Niqueur loveur - histoire érotique

Walid... si vous avez la chance de le rencontrer vous vivrez des moments intenses.

Walid a 25 ans, travaille comme serveur dans un grand café parisien soit le matin jusqu'en milieu d'après-midi, soit jusqu'au soir très tard.
Walid fait 1m85, mince, mais sous son grand tablier et sa tenue on voit que le corps est nerveux. Il n'est pas spécialement beau, son visage n'attire personne en fait, il sourit rarement ou mécaniquement mais ce sont ses yeux noirs qui fascinent.
Sa tenue est impeccable, sa barbe de 3 jours bien taillée, comme les sourcils, la chevelure bien entretenue.

Dans ce bar parisien pas mal de quadras viennent au moment de midi et Walid voit bien que certains fantasmes sur lui, mais il ne fait rien pour les encourager ce n'est pas le quadra, ni le quinqua qu'il aime mettre dans son lit, mais les mecs de son âge ou plus jeunes, des minets et s'ils sont efféminés... il en bande rien que d'y penser.

Il vit loin de la banlieue qu'il a quitté il y a quelques années, s'éloigner de ses potes qui ne cherchaient qu'à niquer dans les caves tout ce qui se présentait, Walid lui aime bien choisir...

Il ne drague pas au travail mais quand il est du matin et qu'il finit vers 15 heures, il prend plaisir à traîner dans les galeries avoisinantes où des salles de jeux sont installées fréquentées justement par les mecs qu'il aime.

Il se souvient du dernier minet qu'il a trouvé justement dans une salle de jeux, un jeune allemand, blond, les cheveux longs, de longs cils entouraient ses yeux légèrement maquillés. Il avait fondu devant le mec qui s'était laissé entraîner dans les sous-sol de l'établissement où il l'avait niqué avec force sur le capot d'une voiture. Entendre ses proies couiner, gueuler dans le parking était pour lui quelque chose de bien bandant. Le minet allemand devait se faire niquer souvent car son gros zob de 24 cm était entré comme une lettre à la Poste.

Nerveux Walid, les coups de reins l'étaient également, il avait rempli le petit cul allemand une fois, puis c'était fait sucer avant de le niquer une seconde fois entre les voitures, sur le dos les pattes en l'air.

Mais en voyant la belle gueule du minet allemand ses démons étaient revenus... mais il s'était éclipsé avant.

Ce mercredi après-midi lorsqu'il termine son travail, il se change en "voyou" comme il dit en rigolant. Sapé quand même comme un milord, son survêt class est de marque, comme ses TN et là c'est l'été, alors son tee-shirt laisse voir son bronzage naturel. Le survêt le moule assez bien et quand il marche on voit bien la forme de son zob qui ne bande pas encore.

Cela fait trois jours qu'il n'a pas baisé. Il sait qu'il a les couilles pleines, il refuse de se branler faut qu'il vidange dans un cul ou une gorge.
Il file directement à la salle de jeux, pas grand monde... Il fait le tour de la salle matant les joueurs, s'attardant à quelques uns qui ne le remarquent même pas. Pourtant il y a de beaux minets présents, aux petits culs bien rebondis dans les jeans ou les survêts.

C'est un roux qu'il voit de dos qui attire son attention quand il pousse un cri en jouant sur un vieux flipper. Il s'approche comme le loup de sa proie et se met sur le côté pour le regarder de face. Il sent son cœur accélérer. Il ne voit pas la couleur des yeux, mais les cheveux longs roux encadrent un visage fin aux lèvres ourlées qu'il voit déjà autour de son zob. Le teint est blanc marqué de tâches de rousseur et quand il lève les yeux pour regarder son score, Walid voit les yeux verts émeraudes qui le regardent vite fait.
Il a comme un trait de mascara autour des yeux.

Le zob de Walid commence à faire des siennes. Voilà sa proie, voilà le mec qu'il lui faut. Il l'observe encore, détaille ses vêtements, tee-shirt blanc, les bras pleins de taches de rousseur également, de longs doigts agiles qui frappent le flippeur, il voit les muscles des bras bouger.
Un sourire apparait sur le visage de Walid, ses traits s'éclaircissent qu'il en devient presque beau, attirant en tout cas pour ceux qui aiment les rebeux.
Et c'est ce que que croit deviner Walid quand leurs regards se croisent, lui sent un frisson parcourir son corps jusqu'à son zob qui durcit.

La partie est finie, le roux laisse ses mains sur les boutons, Walid pose sa main près de la sienne, la rapprochant jusqu'à le toucher... C'est là que leurs regards s'accrochent et les sourires apparaissent sur les visages. Ils se fixent sans rien dire, le roux passe sa langue sur ses belles lèvres, Walid en fait autant en le détaillant encore plus. Le roux accentue son sourire, se penche vers le rebeu :
-moi c'est Victor, tu veux faire une partie avec moi ?
-Walid répond le rebeu, je préfère autre chose dit il sans le quitter des yeux.
-et je suppose que ton quelque chose n'est pas dans la salle ?

Walid est surpris par la réponse de ce beau roux. Mais il se reprend vite fait.
-t'as raison mais faut aimer le rebeu.
Le roux sourit encore plus, ses yeux se plissent et il se penche encore plus sur Walid.
-le rebeu est un doux ou une brute ?
-pourquoi ton petit cul est fragile ?
-non mais j'aime quand même la douceur, c'est quand même mieux la douceur et dans la douceur on peut tout faire!

Ils chuchotaient presque tous les deux. Ils pouvaient respirer leurs odeurs.
-tu veux aller où ? moi j'habite pas loin si tu veux Walid.
Ses yeux étaient devenus doux, tendres, son visage lisse donnait envie de le caresser. Le cœur de Walid recommençait à accélérer.

C'était un signe qu'il aimait bien mais il savait que si cela continuait ses démons allaient encore se manifester.

Il n'a pas eu le temps de réfléchir encore plus que Victor le prenait par la main :
-viens, suis moi Walid!
Il marche côte à côte sur l'avenue sans dire un mot et au fur et à mesure le cœur de Walid se calme.
Effectivement il n'habite pas loin Victor. Ils entrent dans l'immeuble, vont vers un vieil ascenseur, et Walid voit qu'il appuie sur le 6ème. Les portes se referment, ils sont presque l'un contre l'autre à se regarder, l'ascenseur monte lentement comme s'il peinait.
Les yeux de Victor le fixent toujours, il sourit au rebeu, lève la main et vient caresser doucement sa joue de sa main chaude et douce.
-t'es beau Walid, tu me plais énormément tu sais.

Walid ne dit rien car il sent son cœur recommencer à battre la chamade, les démons ne sont pas loin et il sent bien qu'il ne va pas arriver à se contenir s'ils n'arrivent pas rapidement.

La porte s'ouvre, Victor le reprend par la main et l'emmène devant la porte de sa chambre de bonne qu'il ouvre rapidement et ils entrent dans la pièce.
Walid n'a pas le temps de voir quelque chose que le roux est dans ses bras et l'embrasse déjà son corps collé au sien. La langue du roux vient jouer avec la sienne, tourne autour, lui offre sa salive, aspire la sienne. Walid bande et sent que le roux c'est pareil. Ses mains partent en reconnaissance et quand ses doigts touchent la peau de Victor, son cœur reprend son battement plus rapide.

Il sent les mains de Victor passer sous son tee-shirt. Ils gémissent tous les deux, les tee-shirts sont virés, les torses se frottent.
-t'es magnifique Walid, jamais j'ai eu un rebeu comme toi dans mes bras.
Les battements s'accentuent et Walid s'entend dire :
-toi aussi t'es un très beau mec, tu m'excites énormément.
-je le sens dit Victor en saisissant le gros zob sur le survêt, tu veux que je lui fasse prendre l'air et que je lui fasse connaître ma bouche ?

Walid ne répond pas et Victor glisse sur son torse en déposant de petits bisous jusqu'aux poils de son pubis. Mais il défait ses TN, lui fait retirer, enlève les chaussettes, baisse le survêt, le retire et il admire son rebeu. Regardant la grosse bosse du boxer.
Walid pense qu'il va le retirer mais Victor vient le respirer, le humer, frotter sa joue dessus, le prendre entre ses lèvres, puis ses dents remontant jusqu'au gland qui laisse couler la mouille et la tache s'agrandit rapidement.
Walid caresse les cheveux roux, les passe entre ses doigts. Il adore le souffle chaud sur son zob.

Victor baisse doucement le boxer, comme s'il aimait découvrir un cadeau. Le boxer tombe aux pieds et le long et gros zob arrive sur son visage.
Ils se regardent, les yeux de Victor sont magnifiques d'admiration, de contentement :
-c'est juste pour moi tout ça ? demande t-il avec son plus beau sourire. Il n'attend pas la réponse et ses lèvres s'emparent du gros gland, l'enserrant doucement pendant que la langue en fait le tour. Il entend Walid pousser de petits soupirs en gémissant.
Il caresse les couilles qui pendent légèrement et fait glisser la grosse queue sur sa langue.

Walid sent son cœur s'emballer encore une fois... Il sait que ses démons ne sont pas loin. Il n'aime pas quand ils sortent, mais en même temps avec Victor il a envie de ça, envie de lui montrer qui il est exactement...

Mais la pipe administrée lui coupe ses moyens, il est bien dans cette bouche, il est sucé avec application entre ses lèvres, la langue est douce et agile, sa queue est noyée dans la salive et de temps en temps son gland va au fond de la bouche bouchant l'entrée de la gorge, mais il ne cherche pas à aller plus loin...
Victor bouscule son modus operandi habituel... d'habitude il nique et se fait sucer après pour niquer encore une fois, mais là ce roux attire ses démons, il le sait, il le sent puisqu'il se laisse manœuvrer comme s'il n'était pas le rebeu niqueur qu'il est!

D'ailleurs le roux en profite, sa main qui caresse ses couilles, glisse entre ses jambes et son doigt remonte dans sa raie fessière...

Quand les démons ne sont pas prêts de sortir, Walid serre des fesses faisant comprendre qu'on ne touche pas à cet endroit, mais là... il écarte lui-même ses jambes et sent le doigt toucher son anus, le caresser lentement en même temps que son gland voyage dans la bouche de Victor.
Le doigt insiste, et Walid pousse laisse passer l'index indiscret qui ne s'enfonce pas loin, juste pour caresser sa muqueuse et la pipe s'accélère.

Il tient la tête du roux et fait de petits va-et-vient dans la bouche mais en même temps il sent le doigt s'enfoncer en lui et les démons accélèrent encore les battements de son cœur.

D'un seul coup le plaisir arrive. Le doigt s'enfonce au plus profond qu'il peut pendant qu'il décharge ses trois jours de sperme dans la bouche chaude et humide de Victor qui laisse couler le nectar dans sa gorge. Les giclées brûlantes se suivent et Victor ingurgite tout ce qui se présente.
Le doigt s'échappe de son anus, son zob est léché avec application.

Le cœur de Walid va sortir de sa poitrine tellement il cogne... il sait que les démons sont là et qu'il ne peut plus résister.

Il prend Victor sous les bras, le relève pour le coller contre lui et l'embrasse comme un perdu, sa langue vient se frotter à la sienne, retrouver le goût de son sperme, il caresse le dos du roux qui ronronne dans ses bras.

Il lui prend la tête entre ses mains, le fixe de ses yeux noirs qui lancent des éclairs... le démon va s'exprimer...
-toi je t'aime, tu as le droit de faire ce que tu veux de moi!
-mais je veux que tu me niques, que tu me baises avec ton gros zob!
-je t'aime, t'as entendu ce que je viens de te dire ?
-oui Walid, mais comment tu peux le savoir déjà on se connait à peine!
-parce que c'est mon cœur qui le dit... cela m'est arrivé deux autres fois mais les mecs n'ont pas cru à mon histoire...
-moi je veux bien y croire Walid, tu me plais, tu es beau, j'ai adoré te sucer et boire ton jus! Il y avait longtemps que tu n'avais pas juté ?
-trois jours... c'est parce que je devais t'attendre sûrement et je t'ai rencontré...
-alors prends moi, nique moi comme un rebeu niqueur.
-oui mais dis moi que tu m'aimes aussi!

Il voyait bien que Victor était un peu interloqué, mais il joue le jeu.
-oui Walid mon rebeu, je t'aime, j'aime les rebeux, mais ce que j'aime c'est aussi le rebeu niqueur... loveur comme toi! C'est toi qui va faire de moi ce que tu veux, je suis à toi!

Le sourire carnassier était revenu sur les lèvres de Walid qui finit de déshabiller Victor en un tour de main. Il va se mettre à quatre pattes sur le lit et offre son petit cul de roux au regard de Walid qui voit les poils autour de l'anus.

C'est là qu'il sait que le démon loveur est de sorti, car une chose qu'il ne fait pas se produit... il vient bouffer le petit cul de ce roux, le lécher, le doigter, le forer et voir qu'il reste bien ouvert.
Il adore entendre Victor râler, couiner, gémir et demander d'être niquer.
Quand son gros gland vient se promener dans la raie, il voit les frissons sur le cul de Victor qu'il prend aux hanches et pousse doucement.
Ce n'est pas souvent qu'il peut voir son zob être avalé par un cul...
Il trouve ça beau, sent le sphincter le serrer, Victor recule doucement et quand le gland passe, il pousse un énorme cri en se redressant, facilitant l'entrée encore plus rapidement.

Walid le bloque dans ses bras.
-va doucement Victor, sent bien mon zob glisser en toi, t'aimes ça le gros zob de Walid ?
-oui j'adore quand ça me remplit bien.
Victor lui offre ses lèvres, la main de Walid glisse jusqu'à sa queue, une belle queue de céfran, bien droite, bien raide, décalottée, humide qu'il branle rapidement sentant les petites fesses écraser son zob.

Quand il sent que Victor va jouir, il le repousse, le prend aux hanches et le nique comme le rebeu niqueur qu'il est. Sèchement, ça claque sur les petites fesses, les cris se font entendre, une dizaine de coups et il le reprend contre lui pour continuer de le branler pour refaire le même scénario plusieurs fois.

Victor n'en peut plus, il voudrait jouir, il voudrait le jus du rebeu, mais il s'en sert comme d'un jouet, d'un jouet qui ne peut assouvir son plaisir.
Il n'arrête pas de lui dire qu'il l'aime en le branlant si bien que Victor réclame de juter de sa main.
Walid obéit à Victor et c'est dans un hurlement qu'il jute en travers du lit, pris de spasmes, ses fesses écrasent le gros zob dur en lui. Walid sous le regard étonné de Victor, lèche ses doigts pleins de sperme, lui en offre et le fait remettre en possession pour cette fois juter en lui, répandre sa semence de rebeu dans son conduit. Les giclées sont épaisses, brûlantes et ils s'allongent sur le lit Walid toujours en lui.

Il bande toujours le rebeu. Il n'a jamais été aussi bien dans le cul d'un mec, c'est lui qui lui faut, il doit le garder cette fois, il en est sûr... mais va t-il accepter ? Va t-il faire comme les autres le jeter après avoir été niqué ?

Les battements de son cœur se sont calmés. Il est bien, zen, et se sent amoureux comme jamais il ne l'a été.
Il fait bouger Victor, mais le garde dans ses bras, son zob toujours au fond de lui, le serrant dans ses bras.
Victor tourne la tête vers lui, lui fait un bisou rapide sur les lèvres :
-si je suis sage, j'ai droit à une deuxième tournée monsieur le rebeu niqueur loveur ?

Il avait dit ça sans se moquer comme s'il le pensait vraiment. Walid le serre encore plus.
-oui toutes les tournées que tu veux Victor, c'est vrai que je t'aime, je suis certain que c'est toi que je cherchais depuis longtemps.
-alors reste avec moi Walid, je crois que j'en serais très heureux.
-je veux que tu t'occupes de moi aussi Victor, tu as déjà niqué un rebeu ?
-mon rebeu veut que je le baise ?
-j'ai dit que je t'aimais et quand j'aime je m'offre, je t'appartiens Victor!

Le silence s'est installé. Walid le tenait toujours dans ses bras et son zob n'avait pas débandé. Il avait recommencé ses petits mouvements et sentait bien que Victor s'offrait.
Mais il pensait aussi quand Victor allait le niquer. Cela serait sa première fois mais il était sûr et certain qu'il aimera avec lui!
Ses coups de reins se sont accélérés, retournant Victor à plat ventre sur le lit et en à peine une dizaine de va-et-vient il engrossait encore une fois un Victor ravi de recevoir autant de jus.

Ils ont fait l'amour toute la nuit et ce n'est qu'au matin que Walid a offert son cul à Victor. Qu'il a senti sa langue en prendre possession, puis ses doigts l'ouvrir, un puis deux, il avait gémi comme une chienne en chaleur, se surprenant à aimer ça!

Mais ce n'était rien par rapport à la belle queue de Victor quand elle a pris possession des lieux et dépuceler le cul du rebeu de son jus chaud qui s'est répandu dans tout le conduit. Walid n'a pu résister à se branler et jouir en ayant la queue du céfran en lui.

Le rebeu niqueur est revenu voir Victor qui se fait niquer toujours comme il aime, mais le rebeu est aussi son loveur, il s'offre comme une midinette à ses coups de reins et 6 mois après lui dit toujours qu'il l'aime autant!

C'était bien lui qu'il attendait.