Le secret de mon pote 1/2 - histoire érotique

15 jours que je n'avais pas de nouvelles de Cyril, mon pote.
Je lui envoie un message demandant s'il est chez lui. Un long moment après il me répond que oui et je lui dis que je passe le voir, un Ok laconique me répond.

En rentrant de mes courses en ce samedi après midi, je passe chez Cyril. Dès qu'il ouvre la porte je vois qu'il y a quelque chose qui ne va pas.
Une vraie tête d'enterrement, aucun sourire, alors qu'il en a un très ensorceleur lorsqu'il veut faire sa salope, triste de chez triste. Il me fait la bise, sans aucun entrain.
-t'en fais une tête! il se passe quoi Cyril ?
-rien rien dit il en s'efforçant de sourire en me regardant.
-t'as l'air crevé, t'as baisé toute la nuit ou quoi ?
Il ne répond pas, baisse la tête entre ses mains et je vois ses épaules tressauter, des larmes couler et tomber sur le sol.

Je connais Cyril depuis très longtemps. On a 30 ans tous les deux, pédés bien sûr et on aime bien baiser ensemble. Mais c'est un beau mec toujours enjoué, gai, qui amuse toute la galerie en général. Passer des vacances avec lui vous êtes sûr de faire les 400 coups et rire comme des fous. Il a toujours une idée saugrenue qu'il faut qu'il réalise et qui fait rire tout le monde.
Mais là, le gai luron est bien loin.

-Il t'arrive quoi Cyril ? dis je en posant ma main sur son bras, caressant ses épaules et l'entourant pour le serrer contre moi.
Il pose sa tête dans le creux de mon épaule et se met à chialer comme un gosse. J'avoue que je suis un peu perdu alors j'attends en le serrant contre moi, lui caressant le dos. Il reprend ses esprits, se redresse, essuie d'un revers de main ses larmes sur son visage, se force à sourire.
-ça va aller Fabrice t'en fais pas!

Je vois bien que rien ne va je connais mon loustic quand même.
Je prends ses bras dans mes mains en le secouant gentiment.
-non Cyril ça va pas! qu'est ce qui se passe ?
Il me fixe de ses beaux yeux verts.
-rien dit il, je peux pas en parler.

On dit que les Bretons sont têtus ben ils connaissent pas les Berrichons on est pire...

-C'est si grave que ça ? t'as fait une connerie ?
Il ne répond pas.
-tu sais quand même que tu peux tout me raconter Cyril, on se disait tout y'a pas si longtemps et là ça fait plus de 15 jours que tu donnes plus de nouvelles, tu ne viens plus me voir le soir je t'ai fait quelque chose ?
-mais non t'es bête t'es le plus gentil des mecs.
-c'est ça passe moi de la pommade alors y'a quoi ?

Il baisse la tête et ne dit toujours rien.
-bon, ben puisque c'est ça, dis je en me relevant je m'installe chez toi pour la nuit, tu finiras bien par me dire ce qui se passe.
J'enlève ma petite veste et me mets en tee-shirt, retire mes chaussures et je vais dans la cuisine chercher deux verres et deux bières.
-si tu parles pas tu peux payer un coup!

On boit en silence. Il me regarde du coin de l'œil.
-je sais pas si j'ai assez pour manger ce soir dit-il.
-c'est pas grave je viens de faire des courses. Je te lâche pas mec! je veux savoir et tu sais que je suis aussi têtu que toi.
Il me fixe, droit dans les yeux.
-je peux pas en parler Fabrice dit-il sérieux comme jamais.
-même à moi qui suis muet comme une tombe ?

Il baisse la tête, ça réfléchit dans sa petite tête, il sait bien qu'on connait pratiquement tout l'un de l'autre. Tous les mecs qu'on a baisé, on se raconte et dès fois on les baise ensemble.
Je lui redresse le menton.
-t'as fait une grosse connerie ?
Ses yeux s'embuent.
-je crois bien dit-il.
Les larmes coulent sur ses joues, c'est moi qui les essuie avec mes doigts. Je viens m'asseoir à côté de lui, le serre contre moi.
-maintenant raconte tout Cyril!

Il pousse un long soupir, cale sa tête sur mon épaule en me faisant un bisou sur la joue.
-j'me suis fait pirater mon téléphone et mon PC dit il et naturellement dessus il y a des photos de moi à poil ou en train de baiser d'autres mecs et on les voit bien comme moi d'ailleurs. Comme tu le sais, je vais régulièrement sur certaines applications que tu connais bien aussi pour voir les nouveaux pédés de la région et faire leur connaissance. C'est ainsi que j'ai fait la connaissance d'un mec qui me semblait bien et, qui en fait est une vraie ordure. On a papoté, on s'est envoyé des photos mais j'ai trouvé les siennes bizarres. Je ne sais pas comment te dire comme du déjà vu, mais comme j'en vois pas mal... Il m'a dit habiter dans notre ville j'étais plutôt content. On s'est demandé ce que l'on aimait en baise photos à l'appui et c'est comme ça que j'ai vu que le mec m'envoyait des photos qui étaient dans mon téléphone. Je lui ai demandé des explications, cela l'a fait bien rire. Il m'a dit qu'il m'avait piraté et qu'il fallait que je fasse tout ce qu'il dirait. J'ai tout coupé en l'envoyant balader mais il m'a rappelé sur mon téléphone me disant que c'était pas ce qu'il fallait faire que parmi les photos que j'avais sur mon portable, il y avait un mec marié et que si je ne voulais pas que sa femme soit au courant que son cher et tendre se faisait baiser qu'il fallait que j'obéisse. Alors j'ai demandé ce qu'il voulait et il m'a dit je te rappelle.

-Tu pouvais pas prévenir le mec ? c'est qui le mec ? je le connais ? si ça se trouve sa femme sait qu'il va baiser avec les mecs également.
-oui j'ai pensé à ça bien sûr, mais j'ai pas pu le joindre et le mec m'a rappelé deux jours après pour que je me rende chez un mec et baiser avec lui, faire tout ce qu'il aurait envie et faire une vidéo et des photos bien sûr.
-tu y es allé ?
-ben oui c'est un mec qui habite de l'autre côté de la ville, un mec d'une cinquantaine d'année, bon ça va il était pas mal quand même, et assez gentil et, en fait j'ai pas passé un trop mauvais moment. Il m'a pris en photos et filmé pour l'envoyer au mec qui m'avait fait venir. J'ai essayé de le faire parler sur ce mec, mais il m'a répondu que je devais mieux le connaitre que lui.

-Il t'a baisé le vieux ?
-ben oui et je peux te dire qu'il était bien monté, mais c'est un doux et quand je suis parti il m'a demandé si je voulais revenir, j'ai dit que j'allais voir mais il m'a dit "t'en fais pas je demanderais à ton mec" ça m'a fait tiquer mais j'ai rien dit.
-et les photos et vidéo ?
-elles ont été transmises au mec.
-tu sais son nom au mec ?
-il m'a dit de l'appeler Nordine.
-j'en connais pas des Nordine dans la ville et après il s'est passé quoi.
-ben tous les deux jours je vais coucher avec un mec, toujours la même histoire mais ils sont de plus en plus vieux et je t'avoue que j'en ai marre.
-ben n'y retourne plus, envoie le promener le Nordine.
-t'es marrant toi et il va envoyer les vidéos à tout le monde.
-tous ceux qui sont dans ton portable savent que t'es pédé non ?
-ouais peut être mais ils ont pas tous vu mon cul se faire enfiler et attend! c'est pas fini l'avant-dernier mec chez qui je suis allé, juste avant de partir il m'a demandé si je pouvais transmettre un "message à mon mec" lui dire que ces prix sont trop élevés qu'il ne paiera plus! j'ai rien dit, mais j'en suis resté sur le cul... en gros je fais le tapin pour Nordine.
-et combien vaut ton cul alors ? dis je en riant.
-ben j'en sais rien.
-mais tu comptes quoi faire ?
-j'en sais rien mais j'en ai marre de me faire baiser par des vieux.
-ah tu préfères la mienne quand même hein ma petite salope ?
-n'en profite pas hein t'aurais fait un bon proxo toi avec ta belle petite gueule de blond, dès qu'on te voit on est amoureux.
-j'tai manqué alors ? dis je en l'embrassant dans les cheveux.

Il relève la tête.
-comme toujours beau mec, embrasse moi.
Le silence s'est fait quand nos lèvres se sont jointes, se caressant avant de s'écraser les unes contre les autres et que les langues se retrouvaient pour se mélanger et s'échanger la salive.
Je retrouvais sa fougue, son entrain à me forcer à m'allonger sur le canapé pour qu'il vienne sur moi et continuer de m'embrasser.
Il arrête, me regarde.
-tu restes ce soir ? on baise tous les deux.
-bien sûr je vais plus te lâcher maintenant je vais squatter chez toi et après tu viens à la maison, tu ne réponds plus aux coups de fil de ton Nordine. On verra bien ce qu'il fait et s'il insiste je lui parlerais tu sais bien qu'avec moi on a jamais le dernier mot.

Il rigole doucement.
-c'est vrai que t'es un cas, un beau cas doux, tendre avec une belle queue fureteuse qui entre dans tous les trous.
-pour qu'elle rentre dans tous les trous faut qu'elle les voit!
-on va dans la chambre ? dit il en se relevant et m'entraine dans sa chambre que je connais par cœur.

On n'a pas mis longtemps à se retrouver nu tous les deux. Il m'a regardé de son beau regard, est venu se coller à moi, m'entourant de ses bras, en se frottant.
-tu m'aimes ?
-non dis je j'ai juste envie de baiser un beau cul et sucer une belle queue juteuse et là, ben je crois que tout est réuni dans le beau mec qui me serre contre lui.
-mais tu m'aimes bien quand même ?
-pourquoi t'as un doute à ce point ?
-non... mais tu sais que j'aime bien...
-qu'on te le dise à l'oreille, que t'es le plus beau mec de la région, que t'as un cul d'enfer bien ouvert dans lequel on s'enfonce comme dans du beurre et que c'est pour ça que je t'aime mon pote. Parce que aussi t'es le meilleur des potes que j'ai jamais eu. Voilà! t'es content ? dis je en riant.
-alors baise moi maintenant.

Je l'ai poussé sur le lit où il est tombé sur le dos sa belle queue collée sur son ventre, toute décalottée, déjà la mouille coulait sur son ventre. Ses belles couilles bien dessinées étaient de chaque côté de sa bite, une belle toison châtain clair. Je me suis jeté sur ses couilles pour les lécher consciencieusement, les inondant de salive avant de les avaler et de les faire rouler dans ma bouche et de l'entendre pousser de petits cris en se caressant la bite.
Je lui ai fait soulever ses jambes, les collant sur son torse pour me donner accès à son beau petit cul si accueillant. Au premier coup de langue, Cyril criait déjà et c'était de plus en plus fort. Je savais qu'il allait finir par hurler.

J'ai fouillé dans son tiroir de la table de chevet, et parmi les godes de différentes tailles, j'ai retrouvé le bâillon pourvu d'une courte bite épaisse, que l'on rentre dans la bouche du bruyant en serrant autour de sa tête. Je voyais ses yeux rire... je sais que c'est son jeu préféré.

J'ai pu recommencer à lui lécher, lui bouffer son beau cul pendant ce temps Cyril grognait toujours mais suçait en même temps la petite bite qu'il avait dans la bouche. De voir ce beau mec à ma merci j'avais envie de lui, de le baiser fort comme il aime tant.
Quand je me suis mis à genoux entre ses jambes, m'appuyant sur ses cuisses, ma grosse queue était décalottée entièrement, dure et coulait de sa mouille claire. J'ai juste eu à la positionner devant le petit trou ouvert, m'appuyer sur Cyril en le fixant et de voir dans ses yeux la progression de ma queue en lui, sentir son conduit chaud et humide m'envelopper la queue et s'enfoncer sans problème en lui. Ses cris étaient étouffés mais arrivaient encore à se faire entendre. Il crie pour le plaisir et parce qu'il est très expressif et quand ma queue s'est mise à coulisser dans son conduit, s'enfonçant à chaque fois bien à fond, voir ses yeux émerveillés j'ai eu pitié et j'ai défait le bâillon, rien que pour entendre sa "douce voix".

Je crois qu'il en rajoute en plus ce voyou.

Des cris, des mots sans suite sans jamais cesser d'offrir son cul, vouloir se branler, lui taper sur la main en faisant les gros yeux et d'un dernier coup de reins, m'enfonçant au plus profond de lui, le clouant sur le lit j'ai joui comme si je n'avais pas joui depuis des semaines accompagné de ses râles et de son sourire de mec heureux d'avoir une bite juteuse dans son petit cul.
Sorti de son petit cul, je me suis occupé de sa belle bite l'avalant d'un seul coup pour l'entendre encore gémir en me tenant la tête, son petit cul remontait pour m'enfoncer sa bite au plus profond de ma bouche me limant la bouche serrée contre sa tige et, rapidement ses giclées sont arrivées, chaudes et abondantes que je me suis fait un devoir de tout avaler léchant bien tout le beau matériel, avant d'aller me réfugier en m'écrasant sur son corps, accueilli par ses bras ouverts.

-Même en vieillissant tu perds rien dans les coups de reins mec! et ta queue est toujours aussi raide et dure!
-ça te change de tes vieux dis je en rigolant.
-y'en a dans le lot, ben ils bandent durs encore et ont des sacrés coups de reins également tu sais.
-mais alors tu y prends goût ?
-mais ça va pas!

Il n'a pas le temps de continuer qu'on entend la sonnerie de son téléphone. Il me regarde.
-attends je vais voir.
Il revient avec son portable à la main qui sonne encore.
-c'est Nordine dit il blanc comme un linge.
-ne répond pas! laisse sonner on verra bien ce que cela donne.
-tu crois ?

Nous voilà tous les deux, regardant le téléphone sonner puis ça s'arrête, la messagerie se met en marche, mais ça raccroche.

On se recouche il se blottit contre moi.
-va bien falloir que je réponde à un moment ou un autre dit Cyril.
-pourquoi ? attendons qu'il laisse au moins un message et on verra ce qu'il fait.
-c'est vrai, tu restes avec moi ce soir ?
-oui pour pas que tu répondes à Nordine faut le laisser venir le rebeu.
-comment ça le laisser venir ? demande un Cyril inquiet.
-ben si tu réponds plus, il va finir par se pointer à ta porte le mec il va pas perdre une belle poule aux œufs d'or comme toi.
-belle comparaison!! dit un Cyril moqueur.
-c'est pour ça que je te quitte plus jusqu'à temps qu'on voit la gueule du rebeu et qu'on discute.
-je sens les emmerdes arrivées dit Cyril.
-tu crois pas qu'elles sont pas déjà là ?

La sonnerie de son portable se fait de nouveau entendre...