Le relais
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Le relais
Ma famille tient le même établissement depuis des temps immémoriaux, sans doute depuis 1320. Notre relais sert à changer de monture pour les voyageurs à cheval, à en acheter ou en vendre. Nos ancêtres avaient construit un endroit pour que les passants se reposent, se restaurent. Pour notre modernité, en 1550, nous avions des aides dans le personnel des palefreniers, de servantes ou cuisinières. Pour le reste, fainéant comme je suis j’ai embauché un maréchal et un réparateur (même constructeur à ses moments perdus)
Pour moi compte dans la vie : la bonne chair, le bon vivre, le vin de chez moi et les belles filles. Ma femme en est un peu jalouse, mais quoi lutiner une gamine n’est pas pécher, c’est le curé qui me l’a affirmé ! En attendant il ne se passe de journée sans que les voyageurs passent de Castelnaudary à Limoux et même de Mirepoix où l’inverse. Entre 11 heures et 15 heures (l’heure des vêpres, à Belvèze de Razès, ou même à Brugairolles. J’ai une foule de coqs qui font avec les gallines des œufs merveilleux pour les omelettes préparées par ma femme.
J’ai une belle femme, le plus belle le plus séduisante du baillage. Il a bien fallut que je me dispute à coup de poing sur la figure pour qu’on me laisse la paix pour compter fleurette à Cunégonde que j’ai rebaptisé Cuné. Nous nous étions accordés sur le champ derrière le relais, derrière une haie. Elle est peu châtaigne, avec de grands yeux bleus comme le ciel de notre Razès. Je l’ai surprise quand elle gardait des bêtes qui ruminaient. J’étais debout devant elle, je la détaillais pour le regarder encore (oui elle me plait) Je lui plais, c’est visible. Pour nous dans ce siècle se profile une grande période de paix. C’est visible avec les gens qui passent. Beaucoup s’arrêtent boire un verre ou deux, d’autre mangent, certains dorment, d’autres profite des charmes de ma femme ou d’une des servantes. Je ne pousse jamais une femme à coucher avec un voyageur : c’est elles qui décident de leur préférence pour choisir si elles veulent ou non un amant, des fois une amante. Je me laisse souvent convaincre par ma femme de participer à ses rencontres nocturnes qui ne font de mal à personne, mais qui en font du bien à d’autres.
Un après midi vient une femme âgée accompagnée d’une mignonette, sa fille : elle voulait que je lui donne du travail pour bien lui apprendre la cuisine et le service, son vœux était d’aller dans une grand maison d’un noble. Les nobles chez nous ne sont pas très bien vus ! En plus les nobles étaient vers Carcassonne ou Toulouse. Je garde la fille, la mère repart en pleurs. La gamine pour moi s’adapte vite. Elle fait même des progrès, pas comme je le lui aurais souhaité. Elle s’intéressait plus aux toilettes des dames, aux pourpoints des messieurs. En gros, pour parler cru, elle chassait.
Mon principal apprenti faisait les frais des recherches de la fille. Elle disait toujours oui. J’ai voulu savoir jusqu’ou elle irait. Je l‘ai trouvé un soir dans mon lis, sous les draps, couverte jusqu’au cou. Quand j’ai levé les draps, elle était nue, étalée. J’avais brusquement envie d’elle, je le lui disais, elle répondait oui.
J’aurais eu tord de me gêner. Elle me prenait dans ses bras m’embrassait, me guidais vers elle. J’étais en elle, bien au fond : elle gémissait, je continuais pour moi, elle ne comptait pas. Je me trompais : elle aimait, jouissait plusieurs fois avant moi. Elle ameutait la maison à tel point que ma femme est venue voir ce qui se passait. Elle nous a engueulé puis est venue avec nous pour partager ce que nous faisions, surtout ce que faisait la fille. Plus tard, je m’endormais après mettre mis hors jeu. En me réveillant au matin, elles étaient encore accordées à se faire du bien. Je crois qu’elles s’étaient caressées partout, même, j’en ai honte dans le petit trou.
Dès mon réveil elles s’occupaient de moi encore sans pudeur de leur part. J’étais le mari d’une d’elle : elles en profitaient à deux. Mais elle avait de la ressource quand je tombais en panne. Elle couchait ma femme sur le lit, lui faisait écarter les jambes, ce que ma femme aime, passe un doigt dans le sexe, puis un autre pour finir avec la main entière. Les soupirs, les cris de ma femme me rendaient encore dur. Je lui donnais ma bite à lécher pour la première fois. Je voyais sa bouche s’ouvrir en grand devant ma bite : elle la léchait, la mordillait pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte par une autre.
Notre plaisir arrivait en même temps. J’éjaculais en elle, elle éclatait sous les doigts de son amante.
Elle est restée chez nous un ou deux mois. Elle me baisait souvent, surtout en présence de ma femme. Souvent ma femme se masturbait en nous regardant. Mais souvent aussi elle se branlait seule devant moi. Que vouliez vous que je fasse en la couvrant de mon regard : je me touchais la queue, bien évidement.
Ma femme me poussait souvent à me masturber devant elle, comme elle le faisait aussi. Notre couple vivait des moments d’intense jouissance. J’adorais voir sa main et ses doigts astiquer son sexe : elle gémissait de plaisir. Souvent elle plantait un doigt puis un autre dans son cul. Elle se faisait jouir avec deux doigts dans l’anus. Souvent quand nous baisions elle me demandait de l’enculer. Je ne sais ce qu’elle trouvait de plus à avoir le cul ouvert pas une bite. Le sommet venait quand j’avais ma bite enfoncée dans l’anus, et qu’elle se caressait le clitoris.
Un dimanche après midi, nous étions seuls, elle se mettait moitié nue dans l’écurie. L’odeur d’un cheval qui bandait devait l’inciter à baiser. Elle était assise sur une mangeoire, les jambes ouvertes, une main sur son sexe. Elle m’appelait pour que je vienne remplir mon devoir conjugal. Je venais contre elle, me mettais totalement nu. Elle passait ses jambes sur mes hanches, tendait son ventre vers ma queue. Je tenais mon sexe dans la main, je le passais contre toute sa chatte, du haut vers le bas : je passais de la zone mouillée vers la partie plus séche, vers le périnée. Elle attendait encore. Quand j’étais sur son anus, elle donnait un grand coup en avant : j’entrais dans son magnifique cul. Il était serré, plus que son con. Il me semblait défaillir quand j’entrais en elle. Elle poussait encore pour que j’entre au maximum. Je sentais bien les muscles de son anus autour de ma queue. Je poussais encore. J’étais au bout, elle en aurait voulu encore. Pour ressentir totalement son plaisir elle commençait à aller et venir sur ma pine.
Elle se faisait enculer, les yeux fermés, la tête en arrière sans rien regarder.
J’ai eu la surprise quand une main est venue entre nous : elle cherchait ma queue. Je le pensais, alors qu’elle cherchait le clitoris de ma femme. Ce coté était libre, ma femme se laissait branler pendant que je l’enculais.
Ses soupirs montraient bien son plaisir. J’en bandais plus fort. Elle se levait, me laissait dans le cul, puis offrait son con à l’autre bite. Je sentis bien l’autre queue contre la mienne. Je me demandais qui me faisait jouir : elle ou lui. Je regardais cette nouvelle bite : un gros morceau plus gros que moi, en plus dans son con. Elle gémissait en jouissant. Je me serais retiré : elle me voulait en elle. Je me retenais pour ne pas jouir trop vite. Celui qui la baisait devait aussi se retenir. Quand nous avons joui, presque ensemble. La bite est sorti du con de ma femme, je la regardais : elle me faisait peur. Et pourtant pris dans l’ambiance de la baise, je lui donnais aussi mes fesses.
J’étais penché en avant, elle prenait ma queue dans les lèvres, les faisait glisser entre elles. Elle tenait mes fesses ouvertes, d’accord pour la suite qui allait m’arriver. J’ai eu mal au début quand il est venu en moi. C’était plus agréable après, surtout grâce à la bouche de ma femme. Je sentais cette queue aller et venir dans le cul. Et là j’ai joui comme rarement. J’ai joui dans la bouche de ma femme qui avalait la semence alors qu’elle me la refusait toujours. Je sentais la bite sortir de mon cul. Ma femme voulait la prendre aussi dans la bouche : elle goutait et la bite et mon cul.
Ses mains étaient sur sa chatte : elle se branlait encore.
Nous pouvions voir ses orgasmes à deux. J’ai eu envie de lui donner du plaisir alors qu’il avait joui en moi de mon cul. Cette fois c’est ma main droite qui le caressait. Il bandait de plus en plus ; Ma femme regardait ce que je faisais. Elle reprenait encore une masturbation. Je ne l’avais jamais vu se donner autant de plaisir. Cette fois elle entrait deux ou trois doigts dans son intimité. Elle allait plus loin en mettant les doigts de son autre main dans son anus ouvert. Notre amant jouissait sans que sa bite soit excitée. Je me masturbais devant eux. Je sais que mon jus allait sur eux.
Pour moi compte dans la vie : la bonne chair, le bon vivre, le vin de chez moi et les belles filles. Ma femme en est un peu jalouse, mais quoi lutiner une gamine n’est pas pécher, c’est le curé qui me l’a affirmé ! En attendant il ne se passe de journée sans que les voyageurs passent de Castelnaudary à Limoux et même de Mirepoix où l’inverse. Entre 11 heures et 15 heures (l’heure des vêpres, à Belvèze de Razès, ou même à Brugairolles. J’ai une foule de coqs qui font avec les gallines des œufs merveilleux pour les omelettes préparées par ma femme.
J’ai une belle femme, le plus belle le plus séduisante du baillage. Il a bien fallut que je me dispute à coup de poing sur la figure pour qu’on me laisse la paix pour compter fleurette à Cunégonde que j’ai rebaptisé Cuné. Nous nous étions accordés sur le champ derrière le relais, derrière une haie. Elle est peu châtaigne, avec de grands yeux bleus comme le ciel de notre Razès. Je l’ai surprise quand elle gardait des bêtes qui ruminaient. J’étais debout devant elle, je la détaillais pour le regarder encore (oui elle me plait) Je lui plais, c’est visible. Pour nous dans ce siècle se profile une grande période de paix. C’est visible avec les gens qui passent. Beaucoup s’arrêtent boire un verre ou deux, d’autre mangent, certains dorment, d’autres profite des charmes de ma femme ou d’une des servantes. Je ne pousse jamais une femme à coucher avec un voyageur : c’est elles qui décident de leur préférence pour choisir si elles veulent ou non un amant, des fois une amante. Je me laisse souvent convaincre par ma femme de participer à ses rencontres nocturnes qui ne font de mal à personne, mais qui en font du bien à d’autres.
Un après midi vient une femme âgée accompagnée d’une mignonette, sa fille : elle voulait que je lui donne du travail pour bien lui apprendre la cuisine et le service, son vœux était d’aller dans une grand maison d’un noble. Les nobles chez nous ne sont pas très bien vus ! En plus les nobles étaient vers Carcassonne ou Toulouse. Je garde la fille, la mère repart en pleurs. La gamine pour moi s’adapte vite. Elle fait même des progrès, pas comme je le lui aurais souhaité. Elle s’intéressait plus aux toilettes des dames, aux pourpoints des messieurs. En gros, pour parler cru, elle chassait.
Mon principal apprenti faisait les frais des recherches de la fille. Elle disait toujours oui. J’ai voulu savoir jusqu’ou elle irait. Je l‘ai trouvé un soir dans mon lis, sous les draps, couverte jusqu’au cou. Quand j’ai levé les draps, elle était nue, étalée. J’avais brusquement envie d’elle, je le lui disais, elle répondait oui.
J’aurais eu tord de me gêner. Elle me prenait dans ses bras m’embrassait, me guidais vers elle. J’étais en elle, bien au fond : elle gémissait, je continuais pour moi, elle ne comptait pas. Je me trompais : elle aimait, jouissait plusieurs fois avant moi. Elle ameutait la maison à tel point que ma femme est venue voir ce qui se passait. Elle nous a engueulé puis est venue avec nous pour partager ce que nous faisions, surtout ce que faisait la fille. Plus tard, je m’endormais après mettre mis hors jeu. En me réveillant au matin, elles étaient encore accordées à se faire du bien. Je crois qu’elles s’étaient caressées partout, même, j’en ai honte dans le petit trou.
Dès mon réveil elles s’occupaient de moi encore sans pudeur de leur part. J’étais le mari d’une d’elle : elles en profitaient à deux. Mais elle avait de la ressource quand je tombais en panne. Elle couchait ma femme sur le lit, lui faisait écarter les jambes, ce que ma femme aime, passe un doigt dans le sexe, puis un autre pour finir avec la main entière. Les soupirs, les cris de ma femme me rendaient encore dur. Je lui donnais ma bite à lécher pour la première fois. Je voyais sa bouche s’ouvrir en grand devant ma bite : elle la léchait, la mordillait pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte par une autre.
Notre plaisir arrivait en même temps. J’éjaculais en elle, elle éclatait sous les doigts de son amante.
Elle est restée chez nous un ou deux mois. Elle me baisait souvent, surtout en présence de ma femme. Souvent ma femme se masturbait en nous regardant. Mais souvent aussi elle se branlait seule devant moi. Que vouliez vous que je fasse en la couvrant de mon regard : je me touchais la queue, bien évidement.
Ma femme me poussait souvent à me masturber devant elle, comme elle le faisait aussi. Notre couple vivait des moments d’intense jouissance. J’adorais voir sa main et ses doigts astiquer son sexe : elle gémissait de plaisir. Souvent elle plantait un doigt puis un autre dans son cul. Elle se faisait jouir avec deux doigts dans l’anus. Souvent quand nous baisions elle me demandait de l’enculer. Je ne sais ce qu’elle trouvait de plus à avoir le cul ouvert pas une bite. Le sommet venait quand j’avais ma bite enfoncée dans l’anus, et qu’elle se caressait le clitoris.
Un dimanche après midi, nous étions seuls, elle se mettait moitié nue dans l’écurie. L’odeur d’un cheval qui bandait devait l’inciter à baiser. Elle était assise sur une mangeoire, les jambes ouvertes, une main sur son sexe. Elle m’appelait pour que je vienne remplir mon devoir conjugal. Je venais contre elle, me mettais totalement nu. Elle passait ses jambes sur mes hanches, tendait son ventre vers ma queue. Je tenais mon sexe dans la main, je le passais contre toute sa chatte, du haut vers le bas : je passais de la zone mouillée vers la partie plus séche, vers le périnée. Elle attendait encore. Quand j’étais sur son anus, elle donnait un grand coup en avant : j’entrais dans son magnifique cul. Il était serré, plus que son con. Il me semblait défaillir quand j’entrais en elle. Elle poussait encore pour que j’entre au maximum. Je sentais bien les muscles de son anus autour de ma queue. Je poussais encore. J’étais au bout, elle en aurait voulu encore. Pour ressentir totalement son plaisir elle commençait à aller et venir sur ma pine.
Elle se faisait enculer, les yeux fermés, la tête en arrière sans rien regarder.
J’ai eu la surprise quand une main est venue entre nous : elle cherchait ma queue. Je le pensais, alors qu’elle cherchait le clitoris de ma femme. Ce coté était libre, ma femme se laissait branler pendant que je l’enculais.
Ses soupirs montraient bien son plaisir. J’en bandais plus fort. Elle se levait, me laissait dans le cul, puis offrait son con à l’autre bite. Je sentis bien l’autre queue contre la mienne. Je me demandais qui me faisait jouir : elle ou lui. Je regardais cette nouvelle bite : un gros morceau plus gros que moi, en plus dans son con. Elle gémissait en jouissant. Je me serais retiré : elle me voulait en elle. Je me retenais pour ne pas jouir trop vite. Celui qui la baisait devait aussi se retenir. Quand nous avons joui, presque ensemble. La bite est sorti du con de ma femme, je la regardais : elle me faisait peur. Et pourtant pris dans l’ambiance de la baise, je lui donnais aussi mes fesses.
J’étais penché en avant, elle prenait ma queue dans les lèvres, les faisait glisser entre elles. Elle tenait mes fesses ouvertes, d’accord pour la suite qui allait m’arriver. J’ai eu mal au début quand il est venu en moi. C’était plus agréable après, surtout grâce à la bouche de ma femme. Je sentais cette queue aller et venir dans le cul. Et là j’ai joui comme rarement. J’ai joui dans la bouche de ma femme qui avalait la semence alors qu’elle me la refusait toujours. Je sentais la bite sortir de mon cul. Ma femme voulait la prendre aussi dans la bouche : elle goutait et la bite et mon cul.
Ses mains étaient sur sa chatte : elle se branlait encore.
Nous pouvions voir ses orgasmes à deux. J’ai eu envie de lui donner du plaisir alors qu’il avait joui en moi de mon cul. Cette fois c’est ma main droite qui le caressait. Il bandait de plus en plus ; Ma femme regardait ce que je faisais. Elle reprenait encore une masturbation. Je ne l’avais jamais vu se donner autant de plaisir. Cette fois elle entrait deux ou trois doigts dans son intimité. Elle allait plus loin en mettant les doigts de son autre main dans son anus ouvert. Notre amant jouissait sans que sa bite soit excitée. Je me masturbais devant eux. Je sais que mon jus allait sur eux.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
À toutes les époques le sexe pu s'épanouir et cette auberge servant de relais en est la preuve indéniable. Bravo pour ce récit « historique».
Huguette, ma doué, j'vous trouve ben coquine a c't'heur. Que dirait not' bon maître du castel s'il savait quelle gourgandine vous faites?
C'est-y lui qui a pris l'homme, ou un palefrenier, ou un chevalier errant ? Boudiou, y'a d'quoi s'raidir le vit à vous lire ! Servez moi donc une chopine pour qu'ma pépie soye finie et avant que je vous propose de nous gamahucher dans le foin. Et si vous m'refusez, j'trouv'rai ben une donzelle dans vot' cuisine pour lui raconter mes histoires, vu qu'vot' relais m'a tout l'air d'un repaire de lubriques.
C'est-y lui qui a pris l'homme, ou un palefrenier, ou un chevalier errant ? Boudiou, y'a d'quoi s'raidir le vit à vous lire ! Servez moi donc une chopine pour qu'ma pépie soye finie et avant que je vous propose de nous gamahucher dans le foin. Et si vous m'refusez, j'trouv'rai ben une donzelle dans vot' cuisine pour lui raconter mes histoires, vu qu'vot' relais m'a tout l'air d'un repaire de lubriques.