le roman de sandrine-suite
Récit érotique écrit par Jean-paul3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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le roman de sandrine-suite
Résumé :Paul et Sandrine viennent de passer une après-midi torride en compagnie de Blaise, le portraitiste qu’ils ont rencontré la veille, Place du tertre à Montmartre.
Ils ont convenu avec lui que Sandrine viendrait séjourner chez lui à l’occasion d’un stage qu’elle doit effectuer à Paris fin mars. Ils quittent l’atelier du peintre sur la perspective de ces prochaines retrouvailles et décident de flâner un peu dans Paris avant de regagner leur hôtel.
« Tu as aimé ? »« Oui… »« Tu vas venir chez lui en Mars? »
« Si tu me le demandes, oui… »« Oui, j’ai envie que tu y ailles ; j’aime te voir prise par lui… »« Oui, mais, là, tu ne me verras pas ! »« Ça ne fait rien, tu me raconteras et lui aussi : je vous téléphonerai le soir, et puis, je viendrai vous surprendre … »« Tu es incroyable, je suis mariée avec un vrai vicieux ! »« Et moi, avec une vraie salope, mais j’aime ça ! »Ils s’arrêtent et il l’embrasse sur la bouche, ne se gênant pas pour peloter les fesses ; un commis boucher qui se hâte sur le trottoir avec une livraison leur jette au passage :« Tiens, encore un qui cherche un morceau dans la culotte ! » **( morceau dans la culotte : se dit d’une pièce de boucherie très appréciée des amateurs de viande rouge)« Elle a pas de culotte ! « réplique Paul et il éclate de rire.
Confuse, elle se détache de lui :« Tais-toi, tu vas nous faire embarquer par la police ! »Il rit, content de lui et ils reprennent leur marche vers la voiture.
À peine installés à bord, il l’embrasse à nouveau, fouillant sous la veste de fourrure, déboutonnant le corsage ; incapable de l’en empêcher, elle se laisse faire en gémissant, tandis que les doigts de Paul palpent les globes alourdis.
La bouche de son mari dévore la sienne. Sans se préoccuper d’éventuels voyeurs, il ouvre en entier le corsage, dénude les seins, les mord, les suce ; elle crie, mais elle le laisse retrousser le kilt jusqu’à la taille. La main fébrile remonte, franchit la lisière des bas, écarte les deux cuisses d’albâtre et fouille le ventre humide.
« Tu mouilles comme une fontaine ! » « Oui, ohhh, j’ai honte, je ne sais pas ce qui m’arrive ; oh, chéri, embrasse-moi encore ! »« Dès qu’on sera à l’hôtel, je vais t’enculer ! »« Oui, oui…Tout ce que tu voudras, tout, je t’aime, j’ai encore envie ! »Paul a maintenant enfonce trois doigts dans le vagin écartelé ; elle ruisselle, cuisses largement ouvertes, envoyant son ventre à la rencontre de la diabolique caresse.
Ce n’est qu’après qu’elle ait connu un nouvel orgasme qu’ils reprennent conscience de l’endroit où ils se trouvent ; ils ont probablement été vus par des passants et elle en rougit, se réajustant du mieux qu’elle peut. Elle se recoiffe, passe au crayon rouge ses lèvres gonflées par les baisers et reboutonne son corsage.
Ils démarrent enfin et se dirigent vers la rive gauche.
Paul retrouve un restaurant à poissons de Saint Germain des Prés qu’il fréquentait durant ses études à Paris. Ils s’y installent assis côte à côte et il ne se gêne pas pour la caresser sous la nappe, non sans avoir défait à nouveau trois boutons du corsage. L’attitude de Blaise a déteint et il a envie de faire preuve du même culot que le portraitiste.
Sandrine est pour le moins gênée des regards que jette le serveur vers son décolleté à chaque fois qu’il passe près d’eux, mais cela ne fait qu’accroître le plaisir de son mari. La main de Paul remonte entre ses cuisses, vient se loger à la fourchette, là où le pubis est si renflé, les doigts réussissent à forcer l’entrée du ventre. Un véritable marigot !
« Salope, tu es trempée ! » lui dit-il tendrement.
« Oh…Chéri, c’est vrai, tu es en train de faire de moi une vraie salope ! »« Tu as aimé avec Blaise, hein ? »« Oui, chéri, j’ai aimé, mais tu l’as voulu…Ohh tu sais, j’ai peur d’y prendre goût et puis, je ne sais pas si nous avons bien fait d’aller aussi loin…Tu sais, il ne s’est pas protégé… »« Hier, avant de te baiser à l’hôtel, il m’a montré un certificat médical récent… »« Il... il n’y a pas que ça…Je suis en période d’ovulation depuis deux jours, tu sais que je suis très sensible et tout à l’heure, il a joui dans mon ventre… Toi aussi ??
Peut-être un peu ? »« Non, moi j’ai joui sur ton ventre et sur tes seins. »Elle enchaîne :« Tu sais si je suis enceinte, je suis contre l’i.v.g., mes parents aussi ! »« Qui t’a parlé d’i.v.g . ?Si tu es enceinte, on assumera, c’est tout ! »« Ohh, tu es vraiment fou, mais je t’aime ! »Elle quémande un baiser et se laisse caresser les seins tandis que leurs bouches se soudent. Sans plus se soucier d’éventuels voyeurs, il retrousse le kilt au-dessus de la lisière des bas et elle ouvre les cuisses, se donne aux doigts qui la fouillent au plus profond. Très vite elle les inonde de cyprine alors que son odeur intime devient de plus en plus présente.
Il rit« Heureusement qu’on est dans un restaurant à fruits de mer : on va moins remarquer ton odeur ! »Elle le gronde« Chuttt, on va se faire remarquer ! »À ce moment, le serveur s’approche ; ils ont à peine touché à l’apéritif et elle jette un regard navré au garçon, lui demandant de patienter encore un peu pour la commande.
Ils réussissent à se concentrer sur la carte, portant leur choix sur des huîtres accompagnées d’une bouteille de muscadet. Aussitôt servis, ils se jettent sur les coquillages, entrecoupant leur dégustation de baisers enflammés, parfumés à l’iode et au vin blanc.
Il est vingt-deux heures quand ils quittent la brasserie et regagnent leur voiture.
Paul, conscient d’avoir un peu bu, roule doucement jusqu’à l’hôtel de la Porte d’Italie.
Dans l’ascenseur, il ne peut attendre davantage et s’empare de la bouche de Sandrine tout en retroussant le kilt sur les reins, palpant le postérieur découvert. Elle doit faire preuve de toute son énergie pour qu’il consente à la lâcher, juste au moment où la porte d’ouvre sur le palier de leur étage. Heureusement le couloir est désert et c’est les fesses à l’air qu’elle entre dans la chambre.
Sitôt la porte refermée, il se déchaîne et elle se retrouve toute nue, ouverte sur le lit. Il se jette sur elle et sa bouche s’empare de l’ouverture rose et dégoulinante.
Très vite, elle crie, ses doigts crispés dans les cheveux de Paul, défaillante sous cette délicieuse morsure au plus intime de sa chair.
Il la fait se retourner, à quatre pattes sur le lit ; elle lui offre sa croupe dont la blancheur ressort, accentuée par l’éclairage de la lampe de chevet.
Sa langue s’y engouffre, visite le cratère mauve encore distendu par les pénétrations de Blaise, l’élargit, le détrempe, lui révélant l’odeur d’humus qui s’en dégage.
Lorsque enfin il se hisse derrière elle et pointe le mufle de son sexe contre l’anneau, elle se cambre pour venir mieux à sa rencontre et l’engloutit avec autant de facilité que s’il était entré dans son vagin. Alors commence un pilonnage effréné qui la fait délirer ; elle se lâche, réclamant qu’il la prenne encore plus fort.
« Oui, elle aime ce qu’il lui fait, oui elle a aimé ce qu’ils lui ont fait connaître durant ces deux jours, oui elle aime sa verge, oui elle aime celle de l’Autre, oui elle a envie de céder encore à leurs caprices, oui elle se donnera encore à Blaise, oui elle est heureuse d’appartenir à deux hommes. » Elle dit oui à tout ce qu’il lui suggère, elle dit oui, pourvu qu’il la défonce encore ! Elle s’effondre, au bord de la syncope, juste au moment où il jaillit dans ses entrailles, en un flot de semence dont elle ressent la chaleur jusque dans son estomac.
Ils ne se relèvent même pas pour se laver, tant ils sont rompus de fatigue et ce n’est qu’à sept heures du matin que Paul émerge péniblement. La lampe de chevet est restée allumée toute la nuit sans les gêner. Il contemple le corps alangui couché sur le flanc, la courbe des hanches, la cambrure affolante du fessier, le doux renflement du bas-ventre, les cheveux défaits qui masquent en partie le visage. Enfin elle ouvre un œil, comme si elle se sentait observée ; elle s’étire, faisant ainsi saillir davantage son postérieur. C’est incroyable : il a déjà envie de la reprendre. Elle le ramène à la raison : le moment est venu de rentrer au bercail et de reprendre pour un temps les habitudes familiales.
À dix heures, ils quittent l’hôtel et prennent la route de la Champagne.
- Ils arrivent à Reims pour déjeuner et c’est la joie des retrouvailles avec la famille ; Geneviève, la maman de Sandrine, a choyé leur petite Fanny comme un bijou de valeur tandis que le grand papa, leur a concocté un repas de fête.
Mais il faut songer à reprendre le collier et le reste du samedi est consacré à se réinstaller dans leur petit pavillon à dix kilomètres de Reims.
Le soir, ils dînent frugalement ; Sandrine redoute d’avoir pris du poids depuis une semaine ; la balance lui confirme l’existence d’un kilo supplémentaire. Comme elle accuse la trop bonne chère et les apéritifs qu’ils ont consommés plus que d’habitude, Paul lui lance une flèche :« Pourtant tu as eu de l’exercice ! »C’est la première fois qu’ils évoquent leur chaude aventure et elle rougit :« C’est toi qui l’a voulu ! »Il la prend dans ses bras :« Avoue que tu as aimé ! »« Oui, j’ai aimé, mais je redoute la suite…Fin Mars et après. »
- Plusieurs jours ont passé, Paul a repris l’école, Sandrine est bien occupée au lancement d’une opération promotionnelle et la relance des clients.
Un soir, lorsqu’elle rentre du travail, Paul l’attend dans le salon ; il s’est servi un whisky ; la petite Fanny est dans son parc, dialoguant avec ses peluches. Paul est en train de regarder des photos ; il se lève et embrasse sa femme :« Tiens, regarde, c’est Blaise qui nous a écrit, il envoie des photos…Tu es très belle, bandante… »Tremblante, elle prend les photos que lui tend son mari. Il y en a vingt, certes techniquement réussies, mais elle frémit en se voyant comme elle ne s’était jamais imaginé être. Son fessier opulent, tantôt ouvert, tantôt cambré, ses seins lourds, son ventre arrondi sous le nombril, son pubis terriblement fourni, explosent au regard selon les poses qu’ils lui ont fait prendre dans l’atelier du peintre. Pire encore, les clichés la montrant en train de sucer Paul et les autres, faits par celui-ci, la montrant subissant les assauts de Blaise, déclenchent une folle sarabande dans sa poitrine…« Vous êtes fous ! Si quelqu’un trouve ça ! »« T’inquiète…Tiens, il a ajouté un mot. »La brève missive du peintre leur dit tout le plaisir qu’il a eu à les rencontrer, qu’il attend avec impatience la dernière semaine de Mars et qu’il s’est permis de garder les négatifs et de faire un tirage supplémentaire « pour son plaisir ».
L’aménagement du temps de travail de Sandrine lui permet de disposer le mercredi d’une après-midi de congé qu’elle consacre à son ménage. Ce mercredi-là, deux semaines après leur escapade parisienne, Fanny dort à poings fermés dans sa petite chambre. Le téléphone sonne. Elle se précipite pour décrocher :« Allo, bonjour, c’est Blaise… »Un temps de silence, puis d’une voix tremblante, elle répond timidement :« Oui…Bonjour, c’est Sandrine… »« Tu n’es pas seule ? »« Si, mais…Mais je ne m’attendais pas à…Et puis je parle doucement parce que la petite dort. »« Je ne l’ai pas réveillée, au moins, j’espère…Dis- moi, ça ne te fait pas plaisir que je t’appelle ? »La réponse jaillit, terriblement spontanée :« OH si ! » et elle se mord aussitôt les lèvres, consciente que sa réponse ressemble à un aveu. Depuis qu’ils sont rentrés de Paris, elle pense sans cesse à cet homme qui a fait basculer sa vie en si peu de temps, qui l’a révélée à elle-même ; à chaque fois qu’elle pense à lui, elle sent une chaleur sournoise irradier son ventre et ses reins.
Encore plus, depuis qu’elle a vu les photos l’autre soir, surtout que Paul ne l’a pas ménagée, excité qu’il était par les prises de vues scabreuses.
Comme s’il devinait ses pensées il l’interroge :« Tu penses à moi ? Souvent ? »Elle ne cherche même pas à dissimuler :« Oui ! sans arrêt ; je pense à vous, trop…Nous avons reçu les photos…Vous êtes fou, tous les deux ! »« Oui, je sais ; j’ai eu Paul au téléphone tout à l’heure ; c’est lui qui m’a dit de te téléphoner ; alors, comme ça, tu fais ton ménage tous les mercredi ? Et tu t’occupes de la petite, c’est bien… »« Oui, c’est tous les mercredi ; j’ai des horaires aménagés et comme je travaille tard le mardi et le jeudi, je dispose du mercredi à partir de midi. »Ces paroles anodines provoquent chez l’homme à l’autre bout du fil une intense jubilation ; il aime la faire se raconter. Il veut en savoir plus sur elle et il la questionne encore, à tel point qu’elle rétorque :« Vous m’en demandez, des choses ! gardez en pour la fin mars… »Elle s’interrompt, se mord les lèvres, consciente d’en avoir trop dit. Il saisit la balle au bond :« Ah, c’est bien, je vois que tu es toujours d’accord pour venir en pension dans ma tanière. »Penaude elle répond par l’affirmative. Alors, il renchérit :« Dis- moi, comment es-tu vêtue pour faire ton ménage ? »Et elle décrit sa tenue avec une complaisance qui l’étonne elle-même. Elle décrit la courte blouse rose en nylon, sous laquelle elle porte une petite culotte en dentelle couleur chair et un soutien-gorge noir. Il lui fait remarquer que c’est une faute d’accord ; elle acquiesce en lui disant qu’elle a mis sa culotte de ce matin au linge sale et qu’elle a gardé le soutien-gorge, qu’elle va faire sa lessive après le ménage.
Sa voix devient enrouée ; il se rend compte de son trouble :« Tu es émue ? »« Oui, quand vous me parlez, ça me fait tout drôle… « « Retire ta blouse, ta culotte, ton soutif…Allez, exécution ! »« Oui… »Fébrile, elle pose le combiné et fait ce qu’il demande ; en un instant elle est toute nue, à l’exception de ses mules à talons.
Elle se voit dans le miroir du salon, le visage écarlate, elle reprend le combiné. Il lui demande de brancher le micro mains-libres du téléphone ; elle le fait, puis il veut qu’elle se caresse les seins.
« Sont-ils toujours aussi lourds ? »« Oui… »« Et ton ventre, toujours rond, comme j’aime sous le nombril ? »« Oui…Je crois »Il demande qu’elle lui parle de son pubis ; elle lui dit qu’elle a cessé d’en réduire les contours, qu’elle n’a épilé que ses jambes, pas ses aisselles non plus, elle s’est souvenue qu’il la voulait fournie sous les bras…D’enrouée, sa voix devient tremblante sous l’effet des questions qu’il lui pose et quand il lui ordonne de se caresser, elle lui obéit, haletante, puis gémissant au fur et à mesure que ses doigts coulissent dans la brèche de son ventre ; elle s’appuie de sa main libre contre le vaisselier, arquée, ses doigts enfouis au plus profond de son intimité. Elle y met tant d’entrain que le meuble tremble, dans un tintement des verres entrechoqués. Elle entend Blaise lui demander s’il y a un fauteuil ; de s’y installer en plaçant ses cuisses sur chacun des accoudoirs ; toute pudeur abdiquée, elle fait ce qu’il demande, plaçant le téléphone à proximité ; elle exécute les gestes qu’il lui impose, elle se branle la chatte, incapable de résister à l’odieux plaisir qui lui brûle les reins et le ventre. Elle coule sur le velours grenat du siège, tachant le tissu d’une bave odorante ; ses doigts, réunis en cône, pénètrent dans le vagin. Puis à la demande de Blaise, elle se prend les seins à pleines mains, abaisse son visage et, les étirant vers le haut, elle parvient à en sucer les bouts…Il lui fait promettre qu’elle le fera en sa présence, chez lui, ainsi que bien d’autres choses, jusqu’à ce que, n’y tenant plus, elle crie sa jouissance dans un rauque sanglot. Quelques minutes plus tard, apaisée, elle reprend le combiné en main pour lui dire qu’il la rend folle, qu’il ne faut plus qu’il lui téléphone ainsi. Mais lui, intraitable, rétorque qu’il rappellera un prochain soir, quand elle sera au lit avec Paul.
En effet, il rappelle le lendemain et les deux soirs qui suivent, discutant avec eux de choses et d’autres, finissant toujours par faire dévier la conversation sur elle et ce qu’il aimerait lui faire s’il était là. Ces dialogues provoquent à chaque fois une joute enflammée entre les jeunes époux, une fois le téléphone raccroché.
Les premiers jours de Mars sont arrivés ; un soir, lorsqu’elle rentre à la maison, Paul l’attend ; elle voit sur la table de la cuisine un emballage postal ouvert. Il se contente de lui dire :« Viens dans la chambre… »Étonnée, inquiète, elle le suit et soulève l’oreiller comme il le lui demande : elle découvre avec stupeur un godemiché à l’imitation parfaite d’un phallus e belle taille, de couleur brune, au gland épais, équipé d’un système de vibration à piles.
« C’est Blaise qui a envoyé ça, il y a aussi un mot, tiens, lis… »Elle prend le feuillet en tremblant ; le portraitiste s’adresse à eux en termes sibyllins, précisant que le « petit cadeau » est pour Sandrine, pour qu’elle s’habitue aux gros calibres… » « C’est pas gentil pour toi ! » ironise t elle.
« C’est vrai qu’il est super membré ! » concède Paul, mi-figue mi-raisin et d’ajouter :« Allez déshabille-toi, Fanny roupille, viens, je vais te faire ta fête des deux côtés ! »Il la pousse sur le lit sans qu’elle résiste ; il lui arrache ses dessous sans même lui ôter sa jupe ; prenant tout juste le temps de se dénuder, il se couche sur elle et viole son ventre, raide comme un épieu, la transperçant, la faisant hurler en percutant le col de l’utérus. Quelque peu refroidi par ce cri, il adoucit sa pénétration ; il bascule sur le dos, achevant de la dénuder ; elle vient le chevaucher. Bien vite, elle caracole sur son membre tendu et ne proteste pas quand il écarte les demi-lunes de son fessier, pour chercher d’un doigt la pastille mauve enfouie dans le profond sillon. Etendant l’autre bras, il trouve l’olisbos et le pointe contre l’anneau puis commence à forcer ; elle gémit, il lui fait mal, mais il persiste et le pénis artificiel se fraie un chemin dans le rectum qu’il dilate. Elle se sent pourfendue, tout comme le jour où « ses » deux hommes l’ont prise ainsi ; sa gorge devient sèche, sa respiration sifflante et elle ressent les battements de son propre cœur, comme de monstrueuses percussions de grosses caisse.
Paul actionne alors le bouton de l’appareil et le minuscule moteur se met en route, déclenchant un mouvement vibratoire qui la met rapidement en transes. Elle crie, se démène sur les deux phallus qui la transpercent pour finalement s’affaler, inerte, sur le corps de son mari, juste au moment où il se libère dans son ventre en fusion.
Un long moment plus tard, alors qu’ils reprennent leurs esprits, elle se tourne vers lui, le visage grave :« Tu sais Minou…Je…Je n’ai pas eu mes règles ; ça fait quinze jours de retard ; je vais acheter demain un test à la pharmacie… »Il la fixe, le cœur battant :« Tu crois que ?…. » « Oui, j’en suis presque certain ; j’ai chaud au ventre, comme pour Fanny… »« Alors, on fait comment ? »« Écoute, tu te souviens, le soir à Paris, en sortant de chez Blaise ? Tu as dit toi-même que si j’étais enceinte, on garderait le bébé…Et puis, il est peut-être de toi… »À ces mots, il sourit d’un sourire jaune, se rendant compte qu’il risque de perdre la main, d’être pris à son propre jeu. Une boule d’angoisse lui étreint l’estomac à l’idée que sa petite femme puisse lui préférer un autre homme. Il faut qu’il prenne ses responsabilités, qu’il reste LE décisionnaire ! Il caresse le ventre de Sandrine :« Tu as raison, quoi qu’il en soit, c’est moi qui suis responsable ! »« Non ! » corrige t elle, « c’est NOUS ! »Elle s’appuie sur un coude et cherche sa bouche ; c’est elle qui enfonce sa langue à la recherche de la sienne, murmurant :« Tu sais, j’ai aimé ce que tu viens de me faire… »Il veut la prendre à nouveau, mais elle lui échappe et saute hors du lit.
« Non ! Il faut que je prépare le dîner de Fanny. »Elle s’éclipse aux wc et il entend qu’elle soulage bruyamment son intestin maltraité.
Il récupère le pénis en latex et le nettoie sur le lavabo de la salle de bain.
Les yeux cernés de mauve, elle le rejoint, nue et tiède et l’attirant sous la douche qu’elle fait couler, elle noue ses bras à son cou :« Je t’aime… » Ils ont prononcé ensemble cette petite phrase magique et leurs lèvres se soudent sous l’eau chaude qui les inonde.`
Le lendemain soir, elle est rentrée du travail avant lui. Dès son arrivée, il comprend sans qu’elle ait rien dit.
« Alors, c’est ça ? »« Oui, j’ai acheté le test ce matin ; je l’ai fait au bureau ; j’ai vu la gynéco tout à l’heure ; il n’y a aucun doute : ça remonte à un mois pile…La rencontre avec Blaise… »Il sent à nouveau la boule lui bloquer l’estomac, mais trouve la force de prononcer :« Je suis heureux, je t’aime… »« Moi aussi, je t’aime, je NOUS aime… »« Quand tu dis ça, tu englobes qui dans ce NOUS ? »« Toi, moi, Fanny, tout ce que nous vivons ensemble… »« Blaise aussi ? »« Lui, c’est différent, il est entré dans notre vie, à cause de toi et parce que j’ai voulu te faire plaisir, mais je mentirais en disant qu’il m’est indifférent…Tu sais, je ne pourrais pas te tromper, mais avec lui, c’est pas pareil : tu es présent et même si je vais le voir seule, je sais que tu es au courant et que tu veux que ça se passe ainsi. Tu vas lui téléphoner pour lui dire que je suis enceinte ? »« No, je préfère que ce soit toi qui le lui dises, quand tu seras là-bas. Je ne tiens pas à ce qu’il le sache maintenant. S’il te téléphone mercredi, ne lui en parle pas !
»
Le mercredi suivant, c’est elle qui prend l’initiative de téléphoner à Blaise, car Fanny fait la sieste, mais elle a eu du mal à s’endormir et elle craint que la sonnerie la réveille. À Paris, le temps est à la pluie et Blaise a décidé de ne pas descendre sur la Place du Tertre. Il jubile en reconnaissant la voix de la jeune femme.
« Ah, c’est ma petite pouliche qui fait son ménage…Elle a mis sa blouse rose ? »« Oui et…Je suis nue dessous. »« Tu as envie que je m’occupe de toi ? »« Oui !!! Je voudrais être dans vos bras ! Oh…Vous me rendez dingue ! »« Tu as envie de ma bite ? Allez, dis le ! »Complaisamment, elle lui dit à voix basse, tout ce qu’il veut entendre, même les aveux les plus torrides. Elle avoue qu’elle a pris du plaisir avec le godemiché, en pensant à lui. Quand il lui ordonne de se pénétrer avec l’engin, écartelée sur le fauteuil, elle obéit, approchant le combiné de son ventre pour qu’il entende le bruit du moteur au moment où elle envahit sa caverne rose. Elle a heureusement prévu de garnir l’assise du fauteuil d’une serviette-éponge et elle jouit sans retenue, entendant à peine les commentaires de son amant dans le haut-parleur :« Tu dois être belle avec une bite noire dans la chatte, j’ai envie de voir ça en réel ! »Comme elle lui demande à quoi il pense en disant cela, il élude en répondant :« Tu penseras à l’apporter dans ta valise, tu prendras aussi la blouse rose et une nuisette…Je bande sans arrêt en pensant à toi, je t’ai même dessinée, avec ta blouse, tu erras et puis je t’ai sculptée, grandeur nature, c’est presque terminé… »« Comme les autres femmes dans votre atelier, avec ma photo à côté ? »« Oui, mais en mieux, tu verras »« Vous avez montré mes photos à d’autres personnes ? »« Bien-sûr, mais tu sais, ici, les gens ont l’habitude de voir de belles nanas à poil ! »Il s’esclaffe alors qu’elle pique un fard. Il le devine et lui dit :« Tu es encore plus bandante quand tu rougis, tu as bien joui ? »« Oui…Trop, vous me rendez folle, je pense à vous moi aussi, sans arrêt, c’est dingue ! »« Tu m’aimes ? »« Oui…Et ça me fait peur ! » « Dis le… »« Oui…Je vous aime. »Elle fond en larmes et raccroche le combiné.
Le téléphone sonne aussitôt, c’est lui :« Moi aussi je t’aime. »« Vous êtes fou, nous sommes fous tous les trois…Oh j’ai hâte d’être avec vous. »
À suivre
Ils ont convenu avec lui que Sandrine viendrait séjourner chez lui à l’occasion d’un stage qu’elle doit effectuer à Paris fin mars. Ils quittent l’atelier du peintre sur la perspective de ces prochaines retrouvailles et décident de flâner un peu dans Paris avant de regagner leur hôtel.
« Tu as aimé ? »« Oui… »« Tu vas venir chez lui en Mars? »
« Si tu me le demandes, oui… »« Oui, j’ai envie que tu y ailles ; j’aime te voir prise par lui… »« Oui, mais, là, tu ne me verras pas ! »« Ça ne fait rien, tu me raconteras et lui aussi : je vous téléphonerai le soir, et puis, je viendrai vous surprendre … »« Tu es incroyable, je suis mariée avec un vrai vicieux ! »« Et moi, avec une vraie salope, mais j’aime ça ! »Ils s’arrêtent et il l’embrasse sur la bouche, ne se gênant pas pour peloter les fesses ; un commis boucher qui se hâte sur le trottoir avec une livraison leur jette au passage :« Tiens, encore un qui cherche un morceau dans la culotte ! » **( morceau dans la culotte : se dit d’une pièce de boucherie très appréciée des amateurs de viande rouge)« Elle a pas de culotte ! « réplique Paul et il éclate de rire.
Confuse, elle se détache de lui :« Tais-toi, tu vas nous faire embarquer par la police ! »Il rit, content de lui et ils reprennent leur marche vers la voiture.
À peine installés à bord, il l’embrasse à nouveau, fouillant sous la veste de fourrure, déboutonnant le corsage ; incapable de l’en empêcher, elle se laisse faire en gémissant, tandis que les doigts de Paul palpent les globes alourdis.
La bouche de son mari dévore la sienne. Sans se préoccuper d’éventuels voyeurs, il ouvre en entier le corsage, dénude les seins, les mord, les suce ; elle crie, mais elle le laisse retrousser le kilt jusqu’à la taille. La main fébrile remonte, franchit la lisière des bas, écarte les deux cuisses d’albâtre et fouille le ventre humide.
« Tu mouilles comme une fontaine ! » « Oui, ohhh, j’ai honte, je ne sais pas ce qui m’arrive ; oh, chéri, embrasse-moi encore ! »« Dès qu’on sera à l’hôtel, je vais t’enculer ! »« Oui, oui…Tout ce que tu voudras, tout, je t’aime, j’ai encore envie ! »Paul a maintenant enfonce trois doigts dans le vagin écartelé ; elle ruisselle, cuisses largement ouvertes, envoyant son ventre à la rencontre de la diabolique caresse.
Ce n’est qu’après qu’elle ait connu un nouvel orgasme qu’ils reprennent conscience de l’endroit où ils se trouvent ; ils ont probablement été vus par des passants et elle en rougit, se réajustant du mieux qu’elle peut. Elle se recoiffe, passe au crayon rouge ses lèvres gonflées par les baisers et reboutonne son corsage.
Ils démarrent enfin et se dirigent vers la rive gauche.
Paul retrouve un restaurant à poissons de Saint Germain des Prés qu’il fréquentait durant ses études à Paris. Ils s’y installent assis côte à côte et il ne se gêne pas pour la caresser sous la nappe, non sans avoir défait à nouveau trois boutons du corsage. L’attitude de Blaise a déteint et il a envie de faire preuve du même culot que le portraitiste.
Sandrine est pour le moins gênée des regards que jette le serveur vers son décolleté à chaque fois qu’il passe près d’eux, mais cela ne fait qu’accroître le plaisir de son mari. La main de Paul remonte entre ses cuisses, vient se loger à la fourchette, là où le pubis est si renflé, les doigts réussissent à forcer l’entrée du ventre. Un véritable marigot !
« Salope, tu es trempée ! » lui dit-il tendrement.
« Oh…Chéri, c’est vrai, tu es en train de faire de moi une vraie salope ! »« Tu as aimé avec Blaise, hein ? »« Oui, chéri, j’ai aimé, mais tu l’as voulu…Ohh tu sais, j’ai peur d’y prendre goût et puis, je ne sais pas si nous avons bien fait d’aller aussi loin…Tu sais, il ne s’est pas protégé… »« Hier, avant de te baiser à l’hôtel, il m’a montré un certificat médical récent… »« Il... il n’y a pas que ça…Je suis en période d’ovulation depuis deux jours, tu sais que je suis très sensible et tout à l’heure, il a joui dans mon ventre… Toi aussi ??
Peut-être un peu ? »« Non, moi j’ai joui sur ton ventre et sur tes seins. »Elle enchaîne :« Tu sais si je suis enceinte, je suis contre l’i.v.g., mes parents aussi ! »« Qui t’a parlé d’i.v.g . ?Si tu es enceinte, on assumera, c’est tout ! »« Ohh, tu es vraiment fou, mais je t’aime ! »Elle quémande un baiser et se laisse caresser les seins tandis que leurs bouches se soudent. Sans plus se soucier d’éventuels voyeurs, il retrousse le kilt au-dessus de la lisière des bas et elle ouvre les cuisses, se donne aux doigts qui la fouillent au plus profond. Très vite elle les inonde de cyprine alors que son odeur intime devient de plus en plus présente.
Il rit« Heureusement qu’on est dans un restaurant à fruits de mer : on va moins remarquer ton odeur ! »Elle le gronde« Chuttt, on va se faire remarquer ! »À ce moment, le serveur s’approche ; ils ont à peine touché à l’apéritif et elle jette un regard navré au garçon, lui demandant de patienter encore un peu pour la commande.
Ils réussissent à se concentrer sur la carte, portant leur choix sur des huîtres accompagnées d’une bouteille de muscadet. Aussitôt servis, ils se jettent sur les coquillages, entrecoupant leur dégustation de baisers enflammés, parfumés à l’iode et au vin blanc.
Il est vingt-deux heures quand ils quittent la brasserie et regagnent leur voiture.
Paul, conscient d’avoir un peu bu, roule doucement jusqu’à l’hôtel de la Porte d’Italie.
Dans l’ascenseur, il ne peut attendre davantage et s’empare de la bouche de Sandrine tout en retroussant le kilt sur les reins, palpant le postérieur découvert. Elle doit faire preuve de toute son énergie pour qu’il consente à la lâcher, juste au moment où la porte d’ouvre sur le palier de leur étage. Heureusement le couloir est désert et c’est les fesses à l’air qu’elle entre dans la chambre.
Sitôt la porte refermée, il se déchaîne et elle se retrouve toute nue, ouverte sur le lit. Il se jette sur elle et sa bouche s’empare de l’ouverture rose et dégoulinante.
Très vite, elle crie, ses doigts crispés dans les cheveux de Paul, défaillante sous cette délicieuse morsure au plus intime de sa chair.
Il la fait se retourner, à quatre pattes sur le lit ; elle lui offre sa croupe dont la blancheur ressort, accentuée par l’éclairage de la lampe de chevet.
Sa langue s’y engouffre, visite le cratère mauve encore distendu par les pénétrations de Blaise, l’élargit, le détrempe, lui révélant l’odeur d’humus qui s’en dégage.
Lorsque enfin il se hisse derrière elle et pointe le mufle de son sexe contre l’anneau, elle se cambre pour venir mieux à sa rencontre et l’engloutit avec autant de facilité que s’il était entré dans son vagin. Alors commence un pilonnage effréné qui la fait délirer ; elle se lâche, réclamant qu’il la prenne encore plus fort.
« Oui, elle aime ce qu’il lui fait, oui elle a aimé ce qu’ils lui ont fait connaître durant ces deux jours, oui elle aime sa verge, oui elle aime celle de l’Autre, oui elle a envie de céder encore à leurs caprices, oui elle se donnera encore à Blaise, oui elle est heureuse d’appartenir à deux hommes. » Elle dit oui à tout ce qu’il lui suggère, elle dit oui, pourvu qu’il la défonce encore ! Elle s’effondre, au bord de la syncope, juste au moment où il jaillit dans ses entrailles, en un flot de semence dont elle ressent la chaleur jusque dans son estomac.
Ils ne se relèvent même pas pour se laver, tant ils sont rompus de fatigue et ce n’est qu’à sept heures du matin que Paul émerge péniblement. La lampe de chevet est restée allumée toute la nuit sans les gêner. Il contemple le corps alangui couché sur le flanc, la courbe des hanches, la cambrure affolante du fessier, le doux renflement du bas-ventre, les cheveux défaits qui masquent en partie le visage. Enfin elle ouvre un œil, comme si elle se sentait observée ; elle s’étire, faisant ainsi saillir davantage son postérieur. C’est incroyable : il a déjà envie de la reprendre. Elle le ramène à la raison : le moment est venu de rentrer au bercail et de reprendre pour un temps les habitudes familiales.
À dix heures, ils quittent l’hôtel et prennent la route de la Champagne.
- Ils arrivent à Reims pour déjeuner et c’est la joie des retrouvailles avec la famille ; Geneviève, la maman de Sandrine, a choyé leur petite Fanny comme un bijou de valeur tandis que le grand papa, leur a concocté un repas de fête.
Mais il faut songer à reprendre le collier et le reste du samedi est consacré à se réinstaller dans leur petit pavillon à dix kilomètres de Reims.
Le soir, ils dînent frugalement ; Sandrine redoute d’avoir pris du poids depuis une semaine ; la balance lui confirme l’existence d’un kilo supplémentaire. Comme elle accuse la trop bonne chère et les apéritifs qu’ils ont consommés plus que d’habitude, Paul lui lance une flèche :« Pourtant tu as eu de l’exercice ! »C’est la première fois qu’ils évoquent leur chaude aventure et elle rougit :« C’est toi qui l’a voulu ! »Il la prend dans ses bras :« Avoue que tu as aimé ! »« Oui, j’ai aimé, mais je redoute la suite…Fin Mars et après. »
- Plusieurs jours ont passé, Paul a repris l’école, Sandrine est bien occupée au lancement d’une opération promotionnelle et la relance des clients.
Un soir, lorsqu’elle rentre du travail, Paul l’attend dans le salon ; il s’est servi un whisky ; la petite Fanny est dans son parc, dialoguant avec ses peluches. Paul est en train de regarder des photos ; il se lève et embrasse sa femme :« Tiens, regarde, c’est Blaise qui nous a écrit, il envoie des photos…Tu es très belle, bandante… »Tremblante, elle prend les photos que lui tend son mari. Il y en a vingt, certes techniquement réussies, mais elle frémit en se voyant comme elle ne s’était jamais imaginé être. Son fessier opulent, tantôt ouvert, tantôt cambré, ses seins lourds, son ventre arrondi sous le nombril, son pubis terriblement fourni, explosent au regard selon les poses qu’ils lui ont fait prendre dans l’atelier du peintre. Pire encore, les clichés la montrant en train de sucer Paul et les autres, faits par celui-ci, la montrant subissant les assauts de Blaise, déclenchent une folle sarabande dans sa poitrine…« Vous êtes fous ! Si quelqu’un trouve ça ! »« T’inquiète…Tiens, il a ajouté un mot. »La brève missive du peintre leur dit tout le plaisir qu’il a eu à les rencontrer, qu’il attend avec impatience la dernière semaine de Mars et qu’il s’est permis de garder les négatifs et de faire un tirage supplémentaire « pour son plaisir ».
L’aménagement du temps de travail de Sandrine lui permet de disposer le mercredi d’une après-midi de congé qu’elle consacre à son ménage. Ce mercredi-là, deux semaines après leur escapade parisienne, Fanny dort à poings fermés dans sa petite chambre. Le téléphone sonne. Elle se précipite pour décrocher :« Allo, bonjour, c’est Blaise… »Un temps de silence, puis d’une voix tremblante, elle répond timidement :« Oui…Bonjour, c’est Sandrine… »« Tu n’es pas seule ? »« Si, mais…Mais je ne m’attendais pas à…Et puis je parle doucement parce que la petite dort. »« Je ne l’ai pas réveillée, au moins, j’espère…Dis- moi, ça ne te fait pas plaisir que je t’appelle ? »La réponse jaillit, terriblement spontanée :« OH si ! » et elle se mord aussitôt les lèvres, consciente que sa réponse ressemble à un aveu. Depuis qu’ils sont rentrés de Paris, elle pense sans cesse à cet homme qui a fait basculer sa vie en si peu de temps, qui l’a révélée à elle-même ; à chaque fois qu’elle pense à lui, elle sent une chaleur sournoise irradier son ventre et ses reins.
Encore plus, depuis qu’elle a vu les photos l’autre soir, surtout que Paul ne l’a pas ménagée, excité qu’il était par les prises de vues scabreuses.
Comme s’il devinait ses pensées il l’interroge :« Tu penses à moi ? Souvent ? »Elle ne cherche même pas à dissimuler :« Oui ! sans arrêt ; je pense à vous, trop…Nous avons reçu les photos…Vous êtes fou, tous les deux ! »« Oui, je sais ; j’ai eu Paul au téléphone tout à l’heure ; c’est lui qui m’a dit de te téléphoner ; alors, comme ça, tu fais ton ménage tous les mercredi ? Et tu t’occupes de la petite, c’est bien… »« Oui, c’est tous les mercredi ; j’ai des horaires aménagés et comme je travaille tard le mardi et le jeudi, je dispose du mercredi à partir de midi. »Ces paroles anodines provoquent chez l’homme à l’autre bout du fil une intense jubilation ; il aime la faire se raconter. Il veut en savoir plus sur elle et il la questionne encore, à tel point qu’elle rétorque :« Vous m’en demandez, des choses ! gardez en pour la fin mars… »Elle s’interrompt, se mord les lèvres, consciente d’en avoir trop dit. Il saisit la balle au bond :« Ah, c’est bien, je vois que tu es toujours d’accord pour venir en pension dans ma tanière. »Penaude elle répond par l’affirmative. Alors, il renchérit :« Dis- moi, comment es-tu vêtue pour faire ton ménage ? »Et elle décrit sa tenue avec une complaisance qui l’étonne elle-même. Elle décrit la courte blouse rose en nylon, sous laquelle elle porte une petite culotte en dentelle couleur chair et un soutien-gorge noir. Il lui fait remarquer que c’est une faute d’accord ; elle acquiesce en lui disant qu’elle a mis sa culotte de ce matin au linge sale et qu’elle a gardé le soutien-gorge, qu’elle va faire sa lessive après le ménage.
Sa voix devient enrouée ; il se rend compte de son trouble :« Tu es émue ? »« Oui, quand vous me parlez, ça me fait tout drôle… « « Retire ta blouse, ta culotte, ton soutif…Allez, exécution ! »« Oui… »Fébrile, elle pose le combiné et fait ce qu’il demande ; en un instant elle est toute nue, à l’exception de ses mules à talons.
Elle se voit dans le miroir du salon, le visage écarlate, elle reprend le combiné. Il lui demande de brancher le micro mains-libres du téléphone ; elle le fait, puis il veut qu’elle se caresse les seins.
« Sont-ils toujours aussi lourds ? »« Oui… »« Et ton ventre, toujours rond, comme j’aime sous le nombril ? »« Oui…Je crois »Il demande qu’elle lui parle de son pubis ; elle lui dit qu’elle a cessé d’en réduire les contours, qu’elle n’a épilé que ses jambes, pas ses aisselles non plus, elle s’est souvenue qu’il la voulait fournie sous les bras…D’enrouée, sa voix devient tremblante sous l’effet des questions qu’il lui pose et quand il lui ordonne de se caresser, elle lui obéit, haletante, puis gémissant au fur et à mesure que ses doigts coulissent dans la brèche de son ventre ; elle s’appuie de sa main libre contre le vaisselier, arquée, ses doigts enfouis au plus profond de son intimité. Elle y met tant d’entrain que le meuble tremble, dans un tintement des verres entrechoqués. Elle entend Blaise lui demander s’il y a un fauteuil ; de s’y installer en plaçant ses cuisses sur chacun des accoudoirs ; toute pudeur abdiquée, elle fait ce qu’il demande, plaçant le téléphone à proximité ; elle exécute les gestes qu’il lui impose, elle se branle la chatte, incapable de résister à l’odieux plaisir qui lui brûle les reins et le ventre. Elle coule sur le velours grenat du siège, tachant le tissu d’une bave odorante ; ses doigts, réunis en cône, pénètrent dans le vagin. Puis à la demande de Blaise, elle se prend les seins à pleines mains, abaisse son visage et, les étirant vers le haut, elle parvient à en sucer les bouts…Il lui fait promettre qu’elle le fera en sa présence, chez lui, ainsi que bien d’autres choses, jusqu’à ce que, n’y tenant plus, elle crie sa jouissance dans un rauque sanglot. Quelques minutes plus tard, apaisée, elle reprend le combiné en main pour lui dire qu’il la rend folle, qu’il ne faut plus qu’il lui téléphone ainsi. Mais lui, intraitable, rétorque qu’il rappellera un prochain soir, quand elle sera au lit avec Paul.
En effet, il rappelle le lendemain et les deux soirs qui suivent, discutant avec eux de choses et d’autres, finissant toujours par faire dévier la conversation sur elle et ce qu’il aimerait lui faire s’il était là. Ces dialogues provoquent à chaque fois une joute enflammée entre les jeunes époux, une fois le téléphone raccroché.
Les premiers jours de Mars sont arrivés ; un soir, lorsqu’elle rentre à la maison, Paul l’attend ; elle voit sur la table de la cuisine un emballage postal ouvert. Il se contente de lui dire :« Viens dans la chambre… »Étonnée, inquiète, elle le suit et soulève l’oreiller comme il le lui demande : elle découvre avec stupeur un godemiché à l’imitation parfaite d’un phallus e belle taille, de couleur brune, au gland épais, équipé d’un système de vibration à piles.
« C’est Blaise qui a envoyé ça, il y a aussi un mot, tiens, lis… »Elle prend le feuillet en tremblant ; le portraitiste s’adresse à eux en termes sibyllins, précisant que le « petit cadeau » est pour Sandrine, pour qu’elle s’habitue aux gros calibres… » « C’est pas gentil pour toi ! » ironise t elle.
« C’est vrai qu’il est super membré ! » concède Paul, mi-figue mi-raisin et d’ajouter :« Allez déshabille-toi, Fanny roupille, viens, je vais te faire ta fête des deux côtés ! »Il la pousse sur le lit sans qu’elle résiste ; il lui arrache ses dessous sans même lui ôter sa jupe ; prenant tout juste le temps de se dénuder, il se couche sur elle et viole son ventre, raide comme un épieu, la transperçant, la faisant hurler en percutant le col de l’utérus. Quelque peu refroidi par ce cri, il adoucit sa pénétration ; il bascule sur le dos, achevant de la dénuder ; elle vient le chevaucher. Bien vite, elle caracole sur son membre tendu et ne proteste pas quand il écarte les demi-lunes de son fessier, pour chercher d’un doigt la pastille mauve enfouie dans le profond sillon. Etendant l’autre bras, il trouve l’olisbos et le pointe contre l’anneau puis commence à forcer ; elle gémit, il lui fait mal, mais il persiste et le pénis artificiel se fraie un chemin dans le rectum qu’il dilate. Elle se sent pourfendue, tout comme le jour où « ses » deux hommes l’ont prise ainsi ; sa gorge devient sèche, sa respiration sifflante et elle ressent les battements de son propre cœur, comme de monstrueuses percussions de grosses caisse.
Paul actionne alors le bouton de l’appareil et le minuscule moteur se met en route, déclenchant un mouvement vibratoire qui la met rapidement en transes. Elle crie, se démène sur les deux phallus qui la transpercent pour finalement s’affaler, inerte, sur le corps de son mari, juste au moment où il se libère dans son ventre en fusion.
Un long moment plus tard, alors qu’ils reprennent leurs esprits, elle se tourne vers lui, le visage grave :« Tu sais Minou…Je…Je n’ai pas eu mes règles ; ça fait quinze jours de retard ; je vais acheter demain un test à la pharmacie… »Il la fixe, le cœur battant :« Tu crois que ?…. » « Oui, j’en suis presque certain ; j’ai chaud au ventre, comme pour Fanny… »« Alors, on fait comment ? »« Écoute, tu te souviens, le soir à Paris, en sortant de chez Blaise ? Tu as dit toi-même que si j’étais enceinte, on garderait le bébé…Et puis, il est peut-être de toi… »À ces mots, il sourit d’un sourire jaune, se rendant compte qu’il risque de perdre la main, d’être pris à son propre jeu. Une boule d’angoisse lui étreint l’estomac à l’idée que sa petite femme puisse lui préférer un autre homme. Il faut qu’il prenne ses responsabilités, qu’il reste LE décisionnaire ! Il caresse le ventre de Sandrine :« Tu as raison, quoi qu’il en soit, c’est moi qui suis responsable ! »« Non ! » corrige t elle, « c’est NOUS ! »Elle s’appuie sur un coude et cherche sa bouche ; c’est elle qui enfonce sa langue à la recherche de la sienne, murmurant :« Tu sais, j’ai aimé ce que tu viens de me faire… »Il veut la prendre à nouveau, mais elle lui échappe et saute hors du lit.
« Non ! Il faut que je prépare le dîner de Fanny. »Elle s’éclipse aux wc et il entend qu’elle soulage bruyamment son intestin maltraité.
Il récupère le pénis en latex et le nettoie sur le lavabo de la salle de bain.
Les yeux cernés de mauve, elle le rejoint, nue et tiède et l’attirant sous la douche qu’elle fait couler, elle noue ses bras à son cou :« Je t’aime… » Ils ont prononcé ensemble cette petite phrase magique et leurs lèvres se soudent sous l’eau chaude qui les inonde.`
Le lendemain soir, elle est rentrée du travail avant lui. Dès son arrivée, il comprend sans qu’elle ait rien dit.
« Alors, c’est ça ? »« Oui, j’ai acheté le test ce matin ; je l’ai fait au bureau ; j’ai vu la gynéco tout à l’heure ; il n’y a aucun doute : ça remonte à un mois pile…La rencontre avec Blaise… »Il sent à nouveau la boule lui bloquer l’estomac, mais trouve la force de prononcer :« Je suis heureux, je t’aime… »« Moi aussi, je t’aime, je NOUS aime… »« Quand tu dis ça, tu englobes qui dans ce NOUS ? »« Toi, moi, Fanny, tout ce que nous vivons ensemble… »« Blaise aussi ? »« Lui, c’est différent, il est entré dans notre vie, à cause de toi et parce que j’ai voulu te faire plaisir, mais je mentirais en disant qu’il m’est indifférent…Tu sais, je ne pourrais pas te tromper, mais avec lui, c’est pas pareil : tu es présent et même si je vais le voir seule, je sais que tu es au courant et que tu veux que ça se passe ainsi. Tu vas lui téléphoner pour lui dire que je suis enceinte ? »« No, je préfère que ce soit toi qui le lui dises, quand tu seras là-bas. Je ne tiens pas à ce qu’il le sache maintenant. S’il te téléphone mercredi, ne lui en parle pas !
»
Le mercredi suivant, c’est elle qui prend l’initiative de téléphoner à Blaise, car Fanny fait la sieste, mais elle a eu du mal à s’endormir et elle craint que la sonnerie la réveille. À Paris, le temps est à la pluie et Blaise a décidé de ne pas descendre sur la Place du Tertre. Il jubile en reconnaissant la voix de la jeune femme.
« Ah, c’est ma petite pouliche qui fait son ménage…Elle a mis sa blouse rose ? »« Oui et…Je suis nue dessous. »« Tu as envie que je m’occupe de toi ? »« Oui !!! Je voudrais être dans vos bras ! Oh…Vous me rendez dingue ! »« Tu as envie de ma bite ? Allez, dis le ! »Complaisamment, elle lui dit à voix basse, tout ce qu’il veut entendre, même les aveux les plus torrides. Elle avoue qu’elle a pris du plaisir avec le godemiché, en pensant à lui. Quand il lui ordonne de se pénétrer avec l’engin, écartelée sur le fauteuil, elle obéit, approchant le combiné de son ventre pour qu’il entende le bruit du moteur au moment où elle envahit sa caverne rose. Elle a heureusement prévu de garnir l’assise du fauteuil d’une serviette-éponge et elle jouit sans retenue, entendant à peine les commentaires de son amant dans le haut-parleur :« Tu dois être belle avec une bite noire dans la chatte, j’ai envie de voir ça en réel ! »Comme elle lui demande à quoi il pense en disant cela, il élude en répondant :« Tu penseras à l’apporter dans ta valise, tu prendras aussi la blouse rose et une nuisette…Je bande sans arrêt en pensant à toi, je t’ai même dessinée, avec ta blouse, tu erras et puis je t’ai sculptée, grandeur nature, c’est presque terminé… »« Comme les autres femmes dans votre atelier, avec ma photo à côté ? »« Oui, mais en mieux, tu verras »« Vous avez montré mes photos à d’autres personnes ? »« Bien-sûr, mais tu sais, ici, les gens ont l’habitude de voir de belles nanas à poil ! »Il s’esclaffe alors qu’elle pique un fard. Il le devine et lui dit :« Tu es encore plus bandante quand tu rougis, tu as bien joui ? »« Oui…Trop, vous me rendez folle, je pense à vous moi aussi, sans arrêt, c’est dingue ! »« Tu m’aimes ? »« Oui…Et ça me fait peur ! » « Dis le… »« Oui…Je vous aime. »Elle fond en larmes et raccroche le combiné.
Le téléphone sonne aussitôt, c’est lui :« Moi aussi je t’aime. »« Vous êtes fou, nous sommes fous tous les trois…Oh j’ai hâte d’être avec vous. »
À suivre
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40 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Putain ça s'énerve dur par ici
de toute façon, que ce soit sur ce site ou sur d'autres, cet auteur a commencé un certain nombre de récits (tous à épisodes !), sans en terminer un seul ! Et s'il n'accepte pas d'être critiqué - en bien ou en mal, puisque chaque histoire sur ce site offre une possibilité de "réagir", c'est à la fois son droit mais aussi la possibilité pour ses lecteurs de s'interroger, ne serait-ce que sur les raisons de son silence depuis des années ! S'il n'accepte pas les commentaires, effectivement mieux vaut se taire, voire supprimer sur ce site et d'autres ses récits INCOMPLETS !
Je ne suis pas d’accord avec l’appréciation de l’auteur en ce qui concerne les avis des lecteurs. Je note que sur les 35 avis (en excluant les 2 rédigés par l’auteur lui-même), il n’y a que 3 avis qui critiquent le récit. Les 32 autres lecteurs ont tous apprécié le texte mais déplorent qu’il n’y ait pas eu de suite. Cela fait 92% d’avis favorables, score que beaucoup d’auteurs envieraient… Si cela peut encourager l’auteur à achever son récit, ne serait-ce que pour remercier tous ses lecteurs qui attendent encore après 5 ans et demi… preuve que ce récit répond parfaitement au but de tout récit sur ce site : émoustiller le lecteur.
Je suis l'auteur et je viens de relire ce texte ainsi que les critiques s'y rapportant . Vu le caractère acerbe d'un certain nombre de ces critiques , j'ai bien fait de ne pas continuer la publication . Je préfère néanmoins être qualifié de pisseur d'encre qu'être un pisse-vinaigre .
 ces derniers , je dirais simplement que Sandrine a disparu de mon horizon . J'ai de ses nouvelles une fois pas an â l'occasion de son anniversaire ( bientot le 49e) . Quant à Maryvonne , elle est toujours aussi proche au quotidien, sportive et vaillante. Ses 65 ans ne sont qu'un caprice de l'état civil. Désolé !
Jean-Paul
8/08/2017
 ces derniers , je dirais simplement que Sandrine a disparu de mon horizon . J'ai de ses nouvelles une fois pas an â l'occasion de son anniversaire ( bientot le 49e) . Quant à Maryvonne , elle est toujours aussi proche au quotidien, sportive et vaillante. Ses 65 ans ne sont qu'un caprice de l'état civil. Désolé !
Jean-Paul
8/08/2017
Quatre épisodes de pseudo soumission pour en arriver à se dire "Je vous aime" et "Moi aussi je t'aime", c'est tout simplement Burlesque ou Burnesque... Arrivé là, l'auteur ne sait plus par quel bout prendre son histoire... Et cela depuis bientôt deux ans !
Jean-Paul3 semble avoir définitivement "jeté l'encre" avec le bébé à venir et l'eau du bain... Et Sandrine est définitivement à la dérive !
C'est l'histoire d'une relation "chaude", voire "très chaude"... Mais tempérée,
refroidie, ou encore mieux "gelée" par son auteur ! C'était pas la peine (et la pine !)
de commencer cette histoire pour finalement nous poser... UN LAPIN ! Pour parodier un
autre couple de lecteurs, ce n'est pas la "Complainte de la Butte", mais la "Complainte
de la Bite" ! Pauvre Sandrine, restée en rade entre deux chapitres !
refroidie, ou encore mieux "gelée" par son auteur ! C'était pas la peine (et la pine !)
de commencer cette histoire pour finalement nous poser... UN LAPIN ! Pour parodier un
autre couple de lecteurs, ce n'est pas la "Complainte de la Butte", mais la "Complainte
de la Bite" ! Pauvre Sandrine, restée en rade entre deux chapitres !
Ce n'est pas un "roman", mais un roman-fleuve dont le débit s'est hélas desséché au
point d'être TARI (et c'est pas drôle TARI !)... Crampe de l'écrivain ? Imagination en
berne ? Il aurait mieux valu clôturer la série par le mot "FIN" (qui aurait été plus
"FIN"), que par "A suivre" pour être dans le vrai ! Le stage de Sandrine s'effectuera
donc chez la "tante machin-chose" ! Tristounet de ne pas tenir ses promesses, mais
combien les tiennent, Jean-Paul ?
point d'être TARI (et c'est pas drôle TARI !)... Crampe de l'écrivain ? Imagination en
berne ? Il aurait mieux valu clôturer la série par le mot "FIN" (qui aurait été plus
"FIN"), que par "A suivre" pour être dans le vrai ! Le stage de Sandrine s'effectuera
donc chez la "tante machin-chose" ! Tristounet de ne pas tenir ses promesses, mais
combien les tiennent, Jean-Paul ?
Vite, très vite maintenant,la suite des histoires de Maryvonne et de Sandrine...Voilà
déjà plus d'un an passé du 16 février que l'on attend la montée de Sandrine à PARIS.
Jean Paul 3, merci de répondre à vos lecteurs et à ma question : A QUAND LA SUITE ?
déjà plus d'un an passé du 16 février que l'on attend la montée de Sandrine à PARIS.
Jean Paul 3, merci de répondre à vos lecteurs et à ma question : A QUAND LA SUITE ?
Ce silence radio, est-ce la "Complainte de la Butte" ? Un sursaut d’énergie serait le
bienvenu du côté de JEAN-PAUL3, de Blaise et de Sandrine ! Allons, Monsieur l'Auteur !
bienvenu du côté de JEAN-PAUL3, de Blaise et de Sandrine ! Allons, Monsieur l'Auteur !
Quand t'es dans le désert, depuis trop longtemps... On se demande à quoi çà sert !
N'est-ce pas JEAN-PAUL3 ?
N'est-ce pas JEAN-PAUL3 ?
Il est franchement regrettable que les auteur(e)s de "sagas" ne remettent pas
l'ensemble de leurs chapitres constituant des histoires complètes aux administrateurs
du site : C'est le cas avec cet auteur dont chaque thème / histoire se conclut
momentanément par un "à suivre" prometteur... Mais qui n'engage pas l'auteur à tenir
ses promesses ! Le moins que l'on puisse dire, après une promesse de suite qui date de
près d'un an, c'est que l'auteur n'a pas la notion du temps mais aussi, clairement,
qu'il se moque éperdument de ses lecteurs potentiels ! N'écrivez plus, et faites de la
politique : les promesses non tenues y font florès !
l'ensemble de leurs chapitres constituant des histoires complètes aux administrateurs
du site : C'est le cas avec cet auteur dont chaque thème / histoire se conclut
momentanément par un "à suivre" prometteur... Mais qui n'engage pas l'auteur à tenir
ses promesses ! Le moins que l'on puisse dire, après une promesse de suite qui date de
près d'un an, c'est que l'auteur n'a pas la notion du temps mais aussi, clairement,
qu'il se moque éperdument de ses lecteurs potentiels ! N'écrivez plus, et faites de la
politique : les promesses non tenues y font florès !
JEAN-PAUL3, aurons-nous droit à un nouvel épisode avant la chandeleur ? Pour l'instant,
nous sommes comme la pâte à crèpe : en train de reposer... Quant au baptême du minot
(garçon ou fille) les dragées ont été de la revue...
nous sommes comme la pâte à crèpe : en train de reposer... Quant au baptême du minot
(garçon ou fille) les dragées ont été de la revue...
Jean-Paul3 aura-t-il survécu à une fin du monde et à deux réveillons ? C'est ce que nous
dira 2013 si enfin il se manifeste...
dira 2013 si enfin il se manifeste...
Les zamours de Sandrine et de Blaise ont-ils survécu à "la fin du monde" ? Vous le
saurez en 2013, 2014 ou... dans une autre vie... Merci à Jean-Paul3, son fidèle
lectorat lui souhaite un passage sexuel bien senti dans la nouvelle année... MDR
saurez en 2013, 2014 ou... dans une autre vie... Merci à Jean-Paul3, son fidèle
lectorat lui souhaite un passage sexuel bien senti dans la nouvelle année... MDR
" Oh j’ai hâte d’être avec vous." LES LECTEURS AUSSI ONT LA MÊME HÂTE ! HÉLAS L'AUTEUR
N'EST PAS AU RENDEZ-VOUS !!!
N'EST PAS AU RENDEZ-VOUS !!!
" « Vous êtes fou, nous sommes fous tous les trois…Oh j’ai hâte d’être avec vous. »
À suivre "
JEAN-PAUL3, c'est quand même pas la lune (pas même celle de Sandrine ou celle de
Maryvonne) de vous demander de terminer vos histoires !
À suivre "
JEAN-PAUL3, c'est quand même pas la lune (pas même celle de Sandrine ou celle de
Maryvonne) de vous demander de terminer vos histoires !
Sachant que "La fin du monde" est programmée pour le 21 décembre, JEAN-PAUL3 pourrait-
il nous offrir la fin des amours de sa Sandrine ? Il bénéficierait ainsi (et Sandrine
aussi !) de notre "reconnaissance éternelle" ! Enfin un beau geste après dix mois de
silence radio !
il nous offrir la fin des amours de sa Sandrine ? Il bénéficierait ainsi (et Sandrine
aussi !) de notre "reconnaissance éternelle" ! Enfin un beau geste après dix mois de
silence radio !
Sandrine est champenoise, certes, mais elle devrait plutôt être localisée comme
"L'arlésienne" !
"L'arlésienne" !
C'est plus que curieux : autant la Sandrine succombe à une vitesse vertigineuse,
autant son auteur écrit lentement ! Si elle avait du subir les assauts de Blaise à la
vitesse où JEAN-PAUL3 nous raconte son histoire (vraie ou fausse) on devrait encore
être Place du Tertre, au moment où "l'artiste' vient de sortir son fusain (je parle à
dessein de son matériel de portraitiste !)... Sandrine et JEAN-PAUL3, ACCOUCHEZ ! et
qu'on n'en parle plus !
autant son auteur écrit lentement ! Si elle avait du subir les assauts de Blaise à la
vitesse où JEAN-PAUL3 nous raconte son histoire (vraie ou fausse) on devrait encore
être Place du Tertre, au moment où "l'artiste' vient de sortir son fusain (je parle à
dessein de son matériel de portraitiste !)... Sandrine et JEAN-PAUL3, ACCOUCHEZ ! et
qu'on n'en parle plus !
Récit caricatural : la rapidité avec laquelle Blaise "séduit" Sandrine - en fait, elle
est "offerte par son mari, et accepte avec un inconnu ce que ce cher époux n'a pas
réussi à lui faire faire depuis leur mariage... Et quand elle dit non, "ne connaissant
pas le plaisir d'être enculée" elle finit par en redemander... -, tient du cliché
beauf : l'artiste, avec un bagout de bateleur, est forcément un Don Juan à qui aucune
femme ne résiste... OK, on a compris que Sandrine est devenue "sa chose" en quelques
ondulations du bassin et une queue double de celle de son époux... Mais terminer le
présent récit par une déclaration d'amour commune, c'est carrément Grand Guignol ! Ou
alors, l'auteur a une psychologie très bizarre... Au point d'ailleurs que depuis que
Sandrine est enceinte, il essaye de trouver une suite logique à une histoire cousue de
fil blanc...
est "offerte par son mari, et accepte avec un inconnu ce que ce cher époux n'a pas
réussi à lui faire faire depuis leur mariage... Et quand elle dit non, "ne connaissant
pas le plaisir d'être enculée" elle finit par en redemander... -, tient du cliché
beauf : l'artiste, avec un bagout de bateleur, est forcément un Don Juan à qui aucune
femme ne résiste... OK, on a compris que Sandrine est devenue "sa chose" en quelques
ondulations du bassin et une queue double de celle de son époux... Mais terminer le
présent récit par une déclaration d'amour commune, c'est carrément Grand Guignol ! Ou
alors, l'auteur a une psychologie très bizarre... Au point d'ailleurs que depuis que
Sandrine est enceinte, il essaye de trouver une suite logique à une histoire cousue de
fil blanc...
Décidément, l'auteur en met un temps pour "raconter" des récits sensés avoir été réels
entre les années 1970 (Maryvonne) et les années 1990 (Sandrine dans le cas présent !).
Et d'avoir plusieurs fers au feu (de l'amour, bien sûr), tous sensés avoir une suite,
n'est pas du meilleur effet en terme de lecture ! Stop ou encore ! Comme le titre d'une
émission de ces années là... Les lecteurs vont finir par se lasser d'attendre !
entre les années 1970 (Maryvonne) et les années 1990 (Sandrine dans le cas présent !).
Et d'avoir plusieurs fers au feu (de l'amour, bien sûr), tous sensés avoir une suite,
n'est pas du meilleur effet en terme de lecture ! Stop ou encore ! Comme le titre d'une
émission de ces années là... Les lecteurs vont finir par se lasser d'attendre !
Sandrine est dans son neuvième mois et on voudrait participer à la layette ! Est-ce
possible monsieur l'AUTEUR ? Juste quelques dragées pour la bonne bouche... Jean-Paul
III pourra-t-il le faire ?
possible monsieur l'AUTEUR ? Juste quelques dragées pour la bonne bouche... Jean-Paul
III pourra-t-il le faire ?
Les demandes de suite vont bientôt dépasser en longueur l'épisode... Jean-Paul(3), faudrait être plus réactif à la demande des lectrices et lecteurs ! Le plat refroidit !
" « Vous êtes fou, nous sommes fous tous les trois…Oh j’ai hâte d’être avec vous. »
À suivre "
Nous aussi ! On a hâte d'être avec eux, et même avec queue ! Et cela, depuis février... Çà fait long, mais on espère que ce sera bon !
À suivre "
Nous aussi ! On a hâte d'être avec eux, et même avec queue ! Et cela, depuis février... Çà fait long, mais on espère que ce sera bon !
De deux choses "lune" comme dirait Blaise en pinant celle de Sandrine : ou bien, comme dit l'auteur, en préambule de cette histoire : "Sandrine fut une de mes relations tendres et intimes", et alors, on se demande pourquoi il met tant de temps à nous raconter la suite... Ou bien, c'est une œuvre de fiction et il est en panne d'imagination... Mystère et boule (ce pourrait être du Blaise "tout craché") de gomme...
Après la déclaration d'amour "conjointe" entre Blaise et Sandrine, on aurait pus s'attendre à un feu d'artifice... Hélas, silence radio... Dommage de priver ceux qui "s'aiment" d'une séance torride et d'un stage à la sexualité débordante... Panne d'inspiration ou autre ? Il semble pourtant peu crédible que Paul ait décidé de mettre un terme à cette histoire qui le dépasse... Et Reims n'est pas loin de la Butte...
Jean Paul, tu es vraiment sadique de nous faire attendre la suite aussi
longtemps...Dépêche toi de raconter les aventures parisiennes de Sandrine avec son
dominateur Blaise qui aimerai bien la posséder avec sa nuisette dans des lieux
insolites ??? Je me trompe ??? Et l'accouchement c'est pour quand ??? Allez il faut
qu'elle soit baiser comme il se doit, c'est ce qu'elle veux !!! NON ? Je crois que si,
alors vite la suite.
longtemps...Dépêche toi de raconter les aventures parisiennes de Sandrine avec son
dominateur Blaise qui aimerai bien la posséder avec sa nuisette dans des lieux
insolites ??? Je me trompe ??? Et l'accouchement c'est pour quand ??? Allez il faut
qu'elle soit baiser comme il se doit, c'est ce qu'elle veux !!! NON ? Je crois que si,
alors vite la suite.
On pourrait avoir des nouvelles du "bébé" ? Conçu par Sandrine et Blaise (affirmations
de l'auteur !) à la mi-février, on devrait avoir des échographies et connaître son
sexe... Non ? Un bon geste Jean-Paul3 : dites-nous le sexe du bébé puisqu'on est sans
nouvelles des amours de "l'artiste" et de sa "chérie" depuis plus de 7 mois...
de l'auteur !) à la mi-février, on devrait avoir des échographies et connaître son
sexe... Non ? Un bon geste Jean-Paul3 : dites-nous le sexe du bébé puisqu'on est sans
nouvelles des amours de "l'artiste" et de sa "chérie" depuis plus de 7 mois...
Avoir mis 20 ans pour raconter cette histoire qui débute en février 1992, soit ! Mais
mettre des mois, voire des années à écrire un nouvel épisode, tient du "sadisme" envers
les lecteurs ! Sandrine s'est faite dépuceler le fion beaucoup plus rapidement
(heureusement pour elle !) que vous ne mettez de temps à nous livrer un nouvel
épisode... Si toutefois il y en aura un !
mettre des mois, voire des années à écrire un nouvel épisode, tient du "sadisme" envers
les lecteurs ! Sandrine s'est faite dépuceler le fion beaucoup plus rapidement
(heureusement pour elle !) que vous ne mettez de temps à nous livrer un nouvel
épisode... Si toutefois il y en aura un !
Alors Blaise tu feras quoi avec Sandrine à PARIS ? Tu l’emmèneras dans le bois de
Boulogne ? Hum continu de la dévergonder cette jolie femme mariée, elle a encore des
choses à apprendre...pour raconter à son mari ce qu'elle aime.
Bon Jean Paul dépêche toi de raconter la suite stp.
Boulogne ? Hum continu de la dévergonder cette jolie femme mariée, elle a encore des
choses à apprendre...pour raconter à son mari ce qu'elle aime.
Bon Jean Paul dépêche toi de raconter la suite stp.
Vite la suite...à PARIS chez Blaise et d'autres....
J'attends la suite avec impatience, espérant que Sandrine en nuisette avec son porte
jarretelle et ses bottes sous une robe s'ouvrant sur le devant se verra emmener par
Blaise dans des lieux insolites de la Capitale pour être baiser comme il se doit par
des bittes noires bien réelles et mieux que le gode...Allez Jean Paul 3 continu de
nous faire bander avec tes histoires superbement écrites. Vite la suite, un lecteur
passionne par ce qui va arriver a Sandrine. Amicalement.
jarretelle et ses bottes sous une robe s'ouvrant sur le devant se verra emmener par
Blaise dans des lieux insolites de la Capitale pour être baiser comme il se doit par
des bittes noires bien réelles et mieux que le gode...Allez Jean Paul 3 continu de
nous faire bander avec tes histoires superbement écrites. Vite la suite, un lecteur
passionne par ce qui va arriver a Sandrine. Amicalement.
Plus de 3 mois et demi que nous attendons la suite des aventures de Sandrine ! Un petit
effort Monsieur Jean-Paul3...
effort Monsieur Jean-Paul3...
Je ne cherchais pas la "petite mouche" ou le "détail qui tue", si vous l'avez pris
ainsi, je m'en excuse...
Cependant après le départ de Blaise de l'hôtel, vous aviez écrit (je m'excuse pour la
longueur citée) :
"- Et Blais, il te plaît ?
- Oui, il est bel homme et il sait s’y prendre, mais c’est toi que j’aime !
Elle le guide vers l’entrée de son ventre ; il l’arrête :
- Non, je veux ta bouche, jusqu’au bout !
Il s’allonge sur le dos, elle s’agenouille entre ses cuisses avant de le prendre entre
ses lèvres.
- J’aime le goût de ton sperme…
- Demain tu vas sucer Blaise à fond aussi
- On verra…
Durant deux heures encore, ils font l’amour ; elle lui accorde des caresses qu’elle
n’aurait jamais imaginées jusqu’ici, comme si cette rencontre servait de révélateur.
Lorsque rompus, la tête vide, ils émergent de la torpeur où les a plongés leur
chevauchée fantastique, il est trop tard pour envisager de dîner au restaurant de
l’hôtel ; Paul descend au bar pour y chercher une assiette froide et des boissons."
Avouez que "durant deux heures encore, ils font l'amour." prête à confusion quant aux
jouissances possibles du couple... et particulièrement de Paul, pour le lecteur lambda
que je suis...
Mais puisqu'en tant qu'auteur vous me corrigez, vous avez certainement raison !
Pour autant, il ne s'agit absolument pas d'une critique de votre "série", l'une des
meilleures de HDS.
Une dernière petite suggestion (il ne s'agit pas de vous embêter...) : pourriez vous
numéroter vos suites ? Quatre épisodes dont deux s'intitulent "Le roman de Sandrine"
et deux autres avec une orthographe presque similaire s'intitulent "Le roman de
Sandrine suite -sans et avec tiret-...
D'avance merci et longue vie (et vit !) à votre héroïne !
A bientôt de lire la suite de ses aventures...
Cordialement...
ainsi, je m'en excuse...
Cependant après le départ de Blaise de l'hôtel, vous aviez écrit (je m'excuse pour la
longueur citée) :
"- Et Blais, il te plaît ?
- Oui, il est bel homme et il sait s’y prendre, mais c’est toi que j’aime !
Elle le guide vers l’entrée de son ventre ; il l’arrête :
- Non, je veux ta bouche, jusqu’au bout !
Il s’allonge sur le dos, elle s’agenouille entre ses cuisses avant de le prendre entre
ses lèvres.
- J’aime le goût de ton sperme…
- Demain tu vas sucer Blaise à fond aussi
- On verra…
Durant deux heures encore, ils font l’amour ; elle lui accorde des caresses qu’elle
n’aurait jamais imaginées jusqu’ici, comme si cette rencontre servait de révélateur.
Lorsque rompus, la tête vide, ils émergent de la torpeur où les a plongés leur
chevauchée fantastique, il est trop tard pour envisager de dîner au restaurant de
l’hôtel ; Paul descend au bar pour y chercher une assiette froide et des boissons."
Avouez que "durant deux heures encore, ils font l'amour." prête à confusion quant aux
jouissances possibles du couple... et particulièrement de Paul, pour le lecteur lambda
que je suis...
Mais puisqu'en tant qu'auteur vous me corrigez, vous avez certainement raison !
Pour autant, il ne s'agit absolument pas d'une critique de votre "série", l'une des
meilleures de HDS.
Une dernière petite suggestion (il ne s'agit pas de vous embêter...) : pourriez vous
numéroter vos suites ? Quatre épisodes dont deux s'intitulent "Le roman de Sandrine"
et deux autres avec une orthographe presque similaire s'intitulent "Le roman de
Sandrine suite -sans et avec tiret-...
D'avance merci et longue vie (et vit !) à votre héroïne !
A bientôt de lire la suite de ses aventures...
Cordialement...
Étant l'auteur de ce récit a épisodes, je me permets de réagir au commentaire me
taxant d'incohérence, a propos de la certitude qu'a le couple quant au responsable de
la fécondation de Sandrine: cher monsieur, relisez avec attention l'épisode de la
rencontre avec le peintre et celui de l'après midi chez lui; vous verifierez qu'a
aucun moment Paul le mari , n'a joui dans le ventre de sa femme, au contraire de
Blaise le deuxième jour.
Dont acte.
taxant d'incohérence, a propos de la certitude qu'a le couple quant au responsable de
la fécondation de Sandrine: cher monsieur, relisez avec attention l'épisode de la
rencontre avec le peintre et celui de l'après midi chez lui; vous verifierez qu'a
aucun moment Paul le mari , n'a joui dans le ventre de sa femme, au contraire de
Blaise le deuxième jour.
Dont acte.
Pendant et après le premier trio en fin d'après-midi (et le lendemain matin), Paul
jouit à plusieurs reprises "sans protection" -dame ! c'est sa femme !-...
L'après-midi suivant à l'atelier du peintre, celui-ci s'épanche sans protection dans
la chère Sandrine... Or au terme de cet épisode, le couple "redoute", EST CERTAIN et
assume la possibilité d'une paternité de l'artiste...
Puisque Sandrine était féconde (c'est l'auteur qui l'a écrit) les deux jours, comment,
au terme de cet épisode, c'est le portraitiste qui est le "présumé coupable"...
Faudrait expliquer cette incohérence... Certes le couple s'est soumis à tous les
désirs de Blaise, mais question paternité... A moins que le sperme de l'artiste
prévaut sur celui de l'enseignant ?
Sinon l'ensemble des épisodes est excitant à souhait...
jouit à plusieurs reprises "sans protection" -dame ! c'est sa femme !-...
L'après-midi suivant à l'atelier du peintre, celui-ci s'épanche sans protection dans
la chère Sandrine... Or au terme de cet épisode, le couple "redoute", EST CERTAIN et
assume la possibilité d'une paternité de l'artiste...
Puisque Sandrine était féconde (c'est l'auteur qui l'a écrit) les deux jours, comment,
au terme de cet épisode, c'est le portraitiste qui est le "présumé coupable"...
Faudrait expliquer cette incohérence... Certes le couple s'est soumis à tous les
désirs de Blaise, mais question paternité... A moins que le sperme de l'artiste
prévaut sur celui de l'enseignant ?
Sinon l'ensemble des épisodes est excitant à souhait...
la suite…
J'aime beaucoup votre récit plein de tendresse, de sensibilité d'amour et débordant de
sensualité. Je suis très curieux de voir comment va évoluer la relation avec l'amant
père... Ne nous faites pas attendre.
sensualité. Je suis très curieux de voir comment va évoluer la relation avec l'amant
père... Ne nous faites pas attendre.
Excellent texte, plutôt bien écrit. La descente aux enfers de ce jeune couple, avec
perte de contrôle par le mari, devrait être très intéressante à suivre. Le seul
problème est la cadence de mise en ligne des chapitres : 6 mois entre ce chapitre et
le précédent, lequel est paru près d’un an et demi après le deuxième.... Tous les
connaisseurs savent que la rédaction d’un récit est chose difficile, mais il est aussi
très difficile de se passionner pour un récit dont on a oublié le début. Un petit
effort monsieur l’auteur ? Merci.
perte de contrôle par le mari, devrait être très intéressante à suivre. Le seul
problème est la cadence de mise en ligne des chapitres : 6 mois entre ce chapitre et
le précédent, lequel est paru près d’un an et demi après le deuxième.... Tous les
connaisseurs savent que la rédaction d’un récit est chose difficile, mais il est aussi
très difficile de se passionner pour un récit dont on a oublié le début. Un petit
effort monsieur l’auteur ? Merci.