Le retour de Kevin - histoire érotique

Suite de l'histoire "Kevin fait de la course à pied"
Il s’est passé trois à quatre semaines sans que je n’aie de nouvelles de Kevin. Comme je n’avais pas noté son numéro de mon côté, je m’étais résigné à penser qu’il n’y aurait pas de suite à notre première expérience.

Jusqu’à ce jeudi où j’ai reçu un message disant « Salut, c’est Kevin, je me suis fait mal à la muscu et j’aurais bien besoin de me faire masser. T’es partant ? ». J’étais réjoui et pressé de le revoir et je lui ai immédiatement fixé rendez-vous.

Lorsqu’il est arrivé, j’avais déjà installé ma table et mon matériel et on s’est vite dirigés pour l’y installer. Il m’a expliqué que notre aventure l’avait un peu perturbé et qu’il hésitait à me revoir. Il s’est déshabillé, gardant son boxer, il était toujours aussi sexy. J’ai commencé à lui masser les zones endolories délicatement et il semblait soulagé.

J’ignorais s’il voulait vivre plus aujourd’hui mais naturellement j’ai continué le massage complet de sa tête aux pieds. Il se taisait jusqu’à ce qu’il me sorte « J’ai pensé à toi l’autre jour, j’ai regardé Cinquante nuances de grey et je m’imaginais vivre quelque chose de similaire. ». J’étais pour le moins surpris par sa confidence mais j’ai juste répondu que ça pouvait s’arranger et que je revenais dans une minute. Je suis allé dans ma chambre empoigner mon matériel bdsm et l’ai aussitôt rejoint.

Il regardait vers moi curieux de ce que je ramenais mais j’ai immédiatement pris le bandeau pour lui cacher les yeux. J’ai enchaîné par « Alors comme ça tu as envie de te faire dominer ? ». Il sortit de sa bouche un timide oui. J’ai ensuite pris mes menottes en cuir pour les lui mettre aux poignets faisant pendre ses mains jointes vers le sol. J’ai poursuivi en me munissant de la corde pour lui attacher les jambes directement à la table. J’ai terminé la mise en place en lui déchirant son boxer afin de le transformer en un jockstrap imprivisé.

J’ai ensuite commencé par une belle fessée qui a bien claqué, ce qui l’a fait sursauter. J’ai continué avec une seconde, puis une troisième, alternant entre les fesses. Au bout d’une dizaine de claques, son fessier était déjà bien rouge. J’ai pris le martinet et ai commencé à le fouetter sur ses jambes, à nouveau ses fesses et un peu son dos également. A part quelques cris de douleur, il ne disait pas un mot. J’ai ensuite allumé une bougie et ai commencé à lui faire couler des gouttes de cire chaude un peu partout sur le corps, ce qui le faisait frémir systématiquement. Tout en continuant avec ma bougie, je me suis rapproché de sa tête et une fois le pantalon baissé, je lui ai mis ma queue dans la bouche. Je sentais ses dents se crisper à chaque coulée de cire.

J’ai éteint ensuite la bougie, lui ai pris sa tête bien entre les mains pour lui baiser la bouche avec force en m’appliquant à m’introduire bien loin dans sa gorge. J’ai fait une pause pour me munir de lubrifiant et lui en ait appliqué sur son anus pour commencer à bien le dilater. J’ai introduit un doit, puis vite un deuxième. Il semblait déjà très excité car c’était beaucoup moins serré que la première fois. J’ai empoigné un gros gode directement et l’ai mis d’un coup bref dans son cul ce qui occasionna un nouveau sursaut de sa part mais toujours pas un mot. Je me suis replacé devant sa tête pour qu’il me pompe encore un peu pendant que de mes mains je jouais avec le gode dans son antre.

Comme il semblait apprécier, j’ai pris dans le sac une boule de bâillonnement et l’ai bien serrée sur son visage. Je suis monté sur la table et sans hésiter je l’ai pénétré bien à fond directement. J’ai bien senti qu’il avait eu mal mais le bougre semblait apprécier la douleur finalement. Je lui ai ensuite labouré le derrière encore et encore, telle une bête sauvage. J’alternais le rythme et la puissance mais je ne pensais plus qu’à le baiser comme un objet. Je transpirais tellement l’exercice était intense.

Une dizaine de minutes plus tard, j’avais envie de revenir à une torture plus douce. Je suis descendu de la table, l’ai détaché et retourné sur son dos. Je lui ai arraché ce qui restais de son boxer. J’ai repris la corde pour lui attacher à nouveau les jambes et lui ai retiré les menottes pour lui attacher les mains à la table avec le reste de la corde. Il était là, la bite fièrement dressée prêt à subir le reste de son châtiment.

J’ai posé des pinces sur ses têtons ce qui l’a fait grimacer. J’ai rallumé la bougie pour la faire couler d’abord sur son torse tout en malaxant ses couilles. Je lui ai en même temps pompé un peu la queue. Puis j’ai dirigé la bougie vers sa zone intime. Chaque goutte de cire le faisait tressauter comme un électrochoc. J’en profitais pour lui chatouiller les couilles et ça ne faisait que renforcer encore son érection.

J’ai ensuite décidé de lui retirer le bâillon, suis monté sur un tabouret, lui ai penché la tête vers moi pour engouffrer ma queue dans sa bouche. Pendant que je lui pénétrais l’orifice buccal, je le branlais de ma main gauche. Je sentais que son plaisir montait parce que lui-même accélérait le rythme de la succion jusqu’à ce que je voie son sexe décharger une fontaine de sperme dans tous les sens. Je n’avais jamais vu pareille éjaculation, il était arrivé à éclabousser plusieurs objets aux alentours. Cette vision m’a fortement excité, j’ai empoigné ma queue, me suis branlé très rapidement et ai fini en lui inondant le visage et la bouche de mon jus crémeux. Le bougre s’est passé la langue sur les lèvres pour pouvoir avaler le plus possible de sperme qui lui coulait sur le visage. Avec mon doigt, j’ai poussé les restes dans sa bouche et il s’est empressé d’engloutir tout ça.

A ce moment-là, il a ouvert la bouche pour me dire « Merci Maître ». Ce bel apollon avait finalement des fantasmes bien hard pour lesquels il s’est donné les moyens de les assouvir. J’ai retiré tout ce qui le retenait à la table. Il s’est levé, m’a regardé comme s’il était gêné et m’a demandé s’il pouvait prendre une douche, ce que j’ai bien évidemment accepté.

Cette fois je l’ai laissé se rhabiller seul, il est revenu dans le salon pour me dire qu’il devait partir. Il m’a quitté en me promettant de revenir. J’ai souri.