Le rêve
Récit érotique écrit par Some [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2021 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Le rêve
Je me réveille en sueur. J’ai encore fait le même rêve. Ce rêve où je suis dans une grande salle blanche, sans fenêtre, sans porte. Je suis attaché par les poignets et les chevilles, debout, un bâillon sur la bouche pour m’empêcher d’appeler à l’aide. Après des heures et des heures à essayer de me détacher et de m’échapper, sans que personne ne vienne me délivrer, je suis désespéré. Seul, presque nu, simplement vêtu d’un boxer rouge, une tache se forme sur le devant de celui-ci : je finis par m’uriner dessus, partagé entre bonté, soulagement, et bizarrement, plaisir.
Lorsque je reprends pied avec la réalité après ce rêve, j’ai toujours une érection d’enfer. Pourquoi ce rêve qui revient si souvent me fait bander comme ça ? Je ne peux me retenir et j’empoigne ma verge durement dressée, presque douloureuse. En quelques caresses, je jouis fortement et puissamment. Il me suffit de repenser à la chaleur de l’urine se répandant dans mon boxer pour me faire partir.
Avec tout ça, me voilà en retard ce matin. Je file à la douche, une partie de mon esprit étant encore dans mon rêve. J’en profite pour pisser sous la douche, une habitude que j’ai prise il y a quelques années pour économiser un peu d’eau. Je m’habille en vitesse, prenant la première paire de jeans qui me tombe sous la main, un t-shirt blanc et mon sweat noir. Je sors de mon immeuble juste à temps pour voir passer mon bus, tape un sprint et arrive à l’avoir in extremis.
Durant le trajet jusqu’à la fac, je repense à mon rêve qui me hante. Dans un instant de folie, je me demande ce que cela ferait si je le rendais réel. Et si là, maintenant, dans le bus, je me laissais aller ? Une bosse se forme dans mon jean, une érection arrivant lentement mais sûrement. Pas le temps de poursuivre ses pensées, me voilà arrivé. Je vais directement en cours, mon retard me suivant depuis ce matin.
La journée se passe sans encombres, mais une partie de moi continue de songer à l’idée qui m’est venue dans le bus. Rien que d’imaginer la tâche se former sur le devant de mon jean, je sens mon sexe se durcir et palpiter. Je dois me rappeler à l’ordre, et le fait d’être en cours me calme rapidement.
En rentrant chez moi, je profite du temps assez doux pour ne pas prendre le bus, mais rentrer à pieds. Pourtant, je sens ma vessie se manifester à mi parcours. « Pas de problème » me dis-je, étant allé aux toilettes après le repas de ce midi, je tiendrais bien jusqu’à mon appartement ! Les cafés pris au cours de cette après-midi viennent me contredire, et il m’est de plus en plus difficile de maintenir mon allure de pas tant j’ai envie de me soulager. « Plus que quelques rues, tu peux le faire ce n’est pas très loin ». Pour me faire tenir, j’essaye de me distraire tout en continuant de marcher. Je repense aux cours de la journée, une main discrètement dans la poche me permettant de me pincer le pénis à intervalles réguliers pour m’aider à tenir.
Enfin, mon immeuble est en vue. Je me hâte, sachant que je vais enfin pouvoir me soulager une fois rentré. Une idée me traverse l’esprit, étonnant que je ne l’ai pas eu plus tôt. Je repense à mon rêve. « N’est-ce pas le moment idéal pour tester ? Je meurs d’envie de pisser, je suis presque chez moi, et en plus mon jean est clair, la tâche sera bien visible ! ». Je ralentis le pas, et en continuant de pincer mon gland, je sens mon sexe se durcir. Soudainement je ne sais plus si j’ai plus envie d’uriner ou de me caresser. Je sens l’urine prête à perler de mon méat, je ne suis plus qu’à quelques mètres de l’entrée du bâtiment. « Si je laisse aller quelques gouttes, cela ne se verra pas et je pourrais m’arrêter si besoin. Au pire je ressens juste l’humidité et la chaleur dans mon boxer, mon rêve arrêtera de revenir si souvent et j’irai aux WC en arrivant, pas besoin de me pisser dessus ». Je relâche doucement mes muscles, « fssssst » un jet bien plus puissant que ce que j’imaginais vient frapper l’intérieur de mon boxer. Je me fige sur place, serrant plus fort ma verge. « Merde ! ». Ce n’était pas prévu ! Dans ma poche, je sens l’humidité se répandre. Je cours presque jusqu’à l’entrée de mon immeuble, m’y engouffrant dans ménagement. J’appelle l’ascenseur en me dandinant. Qu’est-ce qui m’a pris de vouloir faire ça ? Loin d’être excité je panique juste. Enfin il arrive, je monte dedans et appuie sur le 3e étage. « Ffffsssssst » un nouveau jet, incontrôlé cette fois-ci, sort de mon pénis. Je respire difficilement, dans le miroir de l’ascenseur je vois une petite tache apparaître sur le devant de mon jean.
Je sens sur mon sexe le tissu mouillé du boxer, frottant légèrement lorsque je sautille pour essayer de retenir le flux qui bat dans ma vessie. Ma verge se gonfle, devenant en un rien de temps beaucoup trop serrée dans mon jean. Je voudrais desserrer ma ceinture mais je n’ose presque plus bouger, de peur de perdre le contrôle. L’ascenseur s’ouvre, je me précipite sur ma porte, clé en main. « Oh non oh non non non c’est pas possible !! ». Le temps d’ouvrir, la tâche a doublé sur mon jean.
Je rentre, claque la porte, « fffssssssssssssssssssst » le jet est intarissable. Je me saisie de mon entrejambe, ne sachant que faire pour stopper le flux. « Je dois me retenir, je ne peux pas.... hhhhh.... oh ça coule ça coule je ne peux pas me retenir.... oooh » je me laisse complètement aller dans mon jean. L’urine coule de partout, traversant le tissu mais ruisselant également le long de mes jambes, mouillant mes chaussettes. Je me demande même s’il n’y en a pas dans mes baskets !
Ma vessie vide de moitié, j’arrive à m’arrêter, étant maintenant dans une petite flaque. Mon érection est terrible, je défais ma ceinture, ouvre ma braguette et défait le bouton, libérant déjà la pression qui était sur mon bas-ventre. Mon boxer est tout mouillé, comme dans mon rêve... ma verge est énorme, je ne crois pas avoir déjà eu une érection pareille. Mon boxer la contient difficilement, tout comme mon urine : elle recommence à couler... je ne réfléchie plus. Je baisse mon boxer, je pisse à la verticale, ça en met partout. Je décalote ma bite, aspergeant mon sweat, ça dégouline sur mon pantalon ouvert, mes genoux, partout. Mon entrée est un pédiluve. Lorsque le flot se tarit, je resserre ma prise et me masturbe frénétiquement. Je jouie dans un râle encore inconnu, projetant mon sperme sur le mur.
Je reprends doucement conscience tandis que mon sexe se ramollit. Comment en suis-je arrivé là ? Je dois maintenant laver mon sol, mes vêtements, et les taches de semence sur le mur... j’ai honte de moi, et pourtant j’ai l’impression d’avoir découvert un monde nouveau. « Comment est-il possible que mon envie énorme de pisser puisse me procurer un tel orgasme ?? ». Je suis interloqué. Je commence à tout nettoyer, avant d’aller prendre une douche bien nécessaire.
Ce soir, je m’endormirais sans appréhension de faire de nouveau ce rêve. Au contraire, je l’attends avec impatience, me demandant maintenant comment exploiter cette expérience. Et si je me laissais aller dans mon lit ? Ou en public ?
Je sombre dans un sommeil profond, réparateur.
Lorsque je reprends pied avec la réalité après ce rêve, j’ai toujours une érection d’enfer. Pourquoi ce rêve qui revient si souvent me fait bander comme ça ? Je ne peux me retenir et j’empoigne ma verge durement dressée, presque douloureuse. En quelques caresses, je jouis fortement et puissamment. Il me suffit de repenser à la chaleur de l’urine se répandant dans mon boxer pour me faire partir.
Avec tout ça, me voilà en retard ce matin. Je file à la douche, une partie de mon esprit étant encore dans mon rêve. J’en profite pour pisser sous la douche, une habitude que j’ai prise il y a quelques années pour économiser un peu d’eau. Je m’habille en vitesse, prenant la première paire de jeans qui me tombe sous la main, un t-shirt blanc et mon sweat noir. Je sors de mon immeuble juste à temps pour voir passer mon bus, tape un sprint et arrive à l’avoir in extremis.
Durant le trajet jusqu’à la fac, je repense à mon rêve qui me hante. Dans un instant de folie, je me demande ce que cela ferait si je le rendais réel. Et si là, maintenant, dans le bus, je me laissais aller ? Une bosse se forme dans mon jean, une érection arrivant lentement mais sûrement. Pas le temps de poursuivre ses pensées, me voilà arrivé. Je vais directement en cours, mon retard me suivant depuis ce matin.
La journée se passe sans encombres, mais une partie de moi continue de songer à l’idée qui m’est venue dans le bus. Rien que d’imaginer la tâche se former sur le devant de mon jean, je sens mon sexe se durcir et palpiter. Je dois me rappeler à l’ordre, et le fait d’être en cours me calme rapidement.
En rentrant chez moi, je profite du temps assez doux pour ne pas prendre le bus, mais rentrer à pieds. Pourtant, je sens ma vessie se manifester à mi parcours. « Pas de problème » me dis-je, étant allé aux toilettes après le repas de ce midi, je tiendrais bien jusqu’à mon appartement ! Les cafés pris au cours de cette après-midi viennent me contredire, et il m’est de plus en plus difficile de maintenir mon allure de pas tant j’ai envie de me soulager. « Plus que quelques rues, tu peux le faire ce n’est pas très loin ». Pour me faire tenir, j’essaye de me distraire tout en continuant de marcher. Je repense aux cours de la journée, une main discrètement dans la poche me permettant de me pincer le pénis à intervalles réguliers pour m’aider à tenir.
Enfin, mon immeuble est en vue. Je me hâte, sachant que je vais enfin pouvoir me soulager une fois rentré. Une idée me traverse l’esprit, étonnant que je ne l’ai pas eu plus tôt. Je repense à mon rêve. « N’est-ce pas le moment idéal pour tester ? Je meurs d’envie de pisser, je suis presque chez moi, et en plus mon jean est clair, la tâche sera bien visible ! ». Je ralentis le pas, et en continuant de pincer mon gland, je sens mon sexe se durcir. Soudainement je ne sais plus si j’ai plus envie d’uriner ou de me caresser. Je sens l’urine prête à perler de mon méat, je ne suis plus qu’à quelques mètres de l’entrée du bâtiment. « Si je laisse aller quelques gouttes, cela ne se verra pas et je pourrais m’arrêter si besoin. Au pire je ressens juste l’humidité et la chaleur dans mon boxer, mon rêve arrêtera de revenir si souvent et j’irai aux WC en arrivant, pas besoin de me pisser dessus ». Je relâche doucement mes muscles, « fssssst » un jet bien plus puissant que ce que j’imaginais vient frapper l’intérieur de mon boxer. Je me fige sur place, serrant plus fort ma verge. « Merde ! ». Ce n’était pas prévu ! Dans ma poche, je sens l’humidité se répandre. Je cours presque jusqu’à l’entrée de mon immeuble, m’y engouffrant dans ménagement. J’appelle l’ascenseur en me dandinant. Qu’est-ce qui m’a pris de vouloir faire ça ? Loin d’être excité je panique juste. Enfin il arrive, je monte dedans et appuie sur le 3e étage. « Ffffsssssst » un nouveau jet, incontrôlé cette fois-ci, sort de mon pénis. Je respire difficilement, dans le miroir de l’ascenseur je vois une petite tache apparaître sur le devant de mon jean.
Je sens sur mon sexe le tissu mouillé du boxer, frottant légèrement lorsque je sautille pour essayer de retenir le flux qui bat dans ma vessie. Ma verge se gonfle, devenant en un rien de temps beaucoup trop serrée dans mon jean. Je voudrais desserrer ma ceinture mais je n’ose presque plus bouger, de peur de perdre le contrôle. L’ascenseur s’ouvre, je me précipite sur ma porte, clé en main. « Oh non oh non non non c’est pas possible !! ». Le temps d’ouvrir, la tâche a doublé sur mon jean.
Je rentre, claque la porte, « fffssssssssssssssssssst » le jet est intarissable. Je me saisie de mon entrejambe, ne sachant que faire pour stopper le flux. « Je dois me retenir, je ne peux pas.... hhhhh.... oh ça coule ça coule je ne peux pas me retenir.... oooh » je me laisse complètement aller dans mon jean. L’urine coule de partout, traversant le tissu mais ruisselant également le long de mes jambes, mouillant mes chaussettes. Je me demande même s’il n’y en a pas dans mes baskets !
Ma vessie vide de moitié, j’arrive à m’arrêter, étant maintenant dans une petite flaque. Mon érection est terrible, je défais ma ceinture, ouvre ma braguette et défait le bouton, libérant déjà la pression qui était sur mon bas-ventre. Mon boxer est tout mouillé, comme dans mon rêve... ma verge est énorme, je ne crois pas avoir déjà eu une érection pareille. Mon boxer la contient difficilement, tout comme mon urine : elle recommence à couler... je ne réfléchie plus. Je baisse mon boxer, je pisse à la verticale, ça en met partout. Je décalote ma bite, aspergeant mon sweat, ça dégouline sur mon pantalon ouvert, mes genoux, partout. Mon entrée est un pédiluve. Lorsque le flot se tarit, je resserre ma prise et me masturbe frénétiquement. Je jouie dans un râle encore inconnu, projetant mon sperme sur le mur.
Je reprends doucement conscience tandis que mon sexe se ramollit. Comment en suis-je arrivé là ? Je dois maintenant laver mon sol, mes vêtements, et les taches de semence sur le mur... j’ai honte de moi, et pourtant j’ai l’impression d’avoir découvert un monde nouveau. « Comment est-il possible que mon envie énorme de pisser puisse me procurer un tel orgasme ?? ». Je suis interloqué. Je commence à tout nettoyer, avant d’aller prendre une douche bien nécessaire.
Ce soir, je m’endormirais sans appréhension de faire de nouveau ce rêve. Au contraire, je l’attends avec impatience, me demandant maintenant comment exploiter cette expérience. Et si je me laissais aller dans mon lit ? Ou en public ?
Je sombre dans un sommeil profond, réparateur.
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