j'ai tout avalé et j'ai bien vu qu'il était surpris. Je ne l'ai pas laissé reprendre ses esprits, je l'ai fait retourner et s'appuyer sur le capot et je lui ai bouffé son cul. Fallait l'entendre pousser ses gémissements.
Je l'ai doigté comme il se doit, il écartait ses jambes au maximum, mais son trou ne s'ouvrait pas tellement. Pourtant il me faisait envie ce flic, tu te rends compte un flic en tenue qui se faisait sucer et bouffer le cul.
Mais je commençais à aimer me prendre toutes sortes de queues, alors je me suis penché sur lui comme si je voulais le baiser et à l'oreille je lui ai demandé :
-tu préfères me baiser ou te faire baiser ?
Il s'est redressé en m'entraînant pour se retourner dans mes bras. Je le serrais très fort contre moi et j'ai fait ma salope :
-t'as raison baise moi le flic, je vais faire ta salope, mais tu me baises bien fort, t'as une belle queue et je suis sûr que tu sais t'en servir!
Je ne lui ai pas laissé le temps de réfléchir, j'ai baissé mon froc et je me suis allongé sur le capot de la voiture de Police, nez contre les armes et j'ai tendu mon cul en l'écartant au maximum.
Oh il a hésité quelques secondes et j'ai senti son gland chercher l'ouverture. Il était fébrile le garçon, est ce que j'étais son premier cul ? Je l'ai cru au départ, mais quand ses mains m'ont agrippé j'ai compris qu'il savait comment faire et ce salaud m'a bien baisé.
Ce qui est marrant c'est quand sa queue est entrée, facilement dans mon cul, j'ai gueulé, mais c'est son pote qui gueulait le plus fort car mon pote Pierre le tenait au bout de sa queue et le ramonait comme la pute de service.
Il a juté trop vite mon flic, alors que mon pote baisait encore l'autre flic qui couinait comme un puceau.
J'ai fait un bisou au flic et je l'ai sucé encore une fois, avant de revenir dans ses bras pour cette fois lui rouler une pelle comme il le méritait. Il tremblait encore le coquin et se serrait contre moi, bandant encore.
Il avait un beau corps le mec et j'avais plaisir de le caresser.
-tu veux me niquer encore une fois ? j'ai demandé.
Mais il n'a pas eu le temps de répondre, son pote se rhabillait sans faire de câlin à Pierre qui souriait.
-on s'casse Michel! a dit l'autre flic.
On les a regardé remettre de l'ordre dans leur tenue, monter en voiture et partir en reculant pendant que Pierre disait assez fort :
-vous revenez quand vous voulez!
On rigolait tous les deux de ce qu'il venait de nous arriver quand on a vu au moins une quinzaine de mecs sortir de tous les côtés et venir vers nous, nous entourer, nous taper sur l'épaule et les compliments ont fusé!
-putain des flics! vous les connaissez ? ils baisent bien ? comment t'as fait etc... ça n'arrêtait pas, on était devenu des vedettes et je te dis Fabrice, j'étais un beau mec à ce moment là et j'ai bien vu les regards me concernant.
Un mec est venu me caresser les fesses.
-j'ai vu que le flic t'avait baisé, t'as aimé ? il a une grosse queue ?
Là on revenait dans ce qui se passait là-bas et comme on était les vedettes du soir, mes mains sont parties à l'aventure sur les braguettes environnantes.
-mais les mecs faut pas rester dans cet état et faut faire prendre l'air à vos queues!
Ils riaient en sortant leurs queues, d'autres baissaient carrément leur pantalon pour montrer leurs culs et ce fût la plus belle partouze improvisée dans l'entrée du sous-sol.
J'en ai encore pris plein mon beau petit cul et ma queue a été honorée également car les mecs voulaient me sucer en disant :
-elle a failli voir le trou du cul d'un flic.
On a baisé comme des malades et plus la soirée avançait plus il y avait du monde.
-tu vas me donner des regrets Gilles de ne pas avoir osé m'y rendre, mais maintenant ?
-alors là maintenant j'en sais rien du tout, je n'y ai pas mis les pieds depuis une éternité! Mais je t'ai dit que c'est là qu'a été tourné "les nuits fauves" de Cyril Collard?
-oui Gilles on en avait parlé la dernière fois...
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