Le revers de l'histoire avec mes cousines
Récit érotique écrit par Hupotasso83 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le revers de l'histoire avec mes cousines
Je suis un étudiant de 21 ans, je me prénomme Stéphane et je ne suis pas passionné par mes études mais cela viendra à la longue. J’habite une petite dépendance au fond du jardin de ma mère avec tout le confort nécessaire ce qui est bien pratique. Bien sûr, je lis beaucoup pour mes études et de temps en temps je glisse vers internet pour lire des histoires plus grivoises. Je suis très intéressé par la domination féminine et tout ce qui en découle. Je n’ai jamais essayé et cela reste du fantasme pour moi mais un moyen de me branler au calme à la maison car je ne sors que très peu par manque d’argent. Je n’ai personne dans ma vie actuellement. Depuis quelques mois je me suis mis à écrire une histoire avec des situations qui m’excite le plus et tant pis si ce n’est qu’une pure fiction qui ne se réalisera pas. Tout y passe dans mes fantasmes comme le bondage, la sodomie, l’uro, l’avilissement par une femme, le travestissement et j’en passe.
Un jour que j’étais en train de taper un morceau choisi bien crade qui me donnait une érection des beaux jours, quelqu’un tape à ma porte. Je me lève et vais ouvrir. Je me trouve face à face à ma cousine Chloé qui a 31 ans et qui est actuellement en instance de divorce après avoir viré son mari pour une raison très obscure.
- Salut Stéph,- Bonjour Chloé,Elle entre. J’admire sa plastique car vraiment elle est vraiment bien foutue. Et, d’un seul coup je m’aperçois que je n’ai pas fermé mon ordinateur avec mon texte en cours de frappe. Le souffle me manque mais heureusement pendant que je regarde l’écran, celui-ci passe en économiseur d’écran. Chloé, qui ne semble s’être aperçue de rien, s’assied sur le bord de mon lit.
- Dis-moi, demain j’invite Andréa à diner, tu veux venir ?
- Oui bien sur, cela me ferait très plaisir c’est gentil.
- Non, c’est normal.
Andréa est mon autre cousine qui a 28 ans et elles s’entendent comme deux sœurs bien qu’elles ne le soient pas. Une complicité est évidente entre elles. Chloé habite, seule depuis qu’elle à viré sont mari, une très belle maison. Elle gagne très bien sa vie car elle a reprit l’entreprise de son père qui a eu un accident vasculaire cérébrale. Il semble que sont mari avait des vues sur une vie au crochet de sa femme car il n’allait pas souvent travailler. Andréa est cadre dans une grande entreprise et gagne très bien sa vie aussi.
- Et tes études se passent bien ?
- Je ne suis pas passionné et je me demande si je n’ai pas loupé quelque chose dans mon orientation. Mais bon, j’ai fini mes partiels et je suis en congés maintenant.
- Il est encore temps de changer d’orientation. Il faut y réfléchir cet été.
Tandis que nous discutons de tout et de rien, quelqu’un frappe de nouveau à ma porte. Je vais voir que ça peut être et je tombe nez à nez avec ma mère.
- Bonjour Chloé,- Bonjour Chantal,- Dis-moi Stéphane, il faudrait que tu viennes à la maison car j’ai un souci avec un fusible et la machine à laver ne fonctionne plus.
- Qu’est-ce que tu fais Chloé, tu m’attends ?
- Oui, je t’attends tu ne dois pas en avoir pour trop longtemps.
- Excuse-moi Chloé mais tu peux venir boire un thé si tu veux. Dit ma mère.
- Non, ne t’excuse pas mais j’ai un coup de téléphone à passer en attendant. J’ai tout mon temps et j’attends Stéphane.
Je vais voir ce qui se passe et après avoir chercher le bon fusible qui est grillé puis un nouveau. Après un quinzaine de minutes, je retourne chez moi et retrouve Chloé qui m’attendait patiemment mais il me semble qu’elle est plus nerveuse à mon retour. Peut-être a-t-elle eu un coup de fil peu plaisant.
- Excuse-moi d’avoir tardé. Lui dis-je.
- Non, non, il n’y a pas de problème. Mais il faut que je te laisse. A demain à la maison ?
- Sans faute Chloé. Merci et à demain.
Tout va bien je relance le micro en bougeant la souris et je sauvegarde mon texte.
Le lendemain soir, j’arrive chez Chloé. Je sonne et elle m’ouvre la porte.
- Ah, bonjour Stéphane. Tu arrives à point, nous parlions de toi avec Andréa.
- Vous parliez de moi ? E bien j’espère.
- Entre, nous allons t’expliquer.
J’entre et je retrouve Andréa dans le salon.
- Alors expliquez-moi les filles.
- J’expliquais à Andréa que je suis passé chez toi hier et quand je suis rentré j’ai aperçu que tu avais un texte sur ton ordinateur et je me suis demandé si tu écrivais un livre. Donc, quand tu es parti aider ta mère j’ai eu la curiosité de regarder. Tu sais tu devrais mettre un mot de passe sur ton micro. Me gronde-t-elle.
J’ai un masque de plomb qui me tombe dessus car je comprends tout de suite où la conversation nous amène.
- J’ai lu la première page et j’ai vite compris le sens de ta prose.
- Attends, ce n’est que des bêtises jetées sur une page blanche.
- Oh tu sais je ne juge pas. Au contraire. Mais par curiosité j’ai copié le texte sur une clé USB et j’ai lu ton texte hier soir.
- Putain dans quelle merde je suis. Ne me juge pas s’il te plait.
- Mais au contraire Stéphane, j’apprécie et c’est pour çà que j’en ai parlé à Andréa.
- ?????
- Tu sais, j’aime bien ces thèmes et Andréa aussi. J’ai viré mon mari car il ne comprenait pas ces choses.
- ????????????????
- Andréa et moi aimons dominer les hommes.
Alors là, je reste sec. Je ne sais pas quoi répondre.
- Nous avons une opportunité de mettre en œuvre nos fantasmes communs. Donc, avec Andréa nous allons te prendre à notre service.
- Attends Stéphane, ce n’est pas une proposition, c’est une réalité. Tu entres à notre service sinon nous en parlons à la famille.
- Vous me menacez de divulguez mes textes qui ne sont que des fantasmes ?
- Oui bien sur. Tu deviens notre petite pute. M’explique Chloé.
- ……- Pour commencer, tu te d’déshabilles.
- Vous rigolez ?
- Magne-toi. Hurle Andréa.
Comme un robot, je me dévêts mais la situation est bizarre car je suis avec mes cousines et que malgré mes regards en douce vers elles je ne pensais certainement pas avoir une relation avec elles. Je tombe mes vêtements un à un et j’ai du mal à cacher mon érection.
- Andréa persifle. Tient on dirait que les ordres lui font réagir son sexe.
- Oui c’est un petit engin qui ne doit pas trop servir mais nous allons le calmer.
- Dépêche-toi.
- Je tombe mon slip après quelques hésitations et me retrouve nu devant ces deux belles jeunes femmes. Je regarde instinctivement au sol tout en essayant de cacher mon sexe.
- A genoux et les mains sur la tête. M’ordonne Chloé.
Je tombe à genoux et me mets les mains sur la tête. Je n’ose croiser le regard des mes cousines et je baisse les yeux.
- Esclave, nous allons faire ce que nous voulons de toi. Comme nous le disions tout à l’heure, tu n’as pas le choix, tu vas obéir docilement à Andréa et à moi. Comme tu le sais, nous avons un train de vie confortable et donc nous avons beaucoup de matériel acheté pour une occasion comme celle-ci. Nous avons un contact en Belgique qui fabrique du matériel de domination spécialement pour les dominatrices. Tu seras étonné. Nous n’emploierons pas des petits noms aimables comme dans tes textes comme pute, salope, etc. C’est réduire les femmes et les prendre pour des inférieures des hommes. Tu nous appelleras Maîtresse Chloé et Maîtresse Andréa. Compris ?
- Oui, Maîtresse Chloé.
- Pour commencer, tu vas aller dans la salle de bain prendre une douche puis tu vas attendre que nous nous occupions de toi. Tu attends dans cette position.
- Oui Maîtresse Andréa.
- Allez esclave.
Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je fais couler l’eau et prends une douche. Je me sèche et prend la position.
J’attends un bon moment et les genoux commencent à me faire mal. Je gigote mais je n’ose pas me lever car je dois obéir.
Après un long moment la porte s’ouvre sur mes deux cousines qui ont un sac à la main. Elles m’ignorent et ouvrent le sac pour sortir du matériel dont je devine la finalité. C’est du matériel pour lavement.
- Comme tu l’as deviné certainement, nous allons te faire un lavement. Aujourd’hui, c’est un lavement à l’eau mais après ce sera à l’urine. Me dit Maîtresse Andréa.
- Lève-toi et penche-toi en avant.
Je me mets dans la position exigée. Mes Maîtresses sont derrière moi et je sens qu’elles m’introduisent la canule dans l’anus.
- Couche-toi au sol.
Je me couche et Maîtresse Chloé prend le broc pour le remplir. L’eau commence à me remplir les intestins et ce qui commence par une gêne devient vit désagréable. Quand enfin le broc est vide Maîtresse Chloé m’ôte la canule.
- Sert les fesses et garde l’eau dans tes intestins.
Maîtresse Andréa remonte un minuteur et le pose à côté de moi.
- Quand le temps sera passé, tu iras te vider dans les toilettes puis tu laveras la salle de bains. Tu nous rejoins dans le salon que nous te fassions ta fête.
- Oui, Maîtresse Andréa.
Les minutes n’avancent pas vite t j’ai toutes les peines du monde à retenir mon anus fermé. Quand enfin la minuterie m’annonce l’heure de la libération, je me lève avec grande peine pour rejoindre le trône. Je m’assois pour me libérer et dans un bruit odieux, je me vide.
Cela fait, je me mets à la tâche d’effacer les traces de mon passage. Puis je retourne au salon pour retrouver mes Maîtresses.
Elles m’attendent.
- Enfin tu as fini. Ce soir tu vas connaître ta première sodomie puis tu iras dormir avec un plug pour te dilater. Ne t’inquiète pas nous avons averti ta mère que tu dormais ici. M’annonça Maîtresse Chloé.
- Tu vas connaître notre premier joujou.
Elles me font mettre au milieu du salon et m’installent un corset autour de la taille. Elles le sert fort ce qui me coupe la respiration. Elles me posent des bracelets aux poignées qu’elles accrochent à des anneaux de part et d’autre du corset. Puis elles m’écartent les jambes pour m’installer une barre d’écartement. Au milieu de celle-ci elles installent une barre bizarre verticale. En bout de celle-ci elles fixent un appareil avec un gode en bout. Elles le lubrifient largement puis règle la hauteur pour me le rentrer dans l’anus. Je couine au passage de celui-ci car je suis vierge.
- Nous avons un anus vierge. Il faut le faire taire.
Elles me mettent un baillons boule puis un masque sur les yeux. Je suis aveugle et incapable de parler. J’entends un moteur ce mettre en route et le gode monte et descends dans mon anus. Quand il est au plus profond de mon fondement il se gonfle au maximum puis il redescend en se dégonflant. J’ai l’anus qui est défoncé.
Je sens que l’on s’occupe de ma verge.
- Nous allons t’installer une pompe trayeuse sur ta verge pour tirer ton jus. Me dit Maîtresse Andréa.
On m’installe une ceinture autour des hanches puis on m’appose un tube sur le sexe. Immédiatement après je suis pompé puis relâché, et le cycle recommence. C’est une véritable masturbation mécanisée- Oh, mais tiens j’ajoute des pinces sur tes tétons avec des clochettes. Si j’entends une clochette tu seras puni.
- Bon, nous te laissons et nous allons manger. A tout à l’heure et reste là. Me dit Maîtresse Andréa.
Elles rigolèrent puis elles semblèrent partir.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais je suis resté à me faire élargir l’anus et pomper le sexe. Les deux commençaient à me m’indisposer. Je n’avais pas vraiment mal mais j’étais loin du plaisir. Après un temps qui m’a duré un siècle, j’avais les jambes qui étaient engourdies par la position quand j’entendis la porte s’ouvrir.
- Alors petit esclave tu ne t’es pas ennuyé ? Rigole Maîtresse Chloé- Pour nous ça va. Nous avons fait un magnifique repas. Oh mais toi tu n’as pas mangé. Vite nous allons remédier à çà.
Je les entends s’affairer dans la cuisine puis on m’ôte le bâillon boule pour m’introduire dans la bouche un tuyau attaché autour de ma tête. Une pompe se met en route et m’introduit de la nourriture en bouillie dans la bouche. Je dois être assez pittoresque à voir les jambes écartées avec un gode dans les fesses qui monte et qui descend, une pompe sur mon sexe qui m’aspire et la pompe à nourriture tout en étant aveuglé par un masque.
- Nous sommes bonnes avec toi. Tu ne trouves pas petit esclave ?
Une fois ma nourriture terminée et avoir bien bu, et même beaucoup bu, par le même principe, elles m’enlèvent le tube, le masque, la pompe à sexe et le gode dans l’anus. Je suis toujours en corset avec les mains attachées.
- Allonge-toi, nous allons te préparer pour dormir.
Je m’allonge sur le dos et mes Maitresses s’affairent autour de moi. Elles m’introduisent une sonde urinaire dans le sexe, m’installent une ceinture de chasteté qui comprend un tube pour passer le sexe. Elles passent avant tout le tube de la sonde puis m’introduisent le sexe dans le tube. Puis m’installent un plug dans l’anus et ferment la ceinture avec un cadenas. Elles me mettent un plug dans la bouche puis le fixe avec une sangle autour de la tête. Elles raccordent le tube de la sonde urinaire dans le tube qui sort du plug dans ma bouche. Elles me mettent un masque et des bracelets aux chevilles pour les attacher ensemble.
Puis elles m’accompagnent au lit et me couche. Je sens que j’ai le pied du lit fortement élevé par rapport à la tête.
- Tu rêvais de connaître l’uro et bien ça va être fait. Lorsque la vessie se remplira la sonde urinaire va faire couler ta propre urine dans ta bouche. Le plug anale est raccordé sur une minuterie et celui-ci va se gonfler progressivement pour t’élargir ton petit cul. Me dis Chloé.
- Bonne nuit petit esclave.
Un jour que j’étais en train de taper un morceau choisi bien crade qui me donnait une érection des beaux jours, quelqu’un tape à ma porte. Je me lève et vais ouvrir. Je me trouve face à face à ma cousine Chloé qui a 31 ans et qui est actuellement en instance de divorce après avoir viré son mari pour une raison très obscure.
- Salut Stéph,- Bonjour Chloé,Elle entre. J’admire sa plastique car vraiment elle est vraiment bien foutue. Et, d’un seul coup je m’aperçois que je n’ai pas fermé mon ordinateur avec mon texte en cours de frappe. Le souffle me manque mais heureusement pendant que je regarde l’écran, celui-ci passe en économiseur d’écran. Chloé, qui ne semble s’être aperçue de rien, s’assied sur le bord de mon lit.
- Dis-moi, demain j’invite Andréa à diner, tu veux venir ?
- Oui bien sur, cela me ferait très plaisir c’est gentil.
- Non, c’est normal.
Andréa est mon autre cousine qui a 28 ans et elles s’entendent comme deux sœurs bien qu’elles ne le soient pas. Une complicité est évidente entre elles. Chloé habite, seule depuis qu’elle à viré sont mari, une très belle maison. Elle gagne très bien sa vie car elle a reprit l’entreprise de son père qui a eu un accident vasculaire cérébrale. Il semble que sont mari avait des vues sur une vie au crochet de sa femme car il n’allait pas souvent travailler. Andréa est cadre dans une grande entreprise et gagne très bien sa vie aussi.
- Et tes études se passent bien ?
- Je ne suis pas passionné et je me demande si je n’ai pas loupé quelque chose dans mon orientation. Mais bon, j’ai fini mes partiels et je suis en congés maintenant.
- Il est encore temps de changer d’orientation. Il faut y réfléchir cet été.
Tandis que nous discutons de tout et de rien, quelqu’un frappe de nouveau à ma porte. Je vais voir que ça peut être et je tombe nez à nez avec ma mère.
- Bonjour Chloé,- Bonjour Chantal,- Dis-moi Stéphane, il faudrait que tu viennes à la maison car j’ai un souci avec un fusible et la machine à laver ne fonctionne plus.
- Qu’est-ce que tu fais Chloé, tu m’attends ?
- Oui, je t’attends tu ne dois pas en avoir pour trop longtemps.
- Excuse-moi Chloé mais tu peux venir boire un thé si tu veux. Dit ma mère.
- Non, ne t’excuse pas mais j’ai un coup de téléphone à passer en attendant. J’ai tout mon temps et j’attends Stéphane.
Je vais voir ce qui se passe et après avoir chercher le bon fusible qui est grillé puis un nouveau. Après un quinzaine de minutes, je retourne chez moi et retrouve Chloé qui m’attendait patiemment mais il me semble qu’elle est plus nerveuse à mon retour. Peut-être a-t-elle eu un coup de fil peu plaisant.
- Excuse-moi d’avoir tardé. Lui dis-je.
- Non, non, il n’y a pas de problème. Mais il faut que je te laisse. A demain à la maison ?
- Sans faute Chloé. Merci et à demain.
Tout va bien je relance le micro en bougeant la souris et je sauvegarde mon texte.
Le lendemain soir, j’arrive chez Chloé. Je sonne et elle m’ouvre la porte.
- Ah, bonjour Stéphane. Tu arrives à point, nous parlions de toi avec Andréa.
- Vous parliez de moi ? E bien j’espère.
- Entre, nous allons t’expliquer.
J’entre et je retrouve Andréa dans le salon.
- Alors expliquez-moi les filles.
- J’expliquais à Andréa que je suis passé chez toi hier et quand je suis rentré j’ai aperçu que tu avais un texte sur ton ordinateur et je me suis demandé si tu écrivais un livre. Donc, quand tu es parti aider ta mère j’ai eu la curiosité de regarder. Tu sais tu devrais mettre un mot de passe sur ton micro. Me gronde-t-elle.
J’ai un masque de plomb qui me tombe dessus car je comprends tout de suite où la conversation nous amène.
- J’ai lu la première page et j’ai vite compris le sens de ta prose.
- Attends, ce n’est que des bêtises jetées sur une page blanche.
- Oh tu sais je ne juge pas. Au contraire. Mais par curiosité j’ai copié le texte sur une clé USB et j’ai lu ton texte hier soir.
- Putain dans quelle merde je suis. Ne me juge pas s’il te plait.
- Mais au contraire Stéphane, j’apprécie et c’est pour çà que j’en ai parlé à Andréa.
- ?????
- Tu sais, j’aime bien ces thèmes et Andréa aussi. J’ai viré mon mari car il ne comprenait pas ces choses.
- ????????????????
- Andréa et moi aimons dominer les hommes.
Alors là, je reste sec. Je ne sais pas quoi répondre.
- Nous avons une opportunité de mettre en œuvre nos fantasmes communs. Donc, avec Andréa nous allons te prendre à notre service.
- Attends Stéphane, ce n’est pas une proposition, c’est une réalité. Tu entres à notre service sinon nous en parlons à la famille.
- Vous me menacez de divulguez mes textes qui ne sont que des fantasmes ?
- Oui bien sur. Tu deviens notre petite pute. M’explique Chloé.
- ……- Pour commencer, tu te d’déshabilles.
- Vous rigolez ?
- Magne-toi. Hurle Andréa.
Comme un robot, je me dévêts mais la situation est bizarre car je suis avec mes cousines et que malgré mes regards en douce vers elles je ne pensais certainement pas avoir une relation avec elles. Je tombe mes vêtements un à un et j’ai du mal à cacher mon érection.
- Andréa persifle. Tient on dirait que les ordres lui font réagir son sexe.
- Oui c’est un petit engin qui ne doit pas trop servir mais nous allons le calmer.
- Dépêche-toi.
- Je tombe mon slip après quelques hésitations et me retrouve nu devant ces deux belles jeunes femmes. Je regarde instinctivement au sol tout en essayant de cacher mon sexe.
- A genoux et les mains sur la tête. M’ordonne Chloé.
Je tombe à genoux et me mets les mains sur la tête. Je n’ose croiser le regard des mes cousines et je baisse les yeux.
- Esclave, nous allons faire ce que nous voulons de toi. Comme nous le disions tout à l’heure, tu n’as pas le choix, tu vas obéir docilement à Andréa et à moi. Comme tu le sais, nous avons un train de vie confortable et donc nous avons beaucoup de matériel acheté pour une occasion comme celle-ci. Nous avons un contact en Belgique qui fabrique du matériel de domination spécialement pour les dominatrices. Tu seras étonné. Nous n’emploierons pas des petits noms aimables comme dans tes textes comme pute, salope, etc. C’est réduire les femmes et les prendre pour des inférieures des hommes. Tu nous appelleras Maîtresse Chloé et Maîtresse Andréa. Compris ?
- Oui, Maîtresse Chloé.
- Pour commencer, tu vas aller dans la salle de bain prendre une douche puis tu vas attendre que nous nous occupions de toi. Tu attends dans cette position.
- Oui Maîtresse Andréa.
- Allez esclave.
Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je fais couler l’eau et prends une douche. Je me sèche et prend la position.
J’attends un bon moment et les genoux commencent à me faire mal. Je gigote mais je n’ose pas me lever car je dois obéir.
Après un long moment la porte s’ouvre sur mes deux cousines qui ont un sac à la main. Elles m’ignorent et ouvrent le sac pour sortir du matériel dont je devine la finalité. C’est du matériel pour lavement.
- Comme tu l’as deviné certainement, nous allons te faire un lavement. Aujourd’hui, c’est un lavement à l’eau mais après ce sera à l’urine. Me dit Maîtresse Andréa.
- Lève-toi et penche-toi en avant.
Je me mets dans la position exigée. Mes Maîtresses sont derrière moi et je sens qu’elles m’introduisent la canule dans l’anus.
- Couche-toi au sol.
Je me couche et Maîtresse Chloé prend le broc pour le remplir. L’eau commence à me remplir les intestins et ce qui commence par une gêne devient vit désagréable. Quand enfin le broc est vide Maîtresse Chloé m’ôte la canule.
- Sert les fesses et garde l’eau dans tes intestins.
Maîtresse Andréa remonte un minuteur et le pose à côté de moi.
- Quand le temps sera passé, tu iras te vider dans les toilettes puis tu laveras la salle de bains. Tu nous rejoins dans le salon que nous te fassions ta fête.
- Oui, Maîtresse Andréa.
Les minutes n’avancent pas vite t j’ai toutes les peines du monde à retenir mon anus fermé. Quand enfin la minuterie m’annonce l’heure de la libération, je me lève avec grande peine pour rejoindre le trône. Je m’assois pour me libérer et dans un bruit odieux, je me vide.
Cela fait, je me mets à la tâche d’effacer les traces de mon passage. Puis je retourne au salon pour retrouver mes Maîtresses.
Elles m’attendent.
- Enfin tu as fini. Ce soir tu vas connaître ta première sodomie puis tu iras dormir avec un plug pour te dilater. Ne t’inquiète pas nous avons averti ta mère que tu dormais ici. M’annonça Maîtresse Chloé.
- Tu vas connaître notre premier joujou.
Elles me font mettre au milieu du salon et m’installent un corset autour de la taille. Elles le sert fort ce qui me coupe la respiration. Elles me posent des bracelets aux poignées qu’elles accrochent à des anneaux de part et d’autre du corset. Puis elles m’écartent les jambes pour m’installer une barre d’écartement. Au milieu de celle-ci elles installent une barre bizarre verticale. En bout de celle-ci elles fixent un appareil avec un gode en bout. Elles le lubrifient largement puis règle la hauteur pour me le rentrer dans l’anus. Je couine au passage de celui-ci car je suis vierge.
- Nous avons un anus vierge. Il faut le faire taire.
Elles me mettent un baillons boule puis un masque sur les yeux. Je suis aveugle et incapable de parler. J’entends un moteur ce mettre en route et le gode monte et descends dans mon anus. Quand il est au plus profond de mon fondement il se gonfle au maximum puis il redescend en se dégonflant. J’ai l’anus qui est défoncé.
Je sens que l’on s’occupe de ma verge.
- Nous allons t’installer une pompe trayeuse sur ta verge pour tirer ton jus. Me dit Maîtresse Andréa.
On m’installe une ceinture autour des hanches puis on m’appose un tube sur le sexe. Immédiatement après je suis pompé puis relâché, et le cycle recommence. C’est une véritable masturbation mécanisée- Oh, mais tiens j’ajoute des pinces sur tes tétons avec des clochettes. Si j’entends une clochette tu seras puni.
- Bon, nous te laissons et nous allons manger. A tout à l’heure et reste là. Me dit Maîtresse Andréa.
Elles rigolèrent puis elles semblèrent partir.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais je suis resté à me faire élargir l’anus et pomper le sexe. Les deux commençaient à me m’indisposer. Je n’avais pas vraiment mal mais j’étais loin du plaisir. Après un temps qui m’a duré un siècle, j’avais les jambes qui étaient engourdies par la position quand j’entendis la porte s’ouvrir.
- Alors petit esclave tu ne t’es pas ennuyé ? Rigole Maîtresse Chloé- Pour nous ça va. Nous avons fait un magnifique repas. Oh mais toi tu n’as pas mangé. Vite nous allons remédier à çà.
Je les entends s’affairer dans la cuisine puis on m’ôte le bâillon boule pour m’introduire dans la bouche un tuyau attaché autour de ma tête. Une pompe se met en route et m’introduit de la nourriture en bouillie dans la bouche. Je dois être assez pittoresque à voir les jambes écartées avec un gode dans les fesses qui monte et qui descend, une pompe sur mon sexe qui m’aspire et la pompe à nourriture tout en étant aveuglé par un masque.
- Nous sommes bonnes avec toi. Tu ne trouves pas petit esclave ?
Une fois ma nourriture terminée et avoir bien bu, et même beaucoup bu, par le même principe, elles m’enlèvent le tube, le masque, la pompe à sexe et le gode dans l’anus. Je suis toujours en corset avec les mains attachées.
- Allonge-toi, nous allons te préparer pour dormir.
Je m’allonge sur le dos et mes Maitresses s’affairent autour de moi. Elles m’introduisent une sonde urinaire dans le sexe, m’installent une ceinture de chasteté qui comprend un tube pour passer le sexe. Elles passent avant tout le tube de la sonde puis m’introduisent le sexe dans le tube. Puis m’installent un plug dans l’anus et ferment la ceinture avec un cadenas. Elles me mettent un plug dans la bouche puis le fixe avec une sangle autour de la tête. Elles raccordent le tube de la sonde urinaire dans le tube qui sort du plug dans ma bouche. Elles me mettent un masque et des bracelets aux chevilles pour les attacher ensemble.
Puis elles m’accompagnent au lit et me couche. Je sens que j’ai le pied du lit fortement élevé par rapport à la tête.
- Tu rêvais de connaître l’uro et bien ça va être fait. Lorsque la vessie se remplira la sonde urinaire va faire couler ta propre urine dans ta bouche. Le plug anale est raccordé sur une minuterie et celui-ci va se gonfler progressivement pour t’élargir ton petit cul. Me dis Chloé.
- Bonne nuit petit esclave.
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